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lundi, 30 octobre 2023

Transhumains trop humains

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La chronique de Philippe Randa

Jamais l’adage populaire « on n’est jamais trahi que par les siens » n’aura été si vrai. Preuve par les « monsieur-madame-tout-en-un » en général et par les responsables de La Fondation du Refuge, sise à Montpellier et ses victimes, en particulier.

Celle-ci, reconnue d’utilité publique, se doit d’avoir un objet « à caractère philanthropique, éducatif, scientifique, social, familial ou culturel » : pour cela, lit-on sur son site, elle « héberge et accompagne les jeunes LGBT +, âgés de 14 à 25 ans, rejetés par leurs parents, chassés du domicile familial, parce qu’ils sont homosexuels ou trans et/ou en questionnement identitaire ». Tout un programme !

Tout pourrait aller pour le mieux dans le meilleur des mondes LGBTXYZ + etc. si une autre association au nom explicite – l’Association des victimes de la Fondation Le Refuge, domiciliée elle aussi à Montpellier – n’avait pas porté sur la place publique la condamnation de la première pour… discrimination sexuelle envers un ? une ? autre ? (sans opinion ?) de ses salarié(e) s.

Monsieur devenu Madame Krystal Gil aurait en effet, selon son avocat, été victime de discrimination pour avoir été licencié(e) le 3 mai 2021 pour « faute grave », ce que bien évidemment l’association dément avec la plus haute indignation.

Le licenciement pour faute grave ayant été requalifié en « licenciement nul », l’employé devenu indésirable a obtenu 15 000 euros en réparation de sa perte d’emploi, du préjudice sexuel et de sa discrimination morale… ou plutôt de son préjudice moral et sa discrimination sexuelle (à force de tout retourner dans tous les sens, on finit par s’y perdre)…

Évidemment, l’association condamnée fait appel et les Montpelliérains auront droit à un deuxième round d’affrontement judiciaire qui restera toujours préférable à quelques castagnes à coups de sac à main, de bas filés et de talons aiguilles cassés.

Quelle que soit l’issue de ce règlement de comptes transhumains trop humains, l’avenir de l’association risque d’être tout de même assombri par un tel crêpage de chignon… et les dons, si ce n’est les subventions publiques, risquent de se faire plus chiches à l’avenir.

Preuve s’il en est une fois encore qu’une révolution, fut-elle sexuelle, finit toujours par dévorer ses propres enfants au nom des grands principes qu’elle est censée défendre ou promouvoir !

Ou, si l’on préfère, qu’un « pur » trouve toujours un plus « pur » qui l’épure !

Lire EuroLibertés cliquez ici

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Eric Zemmour était invité dimanche sur C news

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La statue de la Vierge Marie sur l'Ile de Ré à nouveau menacée... et à nouveau défendue

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Ce samedi, une quinzaine de militants de Touche Pas à Ma Statue se sont retrouvés devant la statue de la Vierge Marie à la Flotte en Ré cliquez là qui doit être déboulonnée à cause de la « Libre Pensée ».

La jeunesse engagée, équipée de chaînes et de béton, a cadenassé la statue.

Les protecteurs du patrimoine se mobiliseront toujours pour défendre le patrimoine culturel français qui est menacé de destruction par les laïcards et ennemis de la France.

Regarder le film cliquez ici

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Touche pas à ma statue cliquez ici

10:48 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La France Insoumise, la mal nommée est devenue la France soumise aux islamistes.

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Michel Festivi  

Depuis le début de la guerre entre Israël et le groupe terroriste Hamas, soutenu par la République islamique d’Iran, LFI s’est jointe à toutes les manifestations de soutien à ces tueurs de femmes et d’enfants. Notre Danièle Obono nationale, a refusé mordicus de considérer le Hamas comme une organisation terroriste, il faut signaler d’ailleurs que l’AFP, dans ses dépêches aussi désormais.

Mélenchon y est allé de sa provocation habituelle, en fustigeant Madame Braun-Pivet qui « campe à Tel Aviv ». Même si Madame Braun-Pivet n’est pas, loin s’en faut ma tasse de thé, j’ai le souvenir que pour un jeu de mot de cet acabit, Jean Marie Le Pen, par le passé, pouvait être voué aux gémonies et attaqué en justice par des dizaines d’associations dites « anti-racistes ». Mais Mélenchon, l’islamo-gauchiste est un intouchable de la République, avec la complicité tacite des macronistes, qui ne l’attaquent jamais réellement, sauf en apparence.

Un député de la France soumise a prétendu qu’Israël procéderait « à un nettoyage ethnique » à Gaza, on peut toujours critiquer la politique israélienne, on en a même le droit, mais si nettoyage ethnique il y a, ce sont bien les islamistes qui en sont les responsables dans les territoires qu’ils contrôlent ou ont contrôlés, singulièrement en Syrie et en Iraq, où après leur passage, les chrétiens ont fui en masse.

Mathilde Panot qui préfère voir en France les femmes voilées, a refusé aussi de qualifier le Hamas de mouvement terroriste, alors que sa charte prévoit « l’anéantissement de l’État d’Israël et l’extermination des juifs du monde entier ». Sans doute Madame Panot pense qu’exterminer un peuple n’est finalement que banalité, où qu’il existe des peuples qui peuvent être anéantis.

Quant à notre Juge à la Cour de Justice de la République, la fringante Madame Obono, elle a désigné le Hamas comme « un mouvement de résistance ». Effectivement éventrer des femmes et des enfants relève de la résistance.

Cela me permet de rappeler que l’antisémitisme vient de la gauche, de Karl Marx, d’Engels, de Proudhon, de Jaurès, qui en leur temps ont multiplié les tirades antisémites que n’aurait pas démenti Der Stûrmer, l’hebdomadaire nazi de Julius Streicher, le pape de l’antisémitisme nazi, Gauleiter de Franconie.  Mais nos gouvernants l’oublient et préfèrent par commodité et ralliement au politiquement correct attaquer les patriotes en les traitant d’antisémites à tout propos et même hors de propos.

Tous les crimes antisémites commis ces derniers temps en France ont été le fait d’islamistes.

Dernièrement, le sinistre et funeste Olivier Véran a cru devoir mettre dos à dos et LFI et le RN, qu’on m’explique en quoi le RN peut-il s’apparenter à LFI ? C’est du macronisme pur jus, tout mélanger et noyer le poisson.

Aussi doit on rappeler que les communistes ne furent pas exempts d’antisémitisme et que de nombreuses campagnes eurent lieu en URSS ou en Tchécoslovaquie communiste, qui finirent au mieux par des expulsions après des emprisonnements, au pire par des exécutions.

Dans les années 1970 et 1980, des milliers et des milliers de juifs d’URSS s’exilèrent en Israël, chassés par des exactions antisémites d’envergures, relayées par le Parti Communiste de l’URSS, on l’a bien oublié. Finalement nos LFI, en sont les dignes héritiers.

Comme le décrit Valeurs Actuelles, dans un article du 27 octobre dernier, sous le titre « Les islamo-collabos de la France insoumise », en décembre 2022, des députés et personnages de « La France soumise », ont fait les honneurs à Salah Hamouri, un avocat franco-palestinien, qui avait planifié l’assassinat de l’ancien grand rabbin d’Israël et qui fut condamné à 7 ans d’emprisonnement.

En juin 2022, « La France soumise » s’est montrée très attentive à Jeremy Corbin, paradant à ses côtés, alors qu’il avait été écarté du Parti Travailliste pour propos antisémites. Et VA de décliner un certain nombre de manifestations ou de soutiens de « La France soumise », du même tonneau.

Sur Europe 1 et C News, ce dimanche 29 Octobre, Éric Zemmour a considéré que 69% des électeurs musulmans ont voté pour JL Mélenchon en 2022, que les mosquées avaient appelé à voter pour lui, comme les Frères musulmans. Pour Zemmour, par le soutien inconditionnel de Mélenchon au Hamas, sa participation au second de la présidentielle de 2027 est acquise. Les prédictions de Houellebecq, dans son livre, Soumission, datant de 2015, seraient-elle en train de se réaliser ? 

Je rappelais il y a quelques jours, que la jeune Iranienne Armita Garawand, molestée dans le métro de Téhéran parce qu’elle ne portait pas son voile, était en état de mort cérébrale ; on vient d’apprendre le décès de cette adolescente de 16 ans, et ce dans l’indifférence totale de notre « France soumise » et de ses compagnons de route. 

Où êtes-vous, Mesdames Panot, Autin, Garrido, Tondellier, Obono, Vallaud Belkacem, et consorts ? Où êtes-vous Messieurs Mélenchon, Bompard, Coquerel, Caron et autres ténors de « La France soumise » ? Le sort de cette jeune Iranienne vous passe au-dessus de vos écharpes parlementaires, comme celle des peuples soumis au totalitarisme islamiste ?  Le sort de la France aussi.

10:40 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : GAZA est une prison bombardée par ses matons

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Pieter Kerstens

Ce territoire de la Palestine s’étend sur 360 km2 et compte plus de 2 millions d’habitants. Doté d’un statut d’autonomie en 1994, Gaza est soumis depuis de longues années à un embargo strictement contrôlé par les forces israéliennes qui filtrent toutes les marchandises, transactions et aides internationales.  Contestée depuis 1948, lieu d’affrontements sanglants permanents, la Palestine dans son ensemble aspire à l’indépendance, au même titre que l’Ecosse, la Catalogne ou la Flandre.

Sioniste un jour, sioniste toujours.

Le devoir de mémoire nous dicte que l’Etat hébreux, ses dirigeants successifs et son peuple ne correspondent pas vraiment à ce que le Mahatma Gandhi avait déclaré le 26 novembre 1938 : « Laissons les Juifs, qui proclament être le peuple élu, prouver leur titre en choisissant le chemin de la non-violence pour revendiquer leur position sur terre. »

La politique de Tel-Aviv, dès le début, n’a été qu’une succession d’actes belliqueux, d’arrogance et de cruauté.  Peuple souverain, il applique ce qui lui semble bon pour la défense de ses intérêts, de sa population et de sa sphère d’influence, qui s’étend de Wall Street à Doha et de Kiev à Pretoria.

Les Hébreux se moquent de la résolution 181 votée le 29 novembre 1947 par l’Assemblée Générale de l’ONU pour le partage de la Palestine en 3 entités, résolution non appliquée et à l’origine de la NAKBA. 

De même pour la résolution 194 votée le 11 décembre 1948 qui place Jérusalem sous mandat international et garantit le principe des droits existants.  

Jamais les Israéliens n’ont appliqué la résolution 242 du Conseil de Sécurité du 22 novembre 1967 au sujet des territoires occupés. 

Les résolutions de l’ONU n°476 du 30 juin 1980, n°478 du 20 août 1980 et 672 du 12 décembre 1990 condamnent toutes l’attitude belliqueuse d’Israël et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem.  Le fait de la déclarer par la suite capitale de l’entité sioniste n’a rien fait pour calmer les esprits.

Depuis 75 ans, les sionistes méprisent au plus haut point les résolutions de l’ONU et poussent aux crimes, tel Jacques Kupfer, co-président du Likoud mondial, qui déclarait le 15 juillet 2014 : « Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre.

Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.

Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.

Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »

Qui donc attise la vengeance ? Qui appelle à l’extermination du peuple palestinien ? Qui répand la haine ?  Combien de manifestations et de procès contre les propos immondes de Jacques Kupfer ?

Dès lors, on ne peut que condamner les prises de positions et les soutiens apportés à Israël par certains « patriotes » ou « nationalistes » comme ceux du RN ou de Reconquête. Ces imbéciles ignorent les agissements permanents du Mossad, du Shin-Beth et de l’Aman qui apportent également depuis des années le soutien de l’Etat hébreux aux djihadistes du Front al-Nostra et aux terroristes de DAESH, dont les hors-la-loi blessés ont été soignés dans les hôpitaux israéliens !

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10:40 Publié dans Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

De l’État de droit à des tas de droits

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Pierre-Henri Tavoillot *

L’État de droit et la démocratie sont unis par des liens sacrés. Sans le pouvoir (cratos) de l’État, le peuple est réduit à l’état d’impuissance. Sans le droit, il s’expose à l’injustice, car la loi de la majorité ne saurait l’autoriser à opprimer une minorité ni à bafouer les libertés fondamentales. Mais sans le peuple (demos), l’État de droit est inexorablement entraîné dans une dérive techno-bureaucratique à force d’empiler des règlements toujours plus nombreux et complexes. La démocratie contemporaine est donc un ménage à trois à l’équilibre aussi subtil que délicat, et il faut veiller à ce qu’aucun des conjoints ne prenne le pas sur les deux autres.

Or, c’est cet équilibre qui est aujourd’hui menacé, par le gonflement démesuré du droit. On peut même se demander si l’on n’assiste pas à l’avènement d’un nouveau régime concurrent de la démocratie : la « nomocratie » (ou pouvoir des normes), c’est-à-dire des tas de droits qui s’imposent contre l’État et sans le peuple.

Trois phénomènes me semblent concourir à cette évolution.

Le premier est le plus connu : c’est la défiance à l’égard de la politique. « Tous les arts ont produit des merveilles, disait Saint Just, seul l’art politique n’a produit que des monstres. » Propos surprenant de la part de l’archange de la Terreur, mais qui est devenu l’opinion dominante, y compris chez les élus. Conséquence : honnis par les citoyens, ne s’estimant plus légitimes pour décider, ils sont tentés de se défausser de leurs missions en faisant appel à des « autorités indépendantes » ou en laissant les tribunaux et les cours de justice trancher à leur place. Le succès du terme de gouvernance à la place du démodé gouvernement indique assez ce rêve fou d’un pilotage automatique de la cité... qui vire assez logiquement au cauchemar ! Car, pourquoi faudrait- il voter pour des élus qui n’osent plus agir ? L’abstention massive est l’effet moins d’une prétendue « crise de la représentation » que de ce renoncement du politique à la politique.

Le deuxième phénomène est celui d’un droit mutant – et il excuse en partie les élus incriminés. Car, dans la rase campagne de la désertion politique, dont les citoyens indignés se font les complices, un droit nouveau s’épanouit, tentaculaire et gigantesque. C’est un droit obèse, complexe et dégradé. L’hypertrophie juridique, dénoncée par les Cours elles-mêmes (voir les rapports réguliers du Conseil d’État), est sidérante : elle ridiculise l’adage selon lequel « nul n’est censé ignorer la loi », et, plus encore, l’exigence de la comprendre, puisqu’elle devient illisible même pour le spécialiste. Résultat : au droit protecteur s’est substituée l’insécurité juridique, avec, comme effet pervers supplémentaire, la baisse de qualité. Un droit mou, flou, bavard, langue de bois, bien-pensant... Trop de normes produisent de mauvaises normes qui engendrent plus de normes dans des procédures sans fin et des recours incessants. L’autorité de la chose jugée en pâtit et on comprend que la fonction de décider soit devenue, dans ce contexte, plus délicate. C’est un euphémisme. Le troisième phénomène qui accompagne cette dérive est la montée en puissance d’une idéologie, dont l’expression emblématique se trouve dans la Commission, dite de Venise, intitulée explicitement Commission européenne pour la démocratie par le droit. Organe consultatif du Conseil de l’Europe, créée en 1990 dans l’euphorie de la chute du mur de Berlin, elle considère que la démocratie n’a qu’accessoirement besoin du peuple pour fonctionner et que les seuls vrais démocraties sont en vérité les juges, notamment ceux de la Cour européenne des droits de l’homme (CEDH). Ces idées se diffusent au cœur de l’Union européenne, dans les Cours suprêmes nationales et jusqu’au moindre tribunal administratif.

Cette doctrine d’un droit sans le peuple et contre l’État a atteint désormais son rythme de croisière. Les cours jonglent avec les principes, en inventent de nouveaux, les appliquent de manière inédite, somment l’État d’agir ou, au contraire, l’empêchent d’agir... Bref, elles font de la politique sous couvert de neutralité juridique. « Si l’État est fort, disait Paul Valéry, il nous écrase ; s’il est faible, nous périssons. » Aujourd’hui nous périssons écrasé sous le droit d’un État impuissant.

Cette doctrine est souvent dénoncée par nombre de juristes et de poli- tiques lucides. Comme eux, je pense qu’elle constitue la menace la plus grave pour nos démocraties libérales, non seulement parce qu’elle nous expose aux séductions autorita- ristes des régimes illibéraux, mais surtout parce qu’elle trahit la promesse démocratique selon laquelle le peuple est maître de son destin. L’impérialisme des droits décourage la capacité d’agir, organise l’impuissance publique et éparpille la volonté générale « façon puzzle ».

Il est donc urgent, pour la paix du ménage à trois, de remettre le droit à sa place, en redonnant de la voix aux voix et de la puissance à l’État. Sinon, l’adage attribué à Cicéron deviendra notre régime de croisière : « Summum jus, summa injuria - Droit extrême, injustice suprême. »

(*) Pierre-Henri Tavoillot est philosophe, président du Collège de philosophie. Auteur notamment de Qui doit gouverner un peuple roi ?, Odile Jacob, 2021.

 Source :Journal du dimanche 29/10/2023

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