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mercredi, 26 juillet 2023

Enzo, 15 ans, assassiné par deux racailles

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Enzo, 15 ans

Axelle Theillier

présidente de l'Institut pour la Justice cliquez là

En avez-vous entendu parler dans les médias ? Pas assez.

Enzo est mort samedi dernier à La Haye-Malherbe, commune rurale et sans histoire de 1 300 habitants dans l'Eure.

Il a reçu un coup de couteau au thorax, a tenté de rejoindre la caserne des pompiers à 100 mètres de là et s'est effondré.

Il a été tué par deux racailles de son âge qui ont pris la fuite à bord d'une voiture sans permis. Et on lit partout que c'est à cause d'un « échange de regards ». Allons bon.

Jusqu'à quand allons-nous accepter de telles inepties ? Jusqu'à quand « un échange de regards » pourra être considéré comme une cause réelle d'agression ?

Il existe aujourd'hui dans notre pays une frange d'individus, parfois très jeunes, sans foi ni loi. Des gens pour qui la vie n'a pas de valeur, qui veulent simplement en découdre.

Des personnages sinistres dont les façons de vivre sont incompatibles avec les nôtres. On ne tue pas quelqu'un pour un regard que l'on juge « mauvais ».

Et pourtant, ces gens-là jouissent d'une clémence criminelle de la Justice.

Ils reçoivent des deuxièmes, dixièmes, vingtièmes chances à chaque écart, chaque larcin, chaque agression…

Avec eux, l'État français n'est pas seulement faible, il est complaisant.

Et nous, Français ordinaires, nous sommes démunis.

Il nous reste nos yeux pour pleurer Enzo et pour pleurer toutes les autres victimes : Timothy, Adrien, Gregory, Lorenzo, Jérémy… des jeunes garçons sans histoire fauchés par des sauvages qui ne comprennent que la force et la brutalité.

Notre Justice n'est pas adaptée à une population de plus en plus violente.

Ne nous cachons pas derrière notre petit doigt : le lien entre l'immigration et la délinquance est avéré.

Puisque nos dirigeants refusent de fermer les vannes des arrivées massives, qu'ils aient au moins le cran de raffermir la Justice ! Qu'elle soit une réponse efficace à cette violence gratuite qui gangrène le pays à toute allure.

Les étés sont meurtriers depuis quelques années. Je vous écris ces lignes le cœur lourd en pensant aux parents d'Enzo.

Et je rage que nos responsables, déjà sourds à la détresse de la police, soient aussi sourds à la nôtre.

Nos enfants meurent de leur laxisme.

Comptez sur nous pour ne jamais oublier Enzo, véritable victime de la barbarie et de l'ensauvagement, véritable « petit ange ».

12:33 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

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