vendredi, 13 août 2021
Cassandre ne lâche rien...
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Zemmour : Je pense qu’il faut agir, je sais ce qu’il faut faire
Jacques Guillemain Riposte laïque cliquez là
Dans une interview “coup de poing” accordée à Valeurs Actuelles cliquez ici, Eric Zemmour se montre prêt à basculer dans l’action politique.
Va-t-il sauter dans l’arène après des mois de suspense ? Pour moi, la réponse est oui. Un recul serait incompréhensible et ferait des millions de déçus parmi les patriotes, désireux d’en finir avec 40 années de démission et de renoncement permanent face aux périls qui rongent notre pays.
Répondant aux questions de Charlotte d’Ornellas et de Geoffroy Lejeune, Zemmour juge la décapitation de Samuel Paty comme étant l’un des faits les plus marquants de ces douze derniers mois.
D’abord parce qu’un enseignant est l’incarnation de la République, ensuite parce que le terroriste est un Tchétchène élevé en France, qui a appliqué seul la charia, sans aide extérieure.
Cet acte de barbarie et tous ceux qui l’ont précédé, ainsi que l’assassinat du père Olivier Maire par un clandestin rwandais, témoignent d’une faiblesse qui nous tue. Notre humanisme et notre juridisme nous désarment.
D’un côté, c’est le silence radio pour le meurtre ignoble du jeune Théo, assassiné par un Sénégalais multirécidiviste, de l’autre, c’est un François Hollande qui se précipite au chevet d’un autre Théo, pour dénoncer les violences policières à l’égard des immigrés. “Deux poids deux mesures” insupportables.
“Nous ne sommes plus en sécurité nulle part”.
Sur le Covid, Zemmour salue la performance des scientifiques qui ont élaboré un vaccin en un temps record. Mais il a vécu comme une humiliation le fait que la patrie de Pasteur, soit le seul membre permanent du Conseil de sécurité de l’ONU à ne pas avoir produit son vaccin. Il a évidemment raison et nous avons déjà déploré ce déclassement pitoyable chez RL.
“La pénurie de masques, de tests, de lits, démontre la tiers-mondisation de la France.”
Zemmour approuve le désengagement de la France au Sahel, mettant fin à des années d’enlisement. Il faut monter des opérations-éclair, de type Kolwezi en 1978. Car l’enlisement en Afrique est vite assimilé à du néo-colonialisme. Cela dit, la région est déstabilisée pour longtemps.
En matière de libertés, nous avons imité la Chine totalitaire, en confinant toute la population. Une solution impensable dans une démocratie. Dorénavant, c’est la Chine qui donne le “la”. Mais être pisté en permanence par son téléphone ou un QR code est un recul de nos libertés.
“Si les personnes à risque sont vaccinées, je ne comprends toujours pas pourquoi il faudrait vacciner les jeunes Français.”
Ce qui est choquant, c’est que le Conseil d’Etat, comme le Conseil constitutionnel ont avalisé toutes les restrictions de liberté voulues par le gouvernement. Mais, en revanche, ils ont retoqué la décision du gouvernement de suspendre le regroupement familial durant la crise sanitaire !
Donc, “les libertés individuelles des migrants sont mieux protégées par le juge que celles des Français”.
La liberté sera le sujet du siècle. Liberté de penser, d’écrire, de nous exprimer, de débattre, tout cela est menacé. Quand les réseaux sociaux censurent les comptes de ceux dont les opinions dérangent, c’est grave.
Si les Français sont si dociles face aux contraintes imposées, c’est parce que la machine de propagande est terrifiante. Staline n’était qu’un amateur en comparaison, car il avait besoin de la violence pour s’imposer.
Sur sa propre sécurité, Zemmour ne s’étend pas. Il souligne que Mila, Gilles Kepel et lui, vivent sous protection policière à cause de leurs propos sur l’islam. Qui, en 1970, aurait imaginé que nous en serions là aujourd’hui ?
Quant aux attaques en justice qui le visent, elles sont autant le fait du camp pro-musulmans que du système, qui ne voit pas la menace qui plane sur nos principes républicains.
“Je ne pense pas au prix que je dois payer pour défendre ce qui me parait juste”.
“Je pense vraiment ce que je dis, je ne suis pas là pour jouer.”
Accusé de misogynie, Zemmour dénonce la puissance de feu de l’artillerie médiatique, qui le présente en raciste misogyne, qui déteste les Arabes, les homos, les musulmans ou les femmes.
Mais les minorités militantes qui imposent leur loi à la majorité, ça suffit !
Ceux qui me détestent sont les lobbies que j’ai attaqués, en dénonçant leurs idéologies totalitaires. Mais j’attaque les minorités organisées, pas les individus.
L’hypocrisie est souvent de mise. Les féministes ne défendent plus les femmes et la féminité, mais militent pour l’indifférenciation et promeuvent une société d’individus ni hommes ni femmes. Les féministes islamo-gauchistes n’ont jamais défendu Mila menacée de mort.
“Pour moi, il existe deux sexes et je ne crois pas à la théorie du genre. Et tant pis si je me fais insulter.” Il n’y a aucun blocage ou sectarisme de ma part vis-à-vis des femmes.
Qui défend les femmes victimes de l’insécurité dans les transports ou dans la rue ? Certainement pas les partisans de l’omerta, qui abandonnent les femmes à leurs agresseurs au nom du politiquement correct.
Sur son éventuelle candidature, Zemmour se dit bluffé par l’enthousiasme de ceux qui l’aiment et le jugent comme étant le meilleur candidat.
L’engagement intellectuel et journalistique est terriblement limité. Pour agir, il faut accéder au pouvoir.
“Je maintiens que nous vivons une période dramatique, que nous sommes en danger de mort, que la France que nous aimons peut mourir.”
“Mais je pense que l’on peut agir. Je sais ce qu’il faut faire, j’ai en tête les étapes nécessaires, mais il faut aussi que les Français soient prêts à la bataille et refusent de se laisser soumettre plus longtemps à la propagande ambiante.”
Il n’y a pas de situation désespérée qui interdise toute action. L’histoire de France n’est qu’une suite de gloires et de chutes tragiques.
Sur la France périphérique, qu’il défend, Zemmour souligne les deux maux qui l’accablent : la désindustrialisation qui l’a paupérisée et l’immigration qui l’a chassée des métropoles créatrices de richesses. Les Gilets jaunes sont les révoltés de cette France abandonnée, qui subit un déclassement sans précédent. Les Gilets jaunes ont perdu car ils n’ont eu aucun soutien politique. Mais leur message doit être écouté.
Sur les grands thèmes qui feront l’élection de 2022, Zemmour cite l’identité, l’instruction et l’industrie.
L’identité, c’est aussi l’islam, l’immigration et l’insécurité.
L’instruction est prioritaire puisque l’école s’est effondrée.
L’industrie est dans une situation catastrophique comme l’a prouvé la pandémie. La réindustrialisation est impérative.
Conclusion
Nous sommes des millions à espérer la candidature de Zemmour et surtout sa victoire sur les professionnels de la politique, qui ont saccagé la France depuis 40 ans et dilapidé l’héritage des Trente Glorieuses légué par de Gaulle.
Seul un patriote sincère peut sauver la France du naufrage identitaire et de la ruine économique que nous promet le mondialisme débridé.
À la grande différence des autres candidats, Eric Zemmour ne ment pas, dit ce qu’il pense et aura le courage de renverser la table.
Intelligent, brillant et cultivé, il en connait davantage sur les problèmes du pays et leurs solutions que tous les autres candidats réunis, qui, pour la grande majorité d’entre eux, n’ambitionnent que le pouvoir.
Et sur la géopolitique, il est imbattable.
L’homme providentiel qu’on attend, c’est lui, Eric Zemmour. Un grand patriote qui n’a rien à voir avec les professionnels de la politique qui n’ont fait que mentir au peuple et le trahir. De droite comme de gauche, ils sont tous discrédités.
En 2022, élisons un homme neuf, et chassons les candidats du système qui ont échoué depuis 40 ans, qui nous ont ruinés et qui entendent nous déposséder de notre pays. Ils s’aplatiront tous devant Bruxelles et l’ONU.
“La France n’a pas dit son dernier mot” : Eric Zemmour publiera son nouveau livre le 15 septembre. On piaffe d’impatience !
Un titre très prometteur qui va ravir les millions de patriotes qui refusent le naufrage de notre France millénaire.
23:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Appel à manifester des soignants opposés à l'obligation vaccinale et au pass sanitaire.
Communiqué de presse du collectif « SOIGNANTS LIBRES »
« Vous prenez notre liberté, mais vous n'aurez pas notre libre-arbitre ! » Le collectif « soignants libres », crée début juillet 2021, regroupe des médecins, des internes, des infirmiers, des aide soignants, des sages-femmes, des puéricultrices, des auxiliaires de vie et autres professions paramédicales ou d'aides à la personne.
Né pour dénoncer le refus de l’obligation vaccinale et du pass sanitaire, il est apolitique et rassemble plus de 300 soignants de toute la France, issus de la FPH, du privé et du libéral.
Nous sortons aujourd’hui du silence pour faire entendre nos voix et celles des patients dont nous nous occupons. Le pass sanitaire est, pour eux, source de discrimination et d’inégalité particulière pour l’accès aux soins. De même, l'obligation vaccinale remet en cause un élément fondateur de la médecine : le libre consentement du patient.
Notre refus de l'obligation vaccinale n'est pas idéologique mais née d'un raisonnement fondé sur notre réflexion et notre expérience professionnelle.
1. Nous nous interrogeons encore sur la réelle efficacité des vaccins qui ne bénéficient actuellement que d'une AMM conditionnelle (et ATU) et qui sont en phase de test jusqu'en 2022 et 2023. De fait cette précocité d'usage empêche tout recul et donc tout discernement objectif. De plus, la réalité démontre que ce vaccin ne protège pas de la contamination des variants.
2. Notre expérience de terrain (nous sommes dans les services !), montre actuellement une réalité hospitalière plutôt différente que celle annoncée dans les médias ;
- peu de patients hospitalisés (les services « covid » sont fermés depuis plusieurs mois maintenant).
- très peu de formes graves nécessitant d'être en réanimation,
- plus de la moitié des patients hospitalisés (60 à 70 % selon les témoignages des soignants du collectif) ont reçus deux doses de vaccins ; pour autant, il est vrai qu'ils font des formes légères,
- les non vaccinés font des séjours hospitaliers cours,
- « visites » aux urgences d'un nombre important de patients ayant des syndromes grippaux, une forte fièvre, une asthénie majeure, des douleurs thoraciques persistantes, qu'ils associent spontanément au vaccin administré quelques heures ou quelques jours auparavant.
3. Des traitements efficaces existent pour traiter ce virus et ses symptômes ; pourquoi ne pas favoriser leur usage et même l'interdire ?
4. Les informations données par les médias sont sources de doutes majeurs et génèrent une perte de confiance totale dans ce que nous transmettent les journalistes. Ce qui est rapporté de la situation actuelle en Guadeloupe en est un exemple probant.
Ainsi, le collectif « Soignants libres » appelle tous les professionnels des services de santé, qu’ils soient vaccinés ou pas, à le rejoindre pour qu’ensemble nous défendions les droits fondamentaux de tout citoyen afin qu’il reste libre et décisionnaire de ses actes en toute conscience.
Claire
Claire est porte parole du collectif des soignants libres :
collectifinfirmierlibre@protonmail.com
18:19 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Le retour des morticoles
Alain Sanders
On croyait en avoir fini avec eux. Eux ? Ces contingents de médecins à qui on avait eu envie de dire : « Moins de plateaux, plus d’hostos ! » Mais, le variant Delta aidant (si on peut dire), revoilà les morticoles en tous genres, virologues, épidémiologistes, immunologistes, neurologues, urgentistes, réanimateurs, anesthésistes, spécialistes tous azimuts, généralistes (un temps snobés puis invités sous les projecteurs médiatiques).
La quatrième vague, sur laquelle ils surfent, et le va- riant Delta, sur lequel ils planent, nous les ramènent sur les plateaux télé où ils avaient gardé leur rond de serviette au cas où... Ils sont tous là, Blachier, alias « Je suis partout », les imbuvables Hamon et Marty, Toro, Caumes, Davido, Teboul, Amouyel, Mégarbane, Annane, Pelloux, etc. On se croirait dans une séquence de Casablanca, « Play it again, Sam ! »
Il y en un à qui ça a même tourné la tête : le professeur Juvin, grand donneur de leçons s’il en est. Urgentiste et, par ailleurs maire LR de La Garenne-Colombes (Hauts-de-Seine), inconnu du grand public avant ses passages répétés sur les chaînes d’info continue, il s’est senti pousser des ailes. Alors qu’il a à peu près autant de chances que moi de devenir petit rat de l’Opéra, il rêve d’un destin national : candidat à la présidentielle de 2022, pas moins ! Si, comme les autres, il donne dans le rejet rabique – ça se soigne, docteur ? – du Rassemblement national, il n’hésite pas à lui emprunter (malinx le lynx) nombre de ses thèmes sur la sécurité et l’immigration. Très suffisant le mandarin ? C’est rien de le dire...
Conviés à l’origine à nous expliquer le virus et ses arcanes (et se contredisant les uns les autres, voire se contredisant eux-mêmes sur le sujet), ils ont, au fil du temps, commencé à disserter sur tout et le reste.
Certains politiques (et notamment les élus LREM en général et leurs jeunettes proprettes aux discours clonés en particulier) s’étant aventurés à dispenser avis, conseils, diagnostics, ordonnances sur la pandémie, les morticoles se sont autorisés – encouragés à le faire parfois – à parler politique. Des politiques jouant les Diafoirus et des médecins jouant les politiques... Confusion des genres, signe d’une société qui se délite, pathétique Muppet Show.
Un exemple de cette dérive ? Le docteur Rachida Inaoui-Roze, habituée de CNews (chaîne devenue, en l’absence de Christine Kelly et de Pascal Praud, une pauvre copie de LCI et de BFM-TV). On l’a vue arriver un peu mémère cette rhumatologue (ce qui n’en fait pas une spécialiste du Covid-19, mais bon... ), discrète, presque effacée, sur la retenue. Il fallait la solliciter pour qu’elle donne son avis. Ce qu’elle faisait de manière mesurée. Et aujourd’hui ! On ne la tient plus ! Elle a un avis sur tout, elle coupe, tranche, condamne, anathématise, fustige ceux qui ne se rangent pas à ses ukases. Dame Tartine hier, elle est devenue Cruella...
La télé rend fou, disait-on naguère. La preuve. Et l’on n’est là que mi-août. Ce qui laisse présager à la rentrée, comme un vol de gerfauts hors du charnier natal, un lâcher incontrôlable de « spécialistes »...
Source : Présent 11/08/2021
14:30 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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