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lundi, 04 septembre 2023

Malgré les injonctions du préfet de la Vienne, les Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil ont remporté un grand succès...

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Comme chaque premiers samedi et dimanche de septembre, depuis le début des années 1970, se sont déroulées cette fin de semaine les traditionnelles Journées chouannes de Chiré-en-Montreuil (86) organisées par Diffusion de la Pensée française cliquez ici.

Lancées par Jean Auguy, fondateur de DPF, et ses amis, ces Journées, parfaitement encadrées, se sont toujours déroulées, avec un succès croissant, sans qu'aucun incident ne viennent perturber "l'ordre républicain". Cependant, cette année, il a faillit en être autrement. Figurez-vous que l'annonce de la venue, samedi matin, de l'historien Pierre Hillard a visiblement contrarié le Préfet de la Vienne qui n'a pas trouvé plus malin que d'interdire à celui-ci de prendre la parole en menaçant purement et simplement d'interdire l'ensemble de ces Journées. Une fois de plus, la macronie aux abois nous a montré son vrai visage, celui de l'intolérance et de la répression. Rappelons qu'au même moment, il était interdit à Yvan Benedetti et à ses militants de déposer une gerbe sur la tombe de Pierre Sidos, au cimetière de Thiais (94), décédé il y a trois ans.

L'interdiction de s'exprimer faite à Pierre a eu un effet que ce malheureux préfet n'avait certainement pas prévu : les ventes de ses livres ont pulvérisé les records... Pauvre Darmanin, pauvre préfet... continuez comme cela et le jour viendra où vous vous en mordrez les doigts...

Synthèse nationale, comme chaque année, était aussi invitée à ces journées et notre stand a reçu un grand nombre de visiteurs qui en profitèrent pour acheter nos livres ou pour s'abonner à notre revue. Didier Lecerf, auteur de la biographie de François de La Rocque que nous avons publiée l'hiver dernier, a donné une conférence sur le sujet. Il passa ces deux journées à dédicacer son livre. Il en alla de même pour Bernard Germain et pour Michel Festivi aussi présents sur notre stand.

Remercions François-Xavier d'Hautefeuille, le directeur de DPF, Mickaël Savigny, l'éditorialiste de Lectures françaises, ainsi que toute l'équipe de Chiré pour leur aimable accueil et souhaitons que l'an prochain la folie liberticide darmanesque ne soit plus qu'un mauvais souvenir... 

R. H. 

Le stand de Synthèse nationale :

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Didier Lecerf et Roland Hélie

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Michel Festivi, Roland Hélie et un ami chouan

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Bernard Germain dédicaçant ses livres

17:00 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Abaya, hidjab, burkini et autres qamis, tout est religieux et politique en islam, et réciproquement.

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Michel Festivi 

On le sait, ou on devrait le savoir, le coran ne distingue pas le politique du religieux, contrairement aux Evangiles qui ne sont pas la retranscription de la parole de dieu, mais des témoignages humains sur la vie et les actes de Jésus, fils de Dieu : « Rendez à César ce qui appartient à César et à Dieu ce qui appartient à Dieu » Matthieu, XXII page 21 ou Luc, XX, 25.

Tout, absolument tout procède du dieu des musulmans dans le livre incréé, le coran (la récitation), qui n’est que la retranscription littérale en langue arabe, des ordres d’Allah dictés à Mahomet par le truchement de l’ange Gabriel (Djibril). Et ce même si le coran nous explique dans plusieurs versets que Mahomet était illettré, ce qui renforce le caractère incréé du livre.

Le coran est une loi politique, religieuse, civile, pénale, qui ne donne tous les droits qu’aux croyants et voue aux gémonies certes les non croyants, athées ou agnostiques, mais aussi avec certaines nuances, les juifs et les chrétiens. Ensuite, le coran distingue les hommes qui sont supérieurs aux femmes, et les femmes croyantes qui ont plus de droits que les autres femmes, l’esclavage est aussi légitimé dans plusieurs sourates. Cf Malek Chebel, L’esclavage en terre d’islam Chez Fayard, 2007.

Dans le coran la « miséricorde de dieu » n’existe qu’envers les croyants et seulement pour eux. L’islam peut se traduire par « la soumission ».

Globalement, le voilement des femmes croyantes, donc ce qui ne recouvrent pas seulement leurs têtes et leurs cheveux, mais aussi leurs corps est inscrit dans les versets du coran, deux au moins sont explicites à cet égard. Mais surtout, les sourates consacrent l’inégalité ontologique entre les hommes et les femmes. Elles doivent en toutes circonstances obéir aux hommes de leur famille (Père, mari, fils, frères, oncles, cousins etc.). Ce n’est pas une coutume, c’est la parole de dieu. Une coutume peut se modifier, pas la parole de dieu.

Dans le coran, la femme, à tout âge, ne peut jamais se marier sans un tuteur. Elle peut être répudiée unilatéralement, elle doit baisser les yeux devant un homme et accepter de se laisser frapper si par exemple elle a désobéi à son mari etc. Elle doit admettre sans sourciller que son mari ait trois autres épouses, plus autant de concubines qu’il souhaite. La femme mariée ou pas doit toujours être sous l’autorité d’un homme. Tout cela est écrit noir sur blanc dans le coran et repris par les hadits qui sont la compilation des faits et gestes de Mahomet.

La femme en islam, se doit donc de couvrir son corps et de ne pas faire apparaître en aucune manière ses formes. C’est très exactement le pourquoi du fondement du port du voile et de tous ces vêtements qui couvrent le corps des femmes.

Ces vêtements sont bien des signes religieux en islam. Ce sont des porte-drapeaux de l’avancée conquérante de l’islam dans nos sociétés occidentales. Leurs symboliques représentent l’antithèse totale de la séparation des pouvoirs spirituels et politiques qui depuis les premiers Rois de France est le fondement de la France et de ses institutions. Leurs significations, (et cela devrait faire bondir de colère, toutes nos féministes révolutionnaires et nos islamo-gauchistes), sont que ces vêtements concrétisent l’inégalité fondamentale entre les hommes et les femmes et la séparation des sexes que les lois de l’islam imposent de manière draconienne. Ensuite, en fonction des périodes, cela peut être appliqué avec plus ou moins de rigueur, mais les fondamentaux sont toujours là et peuvent resurgir à tout moment.

Comme le souligne avec justesse Jeannette Bougrab : « l’abaya répond aux prescriptions religieuses rigoristes, pour respecter l’awra, « la pudeur ». Les femmes doivent ainsi porter un vêtement couvrant toutes les parties de leur corps, afin de ne pas se montrer désirables. »

« Il faut se couvrir les cheveux, dissimuler les formes de son corps dans des tenues larges, noires, beiges, surtout pas chatoyantes, pour ne pas attirer le regard des hommes. L’abaya est le symbole de l’enfermement du corps de la femme. » 

Comme elle l’indique dans sa tribune du 4 septembre dans le Figaro Vox, l’Algérie s’est islamisée de cette manière en citant l’éditorialiste Amin Zaoui de Liberté Algérie. Comme l’a très judicieusement rapporté Jean-Eric Schoettl, ancien secrétaire général du Conseil Constitutionnel : « le port de l’abaya conduit l’élève qui la revêt à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse. Or, comme le souligne la circulaire du 18 mai 2004, prise pour l’application de la loi du 15 mars 2004… les signes et tenues interdits par la loi sont ceux dont le port conduit « à se faire immédiatement reconnaître par son appartenance religieuse ». Et selon le titre de son article du 30/08/2023 dans le Figaro : « la loi de 2004 interdit l’abaya, ceux qui en doutent sont les idiots utiles de l’islamisme. » Chez nous en France on sait parfaitement qui sont ces idiots (ou idiotes) utiles.

15:51 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ecole : mettre fin au collège unique

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Pédagogisme, collège unique, laïcité à géométrie variable, égalitarisme... En cette rentrée marquée par l’arrivée de Gabriel Attal au ministère de l’Éduca- tion nationale, Jean-Paul Brighelli revient sur ses thèmes de prédilection. Dans son nouvel essai cinglant, L’École à deux vitesses (L’Archipel), il dénonce les hypocrisies de la mixité, et l’«héritocratie», qui «laisse dans le fossé 90% du potentiel du pays». L’auteur de La Fabrique du crétin (2005) n’y épargne ni la jeune classe politique aux commandes - sa « conformité aux codes », sa « superficialité brillante » - ni les professeurs satisfaits de « ronronner devant un public présélectionné ».

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Source : Le Figaro 4/9/2023

10:21 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Cette Amérique qui ne veut pas mourir

 

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Nous sommes témoins d’événements dont l’ampleur nous écrase. La disproportion semble ridicule avec des époques où les caractères nous semblaient à la hauteur des défis. À moins que ce soit l’inévitable distorsion du temps qui nous leurre ? Qui nous dit que les contemporains de la chute de Constantinople, de la Révolution française ou de la Grande Guerre n’étaient pas aussi timorés, aussi incompétents et aussi corrompus que ceux qui se retrouvent à piloter nos destinées alors que leurs pieds ne touchent pas terre? À moins, aussi, que nous ayons les lorgnons si bien ajustés sur la bassesse qu’il nous soit impossible de voir la grandeur ? De cette Amérique qui agonise, par exemple, ne voit-on pas émerger des figures épiques?

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Source : Antipresse

08:48 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |