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mardi, 14 novembre 2023

Christian Baeckeroot : Justice pour le Front National

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Christian Baeckeroot, ancien député.

Je ne suis mandaté par personne. Je ne suis expert en rien. Je suis un simple témoin.

J’ai 84 ans. Je suis ancien militaire qui s’est engagé en politique pour l’Algérie Française, avec nos compatriotes de souche européenne, juifs et musulmans. Tout au long de ma vie politique – 62 ans –, j’ai été ostracisé comme « extrême droite » et, dès les années, 70 taxés, sans aucune justification, d’antisémite pour le plus grand profit de l’extrême-gauche avec la complicité de la plupart des « grands médias » et d’une grande partie de la caste politicienne.

Pour évoquer la période antérieure, je rappellerai que Jean-Marie Le Pen, engagé volontaire, a combattu en 1956 aux côtés de l’armée israélienne.

Adhérent du Front National depuis sa création, j’ai subi, avec Jean-Marie Le Pen, des campagnes de haine et de calomnies.

Fin des années 70, un souvenir me revient. Au lendemain de l’attentat de la rue Copernic, un de mes enfants devant effectuer, dans le cadre d’une activité scolaire, une revue de presse, nous pouvions constater que les « Unes » de la « grande presse » désignaient « la piste de l’"extrême-droite". Des dizaines d’années plus tard, un Arabe palestinien a été inculpé au Canada. Nous attendons toujours la rectification de la « grande presse ».

Quand, avec les Européennes de 1984, le Front National prend de l’importance, la campagne de calomnies sur les « tortures » se développe, faisant médiatiquement du sous-lieutenant Le Pen le patron de l’opération menée par le Général Massu à la demande du gouvernement socialiste.

Avec l’arrivée du groupe Front National à l’Assemblée Nationale en 1986, la référence à l’« Extrême-Droite » devient systématique. Exemple : une hystérie médiatique fait à nouveau la « Une » des médias, on évoque « la nuit des longs couteaux » – référence à Hitler – pour un simple rappel au règlement !  De quoi s’agit-il ? Les débats à l’Assemblée Nationale se déroulaient très souvent avec une poignée de députés votant pour l’ensemble de leur groupe. Or, aux termes du Règlement de l’Assemblée, un député ne peut voter que pour un seul autre député. Deux députés du groupe FN, membres du Bureau de l’Assemblée, demandent, comme ils en ont le droit, au Président de la Séance d’appliquer le Règlement de l’Assemblée. Ce dernier ne donnant pas suite à leur demande et laissant se poursuivre le vote, les Députés FN bloquent le vote d’un Député de « permanence » prétendant voter – en toute illégalité – pour l’ensemble de son groupe.

Quelques années après, Philippe Séguin, Président de l’Assemblée Nationale, rétablira l’obligation de respecter le Règlement… Mais nous n’avons pas vu la « grande presse »  « politiquement correcte » faire amende honorable de cette campagne calomnieuse !

Le Front National n’a jamais inscrit dans son programme, ni dans aucun document officiel un quelconque texte antisémite.

Au terme de mon parcours politique, je souhaiterais que justice soit enfin rendue au Front National présidé par Jean-Marie Le Pen. Nous avons eu le courage et le mérite d’alerter sur les dangers qui menaçaient la France, en particulier sur l’immigration qui n’était pas assimilable.

Nous avons un regret plus ancien que Jean-Marie Le Pen partage : celui de n’avoir pu empêcher les massacres et les enlèvements perpétrés par le FLN, y compris après l’indépendance.

En cette période marquée par le pogrom dont ont été victimes les civils israéliens, nous gardons le souvenir de la tragédie du 5 juillet 1962 quand des milliers de femmes, enfants, vieillards (et, parmi ces pieds-noirs, de nombreux juifs) ont été massacrés ou réduits en esclavage avec la complicité des autorités françaises. Le Président de la République ayant interdit à l’armée de sortir de ses casernes, en contradiction avec les garanties des « Accords d’Évian ».

Parmi les officiers qui désobéirent, rappelons-nous ce lieutenant FSNA (Français de souche nord-africaine) qui fit ouvrir les porte de sa caserne.

Source : Le Salon Beige

16:59 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gilles-William Goldnadel versus Bernard-Henri Levy

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Michel Festivi 

A l’image de la société française, la communauté juive est également fracturée, divisée. A l’instar de nos élites sclérosées qui se refusent à voir le réel et de nommer les choses telles qu’elles existent, les élites de la communauté juive française, se partagent entre l’aveuglement et la clairvoyance.

Ainsi, Gilles-William Goldnadel  vient de déclarer dans une tribune du Figaro Vox du 13 novembre : « A quoi bon manifester si l’on s’interdit de nommer les responsables de l’antisémitisme ? ». Présent à la manifestation de dimanche dernier, et ce malgré beaucoup d’hésitations, à cause dit-il de son écœurement sur « la polémique surréaliste sur le RN » et par le mot d’ordre niais et hors sol de cette manifestation : « contre l’antisémitisme et pour la République », il a finalement, et au dernier moment, opté pour sa participation.

S’il a rencontré dit-il « un peuple français de toutes origines ou presque, des juifs mais autant de chrétiens ou d’agnostiques... la vérité m’oblige à dire...que je n’y ai pas aperçu beaucoup de musulmans, si ce n’est une délégation de mes chers Kabyles. »

Mais GWG n’élude en aucune façon les tares originelles de cette manifestation, « le saboteur en chef fut le porte-parole du gouvernement, Olivier Véran », par ses propos d’un « vulgaire niveau politicien », contre le RN. J’ajouterai qu’Elizabeth Borne comme à son habitude a tenu des boniments scandaleux sur le RN, comme Gérard Larcher et Yaël Braun-Pivet aussi, qui ne sont pas à leurs honneurs et qui démontrent leur incurie totale et leur haine de tout ce qui est défense de la Nation. 

GWG pointe du doigt et avec justesse, le CRIF, qui « décida de mettre à l’index le parti patriote ». GWG nous expose que selon lui, la base de cette organisation, et notamment celle de province, ne serait pas en osmose avec Paris. Qu’elle le crie donc haut et fort et qu’elle le fasse savoir urbi et orbi !

GWG, et c’est tout l’intérêt de sa chronique, fustige les positions du CRIF qui fantasme sur le « péril de l’extrême droite », ignorant totalement « l’alliance mortifère entre l’extrême gauche et l’islamisme ». Et d’enfoncer utilement le clou : « La conséquence la plus funeste de cette cécité aura été de s’abstenir de résister à un phénomène migratoire massif et invasif dont les juifs français sont les premières victimes dans leur chair », j’ajouterai les français tout simplement.

Car pour GWG c’est entendu : « Les maux sont pourtant bien connus. Ils se nomment l’antisémitisme islamiste et l’extrême gauche complice, j’eusse voulu les entendre crier lors de cette manifestation qui n’aurait pas dû être qu’un défilé compassionnel. »

A rebours, à l’opposé, l’aveugle Bernard-Henri Levy, notre inénarrable philosophe à la blanche chemise, qui se répand sur tous les plateaux de radios et de télévisions pour présenter son dernier film sur l’Ukraine qui passera à la télévision publique, donc grâce à nos sous. Les derniers, pourtant financés par les deniers des contribuables, n’ont eu que de très faibles succès en salle, et le film produit par le Puy-du-Fou sur l’Histoire héroïque de Charrette, les a pulvérisés en nombre d’entrées. Mais le Puy-du-Fou n'a pas eu lui de financements publics, cherchez l’erreur.

BHL comme à son habitude pérore sur tout et commence par se passer la rhubarbe c’est effectivement ce qu’il sait le mieux faire, d’autant que les journalistes lui tendent le séné à profusion. Il n’a rien trouvé de préférable, cette icône des milieux germanopratins, de la gauche dégoulinante de caviar, que de traiter Jordan Bardella « d’antisémite ». Pour quels propos ? Lui-même serait bien incapable de le préciser. Mais tout patriote, selon sa grille de lecture est forcément « un antisémite ». Il est l’adepte du « je tire d’abord et je vois ensuite. »   

Jordan Bardella aurait émis la volonté de porter plainte en diffamation, j’espère qu’il le fera et que BHL sera condamné à la juste peine que mérite cette infamie. Même si BHL a indiqué dans cet interview sur le TV mag du Figaro, que « Bien sûr l’antisémitisme vient de l’extrême gauche », c’est plus fort que lui, toujours ses coups les plus durs sont réservés aux patriotes, ce qui en réalité est fait exprès pour se dédouaner à peu de frais du non politiquement correct qu’il instille à doses homéopathiques, et continuer ainsi sa voie dans ce milieu parisien totalement acquis aux thèses de l’extrême gauche.

En tout cas, pour moi, il n’y a pas photo. Entre des propos impeccables et clairs, nets et précis de GWG, et le brouillamini imbuvable et abscond d’un BHL qui veut tout confondre et tout mélanger, j’ai choisi, et depuis fort longtemps. GWG 1, BHL 0.

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15:52 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vous avez dit décroissance ?

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A l’heure même où le conflit israélo-palestinien risque d’embraser la planète entière, il est un autre mal tout aussi dangereux qui nous guette : l’enjeu écologique et la nécessité de mieux maîtriser nos besoins énergétiques. Car l’énergie, c’est le fondement même du développement de nos sociétés. Voici des années que Jean-Marc Jancovici tire  la sonnette d’alarme. Et cette maîtrise nécessaire a un nom qui évidemment fait peur aux libéraux : décroissance. Qu’en est-il exactement ? Pour répondre à cette question Le Figaro a organisé un dialogue entre Jean-Marc Jancovici, ingénieur et président du Shift Project et Bertrand Piccard, le président de la fondation Solar Impulse. Largement de quoi réfléchir.

Lire la uite ICI

Source : Le Figaro 30/10/2023

14:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Ne pas oublier, il y a 5 ans : le Bataclan

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Alexandre Simonnot, Délégué général du Parti de la France
 
Il y a aujourd’hui 8 ans, le vendredi 13 novembre 2015, d’abominables islamistes abattaient froidement au Bataclan et dans nos rues d’innocentes victimes.
 
Cette tuerie a été la conséquence directe de la folle politique d’immigration pratiquée en France depuis des décennie et qui a engendré l’islamisation toujours plus forte de notre Nation.
 
N’oublions pas les victimes du 13 novembre 2015, que leur mort ne reste pas sans prise de conscience.
 
Face à ce danger mortel de l’islamisme pas de bougies ni de grande marche ! Ce qu’il faut c’est la mise en œuvre d'une grande remigration, le rétablissement de nos frontières et rendre aux Français la sécurité, première de leurs libertés !
 
NDLR SN : Lire aussi, cet émouvant article de Patrick Jardin publié sur Riposte laïque cliquez là

00:42 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |