mardi, 13 octobre 2009
Liberté, égalité, népotisme…
par Robert Spieler,
Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire
Jean Sarkozy est âgé de 23 ans. Bachelier, étudiant en 2ème année de droit, il a épousé en juillet 2008 Jessica Sebaoun, héritière de Darty, avec comme dégât collatéral l’expulsion de Charlie Hebdo du dessinateur Siné, accusé d’antisémitisme pour avoir prétendu que Jean Sarkozy envisageait de se convertir au judaïsme. Conseiller général des Hauts-de-Seine depuis 2008, président du groupe UMP, la présidence du Conseil général le plus riche de France lui est assurée en 2011. En attendant, il devrait accéder le 4 décembre à la tête de l’établissement public chargé de l’aménagement du quartier d’affaires de la Défense, l’EPAD, qui dispose d’un budget colossal, où il succèdera à l’ancien militant d’ " Occident " renégat, Patrick Devedjian, suscitant une vive polémique et des accusations de népotisme à l’encontre de Nicolas Sarkozy.
Certains diront que c’est la preuve que l’ascenseur social fonctionne en France, certes plus rapidement pour Jean, fils de Nicolas, que pour d’autres. Les mauvaises langues prétendent que ce népotisme correspond davantage à des mœurs africaines ou orientales qu’européennes. Elles ont tort. Jean-Christophe Mitterrand, surnommé " Papamadit " et connu pour n’avoir pas inventé le fil à couper le beurre, fut conseiller de son père pour les Affaires africaines. Claude Chirac, surnommée " jamais sans ma fille ", fut le lider massimo tyrannique de la communication de son papa.
Dieu merci, le camp national est vierge de tout soupçon. Jean-Louis Tixier-Vignancour n’a jamais songé à son fils pour sa succession politique. Jean-Marie Le Pen n’a, quant à lui, nullement envisagé de préférer sa fille à sa cousine, sa cousine à sa voisine, et sa voisine à Bruno Gollnisch pour lui succéder à la tête du Front national.
Tête haute et mains propres, pardi !
15:54 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Tags : jean sarkozy, nicolas sarkozy, epad, conseil général, hauts-de-seine, ump, ndp, camp national | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 24 juin 2009
Sarkozy nomme un pro-turc aux Affaires européennes : de l’art de se moquer du Peuple…
Délégué général de la
Le choix de Pierre Lellouche, qui milite activement pour l’entrée de la Turquie dans l’Union Européenne, au secrétariat d’Etat aux Affaires Européennes procède d’une « houtspa » (culot monstre, en hébreux) assez stupéfiante.
Voilà ce que déclarait Lellouche : « Nous serions fous de dire non à la Turquie. Ce serait une erreur stratégique majeure. L’objectif de l’Union n’est pas de fabriquer un club chrétien » (ben, voyons…). Avec cela, pro-américain, pro-israélien, pro-OTAN, ayant soutenu l’invasion de l’Irak par les Etats-Unis…
Il fallait oser nommer un tel oiseau. Sarkozy a osé…
23:07 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Tags : gouvernement, affaires européennes, pierre lellouche, nicolas sarkozy, ndp, robert spieler, chrétienté | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
dimanche, 24 mai 2009
Revue de presse : La minable improvisation sarkozyenne
SOURCE : PRESENT
Les cartables et les élèves fouillés. Les portiques de sécurité à la sortie des écoles. Une énième loi contre les bandes. Deux petits garçons de 6 ans et 10 ans embarqués par les policiers parce qu’ils étaient soupçonnés d’un vol de vélo… On est dans la plus complète improvisation. Totalement inadaptée à la réalité. Le gouvernement fait la preuve de son incompétence, dépassé par le fait qu’il a créé une situation ingouvernable par les moyens ordinaires.
La proposition de Xavier Darcos d’autoriser la fouille des cartables est une mesure irréalisable. On est là dans le bla-bla sarkozyen, le « Kärcher », la « racaille », le cause toujours, tu m’intéresses. Et même si le gouvernement avait les moyens de contrôler tous les écoliers de France, en agissant ainsi, il taperait à côté. Il ne s’attaquerait pas aux vraies racines de la violence, de la haine et de la criminalité à l‘école qu’il a contribuées lui-même à implanter.
Les deux enfants de 6 et 10 ans conduits au poste de police à Floirac (Gironde) et auditionnés pendant deux heures – il faut dire qu’il n’est pas facile d’arracher des aveux à des pointures de cet acabit –, c’est du délire et du grand n’importe quoi. Apparemment, c’est plus simple d’arrêter un présumé voleur de bécane en herbe âgé de 6 ans que de retrouver les dangereux voyous qui ont ouvert le feu sur les policiers en 2005 à Villiers-le-Bel – blessant 85 d’entre eux par balles – et dont la très grande majorité court toujours.
Les médias ont alors beau jeu de hurler au zèle sécuritaire alors que l’insécurité, elle, galope. C’est surtout un zèle imbécile et contre-productif, à côté de la plaque.
Professeur poignardé à Toulouse, policier renversé par une voiture à Amiens, fourgon de police attaqué à la kalachnikov, les faits emblématiques les plus graves se banalisent et font monter encore de plusieurs crans la violence de la délinquance quotidienne.
Pour regagner tous les territoires perdus de la République française que sont les banlieues immigrées et les établissements scolaires, il faut autre chose que l’improvisation et les discours de matamore en campagne électorale devenus ridicules et insupportables à entendre.
Il faut déjà commencer par reconnaître que l’insécurité et l’immigration ingérée sont liées. Il faut observer – quelle perspicacité ! – que les membres des bandes par exemple sont à forte majorité immigrée et qu’une nette proportion de la délinquance en France est née d’une politique d’immigration criminelle et suicidaire. Il faut s’apercevoir que la plupart de ces délinquants sont maintenant Français et non expulsables selon nos lois. Et que ni nos lois ni l’idéologie dominante – la législation en vigueur n’est rien d’autre que la mise en œuvre de l’idéologie dominante – ne nous laissent aucune possibilité juridique, administrative, réglementaire de nous opposer à cet état de fait.
Jean Madiran l’a écrit dans Une civilisation blessée au cœur, « face à une continuelle et massive invasion démographique, la France officielle ne peut rien légalement, elle ne peut rien moralement ». Il lui faut d’abord retrouver son identité, restaurer l‘éducation et l’autorité, changer de morale et de légalité. Le reste ne sera qu’improvisation sarkozyenne.
Caroline Parmentier
08:50 Publié dans Revue de presse | Tags : nicolas sarkozy, xavier darcos, république, insécurité, immigration, éducation, présent, civilisation | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |