Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

mercredi, 21 mai 2025

Lundi 2 juin, à Paris : Jean-Yves Le Gallou dédicacera son nouveau livre, "Mémoires identitaires"

499739682_1065798895694237_6149844332696854970_n.jpg

Afin de fêter la publication de ses Mémoires identitaires qu'il aura le plaisir de vous dédicacer, Jean-Yves Le Gallou réunit ses lecteurs, ses compagnons de route et ses partenaires pour une soirée conviviale au cœur de Paris.
 
Il vous donne rendez-vous le lundi 2 juin prochain de 19h à 22h au Cardinal, 1 Boulevard des Italiens, 75002 Paris. Un verre de bienvenue vous sera offert par Radio Courtoisie et l'Institut Iliade, partenaires de l'événement.
 
Entrée gratuite. Inscription obligatoire sur ce lien : cliquez ici 

23:38 Publié dans Livres, Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Leïla Chaibi, Madame sans-gêne du Parlement européen

sipa_01207262_000005.jpg

La chronique de Philippe Randa

Une députée LFI viole publiquement, en plein Parlement européen, le secret de la correspondance.

« La propriété, c’est le vol », avait écrit en son temps le très modérément judéophile Joseph Proudhon dans son livre Qu’est-ce que la propriété ?, publié en 1840.

La députée LFI Leïla Chaibi l’a-t-elle lu ? Allez savoir… mais cela expliquerait sans doute ses actions passées, lorsqu’en 2006, notamment, elle co-fondait le collectif Jeudi noir pour dénoncer le « mal-logement » ; parmi les hauts faits d’armes de celui-ci, des « réquisitions citoyennes ou des crémaillères festives », dont l’occupation d’un immeuble, rue de la banque à Paris… ainsi que des « pique-niques » pris au sens propre des mots, c’est-à-dire de ripailler en grande surface en se servant sur place et… sans bourse déliée !

Des manières… comment dire… fort éloignées du qualificatif « bonnes » qu’enseignaient par le passé tout parent digne de ce nom à sa progéniture.

Mais les mauvaises manières de la dame – qui risquent de faire regretter à beaucoup l’abandon (désormais l’interdiction) de la fessée – ne se limitent pas à l’immobilier ou à la gastronomie : elles sont aussi épistolaires comme le prouve la scène diffusée par ses soins sur TikTok dans laquelle on la voit ouvrir le 19 mai 2025, devant un groupe de jeunes qu’elle a invité au Parlement européen à Bruxelles, diverses boîtes aux lettres fermées.

Des boîtes de Pandore ? C’est peut-être, si tant est qu’elle en connait la signification, ce qu’elle espérait en déballant ainsi les courriers reçus par des parlementaires européens.

Et pas n’importe quels parlementaires, bien sûr : Marion Maréchal, Jordan Bardella et François-Xavier Bellamy.

Avec une fierté évidente, elle en a retiré les contenus avec gourmandise avant de les examiner avec perplexité et de les filmer avec circonspection, mais qu’importe puisque furent ajoutés par la suite au montage vidéo commentaires et illustrations dénigrants, insultants et moquants – quand on hait, on ne lésine pas – ces députés… et au passage Maître Ghislain Dubois, auteur du livre Né français mort croate cliquez ici (Jean-Michel Nicolier, un Français à Vukovar) qui avait été envoyé à la députée Marion Maréchal.

Certes, ce faisant, la députée LFI viole l’article 10 du Règlement intérieur du Parlement européen et son annexe, relatifs au comportement que doivent avoir les parlementaires européens à l’égard de leurs collègues, de leurs assistants, et des tiers. Et ce, devant des jeunes qui étaient là, en principe, pour être sensibilisés au civisme et au respect d’autrui…

Des notions, dont, à l’évidence, l’élue de La France Insoumise n’a que faire !

Que n’aurait-on pas vociféré si des parlementaires « de droite » avaient agi de la sorte, violant le secret du courrier de collègues « de gauche » !

Toutefois, l’éditeur du livre de Maître Ghislain Dubois se doit de remercier très sincèrement dame Chaibi pour la promotion inattendue de ce livre tout juste sorti de l’imprimerie et souhaiterait lui en envoyer un exemplaire si elle ne l’avait pas gardé (par mégarde, bien sûr) pour s’instruire des crimes de l’armée serbe, notamment de l’assassinat du jeune françaisJean-Michel Nicolier et de 265 autres personnes dans le Hangar de la ferme d’Ovčara en novembre 1991.

Mais il hésite à le lui faire parvenir au Parlement européen… Les boîtes aux lettres n’y sont pas très sûres !

18:17 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

« GAZA DELENDA EST »

640x340_sc_068-aa-19052025-2241541.jpg

Pieter Kerstens

On peut être « pro » ou « anti », force est de constater que les israéliens se moquent entièrement des récriminations, des mises en garde ou des recommandations de la communauté internationale, pour tout ce qui concerne leurs politiques intérieure et étrangère.

Comme peuple souverain, ils appliquent ce que bon leur semble pour la défense de leurs intérêts, de leur population et de leur sphère d’influence. Tel le blocus de Gaza …

Gaza : 362 km2. Et sur 76 km2 vivaient 1,3 millions de palestiniens qui s’entassent comme ils peuvent dans différents camps de réfugiés, après avoir été déplacés à plusieurs reprises.

Pourtant, le 29 novembre 1947, l’Assemblée Générale de l’ONU vota le partage de la Palestine en 3 morceaux. Par cette résolution 181, 56% du territoire est dévolu à un Etat juif (558.000 juifs et 405.000 arabes), 43% est accordé aux Palestiniens (804.000 palestiniens et 100.000 juifs) et le dernier % concernant les Lieux Saints est placé sous tutelle des Nations Unies, avec la désignation d’un gouverneur. Ce partage est considéré depuis comme une Nabka par les Palestiniens et devient dès lors la source d’un des plus longs conflits qui perdure à ce jour, avec ses rivières de sang, ses torrents de haine et ses cortèges de souffrances.

Le 11/12/1948, l’ONU vote sa résolution 194 qui place Jérusalem sous mandat international et garantit le principe des droits existants. Contre l’avis général, Israël a déclaré Jérusalem sa capitale et après le conflit de 1967, l’état hébreu occupe l’Est de la ville.

La résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU, le 22/11/1967 précise bien : « le Conseil de sécurité affirme que l’accomplissement de la Charte des Nations Unies exige l’instauration d’une paix juste et durable au Moyen-Orient qui devrait comprendre l’application des deux principes suivants :

  1. a) retrait des forces israéliennes des territoires occupés lors de la guerre des six jours (en juin 1967)
  2. b) cessation de toutes assertions de belligérance ou de tous états de belligérance et respect et reconnaissance de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque Etat de la région et de leur droit de vivre en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues…

Les résolutions 476 du 30/6/1980, 478 du 20/08/1980 et 672 du 12/10/1990, condamnent toutes l’attitude belliqueuse de l’Etat hébreu et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem.

Peut-on en conclure que l’Etat sioniste est un facteur de déstabilisation perpétuelle de la paix au Proche Orient et comme l’a écrit le dissident israélien Israël Shamir « Etat  qui ne rassemble que la racaille des communautés juives mondiales » ?

Il est tout de même curieux de constater une évidence : bien avant le blocus de Gaza, la communauté internationale avait instauré elle aussi des blocus et des embargos envers l’Afrique du Sud, la Rhodésie ou l’ex-Yougoslavie, sans parler de l’Irak de Saddam Hussein. Depuis des décennies, l’Oncle Sam étrangle Cuba… Combien de manifestations des pleureuses Droits-de-l’Hommiste ?  Combien de pétitions ?

Combien de flottilles apportant médicaments, aliments ou objets indispensables à ces nations mises au ban de l’humanité ?

Depuis des décennies, les sionistes crachent sur les résolutions de l’ONU, pourquoi changeraient-ils d’avis ? Il est clair maintenant que Tsahal va réduire Gaza à un champ de ruines et un cimetière à ciel ouvert pour les Palestiniens, dans un silence complice des pays occidentaux.

Comme à Belgrade ou à Bagdad, faudra-t-il bombarder Tel-Aviv pour faire respecter les décisions du Conseil de Sécurité ?

13:23 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tommy Robinson très bientôt en liberté

FB_IMG_1747782313260.jpg

Tommy Robinson, réalisateur du film "Silenced", tenu arbitrairement comme étant responsable des manifestations populaires qui ont éclaté en Angleterre l'été dernier suite à l'odieux assassinat de trois jeunes filles par des racailles importées, condamné de ce fait en octobre dernier à 18 mois de prison, devrait être libéré d'ici quelques jours. On en reparle...

13:15 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre ami Bernard Gantois nous a quittés

BernardGantois3.jpg

Nous avons appris ce jour avec tristesse par Riposte laïque cliquez ici que notre ami Bernard Gantois nous avait quittés ce dimanche, à l’âge de 80 ans.

Voilà comment les éditions Chiré, qui ont édité plusieurs de ses livres, le présentaient :

Bernard Gantois est né en 1944 dans le nord de la France, sous occupation allemande. Ses parents, instituteurs, et grands-parents, ouvriers, avaient beaucoup plus foi en Staline, dont ils espéraient beaucoup, qu’en Pie XII. Mais il fut cependant baptisé.

Après de brillantes études, conclues par un diplôme d’ingénieur, et un second de spécialisation en infrastructures, il était, nous dit-il, totalement inconscient du formatage politique sournois qu’il avait reçu dans ces institutions, au delà de la formation à son futur travail. Il devint commercial en ingénierie d’infrastructures, après quelques réalisations techniques réussies ayant lancé sa carrière, puis directeur du développement mondial de la société. Deux cents cinquante jours par an de voyages et, évidemment, aucune préoccupation politique ou spirituelle. Revenu en France à 39 ans, dans une très grande société nationale de transports urbains, proche par ses responsabilités des milieux politiques, il découvre la réalité française : le règne presque total du mensonge et de l’hypocrisie, conséquence de l’influence parfaitement monopolistique de puissants groupes de pression et de confréries discrètes dans la haute administration et les ministères.

Après sept années dans cette ambiance délétère, il est reparti faire du commerce international dans des organisations en général privées aux objectifs clairs… Il a commencé à lire des livres d’histoire, pour essayer de comprendre, puis des ouvrages de réflexions plus ou moins philosophiques sur l’essence du régime républicain – c’était l’époque du bi-centenaire de la révolution française – et son mode de fonctionnement. Il a fini par comprendre qu’en assassinant Louis XVI la révolution avait sorti Dieu de la société et que sans Lui, elle ne pouvait être qu’un infini désordre que les associations secrètes tentaient d’organiser à leur profit.

Après sa cessation d’activité, par soucis de cohérence entre ses pensées et ses actes, il est allé voir un moine bénédictin d’une abbaye proche de chez lui, qui l’a guidé jusqu’à sa première communion en 2009 et sa confirmation en 2010 le jour de son 66ème anniversaire.

Bernard Gantois invité en 2020 (lors du confinement) sut TV Libertés :

11:17 Publié dans Nous avions un camarade... | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Les collabos de la République découvrent leur œuvre

469861147_1235832874366739_8583256276519539752_n.jpg

Thomas Joly - Président du Parti de la France

Il a fallu des décennies de silence, de lâcheté, de collaboration intellectuelle pour qu’enfin, nos dirigeants découvrent — avec des trémolos dans la voix et un ton faussement grave — que l’entrisme islamique gangrène les institutions, les écoles, les hôpitaux, les associations, les partis politiques eux-mêmes. Quelle révélation ! Quelle audace ! Ils tombent des nues comme des enfants stupéfaits de trouver de l’eau… dans la mer.

Ce que certains appelaient « théorie du complot » hier devient brusquement une « urgence républicaine ». Les lanceurs d’alerte, eux, n’ont pas changé de discours : ils sont simplement passés du statut de Cassandre à celui de visionnaires. Mais à quel prix ? Méprisés, diffamés, traînés dans la boue comme des « fachos », des « identitaires », des « racistes ». Pourtant, ils disaient la vérité. Une vérité simple : sans immigration massive, il n’y a pas d’islamisation de la France. C’est une évidence que seuls les aveugles volontaires, les juges rouges et les éditorialistes subventionnés refusaient de voir.

Car oui, l’islamisme ne pousse pas dans les champs de blé. Il arrive par bateaux, par avions, par regroupement familial, par l’asile détourné. Il infiltre parce qu’on a ouvert. Il conquiert parce qu’on a capitulé. La submersion démographique précède toujours la subversion idéologique. Ce ne sont pas les mosquées qui précèdent les prières, ce sont les fidèles.

Et maintenant que les Frères musulmans ont placé leurs pions partout, nos élites se découvrent une passion soudaine pour la laïcité. Fort bien. Mais alors allons jusqu’au bout. Si l’on dénonce l’entrisme islamique, qu’on ait le courage aussi de regarder du côté des autres réseaux d’influence. Ceux qui, sous couvert de philosophie, de morale républicaine, de « valeurs humanistes » ou de victimisation éternelle, tiennent les rênes du pouvoir profond. La République est peut-être en danger, à laquelle nous préférons d'ailleurs la Nation, mais elle ne l’est pas que d’une seule manière.

11:09 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Du Camp des Saints de Jean Raspail à Soumission de Michel Houellebecq, de l’anticipation à la réalité : Le rapport des services des renseignements

islam-france-730x430-1.jpeg

Michel Festivi 

Il y a des « romans » d’anticipations qui très rapidement dépassent la fiction et de très loin. Ce fut le cas pour 1984 de George Orwell, qui décrivait la main mise totalitaire sur la société par la surveillance généralisée, une novlangue obligatoire, et l’interdiction absolue d’émettre des idées contraires à la doxa, comme le wokisme islamogauchiste qui gangrène toute la société désormais. Nous en vivons aujourd’hui en Europe tous les stigmates liberticides. Et bien le rapport des services de renseignements de 73 pages, déposé sur le bureau de Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur, pour décrire l’emprise et la ramification des Frères musulmans sur la société française, démontre que les lanceurs d’alerte qui furent insultés et vilipendés, avaient une fois de plus raison, mais comme le disaient les romains il y a plus de 2 000 ans : Vox clamantis in deserto.

Le Camp des Saints, le livre choc de Jean Raspail date de 1973, il y a plus de 50 ans. Il y décrit l’invasion par le débarquement dans le sud de la France, de millions d’arrivants et concomitamment la lâcheté des autorités, incapables et paralysées, cela vous rappelle-t-il quelque chose ? Houellebecq dans Soumission publié en 2015, relate la victoire aux élections présidentielles du chef de « La fraternité musulmane », qui parviendra à se faire élire grâce au soutien de tous les partis politiques dits traditionnels face au candidat du « Front national », cela vous rappelle-t-il quelque chose également ? De là toutes une série de conséquences décrites par Houellebecq, islamisation des universités, obligation de s’affilier à la religion musulmane pour enseigner, légalisation de la polygamie, interdiction aux femmes de travailler, etc...

Anticipation, vous avez dit anticipation... C’est ainsi que sont qualifiés les « romans » de Raspail et de Houellebecq pourtant. Un homme politique d’origine bretonne et surnommé « le menhir », n’avait-il pas lui-aussi dès 1973, annoncé cette emprise qui se profilait ? Ces hommes ont subi toutes les avanies, tous les outrages, toutes les imprécations, de la part des aveugles et des sourds qui vont de la droite libérale et européanisée, à la gauche, au centre et aux macroniens. Que n’a-t-on pas entendu alors.

Que nous dit ce rapport, que les gens censés, vigilants, vivants avec les yeux ouverts ne savaient déjà ? Le préfet et l’ambassadeur, les auteurs de cette étude, ont au cours du premier semestre 2024, effectués de nombreux déplacements sur le terrain, en France et en Europe, rencontrés des dizaines d’universitaires, ainsi que des responsables musulmans, outre des échanges avec diverses autorités, des ministères.

Que mettent-ils en exergue ? Qu’une mécanique frériste très élaborée s’est mise en place depuis des années en France et en Europe, pour parvenir à l’islamisation de nos sociétés occidentales. L’article du Figaro qui analyse ce document évoque : « un pays miné de l’intérieur », « un important réseau d’implantations... 280 associations rattachées à la mouvance... ». Les analystes visent spécifiquement les cibles prioritaires des Frères, le secteur éducatif et l’université, les réseaux sociaux, le sport, le mouvement associatif.

Le voile est bien sûr « le porte-étendard » de l’action des Frères musulmans, le cheval de Troie. Une double organisation est révélée, une structure officielle, et une organisation islamique « uniquement connue des membres ». Le développement considérable de la filière halal : « la promotion de la finance islamique », en réalité tout ce qu’avait déjà parfaitement décrit l’anthropologue et chercheur au CNRS, Florence Bergeaud-Blackler, dans nombres de ses ouvrages, pour lesquels elle a reçu des menaces de mort, avec protection policière à l’appui, les menaces provenant notamment du milieu universitaire. La force de cette emprise : « Un solide noyau d’écoles confessionnelles, des associations caritatives foisonnantes et un puissant vivier de prédicateurs ». Et de souligner cette évidence qui ne peut échapper qu’à ceux qui vivent hors sol ou qui se refusent à examiner la réalité en face : « La recherche constante de légitimation et de respectabilité, les Frères musulmans avancent masqués pour créer de véritables écosystèmes ». Avec ce rappel opportun à l’adresse de nos autorités incompétentes, aveugles et sourdes : « Cette offensive frériste a commencé il y a quelques 70 ans ». Cela concerne donc tous les partis politiques qui se sont succédés au pouvoir depuis des décades. Ils ont tous failli, à aucune exception près, mais ils continuent à pérorer et à nous donner des leçons.

Le rapport dévoile aussi et à juste titre que : « le conflit israélo-palestinien, éternel ressort de l’antisionisme, voire d’un antisémitisme de plus en plus manifeste » joue un rôle considérable dans la poussée de cette nébuleuse, de cette toile d’araignées. Le tout sous une stratégie « d’implantation de la confrérie qui s’appuie sur la dissimulation, la quête de légitimation et la dénonciation de l’islamophobie ». Les enquêteurs confirment que cette tactique a permis l’entrisme dans toutes les institutions et notamment européennes, par « la dénonciation de l’islamophobie, la revendication de la pénalisation du blasphème, et le déploiement du halal. », Ces mêmes institutions européennes « sont également une source majeure de financement pour la mouvance. ». Bref tout ce que les patriotes et tenant d’une droite nationale dénoncent depuis des années, sans succès, les institutions bruxelloises faisant le jeu des islamistes, avec l’accord de la plupart des chefs d’état.

En fait, ce rapport ne fait que confirmer, ce que des personnalités courageuses n’ont fait que déclarer depuis très longtemps. Néanmoins, ce manuscrit-témoignage a un mérite, on ne pourra plus traiter ceux qui vitupèrent contre l’islamisation de la société, de furieux extrémistes, de dangereux individus qu’il faut faire taire par tous les moyens et d’ostraciser une partie de la population. Comme le proférait en 1928 Hassan-Banna, fondateur des Frères musulmans à Ismaïlia « Nous, les Frères musulmans, sommes comme un immense hall de gare dans lequel n’importe quel musulman peut entrer dans n’importe quelle porte... ». Comme le souligne l’article du Figaro du 20 mai « Les islamistes proposent un grand récit, face auquel « les valeurs de la république » ne suffisent pas ». Ce sont les valeurs de la nation, de la France, de notre histoire millénaire, de nos traditions, de nos coutumes, qu’il faut impérativement mettre en avant, car qui irait se battre pour une « république » qui a totalement failli ?

Avait-on besoin de ce rapport ? À l’évidence non, si nous avions eu des politiques déterminées et courageuses depuis 40 ans. On ne rappellera jamais assez la lâcheté incommensurable de Lionel Jospin et du gouvernement socialiste dans l’affaire du foulard de Creil en 1989, lâchetés et inconséquences suivies de bien d’autres, tant sous Mitterrand, Chirac, Sarkozy, Hollande et Macron. Mais oui, ce rapport a le mérite d’exister et de donner une sorte d’imprimatur officielle à ce que nous exprimons à juste titre depuis des lustres.

Et maintenant, que faisons-nous ? Peut-on croire un seul instant que les partis qui se sont succédés au pouvoir, et les hommes et femmes qui ont failli depuis 40 voire 50 ans seraient capables de renverser la table et d’opérer un revirement salutaire ? Je n’y crois pas une seule seconde. C’est à un changement radical de politique que ce rapport bienvenu doit nous conduire. Un préfet des Hauts-de-Seine, Alexandre Brugère, va publier un « témoignage » à la Fondapol qui s’intitule « Combattre l’islamisme sur le terrain ». Bruno Retailleau qui a préfacé cet ouvrage, le présente « comme un texte de combat ». Une phrase émerge du constat du Préfet « nous nous battons avec des sacs de plomb accrochés aux pieds ». Belle image que voilà, mais n’oublions pas que Bruno Retailleau est dans un parti qui a failli, totalement failli, et qui est en partie à l’origine de ces sacs de plomb.

00:35 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Allemagne. Acquittement éclatant pour l’AfD, fiasco retentissant pour le Système

Unknown.png

Wolfgang Hübner – Traduction par Nicolas Faure

Polémia cliquez ici

À mesure que l’AfD s’impose comme première force d’opposition en Allemagne, le pouvoir en place panique. Face à l’usure du discours officiel et à la défiance croissante du peuple, le régime choisit la répression plutôt que le débat. À travers une instrumentalisation flagrante du Verfassungsschutz, les élites politico-médiatiques ont tenté d’interdire le seul parti qui ose briser les tabous et remettre en cause leur hégémonie. Mais leur manœuvre autoritaire s’est soldée par un fiasco retentissant. Ce texte de Wolfgang Hübner traduit par Nicolas Faure, correspondant en Allemagne de Polémia, revient sur un épisode révélateur : celui d’un État aux abois, prêt à tout pour étouffer l’alternative démocratique que représente l’AfD.

Polémia

Une offensive politique qui tourne au fiasco

Dans le climat politique allemand tendu à l’approche des élections européennes, le gouvernement fédéral et ses relais institutionnels intensifient leurs efforts pour discréditer l’AfD, devenu premier parti d’opposition.

À la manœuvre : Nancy Faeser, ministre fédérale de l’Intérieur jusqu’en 2024, figure de proue du SPD et ancienne militante Antifa, qui a mobilisé le Verfassungsschutz (Office de protection de la Constitution) pour faire classer l’AfD comme « danger confirmé pour l’ordre démocratique ».

Ce travail de fichage politique, compilé dans un rapport de plus de mille pages, visait à justifier une procédure d’interdiction du parti.

Mais cette tentative spectaculaire vient de se retourner contre ses instigateurs : le dossier, jugé juridiquement creux et politiquement biaisé, s’est effondré, embarrassant jusqu’aux partisans les plus zélés de la répression.

Dans cet article incisif, le journaliste allemand Wolfgang Hübner démonte les ressorts et les conséquences de ce fiasco, qui se solde, de fait, par un acquittement politique retentissant pour l’AfD.

Le Verfassungsschutz, instrument de dérive autoritaire

C’est un échec cuisant pour le régime.

La montagne de documents - plus de mille pages - censée démontrer que l’AfD représenterait une menace « avérée » d’extrême droite vient de s’effondrer dans un silence embarrassé. Le projet d’interdiction du premier parti d’opposition, pourtant ardemment soutenu par une large frange politico-médiatique, s’enlise dans le ridicule. Même ses plus zélés promoteurs hésitent désormais à commenter ce désastre.

Et pour cause : toute personne ayant observé le fonctionnement du Verfassungsschutz, cet organe de surveillance politique travesti en service de renseignement intérieur, ne peut qu’être consternée par la vacuité des prétendues « preuves » accumulées. Loin d’être un bouclier démocratique, cette officine sous tutelle du ministère de l’Intérieur incarne l’un des instruments les plus inquiétants de la dérive autoritaire du régime. Faute d’efficacité, il serait temps de la dissoudre purement et simplement.

En cela, l’ancienne ministre de l’Intérieur Nancy Faeser (SPD), militante Antifa assumée, laisse derrière elle un héritage empoisonné. Avec son successeur de la CSU, elle aura tenté - maladroitement - d’installer une jurisprudence liberticide dans une Allemagne déjà malade de ses censures. Leur opération s’est retournée contre eux : en voulant criminaliser un parti d’opposition qui incarne la seule véritable alternative au cartel politico-médiatique, ils ont révélé l’ampleur de leur propre panique.

Vers un renforcement de l’AfD ?

Hier, au Bundestag, Alice Weidel a dressé un tableau sans concession des menaces réelles qui pèsent sur notre démocratie : censure, clientélisme, corruption, effondrement de l’État de droit. Aucun de ces périls n’émeut l’appareil de surveillance installé à Cologne. Ses 4 200 employés ont manifestement mieux à faire que de traquer la décomposition du régime. Leur cible demeure l’AfD, seule formation politique à poser les bonnes questions - et à proposer de vraies réponses.

Cette tentative avortée d’interdiction de l’AfD pose une question essentielle : qui, désormais, osera encore défendre sérieusement ce processus totalitaire ? Quels élus ? Quels médias ? Le silence gêné qui entoure ce fiasco en dit long sur la faillite morale de ceux qui prétendent incarner la démocratie. Car s’il fallait encore une preuve, c’est bien celle-ci : malgré des moyens illimités, l’État n’a pas été capable d’apporter la moindre preuve solide d’un danger « certain » venu de l’AfD.

En réalité, cet épisode grotesque marque une défaite stratégique majeure pour le système. En croyant pouvoir interdire une opposition légitime par la voie bureaucratique, il s’est discrédité. L’AfD sort renforcée - lavée des accusations les plus graves, et plus légitime que jamais dans son combat pour une Allemagne libre.

L’héritage Faeser ? Un acquittement politique retentissant. Et une preuve de plus que le seul extrême qui menace l’ordre démocratique… est celle du pouvoir en place.

00:32 Publié dans En Europe et ailleurs..., Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |