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lundi, 17 juillet 2006

Espagne, 18 juillet 1936 - 18 juillet 2006 : LA DERNIERE CROISADE VICTORIEUSE.

medium_franco_francisco-795977.jpgEn juillet 1936, alors que l'Espagne subissait depuis quatre années les méfaits du régime le plus odieux et le plus criminel de son histoire, un groupe d'officiers patriotes décidait de mettre fin à cette sinistre comédie.

 

Très vite, toutes les forces vives du pays se rallièrent à la conjuration et, au lendemain de l'assassinat par les milices républicaines du député monarchiste José Calvo Sotello, le "soulèvement national du 18 juillet" prenait la forme d'une véritable croisade pour l'unité du pays face à l'anarchie et au danger communiste. Croisade qui culmina avec l’héroïque résistance des cadets pendant le siège de l’Alcazar de Tolède.

 

D'un côté : l'armée, l'Eglise, les corporations professionnelles, la Phalange de José Antonio Primo de Rivera, les Carlistes ainsi qu'une grande partie de la Démocratie-Chrétienne ; de l'autre : toutes les organisations marxistes et anarchistes soutenues par la bourgeoisie libérale ainsi que l'Union soviétique de Staline et leurs larbins des Brigades internationales. Un homme se distingua rapidement à la tête des nationaux : le Général Francisco Franco. Une fois la menace communiste écartée et la république définitivement reléguée aux poubelles de l'histoire, le Général Franco entreprit de faire de son pays une grande nation moderne et prospère. C'est ainsi que la transformation spectaculaire qui s'opéra au cours de ses quarante années de pouvoir fut communément appelée "le miracle espagnol". L'immense popularité dont jouissait Franco auprès des Espagnols aida à la réussite de cette véritable mutation du pays. L’Espagne est aujourd’hui un pays qui compte dans le concert des nations. Cette place, c’est à Franco qu’elle la doit et elle le sait.

 

Mais, depuis quelques jours, la bien-pensance multiplie les attaques faciles et malhonnêtes contre la période franquiste. Films et documents partiaux se bousculent sur les chaînes de télévisions. Reportages tendancieux et déformations historiques s’accumulent dans la presse aux ordres. A tous ceux qui seraient prêts à gober ces sornettes, nous poserons une seule question : imaginez un instant quel aurait été le destin de l’Europe occidentale si la république espagnole avait, par malheur, perduré au lendemain de la Seconde guerre mondiale? Coincées entre le Bloc de l’Est et une Péninsule ibérique à la botte de l’URSS, les nations libres d’Europe occidentale, à commencer par la France, n’auraient pas fait long feu dans le contexte de cette époque.

 

Critiquer le régime de Franco est une chose qui ne nécessite pas beaucoup d’audace aujourd’hui. Mais nous savons que nos adversaires n’en ont pas besoin pour apparaître comme des parangons de la vertu et du courage. Pour notre part, nous n’oublierons jamais ce que l’Occident doit éternellement à l’Espagne Une, Grande et Libre du Général Franco.

 

Roland Hélie

 

PS : Nous ne pouvons que vous conseiller la lecture de la dernière livraison de la NRH consacrée à la guerre d'Espagne.

De plus, le Cercle franco-hispanique, présidé par notre ami Olivier Grimaldi, vient de publier les actes du colloque qu'il organisa en juin 2003 à Paris sur José Antonio Primo de Rivera (Editions Déterna, 168 pages, 21 euros). Nous rappelons aussi la publication par les Editions Clovis de la bande dessinée Le Siège de l'Alcazar (48 pages, 29 euros).

23:00 Publié dans Editoriaux | Tags : Droite nationale, politique, FN, Espagne, histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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