Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 23 décembre 2020

"Privilège blanc" ? Où ça ?

132646927_10215180090455088_8807996283595239276_n.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Jamais en reste quand il s'agit d'importer en France un concept progressiste américanoïde pour en faire un objet de développement polémique, de débat intellectuel et, au bout du compte, d'affrontement, Emmanuel Macron, dans un entretien-fleuve publié par l'hebdomadaire L'Express paru ce mardi évoque l'idée de "privilège blanc" supposé favoriser l'accession de ceux qui en bénéficient à la réussite sociale, au logement, à l'éducation et à la culture.
 
En ces temps de "discrimination positive" pratiquée en toute matière et en tout lieu, on chercherait pourtant bien en vain ce soit-disant privilège.
 
Le "privilège blanc", c'est de se taire et de raser les murs dans certains quartiers de nos villes.
 
Le "privilège blanc", c'est de risquer à toute heure du jour et de la nuit l'agression, le viol ou l'égorgement.
 
Le "privilège blanc", c'est le couvre-feu de fait établi bien avant la crise sanitaire qui interdit aux femmes de sortir dans la rue dès le soir tombé.
 
Le "privilège blanc" c'est de recevoir des crachats sur un terrain de football.
 
Le "privilège blanc" c'est de devoir s'agenouiller en signe de repentance.
 
Le "privilège blanc" c'est de voir les traditions, les valeurs, les principes qui ont fait notre civilisation bafouées et traînées dans la boue.
 
Le "privilège blanc", c'est de se retrouver en exil et sous surveillance dans son propre pays.
 

2017 06 CH H D ELLOY 1.jpg

Le commander : cliquez ici

09:36 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 15 décembre 2020

Idéologie climatique et référendum fantôme.

20320176lpw-20320190-article-environnement-jpg_7092666_660x281.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Mitterrand avait, en 1984, inventé le référendum sur le référendum pour éviter de donner aux Français la parole sur la défense de l'enseignement libre.
 
Macron, lui, sort de son parapluie de vendeur de bretelles à la sauvette, le référendum fantôme pour élever l'idéologie climatique au rang de dogme constitutionnel, sachant parfaitement que la crise/prétexte du COVID, tout autant que les réticences du Sénat dont l'accord préalable pour toute consultation directe des électeurs est nécessaire, en empêcheront l'organisation d'ici la fin de son mandat. Peu lui importe puisqu'Il s'agit seulement de fournir un dérivatif commode aux cinglés verts et rouges de cette Convention citoyenne sur le climat mise en place par lui et à laquelle il avait imprudemment promis que ses conclusions seraient reprises "sans filtre" par l'Exécutif.
 
Au demeurant les Francais, accablés par les contraintes imposées par la dictature sanitaire,  confrontés à une crise économique et sociale qui s'annonce dévastatrice, angoissés par la montée de l'ensauvagement du pays et conscients, même s'ils la subissent passivement, de la submersion  migratoire, se foutent totalement d'être consultés. Ni sur ce sujet ni même sur un autre.
 
Ce qu'ils attendent c'est un État fort qui les gouverne, les protège et leur indique la voie nationale. 

13:21 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 10 décembre 2020

Hommage à Jacques Perret.

derty.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Le 10 décembre 1992 disparaissait un très grand écrivain Français.
 
Jacques Perret qui, toute sa vie, fut un grand combattant national, royaliste et bien sûr catholique, manqua de quelques voix le prix Goncourt 1947 pour "Le caporal épinglé" (adapté par la suite au cinéma par Jean Renoir avec Jean-Piere Cassel dans le rôle-titre) mais fut récompensé quatre ans plus tard  par l'Interallié pour "Bande à part", récit de son engagement dans les maquis de l'ORA, et reçut par deux fois le prix de l'Académie (1978 et 1984).
 
Persécuté par le régime gaulliste pour son engagement en faveur de l'Algérie française et des volontaires de l'OAS parmi lesquels  son fils sévèrement condamné, Jacques Perret fut déchu de ses droits civiques. Par la suite, beaucoup, parmi les nôtres, se souviennent de ses prises de position inlassables pour le respect de la France française. Beaucoup n'ont pas oublié non plus ses tribunes de défense des militants du GUD poursuivis en 1977 devant les tribunaux.
 
Il faut lire Jacques Perret. Si honneur et talent avaient eu encore un sens à la fin du vingtième siècle, il aurait bien évidemment été reçu à l'Académie française.
 
 Il faut se souvenir aussi de celui qui dans les années 1980 écrivait : "Le royaliste est un anarchiste éclairé comme le catholique est un homme libre. Il aspire à l’exercice d’une liberté chérie sous la protection de quelques vérités admises pour absolues".
 

2017 06 CH H D ELLOY 1.jpg

Le commander : cliquez ici

14:06 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 09 décembre 2020

La vraie loi contre le séparatisme serait la loi "Immigration zéro".

kjhgfd.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Présenté en Conseil des ministres ce mercredi 9 décembre, journée nationale de célébration de la laïcité, le projet de loi "confortant les principes républicains", anciennement intitulé fort piteusement "loi sur le séparatisme" pour ne pas stigmatiser l'islam — ce qui semblait encore trop agressif et devait donc être rebaptisé — est la énième tentative de régulation d'un culte venu d'ailleurs dont l'application relève tout autant de la politique que de la religion.
 
Comme toutes celles qui les ont précédées, les mesures contenues dans ce projet resteront bien sûr lettres mortes pour ce qui concerne leur supposé objet premier: la volonté de lutter pcontre les formes les plus radicales de la présence musulmane en France, telle que plus ou moins affichée par le gouvernement sous la pression émotive de l'opinion publique au lendemain de tueries djihadistes. Elle aura, en revanche trois effets pervers: l'institutionnalisation de l'islam sur notre territoire au sein de la République, sa banalisation, et un effet ricochet sur l'ensemble des Français.
 
Institutionnalisation puisque le but recherché depuis trente ans par tous les ministres de l'Intérieur — Joxe, Chevènement, Sarkozy et tous les autres — reste le même : créer les conditions de l'organisation d'un fumeux "islam des lumières" sans voir qu'il ne pourrait être autre chose que le paravent légal de l'islam des ténèbres.
 
Banalisation des règles, principes et coutumes inhérentes à une communauté dont les pratiques et les habitudes impactent déjà fortement le mode de vie des Français, banalisation opérée selon la technique du "prestidigitateur chinois" qui consiste à substituer un objet à un autre en habitant petit a petit l'oeil à sa disparition.
 
Effet ricochet enfin par l'application de plusieurs dispositions de la loi à l'ensemble des Français dans une méthode de généralisation punitive. Ainsi l'article 18 rendra quasiment impossible l'enseignement "à la maison" et l'article 20 permettra une lutte accrue contre les "contenus haineux sur internet" dont on devine l'usage qui en sera fait contre les libertés d'expression françaises.
 
Étant de ceux qui portent un regard dubitatif sur les vertus de la laïcité, nous respectons le droit de chacun à sa foi et ne doutons pas de l'existence d'une spiritualité musulmane telle qu'incarnée par exemple dans le soufisme. 
 
Une spiritualité qui selon nous a vocation à s'exercer seulement sur les terres où elle est née.
 
Contre le séparatisme, il existe donc bien des lois à promulguer. Elles sont au nombre de deux: loi "immigration zéro"; loi "remigration générale".
 

2017 06 CH H D ELLOY 1.jpg

Le commander : cliquez ici

11:03 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 07 décembre 2020

Bienvenue en France au Président Al Sissi !

xdf.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Contrepoids utile à l'influence saoudienne, ennemi juré des Frères musulmans, adversaire résolu de l'offensive néo-ottomane d'Erdogan, le Président égyptien dont le rôle régional - en particulier en Lybie - et le rôle équilibrant au sein du monde sunnite sont de plus en plus essentiels, sera reçu ce lundi par Emmanuel Macron à l'Elysée.
 
Une occasion de renforcer les liens entre nos deux pays. En espérant — sans trop y croire — que Macron ne cédera pas aux pressions de la gauche, de l'extrême gauche, des ONG et de la bien-pensance qui s'indignent de cette visite au nom d'une conception fumeuse des droits de l'homme dont nous nous foutons éperdument.
 
La France, dans ses relations internationales, n'a pas à entrer dans ces considérations.
 

2017 06 CH H D ELLOY 1.jpg

Le commander : cliquez ici

16:03 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 03 décembre 2020

Mort de Giscard. N'ayons pas la mémoire courte.

129115797_10220341356498618_2197694152169087676_o.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Quel que soit l'âge auquel elle survienne, la mort d'un homme est toujours regrettable.
 
Mais au milieu des hommages et des éloges, souvenons-nous que Valéry Giscard d'Estaing ce fut 48 ans d'ambitions effrénées suivis de 7 ans de "démocratie libérale avancée", de gestion dilettante de l'Etat, de laxisme judiciaire, de préférence économique de classe, de faiblesse et de dépendance  internationales, de lois "progressistes", d'engrenage immigrationniste, qui entraînèrent le début de la dislocation morale, sociétale, politique et identitaire française et ouvrirent tout naturellement la porte à l'arrivée au pouvoir d'un socialisme plus que radical. Ce fut ensuite 39 années de rancœur, d'introspection psychologique, de romans grotesques, 17 ans  de fauteuil de complaisance à l'Académie française et un long reste de vie marqué de tentatives ridicules de retour au sommet et d'engagement nationalicide européo-mondialiste.
 
De tout ce fatras subsiste quand même le haut fait de Kolwezi grâce au REP du colonel Erulin.
 
Sa disparition sera bien sûr pour nos compatriotes qui ont vécu les années 60 et 70 l'occasion de se laisser aller à une vague d'émotion et de nostalgie. N'ayons pour autant pas la mémoire courte
 
Dieu ait son âme. Mais sa mémoire est de celles que la France ne doit pas honorer.

09:30 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 01 décembre 2020

Le vrai scandale de la loi Sécurité globale.

ddffr.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
L'article 24 de la loi sur la sécurité globale est sans doute l'arbre mineur mis en avant pour cacher une forêt d'épines autrement plus redoutable.
 
La focalisation du débat sur les conditions de diffusion d'images de policiers ou gendarmes en opération -comme si la question du floutage de leur visage était la condition première de leur sécurité - si elle cause quelques désagréments au gouvernement de buses conduit momentanément par Jean Castex, présente en revanche l'immense avantage de dissimuler à l'opinion publique le vrai scandale de ce projet : la privatisation de la sécurité des Français.
 
Dans ses articles 7 à 19, la loi prévoit en effet de transférer en certaines circonstances toute une partie des prérogatives attribuées jusqu'à maintenant aux seules forces nationales de police et de gendarmerie.
 
C'est ainsi qu'un préfet pourra confier à des agents privés des missions de surveillance des personnes contre les actes de terrorisme, que le gouvernement sera habilité à prendre des ordonnances dans le domaine de la sécurité privée - autrement dit le droit de décider à sa guise de son emploi - et que les personnels privés pourront être armés. Personnels français ou pas puisqu'il suffira à un ressortissant européen non connu des services de police de pratiquer sans trop de difficultés la langue française pour être homologué, et que ceux venus d'ailleurs devront disposer d'un permis de séjour d'au moins cinq ans. Voilà qui est rassurant...
 
Cette loi renforcera également les pouvoirs des polices municipales sous le commandement des maires et de leurs adjoints. On se réjouit à l'avance de l'usage que pourront en faire les édiles rouges-verts et ceux sous influence islamogauchiste élus aux dernières Municipales.
 
La France avait jadis une police nationale et une gendarmerie habitées de tradition et de fidélité à l'État. Elle aura bientôt des officines de soudards et des agences de mercenaires.
 

2017 06 CH H D ELLOY 1.jpg

Le commander : cliquez ici

17:42 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 28 novembre 2020

Priorité de Matignon pendant la crise: la "politique de la ville".

mlkj.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Jean Castex, en visite dans le Val-d'Oise a annoncé la mise en œuvre d'un plan d'action "ambitieux" pour ce département sur le modèle de celui lancé pour la Seine Saint Denis par son prédécesseur, Édouard Philippe, le 31 octobre 2019.
 
Plan d'action pour la mise en valeur du patrimoine culturel, religieux et naturel du Val-d'Oise, berceau historique de la France mérovingienne puis capétienne ? Pour l'entretien de l'abbaye de Royaumont, la restauration de la multitude d'églises romanes ou de châteaux du moyen-âge et de la Renaissance ? Plan de sauvegarde de l'agriculture, des commerces et des services publics dans les zones rurales du 95 ? Plan d'aides aux petites et moyennes entreprises ? Plan d'action pour la sécurité et la tranquillité des braves gens menacés par l'ensauvagement ?
 
Non bien sûr! Plan d'action globale pour la "rénovation" urbaine, l'aménagement des territoires séparés de la France et l'investissement en faveur des populations venues d'ailleurs. Plan d'action en faveur de "cette belle jeunesse pleine d'avenir" selon les termes employés par la Présidente LR du Conseil départemental saluant l'annonce de Jean Castex.
 
Rappelons qu'il y a moins d'une semaine, le Premier ministre annonçait par ailleurs un crédit de un milliard supplémentaire pour les banlieues et souvenons-nous qu'en trente ans la politique de la ville - autrement dit la politique de préférence immigrée - a coûté plus de 100 milliards d'euros aux contribuables.
 

2017 06 CH H D ELLOY 1.jpg

Le commander : cliquez ici

11:53 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 27 novembre 2020

Au diable les ressentiments... Soutenons nos policiers.

AGA_6513.jpgL'avis de
Jean-François Touzé
 
Je comprends parfaitement la rancœur que peuvent parfois éprouver certains de nos amis qui, dans des manifestations - certains en étant hélas restés mutilés a vie - lors d'opérations militantes, ou soudain confronté à la bêtise bureaucratique et au zèle de fonctionnaires butés, ont eu à un moment où un autre maille à partir avec les forces de l'ordre.
 
Des gardes à vue j'en ai connues. Des manifs agitées, j'en ai vécues. Des collages qui finissaient au commissariat, je ne les ai plus comptés au bout d'un moment. Des coups reçus - y compris aux côtés de Jean-Marie Le Pen comme ce fut le cas en 1983 place du Palais Royal ou le Président eut la main brisée lors d'une charge de gendarmerie mobile, ou à la Préfecture de Nanterre un peu plus tard où les coups de crosses des mousquetons frappaient dur - je ne les ai pas oubliés.
 
Mais ça, c'est la vie militante. 
 
Pour autant face à la menace gauchiste, face à la barbarie, face à la pègre des cités, face à la racaille qui attend son heure, face à l'islamisme qui étend son aile noire, nous devons soutenir, défendre et encourager nos policiers et nos gendarmes qui, lorsque la droite nationale sera parvenue aux responsabilités, disposeront enfin des moyens matériels, logistiques et légaux qu'ils n'ont pas aujourd'hui, recevront les ordres qui, pour le moment, leur font défaut, seront libérés de la tétanie qui les empêchent d'intervenir comme il le faudrait dans les banlieues ou sur les scènes de pillages, et constitueront ainsi le rempart de l'Etat fort que nous saurons instituer.
 
Soutien donc à notre police.
 
Quand on voit qui les attaque, on ne peut évidemment qu'être avec eux.

18:40 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 25 novembre 2020

Wilson, Roosevelt, Kennedy, Bush, Obama... Biden. En attendant Harris : les États-Unis sont à nouveau prêts à guider le monde. 

ob_70e48b_limperialisme-americain-na-pas-de-li.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Avant même que ne se referme officiellement la parenthèse Trump, Joe Biden, Président élu par la fraude, les libéraux, l'extrême gauche et les médias, annonce clairement la couleur: la nouvelle administration fera du retour du leadership US, par la réaccentuation de la politique wilsonienne, une priorité pour les quatre ans qui viennent.
 
Non que Donald Trump ait faibli dans cette volonté qui est partie intégrante de la structure ADN des États Unis et transcende les clivages Républicains/Démocrates. Sa politique commerciale agressive vis à vis de l'Europe, son application rude des principes et des lois exorbitants qui permettent aux USA de poursuivre partout dans le monde et de condamner toute personne comme toute société susceptibles d'enfreindre les mesures unilatéralement décidées à Washington, n'ont pas été en rupture avec les méthodes de ses prédécesseurs.
 
Au moins Trump eut-il le bon goût de ne pas déclencher de guerre, vertu dont il convient de le créditer, et d'avoir su mettre au pas l'Etat profond qui est le contraire de l'Amérique profonde.
 
Pour Joe Biden, et bientôt sans doute pour Kamela Harris, ce sera donc "back to imperalism as usual".
 
Guider le monde cela signifie continuer et élargir l'entreprise d'écrasement des libertés nationales par le renforcement des agences internationales comme le FMI et le contrôle absolu des organisations multilatérales. C'est continuer et élargir le processus de domination des peuples européens entamé en 1919 et triomphant depuis 1945. C'est continuer et élargir l'offensive de destruction des identités et d'abord de l'identité européenne. Par tous les moyens : migratoires, sous-culturels, politiques, économiques, sociétaux et droitdel'hommistes.
 
Guider le monde c'est affaiblir les systèmes politiques encore indépendants et détruire les ressources de résistance immunitaire.
 
Guider le monde c'est jouer de toutes les rivalités locales pour demeurer seule citadelle stable au milieu des ruines 
 
Guider le monde c'est imposer la pax americana par la persuasion, par l'intimidation, par la ruse, par la brutalité, par la propagande armée de l'OTAN, par les attaques sous faux-pavillon, par les bombes éventuellement, par la financiarisation des économies et par la désindustrialisation de l'Europe.
 
Au moins, nous voilà prévenus.

 

15:34 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 23 novembre 2020

Du mercato politique au vrai rassemblement

nicolas-dupont-aignan-president-de-debout-la-france-et-marine-le-pen-lors-de-leur-conference-de-presse-commune-le-samedi-29-avril-2017_5871497.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
La liesse triomphale par laquelle les caciques du Rassemblement National célèbrent depuis 24 heures le ralliement du sémillant mais inconnu Jean-Philippe Tanguy qui vient de quitter Nicolas Dupont-Aignan pour soutenir Marine Le Pen et tenter de se faire élire aux Régionales, témoigne en creux des carences structurelles de ce  rassemblement d'apparence à l'ancéphalogramme militant plat qui peine à investir les 8 000 candidats nécessaires à une couverture satisfaisante du Pays pour les prochaines élections départementales. Le RN paye ainsi la politique d'exclusion et de table rase entreprise depuis douze ans, ses erreurs tactiques et ses errances stratégiques.
 
La montée des périls, l'accélération des menaces, la précision du processus totalitaire globaliste, imposent pourtant aux nationaux et nationalistes de faire front.
 
Une chose est sure. Si dynamique il doit y avoir pour gagner la Présidentielle – personnellement je la crois, cette fois possible car 2022 ne sera pas 2017 et je crois que nous serons alors devant l'échéance de la dernière chance — elle ne viendra en tout cas pas d'un seul parti peau-de-chagrin, désormais voiture-balai de tous les arrivistes espace clos du mercato politique de toutes les ambitions, mais d'un VRAI rassemblement des énergies populaires derrière une candidature de salut national en position de l'emporter. Quelle qu'elle soit.
 

18:19 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 18 novembre 2020

"Sécurité globale" ou totalitarisme en marche ?

20990857lpw-20990854-article-jpg_7494095.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Flouter le visage des policiers en opération comme le prévoit la loi "Sécurité globale"  ne me semble pas scandaleux.
 
Foutre au trou ou à la porte ceux qui les agressent et les menacent me semblerait préférable.
 
Guillotiner ceux qui les tuent serait le mieux.
 
Pour le reste, cette loi, défendue par Gérard Darmanin et débattue depuis ce mardi dans l'hémicycle de l'Assemblée nationale s'inscrit dans la longue liste des projets inutiles et hors sujet pour le rétablissement de l'ordre et de la sécurité des Français, mais ravageuse en termes de libertés publiques.
 
L'utilisation systématique des drones lors des manifestations et l'élargissement du recours à des polices privées dotées de compétences d'interventions légales importantes sont à cet égard particulièrement inquiétantes qui participent d'un processus global de contrôle de la population de type Ceausescu dont la dictature sanitaire n'est qu'un élément.

12:11 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 17 novembre 2020

Catholiques, commerçants... Même combat.

ddfg.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
L'interdiction pour les Français de participer au sacrifice de la messe ne sera pas levée avant la mi-décembre, voire avant Noël. Si, toutefois, Noël nous est autorisé par le Robespierre de l'Elysée et le père Combes de Matignon.
 
En prenant cette décision, Castex se livre à un abus de pouvoir et enfonce la France spirituelle dans une fosse d'obscurité. 
 
Faudra-t-il bientôt pour pouvoir dire la messe de toujours que nos prêtres, sous peine d'être déclarés réfractaires et de subir la persécution,  jurent leur fidélité à la Constitution civile et sanitaire de la République ? Du laïcisme anti-clérical a l'application de la terreur, n'oublions jamais qu'il n'y a qu'un pas.
 
Dans le même temps, le régime, en tuant nos commerces de tradition, livre une part entière de notre économie à Amazone.
 
Dans les deux cas, c'est l'identité française qui est visée.
 
Pour la république macronienne la messe est une cérémonie non-essentielle, une manière d'habitude désuète et, pour tout dire, un loisir du dimanche. Pour nous elle est une convocation du Seigneur. Le "Vous ferez ceci en mémoire de moi" n'est pas une invitation optionnelle.
 
Dans toutes les grandes villes de France des rassemblements s'organisent pour exiger le libre accès de tous à la messe, comme se multiplient les manifestations de commerçants pour la réouverture des magasins de proximité. Ces combats, s'ils ne sont pas de même nature, participent d'une même volonté : la préservation de ce que nous sommes.
 
S'il devait s'avérer que la résistance française au totalitarisme progressiste et à la dictature sanitaire trouvât sa source, son expression et sa force, d'une part dans la liberté fondamentale pour notre peuple de vivre sa foi, d'autre part dans la défense des commerçants et des petites entreprises, alors rien, non rien ne serait perdu pour notre pays.

10:18 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 05 novembre 2020

Renforcement des frontières ? Poudre aux yeux !

mmppooii.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
En annonçant ce jeudi, à l'occasion d'un déplacement de pure communication au col du Perthus, principal point de passage entre l'Espagne et la France, son intention de doubler les effectifs de sécurité chargés de la surveillance des frontières afin de lutter contre l'immigration clandestine, et de proposer aux instances européennes une "refonte de Schengen", Emmanuel Macron revêt à nouveau son habit préféré : celui du marchand de sable.
 
Où pourrait-il en effet trouver les 2 500 policiers, gendarmes et militaires nécessaires pour tenir sa promesse, alors que, débordés par la multiplication de leurs missions et par l'étendue de leurs tâches dans une France abandonnée à la racaille, aux égorgeurs et aux barbares, les forces de l'ordre ont déjà atteint l'extrême limite de leurs capacités ?
 
Combien de réunions à Bruxelles, Berlin, Rome, Madrid faudra-t-il organiser pour convaincre nos partenaires européens, tous immigrationnistes, d'entamer le début de commencement de l'ébauche d'une réflexion sur la circulation des migrants ?
 
Dans le même temps le Président de la République refuse toute idée de révision constitutionnelle qui permettrait de faire entrer une réelle législation de guerre contre le tsunami migratoire et l'offensive islamique dans notre arsenal judiciaire et administratif par la mise en œuvre de mesures d'exception.
 
La lutte contre l'islamisme et son courant porteur - l'immigration - exige une vision globale et une volonté brutale. Tout le reste est  poudre aux yeux et poussière d'aspartame.

17:02 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 03 novembre 2020

Attentat de Vienne: une offensive globale.

Unknown.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
L'attentat commis lundi soir à Vienne vient rappeler que les récentes attaques djihadistes contre des Français ne sont ni ponctuelles, ni circonstancielles, ni dirigées contre la laïcité ou la liberté d'expression mais relèvent d'une guerre globale que mène l'Islamisme depuis mille trois cents ans contre notre civilisation et dont le terrorisme ne constitue qu'un des moyens d'action.
 
En frappant au coeur de la capitale autrichienne les tueurs ont visé un haut lieu symbolique de la résistance européenne et chrétienne marqué par deux tentatives ottomanes de s'en emparer. 
 
Mais c'est bien notre continent tout entier qui est la cible millénaire de leur entreprise de destruction et de mort.
 
L'Europe ne saurait vaincre le péril sans redressement moral, unité de combat et volonté vitale.
 
C'est l'esprit de Vienne 1529 et 1683 qu'il nous faut retrouver.

10:26 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 02 novembre 2020

Trump, stop ou encore ? ENCORE !

images.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
N'étant pas de ceux qui placent leurs espoirs sur des supports étrangers et se choisissent des modèles politiques ailleurs que sur le sol national et européen ou dans le souvenir exemplaire des grands hommes qui firent notre civilisation, je ne suis pas trumpien, pas plus que je ne suis poutinolâtre, même si je ne conçois pas l'avenir continental sans étroit partenariat avec la Russie.
 
Je souhaite pour autant ardemment la victoire ce mardi 3 novembre de Donald Trump et que lui soit donnée la possibilité d'accomplir un second mandat à la tête des États-Unis d'Amérique.
 
Non que je sous-estime le poids des invariants diplomatiques qui sont ceux de la Maison blanche et des puissants tropismes industrialo-militaires du Pentagone. Pour Washington, l'endiguement du "Heartland russe et la division de l'Europe seront toujours davantage qu'un choix et bien plus qu'une option, une ligne de conduite obligée, comme l'est tout autant l'exorbitant droit d'extraterritorialité qui permet à la justice américaine d'intervenir partout dans monde.
 
Pour autant - et puisque seule nous guide la recherche de notre intérêt national - nous n'ignorons pas que l'arrivée de Biden, vieil homme faible et sous influence, à la Présidence marquerait le renforcement de l'offensive atlantique en Europe de l'est, la réplique des années Obama-Clinton, le retour au premier plan du wilsonnisme le plus effréné, et celui de la funeste politique interventionniste anti-européenne de l'ancien conseiller à la sécurité de Jimmy Carter, Zbigniew Brzezinski, le tout étant aggravé par la pression des lobbies des droits de l'homme et des minorités auxquels le candidat démocrate soutenu par le gauchiste Sanders devrait son élection, lobbies qui ne manqueraient pas alors de réclamer avec force et vigueur leurs dividendes, non seulement dans les cinquante états de l'Union mais sur l'ensemble de la planète conçue de tout temps par les progressistes globalistes de Washington comme leur propriété. 
 
Trois autres raisons nous poussent à espérer la réélection de Trump. 
 
1- La victoire du Président sortant, marquant une défaite cuisante de l'établissement, serait un signal fort du retour au premier plan des "petits blancs" de l'Amérique profonde ce qui aurait, en ces temps obscurs, valeur de symbole et produirait une onde de choc salvatrice a travers le monde civilisé.
 
2- La victoire de Trump serait aussi celle des libertés populaires face au totalitarisme du politiquement correct.
 
3- Les occasions de nous réjouir devant un écran de télévision étant rares, le spectacle des mines déconfites, hagardes et livides des commentateurs "conformes" qui, depuis des mois avec un accroissement significatif ces derniers jours, se déchaînent et déversent leur haine dans une folie incantatoire et hystérique, nous offrira un moment de joie et de satisfaction intenses.
 
Le slogan "America great again", on l'aura compris, n'est pas dans notre propos. Mais  l'écroulement de l'administration multilatéraliste, wilsonnienne et bien-pensante de Washington par la victoire de Trump, serait un signal et une chance pour notre Europe.

10:36 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 01 novembre 2020

Magasins d'Etat.

Unknown.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Interdire la vente de livres, de disques, de jouets, de bijoux, de maroquinerie dans les grandes surfaces, comme se prépare manifestement à le faire le gouvernement à quelques semaines de Noël, n'est pas une mesure d'équité  mais une punition de plus pour les Français déjà privés de leurs commerces de proximité.
 
Incapable de justifier leurs décisions iniques de fermeture des commerces "non essentiels", Macron et Castex préfèrent niveler par le bas et renforcer la chappe de plomb. Au lieu de rouvrir les boutiques, le pouvoir choisit la fuite en avant et renforce par la même occasion son verrouilage.
 
Le resserrement, par ailleurs, des "jauges d'entrée" dans les supermarchés, créera inévitablement les conditions de files d'attente interminables et contraires aux impératifs sanitaires.
 
Voici venu le temps des magasins d'Etat. Ne manquent plus que les tickets de rationnemements et les bons d'achats.
 
Petit à petit, la France glisse dans l'obscurité soviétique. Masques en plus.

23:09 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DU CALME !

images.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Depuis quelques jours, en réaction aux attaques islamistes qui ensanglantent la France, les réseaux sociaux sont envahis de messages explicites appelant à la riposte tandis qu'un certain nombre d'établissements musulmans font l'objet de menaces. 
 
Ces initiatives sont stupides, ineptes, nuisibles et ne servent que le Système qui les utilisera pour se dédouaner de toute islamophobie.
 
Manipulés ou pas, les crétins, irresponsables et sous-zombies au front bas qui croient malin, dans le contexte de fatwa lancée contre la France par les djihadistes, de s'en prendre - même virtuellement - à des mosquées, de rouler des mécaniques et de multiplier les provocations, jouent clairement contre notre camp et contre l'intérêt national.
 
Que chacun garde son calme et se mobilise dans le militantisme du combat partisan - et seulement dans celui là - pour renforcer l'ensemble du mouvement national et permettre au plus vite l'accession aux responsabilités du pouvoir, seule manière de mettre en œuvre les dispositions d'Etat - mesures d'exception et de guerre - susceptibles d'éradiquer l'islamisme, d'inverser l'immigration et d'assurer le salut de la Patrie.
 
Les solutions sont politiques et seulement politiques. Il faut que cela soit clair pour tout le monde.
 

10:16 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 29 octobre 2020

Basilique Notre-Dame de Nice : Toussaint rouge.

123094389_10214892660149510_4899003949292126666_n.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
En choisissant de s'attaquer à des fidèles de la basilique Notre-Dame de Nice, l'egorgeur islamiste tunisien ne s'est pas trompé de cible.
 
Notre foi, nos racines, notre civilisation sont bien au coeur de cette guerre de religion initiée il y a mille trois cents ans et cette nouvelle Toussaint rouge en est la preuve.
 
Cela n'a pas empêché le Premier ministre, Jean Castex, de déclarer que ce qui était attaqué, c'était "la liberté de culte et de conscience" dans une vision relativiste et laïciste de la réalité.
 
Non, bougre de sous minuscule  contremaître de Macron! Ce ne sont pas je ne sais quelles libertés de culte et de conscience non identifiés et en suspension atmosphérique qui sont attaquées.
 
Même si ces carnages touchent indifféremment "celui qui croyait au Ciel et celui qui n'y croyait pas" pour reprendre les vers célèbres d'un homme qui fut notre ennemi mais qui avait bien du talent, ce que visent les tueurs islamiques c'est la France dans ses composantes fondamentales, charnelles, nationales et spirituelles. Autrement dit la France européenne et chrétienne, ce qui devrait relever d'un double pléonasme.
 
Il est des temps où, comme jadis dans les tranchées d'une guerre fratricide, l'union sacrée doit permettre l'unité vraie - c'est à dire celle qui se fait dans le combat. Ce combat vital contre la submersion migratoire et contre l'islamisme, les tenants du regime ne le mèneront jamais comme il conviendrait de le faire. Avec force et brutalite. 
 
Il faut donc au plus vite les exclure de toutes les manettes de direction du pays. 
 
Mais nos compatriotes sont-ils encore capables de ce sursaut qui caractérise les peuples vivants pour porter enfin au pouvoir les forces de la vie nationale ?
 
La question est posée qui devra trouver une réponse dans les deux ans qui viennent.
 
Mais existe-t-il toujours un peuple français ?

23:58 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Trou noir !

WCC2247KUV3QBHRESKGNE3RYNM.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
L'homme qui assurait le 14 juillet dernier qu'en cas de seconde vague de la COVID-19, "nous serions prêts," vient donc d'annoncer un nouveau cadenassage général de la France et la mise sous écrou des Français pour au moins cinq semaines.
 
Notre peuple va donc payer, une fois de plus, l'incurie d'un régime incapable de prévoir, d'anticiper, d'organiser, de fixer une ligne claire en matière sanitaire comme dans les questions migratoires, économiques, sociales, sécuritaires ou géo-politiques.
 
La gestion erratique de cette crise, faite d'évaluations au doigt mouillé et de décisions prises à pile ou face conduit à un reconfinement punitif des Français annonciateur d'une catastrophe économique sans précédent.
 
La responsabilité de ce trou noir dans lequel glisse la France n'incombe, certes pas, au seul exécutif présent. Tous les gouvernements de droite comme de gauche qui, en quatre décennies ont fait de notre pays un bateau ivre battu à tous les vents de l'adversité sont coupables.
 
D'autres crises vont venir. D'autres tempêtes vont souffler auxquelles ces gens ne sauront pas plus faire face demain qu'ils ne ne le savent aujourd'hui.
 
En Italie et dans un certain nombre d'autres pays voisins, des manifestations plus ou moins spontanées font valoir le droit des peuples à leurs libertés. Tout en comprenant et en appréciant à leur juste valeur ces initiatives courageuses et fières, je n'en souhaite pas, pour ma part, la reproduction en France où la mobilisation resterait marginale et où, compte tenu de la poudrière des cités et du poids de l'extrême gauche, la situation deviendrait vite ingérable et serait, une fois de plus, récupérée par d'autres forces que les nôtres.
 
La  chappe de plomb qui va se refermer sur nous pour de longues semaines est inévitable. Profitons-en pour réfléchir à l'avenir, — un avenir que je ne conçois pas autrement que proche — dans la pleine conscience de notre responsabilité politique, et avec la volonté de  l'élaboration d'une stratégie nationale synergique  de reconquête de l'État. 
 
Il appartient aux forces politiques encore vives de notre nation, en dépassant le stade des cloisonnements, des inimitiés, des regrets et des rancœurs aussi légitimes  soient-elles, de s'unir enfin, pour faire mentir le théorème de la physique quantique qui veut que les trous noirs ne rejettent jamais la matière qu'ils absorbent.
 
Cette union sans exclusive suppose une bonne volonté commune et partagée mais n'implique ni ralliement ni reniement. Elle devra se faire dans la perspective de la Présidentielle de 2023, autour d'une candidature de salut public assumée, au delà des vieilles structures agonisantes ou usées, afin de nous débarrasser de ce totalitarisme progressiste qu'est le macronnisme et de ralentir les tendances centrifuges qui concourent dans une accélération redoutable des périls, à la dissolution française. En gagnant ainsi du temps, nous rendrons possible dans une seconde phase l'émergence d'une vraie  solution nationale.
 
Avant qu'il ne soit, cette fois, vraiment trop tard.

00:04 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 27 octobre 2020

Non... Jamais Charlie !

SN HS 4 copie.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Un peu plus deux semaines après la décapitation de Samuel Paty par un fou d'Allah tchétchène qui aurait tout aussi bien être pakistanais, algérien, malien ou... Français au regard de notre droit du sol scélérat, et au moment où l'intelligentsia défend l'idée que les dessins de Charles Hebdo devraient être montrés à nos enfants dans le cadre d'une éducation civique qui, il est vrai, se réduit depuis longtemps aux seuls droits de l'homme, il convient de s'élever à la fois contre cette systématisation de la doxa libertaire et contre le lavage de cerveau que subissent les écoliers dès leur plus jeune âge.
 
Faire des dessinateurs et écrivaillons d'un journal qui, depuis sa création n'a cessé d'œuvrer contre tous les fondamentaux de notre nation — ses institutions, son armée, ses principes, ses valeurs, ses racines chrétiennes, ses héros a la gloire immarcescible — des maîtres et des icônes des libertés nationales c'est entériner, couronner même, la réussite du grand plan d'inversion de toute chose.
 
Moches, pas drôles, vulgaires, ringardes et inutilement insultantes, les caricatures de Charlie n'ont strictement rien a faire dans nos écoles qui doivent être le lieu de l'instruction, du savoir et du respect. Tout le contraire de ce que prônent les post-gauchistes de cet hebdomadaire qui exige pour lui la liberté d'expression mais combat depuis toujours les vraies libertés francaises. Nous, nationaux français, nous n'avons que mépris et hostilité pour ces scribouillards anarchistes et irresponsables. Le fait qu'ils aient été les malheureuses victimes en 2015 de la guerre de conquête de plus de mille ans qui nous est faite ne change rien à ce jugement.
 
Ce n'est pas par la provocation que l'on écrasera l'offensive islamique mais par une riposte d'Etat globale contre cette idéologie des ténèbres, ceux qui la servent et ceux qui s'en servent, menée avec dureté, brutalité et force, accompagnée de mesures de guerre et de lois d'exception dérogatoires aux principes du droit commun ainsi que par l'arrêt total de l'immigration et l'expulsion de toux ceux qui devront l'être.

22:06 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 23 octobre 2020

Octobre1956/ octobre 2020. D'une chappe de plomb, l'autre.

12090-c-1230x680-2.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
23 octobre 1956, Budapest... Début de l'insurrection contre le régime communiste supervisé d'une main de fer par l'URSS.
 
Douze jours plus tard les chars soviétiques viendront noyer la révolte dans le sang. Tous les mouvements nationalistes d'Europe marqueront alors activement leur solidarité militante avec les patriotes Hongrois. L'attaque du siège du PCF, carrefour de Châteaudun à Paris,  le 7 novembre à l'issue d'une manifestation qui regroupait sur les Champs Elysées plus de 40 000 personnes habitées par la haine de la folie marxiste-léniniste, attaque menée par les militants de Jeune Nation, les étudiants nationalistes et les anciens d'Indochine reste dans toutes les mémoires de notre camp et fut à l'origine, comme la chute de Dien Bien Phu, de l'engagement national de toute un génération de coeurs purs.
 
La Hongrie, hélas, restera soumise pour plus de trente ans encore au joug communiste, mais son honneur était sauf.
 
Pour leurs libertés, leur indépendance, leur identité et contre la servitude et la domination étrangère, les grands peuples un jour ou l'autre se réveillent et descendent dans la rue. 
 
Les Français furent un grand peuple. Le sont-ils encore? Il ne reste plus beaucoup de temps pour le savoir et en faire la  démonstration. 
 
La Chappe de plomb du totalitarisme progressiste, financier, immigrationniste et globaliste d'aujourd'hui est pourtant aussi pesante que celle du communiste d'hier.
 
NDLR SN : sur l'insurrection de Budapest, lire les deux volumes de David Irving publiés aux Bouquins de Synthèse nationale

Diapositive1 copie 2.jpg

Pour les commander cliquez ici

11:00 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 20 octobre 2020

Du robinet d'eau tiède à la dissolution du régime.

eknmgkpwkaeih-p.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Détail de l'histoire sanglante de la guerre de conquête islamiste menée depuis treize siècles contre l'Occident, l'Europe et la chrétienté, la décapitation de Samuel Paty a permis la réouverture depuis quatre jour du robinet d'eau tiède de la sensiblerie populaire, du laïcisme militant et de la forfanterie gouvernementale.
 
Sensiblerie populaire avec ses rassemblements pleurnichards, ses litanies profanes, ses bouquets floraux, ses bougies et ses peluches.
 
Laïcisme avec ses incantations archéo-républicaines à la mémoire de Jules Ferry ou du petit père Combes et l'affichage idéologique de la condition sacrée d'enseignant, les "je suis prof" ayant remplacé les "je suis Charlie".
 
Forfanterie gouvernementale avec les éternels "Nous ne tolèrerons pas", "La République ne permettra pas" "Ils ne passeront pas" accompagnés de mesures de circonstances et d'annonces d'apparence comme l'expulsion de quelques deux cents étrangers fichés "S" pour activisme pro-djihad (sur plus de quatre mille), annonce, par ailleurs déjà faite trois jours avant le meurtre et dont on peut s'attendre à ce qu'elle soit largement retoquée par les magistrats, ou encore la dissolution de quelques associations soudainement identifiées par la perspicacité du ministre de l'Intérieur comme "ennemies de la République".
 
Tout cela durera le temps que durent les paroles roses de la République. Jusqu'à la prochaine tuerie.
 
Pour nous qui, depuis des décennies, sonnons le tocsin, rien de nouveau sous la lune de Satan. Le Système qui a voulu l'immigration, laissé se développer au coeur même du Pays les foyers de contamination mortels — clusters des virus combinés du trafic de drogue et de la domination des imams — et encouragé le sapement systématique de tous les piliers de forces — moraux, institutionnels, identitaires et sécuritaires — de l'Etat ne peut évidemment pas être la base de leurs relèvements.
 
"Dissoudre les associations ennemies de la République" nous dit Darmanin qui ne va tout de même pas, la fermeté a ses limites, jusqu'à envisager celle de l'UOIF ni l'interdiction du salafisme et des Frères musulmans. Nous nous disons "Il faut dissoudre ce régime incapable et criminel".
 
Il y a urgence. Qu'on le veuille ou non, le moment de vérité approche. Nous n'avons plus droit ni à l'égarement des divisions ni à la procrastination ni à l'ossification des amertumes.

11:14 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 17 octobre 2020

"Faire bloc" ? Oui ! Contre le régime !

sssd.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
La décapitation à Conflans-Sainte-Honorine d'un professeur d'Histoire supplicié pour avoir cru aux principes républicains, s'inscrit dans la déjà longue théorie des martyrs français de la sauvagerie islamique.
 
Aussi abominable soit-il cet acte n'est qu'un épisode de la guerre plus que millénaire menée par les fous d'Allah contre l'Occident. Le pire est évidemment à venir. Le temps des émeutes généralisées accompagnées de massacres de masses est pour bientôt, en comparaison desquelles les tueries du Bataclan et des rues avoisinantes apparaîtront comme de simples prolégomènes.
 
Face à cette perspective sanglante, Macron a eu raison d'appeler vendredi soir les Français à "faire bloc". 
 
Faire bloc contre lui, faire bloc contre les lâches, les scélérats et les traîtres qui nous gouvernent, mais surtout faire bloc contre ce régime criminel qui, non content de cadenasser les libertés publiques et individuelles, abandonne son peuple à la submersion migratoire, à la domination de l'étranger et aux lames des égorgeurs.

10:27 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 15 octobre 2020

D'un couvre-feu, l'autre.

banlieue_pays_sipa.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Le couvre-feu imposé par Macron en Île-de-France et dans huit métropoles pour six semaines au moins vient s'ajouter à celui, permanent, que subissent des centaines de milliers de nos compatriotes, hommes et femmes, qui, dès la nuit tombée, n'osent plus s'aventurer hors de chez eux.
 
Il y a le totalitarisme démocratique appliqué à la gestion sanitaire qui, peu à peu a transformé les Français en ombres asservies, fait de nos commerces, de nos restaurants, de nos bars, de nos salles de sport, de nos théâtres, de nos cinémas, des cimetières et reduit nos petites et moyennes entreprises à la condition d'antichambres de Pôle emploi. 
 
Et puis y a le totalitarisme de la racaille qui fait de la France un coupe-gorge, une poudrière et un terrain de guerre.
 
Les braves gens qui bravaient encore les dangers de la nuit, désormais menacés d'amendes pouvant aller jusqu'à 1500 euros, s'enfermeront dans le confinement de leurs logis où ils ne pourront plus recevoir les leurs que dans les limites fixées par la Sécuritate sanitaire du génie du Touquet Macronescu.
 
La lie des cités, elle, continuera ses danses tribales, ses exactions, ses pillages, ses expériences pyrotechniques et ses trafics auxquelles aucune force de police n'est aujourd'hui en l'état de s'opposer.

16:04 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 13 octobre 2020

Un général n'a jamais fait le printemps.

Unknown.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Les grenouilles qui, frénétiquement, se cherchent un candidat-roi dans la perspective de 2022 et continuent, contre toute évidence, à espérer le trouver ailleurs que dans la sphère politique, en seront une fois de plus pour leurs frais. Je crains que ce ne soit pas la dernière.
 
Il suffit de lire l'entretien que vient d'accorder le général de Villiers au Figaro Vox pour comprendre qu'un superbe képi, un brevet para, de beaux commandements militaires, une carrière magnifique et de bonnes intentions ne font pas, malgré le respect que tout celà nous inspire, un chef de peuple.
 
Le combat politique quand il vise au plus haut, suppose un lent apprentissage, un processus militant et méditatif qui exige le temps long du mûrissement qu'aucun cours accéléré de rattrapage ne peut remplacer.
 
Quand l'ancien chef d'état-major des Armées parle à propos des cités de "nos jeunes", quand il multiplie les considérations consensuelles sur la cohésion nationale, quand il effleure avec peine les problèmes majeurs auxquels la France et la civilisation sont confrontées, on se dit que les beaux sentiments sont faits pour aider les hommes méritants à vivre le reste de leur vie dans la méditation et le silence mais surtout pas dans l'action.
 
De quoi Pierre de Villiers est il le nom ? De l'eau tiède.

16:51 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 08 octobre 2020

Pour ne plus envoyer nos policiers au suicide...

Coup-d-arret-a-la-prostitution-roumaine-dans-le-Val-d-Oise_largeur_445.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Les très graves blessures infligées avec leurs propres armes de service à deux policier à Herblay dans le Val-d'Oise témoignent de la désespérante faiblesse de nos forces de l'ordre face à la délinquance et l'ensauvagement. Elles sont les victimes directes des ordres criminels de modération donnés par le pouvoir qui leur interdit de mener à bien leurs missions et les mettent en situation de totale vulnérabilité.
 
Placer les policiers en première ligne face à la racaille en les menaçant dans cesse des plus graves sanctions en cas de "bavure", c'est les condamner à l'impuissance ou à la mort. Il faut réviser l'article L.435-1 du code de la sécurité en introduisant pour les policiers et gendarmes  la notion élargie de légitime défense et en leur permettant d'user de leurs armes à feu bien au delà des modalités très restrictives aujourd'hui permises par la loi.

16:44 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 07 octobre 2020

Avec l'accord de la France, le Mali céde aux islamistes

AQMI.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Entre 100 et 250 djihadistes viennent d'être remis en liberté par les autorités maliennes.
 
En échange de ces libérations, la junte militaire qui a pris le pouvoir à Bamako espère obtenir celles de Soumaïla Cissé, politicien enlevé par les islamistes et, accessoirement pour les nouveaux maîtres du Mali, de Sophie Pétronin, otage française détenue depuis 2016 par un groupe armé proche d'Al-Quaïda.
 
Contrairement à celui de monsieur Cissé qui ne nous concerne en rien, nous ne saurions être indifférents au sort de notre compatriote  même si nous regrettons que son sens de la compassion l'ai menée à se pencher sur la condition des démunis de Gao plutôt que sur la détresse des Français miséreux.
 
Pour autant, rien, jamais, sous aucune condition, ne peut justifier que des négociations soient entamées avec des terroristes. Rien ! Pas même la vie d'un otage. 
 
On ne discute pas avec les djihadistes, on n'entame pas avec eux des pourparlers, on ne cède pas à leur chantage. On  les extermine. Et dans une guerre, on ne les enferme pas. On les exécute. 
 
Dans ces conditions, la libération des tueurs islamistes emprisonnés au Mali qui n'a pu se faire sans le feu vert de Paris, est non seulement une faute politique et une lâcheté. Elle est une insulte à tous nos soldats tués au Sahel.

 

16:22 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 05 octobre 2020

Hommage de la Russie aux soldats français de Napoléon III tombés en Crimée.

XVMa7fb1986-064c-11eb-aed4-38036455b560.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
Magnifique geste d'amitié de la Russie qui, au cours d'une cérémonie religieuse et militaire à Sébastopol, a rendu les honneurs à 150 de nos soldats tombés pendant la guerre de Crimée, inhumés désormais dans la nécropole où reposent déjà 23 000 de leurs camarades parmi les 90 000 morts français de ce conflit.
 
Hymne russe, Marseillaise, drapeaux tricolores et drapeaux russes, cosaques de Crimée, prières orthodoxes et catholiques... Rien ne manquait a ce beau salut rendu, dans le respect de ceux qui se combattirent selon les lois de la guerre mais savent qu'ils appartiennent à une même civilisation. Hommage d'un grand peuple à ceux qui furent des adversaires d'un temps.
 
Rien ne manquait... Sauf la France. La République, figée dans son refus du retour de la péninsule de Crimée à sa patrie de toujours, avait refusé d'envoyer des représentants officiels.
 
Honneur et force d'un côté. Lâcheté et soumission de l'autre.

22:14 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bergoglio, agent de la contre-civilisation.

photo-fournie-par-les-services-de-presse-du-vatican-montrant-le-pape-francois-accomplissant-le-rituel-du-lavement-des-pieds-au-centre-d-accueil-pour-migrants-a-castelnuovo-di-porto-pres-de-rome-le-24-mars-2016_5570697.jpg

L'avis de Jean-François Touzé
 
L'imprégnation marxiste des murs du Vatican est ancienne et la pestilence des "fumées de Satan" n'a, certes pas, commencé à empoisonner le Saint-Siège en 2013 avec l'élection de Jorge Bergoglio. 
 
Depuis sept ans pourtant, la violence des attaques portées par ce dernier contre les éléments vitaux de l'édifice catholique, les principes et les valeurs qui encadrent la foi chrétienne et lui permettent de se perpétuer a été décuplée. 
 
Aujourd'hui, sans autre masque que celui d'un évêque de Rome faisant office de Pape, le mal se propage par la voix sombre, l'esprit ténébreux et l'action obscure d'un homme qui entend faire de l'Eglise le véhicule politique des forces du bouleversement.
 
Avec l'encyclique "Fratelli Tutti" "Tous frères", François accentue son offensive contre la Tradition, l'ordre naturel et les socles millénaires de la civilisation.
 
Offensive contre les piliers de force de la morale chrétienne et contre les institutions spirituelles et laïques qui nous sont des armatures de vie... Offensive contre les opposants à l'œuvre de déconstruction générale en cours... Offensive contre les mouvements populaires de résistances occidentales.
 
Jamais Bergoglio ne sera aller aussi loin dans sa condamnation des principes nationaux sur lesquels repose tant bien que mal l'ordre civilisationnel. L'objet de ce texte est clair. Il est direct. Il a, dans l'esprit de François, valeur impérative. Il s'agit d'organiser la décomposition européenne par la submersion migratoire et l'avènement d'une nouvelle ère universelle.
 
Pour lui, "les limites et les frontières des États ne peuvent pas s’opposer à l’arrivée d’un migrant car il n’est pas un usurpateur. Personne ne peut être exclu, peu importe où il soit né puisque chaque pays est également celui de l’étranger. Il est donc important d’appliquer aux migrants arrivés depuis quelque temps et intégrés à la société le concept de citoyenneté et de renoncer à l’usage discriminatoire du terme minorités. Les migrants, si on les aide à s’intégrer, sont une bénédiction, une richesse, un don qui invitent une société à grandir".
 
Ainsi parle François, Pape du tohu-bohu.
 
Les catholiques encore loyaux à l'égard de la  Rome inversée qui règne en partie depuis Vatican II n'ont plus d'autres choix que d'entrer en résistance et de refuser de devenir les instruments de la fin de l'Occident. Faute de quoi, ils ne seront plus catholiques.

18:29 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |