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samedi, 16 janvier 2016

Au fait, avons-nous besoin d’une immigration d’origine extra-européenne ?

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Dr Bernard Plouvier

L’année 2015 fut un grand cru de l’ignominie islamique en France : multiples attentats meurtriers, décapitation au couteau à céramique, assassinats d’enfants blancs et – c’est devenu une habitude depuis les années 1980 – multitude de viols de « petits culs blancs » par les honorables rejetons de l’immigration africaine et proche-orientale… avec à chaque fois la ritournelle « Allah akbar » éructée par le criminel, comme si la référence religieuse était une circonstance atténuante, voire une justification.

Elle fut également un grand cru de l’ignominie en Allemagne, en Suède, en Finlande, où les langues ne se sont déliées qu‘à l’occasion des violences (vols, viols et attentats pédophiles, incivilités permanentes à l’encontre des citoyens et des « forces de l’ordre ») perpétrées en Allemagne durant toute l’année, avec un pic exceptionnel dans la dernière nuit… là encore, il fallut le scandale de la Saint-Sylvestre pour apprendre que les « réfugiés » s’étaient aussi mal comportés en terres allemandes qu’à Calais (ou ailleurs en notre ex-beau pays).

Même si Français, Belges, Scandinaves et Germains semblent avoir la mémoire très courte en matière de vilenies islamiques, tout le monde n’a pas oublié les atrocités de 2014 : soldats et policiers britanniques et français poignardés (l’exemple de Joué-lès-Tours devrait être dans toutes les mémoires françaises, survenant un an juste avant la grande soirée du 13 novembre 2015), obligation faite à des Français d’hurler des slogans coraniques sous peine d’égorgement ou de castration (à Perpignan, entre autres endroits), sans oublier la recrudescence de vols, de mises à sac d’églises et de cimetières, d’attaques de magasins et, bien sûr, toujours les viols en tournante.

Or, en France, nous comptons, en estimation basse, 5 millions de chômeurs. Nos caisses sociales, ultra-déficitaires, ne sont maintenues en survie que par des emprunts, ce qui aggrave considérablement la Dette, et un déficit budgétaire toujours existant, malgré des promesses de sens contraire maintes fois renouvelées. Alors, pourquoi importer de nouveaux immigrants qui, par leur comportement de vandales ou de parasites (même les immigrants clandestins ont droit à une allocation d’État), non seulement n’apportent rien à la communauté nationale, en dehors de leur merveilleuse présence, mais aussi coûtent très cher ?

Devons-nous être les complices d’une immigration-invasion qui, à terme - dans un délai d’un demi ou d’un siècle -, génèrera une substitution de population dominante en France, par le seul effet de la différence de comportement matrimonial entre les Françaises de souche européenne et les immigrées, qui conservent une natalité de type africain ou proche-oriental, favorisée par l’octroi des allocations familiales même à des immigrés qui n’ont pas encore ou jamais travaillé en France… alors que ces allocations ont été mises en place pour les familles de travailleurs ?

Dans un pays où l’on a enfin mis un terme aux guerres et guérillas de religions, faut-il importer une religion de type médiéval par son fanatisme, une religion où la guerre sainte – le Djihâd – est rendue obligatoire à tout fidèle en bonne santé par neuf sourates de son livre réputé saint, le Coran ? Et ce, au moment où un calife autoproclamé invente une nouvelle forme de terrorisme djihadiste ? Est-ce opportun, est-ce simplement raisonnable ? Après tout, la Loi de 1905 séparant les Églises de l’État exige un culte strictement privé et réprime tout débordement. Avant la Grande Guerre, certains maires socialistes ou radicaux francs-maçons interdisaient le port de la soutane dans leur commune. De nos jours, on laisse des musulmans obstruer des rues sous prétexte de prière et on accepte l’amalgame entre « salles de prières » et salles de sports (de combat) !

Enfin et surtout, pourquoi ne réprime-t-on pas les très nombreuses manifestations de haine islamique, les innombrables paroles et actes de racisme anti-Blancs ? Quel peut être, en définitive, l’intérêt d’importer d’honorables criminels, délinquants, trafiquants de drogues et d’armes ?

La Nation française doit-elle être punie pour des crimes commis aux colonies il y a des siècles, au plus tard il y a quelques décennies ? Ou doit-elle être remerciée par les ex-colonisés pour avoir, à ses frais (car si la colonisation fut profitable à certains entrepreneurs et financiers, elle fut effroyablement coûteuse pour les contribuables français), introduit dans leurs pays d’origine : l’hygiène, la fin des guerres tribales, l’explosion des rendements agricoles, la mise en valeur du sous-sol, l’instruction publique, des routes, aérodromes et voies ferrées, faisant passer d’un coup au monde moderne l’Afrique noire qui en était restée au néolithique ou à l’âge de bronze, comme le Maghreb et le Proche-Orient passaient très rapidement du Moyen-Âge à la modernité ?

Non seulement, l’immigration-invasion paraît une absurdité, démographique autant qu’économique, en période de chômage d’une ampleur inédite dans notre patrie, en plus d’être un crime contre la Nation. Mais la repentance n’est nullement ce qu’elle devrait être. Ce sont les immigrés qui devraient présenter leurs plus humbles excuses à la Nation française pour l’ignoble comportement en France des fruits pourris issus de leur milieu.

09:46 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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