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dimanche, 27 décembre 2015

Corse : premier conflit ouvert entre autochtones et envahisseurs

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Marcus Graven Riposte laïque cliquez ici

En 2015, le soir de Noël, à Ajaccio, dans le quartier des Jardins de l’Empereur, une flopée de racailles a tendu un guet-apens à des pompiers. Caillassage, batte de baseball, clubs de golf, bouteilles d’acide, la panoplie des parfaits petits lâches des quartiers «sensibles» si chers à Taubira, Valls, Cazeneuve et C°.

Mais nous sommes en Corse.

Le lendemain, six cents habitants protestent contre l’agression des soldats du feu, et la moitié de ces protestataires aux cris de «Arabi fora» (les Arabes dehors) et «On est chez nous» décident d’aller demander des comptes à la jeunesse islamisée qui depuis des mois sème la pagaille dans la ville.

Ces citoyens ont ainsi mis en pratique une des valeurs de la République (que les Corses veulent par ailleurs peut-être quitter parce qu’elle ne ressemble plus à rien), le droit et le devoir de se défendre quand l’Etat est incapable d’assurer «la sûreté» de ses habitants.

Les Corses ont de cette manière démontré par leur action que c’est aux populations locales de mener leurs propres opérations de police quand le gouvernement est incapable de les protéger.

C’est une grande première qui dépasse de loin la rubrique des faits divers. C’est aussi le premier conflit ouvert entre autochtones d’une région et envahisseurs d’outre-Méditerranée.

Il est vrai qu’après les massacres des terrasses parisiennes et du Bataclan, on s’attendait à une autre réaction que des bougies, des mots cuculs et des appels à fraterniser encore davantage avec la religion des assassins. Mais les bobos ont préféré croire que le courage, c’est retourner boire un verre en terrasse plutôt que combattre l’islamisme. Le boboïsme est autre nom de la lâcheté.

Sur l’Ile de Beauté, un kebab et une salle de prière ont fait les frais de la juste colère des Ajacciens. Il s’agirait d’une salle non déclarée où se radicalisent les caillasseurs, ces petits djihadistes qui ont la trouille de passer en Syrie voir comment ça se passe quand on a en face de soi les troupes de Damas et l’aviation russe.

Encore un de ces lieux « cultuels » que Cazeneuve est incapable de fermer, une de ces succursales de l’islamisme comme jadis les permanences du parti communiste étaient les relais de l’internationale moscoutère qui déstabilisait la France.

Un petit bémol : comment expliquer que seulement quelques pages d’un coran aient brûlé. Il faut que les Corses se ressaisissent sur ce coup là. Les artificiers des nuits bleues perdraient-ils la main?

Valls y est allé de son «inacceptable» habituel. Dommage que le Père Noël ne lui ait pas apporté un dictionnaire de synonymes, il aurait pu varier son vocabulaire : inadmissible, intolérable, révoltant, inconcevable… Remettre un coup de nauséabond.

Le président du Conseil d’Administration du Service Départemental d’Incendie et de Secours de Corse du sud, Charles Voglimacci, a été plus direct: «Je dis aux individus de ce soir, les pseudo courageux, que nous ne sommes pas dans certains quartiers du continent où règnent la terreur et le chaos. Ici, c’est Ajaccio et nous ne laisserons personne dicter ses propres règles, imposer la peur et s’accaparer un quartier de notre ville. Si cela les indispose, ils sont libres de partir», a-t-il commenté.

Il y a là comme un relent de «guerre civile». Je croyais qu’elle n’aurait lieu que si le FN présidait une région (ou un territoire). A ce que je sache, ce n’est pas Marine Le Pen qui est à la tête de la Corse. Valls va-t-il oser nous dire que les nationalistes corses sont pires que le Front national ?

Mais tandis qu’en Corse les habitants rétablissent l’ordre, à Lens, des chrétiens ont parfaitement intégré ce qu’est la dhimmitude. N’ayant pas la volonté d’assurer eux-mêmes la sécurité de la messe de minuit, ils ont laissé à des musulmans affiliés à l’UOIF le soin de les protéger.

Ces chrétiens (crétins ?) sont prêts à payer la jizya (l’impôt de capitation demandé aux dhimmis). Les lois de l’islam s’appliquent-elles déjà à Lens? Si c’est le cas, les chrétiens lensois sont désormais soumis à l’islam. Et s’ils refusent une prochaine «protection», il n’y a pas de doute que les «gentils» musulmans auront alors obligation de les combattre.

Jadis, les églises étaient des lieux de protection. Aujourd’hui, avec une cinquième colonne de 10 à 12 millions de descendants du prophète tueur, ce sont les églises qui doivent être protégées.

On continue de marcher sur la tête.

A propos de tête, le symbole de la Corse est celle d’un Maure.

Au départ, cette tête marquait la victoire des guerriers corses sur les Sarrasins. C’était celle d’un musulman trimballée au bout d’une pique. Le bandeau était alors sur les yeux du décapité.

Le symbole vient-il d’être réactivé ?

19:00 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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