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mercredi, 12 août 2020

Le vaccin et la haine.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'avenir dira si le vaccin russe contre le COVID-19 est efficace, fiable et performant.
 
Mais le scepticisme aussi automatique que dégoulinant de haine contre Poutine affiché par les scientifiques de mes fesses qui pullulent depuis six mois sur les plateaux de télévision et font la pluie et le beau temps dans les coulisses du pouvoir, le doute janséniste des éditorialistes politiques uniformément formatés par les écoles de propaganda-journalisme, le mépris goguenard de ces "consultants" venus d'on ne sait où pour le plaisir de "consulter" la courbe d'évolution hebdomadaire de leurs piges, est ignoble.
 
La détestation de ce grand pays résistant à l'ordre mondial autant que les pressions des laboratoires font que, par idéologie autant que par cupidité, le monde occidental et l'Europe, sont parfaitement capables d'inclure ce vaccin, même s'il s'avérait salvateur, dans la liste des produits interdits à l'importation dans le cadre des sanctions imposées à la Russie depuis sa légitime récupération de sa terre de Crimée.
 
Le Système en est là...

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lundi, 10 août 2020

Le chaos libanais.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A Beyrouth, des dizaines de milliers de Libanais, pour la plupart chrétiens, manifestent leur colère contre le régime féodalo-mafieux, construit sur la corruption et la mise en coupe du pays au nom d'intérêts privés et d'enjeux fixés par des puissances étrangères. Les manifestants parlent de révolution. Mais une révolution suppose l'existence d'un peuple et nous savons qu'il n'y a ni nation ni peuple libanais. 
 
Tout à la fois empli d'arrogance, lourd de tartarinades et consternant de naïveté, le déplacement guignolesque de Macron à Beyrouth en milieu de semaine, n'aura eu pour effet que de brouiller encore un peu plus les cartes en suscitant de faux espoirs et en feignant d'ouvrir des portes condamnées. 
 
Dans ces conditions, ceux qui, en France, soutiennent la pétition poignante et déchirante qui a déjà, malgré son caractère hélas aujourd'hui irréaliste, réuni plus de 50 000 signatures à Beyrouth, réclamant le rétablissement du mandat français sur le Liban, ne sont pas de vrais amis de ce pays ni des chrétiens qui en sont l'âme.
 
Aucun patriote français conscient de nos responsabilités nationales à l'égard de cette terre meurtrie qui nous est si chère, ne peut aujourd'hui souhaiter au Liban et encore moins à nos frères par la Croix le malheur supplémentaire que serait pour lui, dans l'état actuel de décrépitude dans lequel se meurt la France et de soumission au totalitarisme mondial dans laquelle elle se vautre, une intervention suivie d'une gestion directe sous la tutelle de Macron le petit, dans le cadre imposé du grand pandémonium onusien.
 
Demain, en revanche, quand la France sera redevenue la France, c'est-à-dire quand la droite nationale assumera enfin la charge du pouvoir, nous devrons en urgence et par les moyens les plus forts, renouer avec ce qui est, depuis Saint Louis et la charte de Saint-Jean-d'Acre, une mission et une promesse:
 
" Pour nous et nos successeurs sur le trône de France, nous promettons de vous donner, à vous et à tout votre peuple maronite, notre protection spéciale, comme nous la donnons aux Français eux-mêmes, et nous nous emploierons en toute circonstance à tout ce qui contribuera à votre prospérité ". 
 
En attendant, le Hezbollah qui, pour le moment fait profil bas mais ne doute pas que le chaos lui profitera, continuera d'étendre sa main mise politique et militaire sur le pays, les organisations internationales profiteront des programmes d'aide humanitaire pour conforter leurs plans, des dizaines de milliers de Libanais seront contraints à l'exil, tandis que loin des soupes populaires sur lesquelles devront compter ceux qui resteront, les milliardaires de la diaspora continueront leur vie de nababs.

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samedi, 08 août 2020

Gouvernement des juges et des notables... Gouvernement contre le peuple.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le Conseil constitutionnel, au nom des sacro-saintes "libertés publiques" vient d'invalider la loi imposant un suivi des djihadistes à leur sortie de prison.
 
Cette loi, par la faiblesse de son contenu et la timidité des mesures qu'elle instaurait - bracelet électronique, obligation de pointer chaque semaine dans un commissariat ou une gendarmerie, devoir de signalement d'un changement d'emploi ou de résidence, sans oublier l'incontournable, dérisoire et toujours hilarant "suivi psychologique en vue de déradicalisation" - relevait, certes, de la cautère sur une jambe de bois (le traitement clinique le plus efficace étant, selon nous, l'expulsion pour les étrangers et pour les binationaux après déchéance de la nationalité,  et peine de mort dans les cas les plus graves).
 
Cette loi tirée au robinet d'eau tiède du politiquement correct et de "l'arc de raison", pauvre loi d'un régime défaillant et criminel par laisser-faire, se résumait, en quelque sorte et pour user d'une expression à la mode, à une série de gestes barrières à minima pour la protection des Français. C'était déjà trop.
 
Les réformes constitutionnelles successives ont donné à ceux que l'on nomme bien à tort "les sages du Palais royal", sorte d'Ehpad pour vieux politiciens et hauts fonctionnaires en fin de vie publique, une emprise exorbitante sur la conduite des affaires de l'État. La faute en incombe à la lâcheté et à l'esprit d'abandon des Présidents successifs de cette Cinquième République moisie. 
 
Gouvernement des juges, gouvernement des notables, des conseils, des comités, des conventions... Gouvernement des lobbies, gouvernement des convents. En dehors du peuple et contre le peuple.
 
l'État national remettra demain les choses en ordre. 

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jeudi, 06 août 2020

Macron était à Beyrouth. Pas la France.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A Beyrouth où il s'est rendu ce jeudi - non comme le Président d'une Nation historiquement intéressée à la survie du Liban, stratégiquement et spirituellement liée à lui, et protectrice, depuis presque huit siècles, des chrétiens qui le peuple et en sont l'âme, mais comme une sorte d'agent spécial dépêché en urgence par les organisations internationales - Emmanuel Macron a invité les Libanais à une réforme politique profonde "avec les responsables en place".
 
Les responsables en place sont ceux qui ont ruiné le pays et l'ont conduit, une fois de plus, au bord du gouffre.
 
Les responsables en place sont ces féodaux corrompus et dépravés qui tiennent le Liban comme un vautour tien sa proie.
 
Les responsables en place sont tous, y compris et surtout le Président Aoun, maronite traître a son camp, des marionnettes du Hezbollah, force politique chiite a vocation de parti unique, secte apocalyptique, armée d'Allah et de l'Imam caché, financée et entièrement contrôlée par l'Iran, dont l'engagement auprès du régime Syrien dans sa juste résistance à l'islamisme sunnite et au nouvel ordre mondial ne peut faire oublier nos 58 paras morts au Drakkar. Les ennemis de nos ennemis ne sont pas toujours nos amis. Et le Hezbollah fait peser sur le Liban chrétien une menace mortelle.
 
La foule en colère qui, dans les rues du quartier chrétien de Gemmaysé dévasté par les explosions et ravagé par la crise économique, a fustigé Aoun et interpellé Macron aux cris de "Aidez-nous ! Révolution !", et "le peuple veut la chute du régime", devra attendre que la France fasse elle même sa révolution nationale pour lui venir en aide.
 
En espérant qu'il ne sera pas trop tard.

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mercredi, 05 août 2020

Beyrouth : solidarité d'Etat avec le Liban, mais solidarité nationaliste avec les seuls Chrétiens.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La double explosion qui vient de tuer et de blesser gravement des centaines de libanais à Beyrouth et dont la cause n'est pas établie est un drame humain auquel aucun français ne peut rester insensible. Touché de plein fouet par la crise sanitaire et plus que jamais confronté aux antagonismes religieux et politiques, le Liban est, une nouvelle fois, cruellement meurtri. Notre solidarité d'Etat va à ce pays qui nous est cher et où l'intérêt de la France a toujours d'être présente.
 
Pour autant, de notre point de vue national et civilisationnel, il nous faut rappeler que, dans les faits, dans l'histoire, et plus encore selon notre coeur, il n'existe pas de "peuple libanais".
 
Il y a nos frères chrétiens maronites ou syriaques du Liban, théoriquement sous la protection de la France depuis Saint Louis et la charte signée à Saint-Jean-d'Acre le 24 mai 1250.
 
Il y a nos camarades des Phalanges chrétiennes que Bachir Gemayel marqua à jamais et au sein desquelles combattirent de nombreux volontaires nationalistes français dans les années 70, ce parti Kataëb dont le secrétaire général vient de périr dans les flammes et le souffle de la déflagration.
 
Et puis, il y a les autres... 

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vendredi, 31 juillet 2020

Effondrement économique, tsunami social... Mais l'heure des comptes viendra bientôt.

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Jean-François Touzé
 
Chute libre du PIB européen (12,1 % au deuxième trimestre 2020) ; effondrement du PIB français (13,8 %). Dans le même temps, l'inflation gagne du terrain dans notre pays (+ 0,86 % en juillet). Des dizaines de milliers d'entreprises et de commerces vont fermer ; des millions de chômeurs ne tarderont pas à venir grossir le flux des marginalisés et des miséreux. 
 
La responsabilité de ce drame économique et bientôt social n'est pas à chercher dans un virus de hasard.
 
La responsabilité incombe sans qu'aucun pardon populaire ne puisse leur être accordé, aux gouvernants de façade et de finance qui ont cloîtré les populations pendant deux mois et stopper toute vie économique.
 
La responsabilité incombe à un Système qui, obsédé par sa survie et celle des intérêts qu'il représente et structure, non seulement n'a pas su prévoir, mais, en forçant à des délocalisations massives, en détruisant les industries nationales du vieux continent, en le réduisant à une terre de services, de tourisme et éventuellement de luxe conformément à un vaste plan de répartition mondiale et globaliste, a placé nos Nations et nos peuples en situation de vulnérabilité létale.
 
En France, la responsabilité incombe plus particulièrement aux gouvernements successifs du régime qui ont laissé se dégrader nos services hospitaliers, faisant des personnels soignants un lumpenprolétariat taillable et corvéable à merci, tout en tiersmondisant nos infrastructures médicales.
 
Sans épidémie, nul doute que la crise serait quand même venue tôt ou tard. La technostructure, elle, tente de se servir du coronavirus pour faire oublier ses fautes d'hier, devenues les crimes d'aujourd'hui, et de vastes plans de relance et de continuité seront mis en oeuvre, non pour venir en aide aux entreprises et aux classes éprouvées, mais pour sauver l'essentiel des principes qu'impose le totalitarisme spéculatif qui veut continuer de régir le monde.
 
Cette fois, il n'y parviendront pas. L'heure des comptes approche. A nous de faire en sorte que l'apurement de ceux-ci ne se soldent pas par une autre dictature, soit celle du marxisme-léninisme repeint en progressisme radical, vert rouge et arc-en-ciel, soit celle de l'islamisme qui, lui aussi, guette son moment.
 
La mémoire des peuples, si elle reste longtemps enfouie, finit toujours pas resurgir. Leur colère aussi. Caevant Consules !

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jeudi, 30 juillet 2020

Déferlante migratoire : c'est reparti !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Alors que le futur Calife Erdogan menace de rouvrir les digues à un nouveau déferlement migratoire vers l'Europe, les arrivées massives ont repris en Italie et s'accroissent de jour en jour. Profitant d'une moindre vigilance italienne, due à la crise sanitaire et à l'éviction de Matteo Salvini du ministère de l'Intérieur l'automne dernier, 11 000 clandestins essentiellement venus de Libye et de Tunisie ont ainsi traversé la Méditerranée et débarqué à Lampedusa la semaine dernière. Le flux se poursuit et s'amplifie au rythme minimum de 300 illégaux par jour.
 
Il n'est pas encore trop tard pour endiguer, puis inverser cet envahissement.
 
Chacun de nous est face a ses responsabilités. Personne de notre camp n'a le droit de céder au découragement et de baisser les bras. Les solutions sont politiques. Politiques toujours. Politiques seulement. Le reste relève du rêve et de l'illusion. Nous n'avons plus le temps pour la métapolitique, les réflexions stratosphériques, les stratégies sur 10 ans... Plus le temps non plus des querelles ni des polémiques. Il y a urgence !

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mardi, 28 juillet 2020

Loi éthique, loi de la barbarie.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Ce lundi 27 juillet, la loi éthique, mise entre parenthèses pendant plusieurs mois du fait de la crise sanitaire, revient à l'Assemblée nationale en seconde lecture.
 
Alors que le Sénat les avait supprimés, trois articles particulièrement scandaleux ont été réintroduits par les députés de la Commission spéciale chargée de la finalisation du projet.
 
1 - Le remboursement par la sécurité sociale de la procréation assistée pour toutes, femmes seules et couples homosexuelles compris même si la démonstration de leur infertilité naturelle n'a pas été faite. Le coût pour les contribuables en sera très important. Le coût moral pour la Nation, incalculable.
 
2 - L'autorisation de la PMA post-mortem, ignominie éthique née dans on ne sait quel arcane ténébreuse.
 
3 - La privatisation possible du stockage des gamètes, fruit de l'action intense de lobbying des laboratoires.
 
D'autres abominations se préparent qui, n'en doutons pas, surgiront du débat par la voie des amendements. Mais, au delà de ces articles qui ne sont que des points de détails d'un tout, c'est l'essence même de cette loi qui doit être combattue. Si la procréation assistée peut être un recours vitaliste pour un couple homme-femme qui ne peut avoir d'enfant, l'ordre naturel autant que l'exigence nationale et la conscience supérieure de ce qu'est l'humanité vraie condamnent ces pratiques monstrueuses qui, après la banalisation de l'avortement, le mariage homosexuel, les manipulations génétiques sur l'embryon et la promotion de l'euthanasie, ouvrent la voie à un changement total de civilisation.
 
D'autant que se profile à l'horizon la GPA, cette infernale gestation pour autrui à laquelle n'ont pas renoncé les apprentis-sorciers du progressisme comme le montre l'amendement introduit en octobre par un député LREM qui en évoque la reconnaissance, sans pour le moment la faire figurer dans la loi.
 
Notre civilisation a, pour le moment encore mais plus pour très longtemps, le choix. Bientôt il sera trop tard. Ce choix, c'est celui de  la Vie, ou de la mort.

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samedi, 25 juillet 2020

Mission sur la mémoire ? Non ! Mission sur la repentance.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Emmanuel Macron vient de confier à l'historien militant Benjamin Stora une "mission sur la mémoire de la guerre d'Algérie".
 
En choisissant Stora le Président de la République dont on se souvient de la déclaration sur les "crimes contre l'humanité de la France en Algérie" a désigné celui qu'il considère, selon son coeur, comme "the right man at the right place" pour finaliser le processus de repentance déjà largement entamé par ses prédécesseurs, contrition exigée par Alger, imposée par le progressisme planétaire et réclamée chez nous par les tenants de l'humiliation nationale.
 
Rappelons que Benjamin Stora dont la dense bibliographie et les prises de positions anti-coloniales témoignent de sa proximité avec le régime d'Alger, fut, dès 1968, un militant particulièrement actif de l'Organisation communiste internationaliste (OCI), mouvement lénino-trotskiste dit lambertiste  particulièrement influent dont il fut permanent et dirigea l'appareil pendant dix ans de 1974 à 1984. Rappelons également que sa thèse de doctorat était consacrée à l'immigration algérienne en France et qu'il présida le Conseil d'orientation du musée de l'immigration jusqu'en 2019.
 
L'homme de la situation donc...
 
Benjamin Stora a été officiellement missionné par Emmanuel Macron. Il aurait tout aussi bien pu l'être par le Président Algérien Abdelmadjid Tebboune. Les choses auraient été plus claires.
 
Le jour venu, la France nationale rétablira dans sa vérité ce que fut l'œuvre française en Algérie, rendra hommage à ceux qui l'ont faite et ont du, un jour, se résigner au départ (la valise ou le cercueil) du fait de la trahison d'une République félone. Notre France retrouvée célébrera alors ceux qui se sont battus et ceux qui sont tombés pour l'Algérie française.

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vendredi, 24 juillet 2020

Soldat français tué au Mali : assez de sensiblerie.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Un hussard parachutiste tué au Mali. Quelles que soient les ambiguïtés stratégiques de l'engagement de nos troupes dans des combats marginaux, il est mort pour la France, puisque tombé au champ d'honneur sous l'étendard glorieux du RHP.
 
Pour autant il nous faut nous démarquer de la sensiblerie médiatique, de l'émotion factice du gouvernement et de la classe politique unanimement éplorée.
 
Pour un soldat, la mort au combat est une option consentie. Elle n'est un évènement tragique que pour ses proches, ses camarades, sa section, sa compagnie, son régiment.
 
Rappelons que le  22 août 1914 ce furent 27 000 de nos hommes qui tombèrent en 24 heures entre la frontière belge et la Lorraine. Autant que pendant les sept années de guerre d'Algérie.
 
La sensiblerie des hommages nationaux, en témoignant de notre faiblesse morale, affaiblit la portée de nos armes et la crainte qu'elles doivent inspirer.

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jeudi, 23 juillet 2020

La Turquie d'Erdogan est une menace: ouvrons les yeux de nos compatriotes.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Manœuvres d'intimidation contre une frégate française en Méditerranée, actes de piratages, incursion de ses bâtiments en mer Egée et survol par ses chasseurs F-16 des Iles helléniques nécessitant la mise en alerte de la flotte grecque... La marine turque multiplie les provocations et teste les capacités - et surtout la volonté -de résistance européennes.
 
Dans le même temps, la Turquie, méthodiquement, met en place un à un les éléments de la reconstruction de l'empire ottoman: économiques - coopération renforcée avec la Tunisie et de nombreux pays d'Afrique - religieux et communautaires - omniprésence dans les Balkans, menaces sur l'Arménie, transformation de Sainte Sophie en mosquée, messages explicites en direction du Hamas et, plus largement du monde arbo-musulman, visant à affirmer son leadership face a Israël (promesse d'Erdogan de "libérer" la mosquée Al Aqsa de Jérusalem) et plus globalement celui du monde sunnite - militaires - déploiement de ses forces en Syrie et en Libye (80 000 hommes équipés de chars Léopard et de drones de combat), livraison d'équipements et mise à disposition de cohortes de mercenaires aux rebelles islamistes - humains - présence de millions de ressortissants turcs étroitement encadrés par le pouvoir d'Ankara sur le sol européen, en Allemagne et en France principalement.
 
Le néo-sultan Erdogan, dans l'accomplissement de son projet, sait pouvoir compter sur trois armes potentiellement fatales à l'Europe : l'arme migratoire, par le contrôle des vannes de l'invasion que lui a impardonnablement accordé Angela Merkel en 2015, lui donnant ainsi les moyens d'un chantage permanent sur notre continent ; l'arme du gaz et des hydrocarbures dont il pourrait à tout moment verrouiller les approvisionnements ; son appartenance, enfin, à L'OTAN et la menace qu'il fait planer auprès de Washington d'un renversement d'alliances, ménageant à cette fin Vladimir Poutine et la Russie, malgré des intérêts divergents en Syrie, et adressant à la Chine des signaux convenus.
 
La Turquie n'est pas la seule menace qui pèse sur l'Europe. Elle en est une majeure.
 
La France doit se préparer. L'Europe doit se reprendre. Le conflit est possible. Il est même probable. Il sera froid ou il sera chaud. Tout dépendra de nos capacités de résistances et de contre-offensives.
 
Ne pas augmenter, malgré la crise, les budgets militaires nationaux - Francais en particulier - serait un crime contre la civilisation. Ne pas moderniser nos armées ni en renforcer la cohésion morale et opérationnelle serait une faute aux conséquences tragiques. Ne pas construire au plus vite une Europe de la Défense à partir des armées de chaque pays membres, serait un suicide.
 
Tout indique pourtant que c'est vers cet abîme que nous entraînent à grand pas nos gouvernants.
 
Il est urgent d'ouvrir les yeux de nos compatriotes. Une grande campagne sur les intentions de la Turquie et les menaces que fait peser Erdogan sur la paix européenne et la survie de notre civilisation s'impose. Réseaux sociaux, presse nationale, formations politiques de notre camp doivent s'atteler à cette tâche.

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mercredi, 22 juillet 2020

Pour un Conseil de Défense sécuritaire.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Emmanuel Macron réunira vendredi un énième Conseil de Défense afin d'étudier la mise en place de mesures supplémentaires en cas d'aggravation de la crise sanitaire, demain, après demain ou à la Saint Glinglin...
 
En revanche, pas de Conseil de Défense pour traiter en urgence de l'ensauvagement d'une France livrée à la violence de la racaille. Pas de Conseil de Défense pour prendre les mesures qui s'imposeraient pour enrayer la montée fulgurante de la barbarie qui ensanglante le pays. Pas de Conseil de Défense pour mettre au pas ceux qui crachent leur haine de la France et des Francais. Pas de Conseil de Défense pour en finir avec les trafics des maîtres allogènes des cités. Pas de Conseil de Défense pour extirper des caves des banlieues où elles sont entreposées les armes de guerre qui demain tueront les nôtres. Pas de Conseil de Défense pour préparer la riposte la plus sévère à l'explosion des banlieues qui approche. Pas de Conseil de Défense pour rétablir l'ordre public. Pas de Conseil de Défense pour définir les conditions d'un arrêt total de l'immigration et organiser le retour de ceux qui ne doivent plus rester sur notre territoire national.
 
Le coronavirus circule, c'est entendu... On le dit en tout cas. Mais le crime, la violence brute, la volonté de détruire, de brûler, de blesser et de tuer, galopent et se répandent dans les rues de nos villes et nos campagnes. Sans masques.

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mardi, 21 juillet 2020

Macron sur TF1 : cynisme, mensonge, tromperie et imposture.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Macron sur TF1 se félicite de ce qu'il prétend être un succès du sommet européen qui vient de s'achever à Bruxelles au prix d'un accord qui, grâce aux manœuvres de la Kaiserin Merkel qui fut la véritable marionnettiste des pays dits frugaux, acte le passage de l'Union dans le fédéralisme euro-mondialiste et place la France et les pays du sud sous le contrôle budgétaire, économique et social de la technostructure globaliste.
 
Nous l'écrivions dès vendredi dernier: l'emprunt contracté par l'UE auprès des marchés financiers devra par ailleurs, malgré le mythe en vogue de la perpétualité de la dette, être, un jour ou l'autre, remboursé. Il ne le sera pas seulement, comme l'affirme Macron, par un impôt européen sur les grandes entreprises internationales et sa charge conduira nécessairement la Commission à instituer une taxe européenne que devront payer les contribuables déjà confrontés par la crise à l'érosion - le mot risque d'être faible - de leur pouvoir d'achat.
 
Tout celà Macron le sait. Comme il sait que le couple franco-allemand n'existe plus. Comme il sait aussi, concernant les questions de sécurité, que son pouvoir s'arrête là où commencent le dogmatisme des droits de l'homme, les diktats du politiquement correct, la complaisance immigrationniste et le totalitarisme de la tolérance universelle. Ce qui ne l'a pas empêché, les yeux dans les yeux des téléspectateurs, franc comme un Cahuzac devant les deputés, d'assurer avec une fermeté inversement proportionnelle à son culot que serait appliquée la tolérance zéro. 
 
Cyniquement il fanfaronne, joue les demi-malins et, sciemment, trompe les Français.
 
A croire que ces lignes de Jules Barbey d'Aurevilly furent, par anticipation, présicence  et clairvoyance, tout exprès écrites pour lui : "Je suis convaincu que, pour certaines âmes, il y a le bonheur de l'imposture. Il y a une effroyable, mais enivrante félicité dans l'idée qu'on ment et qu'on trompe ; dans la pensée qu'on se sait seul soi-même, et qu'on joue à la société une comédie dont elle est la dupe, et dont on se rembourse les frais de mise en scène par toutes les voluptés du mépris".

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Macron a vendu la France en viager pour quelques dizaines de milliards d'Euros.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Après quatre jours de "négociations" pour la galerie, le plan de relance pour l'économie a donc été adopté au sommet européen de Bruxelles.
 
Macron s'en réjouit, met en scène sa prétendue détermination et célèbre le retour du couple franco-allemand.
 
En vérité cet accord acte la victoire du fédéralisme euro-mondialiste. La technostructure aura désormais les mains libres pour contrôler les budgets nationaux, imposer ses plans d'austérité et ordonner les réformes anti-sociales exigées par les dogmes globalistes.
 
Macron a vendu la France en viager pour quelques dizaines de milliards d'Euros.

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lundi, 20 juillet 2020

Mouvement national : il est temps de se bouger !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Il y a trente cinq ans, une union des droites sans exclusive mais dont le FN aurait été un élément fort aurait permis d'interrompre la marche funèbre de la France vers l'abîme.
 
Aujourd'hui il est trop tard. Ceux qui en rêvent encore et l'appellent de leurs voeux nous font perdre du temps et se font les complices conscients ou somnambules du régime.
 
C'est dans la rupture - et dans la rupture seulement - avec le Système que s'ouvrira la voie politique du redressement national.
 
Comment l'accomplir ? Certainement pas en se livrant aux incantations rituelles qui, depuis trop longtemps, figent notre camp dans l'ossification de la nostalgie.
 
Certainement pas en continuant de se plaindre des dérives marinistes tout en contribuant, par habitude, lassitude er résignation, à entretenir le leurre d'un rassemblement bancal dont chacun sait pourtant qu'il mène à un cul de sac.
 
Certainement pas en cherchant - un peu à la manière du Père Soubise fouillant l'obscurité à la faible lumière d'une lanterne déclinante pour tenter de retrouver son armée disparue - l'homme providentiel dans un catalogue de vieilles images sépia des laissés pour compte de la politique politicienne, de la philosophie rance, de la minable et impalpable "société civile", ou même de nos glorieux tableaux étoilés.
 
Certainement pas en se baignant dans l'illusion d'un retour en politique de tel ou telle qui, ayant abandonné le champ d'action public pour s'endormir dans le lit stérile de la métapolitique, pourrait, espèrent encore certains, revenir en gloire.... En 2027, 2032, 2037?
 
Partout en Europe, des forces nouvelles naissent, s'organisent, se structurent à partir d'une avant-garde agissante, imaginative et déterminée; partout en Europe, ces mouvements de rénovation et d'énergie retrouvée rencontrent l"adhésion populaire et, partis de rien ou de peu, marchent résolument sur le chemin du pouvoir, faisant bouger les lignes et bousculant les formations anciennes, dépassées.
 
Je ne vois aucune raison pour que la France reste plus longtemps éloigné de ce processus vitaliste. Il est temps de se bouger. 

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samedi, 18 juillet 2020

Incendie de la cathédrale de Nantes.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Après Notre Dame de Paris, tandis que des centaines d'églises ou chapelles ont été profanées ces derniers mois, la cathédrale Saint-Pierre et Saint-Paul de Nantes est en feu.
 
Cette fois, la piste du mégot oublié ne semble pas être privilégiée par les enquêteurs.
 
Qu'ils soient islamistes, anarchistes, satanistes ou dégénérés, ceux qui s'attaquent à nos cathédrales, nos églises, nos calvaires ne se trompent pas de cibles.
 
Ils savent que la France de toujours est une cathédrale, une église, une croix dressée vers le ciel et tendue vers le monde, un passage sacré de toutes nos traditions anciennes et pourtant vivantes. Ils savent que s'il n'est pas chrétien l'occident est un cadavre froid et que le soleil européen sans le Christ est un astre mort.
 
Détruire les symboles de notre appartenance et abattre les piliers de notre civilisation, voilà pour eux une priorité. 
 
Le fer est engagé.
 
Mon Dieu, ne leur pardonnez pas : ils savent très bien ce qu'ils font.
 
De notre côté, nous ne pratiquons pas le pardon des offenses 

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vendredi, 17 juillet 2020

"Report" de la réforme des retraites.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Il aura fallu trois années de négociations chaotiques, des mois de grèves aussi ruineuses que nuisibles à nos vies personnelles, collectives et nationales, une crise sanitaire et l'entrée de la France en récession pour que l'exécutif renonce ("procède au report" en termes officiels") en même temps qu'à celle inutile et labyrinthique de l'assurance chômage, à une réforme des retraites économiquement non viable, socialement inique et structurellement inadaptée.
 
Reste qu'une fois de plus, par manque d'autorité, de clarté et de détermination, ce gouvernement n'aura - pas plus que ceux qui l'ont précédé - su s'emparer des deux sujets majeurs dont dépendent la justice du système par répartition et l'avenir de nos enfants : la fin des régimes spéciaux et le financement futur des pensions.
 
De quoi le régime est-il le nom ? Du cafouillage et de l'impuissance institutionnels.

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Plan de relance de Bruxelles : renforcement de la tutelle euro-mondialiste.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le sommet européen qui commence ce vendredi à Bruxelles sera entièrement consacré à définir les modalités de distribution - et à en fixer les clés de répartition - des 750 milliards d'aides européennes dont 500 de subventions financées par des emprunts à taux nuls, voire négatifs, opérés par l'UE auprès des marchés financiers, aides officiellement destinées à consolider les plans de relance économique des pays membres face aux conséquences de la crise sanitaire et des gestions aberrantes qu'en ont fait les États.
 
La France espère se voir accorder 40 milliards de subventions sèches et directes.
 
Sur le papier, celà pourrait être une bonne nouvelle pour nos entreprises, nos millions de chômeurs, nos familles françaises de plus en plus nombreuses à être en situation de précarité et de difficultés sociales. En réalité, quelques soient les promesses gouvernementales, l'essentiel de cette somme risque d'être attribué non pas à la sauvegarde des plus démunis, non pas au sauvetage de nos petites et moyennes entreprises, de nos commerçants et de nos artisans, non pas à la reconstruction des classes moyennes, non pas à un vaste plan de réindustrialisation, mais aux restructurations exigées par Bruxelles, poste avancé du totalitarisme financier planétaire, restructurations dont nous savons depuis le sort réservé à la Grèce il y a dix ans, ce qu'elles recouvrent en termes d'austérité et de misère imposée.
 
Car qui paye commande. Les sommes octroyées ne seront effectivement distribuées qu'après examen par la Commission de la conformité des plans de relance avec les exigences globalistes, et sans doute soumises à un contrôle sévère des ministres des finances des 27, chacun disposant d'un droit de véto. Par ailleurs, les emprunts européens devront être remboursés. Les échéances envisagées renvoient à 2026, sur vingt ans. C'est a dire demain. Déjà pointe pour effectuer ces remboursements l'idée de nouvelles taxes paneuropéennes dont la charge pèsera, bien entendu,  au final, sur les contribuables de chacun des États membres.
 
Avec la crise du coronavirus, la tutelle euro-mondialiste sur nos Nations et nos libertés est bel et bien en passe de se renforcer. Il est permis de penser que cela ne relève pas du seul hasard épidémiologique.

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mercredi, 15 juillet 2020

Déclaration de politique générale du Premier ministre : Tout est songe et mensonge.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La République démocratique, indivisible, laïque et désormais écologique a ses grands-messes avec leurs rites, leur faux encens parlementaire et leurs homélies. En prononçant ce mercredi devant l'Assemblée nationale son discours de politique générale le Premier ministre Jean Castex en aura été un officiant qui se voulait lyrique et qui ne fut que pompeux.
 
Aucune de ses promesses ne peut être prise au sérieux. Ni celle du renforcement des "territoires" que nous préférons, nous autres, appeler Provinces, ni celle d'une relance économique grâce à un carnet de chèque miraculeux fait d'argent magique et de monnaie de singe, ni celles de reconstruction sociale, de sauvetage de notre système de santé, de redémarrage de notre industrie, de lutte contre la délinquance, les violences urbaines et l'islamisme ; pas plus que celle du  redressement budgétaire, matériel et moral de nos armées. 
 
En creux, sans en être conscient, Castex a dessiné l'échec du Système et dénoncer la perversité du régime. Il en sera pourtant, sous la responsabilité de son Président, le continuateur. En tout cas jusqu'à la prochaine Présidentielle, seul objectif d'Emmanuel Macron.
 
"Rien n'est vrai, rien n'est faux, tout est songe et mensonge, illusion du coeur qu'un vain espoir prolonge" écrivait Lamartine.
 
Ce discours fut celui du mensonge assumé et de l'illusion d'un régime dont tout indique qu'il ne se prolongera plus longtemps.
 
Par quoi sera-t-il remplacé ? C'est tout l'enjeu des années qui viennent. Tout est possible désormais : le pire, l'abominable, comme le meilleur.

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mardi, 14 juillet 2020

Interview de Macron : un petit maître en marche vers le néant.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Depuis son élection, Emmanuel Macron a pris l'habitude de prendre de vitesse son Premier ministre fraîchement nommé et d'intervenir quelques jours ou quelques heures avant sa Déclaration de politique générale prononcée devant l'Assemblée nationale. En 2017, il le fit depuis la tribune du Congrès réuni à Versailles en exposant le 3 juillet, veille du discours solennel d'Edouard Philippe, la politique que le gouvernement serait chargé d'appliquer.
 
Cette pratique institutionnalisée du court-circuitage révèle un caractère faible, tourmenté, cahotique, nettement marqué par une volonté maniaque de contrôle de type obsessionnel et compulsif.
 
Cette année, c'est en renouant avec la recette réchauffée de ses prédécesseurs de l'interview du 14 juillet, qu'il aurait voulu faire, à quelques jours du discours de Jean Castex devant la prétendue représentation nationale, la nouvelle  démonstration de "qui décide et qui exécute".
 
Les Français n'auront vu et entendu qu'un Président dépassé et flottant.
 
Cet entretien télévisé particulièrement vide de sens et de contenu, ne fut, en effet, qu'un long survol semé de profonds trous d'air d'une situation politique, sanitaire, économique et sociale que le Président de la République ne maîtrise en aucune façon. 
 
Approximatif, hésitant, décalé presque égaré, éthéré et lunaire, Emmanuel Macron est demeuré flou et évasif. Il voulait imposer l'idée qu'il était un chef mais nos compatriotes ne s'y trompent plus qui savent d'instinct qu'au delà des parures de la République et des postures, Il n'est qu'un élément parmi d'autres d'un Système global. Les vraies décisions ne sont pas de son ressort.
 
Macron vient de montrer qu'il avait perdu la main. Le régime va donc se chercher une nouvelle incarnation. Il serait temps que le peuple français se trouve quant à lui une nouvelle voie.

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lundi, 13 juillet 2020

Le 14 juillet est bien une fête nationale. Mais elle ne saurait être la seule.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le 6 juillet 1880, sur proposition du député Benjamin Raspail, l'Assemblée nationale décidait de faire du 14 juillet le jour officiel et unique de la fête nationale. 
 
Contrairement à ce que beaucoup pensent et ce que voulut faire croire la République triomphante, ce choix ne fut pas dicté par une volonté de rendre hommage à la relativement consensuelle et nationale fête de la Fédération, puisque l'année de référence — 1789 ou 1790 — ne fut pas spécifiée dans le texte de la loi afin de permettre aux libéraux-conservateurs de se rallier à cette décision. C'est pourtant bien le souvenir de la prise de la Bastille, de l'émeute sanglante orchestrée par les révolutionnaires anti-Tradition, anti-monarchie, anti ordre naturel et surtout anti-Dieu qui était ainsi honoré par une décision dont la signification profonde ne doit pas être sous-estimée.
 
Ce rappel institutionnel d'un événement qui ne fut que le commencement de l'ébranlement national et du chaos des consciences nous est, à nous nationalistes, douloureux.
 
D'autres dates illumineraient notre fierté patriote et contenteraient nos aspirations françaises, historiques comme spirituelles : le baptême de Clovis à Reims, bien sûr, mais celui-ci ayant eu lieu un 25 décembre ne saurait convenir ; le 15 août, longtemps fête nationale par la volonté de Louis XIII et la consécration de la France à Marie ; le 8 mai, jour de la libération d'Orléans et fête de Jeanne d'Arc ; ou même le 2 décembre, matin glorieux du soleil d'Austerlitz.
 
Pour autant, dans l'esprit national, le 14 juillet étant devenu, nolens-volens, la fête de l'unité française au même titre que la Marseillaise — chant révolutionnaire mais aussi chant militaire et authentiquement guerrier, symbole de la persistance au-delà des âges et des régimes, de la furia francese — ou le drapeau tricolore (on sait ce que valut à la France le refus du comte de Chambord de se rallier au Bleu Blanc Rouge...) sont devenus les marques sigillaires de notre Nation.
 
Ce 14 juillet 2020, alors que Macron a supprimé le défilé militaire, hommage national à ceux qui servent aujourd'hui mais aussi à tous ceux qui sont tombés pour la France dans des guerres continentales fratricides ou des conflits lointains, nous devons, en pensée aujourd'hui, activement demain, unir nos forces sans nous laisser diviser ni par la nostalgie ni par les querelles dogmatiques ni par les divisions de l'Histoire depuis longtemps transcendées dans les tranchées de 14-18.
 
Rappelons que le 14 juillet 1941 fut célébré avec la même émotion nationale aussi bien à Vichy ("En pensant à nos morts, à nos soldats prisonniers, à nos ruines, faisons de ce jour un moment de méditation et de recueillement" invitait le Maréchal) qu'à Londres où De Gaulle passait en revue ses encore maigres troupes ou à Alger, et qu'il en fut ainsi pendant les quatre années suivantes, en France occupée comme ailleurs, dans un monde embrasé où de nombreuses et diverses "parts de notre honneur militaire" furent engagées et détenues par ceux qui, à l'ouest, au sud ou à l'est, se battaient comme l'écrira plus tard un grand écrivain mort un 6 février, "sous uniforme français ou sous des draps étrangers".
 
Pour nous, habités d'une vision sacrée de ce qu'est la continuité historique de la France, le 14 juillet est bien devenue, par la force des choses et la résilience de notre souche ancienne, une fête nationale. Notre fête nationale. Pas celle des pics de la Bastille et de leurs têtes coupées dont celle du gouverneur De Launay, pas celle des bonnets phrygiens, pas celle des sombres arcanes où est née la République, pas celle des soûlards et des racailles qui envahissent chaque année les Champs Elysées. 
 
Non ! Celle de la France immortelle qui sait que le faisceau du licteur ne s'oppose pas nécessairement à la fleur de lys.
 
Celle de la France charnelle ; celle des bals populaires et des rues pavoisées de notre enfance; celle des feux d'artifices et de l'éblouissement de nos familles ; celle des prises d'armes et des monuments aux morts fleuris. Celle des Te Deum de jadis quand la France, même républicaine et laïque, venait encore se réchauffer dans les nefs de ses Cathédrales au rayonnement de notre gloire et au souffle de Celui qui l'avait permise.
 
Celle de notre peuple à relever, celle de notre Armée à reconstruire, celle de notre Terre et de nos morts à célébrer, celle de notre destin à accomplir.
 
Et rien ne nous empêchera, par ailleurs, demain, quand nous serons aux responsabilités d'instituer ou de rétablir, en plus du 14 juillet, d'autres fêtes nationales conformes à la plénitude de notre histoire identitaire.

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samedi, 11 juillet 2020

Nouvelle provocation d'Erdogan.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La décision prise par Erdogan et validée par son Conseil d'Etat fantoche, de faire de la basilique Sainte Sophie de Constantinople une mosquée est une provocation, un message de leadership adressé au monde islamique et un affront à la civilisation européenne et chrétienne.
 
Sainte Sophie est certes, depuis 1934, un musée après avoir, hélas, été déjà transformée en mosquée au quinzième siècle de notre ère.
 
Mais la puissance du souvenir de ce que fut le grand empire byzantin et la force de son rayonnement continuent d'en faire un symbole lumineux de notre Histoire missionnée, du destin de notre continent, et de la spiritualité vraie.
 
L'Europe d'aujourd'hui, celle de tous les abandons et de l'apostasie, s'aplatira une fois de plus  devant le diktat du nouveau sultan.
 
Celle de demain - que construiront les forces nationales tôt ou tard - aura sa revanche.

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vendredi, 10 juillet 2020

Clusters venus d'ailleurs.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Plusieurs dizaines de "binationaux" de retour d'Algérie ont été hospitalisés ces derniers jours, tous positifs au coronavirus. Trois sont en réanimation, un est mort. Compte tenu de leur état lors de leur prise en charge dans les services hospitaliers, nul doute qu'ils étaient déjà malades au moment de prendre l'avion. D'autres, bien plus nombreux mais asymptomatiques pour le moment circulent sans contrôle sanitaire sur le territoire national.
 
Chaque été, des dizaines de milliers de personnes, Français sur le papier, vont et viennent entre la France et une Algérie de plus en plus touchée par le COVID-19 mais que l'Union européenne a incluse sans état d'âme sur la liste des pays autorisés à reprendre les échanges aériens depuis le 1er juillet.
 
Aucun contrôle avant embarquement ou franchissement de frontière n'étant efficace — il est facile de faire ponctuellement baisser le niveau de température — deux mesures de sauvegarde sanitaire s'imposent à la France: interdire l'entrée du territoire aux ressortissants algériens et plus largement magrébins ainsi que ceux d'Afrique subsahariens qui connaissent eux aussi un accroissement épidémique. Et, puisque la loi inique basée sur un code de la nationalité que nous changerons dès notre arrivée aux responsabilités, nous y oblige pour le moment, instaurer une quarantaine absolue à tout binational de retour d'Algérie.
 
Les superclusters venus d'ailleurs doivent être traités sans faiblesse...

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Reprise de la réforme des retraites : Macron baise les mains qui l'ont fait roi.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
On aurait tort de voir dans la persistance avec laquelle Emmanuel Macron poursuit son plan de réforme des retraites l'effet de l'esprit diabolique qui préside, nous dit la sagesse romaine, au maintien arrogant dans l'erreur contre lequel nous mettait en garde Saint Augustin dans ses Sermons.
 
Il serait tout aussi vain de tenter d'y déceler la moindre trace d'une volonté de préserver les équilibres sociaux liés au système des pensions par répartition.
 
En relançant le débat par un nouveau cycle de négociations qui viennent s'ajouter aux quelques trois années de préparation d'une réforme mal ficelée, anti sociale, inéquitable et non financée, le Président de la République veut tenir une promesse. Non pas celle faite aux Français pendant sa campagne électorale de 2017 de maintenir les niveaux de retraites et d'en finir avec les régimes spéciaux — ce qui serait légitime et aurait dû sens — mais celle, plus discrète, faite aux marchés et aux fonds de pensions anglo-saxons : entamer le processus de transformation du système qui, à terme, devra laisser la place aux assurances privées conformément aux lois non écrites du globalisme financier planétaire.
 
En faisant à nouveau de cette réforme une priorité absolue contre l'avis même du MEDEF pour une fois sur la même ligne que les centrales syndicales, et alors que les effets économiques et sociaux de la crise sanitaire ne profilent encore que les premiers contours de leur ombre effrayante, Macron adresse un signal fort aux vrais décideurs internationaux auquel il doit son mandat et dont il espère qu'ils assureront sa réélection dans deux ans.
 
La méthode Castex qui espère sans doute, en ces temps difficiles, une moindre résistance syndicale, ne sera peut être pas la méthode Philippe. Sans doute ne sera-t-il plus question d'âge pivot, mais le but ultime reste le même: servir son dû au capitalisme mondial.

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samedi, 04 juillet 2020

A Marseille, Guy Tessier préfère la gauche radicale à la droite de conviction...

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Guy Tessier fut officier parachutiste. Il fut aussi un militant national, membre actif du Parti des Forces Nouvelles, avant de faire carrière au sein de la droite républicaine marseillaise.
 
Même lui a cru bon de suivre les consignes de la droite la plus bête du monde et préféré abandonner la grande cité phocéenne à la gauche radicale plutôt que d'accepter le pacte Marseillais que lui proposait Stéphane Ravier, ce qui lui aurait permis d'emporter la mairie.
 
Les Marseillais ont devant eux des jours bien sombres.
 
NDLR SN : Il y a bien longtemps que Tessier a oublié son engagement post-juvénile au PFN. Il n'est d'ailleurs pas le seul... 

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vendredi, 03 juillet 2020

Les hommes changent, mais la ligne politique demeure la même

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le changement, la "nouvelle étape" promise consiste pour Macron à remplacer un technocrate ex-juppéiste par un technocrate ex-sarkoziste.
 
Il est vrai qu'en substituant Jean Castex à Édouard Philippe, le Président de la République ne poursuit qu'un but et un seul: nommer à Matignon un simple collaborateur, exécutant docile de ses exigences, et avoir ainsi les mains libres pour exercer l'entièreté des responsabilités du pouvoir.
 
Il devra bientôt assumer aussi l'entièreté de la responsabilité des catastrophes qui viennent.

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jeudi, 02 juillet 2020

La CEDH condamne la France

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'officine juridico-mondialiste dissimulée sous l'intitulé "Cour européenne des droits de l'homme" (CEDH) vient de condamner la France pour atteinte à la dignité humaine. 
 
Notre pays aurait, en effet, commis la faute et le péché inexcusable aux yeux de la conformité globalisante de "laisser des migrants sans ressources et à la rue". Les Français pauvres et sans domicile peuvent, en revanche crever sans que les membres de la juridiction européiste ne fronce le moindre sourcil.
 
Que la CEDH se rassure : quand les Français nous auront portés au pouvoir et que nous aurons instauré l'État national, il n'y aura plus aucune atteinte aux droits des migrants.
 
Pour la raison très simple qu'ils auront tous été refoulés hors de notre territoire et que, progressivement mais sûrement, nous procéderons à une juste mais ferme rémigration.

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mercredi, 01 juillet 2020

Merkel, présidente de la section Europe de l'Empire.

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L'avis de Jean-François Touzé

À compter de ce mercredi 1er juillet, l'Allemagne prend, pour six mois, la tête de l'Union européenne.

Nul doute que la chancelière Merkel assurera cette présidence avec la volonté ferme et pleine de servir la conception qui est la sienne de l'intérêt allemand.

Non pas de l'Allemagne identitaire qu'elle a mis en péril en 2015 en ouvrant les digues à la déferlante migratoire. Non pas de l'Allemagne historique et nationale qu'elle a déshonorée en se soumettant — et en soumettant l'Europe toute entière — aux diktats turcs et au chantage du sultan Erdogan. Non pas de l'Allemagne nation centrale d'une possible et nécessaire Europe de l'indépendance et de la puissance, mais l'Allemagne américaine.

Depuis des décennies, tous les chanceliers fédéraux se sont servis de l'Europe, de ses institutions et de sa monnaie pour affirmer et renforcer le rôle de l'Allemagne dans la construction planétariste de la nation globale au service exclusif de la finance et de la techno-structure.

Berlin capitale de l'Europe pour six mois ? Non ! Berlin, capitale européenne de l'empire mondialiste.

Et comme toujours, la France de Macron s'efforcera d'en être une supplétive zélée.

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lundi, 29 juin 2020

Procès Fillon : la Justice est un instrument politique comme les autres.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Lourdes condamnations pour François Fillon et son épouse. L'appel étant suspensif, l'ancien Premier ministre échappe pour le moment à une incarcération.
 
François Fillon, politicien professionnel pendant plus de quarante ans, homme du Système formé dans le sérail, a usé des mêmes méthodes et des mêmes facilités que l'ensemble de la classe politique républicaine avec un sentiment d'impunité sans limites ni fin. La sanction est judiciaire. Elle se veut morale. Elle est politique.
 
Impossible, en effet, de nier le caractère éminemment stratégique de cette affaire marquée par des règlements de compte internes à la droite, par une accélération spectaculaire des procédures, par une instrumentalisation de la Justice au profit d'intérêts électoraux présidentiels et par une nouvelle montée en puissance des juges rouges qui participent d'une volonté globale et concertée visant à rien de moins qu'à la prise de contrôle de tous les pouvoirs par la gauche la plus radicale.

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dimanche, 28 juin 2020

Vague verte aux Municipales. Attention à la réplique en 2022.

1371572749.2 (1).jpgL'avis de Jean-François Touzé
 
Marseille, Lyon, Strasbourg, Bordeaux, Besançon, Grenoble... La vague rouge-verte que nous redoutions et contre laquelle nous mettions en garde nos amis la semaine dernière a bien eu lieu. Servie par une abstention sans précédent pour un scrutin municipal, abstention dont on aurait grand tort de faire porter la responsabilité à la seule crise sanitaire, la nouvelle gauche plurielle et arc-en-ciel désormais menée, animée, guidée par les ayatollahs de la République universelle, progressiste, renouvelable et durable, s'empare de quelques unes des plus grandes villes de France dont elle va pouvoir faire le laboratoire de ses expériences hasardeuses, fumeuses et destructrices. Ces villes livrées a des fous furieux vont ainsi  devenir les vitrines de la bien-pensance immigrationniste, anti-traditionnelle, contre-vitaliste et décroissantiste.
 
Pour le plus grand malheur de leurs habitants.
 
Les vingt deux mois qui nous séparent de l'élection présidentielle ne suffiront malheureusement pas à rendre suffisamment visibles la nocivité écolo-gauchiste. L'effet d'entraînement jouant et l'air du temps — qui est chargé de souffre — aidant, une terrible réplique est à craindre en 2022.
 

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