jeudi, 22 août 2019
A qui profite la crise ?
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mercredi, 21 août 2019
La fin de la coalition italienne était inévitable.
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mardi, 20 août 2019
Biarritz livré à la canaille mondialiste et à la canaille gauchiste...
Biarrots et Biarrotes, estivants et touristes, il ne vous reste que quelques jours pour fuir la ville ou préparer le barricadement de vos maisons et stocker des vivres.
Samedi, il sera trop tard. Biarritz, déclarée ville ouverte, sera investie par les colonnes de l'Internationale libéraliste et du planétarisme financier.
L'autre internationale, celle de la crapule gauchiste, anarchiste et altermondialiste sera là elle aussi, groupée autour de ses hordes dévastatrices.
Pensez à vos familles.
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dimanche, 18 août 2019
La rencontre entre Vladimir Poutine et Emmanuel Macron
L'avis de Jean-François Touzé
La rencontre lundi au Fort de Brégançon entre Emmanuel Macron et Vladimir Poutine ne relève que de l'exercice classique des relations internationales. Dans un monde occidental en ordre de marche elle n'aurait rien d'exceptionnel.
• Ce qui est anormal et insultant pour cette grande nation qu'est la Russie, c'est que son Président soit exclu des sommets du G7 ;
• ce qui est anormal et imbécile c'est l'interférence constante de l'ouest dans la vie publique et intérieure de la Russie au nom des droits de l'homme et d'une démocratie fantasmée ;
• ce qui est anormal et stupide c'est que, s'allignant sur la politique astigmate des États-Unis d'Amérique, l'Europe et la France appliquent contre l'Etat et le peuple russe des sanctions économiques et stratégiques contreignantes et totalement contre-productives pour les punir d'avoir agi en Ukraine en fonction de leurs intérêts nationaux - ce qui était non seulement leur droit, mais leur devoir - et d'avoir récupéré, avec la Crimée, un de leurs biens ancestraux ;
• ce qui est anormal et potentiellement désastreux pour notre continent et notre civilisation, c'est qu'un occident dégénéré pousse, jour après jour, vers les bras chinois une Russie dont la vocation politique, l'identité spirituelle et l'inclinaison profonde était, au moins depuis Pierre le Grand, de se tourner vers nous.
Il ne reste que peu de temps à l'Europe pour réaliser le rêve continental et boréal d'une Europe de la vraie puissance et du destin.
Les postures et les poses de Macron ne tromperont personne.
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samedi, 17 août 2019
Non, l'Afrique n'est pas venue "libérer" la France.
Jean-François Touzé
Les soldats qui ont débarqué le 15 août 1944 en Provence n'étaient pas africains. Ils étaient Français. Ils s'appelaient Juin, de Lattre, Brosset, Salan, de Montsabert, Guillaume...
Ils commandaient des troupes françaises de l'armée d'Afrique au sein de laquelle furent engagés plus de 170 000 pieds noirs "revenus de loin pour sauver la Patrie, avec au cœur une invincible ardeur" et à laquelle appartenaient, comme il se doit, les unités coloniales et indigènes encadrées par des officiers et des sous officiers français sous le drapeau national.
Puisque Macron veut baptiser nos rues et nos places de noms glorieux injustement oubliés, celui de Salan paraît s'imposer.
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samedi, 10 août 2019
A propos de "l'union des droites"...
Jean-François Touzé
Je ne crois pas à court terme à l'Union des droites en France. La droite républicaine malgré son affaiblissement clinique n'a pas encore atteint le point de décomposition absolue et Macron, en en récupérant une partie, pérennise le Système, tandis que la droite nationale reste éparpillée et sans leader incontesté. Les choses se feront un jour. Probablement dans des conditions, selon des modalités et autour d'une personnalité encore imprévues.
Mais si l'Union des droites est un jour possible chez nous, elle devra ressembler à ce que bâtit aujourd'hui Matteo Salvini.
l'Union de la Lega, structure majeure et centrale, de Fratelli d'Italia, des reliefs de Forza Italia, le tout soutenu par Casa Pound, voilà qui me va très bien.
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jeudi, 25 juillet 2019
La prise de position de Jean-Marie Le Pen sur la PMA ne fait pas l'unanimité
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mercredi, 17 juillet 2019
CETA : un traité scélérat anti national et anti européen
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lundi, 08 juillet 2019
Europe : trocs et petites affaires entre amis.
- Ursula von der Leyen sera donc la nouvelle présidente de la Commission. Totalement acquise à la cause fédéraliste, elle qui, voici quelques mois appelait à la création des États-Unis d’Europe, l’ancienne ministre allemande de la défense est pourtant durement contestée dans son pays du fait d'une série de scandales qui ont éclaboussé la Bundeswehr et son ministère : matériel obsolète, sous-investissements, experts surpayés, opacité budgétaire… Si bien que le verdict des Allemands est sans appel : selon un sondage récent du quotidien Bild, elle est considérée comme l'une des deux ministres les moins compétents du gouvernement. Cela n’a pas empêché Emmanuel Macron de la soutenir tandis qu’Angela Merkel considérait que cette nomination était celle du moindre mal.
- Charles Michel, quant à lui, sera un président du Conseil arrangeant et accommodant comme il sied à un libéral et comme il a pu en faire la démonstration à la tête du gouvernement belge où il sut pratiquer avec zèle l’art du compromis et de la compromission.
- Le social-démocrate Josep Borrell, actuel ministre espagnol des Affaires étrangères, Catalan fervent, prendra la suite de l’Italienne Federica Mogherini à la tête de la diplomatie de l'UE, c’est-à-dire à la tête du néant.
- Avec Christine Lagarde, enfin, nommée malgré sa condamnation (avec dispense de peine) dans l’affaire Crédit lyonnais/ Bernard Tapie, la France macronienne sauve ce qui pour elle était l'essentiel : la continuité de la politique de Mario Dragui des taux d’intérêt zéro et des QE (« quantitative easing »), vaste programme de rachats d'actifs destiné à éviter à la zone euro de sombrer dans la crise ; une continuité que l’hypothèse de la nomination de l’actuel président de la banque fédérale allemande Jens Weidmann ne garantissait nullement, c'est un euphémisme, lui qui s’est toujours élevé contre le laxisme de Dragui. Avec Christine Lagarde la France pourra continuer de s'endetter sans frais et de vivre à crédit en attendant que ne sonne, un jour ou l’autre, l'inévitable fin de la récréation. Les marchés ont, quant à eux, salué cette nomination en soulignant que le manque d’expérience de Christine Lagarde en matière de gestion d’une banque centrale était largement compensé par son profil politique accommodant. Euphémisme pour servilité.
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lundi, 01 juillet 2019
Traité du Mercosur : un accord scélérat signé par l’UE avec le soutien de Macron.
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lundi, 24 juin 2019
Quotas de migrants ? Non ! Mais quotas de rémigration, OUI, mille fois oui !
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mercredi, 19 juin 2019
Alliances des droites aux Municipales, oui ! Mais au niveau national c’est un leurre.
Jean-François Touzé
L'histoire politique de la droite française de ces trente dernières années s'écrit en mode palimpseste, toujours recommencée sur une même page régulièrement effacée.
L’effondrement de l'appareil LR n'est qu'un chapitre de ce manuscrit surchargé. Le ralliement d'une partie de la droite et du centre à Macron en est un autre qui rappelle les riches heures du libéralisme avancé de Giscard. Il n'est pas étonnant dans ces conditions que Marine Le Pen, par parallélisme anachronique des formes, s'emploie à contretemps sinon à contre-flots, à reconstruire le RPR sous le nom de Rassemblement National pour tenter d'en faire, malgré son indigence militante et la faiblesse de son implantation, l’ultime avatar du gaullisme systémique. Tout cela est voué à l’échec.
Dans ces conditions, la reconstruction d'une gauche aujourd’hui réduite à l’état de ruines éparses mais qui sait se retrouver quand pour elle l'essentiel est en jeu, est inévitable, ouvrant la porte à un succès comme ce fut le cas en 1981.
La droite, pourtant, est largement majoritaire dans notre Pays, non par les organisations qui s'en réclament abusivement mais par les principes fondamentaux et les valeurs éternelles qu'elle porte. Défendons ces dernières, mais ne composons pas avec les premières ou ce qu'il en reste. L’électorat de droite est à capter. Les appareils, eux, ne sont qu’à acheter. Et c'est à Macron qu'ils se vendront..
L’éthique de conviction chère à Max Weber sera toujours, moralement bien sûr mais aussi politiquement, supérieure à l’éthique de responsabilité qui n'est souvent que l'alibi des pires renoncements.
L’Union des droites au niveau national est un leurre. Elle peut, en revanche fonctionner à la base pour les Municipales ou des alliances sont théoriquement possibles mais concrètement incertaines dans la mesure où compter électoralement dans une ville suppose qu'ait été réalisé en amont un travail long et patient de présence militante et de crédibilité politique. Les Jean-Pierre Stirbois ne sont pas nombreux. Les Dreux se compteront, en conséquence, sur les doigts de deux mains. D'autant que comme le socialisme municipal, le municipalisme républicain continue d’être fort. Nous devrons cependant soutenir toutes les initiatives concrètes et pertinentes qui se seront engagées.
Mais ne nous y trompons pas: comme le chat de Lewis Carroll, la perspective d'union au national s'éloigne au fur et à mesure que l'on croit s'en approcher, ne laissant que la trace de l’invite d’un sourire flou accroché à l'ombre d'un arbre. L’Union des droites est bien le nouveau piège dressé par le Système.
La droite nationale ne doit pas se laisser endormir par des stratégies fumeuses, combinaisons politiciennes d'un autre temps, rendues caduques par les faits.
Nous devons penser plus loin, plus haut, plus fort, avec plus d’ambition, plus de vision, et préparer, selon une méthode qui reste à définir, la seule échéance qui compte vraiment, celle de 2022, où, cette fois, une nouvelle donne nationale devra être structurée, organisée, proposée et incarnée.
Nous n'avons pas beaucoup de temps devant nous. Raison de plus pour ne pas en perdre.
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lundi, 17 juin 2019
Services d'Urgences : la grande misère des hôpitaux français au temps de l'immigration de masse
09:18 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 16 juin 2019
Irresponsabilité pénale avant 13 ans : du laxisme à l'encouragement
Jean-François Touzé
Délégué national du Parti de la France
aux Études et Argumentaires
En annonçant son intention d'établir un seuil d'irresponsabilité pénale à 13 ans, la ministre de la Justice, Nicole Belloubet, ne fait pas que se conformer aux desiderata de diverses organisations internationales telles que la Cour de justice européenne ou la Convention internationale des droits de l'enfant : elle crée les conditions d'une déferlante de la délinquance et de la criminalité tolérées par l’État, organisées et légalisées par les pouvoirs publics.
Dealers des cités, petits et grands caïds venus d'ailleurs, sauront utiliser cette main d’œuvre incondamnable, tandis que le sentiment de totale impunité sera renforcé, livrant nos rues à la sauvagerie.
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mercredi, 12 juin 2019
A propos de "la droite"...
Jean-François Touzé
Jean-Pierre Maxence, en 1936 : "D'une droite qui, en dépit de ses tares, fut grande par les traditions morales, les vertus chevaleresques et terriennes, le courage et la volonté de victoire, on a fait une droite hagarde, avide de ses intérêts, cramponnée à des lambeaux de liberté, de tolérance, sentimentalement encore mais inefficacement attachée à des idées et à des réflexes en déroute, une droite désespérée, inerte, capable encore de réticences, de réserves, mais incapable d'offensives, de décisions, une droite qui ne croit plus en elle même".
Et son ami Pierre Drieu la Rochelle, deux ans plus tard dans l'Émancipation nationale (NDLR : organe du PPF) "La droite, en tant que force politique et force sociale conservatrice d'une certaine tradition morale ne croit plus en elle même. Et la France, par contrecoup, croira de moins en moins en elle même".
Depuis ces années d'avant guerre, d'erreurs en trahisons, de renoncements en abandons, le moins que l'on puisse dire est que la droite française n'a contredit ni l'un ni l'autre de ces grands penseurs nationaux.
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mardi, 04 juin 2019
Attentat de Lyon : nouvelle étape de la stratégie islamique.
- L’attentat commandité par une organisation, le plus souvent depuis l’étranger, impliquant des réseaux logistiques et opérationnels. Cf. les attaques du 13 novembre 2015 à Paris.
- Les attentats « sous faux pavillon » organisés par une puissance étrangère. La France, dans le passé a été à de multiples occasions touchée par cette forme de terrorisme, sur son sol comme à l’étranger, au gré des divergences diplomatiques, militaires ou même économiques qu’elle pouvait avoir avec l'Iran, la Syrie, la Libye ou d'autres États du moyen Orient. Depuis la fin des années 1990 ces actions ont cessé. Elles peuvent recommencer à tout moment.
- L’attentat commis par un ou plusieurs « radicalisés », faisant, pour la forme, allégeance à Daech aujourd’hui, à une autre organisation demain, usant de méthodes artisanales – couteaux, haches, véhicules automobiles… De Nice à Saint Étienne du Rouvray en passant par Strasbourg, le deuxième arrondissement de Paris et tant d'autres sites ensanglantés, on ne compte plus ce genre d’attaques. Les assassins sont parmi nous et ils sont des milliers, voire potentiellement des dizaines de milliers.
- L’attentat concerté au sein d'un groupe formant une cellule organisée mais autonome, le plus souvent issue de la petite ou moyenne délinquance, ayant défini des objectifs clairs : ce fut le cas des attaques meurtrières des frères Kouachi et d'une certaine manière, avant eux, de Mohamed Merah.
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jeudi, 30 mai 2019
General Electric : une tragédie sociale dont Macron est le premier responsable
Jean-François Touzé Délégué national du Parti de la France, en charge des études et de l'argumentaire
L'annonce par General Electric de la suppression de 1.000 postes dans son usine de Belfort est incomplète et insincère : si l'on prend en compte les répercussions inévitables sur les sociétés sous-traitantes, c'est, en effet, non pas 1.000 mais au total entre 3.000 et 4.000 emplois qui sont menacés.
Dans cette tragédie sociale, la responsabilité d'Emmanuel Macron est totale. C'est lui, en effet, qui, en tant que Secrétaire général adjoint de l’Élysée chargé des affaires industrielles, puis en tant que ministre de l'économie, fut le chef d'orchestre de la session de la branche énergie d'Alstom à General Electric qui avait pris l'engagement non seulement de conserver tous les postes existants mais d'en créer mille nouveaux.
Macron a donc agi soit par incompétence, soit, en toute connaissance de cause, par cynisme et choix funeste de désindustrialisation de la France amenée à devenir, pour les tenants du mondialisme, un pays de services.
Dans les deux cas c'est un des fleurons industriels et économiques de notre pays que celui qui est aujourd'hui Président de la République a délibérément bradé, et l'intérêt social d'une ville et d'un département qu'il a négligé au profit exclusif de celui des actionnaires.
Le Parti de la France réaffirme sa volonté politique d'une réindustrialisation ambitieuse de la France correspondant aux réalités des besoins du marché, et d'une économie européenne ouverte au monde mais conquérante et protégée.
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lundi, 20 mai 2019
Tribune libre : En mai, fais ce qu'il te plait...
- L'Europe réunie doit-elle l’être sous un mode fédéral régi par une autorité centrale de nature nécessairement technocratique ou relever d'une coopération toujours plus étroite des Nations libres coordonnée par le Conseil des Chefs d'États et de Gouvernements ?
- L'Europe réunie doit-elle se constituer en puissance politique, économique, diplomatique et militaire en se donnant les moyens moraux, financiers, matériels et structurels de l'affirmation et de la réalisation de cette ambition ou demeurer une entité molle, sans force ni volonté, aboulique et impuissante, soumise aux mille vents mauvais de la globalisation, de l’immigrationnisme, du nouvel ordre mondial et de la spéculation ?
- L'Europe réunie doit-elle rompre avec l'utopie mondialiste et la soumission à d’autres intérêts que les siens, en créant les conditions de son indépendance et de sa protection économique, identitaire et sécuritaire ou rester un vassal ballotté au gré du bon vouloir de Washington ?
- L'Europe réunie doit-elle travailler à la mise en œuvre d'un partenariat civilisationnel avec la Russie, partenariat qui, par la nécessité des choses et la force de l'entraînement soudera Russie et monde occidental face aux menaces que constitue l’émergence de grandes puissances régionales aujourd’hui, mondiales demain, en particulier la Chine, ou laisser Moscou se tourner définitivement vers Pékin ?
- Pour La République En Marche, deux mots d'ordre qui n'en font qu'un : battre le « populisme » et arriver en tête devant la liste Bardella tout en ménageant Marine Le Pen sélectionnée comme meilleure chance pour Macron de l'emporter en 2022, et donc instituée comme opposante privilégiée par la propagande gouvernementale.
- La liste du Rassemblement national quant à elle, radeau de la Méduse des anciens UMP/Républicains en mal de mandat, et des apparatchiks marinistes les plus dociles, oscillant d'une stratégie à une autre, d'une droitisation à une re-gauchisation au gré des circonstances, des sondages, des humeurs et des rencontres de sa Présidente, aura tout au long de la campagne, confirmé son incohérence stratégique et son incapacité à naviguer autrement qu'à vue, tout en mettant en lumière son jeu clanique.
- Les Républicains, malgré quelques bonnes dispositions de leur tête de liste (sur l'immigration, sur les valeurs ou sur les racines chrétiennes de L’Europe), restent ce qu'ils sont et ce que la bien-pensance leur dicte d’être : le dernier îlot d'un centre droit systémique ayant depuis longtemps perdu tout sens des réalités et tout contact avec le monde extérieur.
- Pour la gauche, l'enjeu était ce qu'il est de toute éternité : celui d'un congrès dont chacun espère sortir en tête de la grande valse des motions.
- Nicolas Dupont Aignan, enfin, aura, pour exister, fait beaucoup d’efforts désordonnés, erratiques et parfois déloyaux à l’égard de ceux qui le soutenaient avec, au final, la perspective dérisoire d’une bataille de titans lilliputiens pour savoir qui, de lui-même, de Philippot ou d'Asselineau l'emportera en dépassant les 2 %.
- Nous n'évoquerons ici aucune des listes virtuelles, tout en comprenant que tel ou tel veuille se faire connaître, car nous considérons que la politique est chose sérieuse qui doit être traitée avec rigueur.
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mardi, 14 mai 2019
Hausse du carburant : c'est reparti.
- Le prix du pétrole tout d’abord. Depuis le début de l’année, une baisse de la production et un euro faible face au dollar ont largement renchéri les cours du baril de brut. Celui-ci rentre pour un tiers environ dans le niveau du prix d’un litre de carburant, avec le transport et la distribution.
- Le contexte géopolitique, ensuite. Les incertitudes liées à la guerre commerciale voulue par les États Unis et la situation de plus en plus menaçante au moyen Orient créent les conditions d'une crispation des marchés pétroliers ; une situation que la crise ouverte entre les États Unis et l’Iran à propos du nucléaire, assortie de menaces militaires US (les Américains ont envoyé un porte-avions, plusieurs dizaines de bombardiers B52, des véhicules amphibies et une batterie de missiles Patriot sur zone), de gesticulations menaçantes de l’Arabie Saoudite, et d'un ultimatum sur 60 jours de Téhéran mettant les Européens devant leurs responsabilités, ne peut qu'aggraver dans la mesure où la France doit importer 99 % du pétrole dont elle a besoin.
- Le poids de plus en plus lourd de la fiscalité, enfin. Si un tiers du prix du carburant est lié à celui du brut, les deux autres tiers sont intégralement constitués par deux taxes : la TVA et surtout la TICPE (taxe intérieure sur la consommation de produits énergétiques), qui inclut la taxe carbone dont la hausse, rappelons-le, n'a pas été annulée par le gouvernement en décembre dernier comme veut le faire croire la propagande de Matignon, mais seulement reportée au début de l’année prochaine. Résultat : sur un litre de carburant vendu 1,60 € à la pompe, un euro part dans les poches de l’État. Ce qui représente une manne de 34 milliards d’euros (Mds€) par an, dont le gouvernement n’a nullement l’intention de se déposséder (la proposition émise par Macron au mois de février de restaurer la taxe flottante de Lionel Jospin censée faire baisser la fiscalité sur le carburant en fonction de l’augmentation du coût de l'importation du pétrole étant un leurre destiné à tromper les consommateurs : la taxe flottante, si elle a coûté 2,7 milliards d'euros à l'État pendant le court moment où elle fut en vigueur, n'a nullement bénéficié aux automobilistes puisque la baisse du prix à la pompe n'a, à aucun moment, dépassé les 2,2 centimes.
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lundi, 06 mai 2019
Dien Bien Phu, le 7 mai 1954
Jean-François Touzé
Pour beaucoup de jeunes de la génération qui m'a précédé, la chute de Dien Bien Phu, le 7 mai 1954, fut l'élément déclencheur de leur engagement au service de la cause nationale.
Hélas ! Bien d'autres drames allaient suivre engendrant d'autres abandons et d'autres trahisons.
Mais ces trois mots, Dien Bien Phu, scansion obsédante d'un chant funèbre et de rage, continuent de raisonner en nous comme un rappel constant au devoir militant.
Honneur à tous nos officiers, sous officiers et hommes du rang tombés en Indochine et à ceux qui subirent l’abomination physique et mentale des camps viets.
10:23 Publié dans Jean-François Touzé, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
samedi, 04 mai 2019
C'est pourtant une évidence...sauf, évidemment, pour les tenants de la pensée dominante
10:23 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 29 avril 2019
Macron aux Français : « Je ne vous ai pas compris »…
16:47 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 08 avril 2019
Alliance atlantique : soixante-dix ans, ça suffit !
16:57 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 02 avril 2019
Sécurité routière : d'abord faire payer les Français
Jean-François Touzé
Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire
Emmanuel Macron et pour son Premier ministre Édouard Philippe, l’orientation à la hausse de la mortalité routière constatée ces dernières semaines (+17,1 % en février avec 253 personnes tuées après une augmentation de 3,9 % en janvier) a été provoquée par les nombreuses destructions de radars, enregistrées depuis l'été dernier.
En réalité, ne voulant pas reconnaître l'inutilité punitive et l'inefficacité totale de la mesure des 80 km/heure sur le nombre d'accidents de la route, le pouvoir cherche donc un bouc émissaire commode. Il est jaune et porte un gilet. Il doit être désigné comme responsable et coupable.
La réalité des causes des accidents et surtout de la mortalité routière est pourtant connue : la fatigue et la somnolence, la prise d’alcool ou de drogue (25 % des cas), l'inattention et les manœuvres dangereuses (26 %), le non-respect des distances de sécurité, l'implication de poids lourds (14 % des cas) et le mauvais état des routes. La fable des radars brisés sert donc bien trois buts : culpabiliser les automobilistes, designer les Gilets jaunes à la vindicte populaire et tenter une diversion face à l'incapacité gouvernementale à prendre de vraies mesures pour réduire l’insécurité routière et enrayer la spirale de la hausse des accidents.
Mais, ce qui préoccupe au premier chef le gouvernement, bien au-delà de l’impact humain, dans cette très hasardeuse et totalement hypothétique mise en avant de la responsabilité de la destruction des radars, ce sont les conséquences budgétaires de ces supposés actes de vandalisme.
Selon les derniers chiffres de Bercy, relayés par Les Échos, les dégradations de radars qui se seraient amplifiées à la faveur de la crise des gilets jaunes, laisseraient sur les seules années 2018 et 2019 un trou de plus de 660 millions d'euros dans les comptes publics.
Ces chiffres restent à démontrer. Mais leur publication et leur mise en avant par les pouvoirs publics montrent, s'il en était besoin, où sont les vraies priorités du pouvoir en matière de « prévention » routière : emm… r les Français, comme le notait déjà Georges Pompidou, alors Premier ministre, et surtout faire des automobilistes les vaches à lait de la République.
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lundi, 25 mars 2019
Recours à l’armée ? Aujourd’hui non ! Mais demain ?
09:34 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 19 mars 2019
Enfants de djihadistes : stop au chantage à l'émotion !
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samedi, 16 mars 2019
Stop à l'émotivité. Les Français ne veulent pas d'eux.
Jean-François Touzé, directeur de Confrontation
Cinq enfants de djihadistes sont de retour sur notre sol national après un séjour en Syrie.
Quel que soit leur âge, qu'ils soient orphelins ou non, qu'ils aient tué et participé à des exactions ou pas, qu'ils fassent des risettes, des grimaces ou la moue, ces enfants ne sont plus français, si tant est qu'il l'aient jamais été, au delà des papiers que détenaient leurs parents coupables d'avoir pris les armes contre la civilisation.
La France n'a aucune responsabilité à assumer quant à leur sort et le terme de "rapatriement" ne peut être utilisé.
Stop à l'émotivité. Les Français ne veulent pas d'eux.
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lundi, 25 février 2019
Au moment où s'ouvre le Salon de l'Agriculture, le Parti de la France présente ses 12 propositions pour le monde rural :
- Alléger la pression administrative et normative pesant sur les exploitations et procéder au gel de toute nouvelle évolution réglementaire risquant de générer de nouvelles charges.
- Réduire le coût du travail, notamment saisonnier, pour permettre aux employeurs agricoles d'être compétitifs par rapport à leurs concurrents européens.
- Permettre par la loi un rééquilibrage équitable entre les intérêts des agriculteurs, des industries de transformation, et surtout ceux de la grande distribution en mettant un coup arrêt aux pratiques et méthodes de cette dernière trop souvent établies sur la base du fait accompli. C'est aux producteurs qu'il appartient de fixer les prix.
- Limiter le développement et les effets de l'agriculture cellulaire encouragée par les multinationales de l’industrie agro alimentaire et les fonds de pension anglo-saxons.
- Légiférer contre l'accroissement des accaparements de terres fertiles par des groupes étrangers sans rapport avec le domaine de l'agriculture et, à l'inverse, prendre des mesures pour assurer la transmission et les successions dans la pérennité des exploitations et chaque fois que cela est possible, dans le cadre familial.
- Promouvoir la qualité française par l’instauration d'un label de référence tout en agissant dans le cadre de la Politique Agricole Commune pour une protection des productions communautaires, le refus des traités commerciaux qui ouvrent les portes à des produits qui ne respectent pas les normes imposées à nos agriculteurs, et une dynamisation de nos exportations.
- Stopper le processus en cours de transfert des aides européennes à l’agriculture vers un budget dédié à l'accueil des migrants.
- Garantir le versement dans des délais raisonnables des aides promises par la Commission européenne et par les Régions aux exploitants, en particulier aux producteurs laitiers qui font le choix du bio.
- Mettre fin à l'agribashing. Nos compatriotes agriculteurs sont de plus en plus en proie à des campagnes incessantes de dénigrement sur les thèmes de la pollution, de la malbouffe, de la maltraitance animale, alors que l'agriculture française est exemplaire dans sa réduction des traitements phytosanitaires et des pesticides, comme dans sa recherche de qualité. Ces campagnes doivent cesser tout comme doivent cesser les actions pro véganisme.
- Développer la recherche pour une agriculture française de la précision et de l'excellence
- Soutenir les filières à forte potentialité comme les céréales, la viticulture et les produits laitiers.
- Mettre fin aux sanctions contre la Russie qui, en suscitant des mesures de rétorsion contre l'Europe et donc contre la France, met en péril de nombreuses exploitations, touchant en particulier les filières du porc, du lait et des fruits et légumes.
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lundi, 18 février 2019
Chômage : une baisse en trompe-l’œil.
- Entrée attendue en récession des États-Unis où la consommation vient de reculer de 1,2 % au mois de décembre, en pleine période de Noël et où les défauts de remboursement d'emprunts, en particulier automobiles, explosent (on se souvient que les défaillances de crédits furent l'un des signes précurseurs de la crise de 2008) ; celle, avérée, même si elle n'est pas reconnue officiellement malgré deux trimestres de croissance négative ou nulle, d’Allemagne où, là encore, la consommation des ménages s'est effondrée fin 2018 et dont les exportations ne cessent de reculer ; ralentissement de la croissance chinoise. Autres indicateurs toujours significatifs de l'activité, le repli alarmant des ventes d’automobiles en Europe (-4,6 % sur un an) et l'effondrement de la production industrielle des dix-neuf pays de la zone euro qui touche son plancher le plus bas depuis dix ans.
- Incertitudes géopolitiques planétaires, guerre commerciale voulue par les États-Unis, interrogations liées au Brexit.
- Relancer la consommation par un relèvement du pouvoir d'achat (ce qui suppose une baisse réelle de la pression fiscale et donc une réduction drastique des dépenses publiques hors devoirs régaliens de l'État).
- Rétablir la confiance des Français et des entrepreneurs par un retour à la cohésion nationale, à la compétitivité française et au patriotisme économique.
- Agir dans le sens d'une protection des marchés européens couplée à une ambition stratégique de conquête commerciale et de réindustrialisation.
- Permettre l'adaptation de nos formations professionnelles aux réalités de l’emploi pour affronter le défi « Offre/Demande ».
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jeudi, 07 février 2019
Loi anti-casseur, une nouvelle loi qui fait pschitt
Jean-François Touzé,
Délégué national du Parti de la France
Dans sa stratégie nouvelle visant à incarner aux yeux des Français « paisibles » le parti de l’ordre, stratégie qui, par bien des aspects relève pour lui du rôle de composition, Emmanuel Macron avait annoncé à la fin du mois de décembre dernier son intention de renforcer l'arsenal juridique contre les casseurs en faisant voter au plus vite une loi nouvelle. Triangulation oblige, par un tour de passe-passe parlementaire, c'est, en fait, une proposition de loi initiée par le sénateur LR Bruno Retailleau et votée il y a quelques mois par la Haute Assemblée contre l'avis du gouvernement qui a, toute honte bue, été retenue pour accélérer la navette entre les deux chambres. Le nouveau projet de loi a donc été présenté à l'Assemblée nationale en séance plénière et discuté mardi et mercredi.
L'homme du désordre institutionnel et social qu'est Emmanuel Macron croyait ainsi, relayé par les rodomontades de son ministre de l'Intérieur, Christophe Castaner, se parer à bon compte des vertus de l'autorité régalienne en procédant à sa énième triangulation à l’égard de la droite en espérant ainsi incarner le parti de l'ordre.
C'est pourtant un texte profondément remanié et largement édulcoré qui est sorti du débat. Une fois de plus, la montagne sécuritaire a accouché d'une souris naine.
La loi adoptée par le Sénat prévoyait trois points forts :
- La possibilité pour le préfet (ou le maire) d'interdire à certaines personnes de manifester, une mesure qui implique la création d'un fichier spécifique aux casseurs ;
- La création de périmètres de protection au sein duquel les forces de l'ordre auraient des prérogatives étendues (fouilles des effets personnels, possibilité d'interpeller au nom d'un principe de précaution, automatisation des contrôles d'identité, etc.) ;
- L'interdiction de dissimuler son visage dans l'espace public (interdiction déjà existante mais qui serait renforcée par des peines aggravées dans le cadre d'une manifestation).
Las… En commission, les députés LREM et MODEM supprimaient dès le mercredi 23 janvier l'article 1er de la proposition de loi consacré aux périmètres de sécurité, en vue d'une nouvelle formulation par le gouvernement en séance qui se solde par la simple recherche d'armes par destination au petit bonheur la chance et prévoyaient de réécrire l'article 2 sur les interdictions de manifester qui pourront désormais être prises par les préfets 48h avant les rassemblements, disposition éminemment politique dont on imagine l'usage qui pourrait en être fait, sans rapport certain avec les nécessités du maintien de l'ordre.
De même, la création d'un fichier des personnes interdites de manifestations ne serait plus à l’ordre du jour, remplacée par une simple inscription au fichier des personnes recherchées ou à celui de la PASP (Prévention des atteintes à la sécurité publique). En outre, les députés de la majorité ont introduit un mécanisme de contrôle et d'évaluation parlementaires des mesures visant à interdire le fait de se masquer le visage mais ont fort heureusement fini par abandonner l'obligation totalement inapplicable pour la Justice de faire la démonstration de la volonté du contrevenant d'en découdre.
Au final, à l'issue de la navette et de l’ultime examen en séance publique par les députés, il risque de ne plus rester grand-chose d'une loi que le Premier ministre Édouard Philippe annonçait essentielle et s'inscrivant dans la droite ligne de la loi anti casseurs de 1970 (supprimée, comme la Cour de sûreté d’État, par Mitterrand dès son accession au pouvoir). Cette loi utile et efficace destinée à juguler les manifestations gauchistes permettait d’engager la responsabilité pénale et financière de tout organisateur, voire de tout participant, d'une manifestation violente, mesure reprise aujourd’hui du bout des lèvres et de manière particulièrement floue.
Vous avez dit loi anti-casseurs ? Nullement. Mais loi anti-manifestation populaire, sans aucun doute. C'est une loi de circonstance et une loi politique voulue comme arme anti-Gilets jaunes, et elle ne sera – détricotée ou pas – d'aucune efficacité contre les vrais casseurs et les vrais émeutiers, qu'ils agissent en marge des manifestations GJ, de celles de la CGT ou à la faveur de tel ou tel rassemblement festif.
Les habituels « indignés » devant les lois sécuritaires, d'Amnistie Internationale à la Ligue des droits de l'homme, ont beau hurler à la dictature, ils savent que rien dans le texte définitif prudemment rebaptisé « loi visant à maintenir et garantir l'ordre public lors de manifestations », ne portera atteinte à leurs chères libertés républicaines accordées de plein droit aux émeutiers gauchistes ou aux vandales, mais qu'il limitera l'expression publique et paisible de la colère nationale, ce qui, en revanche, constitue le cadet de leurs soucis.
Les casseurs gauchistes et les pilleurs des cités, eux, n'ont que faire de ces lois inutiles dont ils savent pertinemment qu'elles ne seront pas appliquées. Ce dont à besoin l'État, ce n'est au demeurant pas de lois nouvelles aux destinations fumeuses. C'est d'une volonté de fer et d'une détermination d'airain. Métaux inconnus des gouvernements successifs du régime mais dont la France aura besoin lorsque le jour sera venu des grandes confrontations avec les révolutionnaires d'ultra-gauche, les masses racailleuses des cités et les activistes de la charia.
Seule la droite nationale saura alors faire face.
15:15 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |