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lundi, 21 janvier 2008

Anvers : Robert Spieler représentait la France à la réunion de lancement de l'association européenne "Les villes contre l'islamisation"...

Source : Strasbourg d'abord

 

Jeudi 17 janvier, s’est tenue à Anvers, en Flandre, la réunion constitutive de l’organisation européenne « Les villes contre l’islamisation ».

 

Plusieurs mouvements nationaux et identitaires européens, à l’initiative de Filip Dewinter, député d’Anvers et porte-parole du Vlaams Belang, ont décidé de créer cette structure commune afin de renforcer et de coordonner leur lutte contre l’islamisation de nos villes.

 

Parmi les fondateurs, figurent le FPÖ (Autriche), représenté par son Président Heinz Strache ; Krake Rolf du Danemark, qui a lancé des initiatives populaires contre l’islamisation de son pays ; Henrique Ravelo, Président espagnol de Tierra y Pueblo ; Adriana Bolchini, d’Italie, ancienne proche de Oriana Fallaci et responsable d’une association anti-islamique ; Markus Wiener-Wolter, dirigeant de Pro Köln, association citoyenne très puissamment implantée à Cologne et farouchement opposée à l’implantation de mosquées-cathédrales dans Cologne.

 

Robert Spieler figure également parmi les fondateurs de l’association et entendait représenter tous ceux qui, qu’ils soient nationalistes, régionalistes ou identitaires, sont résolus à ce que l’Alsace et la France ne deviennent jamais terre d’Islam.

 

Après la conférence de presse, les membres fondateurs de l’association se sont retrouvés devant la mairie d’Anvers en brandissant des panneaux représentant une mosquée géante dans un cercle rouge barré.

 

Dans l’après-midi, visite sous protection policière du quartier du nord d’Anvers, totalement islamisé. Edifiant et significatif de ce que l’on peut attendre dans les prochaines décennies…

 

Dans la soirée, grande réception avec les militants et les élus d’Anvers du Vlaams Belang : 800 personnes.

 

L’association « Les villes contre l’islamisation » va organiser dans les prochaines semaines de nombreuses réunions de sensibilisation face à la menace islamique, partout en Europe.

 

La première de ces réunions aura lieu le samedi 2 février à Paris sous l’égide de la revue et de l’association Synthèse Nationale, dirigée par Roland Hélie.

 

Robert Spieler et Hilde De Lobel, députée du Vlaams Belang, seront présents lors de cette réunion et présenteront au public les objectifs de cette initiative.

vendredi, 18 janvier 2008

Lancement à Anvers de l’organisation européenne “Les villes contre l’islamisation”

Hier jeudi, s'est tenue à Anvers, en Flandre, la réunion constitutive de l'organisation européenne "Les villes contre l'islamisation". Plusieurs mouvements identitaires ont en effet décidé de créer une structure commune au niveau européen afin de lutter contre “l’islamisation” de nos cités.

 

Cette organisation a été présentée à la presse par le porte-parole du Vlaams Belang, notre ami Filip Dewinter, le président du FPÖ (Autriche), Heinz-Christian Strache, et le président du mouvement régionaliste et identitaire Alsace d’Abord, Robert Spieler, qui représentait aussi la revue Synthèse nationale.

 

Afin de sensibiliser les Européens contre la menace islamique qui pèse sur nos villes, des grandes réunions publiques vont être organisées dans les prochains mois à Rotterdam, Paris, Londres, Milan, Cologne, Madrid, Strasbourg...

 

Samedi 2 février, lors du colloque organisé par Synthèse nationale à Paris, Robert Spieler expliquera le sens de cette démarche qui s'inscrit parfaitement dans la vaste réaction identitaire que nous entendons susciter.

jeudi, 10 janvier 2008

SDF : Le premier journal identitaire de la rue...

Solidarité des Français, la dynamique association dirigée par Odile et Roger Bonnivard, vient de lancer le premier journal identitaire de la rue. Au moment de la conception de ce journal, Odile m’avait fait l’honneur de me demander une contribution.

 

Voici le texte de celle-ci :

 

« Ils » n’ont plus le « monopole du cœur » !

 

Tout le monde se souvient du fameux « vous n’avez pas le monopole du cœur » adressé par Valéry Giscard d’Estaing à l’attention de François Mitterrand lors d’un débat télévisé quelques jours avant l’élection présidentielle de 1974. Si cette célèbre réplique eut le mérite de retarder de sept ans l’accession au pouvoir de Mitterrand, elle eut aussi l’inconvénient d’assurer la victoire à Giscard et à son « libéralisme avancé » dont on subit encore aujourd’hui, trente-quatre ans plus tard, les conséquences dramatiques. N’oublions en effet jamais que ce fut sous le septennat giscardien que furent adoptées des lois aussi ethnocides  que celle sur le regroupement familial ou celle sur l’interruption volontaire de grossesse… Il faut dire qu’à cette époque, la division du monde en deux blocs faisait que le choix en politique était limité.

 

Mais revenons à ce fameux « monopole du cœur » qui fit, des décennies durant, la fortune d’une gauche arrogante et intéressée qui, se cachant derrière cette formule magique, pouvait mieux exploiter les peuples et assurer ainsi son petit confort à la fois matériel et idéologique. Ce « monopole du cœur », imposé par la démagogie et le mensonge, qui justifia ici les pires atrocités et là les plus mesquines magouilles politico-financières, fut une sorte de miroir aux alouettes que personne n’osait vraiment briser de peur d’apparaître comme le pire des réacs que la terre n’ait jamais porté. Et pourtant…

 

Et pourtant, il y a cinq ans, une première brèche est apparue. Une brèche certes beaucoup plus discrète que la télévisuelle réplique giscardienne de 1974, mais une brèche bien plus profonde et ô combien plus dangereuse pour les menteurs patentés de la gauche caviar. Cette brèche, c’est l’association Solidarité des Français qui l’ouvrit en lançant à Paris les premières distributions de soupe au cochon. Cassant ainsi le mythe d’une gauche qui elle seule saurait être généreuse, les militants parisiens de SDF, qui furent vite rejoints par Solidarité alsacienne à Strasbourg, Solidarietà à Nice et par d’autres initiatives similaires à Marseille, Montbéliard et même en Belgique, ont eut l’immense mérite de remettre les choses en place et de montrer à la France entière que le problème actuel de la pauvreté est, qu’on le veuille ou non, lié à celui de l’immigration.

 

Cette immigration, née de la conjugaison des intérêts d’un patronat peu scrupuleux qui, dans les années 60, voyait en elle une main d’œuvre facile à exploiter, et ceux d’une gauche qui imaginait déjà un prolétariat de substitution capable de lui redonner un jour (le jour où le droit de vote lui serait accordé) les forces électorales qui lui manquent de plus en plus, a eu un effet pervers que seuls les nationaux et les identitaires ont vite dénoncé, à savoir celui de menacer directement l’identité de nos peuples européens. Dois-je préciser que je dis cela sans aucun mépris ni aucune haine contre personne, si ce n’est contre le système qui a engendré une telle situation.

 

En brisant ce monopole du cœur que la gauche s’était injustement attribué, Solidarité des Français, et ses associations satellites, ont imposé une nouvelle dimension sociale à la réaction identitaire que nous entendons susciter dans notre peuple. D’où l’acharnement de la gauche et des ses chiens de garde gauchistes contre cette association que chaque Français conscient et responsable se doit de soutenir.

 

Roland Hélie

Directeur de

Synthèse nationale

 

SDF n°1 Hiver 2008.pdf

lundi, 07 janvier 2008

Le dernier livre de Jean-Claude Rolinat : Frères d'Europe.

Ce qui nous rassemble est plus fort que ce qui nous sépare...

 

 

Avec ce propos encourageant, Jean-Claude Rolinat (que nous avons eu le plaisir de recevoir lors d'une conférence de SN à Paris en décembre dernier - NDLR) nous rappelle dans son ouvrage que notre peuple doit avoir vocation à retrouver enfin cette nécessaire volonté politique qui saura nous réconcilier avec l’idée impérieuse que notre vieille Europe a encore un destin.

 

Pas ce « machin », pour reprendre le mot du Général De Gaulle quand il évoquait l’Otan. Pas cette Europe mercantile à l’âme vile que nous mitonnent des technocrates bouchés à l’émeri et payés pour ça. Pas cette « usine néo-soviétique » que dénonce l’auteur, qui voudrait uniformiser nos existences, nos traditions, nos coutumes, qui veut aujourd’hui pasteuriser nos fromages et interdire à nos vaches de péter tranquillement pour nous fondre dans l’écologiquement correct. Cette Europe qui, demain, si nous laissons faire, aura transformé nos villages en éco-musées et nos villes en ghettos juxtaposés, promoteurs d’un exotisme que nous n’aurons plus besoin d’aller chercher ailleurs.

 

L’auteur évoque au contraire avec fierté nos racines européennes . Nos racines gréco-latines, chrétiennes, omniprésentes dans notre patrimoine culturel. Elles se rappellent en effet à notre bon souvenir avec nos monuments, nos cathédrales, mais aussi par cette inimaginable richesse que nous ont léguée peintres et sculpteurs de talent, musiciens, écrivains et scientifiques de génie. Bref, tout ce qui a permis ce miracle civilisationnel dont nous sommes les héritiers, que le monde entier nous envie et qu’une certaine bêtise ambiante accompagnée d’un vieux et chronique sentiment de culpabilité voudrait associer à tant de vilenies. Qui voudrait nous faire oublier qui nous sommes pour nous fondre dans un magma culturel creux, multiculturel et multiethnique.

 

Dans cet ouvrage riche, documenté, passionnant et qui constitue une véritable invitation au voyage, Jean-Claude Rolinat insiste sur cette parenté charnelle qui unit les peuples européens. Il évoque ces valeurs communes qui doivent nécessairement forger notre communauté de destin.

 

Un passé commun, certes, avec ses déchirements, ses guerres fratricides qui ont jalonné notre histoire européenne et qui sont autant de leçons à méditer pour envisager sereinement notre avenir ensemble.

 

Il décrit et explique cette histoire commune si compliquée, avec ses bouleversements qui ont souvent conduit à redessiner nos frontières. Il nous raconte l’éclatement du bloc soviétique, la réapparition d’Etats souverains et aussi les incertitudes de ceux qui souffrent de facto d’un manque de cohésion nationale.

 

Il nous donne des pistes sur la façon dont doit s’organiser cette Europe, comment les patries européennes peuvent s’unir autour de projets communs en gardant leur identité propre.

 

Il devient en effet urgent qu’émerge cette Europe militaire et diplomatique que nombre d’entre nous appelons de nos voeux, pour faire justement ce que nous n’avons pas su faire avec les Etats-Unis et que nous saurons encore moins faire si nous continuons à nous affaiblir ainsi, face aux puissances émergentes du bloc asiatique.

 

L’Europe ne passionne pas les foules, on peut le comprendre. A la lecture de ce livre intelligent qui se lit d’un seul trait, on se rend compte que c’est un tort.  

 

Chantal Spieler

 

Frères d'Europe, éditions Dualpha, 369 pages, 35,00 €.

En vente à la librairie Primatice, 10, rue Primatice 75013 Paris

19:35 Publié dans Livres | Tags : europe, voyages, littératures, synthèse nationale, bruxelles, chantal spieler, histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |