dimanche, 01 novembre 2020
Magasins d'Etat.
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Les Grenelles, placebo des gouvernements
La chronique de Philippe Randa
En pleine chienlit de mai 1968 et afin de calmer les esprits quelque peu échauffés des syndicats opposés au patronat, Georges Pompidou organisa le premier « Grenelle » dont les accords qui ne furent jamais ni signés, ni reconnus, restèrent toutefois dans les mémoires.
Suivant le dicton que c’est dans les vieux pots qu’on fait les meilleures soupes, l’organisation d’un « Grenelle » est depuis un véritable réflexe de gouvernement.
La crise du « vivre ensemble » ayant récemment interpellé l’Opinion publique sur le métier d’enseignant, suite à la décapitation d’un professeur n’ayant pas pris la juste mesure de la susceptibilité islamiste, un « Grenelle de l’Éducation » s’imposait, donc. À l’évidence !
Comme s’étaient imposés ces dernières années les Grenelles de l’environnement (2007), du très haut débit (2008), de la mer (2009), des ondes (2009) et plus récemment contre les violences conjugales (2019)… Quelle que soit la difficulté, il n’y aurait donc point de difficulté qu’un Grenelle ne puisse régler… pas toujours néanmoins, à l’exemple de celui de la chasse, organisé par Yves Cochet en 2001 qui tourna court au bout de quinze minutes à peine avec le départ des chasseurs.
Que peut bien espérer le gouvernement d’un « Grenelle de l’Éducation » dont les thèmes centraux seront la protection et la rémunération des professeurs – Jean-Michel Blanquer a déjà promis 400 millions d’euros pour améliorer leurs salaires – et afin de « mettre davantage en avant le professeur au centre de la société » ? Que les Fous d’Allah proliférant dans notre pays soient sensibles à une telle initiative ?
Marie de Gandt avait assez bien décrit la fumisterie de cette mode des Grenelles en 2013 dans son livre Sous la plume. Petite exploration du pouvoir politique (Robert Laffont) : « Nous assistons à la grand-messe du Grenelle, n’en percevant que le résultat le plus concret, un immense encombrement de voitures et de journalistes qui stationnent sous nos fenêtres. »
Embouteillages et enfumages en perspective, donc… jusqu’au couvre-feu de 21 heures, en tout cas !
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Bernard Monot invité de l'émission "Synthèse" sur TV Libertés
ÉMISSION ENREGISTRÉE FIN SEPTEMBRE
Économiste reconnu et atypique, ancien député européen, auteur de plusieurs ouvrages dont le dernier, « L’Eurovision pour les peuples – De l’Europe fédérale à l’Europe des patrie » (Muller éditions), vient d’être réédité, Berrnard Monot est aujourd’hui l’invité de l’émission « Synthèse » animée par Roland Hélie et Philippe Randa. Au moment où la France semble au bord d’une nouvelle crise sanitaire et économique, Bernard Monot revient sur les causes et les effets dramatiques de celle du printemps dernier.
22:56 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Sur fond de Covid-19 et terrorisme : risque d’écroulement en France dès 2021
Marc Rousset
Dès ce mardi 27 octobre, un premier coup de semonce boursier inattendu fut l’effondrement de plus de 20 % du titre technologique allemand SAP, après l’avertissement lancé par la direction concernant les entreprises qui n’investissent pas. Depuis jeudi, suite à la peur des conséquences économiques du confinement, certains boursiers se demandent si la seconde jambe de baisse, comme en 1929, après une remontée de quelques mois, n’a pas déjà commencé ?
Les experts s’attendent à une poursuite de la baisse des marchés. Compte tenu de la situation actuelle des Bourses, comparable à celle du mois de février, des mouvements prochains de panique comparables à ceux de février et mars 2020, qui ont fait plonger le CAC 40 de 39 % en un mois, ne sont pas impossibles.
Les marchés européens ont fini en ordre dispersé, vendredi, suite aux incertitudes politico-économiques et à la deuxième vague de Covid-19. L’EuroStoxx 50, composé des plus grosses valeurs européennes, a perdu 7,52 % sur la semaine, qui a été brutale pour les actions. Les marchés se réveillent, enfin, face aux réalités. Personne n’a été épargné : -8,6 % à Francfort, -7 % à Milan, -4,8 % à Londres, -6,4 % à Paris. Les trois banques du CAC 40 (Crédit agricole, BNP Paribas et Société générale) ont dégringolé, perdant chacune environ 10 %.
Aux États-Unis, Wall Street, minée par la pandémie, a aussi connu sa pire semaine et son pire mois depuis mars 2020. Sur la semaine, le Dow Jones a perdu 6,5 %, le NASDAQ et l’indice S&P 500 respectivement 5,5 % et 5,6 %. Facebook a perdu 6,31 %, Amazon 5,45 % et Twitter 21,11 %. Sur le mois, le Dow Jones a perdu 4,61 %, le NASDAQ 2,29 % et le S&P 500 2,77 %. Le VIX, l’indice de la peur, est remonté à 38, proche de son pic. Le spectre de la débandade de mars 2020 plane aussi bien en Europe qu’aux États-Unis.
L’économie française replonge dans un tunnel d’incertitudes, même si Bruno Le Maire annonce une récession de -11 % pour 2020 (contre -5,5 % en Allemagne) et de « bons chiffres de croissance » pour 2021, sans se hasarder à les préciser. Il avançait aussi +5 % pour le dernier trimestre 2020 alors que ce sera, en fait, une récession de -5 %. Selon l’économiste Philippe Waechter, la croissance se limitera à 3,5 % pour 2021 et il faudra attendre 2026 pour retrouver le niveau d’activité de 2019, mais il fait partie du Système et pèche par optimisme, lui aussi, en refusant d’envisager une tempête, voire un écroulement de la France et de l’Europe du Sud en 2021.
Plus de la moitié des PME européennes pourraient faire faillite dans les douze mois, selon McKinsey. Les PGE, qui sont les prêts garantis par l’État, ne seront jamais remboursés par les entreprises. Sans vaccin et fin de pandémie, nous sommes condamnés à une succession de confinement/déconfinement avec une fragilisation et mortalité chaque fois de plus en plus grande des entreprises, alors que le Covid-19, c’est, en France, 0,4 % de mortalité pour des patients, le plus souvent très âgés avec un autre problème de santé. Le risque non avoué dans les médias est que l’on passe du stade de la récession à celui de la dépression. Selon l’OCDE, la dette italienne pourrait exploser, en 2021, à 195 % du PIB, celle du Portugal à 158 % et celle de la Grèce à 229 %, soit des niveaux de banqueroute des États et d’explosion de la zone euro.
Les banques centrales vont continuer à inonder les marchés financiers de liquidités avec une bulle de plus en plus grande sur les actifs. 617 milliards d’euros de rachat de dettes sur un programme de 1.350 milliards ont déjà été effectués par la BCE et Christine Lagarde envisage déjà une rallonge de 500 milliards d’euros du « PEEP » jusqu’à la fin 2021.
Alors que la guerre en France contre le terrorisme islamiste se rapproche, nous allons tout droit vers une crise de la dette des États, un écroulement de certains pays dont la France, l’euthanasie des épargnants et des rentiers, la destruction des monnaies, une crise économique et monétaire mondiale et la refonte du système monétaire international fondé sur l’or.
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22:55 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Général Flynn confirme le coup d’État contre les peuples
19:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RICHARD ROUDIER (LIGUE DU MIDI) RÉAGIT FACE AU CONFINEMENT ET AU TERRORISME
16:50 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
DU CALME !
10:16 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Terrorisme : des mesures d'urgence proposées par le Parti de la France
Un communiqué du Parti de la France :
La multiplication des attaques meurtrières commises au nom d'Allah par les tueurs islamistes et les manifestations de haine anti-française qui agitent le monde musulman montrent clairement qu'une fatwa a été lancée contre la France.
Face à cette situation de guerre voulue par les djihadistes, seule la force paiera.
Le Parti de la France, dans le cadre contraint de ce que permet le régime actuel, demande la mise en œuvre a minima d'une politique de fermeté absolue.
- Adoption de lois d'exception permettant la mise en rétention administrative sans délais des suspects.
- Fermeture des frontières nationales puisque celles de l'Europe sont incontrôlables.
- Expulsion de tous les étrangers liés à la mouvance islamiste.
- Réforme du code de la nationalité permettant la substitution du droit du sang à celui du sol et la suppression de la double nationalité.
- Ratissage des cités par les forces de l'ordre au besoin renforcées par l'Armée.
- Arrêt immédiat de l'immigration dite légale et de la filière migratoire du droit d'asile.
Ces mesures peuvent être prises sans délais.
La droite nationale, si elle accédait au pouvoir, irait, quant à elle, évidemment beaucoup plus loin en ajoutant à ces dispositions l'application sans faiblesse d'une politique de remigration et le rétablissement de la peine de mort.
00:14 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |