mercredi, 10 janvier 2018
Pour comprendre ce qui s'est passé à Rome dimanche dernier :
Dimanche dernier à Rome, des milliers de jeunes sont descendus dans les rues cliquez ici pour l'impressionnante commémoration du quarantième anniversaire du massacre de la via Acca Larentia où trois militants du Fronte della Gioventu ont été lâchement assassinés par les terroristes communistes.
Dans le n°11 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré au MSI sorti en février 2017 cliquez là, voilà comment Massimo Magliaro, ancien dirigeant national de ce mouvement, relate dans sa chronologie les événements qui, en quelques jours au début du mois janvier 1978, ont abouti à cette tragédie :
(...) 7 janvier 1978. Paris. Le Figaro publie, en une, un article intitulé « Goulag à l’italienne » où sont reportés des épisodes de violence et de répression envers les jeunes de droite, ainsi que les deux poids deux mesures qu’observe la magistrature italienne à l’égard des détenus de droite et des détenus de gauche.
7 janvier. Rome. Massacre de membres du MSI devant la section du quartier Tuscolano à via Acca Larentia. La nuit tombe. Les jeunes sont en train de sortir de leur local quand un commando de terroristes de gauche tire à coups de mitraillettes Skorpion. Deux jeunes gens, Franco Bigonzetti (20 ans) et Francesco Ciavatta (19 ans) meurent sur le coup. Un troisième, Vicenzo Segneri, rentre dans la section et ferme la porte blindée. La même mitraillette Skorpion sera utilisée par les Brigades rouges jusqu’en 1988 pour commettre d’autres attentats. En peu de temps, des militants de droite accourent sur le lieu pour pleurer leurs morts. Moments de tension avec les forces de l’ordre. Bombes lacrymogènes et coups de pistolet. Un capitaine des carabiniers, Sivori, tire à hauteur d’homme et atteint un autre jeune homme du MSI-DN, Stefano Recchioni. Il sera hospitalisé dans des conditions désespérées. Ciavatta était fils unique. Son père succombera à la douleur.
8 janvier 1978. Rome. Monte la colère des jeunes de droite contre les extrémistes de gauche et les forces de l’ordre. Pendant trois jours, des incidents éclatent dans divers quartiers de la ville. Attentat contre l’habitation du directeur adjoint du quotidien Il Messaggero, Felice La Rocca. Deux jeunes de gauche sont blessés.
9 janvier 1978. Rome. Stefano Recchioni (19 ans) meurt après deux jours d’agonie. Pour la première fois, dans la presse « indépendante » s’élèvent des voix de condamnation du terrorisme communiste et de défense des jeunes de droite. Les obsèques des victimes seront célébrées par les soins de la Municipalité. Dans ce cas c’est aussi une première fois. (...)
Aujourd'hui, le communisme est partout rejeté dans le monde et c'est très bien ainsi.... Mais ce qui est mieux, c'est de voir que la jeunesse néo fasciste romaine, elle, est plus que jamais debout et qu'elle n'a pas oublié ses héros...
L'endroit où furent assassinés nos camarades aujourd'hui marqué d'une immense croix celtique
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