dimanche, 14 février 2016
Manœuvres pré-électorales pour un désastre annoncé
Dr Bernard Plouvier
En ce glacial et tempétueux mois de février (« réchauffement climatique » oblige), les crocodiles, usagés et moins connus, s’ébrouent dans le marigot politicard. Et l’on comprend la raison de cette agitation : à la présidentielle de l’année prochaine, l’un des deux sauriens – celui de la droite mondialo-globaliste ou celui de la pseudo-gauche globalo-mondialiste – emportera pour cinq années le jackpot des sinécures dorées de la Ripoublique, qu’il pourra distribuer aux plus puissants de ses partisans.
Car, dès à présent, tout est joué. Au premier tour, 60 à 65% des inscrits iront voter avec un reste d’enthousiasme. Le ou la candidat(e) des populistes arrivera en tête avec peu ou prou 35% des suffrages ; le candidat de la droite molle-divers centres marécageux et celui des pseudo-gauches, mâtinées d’écologistes de diverses obédiences, en plus des minorités sexuelles, des dinosaures marxistes, syndicalistes et maçonniques, et des groupuscules d’immigrés ayant le droit de vote, remporteront chacun entre 25 et 30% des voix.
Au second tour, et après 15 jours de propagande démagogique sur fond de scénario « républicain-apocalyptique », 55 à 60% des Français iront voter et sera élu Président soit le candidat estampillé droite molle, soit le candidat certifié pseudo-gauches, tous deux étant inféodés aux évergètes de la finance cosmopolite et/ou de l’islamo-pétrodollar… une resucée de la 2e élection de Chirac le Nul Black-Beur, avec un score moins insultant pour la Nation française, puisqu’en une douzaine d’années de gabegie et de descente aux enfers, les Français sont devenus un peu moins niais.
Qu’importe à la Nation que le nouveau locataire de l’Élysée se nomme Hollande ou Sarkozy (Juppé étant moins probable, en dépit d’un fort soutien d’émirs du pétrole), la France continuera de s’éteindre, de s’aveulir. Le chômage continuera de s’aggraver, par désindustrialisation accélérée et mort à petit feu de l’agriculture et de la pèche françaises, la Dette connaîtra une croissance exponentielle, pour alimenter une immigration-invasion en augmentation continue, avec les menus inconvénients du péril djihadiste (déjà connus, mais qui n’ont pas suffi à réveiller les Français autochtones), et, non plus la probabilité, mais cette fois-ci la certitude de la substitution de population dominante en France pour la seconde moitié du XXIe siècle.
L’électorat français – composé comme partout ailleurs de 75% de sous et de moyennement doués – n’aura que ce qu’il mérite. Quant aux autres Français autochtones, les productifs, les inventifs, les honnêtes travailleurs, ils auront un choix : émigrer – ce qui est à la portée du premier couard venu, mais qui, en principe, assure la survie, au prix d’un déracinement – ou s’insurger. Parce qu’après tout, mourir pour défendre la terre des ancêtres, cela ne manque ni de panache ni d’intérêt. L’histoire abonde en sursauts salvateurs. Alors, pourquoi pas en France, avant qu’elle ne soit devenue terre de Charia.
19:03 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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