lundi, 12 mai 2025
La dictature européiste s’accentue et tente de se renforcer, l’exemple de la Roumanie, l’Allemagne et la France
Michel Festivi
Plus la bête est blessée, plus elle devient méchante donc dangereuse, c’est bien connu. Partout en Europe les tenants de l’européisme débridé, sous la houlette de la Commission européenne, d’Emmanuel Macron, de Friedrich Merz qui vient de s’allier avec la gauche allemande, trompant 14 millions d’électeurs qui avaient cru élire un Chancelier de droite, s’organisent. De Donald Tusk premier ministre polonais, en passant par Keir Starmer qui pourchasse les patriotes en Grande Bretagne, et qui impose une censure féroce contre ceux qui dénoncent l’immigration sauvage, et sous la supervision organisationnelle et financière de George Soros, ils tentent tous d’empêcher les peuples de s’exprimer et n’hésitent pas à faire annuler des élections qui avaient porté au pouvoir des hommes décidés à ne pas se laisser coloniser par les superstructures mondialistes, qui veulent abattre les nations.
Commençons justement par la Roumanie qui est en pleine actualité électorale, puisque George Simion, qui incarne le renouveau contre Bruxelles et ses tentacules totalitaires, est arrivé largement en tête avec plus de 40% des voix, et qu’il peut dès le 18 mai, effacer l’affront considérable du 6 décembre 2024, qui a vu une élection annulée, parce que le candidat national-conservateur allait l’emporter, sur de simples soupçons, qui n’ont jamais vu le moindre commencement de preuves au demeurant.
Simion dénonce cette dérive totalitaire que vivent bon nombre de pays européens actuellement. Il alerte sur une vague massive de désinformation qui est en train de se mettre en place contre lui et le peuple roumain « savamment orchestrée par des médias mondialistes, dont nombre sont financés par des organisations à la solde de Soros ». Les fraudes électorales sont possibles en Roumanie, car sur 19 millions d’habitants, 18 millions sont inscrits sur les listes électorales ce qui parait totalement impossible et ubuesque. Il y figure toujours des millions de morts, qui potentiellement peuvent voter par tricheurs interposés. Et ce d’autant plus qu’il considère que « les cadres communistes du régime de Ceausescu sont toujours aux commandes, sous un vernis européen ». Bon sang totalitaire ne saurait mentir ! (Cf son passionnant entretien dans The Epoch Times du 11 mai).
L’Allemagne voit renaître, elle, un déferlement d’atteinte considérable à la démocratie, depuis les dernières élections législatives, qui ont vu l’AFD réalisée un score à plus de 20%, ce qui n’était jamais arrivé dans ce pays depuis 1945 à des élections générales. Cette secousse tellurique a littéralement affolé les tenants d’un ordre mondial aseptisé. La CDU qui n’a pas obtenu la majorité absolue qu’elle convoitait, s’est empressée de faire alliance avec la gauche, le SPD, qui avait connu l’un des plus mauvais résultats de son histoire. Immédiatement, les sondages pointaient l’AFD au coude à coude avec la CDU. Il n’en fallait pas plus pour que le système organise une énième tentative d’interdiction de l’AFD. En tout cas, et pour la première fois de l’histoire politique de la RFA, Merz a échoué à être élu par le Bundestag, au premier tour de scrutin, ce qui démontre un malaise croissant.
Effectivement, et seulement quelques jours avant l’intronisation difficile du nouveau Chancelier, les services de renseignement intérieur ont classifié l’AFD « comme parti extrémiste de droite », la mettant juridiquement sous surveillance, car pouvant représenter un danger pour l’ordre démocratique et obtenir ainsi son interdiction. Aussitôt, Donald Trump et J.D Vance ont fustigé cette décision qui bafoue plus de 10 millions d’Allemands, qui sont de plus en plus nombreux à voter pour ce parti. Cette volonté de fouler au pied la démocratie, provoque actuellement de vives tensions politiques outre-Rhin. Suite à un recours intenté par l’AFD devant la juridiction administrative de Cologne, cette résolution inique a été provisoirement suspendue, dans l’attente de l’arrêt à intervenir. La démocratie n’est pas respectée en Allemagne, parce que tout simplement la CDU s’est une fois de plus acoquinée avec la gauche, alors que Merz avait promis un virage conservateur. Que cela nous serve d’exemple en France et fasse réfléchir les électeurs.
Justement chez nous, nous subissons peu ou prou, les mêmes avanies anti-démocratiques. Non seulement les Juges ont pris le pouvoir avec l’accord implicite des politiciens du système bien trop satisfaits de ne pas prendre leurs responsabilités, en détricotant les quelques mesures un tant soi peu de bon sens, mais dès que l’on leur en donne l’occasion, ils se mettent à décider, sur des fondements juridiques des plus contestables, qui peut se présenter à une élection ou pas. Déjà, Nicolas Sarkozy avait donné de sérieux gages à Bruxelles en passant outre le referendum gagné par le peuple en 2005, en imposant le Traité de Lisbonne, que sa majorité parlementaire, ainsi que la gauche vota.
Alors que tous les sondages d’opinion qui se succèdent, révèlent que les français, même de gauche, à une très large majorité, entendent que l’on organise des referendums sur l’immigration ou la sécurité publique, les tenants d’une Europe bruxelloise et mondialisée ont beau jeu de nous expliquer que cela n’est pas possible en l’état de nos textes constitutionnels, sans penser un seul instant à les modifier. Car les résultats de ces consultations populaires sont bien connus d’avance, et il est hors de question pour le système de les organiser.
Des jours sombres se profilent donc, sauf si les électeurs réagissaient en masse et ne se laissaient pas subvenir par les sirènes de ceux qui prétendent renverser la table, mais qui n’ont en réalité qu’une seule ambition, laisser les choses en l’état.
15:51 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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