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dimanche, 31 août 2014

LA DANSE DES CRABES

P1020984.JPGPierre Vial

Président de Terre et peuple cliquez ici

A l’heure où la faillite du tandem Hollande-Valls est patente, malgré leurs rodomontades, ils ont choisi, une fois de plus, de nier la réalité en débarquant les ministres qui avaient le front de le rappeler. Bien entendu, ceux-ci –Montebourg en tête – ne sont motivés, sous de nobles propos qui ne trompent personne, que par leur avenir électoral (en l’occurrence, pour Montebourg, l’échéance de l’élection présidentielle). Il reste que le constat qu’ils font peut être fait par tout un chacun : la hausse du chômage n’a jamais cessé depuis l’élection de Hollande ; le déficit public est supérieur à 4% du PIB ; l’explosion d’une dette qui dépasse les 2 000 milliards et plombe tout budget ; la dépense publique et le poids de la fiscalité sont supérieurs, en France, à ce qu’ils sont chez nos voisins allemands, italiens et espagnols.

Face à cela, les choix emblématiques faits pour la composition du gouvernement Valls-bis sont révélateurs. En particulier sur deux axes :

- 1 - La « diversité » (c'est-à-dire le choix d’une société multiraciale) est amplifiée : la négritude est toujours représentée par la Taubira (c’est la seule raison de sa présence), le Maghreb par Najat Vallaut-Belkacem (qui, en tant que ministre de l’Education nationale, fera ce qu’il faut pour que les petits Gaulois oublient ou renient leurs racines), Myriam El-Khomri, secrétaire d’Etat chargée de la « politique de la ville » (tout un programme) et Kader Arif, secrétaire d’Etat chargé des anciens combattants et de la mémoire (sic) et l’Asie par la Coréenne Fleur Pellerin, ministre de la culture (qui, décidément, ne doit surtout plus être européenne). Quant au métis Harlem Désir, il fait, comme d’habitude, de la figuration.

- 2 - L’alignement du tandem Hollande-Valls sur le capitalisme libéral est total. Il est incarné par le nouveau ministre de l’Economie Emmanuel Macron, un « social-libéral » (ce mot est le mariage de la carpe et du lapin…), ancien associé-gérant de la banque Rothschild. C’est, avec lui, « l’abandon définitif de la lutte contre la finance ennemie, promise pendant la campagne de 2012 » (Le Monde, 28 août). De quoi « rassurer les marchés, Bruxelles et l’Allemagne ». Le patronat n’a pas tardé à apporter son satisfecit, le patron du Medef faisant applaudir Valls par ses troupes à l’occasion de leur université d’été. Ce qui n’a pas empêché le PDG d’Axa d’appeler Valls à « aller plus loin ». Gageons que le premier ministre aura entendu le message et obtempérera.

Petite difficulté, quand même, pour Hollande : alors que les sondages indiquent que sa cote de popularité dans le pays continue à baisser, avec des chiffres jamais vus sous la Ve République et que –élément nouveau – celle de Valls se met à plonger, ses soutiens politiques se réduisent comme peau de chagrin. Car, explique pudiquement Le Monde, « l’actuelle minorité de parlementaires frondeurs exprime tout haut le sentiment largement partagé par les socialistes que la politique menée par M. Hollande est aux antipodes des credo traditionnels de la gauche ».

C’est oublier, ou faire semblant d’oublier, que le phénomène n’est pas nouveau, l’orientation libérale de Hollande lui ayant été soufflée, d’abord discrètement, depuis deux ans, par un Emmanuel Macron qui a été son conseiller économique à l’Elysée. Un bon placement pour la finance cosmopolite…

13:04 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Quand SOS Racisme pète les plombs…

1626582223.jpgSource PdF Calvados cliquez ici

Depuis sa nomination à la tête de l’éducation (anti)nationale, Najat Vallaud-Belkacem, est la cible de nombreuses critiques de Français, irrités et inquiets de voir la promotrice de l’idéologie du genre devenir le chef de l’éducation du pays. Quand on se remémore l’ampleur des mobilisations contre les lois décadentes et l’ampleur de la crispation de l’Etat, que l’on a pu juger à l’aune de la féroce voire incompréhensible répression policière, l’on conçoit assez aisément qu’une femme aussi idéologiquement marquée que Najat Vallaud-Belkacem s’attire les foudres des gens normaux : ceux qui pensent qu’un homme… est un homme et qu’une femme… est une femme.

C’était sans compter sur l’association subventionnée SOS Racisme !

Les génies politiques de SOS Racisme, obnubilés par la question raciale, n’ont même pas cette lecture pourtant simple de la situation. Non ! Eux, ils ne voient pas que le nouveau ministre de l’Education (anti)nationale est combattu comme un agent du « progressisme » gauchiste. Ce qu’ils voient, eux, c’est que Najat Vallaud-Belkacem est maghrébine ! Point ! Donc si elle est critiquée, c’est en raison de sa race ! Ou encore mieux, car le mot « race » est étrangement tabou chez ceux qui s’appellent SOS Racisme : ils disent « partie du genre humain ». Ce n’est pas une blague ! C’est dans leur pétition !

sos-racisme1.jpg

Car oui, du coup, chez SOS Racisme, on a fait une pétition pour défendre le ministre, qui serait attaqué par des Français sexistes et racistes ! Logique antiraciste…

La conception racialiste de toute chose conduit l’association antiraciste ( ?) à ne voir dans cette femme qu’une maghrébine, et pas la porteuse d’un idéal politique contraire à celui de ses détracteurs. La race les aveugle !

Heureusement que tout le monde n’a pas cette vision raciale des choses ! Est-ce que, par exemple, l’on peut accuser SOS Racisme d’antisémitisme lorsque cette association s’oppose avec virulence aux thèses de Louis Aliot ou au maire de Fréjus David Rachline ?

Bref, cette pétition de SOS Racisme est comme SOS Racisme : ridicule.

Pour le plaisir, nous vous présentons une magnifique capture d’écran - ce n’est pas un fake ! Voir ici où les termes ridicules venus de la novlangue ont été mis en valeur par nos soins !

sos racisme2

11:02 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nouveau gouvernement : bras-de-fer ou bras d’honneur à gauche ?

P1020933.JPGLa chronique de Philippe Randa

« Vous ne nous aimez pas ? Vous allez nous détester ! » semble  avoir été le mot d’ordre de l’Exécutif – Hollande et Valls – lancé à la face de tous le pays avec la constitution du nouveau gouvernement.

Provocation pour la Droite, certes, avec la nomination de Najat Vallaud-Belkacem à l’Éducation nationale : l’égérie de l’« ABCD de l’égalité » (soit la promotion cachée de la funeste Théorie du genre) en fait s’étrangler à juste titre plus d’un ; et que dire, pour la Droite de la Droite, du maintien de la tant honnie Christiane Taubira à la Justice ?

Mais surtout véritable insulte pour la Gauche – et pas seulement pour la Gauche de la Gauche – avec l’arrivée au ministère de l'Économie, de l'Industrie et du Numérique, d’un ancien banquier d’affaires de la banque Rothschild, Emmanuel Macron ; plus qu’un reniement de la déclaration de matamore du candidat Hollande contre la finance « ennemie public », c’est un véritable bras d’honneur qui lui est fait : le candidat avait promis de mettre les banques au service de l’économie, le Président met ainsi ouvertement l’économie du pays au service de la finance.

Pourquoi cette volonté affichée de provoquer tout le monde… comme dans une fuite en avant suicidaire ? Ou peut-être que, conscient de son impuissance à redresser la situation économique, l’Exécutif veut mettre tous ses ex-alliés récalcitrants devant leur responsabilité, soit un soutien contraint et forcé par la perspective – avec une UMP moribonde et un Centre droit à la peine – de voir le Front national confirmer à l’avenir son statut de premier parti politique de France avec une Marine Le Pen en tête de l’élection présidentielle. Et peut-être pas uniquement au premier tour de celle-ci !

10:51 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |