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dimanche, 05 mai 2013

Derrick interdit : et si on fermait Volkswagen ?

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Philippe David

Boulevard Voltaire

Horst Tappert, le célèbre inspecteur Derrick, a donc appartenu à la Waffen-SS. Aussitôt l’information révélée, la ZDF, qui produisait la série, a décidé de suspendre toute rediffusion de cette série – vendue dans une centaine de pays -, ce qui en fait, semble-t-il, la série non américaine la plus diffusée au monde. Quant à la chaîne néerlandaise Omroep MAX, elle a décidé de déprogrammer la série, tout comme France 3

Reste quelques questions. Si Derrick doit disparaître des écrans de la chaîne publique allemande au nom de la dénazification, il faudrait que nos voisins d’outre-Rhin fassent plus. Ils devraient, par exemple, fermer Volkswagen, fondée sous l’impulsion de Hitler, et qui fournissait les Kübelwagen à la Wehrmacht et à la SS.

Ils devraient aussi exiger la fermeture de ThyssenKrupp, leader européen de l’acier, puisque les deux familles Thyssen et Krupp finançaient le parti nazi et fabriquaient l’acier des chars et des balles qui semaient la terreur partout en Europe.

Il faudrait également dissoudre BMW et Mercedes, ces deux sociétés ayant fabriqué, entre autres joyeuseries, les moteurs des Focke-Wulf Fw 190 et des Messerschmitt Bf 109, les deux chasseurs les plus produits par l’Allemagne nazie pendant la Seconde Guerre mondiale.

Sans oublier, cela va de soi, la quasi-totalité de l’industrie chimique allemande qui fabriqua à cette époque une vaste gamme de produits, de l’essence synthétique au Zyklon B.

Enfin, si on bannit Horst Tappert des écrans, ne devrait-on pas également interdire la diffusion des « Carmina Burana » (Carl Orff ayant été le « compositeur officiel » du régime nazi), interdire les livres de Günther Grass (prix Nobel de littérature, qui fut lui aussi membre de la Waffen-SS), et bannir Heidegger des cours de philo de terminale (celui-ci ayant été adhérent au NSDAP) ?

Mais, peut-être qu’interdire Derrick d’écran cinq ans après sa mort devrait valoir à ceux qui pratiquent cette censure d’un nouveau genre la médaille de la Résistance…

23:02 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans Rivarol de cette semaine, un important article sur la réédition de "l'Historisme de Jacques Doriot et du PPF" édité par Les Bouquins de Synthèse nationale. Il y a quelques semaines, le Cercle Non Conforme de Lille consacrait un article à ce livre :

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Source Cercle Non Conforme de Lille cliquez ici

Bernard-Henri Lejeune, Historisme de Jacques Doriot et du Parti Populaire Français, Tome I : avant la défaite de 1940, Les bouquins de Synthèse Nationale, 2012

L’historisme de Jacques Doriot et du Parti Populaire Français est un recueil de documents paru en 1977 à l’initiative de Bernard-Henri Lejeune, qui fut militant de l’organisation de jeunesse du PPF et resta fidèle à son engagement toute sa vie. La première partie, préfacée par Roland Hélie, est parue en 2012 et la deuxième, inédite, va paraître courant 2013. Je vais porter une critique sur ce premier volet, qui présente la pensée de Jacques Doriot et de son parti jusqu’en 1940, année de la défaite française.

Les textes rassemblés permettent de mieux cerner la doctrine du PPF, mais également d’éclairer le contexte d’avant guerre, marqué par un ensemble de crises, politique, sociale, économique, géopolitique. Il m’est apparu à la lecture de ces 130 pages, qu’il est difficile de faire abstraction de notre temps présent, bien qu’il faille toujours se garder de diachronies simplificatrices.

Le livre présente de nombreux textes : le discours de fondation du mouvement, son programme, son organigramme, le chant du mouvement, et d’autres textes issus de meeting ainsi que quelques éclairages historiques postérieurs.

Le PPF porte une réflexion à la croisée des chemins. Le premier paragraphe du premier texte « Le rendez-vous de Saint-Denis », écrit par Pierre Drieu la Rochelle en est une parfaite illustration : « Ca ne marchera pas : il y avait des gens de droite dans la salle de la mairie de Saint-Denis qui regardaient des gens de gauche et qui leur souriaient. » assènent péremptoirement deux journalistes. « Erreur fondamentale, qui est dans chaque mot. » répond Drieu la Rochelle.

A la lecture de l’ouvrage nous sentons l’influence de la pensée socialiste (Proudhon, Fourier, Saint-Simon, …), malgré quelques freins à abattre totalement le capitalisme, ainsi qu’une très grande défiance face au communisme, incarné par l’URSS, ennemi numéro 1 d’après le PPF. Jacques Doriot, comme Drieu La Rochelle, dépeignent l’URSS comme une expérience socialiste ratée, qui a trahie la révolution ouvrière, où l’aristocratie bourgeoise a été supplantée par l’aristocratie soviétique. Le parti communiste français est présenté comme un mouvement piloté de l’extérieur par Staline, dépourvu de volonté propre et servant les intérêts de l’URSS avant ceux des travailleurs Français. Le chef du PPF parle même d’un « national-soviétisme » impérialiste. Il est utile de rappeler ici que Jacques Doriot fut un cadre du PCF, élu de la banlieue rouge à Saint-Denis et non un réactionnaire anti-communiste de droite. D’ailleurs le programme du PPF est clair, il veut combattre le « conservatisme social », favoriser l’émancipation des travailleurs, en permettant d’allier progrès technique avec progrès social tout en cherchant à éviter que l’homme soit au service de la technique. Autant de réflexions qui trouvent leur écho dans la pensée du XXe siècle.

Un autre thème du livre m’a semblé important, la position du PPF sur les colonies. A l’instar de la plupart des mouvements hexagonaux, le PPF est favorable aux colonies. Mais le PPF a une vision très intéressante à ce sujet. Particulièrement sur la situation de l’Algérie. Tout d’abord Victor Arrighi, ancien communiste, secrétaire du PPF et délégué à l’Algérie, s’oppose à l’assimilation, estimant que les « indigènes » doivent conserver leur culture propre et qu’ils ne deviendront jamais des Français, à quelques exceptions prêts. Il plaide en faveur de l’association (comme dans l’Empire britannique). Il en profite pour aborder le cas des Juifs, en particulier ceux d’Afrique du nord. D’après lui, l’antijudaïsme consistant à considérer que les Juifs sont tous des traîtres, des lâches, responsables de tous les malheurs est une erreur. En revanche, il pointe du doigt le décret Crémieux de 1871, qui a donné la citoyenneté française aux Juifs d’Algérie, estimant que ce fut ici une grave erreur, car les Musulmans refusaient d’être dirigés par des Juifs (révolte de El Mokrani) en plus de créer de nouvelles formes d’inégalités. Aussi, il n’hésite pas à dire que « le racisme, ce sont les Juifs qui l’ont inventé ». Ensuite, il s’insurge sur le fait que les gouvernements français successifs ont toujours favorisés le commerce extérieur au détriment du commerce des colonies. Ainsi, d’après l’auteur dont le discours fut prononcé au deuxième Congrès national du parti, la France achetait du vin Portugais ou Grec alors que les producteurs Marocains, Algériens et Tunisiens peinaient à vivre de leur production. Le raisonnement s’applique au commerce du coton ou du blé. Pour le PPF, la France, avec ses colonies, pouvait vivre de façon autarcique et favoriser en même temps le développement des territoires colonisés, les « indigènes » pouvant écouler leurs productions en métropole (en plus de créer à terme un marché intérieur aux colonies). Enfin, le PPF défendait la position selon laquelle les colonies devaient être la fierté de la France, ouvrir des perspectives à la jeunesse française et permettre de former l’élite de la nation. Le PPF avait aussi une idée claire sur le travail dans les colonies et s’insurgeait sur le fait que des métropolitains travaillent comme « composteurs de tickets de tramway » alors que les autochtones étaient en capacité d’occuper ses emplois sur leur propre sol. In fine, le parti avait la politique suivante, priorité aux emplois des Français puis priorité à celui des Musulmans face au travailleur étranger. Le PPF fut le principal parti d’Algérie et une bonne partie des élus du PPF le furent en Algérie. Des élus Français mais aussi Musulmans, selon la terminologie en vigueur à l’époque.

Un autre thème du livre, tout à fait d’actualité, a suscité mon attention. Il s’agit de la réflexion du PPF sur l’Etat. Le parti de Doriot n’hésite pas à trouver une filiation entre le Parti Jacobin de la révolution française et les états totalitaires* soviétique, allemand et italien, sur lesquels il exerce une critique. Le PPF, qu’on sent proche d’une certaine forme de fascisme, a pourtant une position sur l’état assez pondérée. L’état doit être fort et doit arbitrer les conflits sociaux et économiques. Nous percevons la vision d’un Etat régulateur, tellement honni par les libéraux. En revanche, le PPF est favorable à ce que les communes puissent avoir une certaine autonomie en matière sociale (proudhonisme ?) et à ce que les régions tiennent une place conformément à ce qu’était la tradition française d’Ancien Régime. L’Etat doit donc être fort, sans devenir « totalitaire », laisser une autonomie locale et séparer drastiquement les différents types d’élections. Drieu la Rochelle préconise ainsi dans un des textes proposé que le Président soit élu de façon indépendante des autres échelons et du Parlement. Toutes ses idées se retrouveront lors de la création de la Ve République… De fait le PPF ne se considère pas comme un « parti fasciste » mais comme un « Parti français » car, sans renier une certaine proximité avec le fascisme, il considère que chaque pays doit tracer sa voie selon sa propre tradition politique. Il fait le constat que les nationalismes se sont repliées sur eux-mêmes, au seul service de leur nation (Italie, Allemagne, Chine, URSS, etc…). Dans le programme politique déjà, une phrase courte, limpide, tranche la question comme un coup de poignard : « on ne peut pas faire d’internationalisme tout seul. »

A la lecture du livre, vous découvrirez bien d’autres aspects du parti, de la carrière politique et de la personnalité de Jacques Doriot, de son rapport avec les autres mouvements, de gauche comme de droite. La volonté de maintenir la paix, alors que le Traité de Versailles n’est plus respecté, que la SDN paraît impuissante et les politiques incapables de dialoguer avec l’Allemagne et d’empêcher l’ingérence du parti communiste. Mais en définitive, un chapitre m’aura particulièrement interpelé et m’apparaît comme une leçon de pensée politique française : « le mouvement et les hommes » (pp.65 à 74) où Jacques Doriot sur ces quelques pages donne sa vision sur ce que doit être un mouvement porteur d’idées et sur les hommes qui le compose. Il met en avant l’importance de l’idée et son maintien dans la durée sans céder aux turpitudes du temps. Le « Grand Jacques » délivre une pensée qui me semble particulièrement féconde et des principes sur lesquels un mouvement révolutionnaire se doit de reposer.

« La conquête d’un pays est plus difficile que la satisfaction d’ambitions personnelles. »

La lecture de cette première partie de l’historisme est donc particulièrement vivifiante et amène à se poser de nombreuses questions doctrinales autant qu’historiques. Le livre est enrichi d’un cahier photo noir et blanc présentant l’Emancipation nationale, journal dont Pierre Drieu La Rochelle était éditorialiste, ainsi que Jacques Doriot en tant que responsable politique, mais aussi dans sa vie personnelle. Nous regretterons juste le prix de l’ouvrage (18 euros), qui le rend peu accessible aux bourses des plus jeunes et des plus modestes.

* les discours du PPF utilisent le terme de totalitaire, je le reprends donc pour rester fidèle à la pensée du parti.

Jean

Note du C.N.C.: Toute reproduction éventuelle de ce contenu doit mentionner la source.

Le livre est en vente à Lille à la boutique Tribann cliquez là

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Roger Holeindre sera au Congrès nationaliste à Villepreux samedi 11 mai :

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1er mai solidariste à Bruxelles à l'initiative du Mouvement Nation

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Samedi 25 mai à Paris : la voie eurasiste...

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Samedi 25 mai, à Lyon : conférence de Tomislav Sunic

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09:55 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 04 mai 2013

Manifestation du dimanche 12 mai (10 h, Place de la Madeleine à Paris) : des cars de provinces sont organisés...

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Bouteflika exècre la France sauf… quand il est malade !

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Gabrielle Cluzel

Boulevard Voltaire cliquez ici

Nous venons de l’apprendre par Algérie Presse Service, Abdelaziz Bouteflika, hospitalisé au Val-de-Grâce depuis samedi, a rassuré et remercié les citoyens algériens. « Alors que je continue à recevoir des soins médicaux, je tiens à remercier Dieu tout-puissant de m’avoir permis de me rétablir et d’être à présent sur la voie de la guérison », a écrit le président de la République algérienne dans un message à l’occasion de la fête des travailleurs. « Je tiens également à rassurer mes chers compatriotes et à les remercier pour leurs prières et leurs messages de sympathie », a-t-il ajouté.

C’est drôlement gentil, ça, de penser à remercier tout ce monde-là. Mais l’agence algérienne de presse a sûrement oublié un petit paragraphe. Je ne vois nulle mention – comme c’est étrange – des médecins militaires français qui l’ont pris en charge, des contribuables français qui rémunèrent ces derniers, des pov’ soldats, dont certains revenaient peut-être blessés du Mali, que l’on a bien dû pousser un peu pour lui faire une place VIP, et de la République française toujours aussi bonne fille et hospitalière. Parce que, soyons clairs, si Abdelaziz n’avait réellement compté, pour sa guérison, que sur son Dieu tout-puissant et sur les prières et la sympathie de ses compatriotes, on ne voit pas bien pourquoi il aurait quitté son cher pays et se serait envolé fissa vers la France.

Il est vrai qu’étant mieux placé que personne pour connaître l’état des hôpitaux de son pays, il s’est peut-être dit que, pour lui aussi désormais, c’était la valise ou le cercueil. On peut aimer Allah et ne pas avoir envie de le rejoindre trop vite. Las, tout le monde n’a pas la latitude d’en faire autant. Car s’il peut remercier ses compatriotes d’avoir veillé sur sa santé, je ne sais si la réciproque est vraie. Quel que soit le regard que l’on puisse porter sur la colonisation en Algérie, il est néanmoins à peu près unanimement reconnu qu’il fut un temps où il n’était pas besoin d’être président de la République ni de faire partie de l’élite algérienne, pour être soigné, et bien soigné, par des médecins militaires français. Un temps où il n’était pas besoin de prendre l’avion pour cela. Enfin grâce à Dieu et à Bouteflika, tout cela est révolu.

Je ne sais du reste qui sort la plus humiliée de cette déclaration : la France, toujours cocue, toujours battue, toujours contente dès lors qu’il est question de près ou de loin de l’Algérie, s’empressant par la voix cauteleuse de son ministre des Affaires étrangères, Laurent Fabius, de souhaiter un bon rétablissement à Bouteflika, « qui en tant que président de l’Algérie, est un ami de la France » (autant vous dire que si la France n’a que des amis comme ça…) et se prenant, en retour, ce camouflet… Ou l’Algérie, dont le Président, sitôt qu’il se sent en petite forme — il a déjà été opéré fin 2005 à —, fausse compagnie à ses compatriotes, déserte les hôpitaux locaux tout juste bons sans doute pour la plèbe (je vous aime bien les gars, merci pour « vos prières et vos messages de sympathie », mais il faut bien dire que question médecine, vous êtes quand même de vraies billes…), et vient toquer — pourquoi se gêner — à la porte de la France qu’il va arrêter d’exécrer et de conspuer cinq minutes, juste le temps du scanner. Enfin vous savez ce que c’est, la santé, ça prime sur tout, même sur l’idéologie et la décence.

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HYPERCLASSE : le fils Fabius se fait encore griller...

thumb_small_thomas_fabius_pics_390.jpgSerait-il moins doué que son père ? « Déjà condamné en 2011 pour une affaire d’ »abus de confiance » dans laquelle il avait opté pour une procédure de « plaider-coupable », Thomas Fabius est de nouveau dans le collimateur de la justice.

Cette fois, le parquet de Paris s’intéresse aux conditions d’achat d’un somptueux pied-à-terre acquis l’an passé pour sept millions d’euros. En juin 2012, le fils de Laurent Fabius, tout juste âgé de 31 ans, s’offre l’ancien appartement du réalisateur Claude Zidi. Un 280 mètres carrés situé au 199 bis d’une des artères les plus huppées de la capitale. Thomas Fabius a expliqué au Point avoir financé son achat par un emprunt bancaire assorti d’une mystérieuse garantie. D’autres sources impliquées dans la vente évoquent des gains de jeu…

Comment le fils du numéro deux du gouvernement, qui ne paie pas d’impôt sur le revenu alors qu’il est résident fiscal en France, a-t-il pu acquérir un bien de sept millions d’euros sans que les services de Bercy cherchent à en savoir plus ? À notre connaissance, Thomas Fabius n’a fait l’objet d’aucune enquête fiscale. Et cela, malgré un signalement de Tracfin, le service chargé de repérer les circuits financiers clandestins. »

 

Source Le Point, via PdF cliquez ici

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vendredi, 03 mai 2013

Un colloque sur les municipales avec Jacques Bompard les 8 et 9 juin à Orange...

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18:01 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 11 mai, congrès nationaliste du Renouveau français à Villepreux...

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10:03 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 02 mai 2013

Journée Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale : la conférence politique (dimanche 28 avril, 16 h 00).


Robert Spieler, ancien député, fondateur de la NDP, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Filip Dewinter, député d'Anvers, porte-parole du Vlaams belang

23:29 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

VENDREDI, C'EST LE JOUR DE RIVAROL...

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3,50 €, chez votre marchand de journaux

23:28 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Samedi 25 mai, états-généraux contre le Hallal...

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Le samedi 25 mai 2013, à Paris, se dérouleront les Etats généraux du respect du consommateur et du bien être animal à l’abattoir.

Y seront abordés les thèmes de la production et distribution alimentaire de masse, du contrôle industriel et de la traçabilité, mais aussi de la dérogation halal et des risques sanitaires en découlant, ainsi que des absurdités gustatives. Tous ces thèmes formant un véritable enjeu de civilisation !


La journée est organisée par l’association Vigilance Halal, avec la participation de scientifiques, éleveurs, vétérinaires, associations de protection animale, journalistes, juristes et parlementaires dans un cadre pluridisciplinaire afin d’étudier toutes les facettes du problème.

Liste des premiers intervenants : (mise à jour au 30/04/2013)

Pr Sami Aldeeb, suisse d’origine palestinienne, professeur de droit arabe et musulman : "l'interdiction de l'abattage rituel en Suisse"

Dr Jean Louis Thillier, expert indépendant européen en toxicologie : "l'Escherichia Coli"

Dr Yves Lahiani, véterinaire praticien : étude comparative de l'abattage « moderne » et de l’abattage halal

Dr Alain Dubos, pédiatre,membre fondateur d’une association humanitaire (MSF) : "les risques du halal sur les enfants"

Me Dassa le Deist, avocat : "les recours juridiques".

Dr Jean Paul Richier, psychiatre : « souffrance animale : les traditions confrontées à la science, et leur influence sur la psychologie collective »

Nicolas Dhuicq, député de l’Aube : auteur d'un projet de loi sur l'étiquetage spécifique.

Pr Mouthon, de l'Ecole Veterinaire de Maisons Alfort

Denis Yvray, éleveur

Richard Roudier, syndicaliste agricole

Alain De Peretti, vétérinaire : bilan des actions menées par Vigilance Halal.

Prix d'entrée : 6 euros

Renseignements, inscriptions en ligne et pré-inscriptions cliquez ici

22:59 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 01 mai 2013

Journée Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale : la seconde table ronde (dimanche 28 avril, 14 h 30).

Luc Pécharman, NDP et organisateur de la réunion, Serge Ayoub, Porte-parole de 3e Voie, Roland Hélie, Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France

23:31 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Lundi dernier à Paris : la manif du Printemps français contre la répression policière

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Recherche « plan cœur » désespérément...

Randa Philippe ao-t 2010 Portrait.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Pour s’aimer, rien ne vaut notre époque, parait-il…

Oui, c’est certain. Quoique… Dans le même temps où des voix s’élèvent pour qu’on en finisse avec ce qui a toujours été le plus vieux métier du monde (la prostitution), les sites de rencontres pour célibataires foisonnent. Certains sont des « géants » (Meetic, Attractive World, etc.), tandis que bien d’autres sont plus confidentiels (euphémisme !)… Et il y a ceux dont on ne se lasse pas de découvrir les noms : adopteunmec.com, quiportelaculotte.fr, hommepansement.fr, adultere.fr, amours-bio.com, etc. ; on en passe et des plus folkloriques encore !

Tous offrent la possibilité de cet amour tant espéré, tant désiré, tant réclamé et si difficile, si fragile, si délicat… tous les lecteurs de Delly, de la collection « Arlequin » et de Guillaume Musso vous le confirmeront.

Et dans un autre registre qui se confond pour beaucoup d’aventuriers du cœur ou du corps – c’est selon et pourquoi pas compatible à l’occasion – tous les lecteurs des romans Pierre Louÿs, des Onze mille verges de Guillaume Apollinaire ou des bandes dessinées de Manara ; ils vous le confirmeront itou.

Bref, de tous temps, les femmes et les hommes ont été confrontés au même soucis pour « pécho »… pendant une heure, quelques années, voire une vie entière, « l’autre » idéal(e) et disponible. Surtout idéal(e). Ou surtout disponible, c’est selon.

Aujourd’hui, pour beaucoup, la grande partie de chasse se fait sur internet… En clair, on drague sans bouger de chez soi, en pantoufles et à l’économie, grâce à ces fameux sites pour célibataires à la recherche de la grande sensation, sentimentale ou orgamisque, comme jadis à celle du temps perdu…

Quoiqu’il en soit, c’est toujours la même histoire : on cherche l’âme sœur pour une nuit ou pour toute la vie, si on décele dans les « tchats », plus ou moins rapidement, la seule perspective d’un « plan cul » ou la réelle aspiration à convoler en juste couple, voire en justes noces si pas moyen d’y échapper.

Stéphane Rose s’est penché sur l’envers de ces « clics amoureux » dans un livre(1) peu optimiste sur cette pratique contemporaine.

À l’en croire, les désillusions sont grandes. Plus grandes, en tout cas, que la réalisation de ce qu’on est venu y chercher. Et en tout cas, peu gratifiant pour l’amour-propre de ces aventuriers de l’union amoureuse. Car on ne se vante pas plus de courtiser l’âme sœur sur le net que de fréquenter les dames (ou les messieurs) de petites vertues.

« C’est fun de dire qu’on chope des plans cul en ligne mais, pour l’amour, c’est comme si c’était trop noble pour être trouvé via Internet. Des sites comme Meetic et consorts ont d’ailleurs conscience de cette gêne. Depuis peu, ces sites organisent des “soirées spéciales où l’on peut rencontrer pour de vrai des célibataires”, dans un bar. Pour faire plus réel », constate l’auteur.

Tout change pour que rien ne change, finalement… Autrefois, on organisait des rallyes pour marier sa progéniture dans son milieu naturel(2), mais ce n’était et ne reste réservé qu’à une certaine classe sociale, coût de la plaisanterie oblige… ou on allait au bordel pour satisfaire ses envies les plus pressantes ou supporter plus facilement le quotidien de son mariage.

La drague virtuelle n’est donc pas la solution à cette insatiable, incessante – et pour une grande part de l’humanité à jamais inaccessible – quête d’une réunion « de deux forces contraires, parallèles et de même intensité. »

Et dangereux avec ça… Figurez-vous, rapporte encore Stéphane Rose, qu’« à titre personnel, (il a) presque toujours rencontré des femmes qui mentaient sur leur âge, leur poids, leur métier ou leur ville. Leur photo du profil avait été prise il y a dix ans ou sous un angle avantageux… mais le mensonge le plus commun, c’est de faire croire que l’on est libre. Beaucoup de gens vendent des débuts d’histoires d’amour et une fois qu’ils ont tiré leur coup, disparaissent. »

Franchement, on a peine à le croire !

 

Notes

(1) Misère-sexuelle.com, le livre noir des sites de rencontres, Ed. La Musardine/Document, 15 euros à paraître ; demain 2 mai !

(2) « Aujourd’hui, ils servent surtout à créer un réseau social et professionnel futur » (http://news.madame.lefigaro.fr).

23:13 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Journée Flandre - Artois - Hainaut de Synthèse nationale : la première table ronde (dimanche 28 avril, 11 h 30).


Arnaud Raffard de Brienne, spécialiste de la désinformation, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Lionel Baland, spécialiste des Droites nationales en Europe, Franck Abed, écrivain monarchiste et catholique

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