mardi, 25 février 2025
Situation interpellante au gouvernement fédéral Belge : 66 milliards d'euros de subsides... ont disparu
En 2023, le gouvernement fédéral a distribué 66 milliards d'euros de subsides. Problème ? Aujourd'hui, un rapport présenté à la Chambre des représentants montre que l'argent a disparu. Personne ne sait où il est passé.
C'est une histoire chaotique à laquelle est aujourd'hui confronté le gouvernement fédéral en Affaires courantes. En 2023, quelque 66 milliards d'euros ont été octroyés sous forme de subsides. Problème ? On ne sait pas à qui, on ne sait pas pourquoi. C'est ce que relatent ce mercredi nos confrères du Het Laatste Nieuws.
Un récent rapport présenté à la Chambre des représentants montre en effet que l'argent a… disparu. Personne ne sait où il est passé. C'est le gouvernement d'Alexander De Croo qui, en 2023, avait demandé à des chercheurs du SPF BOSA, le service public fédéral Stratégie & Appui, de vérifier tous les subsides distribués au cours de l'année.
Et il apparaît aujourd'hui qu'il y a un manque de clarté flagrant quant à l'affectation des subsides. Il est pratiquement impossible d'avoir une vue d'ensemble sur tous les subsides octroyés par le gouvernement fédéral, pointe Het Laatste Nieuws. Même le terme de "subside" ne semble pas clair. "Nous avons remarqué que les services confondent certains termes et qu’il y a même une confusion dans la traduction entre le français et le néerlandais", a indiqué un chercheur à l'hémicycle.
Près de 40 milliards d'euros ont ainsi été passés à la loupe. Résultat ? Trois quarts de ce montant n'avaient fait l'objet d'aucun contrôle. Cela signifie que 30,2 milliards d'euros ont été versés par les services publics sans vérifier si les conditions d’octroi des subsides étaient bien remplies et sans contrôle sur l'utilisation de l'argent par la suite.
Manque de gestion des subsides
Dans leurs investigations, les chercheurs n'ont pas toujours trouvé les réponses nécessaires. "Certains services publics ont été en mesure de nous fournir toutes les informations presque immédiatement, mais d’autres ont mis beaucoup de temps à le faire. Pour d’autres encore, il n’y a même pas eu de réaction."
Tout cela montre le manque de gestion des subsides en Belgique. Les chercheurs ont donc fait plusieurs suggestions devant l'hémicycle. "Il y a un besoin urgent de transparence et d’évaluation. Pour ce faire, il faut travailler sur une définition claire et légale du terme ‘subside’ et créer un registre fédéral des subsides relié aux bases de données régionales", relaye Het Laatste Nieuws.
Ils suggèrent également la mise en place d’un service d’expertise central unique, capable d’assurer le monitoring et d’évaluer les flux de subsides.
Source : rtl.be
21:42 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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Quel avenir pour notre santé ? Conférence de Christian Perronne à Colmar le samedi 8 mars 2025
E&R Alsace aura l’honneur de recevoir Christian Perronne à Colmar le samedi 8 mars 2025 à 15 h, pour une conférence intitulée « Mon corps, leurs choix. Quel avenir pour notre santé ? »
L’une des premières mesures de la nouvelle présidence de Donald Trump a été de signer un décret visant à retirer les États-Unis de l’Organisation mondiale de la Santé, qu’il avait par ailleurs vivement critiqué pour sa gestion du covid-19.
Il a également annoncé qu’il réintégrerait les membres des forces armées américains qui ont été renvoyés pour avoir refusé de se faire vacciner contre le covid-19, avec versement des salaires impayés.
Dans ce contexte de méfiance sanitaire vis-à-vis des plus hautes instances de la santé, les États-Unis renouent avec leur indépendance et leur bon sens.
Qu’en est-il aujourd’hui de la France ?
Cette conférence sera suivie d’une session de questions-réponses avec le public, puis d’une séance de dédicace.
Un hommage sera rendu au docteur Stéphane Gayet, qui aurait dû se trouver au côté du professeur Perronne.
- Entrée : 10 euros
- Inscription obligatoire sur le site er-alsace.com (Indiquez nom, prénom et numéro de téléphone)
- Présence d’une buvette et d’un stand Kontre Kulture
- L’adresse vous sera communiquée par e-mail le jour de la conférence dans la matinée
- Pour toute question ou problème, écrivez à alsace@e-r.fr
21:24 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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DE QUOI EST FAIT JORDAN BARDELLA ?
Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat
Incontestable nouvelle star de la télévision, des autres médias et des réseaux sociaux – Tik-Tok entre autres -, lancé il y a quelques années avec fracas comme une nouvelle lessive révolutionnaire par son mentor, Marine Le Pen, le jeune talent ira sans doute loin, si les grosses et moins grosses « petites bêtes » ne le mangent pas….
Il enchaine séances de dédicaces avec plateaux de télé, visite au Salon de l’agriculture entre deux meetings. Il talonne Philippe de Villiers, Éric Zemmour et autre « Sarko » dans la course à la vente de leurs mémoires ! L’homme a de l’énergie à revendre, son jeune âge expliquant sans doute cela. Une petite ombre, toutefois, à ce tableau idyllique et sans tache, sa gaffe à propos de sa présence à la CEPAC, la conférence conservative américaine, en fin de semaine dernière, où il devait prendre la parole. Prétextant que Steve Bannon, vedette incontestable de la droite américaine aurait eu un geste inapproprié – un bras tendu évoquant vaguement, parait-il, un salut fââaâchiste -, il a refusé de prendre la parole à ce conclave, telle une Castafiore faisant un caprice de diva. Ou plutôt, triste constat : a-t-il cédé au « politiquement correct », pour ne pas ternir sa campagne de « dédiabolisation » ?
Voici un public attentif privé de la bonne parole d’une vedette montante de l’ex-Droite nationale française… Oui, ex-Droite nationale, car le RN, dont le jeune homme est le sémillant président, ne cesse de glisser à gauche sous l’influence stérile de sa « Mutti »… Dans l’espoir de conserver l’électorat ayant quitté le Parti communiste « français », ou réel changement de ligne politique ?
Dans un proche avenir, une réelle compétition s’engagera entre les jeunes espoirs de la droite française, de François-Xavier Bellamy à Sarah Knaffo, en passant par Marion Maréchal et, justement, Jordan. Qui l’emportera ? On sait que les deux femmes se sont « crêpé le chignon », au printemps dernier, au sein de Reconquête !, avant que la seconde ne quitte le mouvement d'Eric Zemmour. Bellamy roule pour Bruno Retailleau afin que le très sérieux ministre de l’Intérieur gagne la présidence des LR avant, peut-être, de se lancer dans la course pour la « grande élection ». Bardella, aimé d’un jeune public patriote, véritable gravure de mode rappelant un Delon de mes jeunes années - gendre rêvé par plus d’une putative belle-mère -, est-il fait d’assez de muscles d’acier, et armé d’une volonté d’airain, pour dominer ses concurrents ? Ou n’est-il, comme le disait Marie-France Garaud à propos de Chirac - qui savait de quoi elle parlait -, que « de la faïence dont on fait les bidets » ? À moins, surprise, qu’il n’échappe comme le Golem de la légende juive, à celle qui l’a enfanté politiquement, s’entend ?
Réponse après celle des juges, en mars prochain.
17:51 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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La décarbonation : une lubie dogmatique qui sacrifie la France sur l'autel de l'idéologie
Thomas Joly, président du Parti de la France
La décarbonation est devenue le nouveau credo de la secte climatiste. Drapés dans leur vertueuse indignation, nos gouvernants et les technocrates de Bruxelles nous imposent un carcan réglementaire suicidaire, pendant que la Chine et l'Inde rient sous cape, brûlant chaque jour davantage de charbon et de pétrole pour alimenter leur expansion économique. Ce dogme absurde repose sur une vision partiale et biaisée du carbone, qui serait le mal absolu à combattre. Or, la science nous enseigne que le carbone est un élément fondamental à la vie sur Terre : il est le socle de la photosynthèse, le moteur de la croissance végétale et un régulateur climatique naturel depuis des millénaires.
La France, déjà l'un des pays les moins émetteurs de CO2 grâce à son parc nucléaire exemplaire, s'acharne pourtant à expier une faute imaginaire. Les fermetures de centrales à charbon, la fiscalité punitive sur l'essence et le gaz, les restrictions absurdes sur l'industrie automobile sont autant de boulets que nous nous imposons volontairement. Résultat ? Une destruction de notre industrie, une flambée des prix de l'énergie pour les ménages et une perte de compétitivité face à des nations moins scrupuleuses. Pendant ce temps, l'Allemagne, pourtant donneuse de leçons, relance son industrie charbonnière. Où est la logique ?
Mais cette folie n'est pas seulement écologique et économique : elle est aussi financière. L'arnaque du marché du carbone, avec ses « droits à polluer » achetables et revendables, est devenue une manne pour les spéculateurs. Qui profite de ce système ? Sûrement pas les citoyens français, ni les entreprises, rackettés à coups de taxes écologiques et de réglementations liberticides, mais bien les financiers et les bureaucrates européens, toujours plus gourmands en fonds publics.
Il est temps de réagir. Plutôt que de nous flageller en écoutant les prêches catastrophistes des nouveaux inquisiteurs du climat, reprenons le contrôle de notre politique énergétique. Défendons notre industrie, refusons cette hystérie collective et remettons la science et la raison au centre du débat. La France a besoin d'énergie, de croissance et de liberté, pas d'une austérité écologique mortifère.
17:34 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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NON à l’accord « Mercosur », Soutien à nos agriculteurs !
Un communiqué de Reconquête !
Les agriculteurs français se battent pour survivre et pour nourrir les Français. Mais Bruxelles veut nous imposer des aliments douteux.
Ursula von der Leyen, que vous n’avez pas élue, s’apprête à ratifier en force l’accord « Mercosur », contre la volonté des Français.
Cet accord ouvrirait grand les portes à :
- 99 000 tonnes de bœuf gavé aux hormones…
- 180 000 tonnes de poulets élevés sur des grillages métalliques…
- Des milliers de tonnes de céréales, gorgées de pesticides interdits en France…
Vous vous en doutez bien, la traçabilité des produits ne sera pas assurée comme elle l’est pour les produits français ! C’est la sécurité alimentaire des Français qui est directement menacée.
Pendant ce temps, la plupart de nos agriculteurs se tuent déjà à la tâche, à 70 h par semaine. 26 % des agriculteurs vivent sous le seuil de pauvreté. Pris à la gorge, certains n’arrivent même pas à dégager de revenu…
Ils croulent sous les normes toujours plus absurdes et doivent faire face à une concurrence déloyale.
Résultat ? Chaque jour, près de deux agriculteurs se suicident.
76 % des Français sont contre cet accord destructeur.
Notre pays doit dire NON à cette trahison !
Non, Madame von der Leyen ! La France n'est pas un vulgaire territoire à votre disposition. C'est un peuple millénaire, façonné par des générations de paysans qui ont fait de notre terre la plus fertile d'Europe.
Cette terre, c'est notre héritage, pas votre marché !
Nous exigeons :
- Le rejet immédiat et définitif de l'accord MERCOSUR
- La fin de la surtransposition des normes européennes qui pénalise uniquement nos agriculteurs
- La protection effective de notre souveraineté alimentaire
Notre agriculture n'est pas une variable d'ajustement.
C'est notre patrimoine, notre sécurité alimentaire, notre avenir.
Signez et faites signer cette pétition en cliquant ici
08:51 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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