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jeudi, 13 février 2020

13 février 1984 : un Jean-Marie Le Pen visionnaire crève l’écran

L’heure de Vérité | Antenne 2 | 13/02/1984 Invite de "l'heure de vérité" : Jean-Marie LE PEN, président du Front national. Il répond à 3 journalistes :Alain Duhamel, Jean-Louis Servan-Schreiber et Albert du Roy.

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source: E&R

 
 

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Les médias de grand chemin nous imposent leur propagande

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Samedi, les journaux titrent, scandalisés :
 
Tout juste acquitté, Donald Trump congédie deux membres de son administration qui avaient témoigné contre lui
Des élus démocrates ont aussitôt dénoncé ces "représailles" de la part du président américain.
 
Le même jour, les mêmes jounalistes titrent en applaudissant :
 
Merkel congédie un membre de son gouvernement jugé trop proche de l’extrême-droite
Christian Hirte s’était félicité de l’élection d’un nouveau dirigeant de la région de Thuringe grâce aux voix du parti démocrate-chrétien CDU et du parti AfD.
 
 

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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Les arnaques de la révolution verte

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Ecologie, développement durable, économie circulaire, j’en passe et des meilleurs, on n’a que ces mots à la bouche pour caractériser les effets du réchauffement climatique. Sauf que l’on emprunte des chemins  qui ne sont pas les bons et que toute cette tambouille revient à ripoliner les programmes des partis politiques qui n’ont plus d’idées, plus d’électeurs non plus d’ailleurs, et encore moins de saints vers lesquels se tourner, hormis les oiseaux de mauvais augures que sont tous ces zozos estampillés écolos. Mickaël Fonton, dans Valeurs actuelles remet les pendules à l’heure.

A lire ICI

09:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Toulouse. Une conférence de François Bousquet et de Robert Ménard attaquée, la police absente

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Source Breiz info cliquez ici

On a frôlé le drame mercredi 12 février au soir, à Toulouse, lorsqu’une milice antifasciste a déboulé devant le lieu où devait se tenir une conférence de François Bousquet, patron de la Nouvelle librairie, et de Robert Ménard, maire de Béziers finalement absent pour l’occasion malgré le fait d’avoir été annoncé.

En plein centre ville de Toulouse (Au Loft, un site spécialisé dans l’organisation d’événements privés) des antifas armés, ont pu, pendant plusieurs minutes, jeter des fumigènes, des chaises, des barres, sur le service de sécurité tentant de contenir ce déchainement de violence. Les forces de l’ordre, pourtant promptes habituellement à gazer et à réprimer à tout va en manifestation (beaucoup de Gilets jaunes s’en souviennent encore sur Toulouse) n’arrivèrent qu’une fois le gros de l’attaque passé. Et cela alors même que le maire d’une commune importante du sud de la France était annoncé.

« Il y a forcément des questions qui se posent à ce sujet » glisse un participant. « On se demande même si la Préfecture ne voulait finalement pas de ces incidents. Que se serait-il passé si notre sécurité avait fait usage de sa légitime défense pour neutraliser avec force ces antifas ? On aurait alors assisté à un déferlement médiatique sans précédent …alors même que ces gens voulaient manifestement nous tuer »

A noter le traitement de l’information par la presse mainstream, prise en flagrant délit d’une forme de complicité avec les antifascistes. Ainsi, La Dépêche titre : « une conférence que devait animer Robert Ménard, perturbée par des antifascistes », et parle d’un évènement « perturbé ». Sylvain Duchampt, journaliste manifestement militant pour le service public, à France 3 Occitanie, ose même parler d’un « face à face entre militants ». « Très rapidement le groupe d’extrême-gauche arrive sur place et fait face au service de sécurité composé notamment de membres de Génération identitaire.  L’opposition entre les deux parties dure une dizaine de minutes. Les membres d’extrême-droite tenant l’entrée de la salle afin d’empêcher l’intrusion de la cinquantaine de militants antifascistes jusqu’à l’arrivée d’un important dispositif policier, comme le montre cette vidéo de France 3 Occitanie »

Ce n’est d’ailleurs pas une première pour France 3 Occitanie. Il y a quelques mois, une de leur équipe avait déjà fait un reportage complaisant sur la façon dont les antifas traquent les groupes dits « d’extrême droite », reprenant quasiment toute la trame habituelle des sites antifascistes de type La Horde.

Une chaine de télévision du service public donc, qui n’avait pas dit un mot lorsqu’un journaliste indépendant, Vincent Lapierre, avait été attaqué par les mêmes personnes que ce journaliste du service public interviewa en toute sympathie.

Les exactions de ces milices se reproduisent désormais hebdomadairement partout en France. Des militants sont agressés. Des réunions et des conférences sont attaquées, quand elles ne sont tout simplement pas annulées par les organisateurs. En toute impunité, l’Etat et leurs relais médiatiques au sein de la presse mainstream versant dans l’angélisme (la complicité ?). Dans l’attente d’une nouvelle affaire Clément Méric ?

09:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

DEVOIR DE MEMOIRE = DRESDE, les 13, 14 et 15 FEVRIER 1945.

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Pieter Kerstens

Le XXe siècle laissera dans l’Histoire le souvenir d’un cortège d’horreurs sans nom. La communauté juive se souvient de ses morts et impose le recueillement permanent à Auschwitz. Pour le peuple juif, ses dirigeants, ses groupes de pression et ses porte-paroles, Auschwitz est un symbole unique, le symbole d’une souffrance indicible et impose une obligation morale de culpabilité permanente enseignée dans les écoles.

DRESDE doit être le symbole de toutes les victimes civiles et innocentes de la guerre aérienne à outrance, qui a frappé tous les peuples européens, jour après jour, de 1940 à 1945. La stratégie des tapis de bombes (imposé par le « théoricien », major anglais Harris, pour « casser » le moral des populations et forcer les peuples à se soulever contre leurs dirigeants), est une négation de la civilisation qui, elle, postule que la guerre doit être menée par des militaires contre des militaires, en épargnant les femmes et les enfants. DRESDE doit être un symbole car elle était une ville d’art, reflétant une culture de la joie de vivre, diamétralement différente du militarisme que l’on a généralement reproché aux Allemands. Paradoxalement, c’est cette ville, « la Florence de l’Elbe », vouée au théâtre, à la musique, aux porcelaines et à l’art, que les anglo-américains ont rasé, sans le moindre impératif militaire ou stratégique, comme l’ont reconnu par ailleurs la majorité des observateurs britanniques et américains. Cette stratégie de la terreur n’a pas brisé le peuple allemand qui, au contraire, a su faire face !

En ce jour anniversaire de ce crime de guerre atroce, le souvenir nous impose :

*que 8.000 bombes explosives et 600.000 bombes incendiaires ont conduit 135.000 civils au royaume des cieux, selon les estimations les plus basses. D’après les sources officielles allemandes, il y en eu plus de 250.000 (« Deutschland Heute ». Editions Press und Informazionsambt des Bundesregierung. Page 31. 1961).

*que parmi les morts se trouvaient de très nombreux réfugiés civils et beaucoup de prisonniers de guerre alliés, qui fuyaient l’avance des troupes soviétiques.

*que l’ensemble des raids aériens en Europe a fait des millions de victimes civiles, qui ne peuvent pas simplement et hypocritement être envoyées aux oubliettes.

*que l’horreur des bombardements aveugles allemands ou alliés, qui ont frappé aussi les populations françaises (Caen, Le Havre, Rouen, Lisieux, Carentan, Royan, Boulogne-Billancourt) et belges (Anvers, Courtrai, Etterbeek, Forest, Houffalize, Namur, Saint-Vith,) doit inciter nos responsables moraux à condamner sans appel de telles pratiques et à nos gouvernants qu’ils expriment leur refus et s’opposent à leur réédition sous toutes les formes, comme au Vietnam, en Irak, à Belgrade, en Afghanistan, à Bagdad, en Lybie ou encore en Syrie.

*qu’à l’avenir, les tactiques incluant le bombardement de zones habitées devraient être considérées comme des crimes de guerre imprescriptibles et jugés comme tels.

*que les élus des municipalités, villes et villages, qui ont été frappés en Europe, se souviennent de ces raids aériens destructeurs et mobilisent leurs efforts à l’échelon local afin de raviver le devoir de mémoire au nom de la multitude d’innocents arrachés à l’amour de leur famille.

*qu’un centre d’études devrait s’occuper de cultiver le souvenir de nos morts, de récolter les témoignages des derniers survivants, afin d’étayer la mémoire des générations futures, qui ne peuvent pas oublier.

*que cette horreur, partagée par tous les Européens, puisse au moins servir à souder les hommes et les femmes de notre continent et leur fasse comprendre qui sont réellement les ennemis de la paix et de l’unification de l’Europe, dans la fraternité et la réconciliation.

Note : Sur les raids aériens alliés lire « L’Incendie » de Jörg Friedrich aux éditions .de Fallois. 2004.

09:10 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |