vendredi, 29 mai 2020
Le Journal de TV Libertés du vendredi 29 mai 2020
21:35 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
TARASCON : IRRESPONSABLE, MARINE LE PEN MAINTIENT SA LISTE POUR DIVISER LA DROITE NATIONALE
18:25 Publié dans MUNICIPALES 2020 | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Souvenons-nous du dimanche 29 mai 2005 : le vol de la volonté populaire
18:24 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
À CELLES ET CEUX QUI NOUS ONT COMMANDÉ DES LIVRES ET QUI SONT DANS L'ATTENTE DE LES RECEVOIR :
Plusieurs livres devaient sortir ces derniers mois. Il s'agit du Cahier d'Histoire du nationalisme n°18, consacré à Honoré d'Estienne d'Orves et aux monarchistes dans la résistance ; de Réflexions pour un nouveau corporatisme, ouvrage collectif consacré, comme son titre l'indique, au corporatisme, et de la réédition des Cahiers d'Histoire n°1 (Léon Degrelle) et du n°2 (François Duprat).
La crise sanitaire qui vient de se dérouler nous a obligé à reporter ces parutions. Nos imprimeurs et nos transporteurs étant fermés pour cause de confinement. De plus, les retards postaux ne facilitaient rien. Cependant, les choses sont en train de s'arranger et nous nous en félicitons.
Ainsi, les livres et Cahiers commandés vont être livrés très rapidement. Le Cahier n°2 consacré à François Duprat et au nationalisme-révolutionnaire a d'ailleurs été expédié dès hier et aujourd'hui. Les autres titres partiront en milieu de semaine prochaine. Encore un peu de patience et toutes les commandes vont être enfin honorées. Il en va de même pour les abonnés aux Cahiers d'Histoire du nationalisme.
Nous vous remercions pour votre confiance et pour votre compréhension pour ces retards qui, comme vous le savez, sont bien indépendants de notre volonté. Pour Synthèse nationale et Synthèse éditions la crise a aussi été une épreuve dont nous nous serions volontiers passé. Mais grâce à la fidélité et à la générosité de nos amis, nos activités peuvent reprendre dès maintenant.
S.N.
Si vous souhaitez acheter
ces livres (ou d'autres) cliquez ici
16:45 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Parution le 10 juin aux Bouquins de Synthèse nationale d'un nouveau livre de Michel Vial intitulé "La chute de l'empire occidental"...
Loin d’être dogmatique, cet essai répond avant tout à une logique. Celle du témoin d’une époque qui voit s’écrouler un « empire occidental » que l’ont pouvait naïvement imaginer, au lendemain de l’instauration du Nouvel Ordre mondial, au début des années 1990, comme devant être définitif.
Avoir voulu, au nom de l’ultra-libéralisme, détruire les nations et leurs spécificités au profit d’un vaste marché aux dimensions planétaires a été la grande erreur de ces dernières décennies. Nous voyons aujourd’hui que ce funeste projet mondialiste a atteint ses limites. De plus, le retour sur la scène internationale de l’islam conquérant, accentué par les grands brassages migratoires, assombrit encore plus l’avenir de nos peuples européens.
Faut-il pour autant baisser les bras ? Certainement pas...
Engagé dans le camp nationaliste alors qu’il était étudiant, Michel Vial a gardé de sa jeunesse cette approche non-conformiste qui caractérise ceux qui ont compris, avant les autres, que la défense de notre identité, et de notre liberté, est un éternel combat.
Dans cet ouvrage, il décortique un par un les différents aspects de la crise que nous subissons en essayant de faire passer un message d’espoir à ceux qui refusent l’anéantissement de notre civilisation.
L'auteur : Michel Vial
Michel Vial, 64 ans, a été militant nationaliste dans sa jeunesse étudiante. Engagé volontaire à 20 ans dans les Phalanges liba-naises, il est blessé au combat à Beyrouth en septembre 1976. Deux ans plus tard, il est élève officier de réserve à l’école d’application de l’Arme blindée cavalerie de Saumur dont il sort major de sa promotion et intègre le 2e Régiment de Hussards.
Après une carrière professionnelle dans les métiers de la formation et de la communication, il se consacre à la rédaction d’articles et d’ouvrages sur l’histoire militaire moderne. Il publie chez « Histoire & Collections » son premier livre en 2018 sous le titre Otto Skorzeny, l’homme le plus dangereux du IIIe Reich qui retrace la vie extraordinaire du chef des commandos de Hitler.
Michel Vial est l’un des fondateurs et le porte-drapeau de l’AAVFL (Amicale des Anciens Volontaires Français du Liban).
La chute de l'empire occidental, Michel Vial, Les Bouquins de Synthèse nationale, collection idées, juin 2020, 130 pages, 18 euros (+ 5 euros de port).
Le commander en ligne cliquez ici
16:11 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Ceux qui discutent du « monde d’après » et ceux qui le font
Par Eric Le Boucher
Le débat politique sur le « monde d’après » s’enlise dans des propositions qui nous feraient plutôt retourner vingt ou trente ans en arrière. Sur le terrain des entreprises en revanche, la prise de conscience que l’environnement et la dimension sociale sont incontournables, devient de plus en plus forte, en tout cas en Europe.
Est né un sentiment qu’il faudrait « profiter du coronavirus » pour changer ce qui ne va pas. Mais surplombe d’abord une volonté générale de reprendre le cours normal de son existence. L’hésitation des individus entre innovation et protection s’agrège nationalement et le résultat penche nettement en faveur de la seconde. On assiste à des changements, le manger local, mais surtout à un grand conservatisme comme le reflète l’épargne des ménages. Changeons ? Attendons.
Abîme de la radicalité
La faute en revient au débat politique affligeant sur « le monde d’après » qui repart sur la pensée prémâchée du « plus d’Etat », « plus de social », « plus d’écologie » dans une superficialité confondante. La classe politique s’est ralliée à Raymond Devos qui disait : « Se taire quand on n’a rien à dire ? Ah non ! c’est trop facile. » Elle parle donc. La droite assure péremptoirement qu’« il y a un espace entre Macron et Le Pen » et prepare en vérité un retour au chiraquisme immobiliste. La gauche se remotive fébrilement autour de l’impôt sur la fortune. L’ISF rapporterait 2 milliards quand on a besoin de 500 mais qu’importe, « la politique c’est du symbole ». A-t-elle une autre idée la gauche ? Aucune.
Le débat syndical n’a pas plus d’intensité. La CGT, Confédération générale du travail, lutte désormais de toutes ses forces contre le travail et, ravagée par une puissante fraction intérieure qui trouve qu’il faut tout casser, elle s’enfonce dans l’abîme de la radicalité. La CFDT se perd à l’inverse dans l’espace sidéral avec un Nicolas Hulot qui fut le pire ministre de l’Environnement parce qu’il a fait rêver de la Lune sans savoir construire une fusée qui y aille.
Transformation du capitalisme
Heureusement, à côté de ceux qui parlent, il y a ceux qui font. Les entreprises et une partie de la finance se sont engagées dans une transformation qui les rend « responsables » ou « inclusives » ou « respectueuses des parties prenantes », qu’importe le mot. On peut là aussi craindre la superficialité d’une politique de pure communication. Le danger est réel. Pourtant, un tournant s’opère sous la pression, justement, du sentiment populaire qu’il faut changer. Là où la politique ne trouve pas de débouché intellectuel, les entreprises en trouvent sur le terrain. Le capitalisme, du moins en Europe, commence à se transformer « par lui-même ».
On en veut pour preuve Danone et Total. Le champion français de l’industrie alimentaire va proposer à ses actionnaires un changement pour devenir une « entreprise à mission cotée », forme introduite par la loi Pacte. Danone fait un pas de plus, Antoine Riboud son créateur insistait sur le social, Franck son fils sur l’environnemental, et Emmanuel Faber, son actuel PDG, inscrit cette « mission » dans la gouvernance et la rend juridiquement opposable. Elle coupe les ponts.
Total n’a pas du tout la même histoire. Si le groupe est social, c’est parce qu’il est très riche. Quant à l’environnement, vendre de l’essence rend cette « mission » peu crédible. Patrick Pouyanné, son PDG, veut pourtant atteindre le « zéro émission net » en Europe en 2050. Pourquoi viser cette neutralité carbone ? Parce que, nous y revenons, l’opinion publique le souhaite, parce que les gouvernements et Bruxelles prennent et prendront des mesures sérieuses pour y contraindre et parce qu’une partie croissante des fonds actionnaires y poussent aussi. Total anticipe comme d’ailleurs Shell et BP, ses deux confrères européens qui ont aussi amorcé leur mutation transgenre.
Un coût à court terme mais un avantage à moyen terme
On notera que les groupes américains n’ont pas la même politique, pour l’heure. Comment atteindre la neutralité ? En abandonnant l’essence puisque les voitures à moteur thermique deviendront interdites et en devenant producteur électrique par renouvelable. Ce qui restera de gaz et de pétrochimie pourra être compensé ou stocké, ce qui nécessite de lourds investissements. Total espère que sa transformation européenne servira de modèle pour le reste du monde où les contraintes et les incitations ne sont pas les mêmes et où il restera émetteur net de CO2.
La responsabilité sociale et environnementale a un coût à court terme mais un avantage à moyen terme, plaident Danone comme Total ou d’autres (Veolia, Suez, EDF...). La difficulté de ces transformations du capitalisme est de convaincre la nébuleuse des actionnaires français, européens et internationaux. En Europe, une finance verte est devenue puissante et exigeante tandis qu’elle reste marginale aux Etats-Unis. Cette divergence n’aide pas. Mais le monde d’après se construit en vrai. Espérons que l’impéritie politique ne le détruise pas.
Source, Les Echos 29/05/2020
10:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |