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mercredi, 27 janvier 2016

Les media et le pourrissement de l’opinion publique française

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Dr Bernard Plouvier

Depuis le début des années 1980, notre pays subit une immigration-invasion qui a non seulement accéléré son rythme d’accroissement ces dix dernières années, mais a également importé un bien inutile surplus de haine raciale et religieuse, en plus d’avoir introduit une nouvelle criminalité : le défi quotidien à l’État, avec ses moments de pointes (les fiestas de voyous contre forces de l’ordre et pompiers et, friandise suprême, les émeutes raciales).

Depuis 2014, avec un record qui ne demande qu’à être battu : celui de l’année 2015, le terrorisme islamique s’est abattu sur la France, réprimé par l’État avec la plus extrême faiblesse et une inefficacité telle que le Président de la République a cru bon d’avertir ses chers administrés du risque de nouveaux attentats.

Tout ceci est bien connu (ou devrait l’être). Or, surprises du dernier week-end – qui prouvent que l’on est encore loin d’avoir touché le fond, alors que l’on croyait impossible d’explorer plus avant les abysses de l’abjection depuis les ignominies des mois de novembre et décembre derniers -, on manifeste POUR les immigrés et un fou furieux vient, sur les écrans, clamer son approbation enthousiaste des agissements terroristes des fidèles d’Abou Bakr II et de son État Islamique... le tout devant une ministresse, issue elle-même de l’immigration-invasion, qui reste coite face à ce déchaînement de haine, à cet encouragement au crime.

Il existe certes des lois réprimant l’apologie de crimes contre l’Humanité, mais qui oserait, en France molle et corrompue, cliente des émirs et roitelets islamo-pétroliers, les appliquer dans toute leur rigueur à un cacique du système islamique pur et dur ?  

Nous a-t-on assez injuriés, depuis les années 1980, parce qu’il semblait que l’on ne respectait pas suffisamment un devoir de mémoire à propos d’une Shoah ancienne, fort peu française dans son essence et son organisation, au demeurant très largement indemnisée… et l’on ressort l’argument à chaque fois qu’un malheureux Juif est victime d’un fou d’Allah. Or c’est de la réduction en esclavage de la Nation française autochtone, après extermination de sa couche la plus patriote, qu’il s’agit désormais ! Le devoir est à la fois de mémoriser sans oubli possible les ignobles événements des années passées, mais aussi et surtout de se défendre avec la dernière énergie, soit d’être prêt à mourir s’il le faut pour assurer la survie des enfants et petits-enfants de notre race.

Il devient urgent de nettoyer les écuries et porcheries françaises : la haute direction de l’État, nos media consensuels et l’ensemble de l’islamisme militant installé en France. À la différence d’un Augias, nous n’avons pas d’Hercule local à notre disposition, même si l’on peut espérer, en cas de péril extrême, disposer d’un allié de poids venu de l’Est européen.

Nous devons surtout compter sur nous-mêmes et créer une armée de patriotes, prêts à s’engager physiquement au combat, dès que l’ennemi, déjà largement installé dans le pays, déclenchera la guerre permanente, aidé de sa puissante 5e colonne : les musulmans des forces de police et de gendarmerie, de l’armée et du gardiennage de prisons, et leurs collaborateurs et collaboratrices autochtones dévoyés.

En attendant le jour du combat, il faut inlassablement dénoncer la pourriture des media vendus aux maîtres du système économique. Ceux-là mêmes qui ont fait savoir, en ce mois de janvier 2016, qu’il était nécessaire d’introduire en l’Europe occidentale 1 million d’immigrés extra-européens supplémentaires par an durant une vingtaine d’années pour soutenir la « croissance économique »… ce qui signifie, traduit en langage clair et moins noble : maintenir les profits issus de la consommation de masse, au besoin aidée par les allocations tirées du produit de nos impôts.

Il y a croissance et croissance : la vraie qui est liée à la production et à l’exportation de nos produits et la fausse qui n’est qu’une hyperconsommation, parasitaire ou à crédit. Pour nos maîtres, tout bénéfice est bon à prendre et plus il y a de consommateurs dans les pays encore riches, plus les profits sont grands.

Le grand art de nos maîtres et de leurs valets est de masquer le sens des termes, de pratiquer la confusion sémantique… en termes moins savants : d’embrouiller le bon peuple. Il faut reconnaître qu’ils y parviennent encore très facilement. Il reste à faire un énorme travail de désintoxication d’une opinion publique abêtie et aveulie par 35 années de pourrissement systématique.  

10:25 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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