mardi, 10 septembre 2019
Jeudi 12 septembre : Bruno Gollnisch à Toulouse
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Le mauvais citoyen
Bernard Plouvier
Aux bons temps de l’URSS, paradis des travailleurs, comme chacun sait, on répandait un slogan, devenu ritournelle : « Un assassin n’est dangereux que pour un seul homme ; le mauvais citoyen est nuisible à tout un peuple ».
C’était une philosophie un peu sommaire. Mais, à cette époque, on croyait beaucoup à la rééducation des criminels de droit commun, que l’on n’exécutait qu’à la 3eou 4erécidives. En revanche, on envoyait en Sibérie ou en hôpital psychiatrique ceux des dissidents qu’on n’avait pas fait disparaître… le Bon Joseph du Kremlin en avait expédié un ou deux millions, en 1936-38.
La bonne question à poser est, bien sûr et en valeur absolue, donc valable en tout temps et pour tous les pays : Qu’est-ce qu’un mauvais citoyen ?
De plus en plus, en Europe occidentale – pas seulement en Macronie où le phénomène est poussé fort loin, on le reconnaît avec fierté -, est considéré comme tel celui qui se proclame l’ennemi du régime et défie ouvertement le pouvoir.
En l’occurrence, il s’agit de l’abominable individu qui trouve insupportable la dictature des LGBT militants, ou celle des partisans d’un surplus d’immigration d’origine extra-européenne (ces malheureux « réfugiés » qui ne demanderaient qu’à travailler et s’intégrer), ou encore celle des chantres d’un islam de légende (religion d’amour, du féminisme bien compris et de l’entente entre les peuples… si, si !).
Horreur et scandale suprêmes, il existe même des « fachos » pour réclamer une Justice équitable, impartiale, où l’on appliquerait la Loi dans sa sévérité votée par les élus du peuple ; des arriérés qui exigent le respect des usages et des coutumes autochtones, tenant à saluer les gloires nationales, en lieu et place d’illustres exotiques (allez demander à Bernard Lugan ce qu’est devenue l’Afrique du Sud, après le passage du non-regretté Nelson Mandela). Ou encore, ces « réactionnaires » qui souhaitent un minimum de courtoisie et de calme dans les relations humaines et osent exiger un maximum de professionnalisme et d’honnêteté au travail.
De fait, on a dressé le portrait-robot de l’ennemi de la Nouvelle Société Qui Gagne… à être très vite remplacée.
Car après tout, c’est la Nation qui est seule souveraine et non pas une mafia d’élus ou de hauts-fonctionnaires, qu’ils soient les hommes et femmes de main d’un État ou d’une structure floue supranationale.
Le seul véritable patron de l’État, c’est son corps électoral. Et si les citoyens sont honnêtes, ils doivent en tout premier lieu penser à l’avenir de leurs enfants. Le vrai Bon Citoyen doit exiger le respect des notions universelles et diachroniques : celles de l’honneur, du travail, de la famille et de la patrie, même si l’on étend désormais la patrie à l’Europe des Nations de souche européenne.
Le régime actuel est mauvais, fondé sur l’éphémère petit plaisir, sur le matérialisme primaire : en clair sur le fric et la frime.
Le bon citoyen doit rejeter cette ignominie et voir au-delà de la grosse Merkel ou de Jeunot Ieret Dernier. Le Bon Citoyen doit gérer la chose publique comme le faisait le Citoyen Romain, notre seule référence d’Européens, en bon père de famille.
Au XVIIIesiècle, une chanson française se terminait par : « Et merde au roi d’Angleterre qui nous a déclaré la guerre » (ce qui prouve que Pierre Cambronne était bien de son époque). La nôtre doit être tout aussi rude dans son expression, mais dirigée contre les vrais maîtres du moment : multinationales de la production, du négoce, de la finance et de la manipulation du crétin de base qui forme l’essentiel des opinions publiques… et le lecteur n’a que l’embarras du choix, le Net ayant largement fait connaître la ribambelle des Ripoux qui nous dirigent.
15:11 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Dimanche 15 septembre : FÊTE DU COCHON DU PARTI DE LA FRANCE EN BRETAGNE
13:19 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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VINCENT VAUCLIN, PRÉSIDENT DE LA DISSIDENCE FRANÇAISE, INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS "BLEU BLANC ROUGE" DE SYNTHÈSE NATIONALE LES 12 ET 13 OCTOBRE À RUNGIS (94)
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L’Afrique du Sud : état des lieux
Par Bernard Lugan
En Afrique du Sud, pays de Nelson Mandela, des Noirs massacrent d'autres Noirs. Qui plus est, des Noirs immigrés, des frères migrants venus de pays ayant jadis soutenu leur lutte contre le régime blanc... Comme en 2016, un peu partout, notamment au Natal et dans la région de Johannesburg, les étrangers noirs, qu'ils soient Malawites, Mozambicains, Somaliens, Zimbabwéens, Soudanais ou Nigérians, sont ainsi de nouveau pris pour cible, lynchés, brûlés vifs, cependant que leurs pauvres biens sont systématiquement pillés par des foules ayant échappé à tout contrôle policier. Voilà de quoi déstabiliser ces cocus idéologiques qui, croyant au mythe-guimauve de la « nation arc-en-ciel », prétendaient que les maux du pays découlant de la domination blanche, une fois la majorité noire au pouvoir, les fontaines de la démocratie laisseraient couler le lait et le miel de la fraternité...
La réalité est évidemment autre car ces tueries xénophobes illustrent l’échec de la « Nouvelle Afrique du Sud » dont les dirigeants ont dilapidé le colossal héritage reçu de l’ancien régime blanc. Résultat :
- Le revenu de la tranche la plus démunie de la population noire est inférieur de près de 50% à celui qu’il était sous le régime blanc d’avant 1994 ;
- 17 millions de Noirs vivent essentiellement des prestations sociales et 14 millions ne survivent que grâce au versement d’une allocation (Social Grant) qui leur assure le minimum vital ;
- Le taux réel de chômage est de près de 35%, et celui des jeunes âgés de 15 à 34 ans de plus de 50%.
En 25 années de pouvoir, l'ANC - le parti de Nelson Mandela -, a donc transformé la prospère Afrique du Sud en un Etat du « tiers-monde » dérivant dans un océan de pénuries, de corruption, de misère sociale et de violences, réalité en partie masquée par les derniers secteurs ultraperformants encore tenus par des Blancs. Un naufrage économique qui tient en trois points :
1) La production minière nécessite une énorme modernisation et donc de gros investissements ; or, la main d’œuvre noire revendiquant des salaires plombant la compétitivité, les investisseurs ont délocalisé.
2) Les cadres blancs continuent à quitter le pays, chassés par la discrimination inversée, l’incroyable insécurité et le surfiscalisme.
3) Le secteur agricole, le seul à être excédentaire a été littéralement assassiné par la décision de spoliation des fermiers blancs.
Dans ce pays où un abîme s'est creusé entre une infime minorité de profiteurs noirs et des millions de chômeurs, d’assistés et de travailleurs sous-payés qui paralysent le pays avec de continuels mouvements de revendication, l’abyssal échec économique et social de l’ANC a donc débouché sur des violences xénophobes, les étrangers étant accusés de prendre le travail des plus pauvres. Au pied du mur, acculé par le bilan de ses détournements et de son incompétence, l’Etat-parti ANC n’a désormais plus que trois options :
1) Chercher à redresser l’économie en empruntant une voie libérale, mais il provoquera alors une révolution.
2) Accuser le bouc-émissaire blanc en tentant de faire croire que la situation est un héritage de l’apartheid et en nationalisant les mines et la terre. La « poule aux œufs d’or » sera alors définitivement tuée, comme au Zimbabwe, et le pays sombrera encore davantage dans la misère.
3) Recourir à la « planche à billets », ce qui, comme au Zimbabwe, provoquera d’abord l’inflation, puis une hyperinflation et la ruine totale du pays.
Source : L’Afrique réelle
10:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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À Londres comme ailleurs, faire sauter le verrou parlementarisme.
09:08 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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