Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

jeudi, 30 janvier 2020

Roger, notre ami, notre camarade, notre étendard.

256765252.jpg

Communiqué de Jean-François Touzé, Délégué général du Parti de la France :
 
Le Parti de la France est en deuil qui vient de perdre son Président d'honneur. Mais c'est tout le mouvement national qui pleure aujourd'hui celui que chacun appelait Roger. Un prénom qui était un emblème et un étendard.
 
Étendard de la fidélité, du courage et de la droiture dans l'engagement pour la France. 
 
Étendard des combats pour la libération nationale, pour le maintien de l'Indochine dans l'Empire et pour l'Algérie française. Étendard d'une volonté constante: celle de la restauration de la grandeur française.
 
Étendard de la lutte contre le communisme et le gauchisme. Étendard de la résistance à la submersion migratoire. Étendard du refus de l'abandon et du renoncement à ce que nous sommes.
 
Renoncement... Le mot qu'il ne fallait pas prononcer devant Roger Holeindre. Parachutiste colonial, combattant de l'Algérie française, animateur sans relâche des organisations nationales militantes des années 60, il fut un des fondateurs avec Jean-Marie Le Pen du Front National dont il fut membre du Bureau politique sans discontinuer jusqu'en 2009, mais aussi député et conseiller régional.
 
 
Président du Cercle national des combattants, il sut œuvrer jusqu'à son dernier jour pour l'honneur de nos armées et de la France contre toutes les désinformations et toutes les repentances.
 
Dès la création du Parti de la France, Roger Holeindre fut aux côtés de Carl Lang, un président d'honneur actif, participant à tous les Bureaux politiques et à la vie du mouvement. Un engagement de fidélité qu'il confirma lors de notre dernier congrès en demeurant, fier et droit, à son poste.
 
Roger était aussi un orateur hors pair dont les interventions fortes et sans concessions ne manquaient jamais de faire vibrer les salles. Il devait prendre la parole mercredi prochain aux côtés de notre Président Thomas Joly, lors d'une réunion parisienne.
 
Ce n'est pas seulement un des siens que perd le Parti de la France aujourd'hui. C'est un ami très cher. Un camarade sans égal. 
 
Il était le meilleur d'entre nous.

Les commentaires sont fermés.