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jeudi, 13 mars 2025

Pierre Cassen solidaire du Cercle Trégor et Goëlo

Quand les gens de droite apprennent qu’un film qui ne leur plaît pas va passer dans une salle de cinéma, ils n’y vont pas, et laissent les gens qui veulent le voir aller à la séance.

A gauche, c’est totalement différent. On considère que seuls les films politiquement corrects, c’est-à-dire favorables à l’immigration, à l’accueil de l’autre et éventuellement à la sauvegarde de la planète, ont droit de citer, et qu’il faut interdire au peuple de voir les autres oeuvres.

Caricature de cette vision du monde, la député LFI Murielle Levrault, qui, entre autres, a écrit au préfet des Côtes d’Armor pour faire interdire la diffusion, prévue par l’association Tregor-Goelo, du film de Tommy Robinson, « Silenced » diffusé dans de plus en plus de villes de France par Eric Mauvoisin, président du Rassemblement Vendéen.

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Lannion : suite à l'interdiction de la projection du film "Silenced", le Cercle Trégor et Goëlo réagit

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Le Télégramme de ce matin.

Un communiqué du Cercle Trégor & Goëlo :

Le Cercle Trégor & Goëlo est une association patriotique légalement constituée et déposée. Depuis trois ans, il organise dans le calme des conférences privées réservées à ses adhérents. C’est le cas ce jeudi soir en Trégor où est prévue une conférence de M. Eric Mauvoisin-Delavaud, cinéaste et président du Rassemblement vendéen, avec la projection du film « Silenced » qui relate les agressions contre des jeunes filles provoquées par des gangs pakistanais en Grande Bretagne et la collusion de ceux-ci avec certains milieux politiques anglais.

Il n’en fallait pas plus pour déclencher l’hystérie de la représentante locale, une dame Lepvraud, du groupe LFI à Guingamp qui se permet, toute honte bue, d’exiger l’interdiction de cette pacifique réunion. On croit rêver…

LFI est une organisation reconnue depuis le 7 octobre comme ayant une attitude antisémite. Nombre de ses inféodés sont poursuivis pour des propos insupportables. Pour faire oublier ces turpitudes, les responsables de ce parti, tels des tenanciers de fonds de commerce en perdition, s’obstinent à vouloir museler les forces nationales et patriotiques en Trégor comme un peu partout en France. Hier, ils ont eu la peau de C8, aujourd’hui, ils s’en prennent à notre association locale.

La dame Lepvraud explique à qui veut l’entendre que ce film serait raciste (elle ne l’a probablement jamais vu) et interdit en France, ce qui est totalement faux. En revanche, il faut qu’elle sache, que cela lui déplaise ou non, que notre pays a une constitution qui garantit les libertés individuelles, au premier rang desquelles il y a celle de réunir ses amis. Il faut dire que, vu le nombre de plus en plus restreint d’amis que LFI a, cela doit lui échapper. En agissant ainsi, Mme Lepvraud ne se fait-elle pas la complice de ces actes odieux dénoncés dans le film ? 

Ce matin, le maire de Lannion, M. Paul Le Bihan, s’est plié devant les injonctions des héritiers de Staline, il a interdit, par un arrêté municipal, la conférence. L’extrême gauche réclame, la gauche exécute… Ce n’est pas nouveau.

Quoi qu’il en soit, nous appelons toutes les forces nationales du département à réagir face aux prétentions liberticides de LFI. Prochainement, nous ferons part des suites judiciaires que nous donnerons aux propos calomnieux de la député Lepvraud. Enfin, qu’on se le dise, d’une manière ou d’une autre, « Silenced » sera projeté en Côtes-d’Armor, n’en déplaise aux étrangleurs patentés de la liberté d’expression.

Lire l'article de Breizh Info cliquez ici

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Entretien avec Piotr Tolstoï, vice-président de la Douma

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Le vice-président de l’Assemblée nationale russe, la Douma - Piotr Tolstoï -, explique à Valeurs actuelles, le point de vue des dirigeants russes sur la guerre en Ukraine et la grande réconciliation initiée par Donald Trump. Et d’énoncer cette évidence que les dirigeants européens – mais pas les militaires semble-t-il -, se refusent d’admettre : les Ukrainiens ont perdu la guerre.

Lire la suite ICI

Source : Valeurs actuelles 12/3/2025

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Projection de « Silenced » signé Tommy Robinson, en Trégor ce jeudi 13 mars : la dérive totalitaire de LFI qui veut interdire la projection par la voix de Murielle Levpraud

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Breizh info cliquez ici

La volonté de contrôle et de censure de La France Insoumise (LFI) franchit un nouveau cap. Murielle Lepvraud, députée LFI des Côtes-d’Armor, a officiellement demandé au préfet d’interdire la projection du film « Silenced », prévue jeudi 13 mars dans le Trégor. Le documentaire, réalisé par Tommy Robinson, journaliste britannique actuellement incarcéré au Royaume-Uni, aborde des sujets sensibles tels que l’immigration incontrôlée et les réseaux de proxénétisme opérant sous la protection du politiquement correct.

Une fois encore, LFI adopte une posture autoritaires, refusant le débat et cherchant à imposer une censure idéologique, digne des pires régimes.

Dans un courrier envoyé au préfet des Côtes-d’Armor, Murielle Lepvraud, qui n’a sans doute même pas visionné le reportage, qualifie « Silenced » de film véhiculant des thèses « racistes » et « complotistes », estimant que ses propos pourraient « attiser la haine et la discrimination ». Elle fustige également le caractère privé de la projection, organisée par l’association Cercle Trégor & Goëlo, qui réserve l’accès aux seules personnes inscrites à l’avance. Mais voici qu’un journal peu scrupuleux vient de tenter de révéler l’adresse supposée. Histoire de permettre une interdiction par le Préfet pour risque de trouble à l’ordre public provoqué par les gauchistes ? La méthode est parfaitement huilée

Selon la députée LFI, cette précaution serait une « volonté manifeste d’échapper au contrôle des autorités et à une potentielle interdiction ». Une logique inquiétante, où la tenue d’événements privés devient suspecte aux yeux du pouvoir politique. En réalité, la projection est tout à fait légale dans un lieu privé (à moins que les communistes viennent jusque dans vos maisons pour décider ce que vous devez lire et visionner).

Ce n’est pas la première fois que la gauche radicale tente d’interdire un film, une conférence ou un événement allant à l’encontre de sa vision idéologique. Cette nouvelle offensive contre Silenced rappelle des précédents récents où LFI a exigé la censure de débats et de personnalités dissidentes, au nom de la lutte contre un supposé « fascisme ».

Le simple fait qu’un film aborde des sujets comme la criminalité liée à l’immigration, les réseaux de proxénétisme pakistanais ou les dysfonctionnements de la justice britannique suffit pour que LFI veuille en interdire la diffusion.

Les méthodes de LFI et de la gauche radicale ne laissent plus de place au doute : leur vision de la démocratie consiste à imposer une pensée unique et à faire taire toute voix dissidente. Il ne s’agit plus d’un simple désaccord politique, mais bien d’une logique totalitaire, où le contrôle du discours public devient une priorité.

Pendant que LFI mène son combat contre une projection privée, les véritables menaces sur la liberté d’expression et la sécurité publique continuent d’être ignorées. Rennes, Nantes, Paris : les dégâts causés par l’ultragauche dans les centres-villes, les attaques contre les forces de l’ordre, les saccages de commerces et les agressions politiques ne suscitent aucun intérêt de leur part.

La liberté d’expression est-elle encore une valeur défendue en Europe ? La question se pose avec acuité alors que Tommy Robinson, lanceur d’alerte et militant identitaire britannique, croupit aujourd’hui en prison pour avoir osé dénoncer un scandale majeur dans son pays. Son crime ? Avoir réalisé le documentaire Silenced, un film exposant les liens troubles entre les gangs pakistanais de proxénètes pédophiles et des membres de la bureaucratie et de la classe politique britannique. Interdit outre-Manche, le film est néanmoins diffusé en France grâce à l’initiative du cinéaste Éric Mauvoisin-Delavaud.

Le Cercle Trégor & Goëlo organise ainsi une projection privée du film le jeudi 13 mars 2025 à 19h. L’événement, qui se tiendra dans un lieu communiqué aux inscrits, sera suivi d’une conférence en présence de plusieurs personnalités du monde intellectuel et politique.

Tommy Robinson : prisonnier politique en Angleterre ?

Depuis octobre 2024, Tommy Robinson est incarcéré dans son propre pays. Habitué à la répression judiciaire pour ses enquêtes dérangeantes, il subit cette fois un acharnement sans précédent. Son documentaire Silenced expose l’omerta qui entoure les crimes commis par des gangs de proxénètes d’origine pakistanaise en Grande-Bretagne et la passivité complice des autorités. Une vérité jugée inacceptable par le gouvernement britannique, qui préfère l’emprisonner plutôt que de répondre aux accusations.

Dans un contexte où toute parole dissidente est immédiatement censurée ou criminalisée, la diffusion de Silenced en France prend une dimension symbolique forte. Éric Mauvoisin-Delavaud, président du Rassemblement vendéen, mène depuis plusieurs mois une tournée à travers l’Hexagone pour permettre au public de découvrir ce film interdit. À chaque séance, le succès est au rendez-vous, témoignant d’un véritable intérêt pour la question des violences liées à l’immigration incontrôlée.

Pour garantir la sécurité des participants et éviter toute tentative de sabotage, l’accès à la projection se fait uniquement sur réservation. L’adresse de la salle sera communiquée après inscription à l’adresse suivante : asso.tregorgoelo@gmail.com. Une participation aux frais de 5€ est demandée.

Un débat avec des intervenants engagés

Après la projection, une conférence-débat réunira plusieurs figures du monde identitaire et conservateur :

  • Bernard Germain, président du Cercle Trégor & Goëlo
  • Roland Hélie, directeur de la revue Synthèse nationale
  • Éric Mauvoisin-Delavaud, réalisateur et organisateur de la tournée

Un moment d’échange essentiel pour décrypter les enjeux soulevés par Silenced et la répression croissante qui frappe ceux qui osent défier les dogmes du politiquement correct.

Cette projection n’est pas qu’un simple événement cinématographique : elle est un acte de résistance. Face à un système qui tente d’étouffer toute critique de l’immigration et de ses conséquences, diffuser Silenced en France est un pied de nez à la censure qui sévit déjà en Grande-Bretagne.

En participant à cette soirée, les spectateurs affirmeront leur droit à l’information et leur refus de voir des sujets essentiels évacués du débat public. Une occasion unique de découvrir un film interdit (1) et de débattre librement des réalités qu’il expose.

(1) NDLR SN : Merci à Breizh info pour cet article. Juste une précision, à notre connaissance ce film n'est pas (encore) interdit en France.

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« Trump est un va-t-en guerre, mais un va-t-en guerre commercial »

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Alors que les rapports de force internationaux connaissent un basculement sans précédent, le site Breizh-info.com s’est entretenu avec Alain de Benoist pour décrypter les mutations en cours. Le philosophe et penseur de la Nouvelle Droite revient sur les récents événements qui ébranlent l’ordre mondial : le tournant stratégique amorcé par Donald Trump, la rupture entre Washington et Bruxelles, le désengagement américain en Ukraine et la montée en puissance des pôles de civilisation opposés à l’Occident.

Dans cet entretien, Alain de Benoist analyse l’effondrement progressif du « monde d’hier » et les conséquences d’un réalignement géopolitique qui met l’Europe face à ses contradictions. Il évoque également l’impasse idéologique des élites européennes, engluées dans des combats moraux alors que le reste du monde privilégie la puissance et le pragmatisme. Face à un Emmanuel Macron fébrile, plaidant pour un réarmement européen qu’il n’a pas su anticiper, Alain de Benoist dresse un constat lucide sur la dépendance stratégique de l’UE et sur l’incapacité des dirigeants européens à comprendre la logique de puissance qui guide désormais les relations internationales.

De l’influence grandissante de figures comme J.D. Vance aux États-Unis à la guerre économique et politique menée par Trump, en passant par le rôle de la Russie et de la Chine dans ce nouveau jeu mondial, Alain de Benoist pose un regard acéré sur l’accélération de l’histoire et ses implications pour les nations européennes. Une analyse percutante à découvrir sans détour.

Lire la suite ICI

Source : Breizh info

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En Hongrie : Eric Zemmour, son discours sur l'Europe

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Autoroute A69 : une décision doublement inquiétante

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Bruno Mégret, Polémia cliquez ici

Une décision néfaste

Cette décision irresponsable prise au nom de la biodiversité est une catastrophe pour les habitants de la région concernée dont une majorité d’entre eux souhaitaient pouvoir bénéficier du désenclavement que leur aurait apporté cette nouvelle voie.

Pour l’État, c’est aussi un nouveau camouflet des juges qui sera très coûteux pour les finances publiques. Il faudra en effet indemniser le concessionnaire et les entreprises en charge de la construction de cet ouvrage. Il faudra également payer les travaux qui seront nécessaires pour sécuriser les ouvrages d’art déjà construits, sans compter les indemnités de chômage à verser aux quelque mille ouvriers, conducteurs d’engin qui se retrouvent sans travail du jour au lendemain. Si la Cour d’appel administrative et le Conseil d’État confirment le jugement de première instance, il en résultera pour la puissance publique un coût qui pourrait atteindre un milliard d’euros voire plus. Une somme colossale qui aura été dilapidée par des juges à un moment où l’État devrait réduire massivement ses dépenses.

Mais au-delà des troubles régionaux qu’elle provoque, cette décision du tribunal administratif de Toulouse est aussi le reflet d’un mal profond qui détruit notre nation et dont l’affaire de l’autoroute A69 démontre qu’il ne cesse de prendre de l’ampleur. Ce mal est celui de la montée en puissance du gouvernement des juges, lequel se renforce et devient de plus en plus audacieux.

Le pouvoir judiciaire domine les politiques

Dorénavant, les politiques ne peuvent plus faire voter une loi sans qu’elle soit visée, voire censurée, par le Conseil constitutionnel qui joue désormais un rôle de tribunal idéologique au bénéfice du politiquement correct. Ils ne peuvent plus non plus prendre un arrêté ni un décret sans qu’il soit supervisé et souvent invalidé par la juridiction administrative.

Une juridiction qui ne se contente plus de vérifier qu’une décision des pouvoirs publics est conforme à la loi mais qui juge en opportunité. En l’occurrence l’État, soutenu par toutes les collectivités concernées, avait jugé que ce projet d’autoroute Toulouse-Castres répondait à « une raison impérative d’intérêt public majeur » alors que les opposants au projet, c’est-à-dire les organisations écologistes d’extrême gauche, invoquaient une atteinte à la biodiversité.

On voit bien que la décision à prendre entre ces deux options ne relève pas du droit mais d’un choix politique. Un choix qui appartenait donc au gouvernement et aux élus, ce qu’ils avaient d’ailleurs fait jusqu’à ce qu’un simple juge administratif s’imposant à l’État et aux représentants du peuple en décide autrement. Comme si un juge administratif était plus légitime et plus éclairé que le ministre des Transports, le préfet et tous les élus qui soutenaient ce projet.

Une nouvelle étape vers le gouvernement des juges

C’est donc en ce sens que cette décision aberrante de la juridiction administrative concernant l’autoroute A69 revêt une importance particulière car, si elle devait être confirmée en appel puis devant le Conseil d’État, ce serait une nouvelle étape qu’aurait franchie le pouvoir judiciaire dans sa volonté de dominer totalement les pouvoirs exécutif et législatif.

Le pire c’est que les magistrats qui incarnent ce gouvernement des juges ne recherchent pas le pouvoir pour le pouvoir, ils veulent en user pour défendre une ligne idéologique, celle de l’extrême gauche islamo-écolo-wokiste.

La victoire des zadistes

Là encore, la décision prise à Toulouse est très éclairante. Si en effet cette décision de ne pas réaliser l’autoroute A69 est confirmée par le Conseil d’État, ce sera la victoire des zadistes qui ont empêché la construction d’un aéroport à Nantes. Ce sera la victoire des militants ultra-violents qui brûlaient des véhicules de gendarmerie lors des manifestations contre l’A69. Ce sera aussi la victoire de l’association Soulèvements de la terre, celle-là même que le ministre de l’Intérieur avait dissoute avant que les juges du Conseil d’État ne cassent le décret de dissolution.

Il était déjà très long et très laborieux de réaliser une infrastructure nouvelle en France. Gageons que si rien ne change au plan politique et que la décision du tribunal de Toulouse est confirmée, il ne sera pratiquement plus possible de construire de grandes infrastructures dans notre pays : ni autoroutes, ni lignes TGV, ni centrales nucléaires, ni prisons, ni bassines, ni rien du tout.

L’objectif de la déconstruction

Ces gens-là en effet ne cherchent pas à défendre l’environnement mais à déconstruire la France. Une démarche très wokiste qui voit l’homme blanc comme responsable de l’asservissement des peuples du monde ainsi que du saccage et du pillage de la terre. Aussi doit-il, selon eux, s’effacer, laisser la place aux autres civilisations et ne plus toucher à la nature. L’autoroute qui est une invention humaine et qui sert les humains doit donc dans cet esprit disparaître au profit de la faune et de la flore, comme en a jugé le tribunal administratif de Toulouse

Telle est la seconde leçon à tirer de cette décision de justice. Les écologistes qui ont obtenu l’arrêt des travaux et peut-être l’abandon du projet d’autoroute ne se battent pas pour que les Français bénéficient d’un meilleur environnement, ils mènent un combat de déconstruction de la France. Aussi, lorsqu’ils  déclarent  vouloir  « sauver  la planète », c’est en réalité à la disparition du monde blanc qu’ils travaillent.

Si donc ils gagnent dans cette procédure, ce chantier abandonné, envahi par une végétation sauvage et parsemé de ponts qui ne mènent nulle part et n’enjambent rien, ne pourra que faire penser à l’un de ces films post-apocalyptiques où, après un désastre planétaire, la civilisation a disparu. Ce chantier interrompu pourra au moins servir de symbole très clair de ce que les écolo-wokistes veulent faire de notre avenir.

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