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dimanche, 04 octobre 2020

Nouvelle Calédonie française : juste un répit en attendant la fin.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A peu de voix près, la Nouvelle Calédonie échappe pour cette fois à une indépendance voulue, préparée et orchestrée de longue date par une coalition d'intérêts regroupant dans un même ensemble anti-français les séparatistes Kanaks qui entendent substituer aux lois de la civilisation leur droit coutumier et leurs mœurs tribales, les groupes révolutionnaires de l'extrême gauche internationaliste, les idéologues de la décolonisation, les adversaires de l'œuvre blanche outre-mer, les vautours régionaux anglo-saxons qui œuvrent depuis des décennies à l'effacement de la France dans la zone Pacifique, les États Unis d'Amérique toujours à la pointe de l'action pour l'abaissement du rayonnement bleu-blanc-rouge, et la Chine qui espère disposer ainsi du nickel dont elle a besoin pour sa production d'acier inoxydable.
 
Ce n'est que partie remise. Un autre référendum sera sans nul doute organisé d'ici novembre 2022 au terme du processus sécessionniste initié il y a plus de trente ans par Mitterrand et Rocard.
 
L'importante progression du oui à l'indépendance laisse penser que cette ultime consultation sera la bonne pour les partisans de la Kanakie. La France aura alors perdu un territoire de plus et reculé face aux manoeuvres géostratégiques américaines et chinoises. Avant que la contagion ne touche telle ou telle autre de ses possessions ultramarines.
 
Les caldoches, devenus citoyens de seconde zone d'un archipel dont ils ont forgé la modernité, auront, quand à eux, le choix entre la valise ou la soumission au nouvel ordre mélanésien.

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samedi, 03 octobre 2020

Le retour du petit père Combes.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La décision annoncée vendredi par Macron d'interdire de fait l'école à domicile constitue un acte liberticide et une atteinte scélérate au droit fondamental des parents de choisir le mode d'éducation de leurs enfants. Il en va de même du contrôle renforcé sur les établissements hors contrat qui ne concernera bien entendu pas seulement les écoles coraniques.
 
Sous couvert de lutter contre l'expansion islamique qu'il est incapable d'endiguer — alors que très peu d'enfants musulmans sont concernés et que ces mesures n'auront bien évidemment aucun effet sur l'ancrage pernicieux de l'islam politique dans la société française — le pouvoir renoue avec les pires pratiques du laïcisme militant, idéologique, obsessionnel et hystérique de la troisième République. Macron a précisé que cette décision était, en matière d'enseignement, la plus importante  depuis la loi du 28 mars 1882, dite loi Jules Ferry, sur l'instruction primaire obligatoire.
 
Elle est surtout la plus hostile aux traditions françaises depuis l'application des méthodes et des principes anti-chrétiens du "Petit père Combes".
 
Liberté d'expression et de pensée muselée, liberté d'aller et venir limitée, libertés économiques encadrées, libertés politiques bafouées, libertés collectives et personnelles réduites, libertés familiales supprimées... Le régime se radicalise et cette République se rue dans une fuite en avant totalitaire et concentrationnaire pour tenter d'y trouver les conditions de sa survie.

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vendredi, 02 octobre 2020

Macron aux Mureaux : discours inutile de la méthode erronée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Embruiné de cavillations et de prudence casuistique destinées à éviter la "stigmatisation", le discours sur les "séparatismes" (l'emploi du pluriel n'est évidemment pas anodin) prononcé ce vendredi à la mairie des Mureaux par Emmanuel Macron s'inscrit dans la longue liste des déclarations de principe non suivies d'effets, commises en pure perte depuis trois décennies au nom de la République, une, indivisible et laïque.
 
Se féliciter comme l'a fait le Président de la République de succès fantomatiques en matière de lutte contre l'islamisme est une insulte à ceux qui sont morts, ont été blessés ou violentés ces dernières années par la sauvagerie venue d'ailleurs.
 
Prétendre s'attaquer aux effets que l'on dit déplorer mais dont on chérit les causes, selon la formule célèbre de Bossuet, relève du pire mensonge carthaginois. Tant que la source même de la corrosion islamiste de la France ne sera pas traitée, les mesures supposées en réduire la malignité qu'envisage de prendre l'exécutif resteront, en effet, au niveau de l'emplâtre.
 
Feindre de vouloir prendre à bras le corps la résolution du problème tout en laissant les tribunaux relâcher chaque année entre soixante et cent djihadistes et en continuant de confier malgré la promesse d'un dispositif d'évitement des extrémistes, le contrôle des organisations cultuelles aux Frères musulmans est une escroquerie en même temps qu'un crime.
 
Rêver à l'organisation d'un Islam de France "Islam des Lumières" est une faute majeure contre l'identité et la cohésion nationale française.
 
Affirmer sa "détermination" face à ce que d'autres nomment pudiquement "communautarisme" en laissant se développer dans des centaines de cités arrachées à la France les "daïras" des caïds de la drogue et des imams salafistes est une arnaque honteuse.
 
Décider de mesures aussi dérisoires qu'inapplicables - encadrement des écoles coraniques, contrôle des associations, renforcement de la laïcité et des normes "républicaines" à l'école, "neutralité" des agents des services publics, interdiction des certificats de virginité, création surréaliste d'un Institut scientifique d'Islamologie, - dans des zones interdites à la police et dans une France soumise à la pression de la bien-pensance comme au laxisme des tribunaux est une plaisanterie.
 
Non, l'islamisme n'est pas un séparatisme. Il est un impérialisme politique et religieux venu de la nuit des temps. L'immigration en est la vague porteuse. C'est à elle qu'il convient de s'attaquer non seulement pour l'endiguer mais pour procéder à son inversion totale, absolue, définitive.
 
Tout le reste n'est que paroles éparses que le vent d'automne a déjà commencé de balayer.

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jeudi, 01 octobre 2020

Soutien au Haut Karabach.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La présence avérée de milices djihadistes en provenance de Syrie venues se joindre aux forces d'Azerbaïdjan dans leur offensive activement soutenue par la Turquie contre le Haut Karabakh montre clairement que l'enjeu pour la  république musulmane de Bakou n'est pas seulement territorial mais s'inscrit dans la suite du combat millénaire entre l'Islam et la chrétienté.
 
Assez de paroles vaines ! Macron qui n'ignore pas que, malheureusement, la France ne compte aujourd'hui pas dans cette region, Trump qui joue, comme l'ont fait tous ses prédécesseurs, de l'appartenance de la Turquie à l'OTAN, et Poutine qui œuvre sur les deux tableaux en vendant des armes aux uns et aux autres, ont, d'une même voix d'apparence, exigé l'arrêt des combats. Ils doivent rapidement sortir de l'ambiguïté et passer à un autre registre. 
 
C'est un soutien total aux Arméniens du Haut Karabach, comme à ceux d'Erevan qui doit être affirmé. Si nous laissons faire, les positions de l'islam conquérant seront renforcées, un nouveau massacre ethnique et religieux aura lieu, et la Turquie, déjà forte de son influence croissante dans le monde musulman, de son contrôle des routes énergétiques, de ses investissements économiques et politiques au Maghreb, et du double chantage qu'elle exerce sur l'Europe par l'arme migratoire et le levier de sa diaspora aura la voie libre dans la reconstitution de l'empire ottoman, ennemi juré et déterminé de notre civilisation.

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mercredi, 30 septembre 2020

Budget 2021 : immigration plus !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La France, étouffée par la gestion aberrante d'une crise sanitaire/alibi, sombre dans la récession. Des dizaines de milliers d'entreprises sont menacées entraînant un effondrement tragique de l'emploi. Les services hospitaliers sont bamakoïsés. L'ensauvaugement se répand comme une traînée de poudre noire. La survie de certains services publics essentiels à la vie de la Nation et au quotidien des Français n'est encore assurée que par le recours massif et exponentiel à l'emprunt qui nous soumet à la finance étrangère. Une crise sociale sans précédent se prépare.
 
Le plan budgétaire présenté lundi par le ministre de l'économie et des Finances, Bruno Le Maire, relève, quant à lui, de la plus sombre insincérité puisqu'il repose sur une prévision de croissance de 8% l'année prochaine, prévision qui ne se fond que sur le recours embrumé à la méthode célèbre du fameux pharmacien Coué.
 
Peu importe. Les priorités du gouvernement sont fixées: le budget 2021 prévoit une hausse de 2% des crédits "Immigration, asile et intégration" et la création de 4 000 places supplémentaires pour l'accueil des réfugiés tandis que l'Aide médicale d'État (AME) accordée à tous les migrants y compris clandestins augmentera de 97 millions pour friser le milliard d'Euros.
 
Plan de relance ? Oui. Plan de relance des pompes aspirantes de la déferlante migratoire.

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dimanche, 27 septembre 2020

Quand l'hôpital républicain se fout de la charité biélorusse.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
"Loukachenko doit partir"... À la veille de son voyage dans les territoires baltes, bases avancées de la tentation atlantiste et anti-russe dans la partie orientale de l'Europe, Macron se mêle une fois de plus de ce qui ne le regarde pas et multiplie les moulinets pour tenter de brasser à l'extérieur un air qui lui est de plus compté dans la sphère nationale.
 
Le multilatéralisme, aggravé du poids des droits de l'homme, mène nécessairement à l'ingérence. Mais tout de même... Les diverses prétentions à exister sur la scène internationale de Macron, enfant-roi de l'impuissance, outil secondaire du globalisme mais french doctor halluciné des causes imbéciles, convergent au grotesque. l'Hôpital républicain en pleine déglingue se fout ici de la charité biélorusse.
 
Une chose est sûre, en revanche : Macron ne poussera pas le courage démocrate jusqu'à se rendre à Minsk pour y exiger le changement, comme il le fit à Beyrouth avec l'immense succès que l'on sait. 
 
Loukachenko n'est pas Aoun. 

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Disparition de Denis Tilinac

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Denis Tillinac était un homme de droite. Il avait l'esprit national. Sa proximité avec Jacques Chirac mort un an, jour pour jour, avant lui, et ses tropismes gaullistes l'ont empêché d'être un homme de droite nationale. Un certain fatalisme aussi qui ne peut avoir cours chez nous.
 
Saluons pourtant l'écrivain et l'éditeur qui succéda à Roland Laudenbach à la tête de La Table Ronde, maison dont l'honneur fut de découvrir et de protéger les Hussards, mais aussi de défendre les positions de l'Algérie française.
 
Hommage enfin à l'homme libre qu'il fut, amoureux de la France profonde, c'est à dire de la France vraie.

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mercredi, 23 septembre 2020

Le totalitarisme, fils aîné de l'incurie macronienne.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les mesures annoncées ce mercredi soir par le ministre de la santé, Olivier Véran, enfermant dans une dizaine de métropoles la population dans un carcan réglementaire qui ressemble comme deux gouttes de gel hydro-alcoolique à un reconfinement partiel, imposant un couvre-feu de fait et mettant en péril de nombreux commerces, bars et restaurants, sont punitives, liberticides et totalitaires.
 
Elles sont la conséquence de l'incurie du gouvernement qui, en sept mois, n'a pas pris les décisions qui s'imposaient pour reconstruire un système hospitalier digne de la France, en rouvrant les lits fermés ces dix dernières années pour cause de non-rentabilité et pour redonner aux personnels soignants les moyens matériels d'exercer leurs missions. Un pouvoir qui n'a agi ni sur la porosité sanitaire des frontières ni sur le laisser-aller des zones de non-France dont personne n'ose dire qu'elles ont été parmi les principaux foyers de redémarrage du virus.
 
Un jour les femmes et les hommes de ce régime devront répondre de leurs actes.

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mardi, 22 septembre 2020

Italie : la Ligue premier parti du pays, Fratelli d'Italia libère Les Marches

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Magnifique succès de nos amis de Fratelli d'Italia qui, aux élections régionales italiennes qui se sont tenues dimanche et lundi, emportent Les Marches et, au sein d'une coalition de droite, n'échouent que de très peu dans Les Pouilles.
 
La Ligue de Matteo Salvini, si elle ne parvient pas à emporter la Toscane, fief historique de la gauche, conserve facilement la Vénitie et la Ligurie et reste la première formation du pays.
 
La conquête de la Toscane aurait été une étape majeure sur le chemin de la reconstruction italienne. Le temps n'était pas encore venu. Le combat politique est un combat de longue haleine.

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samedi, 19 septembre 2020

Bridgestone : Tartuffe mène le bal.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La décision annoncée par la direction de Bridgestone de fermer le site de Béthune donne l'occasion au gouvernement francais et à une bonne partie de la classe politique de se livrer à une partie de faux-derchisme dont les uns et les autres sont, il est vrai, coutumiers.
 
Incapable d'imposer des règles de conditionnalités visant au maintien de l'activité et de l'emploi dès lors qu'une entreprise bénéficie de subventions publiques, ce qui est le cas de Birdgestone (1,8 millions de CICE en 2018), l'exécutif qui sait bien que son impuissance à faire reculer le fabriquant japonais sera égale à ce que fut son incapacité à opposer des lois coercitives à la voracité cupide des multinationales, tempête et joue l'indignation. Il assure ainsi, par la voix du ministre de l'économie Bruno Le Maire, son intention "de se battre contre cette décision révoltante, avec une méthode révoltante et des conséquences révoltantes", tandis que la ministre du travail Élisabeth Borne et la secrétaire d'État à l'Industrie Agnès Pannier-Runacher  dans un communiqué commun avec le Président de la région Hauts de France, Xavier Bertrand, dénoncent la "brutalité et les fondements" de cette fermeture. Pantomime et fanfaronnades !
 
Tous feignent d'ignorer les lois fondamentales  du capitalisme, du globalisme et de la financiarisation de l'économie dont ils sont les purs défenseurs, même quand ils se parent pour la galerie des vertus supposées du libéralisme social ou du gaullisme du même métal rouillé.
 
La loi du capitalisme mondial renforcé par les impératifs de la finance est qu'une entreprise non viable doit être fermée quelles qu'en soient les conséquences humaines. Castex, Le Maire, Borne, Pannier-Runacher, Bertrand, le savent pertinemment et leurs gesticulations n'ont d'autres buts que celui de tenter de faire oublier leur complicité et celle des familles politiques auxquelles ils appartiennent dans la liquidation de l'industrie française, de la destruction du rôle stratégique de l'État, et de l'abandon suicidaire de toute référence au patriotisme économique.
 
Le capitalisme financiarisé est leur option. Ils doivent l'assumer. La nôtre est celle d'une autre voie, nationale et européenne, reposant sur un socle communautaire certes ouvert à la concurrence mondiale mais une concurrence tempérée par le rôle stratège de l'État, régulée, loyale, non faussée et non soumise à la dictature des banques et des officines multilatérales.
 
En attendant, le bal des hypocrites et des pompiers pyromanes bat son plein, tandis que plus de 2000 personnes, entre emplois directs et indirects, sont, dans notre déjà bien éprouvé département du Pas-de-Calais, menacées de mort sociale.

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jeudi, 17 septembre 2020

Déshabiller Pierre pour habiller Nikos.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Dans le contexte de tensions majeures en Méditerranée orientale, la vente par la France de 18 avions de chasse Rafale à la Grèce pourrait apparaître comme une bonne nouvelle, marquant une volonté de ne pas céder aux menaces et provocations d'Erdogan et tranchant avec l'inertie de l'Union européenne face à l'offensive néo-ottomane de la Turquie, à ses prétentions sur les hydrocarbures de la zone concernée, à ses intimidations et à ses chantages.
 
Elle est surtout une bonne affaire commerciale pour Dassault.
 
Car en fournissant ces appareils à la Grèce, plus par intérêt économique que par volonté géostratégique, le gouvernement déshabille Pierre et Paul pour habiller Nikos.
 
Douze de ces avions de chasse seront en effet immédiatement prélevés sur nos forces opérationnelles, réduisant ainsi encore un peu plus les capacités combattantes effectives de notre armée de l'air qui, avec seulement 217 chasseurs en ligne (102 Rafale et 115 Mirage 2000) atteint déjà les limites de ses besoins. Les six autres Rafale, neufs ceux-là, seront fournis à Athènes en priorité, retardant de plus d'un an la livraison attendue par nos propres forces armées qui devront patienter.
 
Marquer le soutien de la France à la Grèce c'est bien, mais le faire au détriment de notre propre sécurité nationale est une faute dont le gouvernement porte l'entière responsabilité.

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Discours de l'Union fantôme

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La plus grande ruse du diable, on le sait, est de faire croire qu'il n'existe pas. Le pire mensonge de l'Union européenne est de vouloir donner l'illusion de la réalité de ses pouvoirs qui ne sont, de fait, que l'extension continentale des directives étoilées du nouvel ordre mondial.
 
En singeant le rite américain du Discours de l'Union comme l'avaient fait avant elle ses immédiats prédécesseurs, la Présidente de la Commission de Bruxelles, Ursula von der Leyen, espère donner consistance à la supercherie communautaire sans pour autant rendre possible la prise à bras le corps des grandes questions géopolitiques, diplomatiques, militaires, sécuritaires, identitaires, économiques, migratoires et éthiques dont la résolution serait pourtant vitale pour notre civilisation. Les récentes décisions en matière économique visant à établir un plan de relance sous forme de prêts et de subsides accordés par l'UE aux Etats membres et financés en monnaie de guenon participent de ces artifices.
 
Ce qui passionne et occupe la Commission, ce n'est pas la menace néo-ottomane, ce n'est pas l'indépendance énergétique du continent, ce n'est pas l'endiguement définitif des flux migratoires, ce n'est pas l'effondrement de notre démographie, ce n'est pas la contagion islamique, ce n'est pas bien sûr la recherche d"un partenariat logique avec notre voisin russe, c'est le sort des LGBT, des immigrés, des minorités ou encore la mise en œuvre de mesures sanitaires totalitaires et de contraintes climatiques punitives tout en veillant à renforcer l'enfermement des populations européennes dans le carcan des règlements et des restrictions à leurs libertés nationales et individuelles.
 
Cette Europe là est l'ennemie et le bourreau délégué de nos peuples du vieil occident.
 
L'Europe-puissance que nous appelons de nos voeux ne se fera que lorsque dans chacun de nos États auront été opérées les révolutions nationales salvatrices qui, elles mêmes, ne verront le jour que par le combat politique.

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mardi, 15 septembre 2020

Marion Maréchal : service inutile ?

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Marion Maréchal est une jeune femme brillante, sympathique, énergique, souriante, intelligente, douée, pertinente, cultivée et qui pense bien.
 
Tout au long de l'entretien qu'elle a accordé ce mardi matin à Jean-Jacques Bourdin sur BFMTV/RMC, elle a fait la démonstration de son brio médiatique, de la qualité de son analyse politique et de la force de ses convictions.
 
La frustration que pourront ressentir ceux qui espèrent en elle n'en sera que plus grande. En répétant à la façon d'un mantra son intention de ne pas revenir en politique à moyen terme, de ne pas fonder de structure opérationnelle,  de ne pas participer au combat électoral, de ne pas être, en conséquence, candidate à l'élection présidentielle et de ne se mettre au service d'aucun de celles ou de ceux qui concoureront en 2022, elle renvoie à des jours désespérément lointains la mise en œuvre de la stratégie de rassemblement des droites  qu'elle ne cesse de prôner en affirmant à juste titre que "le RN c'est bien, mais ce n'est pas suffisant". Or le temps nous est compté. Au rythme de l'accélération des menaces qui pèsent sur notre pays et de la possibilité de  son effondrement total, absolu, définitif à très court terme, miser sur  l'horizon 2027 revient à jouer à la roulette russe en espérant que la balle fatale ne sortira pas trop tôt du barillet.
 
Créer un think-tank pour réfléchir aux grands problèmes du temps — migratoires, économiques, géopolitiques, écologiques, éthiques — est utile quand on a le temps devant soi. Mettre en place des réseaux politiques ou métapolitiques afin de dresser des passerelles entre les uns et les autres est une entreprise louable quand on peut se permettre d'attendre dix ans pour franchir les ponts. Ce n'est plus le cas.
 
En s'interdisant de revenir avant longtemps dans le combat politique et en refusant de monter immédiatement au créneau sous la mitraille, l'ancienne députée du Vaucluse s'enferme dans un rôle de commentatrice avisée d'un monde qui se défait sous ses yeux ou d'animatrice d'une "fondation Jean-Jaurès" conservatrice, ce qui, on en conviendra, ne saurait révolutionner les masses populaires de qui, même si nous savons le rôle des avant-gardes, dépendra au final le sort de notre France. "J'ai 30 ans, je ne peux pas faire le serment de ne plus jamais faire de politique un jour" confie-t-elle. "Un jour"... Une décennie... Un siècle.
 
"Alors, à quoi servez-vous ?" lui demandera Bourdin. En effet... A quoi ?
 
Il est encore temps de se reprendre, Marion.

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vendredi, 11 septembre 2020

11 septembre : anniversaires...

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La date du 11 septembre est bien sûr marquée par les évènements que l'on sait - dans les conditions que l'on ne sait pas - de 2001, suivis de l'engagement américain, voulu et coordonné par les néo-conservateurs, dans une offensive aberrante contre l'Irak, opération aux conséquences catastrophiques en termes de déstabilisation régionale créant une onde de choc planétaire.
 
Mais c'est aussi l'occasion de nous souvenir de la libération du Chili par ses forces armées (1). Libération de la dictature marxiste dite d'Unité populaire de Salvador Allende, libération d'un régime qui menait le pays à la ruine et libération de la surenchère de l'activisme gauchiste.
 
Cet événement marqua toute une génération de militants nationaux français. Le fait que la CIA y fut pour quelque chose et que l'école ultra-libérale de Chicago s'empara dans la foulée des rênes économiques du pays nous importait peu. Heureux temps où tout était simple et où un golpe anticommuniste suffisait à notre bonheur.
 
Quoiqu'il en fût : honneur au général Pinochet.
 
(1) 11 septembre 1973.
 
Fondation Augusto Pinochet cliquez ici

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jeudi, 10 septembre 2020

"Des décisions difficiles" disent-ils...

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La crise économique et sociale qui vient s'annonce majeure. Ses conséquences en termes de chômage, d'effondrement du pouvoir d'achat, de désintégration des services publiques et de dislocation nationale seront cruelles.
 
La gestion aberrante de la vague épidémique de l'hiver dernier qui fut celle de l'exécutif en est à la fois la cause et l'effet, l'arbre sanitaire servant à cacher la forêt de l'échec du Système.
 
Dans le même temps, la France toute entière est devenue un coupe-gorges où meurtres, agressions, viols, cambriolages, actes de barbarie et terrorisme islamique sont devenus le quotidien de nos compatriotes  tandis que menace l'explosion générale de la poudrière des cités occupées par des populations venues d'ailleurs.
 
Le mal concerne toute l'Europe. La France est en première ligne qui est le maillon premier de la décomposition identitaire et morale du continent qui inventa jadis la civilisation.
 
Dès lors, le pouvoir, craignant pour sa survie sait que, face à ces menaces mais aussi face à la colère croissante des Français certes encore rentrée mais frémissante, il n'a d'autre choix que celui de la fuite en avant dans le totalitarisme de la radicalité régimiste redessinée à la mode sanitaire  par l'encadrement sévère de la vie de chacun et l'exigence d'un alignement populaire par contrôle absolu de tous les actes du quotidien.
 
Les "décisions difficiles" dont il est désormais question pour enrayer la fantasmagorique montée en puissance d'un virus banal doivent se lire à cet éclairage.
 
Macron et les siens n'hésiteront pas, même au prix d'une aggravation de la situation économique - les grandes sociétés financiarisées choyées par le Système seront peu touchées contrairement aux commerces et aux petites entreprises dont le sort importe peu à ceux qui se croient puissants - à faire couler sur les libertés publiques une chape de plomb qui n'empêchera certes pas l'ensauvagement allogène mais la dissimulera un peu pour un temps, et surtout donnera au gouvernement les moyens d'étouffer dans l'oeuf la colère des braves gens.
 
Qu'ils prennent garde cependant. Les Français sont lents dans leurs réactions. Leur capacité d'inertie, de passivité, de panurgisme et d'acceptation de ce qu'on leur impose est grande. Jusqu'au jour où... Les exemples sont multiples dans notre histoire qui montrent que l'obéissance trouve un jour d'embrasement général ses limites temporelles.
 
Caevant Consules... Que les consuls craignent alors la colère du peuple.

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mercredi, 09 septembre 2020

Nouvelle provocation de l'OTAN en Europe avec la complicité de Macron.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Sous le nom de code "Partenaire noble" - ce qui signifie en langage washingtonien "supplétif obéissant" - les manœuvres militaires de l'OTAN américano-centrée qui ont débuté ce lundi en Géorgie constituent une nouvelle provocation contre la Russie considérée avec constance par l'administration US comme l'ennemi prioritaire bien avant la Chine. Autre élément déterminant de ce déploiement dans la république caucasienne, la volonté bien affirmée de diviser, d'affaiblir et donc de soumettre un peu plus l'Europe à l'emprise de l'empire étoilé puisque plusieurs forces armées des nations européens ont été sommées de s'y associer. Aux côtés de la Géorgie, de la Grande Bretagne et de la Pologne, la France de Macron participe malheureusement à ces exercices de grande ampleur, creusant encore le fossé entre la Russie et nous, selon le vœu américain.
 
Le départ de la France de l'Alliance atlantique sera pour l'Etat national une priorité aussi forte que doit l'être la fin totale de l'immigration puis son inversion, et la construction d'une autre Europe. Trois conditions majeures sans lesquelles la revitalisation française ne se fera pas.

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samedi, 05 septembre 2020

Gazoduc, Novitchok et impérialisme américain.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
L'information est passée a peu près inaperçue. 
 
Début août, au coeur de l'été, les États-Unis, selon la méthode éprouvée du despotisme mondial dont ils usent sans retenue depuis un siècle, ont, par la voix de trois sénateurs proches de Donald Trump, menacé officiellement le port de Sassnitz sur la mer Baltique, base de la construction du pipeline germano-russe Nord Stream 2, de "destruction financière", faute, sans doute, de pouvoir user aujourd'hui des méthodes de jadis quand tant de ports et de villes européennes furent rasées. Cette mise en garde, appuyée par le Secrétaire d'État Mike Pompeo, intervient quelques mois après la promulgation d'une loi signée par le Président américain permettant d'imposer des mesures de représailles contre toute entreprise qui travaillerait à la réalisation de ce gazoduc. En conséquence de quoi, le chantier pourtant finalisé à 95 % est à l'arrêt total et le projet qui permettrait à l'Europe d'assurer en grande partie son indépendance énergétique pourrait être abandonné à la plus grande satisfaction de la technostructure américano-centrée.
 
Le but de cette nouvelle intimidation ? Il est triple : dissuader l'Allemagne pourtant bien timide dans ses velléités d'indépendance à l'égard de Washington de toute tentation d'émancipation européenne, éloigner le risque d'un rapprochement avec la Russie et conserver le contrôle des approvisionnements énergétiques avec l'aide de la Turquie et du Qatar.
 
C'est dans ce contexte qu'intervient l'affaire Alexeï Nalvany, du nom de cet opposant à Vladimir Poutine que le monde occidental aligné accuse d'empoisonnement. Hospitalisé à Berlin pour intoxication potentiellement mortelle au Novitchok, le dissident est devenu un enjeu majeur de la nouvelle guerre froide voulue par l'administration américaine. De nombreuses voix parmi les dirigeants allemands dont Norbert Röttgen, prétendant conservateur à la succession de l'actuelle chancelière, commencent à s'elever pour exiger d'Angela Merkel qui ne saurait y être insensible l'arrêt définitif du projet.
 
Résumons... Menaces americaines... Lois iniques accompagnées de pressions proches de la politique de la canonnière...  Nalvany empoisonné... Poutine coupable... Crise diplomatique... La Russie au ban des nations démocratiques... Le gazoduc fermé... Réussite totale pour Washington.
 
Énumérer les faits dans leur succession et la logique de leur enchaînement revient à poser clairement la vieille question romaine en forme de réponse : "Is fecit cui prodest" "celui là a fait à qui la chose profite".

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vendredi, 04 septembre 2020

La République de Macron.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Née de la défaite de 1870 et des massacres du peuple parisien de la Commune, la troisième République dont Macron commémore ce vendredi les 150 ans de la proclamation fut tout au long de son existence une république bourgeoise, mercantile, cupide, affairiste et corrompue, coupée de la Tradition, hostile à l'ordre naturel, cosmopolite et dépravée.
 
Ni le concept de "revanche" soigneusement entretenu par les gouvernements successifs à fin de diversion, ni la grande aventure coloniale et l'immensité de l'Empire ne suffisent à en gommer les tares et les fautes. Régime profondément anti social, la troisième République ne se rapprocha du peuple que lorsqu'elle eut besoin de lui pour le conduire dans les tranchées quand vint le temps de la guerre civile européenne. Avant d'oublier ses combattants, ses mutilés et ses héros lorsque le moment du grand élan national fut passé et que celui, après le traité de Versailles, du début du règne américain fut venu.
 
République de faiblesse dans les années 20 et 30, le régime, celui des partis et des loges, ne subsista qu'en usant des pires méthodes policières, en matant sans pitié les légitimes mouvements sociaux et en faisant tirer sur les patriotes le 6 février 1934.
 
Incapable de mener une politique de paix par l'alliance avec l'Italie régénérée, détruisant peu à peu les moyens matériels et le moral de ce qui fut la plus forte armée du monde, immobile et inerte devant la montée des périls, cette République créa les conditions de l'effondrement de 1940 dont la France ne s'est toujours pas remise.
 
Voilà le régime que célébre aujourd'hui Macron. Il est vrai qu'il en incarne la triste continuité.

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jeudi, 03 septembre 2020

Plan de relance : saupoudrage, illusions et vieilles recettes.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Sur 100 milliards d'euros financés aujourd'hui  en monnaie de singe mais que devront, en tout état de cause, rembourser les générations futures, le plan de relance de l'économie présenté par le Premier ministre, Jean Castex, n'en consacre que trois à la garantie d'Etat aux fonds propres des entreprises, seule mesure, si elle avait été ambitieuse, qui aurait permis aux entrepreneurs de faire face à la crise, d'investir et d'embaucher. Dans ces conditions, l'espoir de l'exécutif de 160 000 emplois créés dans les deux ans n'est qu'une vue de l'esprit. Quant à l'hypothèse d'un plan de réindustrialisation de la France et de relocalisation des secteurs vitaux de notre vie économique et de notre indépendance énergétique ou sanitaire, la modestie des sommes engagées montre bien que, pour le gouvernement, il ne s'agit en aucune façon d'une priorité nationale. Aucun plan, au demeurant - la nomination de François Bayrou au poste de Haut commissaire témoigne, par elle même, de son  inutilité - ne peut être établi par un pouvoir faible uniquement préoccupé de sa pérennisation et n'ayant, au mieux, de visibilité que sur dix neuf mois.
 
Tout le reste relève de la politique du saupoudrage et de l'art éculé d'accommoder les restes suivant les vieilles recettes politiciennes et par prestidigitation cuisinière en attendant le festin imaginaire de 2022.
 
C'est le grand retour des emplois aidés, du camouflage statistique des réalités du chômage, des chiffres masqués, des formations-cul de sac et des mythes pervers de la transition écologique fantasmée comme base incontournable de la nouvelle économie libérale, équitable, durable et universelle.
 
L'accompagnement social de la crise, lui, se fera a minima. "Cachons ces pauvres que nous ne saurions voir". 

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vendredi, 28 août 2020

France Orange mecanique. La faute a qui ?

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Loin de nous l'intention d'exonérer Emmanuel Macron et ses gouvernements de la responsabilité de l'explosion sans précédent des violences, des agressions, des actes de barbarie, des saccages et des pillages, des viols, des règlements de comptes liés au trafic de drogue, et plus largement des actes d'hostilité à tout ce qui faisait jadis le mode de vie des Français dans la paix publique et la tranquillité.
 
La part de responsabilité détenue par l'actuel Président dans cette situation est immense.
 
Mais la France "Orange mécanique" qu'évoque Xavier Bertrand dans un entretien accordé au Figaro, reprenant ainsi un terme initié par Laurent Oberstone, n'a pas vu le jour par hasard, subitement, à la faveur d'un déconfinement que certains adeptes de la culture de l'excuse auraient voulu faire rimer avec défoulement.
 
Le Président de la région des Hauts de France, et avec lui mais avec d'autres mots la plupart des dirigeants de la droite républicaine ont beau fustiger "l'immense échec du quinquennat Macron en matière d'insécurité", personne n'a oublié la responsabilité de ses prédécesseurs.
 
Tous les gouvernements successifs du régime, de droite comme de gauche, ont participé de cet effondrement.
 
Tous responsables et tous coupables ! Tous ceux qui ont laissé faire. Tous ceux qui, au fil des ans, ont refusé de donner aux forces de police et de gendarmerie les ordres qui auraient permis de juguler l'ensauvagement progressif de la société. Tous ceux qui ont fait de la Justice un dépotoir et une tribune gauchiste oubliant qu'elle devait être rendue au nom du peuple. Tous ceux qui ont laissé se défaire sous leurs yeux les valeurs et les principes de notre vrai "vivre ensemble" entre nous et chez nous. Tous ceux qui ont ouvert toutes grandes les portes au globalisme ravageur, destructeur des édifices nationaux. Tous ceux qui ont permis l'arrachement de territoires entiers à la France et toléré, voire encouragé ou même organisé l'installation sur notre sol de populations rétives aux fondamentaux de notre civilisation.
 
Ceux là l'Histoire - en espérant qu'il y ait encore demain des historiens pour l'écrire - les jugera.
 
Mais avant elle, si nous parvenons avant qu'il ne soit trop tard aux responsabilités, nous les jugerons sans faiblesse.

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jeudi, 27 août 2020

Manoeuvres américano-ottomanes en Méditerranée.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Dans un contexte de confrontation stratégique avec la Turquie dont les ambitions régionales s'affirment, la pression sur l'Europe se fait chaque jour plus lourde, l'affirmation du  leadership sunnite se précise et la volonté de reconstitution de l'empire ottoman ne fait plus de doute, la France, l'Italie, la Grèce et Chypre ont lancé des manœuvres militaires communes en Méditerranée.
 
Dans le même temps, ce 26 août, des navires turcs et un destroyer américain ont opéré conjointement dans la même zone.
 
Nous sommes sans aucune illusion sur la détermination des gouvernements français et italiens de s'opposer durablement et avec toute l'énergie nécessaire aux visées turques. La modestie de la réaction de Macron après le quasi-abordage d'une de nos frégates par un bateau-pirate turc il y a trois semaines en témoigne. Ces deux opérations simultanées ont pourtant valeur de symbole. Les États-Unis, dans leur stratégie folle de "contrainte" de la Russie seront toujours aux côtés de leur allié turc dans l'OTAN contre l'Europe et ses intérêts fondamentaux.
 
Erdogan quant à lui a annoncé son intention d'intensifier les opérations navales turques. Avec la bénédiction de l'organisation atlantique.

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mercredi, 26 août 2020

Un salon pro GPA à Paris : INTERDICTION !

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Les déconstructeurs de notre civilisation sont des gens patients et organisés. Comme les révolutionnaires de Lénine et comme les Frères musulmans, ils n'ont ni montres ni horloges mais savent que le temps joue pour eux. Aussi procèdent-ils par étapes et usent, en l'inversant, de la technique fameuse du voleur chinois qui consiste, on le sait, à habituer l'oeil à la disparition progressive d'un objet. Eux, par manœuvres et subterfuges successifs, habituent nos sociétés à l'apparition de nouvelles normes avant de les faire adopter, puis, après avoir vérifié qu'elles s'étaient imposées, passent à autre chose.
 
Il y eut d'abord la culpabilisation du mâle blanc et l'avènement du féminisme dévirilisateur. Il y eut l'avortement - d'abord encadré puis ouvert à toutes et à tout moment de la gestation. Il eut le PACS qui ne devait en aucun cas déboucher sur le mariage homosexuel. Il y eut le mariage homosexuel qui ne devait entraîner aucune conséquence sur la filiation. Il y eut la procréation médicale assistée (PMA) sans père pour les femmes seules et les couples lesbiens, méthode par elle même de destruction de la famille traditionnelle mais qui ne serait jamais - au grand jamais - suivie par une légalisation de la Gestation pour autrui (GPA), cette abomination profondément  attentatoire à l'ordre naturel.
 
Nous y voici. L'offensive de toutes les forces du nihilisme pour imposer la GPA entre dans sa phase opérationnelle.
 
Les 5 et 6 septembre à Paris le salon Désir d'enfant sera consacré en très large partie à la promotion de la GPA et sponsorisé par des cliniques privées qui en pratiquent une variante espagnole.
 
Ce salon hors la loi et hors principes supérieurs de la vie doit être purement et simplement interdit. La GPA étant, malgré l'hypocrisie d'Etat qui permet un certain nombre d'accommodements et de détournements des textes, illégale en France, le ministre de l'Intérieur et le préfet de police doivent assumer leurs responsabilités.
 
Pour nous, au même titre que le combat contre l'immigration et la défense de nos spécificités provinciales, de notre identité nationale et de nos lumineuses caractéristique européennes, l'engagement en faveur des principes et des valeurs qui fondent  notre vision de la vie et de l'homme est un axe politique majeur.

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lundi, 24 août 2020

La racaille descend dans la rue. Elle lui appartient.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
A la surprise générale des autorités de la République, la défaite du PSG face au Bayern de Munich n'a pas détourné les racailles du chemin des Champs-Elysées, ancienne plus belle avenue du monde du temps où Paris était la ville lumière, devenue le terrain de jeux favori des hordes barbares qui peuplent les cités arrachées à la France.
 
Nous l'écrivions dimanche : victoire, défaite, commémoration populaire ou manifestation, toute occasion est bonne à prendre pour brûler, casser, voler, agresser, mettre à sac.
 
Paris, on le sait, est une fête. Pas de belle fête sans pyrotechnie : les voitures garées sont faites pour y pourvoir. Pas de fête sans sensualité : les passantes sont là pour en recevoir l'hommage sauvage. Pas de fête sans relations humaines et rapprochement physique : les forces de l'ordre ont pour mission de les permettre le plus passivement possible et de subir. Pas de fête sans verre cassé : les vitrines éclatées des commerces vandalisés et pour certains pillés en témoignent.
 
3 000 policiers avaient été mobilisés par le ministre de l'Intérieur et le préfet. Auraient-ils été 30 000 que rien n'y aurait fait. Sur les Champs-Elysées désormais comme partout ailleurs à Paris, à Marseille, Nantes, Rennes, Lille, Bordeaux, Toulouse, Nice, et toutes les villes de France, la rue appartient à ceux qui y descendent. Ceux là ne foulent pas la boue sombre et se foutent des dogmes que l'on abat. Ce qu'ils foulent aux pieds c'est la France et les Français, ce qu'ils veulent abattre c'est notre civilisation et l'ordre qui en était jadis le rempart. Et si drapeaux il y a, ce n'est pas ceux des combattants mais ceux de l'étranger.

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samedi, 22 août 2020

En attendant le match PSG/Bayern de Munich.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Il fut un temps où l'équipe de football de Paris n'était pas qatarienne.
 
Un temps où les victoires sportives se fėtaient dans la liesse populaire sans que les commerçants ne redoutent violences, incendies et pillages.
 
Un temps où le mot "sauvagerie" n'évoquait que le comportement exotique de quelques peuplades lointaines de l'Empire.
 
Un temps où les Champs Elysées étaient, le jour comme la nuit, là plus belle avenue du monde dans la sécurité, la tranquillité, l'esthétique et la bonne humeur françaises.
 
Un temps où il n'existait pas de couvre feu de fait pour les braves gens et où les femmes étaient courtisées mais respectées.
 
Un temps, il est vrai, où la mise en garde de  Hegel - "L’erreur la plus fatale pour un peuple est d’abandonner ses caractères biologiques" - ne se posait même pas.

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vendredi, 21 août 2020

Le virus féministe poursuit sa contagion.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
La disparition programmée des hôtesses du tour de France peut paraître anecdotique. Elle est pourtant révélatrice de l'involution des esprits et de la progression des forces érosives.
 
L'hystérie féministe qui étend son emprise vient, en effet, en complément de toutes les autres offensives auxquelles nous sommes confrontés : destruction des valeurs, submersion migratoire, contagion islamique.
 
L'apartheid homme/femme est, au demeurant, un projet commun de l'islamisme et de l'extrémisme féministe. La différence est que le premier veut l'asservissement des femmes, le second celui des hommes.
 
Mais les deux se retrouvent dans une volonté de destruction des principes et des moeurs qui ont fait l'Occident et participent de l'ordre naturel des choses de ce monde.
 
Et les deux créent petit à petit les conditions de la mort de tout ce qui fait notre civilisation.

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jeudi, 20 août 2020

Il faut sauver le soldat Loukashenko... Pour le moment.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Quand on voit qui est contre Loukashenko, de Soros à Bernard Henri Lévy, des États Unis à la Pologne américanoïde, de la féministe Tikhanovskaia, égérie de la "révolution" à toute la lèpre progressiste, mondialiste et financiariste occidentale, des sémillants bobos de l'intelligentsia parisienne aux cloportes de la Commision européenne aux ordres de Washington et du Berlin de Merkel, on ne peut qu'être pour. 
 
Mais le régime de Minsk étant ce qu'il est, fragile et caricatural, le mieux serait encore l'annexion pure et simple de la Biélorussie - la "Russie blanche" - par Moscou comme a su si bien le faire Poutine avec la Crimée, au nom du retour à la mère Patrie.
 
Tout ce qui fait obstacle au nouvel ordre mondial est bon pour nous.

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mardi, 18 août 2020

Nous, nous avons le droit de cracher sur Voltaire. Pas eux !

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L'avis Jean-François Touzé
 
Optempérant aux pressions et intimidations des associations racialistes, et après de nombreuses dégradations, la Mairie de Paris vient de décider le déboulonnage d'une statue de Voltaire.
 
La disparition des statues de ce répugnant bonhomme Arouet, philosophe approximatif, gaucho avant l'heure, bourgeois onaniste, profiteur et cupide, ami de toutes les mauvaises causes et agitateur anti-Tradition ne serait pas, en elle même, propre à me donner des regrets. 
 
Seulement voilà : nous, nous aurions le droit de le remettre à sa place - et peut être même le devoir de le faire dans une optique de revitalisation française et européenne. Pas eux !
 
Les associations et organisations venues d'ailleurs qui s'en prennent à notre histoire, nos écrivains, nos hommes d'Etat, nos généraux peuvent toujours, si le coeur leur en dit, déboulonner leurs totems, détruire leurs emblèmes Vaudou et effacer de la surface de la terre le souvenir de leurs roitelets et potentats négriers. Chez eux !

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samedi, 15 août 2020

L'empire de la servitude sanitaire.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le corinavirus circule, certes. 
 
- Comme tous les virus il n'est pas inoffensif, mais il est peu mortel, et parmi ceux qui y succombent, beaucoup seraient morts en toute hypothèse d'autres pathologies ou de l'épuisement de leur âge ; d'autres sont morts AVEC le COVID, mais pas DU COVID. 
 
- Aucune surmortalité n'a été enregistrée en France ces derniers mois.
 
- Le nombre de personnes hospitalisées continue, jour après jour de baisser, tout comme celui des malades en réanimation.
 
- La plupart des contaminés le sont aujourd'hui à cause de leur imprudence juvénile, de leurs habitudes "communautaires", de la promiscuité des "quartiers" où ils vivent ou des pays d'où ils reviennent.
 
S'il y a une deuxième vague, c'est celle de l'intoxication gouvernementale diffusée par ses obligés scientifiques et relayée avec complaisance, mais aussi avec incompétence, manque total de sens critique ou du discernement, des journalistes des chaînes d'information en état de cécité absolue depuis leur formatage dans le moule des écoles dont beaucoup viennent à peine de sortir.
 
S'il y a une deuxième vague, c'est celle, après le confinement général, du confinement des esprits par sidération des consciences dans un alignement global qui est la marque bien connue de ce que Guy Debord appelait l'empire de la servitude en précisant : « La décadence générale est un moyen au service de l’empire de la servitude ; et c’est seulement en tant qu’elle est ce moyen qu’il lui est permis de se faire appeler progrès. »

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vendredi, 14 août 2020

Turquie : un jour ou l'autre il faudra bien faire face.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Le dictateur islamique Erdogan accuse Macron de néocolonialisme après son voyage au Liban.
 
C'est entendu, avec ses déclarations de Tartarin du Touquet et ses postures de président-playmobil à la reconquête de l'Orient compliqué, Macron s'est ridiculisé lors de son déplacement à Beyrouth.
 
Cela, nous avons, nous nationaux, le droit - et même le devoir - de le dire. Pas Erdogan !
 
Engagé dans la reconstruction de l'Empire ottoman et le rétablissement du califat ; étendant son influence du Maghreb aux Balkans et aux terres islamiques de l'Empire russe ; développant à outrance ses moyens militaires et les engageant sur de multiples terrains d'opération ; jouant de son appartenance à l'OTAN et de la complaisance intéressée des États-Unis tout en ménageant pour le moment, en sachant jusqu'où ne pas aller trop loin, la susceptibilité russe ; disputant le leadership sunnite régional à l'Egypte et ses alliés du golfe arabique; menaçant la Grèce ;  s'accaparant le contrôle de la route des hydrocarbures ; faisant de la question migratoire une arme de chantage sur l'Europe avant d'en faire demain un instrument de conquête avec l'aide de ses alliés islamistes, des frères musulmans et de la cinquième colonne de la consistante et très encadrée  diaspora turque, le nouveau sultan constitue pour notre continent et notre civilisation une menace mortelle.
 
La France et l'UE, au delà de quelques paroles incertaines et molles, détournent le regard de ce danger comme elles cachent en permanence leur regard sous leurs ailes d'autruche des savanes.
 
Le moment de la confrontation viendra pourtant. Inévitablement. Plus longtemps nous atermoierons, plus dur sera le conflit qui vient, nouvel épisode de la poussée turque et de l'impérialisme islamique millénaire sur l'Europe.
 
Ce jour là, ou bien la France se sera relevée et saura faire face au coude à coude avec nos frères de la grande Europe et le soutien actif de la Russie, et, pour les Turcs, le choix sera alors entre l'abandon total de leurs espérances et la plus cuisante des raclées... Ou bien nous succomberons définitivement. 

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mercredi, 12 août 2020

Macron, fier à bras au Sahel ou au Liban, impuissant en France.

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L'avis de Jean-François Touzé
 
Macron veut renforcer la sécurité des Français au Sahel comme il veut, contre tout bon sens et raison, imposer la Pax Républicana systémique au Liban.
 
Une fois de plus Macron confond le réel et la brume de ses rêves.
 
Le réel c'est la montée terrifiante de la barbarie en France, de la délinquance dans nos villes et nos campagnes, de la main mise mafio-allogène sur l'économie parallèle, et de l'entreprise criminelle substitutive.
 
Assurer la sécurité des Français en France, éradiquer l'ensauvagement du pays, mettre au pas les cités occupées, anéantir la menace islamique sur notre sol national, démanteler les trafics, détruire les stocks d'armes de guerre entreposés dans les banlieues, agir avec fermeté et détermination contre la racaille venue d'ailleurs, expulser sans délai les délinquants étrangers et ceux qui pourraient constituer une menace pour la paix publique,  en un mot rétablir l'ordre français, voilà ce que nos compatriotes attendent.
 
La sécurité de nos représentants diplomatiques et de nos ressortissants impliqués dans les efforts économiques ou autres au service de l'intérêt national doit bien sûr être organisée. Celle de quelques bobos expatriés pour servir des idéaux planétaristes et amateurs de pique-niques au milieu des girafes, est indifférente aux Francais et inutile à la France.

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