samedi, 18 mai 2013
Revue de presse : Sexes et races, deux réalités
Nancy Huston
et Michel Raymond
Le Monde cliquez ici
Sciences humaines et sciences naturelles ne font pas bon ménage. Quand les biologistes s'aventurent dans les domaines de l'anthropologie et de la psychologie, ils extrapolent souvent abusivement des causes matérielles aux conséquences sociales. L'homme fait certes partie de la nature, mais les lois biologiques expliquent-elles tous les comportements ? L'hérédité est certes un facteur puissant, mais comment nier que l'histoire des sociétés comme celle des individus a un impact sur notre identité ? Les analyses sociobiologiques des arts et des cultures, à force de se croire capables de tout expliquer à leur aune, laissent souvent sceptique.
Du côté des sciences humaines et sociales, c'est moins la boulimie que l'anorexie qui fait des ravages : penseurs et philosophes contemporains semblent avoir adopté pour devise la célèbre formule "Commençons par écarter tous les faits". D'où vient cette cécité volontaire, obstinée, parfois loufoque, vis-à-vis des sciences naturelles ? En grande partie, bien sûr, de la catastrophe qu'a représentée, au XXe siècle, l'interprétation finaliste de la découverte darwinienne, qui a débouché sur l'idéologie nazie et sur sa traduction dans le réel.
Hitler croyait au déterminisme biologique, Hitler était un salaud, donc le déterminisme biologique n'existe pas : le caractère spécieux du raisonnement saute aux yeux. On aurait pu aussi bien tirer la conclusion inverse à partir des pratiques adoptées en Russie communiste au cours des mêmes années, où l'on envoyait les généticiens dans les camps et idolâtrait l'agronome Trofim Lyssenko (1898-1976), d'après qui l'hérédité était inexistante et la nature des plantes pouvait être modifiée à volonté par les conditions environnementales et les hommes. Malgré ces excès, l'idée que l'intervention volontariste peut être utile n'a pas été pourfendue autant que celle de la pertinence du biologique.
UNE DIFFÉRENCE BIOLOGIQUE
Certains domaines sont tout simplement désossés de toute influence biologique ; la thèse qui en résulte n'est pas bien différente d'une mythologie moderne. Ainsi de l'idée selon laquelle toutes les différences non physiologiques entre hommes et femmes seraient construites ("la théorie du genre", introduite depuis peu dans les manuels scolaires français). Dans le monde vivant, mâles et femelles diffèrent toujours biologiquement, y compris pour une partie de leurs comportements, car chaque sexe a une façon spécifique de se reproduire, ainsi chez les gorilles, chimpanzés et bonobos, dont nous sommes les plus proches cousins.
Quelle force mystérieuse aurait effacé ces différences dans notre espèce à nous ? Les faits, quand on cherche à les connaître, nous montrent que déjà à la naissance – donc avant toute influence sociale – filles et garçons n'ont pas les mêmes comportements. Et comment ne pas reconnaître que le pic d'hormones de la puberté, que partagent les adolescents humains avec les adolescents chimpanzés, a une origine biologique et un effet marqué sur les comportements ? A cela s'ajoute bien évidemment une forte intervention sociale, qui aura le plus souvent tendance à exacerber les différences biologiques.
Autre exemple : celui des différences entre groupes humains. Il existe une multitude de races de chiens, neuf sous-espèces de girafes, quatre de chimpanzés, quelques variétés de mésanges bleues, une liste impressionnante de sous-espèces de ratons laveurs. Quel que soit le mot employé, il s'agit là de différences génétiques. Et chez Homo sapiens ? La fiction actuellement à la mode nous assène que les différences génétiques entre groupes humains sont proches de zéro, que la notion de race est scientifiquement infondée.
"AUSSITÔT TAXÉ D'ESSENTIALISME"
Idée aussi généreuse dans ses intentions politiques que farfelue sur le plan des faits. La diversité de l'espèce humaine est grande : une partie de notre héritage génétique est largement partagée, mais une autre est caractéristique de groupes géographiques. D'ailleurs, il suffit de séquencer le génome d'un inconnu pour savoir d'où proviennent ses ancêtres. Comment nommer ces différences ? Le mot "race" fait peur – il va du reste prochainement disparaître de la Constitution française, on se demande s'il sera suivi par "sexe" –, mais peu importe le terme, il s'agit de ne pas enseigner des inanités.
Ces mythes modernes ont en commun avec les religions de reposer sur la dénégation tranquille de faits physiques et biologiques avérés et irréfutables. Ils ont aussi en commun avec les religions de nous flatter et nous rassurer sur notre statut "unique", "choisi", "élu" parmi les espèces terriennes : loin de faire partie du règne animal et de la nature, nous assurent-ils, les humains jouiraient d'un statut à part. Les races et les sexes, c'est bon pour les plantes et les animaux. Nous, on est supérieurs ! On décide de notre propre sort !
Cet orgueil inné de l'humain est particulièrement coriace en France, où il se combine avec la certitude nationale de disposer d'une intelligence exceptionnelle. Ainsi les faits biologiques ont-ils tendance, ici, à être instantanément traduits en concepts philosophiques.
Si vous affirmez l'existence chez les humains de deux sexes, plutôt que d'un seul ou de toute une kyrielle, vous êtes aussitôt taxé d'"essentialisme". Pourtant, dire que seules les femmes ont un utérus, ou que les hommes ont en moyenne un niveau de testostérone plus élevé qu'elles, ce n'est ni spéculer quant à l'"essence" de l'un ou l'autre sexe, ni promouvoir une idéologie sexiste, ni décréter l'infériorité des femmes par rapport aux hommes, ni recommander que les femmes soient tenues à l'écart de l'armée et les hommes des crèches, c'est énoncer des faits ! Des faits qui, en l'occurrence, ont eu un impact décisif sur l'histoire de l'humanité – son organisation sociale (patriarcat), familiale (mariage, primogéniture), politique (guerre). Nier la différence des sexes, c'est s'interdire toute possibilité de comprendre, donc d'avancer.
L'IDENTITÉ, RÉSULTAT DE NOS INTERACTIONS
De même, affirmer que Homo sapiens, à partir d'une même souche africaine voici soixante-dix mille à cent mille années, a évolué de façon relativement autonome dans différentes parties du globe et s'est peu à peu diversifié en sous-espèces, ou variétés, ou – pardon ! – races différentes, ce n'est pas une opinion, encore moins un décret politique, c'est une simple réalité. Elle n'implique aucun jugement de valeur ; la génétique moderne se contente de décrire.
Le racisme hitlérien, scientifiquement aberrant, s'enracinait – comme toutes les autres formes de racisme – dans des convictions autrement anciennes et tribales.
Notre identité biologique est elle-même le résultat, non seulement de l'hérédité, mais aussi de l'interaction avec le milieu dans lequel nous vivons. Depuis des millénaires, les populations humaines se sont adaptées au terrain, au climat et aux conditions de vie extrêmement variables d'une partie du globe à l'autre. Aujourd'hui, les différentes populations humaines n'ont ni la même pilosité, ni la même couleur de la peau, ni les mêmes maladies et systèmes de défense contre celles-ci.
Les médecins savent qu'il existe une variation dans la réponse aux médicaments – les psychotropes par exemple – selon le groupe auquel appartient le malade. Les Inuits sont adaptés au froid, tout comme les sherpas de l'Himalaya sont adaptés à la vie en altitude. Même si des traits culturels interviennent également, ces adaptations sont génétiques.
DÉPASSER UNE CÉCITÉ RÉCIPROQUE
L'évolution ne s'arrête jamais. Ces différents groupes humains donneront-ils à l'avenir de véritables espèces ne pouvant plus se croiser ? C'est une possibilité, assez banale dans l'histoire des mammifères et plusieurs fois observée dans notre lignée évolutive récente. A l'inverse, si les reproductions entre les groupes actuels deviennent très fréquentes, cela pourrait homogénéiser l'ensemble. On en est bien loin, même aux Etats-Unis. A l'heure actuelle, donc, les groupes humains génétiquement différenciés existent.
Soulignons au passage que la différence des sexes est d'une autre nature que celle-là, car les sexes ne se métissent pas : en croisant un mâle et une femelle, on n'obtient ni un hermaphrodite ni une transsexuelle mais, dans la quasi-totalité des cas, un mâle ou une femelle. La connaissance du vivant n'a pas à se soumettre au choix politique entre droite conservatrice, qui exagère toujours le poids du donné, et gauche révolutionnaire, qui croit tout transformable. Il est temps de passer outre ces réponses simplistes à des questions infiniment difficiles, car si nous continuons à ignorer et à maltraiter le monde, nous risquons de compromettre nos chances de survie. L'antagonisme entre nature et culture est intenable. L'être humain est un animal pas comme les autres : pas facile d'accepter vraiment les deux parties de cette phrase en même temps !
Comme l'on ne disposera jamais d'un discours unique, capable de rendre compte de sa complexité, au lieu de se cantonner dans le sectarisme et le dogmatisme qui conduisent à la cécité réciproque, nous avons tout intérêt à partager nos différents savoirs. Ceux d'entre nous qui gagnent leur vie par la pensée devraient donner l'exemple en matière de modestie et de curiosité.
Auteurs
Née à Calgary au Canada, Nancy Huston vit à Paris depuis 1973. Romancière et essayiste, son dernier ouvrage paru est "Reflets dans un œil d'homme" (Actes Sud). En août paraîtra son nouveau roman, "Danse noire", chez le même éditeur.
Directeur de recherches au CNRS, Michel Raymond est spécialiste de biologie évolutionniste à l'Institut des sciences de l'évolution de Montpellier. Dernier livre paru : "Pourquoi je n'ai pas inventé la roue" (Odile Jacob, 2012). Il est aussi connu pour ses travaux sur la génétique de l'adaptation.
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Revue de presse : Jean-Yves Camus, «L’ultradroite est une nébuleuse»
Le politologue expert de l'extrême droite décrypte la pluralité des mouvements radicaux en marge du FN.
Recueilli par Amandine CAILHOL
Libération cliquez ici
Jeudi soir, environ 400 militants anti-mariage pour tous s'étaient donné rendez-vous place de la Sorbonne (cliquez ici). Parmi les manifestants, des mouvements qui se veulent pacifistes – les Veilleurs, Camping pour tous, les Hommen ou encore les Salopards. Mais aussi, quelques éléments plus radicaux, venus se greffer ; l’appel au rassemblement ayant notamment été relayé sur les réseaux sociaux par les Jeunesses nationalistes. Des groupuscules issus de l’extrême droite sont en effet présents depuis quelques mois en marge de la contestation du mariage homosexuel.
Dimanche dernier, ces mouvements se sont rassemblés à Paris, à l’occasion du défilé annuel de l’ultradroite pour commémorer Jeanne d’Arc, — qui donna lieu à une confrontation avec les Femen (cliquez là). Entre eux mais séparément : au fil de cette journée, cinq cortèges s’étaient succédé – les Jeunesses nationalistes et l’Œuvre française d’un côté, partis de la place de la Concorde, l’Action française et les royalistes, en provenance d’Opéra, le Renouveau français, venant de Madeleine, suivi d’un cortège présenté comme unitaire, regroupant Europe identitaire, la Nouvelle droite populaire, les Jeunes nationalistes révolutionnaires (JNR), Troisième Voie et divers petits mouvements, et enfin, en début d’après-midi, les membres de Civitas qui s’étaient donné rendez-vous sur la place Saint-Augustin.
Jean-Yves Camus, politologue français, spécialiste de l’extrême droite, suit ces mouvements depuis de nombreuses années. Des groupuscules aux positionnements variés qui ont trouvé une certaine tribune lors des Manifs pour tous et des actions du Printemps français. Regroupés sous l’étiquette extrême droite ou ultradroite, leurs lignes idéologiques ne sont pourtant pas toutes identiques. Jean-Yves Camus, en revenant sur cette manifestation du 12 mai 2013, relativise l’unité de ces mouvements qui restent éclatés.
Plusieurs mouvements d'extrême droite se sont illustrés en participant à la contestation du mariage pour tous, en marge des diverses manifestations. Pourquoi cette mobilisation ?
Ces différents groupes étaient tous opposés au projet de loi ouvrant le mariage et l’adoption aux personnes de même sexe, mais pas pour les mêmes raisons. Pendant les principales manifestations, le Renouveau français et l’Action française étaient plutôt présents sous la bannière Printemps français. Ils fustigeaient la destruction du sacrement de l’institution du mariage et de la famille. De leur côté, l’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes étaient mobilisés pour lutter contre la destruction de la base de la société, sans pour autant se référer à la religion. Les JNR et Troisième voie, quant à eux, n’étaient pas présents, ou seulement à titre individuel.
Dimanche dernier, l’ultradroite, bien que découpée en différents cortèges, s’est donné rendez-vous le même jour autour de Jeanne d’Arc. Qu’est-ce qui unit ces différents mouvements ?
Ceux qui ont défilé dimanche partagent un minimum commun : l’opposition au système et aux partis qui le font vivre. Ils se placent en opposition contre l’ensemble de l’échiquier politique, jusqu’au Front national. A ce sujet, une première divergence existe, mais la grande majorité de ces groupes est désormais très critique à l’égard de ce qu’est devenu le parti depuis l’arrivée de Marine Le Pen, notamment sur la question de la composition ethnique de la France et, plus largement, sur le style employé. Certains l’accusent d’avoir fait trop de concessions au système. La démarcation est de plus en plus visible entre l’ultradroite et le FN.
Dans quelles mesures s’éloignent-ils les uns des autres ?
L’ultradroite est une nébuleuse composée de diverses sensibilités. Les divisions portent notamment sur la nature du régime défendu : sur ce point, le clivage est net entre les royalistes de Civitas et de l’Action française et ceux qui promeuvent un régime certes autoritaire, mais non monarchiste. Autre division : le poids de la religion. Le Renouveau français est clairement dans une tradition catholique. A l’inverse, pour d’autres mouvements, le combat est d’abord celui du nationalisme ; la question de la doctrine religieuse n’étant pas ou peu présente. Dans cette mouvance, Troisième Voie et les JNR se présentent comme des nationalistes révolutionnaires : ils sont contre la mondialisation, le libéralisme, la financiarisation, la dérégulation, l’argent. Dans leur revendication, la priorité est donnée aux problématiques économiques et sociales.
Les références qu’utilisent certains sont parfois empruntées à la gauche. Dimanche dernier, Serge Ayoub de Troisième Voie se félicitait même du programme du Front populaire...
Serge Ayoub fait surtout référence à la notion d’Etat social. C’est un appel à un socialisme populaire, au solidarisme, qui ne doit pas être confondu non plus avec le national socialisme. Citer le Front populaire reste cohérent, même s’il y a un certain anachronisme si l’on se souvient du comportement de l’ultradroite de l’époque à son égard. Il y a recherche d’une synthèse, à la manière de Jacques Doriot, fondateur du Parti populaire français dans les années 1930. En fait, ces partis ne pensent pas tant en termes de division gauche versus droite, mais plutôt centre contre périphérie. Le centre, ce sont les partis qui gravitent dans le système, les libéraux de gauche comme de droite. La périphérie, ce sont eux, les opposants au système politico-économique libéral. Pour autant, aucun amalgame n’est possible entre l’extrême droite et l’extrême gauche. La grande distinction repose sur la définition du peuple français. L’ultradroite se différencie par son antimulticulturalisme. S’il peut y avoir des convergences sémantiques entre les deux sur le discours d’opposition au système, elles restent superficielles.
Richard Roudier du Réseau identité et de la Ligue du midi, disait, lui, devant la statue de Jeanne d’Arc : «Je préfère défiler sur la place rouge avec Poutine que manger un hamburger halal avec Obama devant la Maison Blanche.»
Il s’agit d’une phrase empruntée à Alain de Benoist [figure emblématique du mouvement de la «Nouvelle Droite», ndlr], légèrement détournée. Elle souligne l’opposition de Richard Roudier à tout ce qui symbolise l’Amérique, de l’économie de marché à la politique de melting pot. La phrase originale a été formulée dans les années 1980 : bien sûr, Roudier est profondément anticommuniste, et s’éloigne ici de l’URSS. Pour autant, la Russie de Vladimir Poutine, pays vu comme européen, son aspect autoritaire et dirigiste lui font écho.
Peut-on parler d’un certain éloignement entre ces divers groupes ?
Lors des cérémonies pour Jeanne d’Arc, les groupes défilent, depuis longtemps, le même jour, conjointement, mais tout en essayant de ne pas trop se coller les uns les autres. Cette année, il y avait une tendance à l’éparpillement, à l’effritement. L’enjeu, c’est aussi la visibilité : il s’agit de montrer quel cortège sera le plus dense, quel groupe poussera la contestation le plus loin. Une certaine concurrence demeure. Et puis, ces mouvements ont une tendance intrinsèque à la groupusculisation. Ils représentent au maximum 3 000 personnes à l’échelle nationale, avec quelques entités un peu plus visibles et plusieurs micro groupuscules de quelques personnes seulement.
Quelle est l’ambition de ces mouvements et de leurs leaders ?
Certains participent au système électoral, c’est le cas de la Nouvelle droite populaire qui a présenté des candidats aux dernières élections régionales et législatives. La ligue du Midi, ainsi que Troisième Voie sont également dans cette logique, et Civitas a annoncé son souhait de participer aux élections municipales de 2014. Mais cela demande des moyens qu’ils n’ont pas. En dessous d’un seuil de voix, ils ne peuvent pas se faire rembourser les frais de campagne, ce qui rend compliqué cet objectif électoral. En général, les élections sont plus une tribune pour se faire connaître. Ils ne sont pas en mesure d’aller jusqu’au bout et sont conscients qu’ils ont plus de chance de progresser par la contestation, en dehors de l’expression du système électoral. Leur objectif est surtout de faire vivre leurs idées. Ce sont des militants pour qui le pouvoir importe peu. Ils veulent surtout maintenir une tradition. Porter la flamme.
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Lyon ne veut pas de Taubira sur son sol...
18:49 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Mobilisation pour l’abrogation de la loi Taubira...
Un communiqué du Parti de la France :
La précipitation du pouvoir socialiste à promulguer la loi sur le mariage homosexuel et la filiation adoptive pour les couples homosexuels ne doit pas affaiblir la détermination des Français à restaurer le modèle familial basé sur l’union naturelle d’un homme et d’une femme et sur la filiation naturelle.
L’objectif légitime des défenseurs de nos valeurs de civilisation, du droit de l’enfant à avoir une mère et un père ainsi que du modèle familial naturel doit être dorénavant l’abrogation de l’infâme loi Taubira.
Le Parti de la France appelle donc ses militants et sympathisants à participer aux manifestations du 26 mai prochain et s’associera à toutes les actions futures visant à abroger la loi Taubira et à sanctionner politiquement les parlementaires qui en ont été les promoteurs et les complices.
18:19 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Après la validation par le Conseil constitutionnel de la Loi Taubira...
Le conseil constitutionnel vient de valider l'inique loi Taubira en estimant "qu'elle n'était contraire à aucun principe constitutionnel" dans le sens où cette loi " n'interessait ni les droits, ni les libertés fondamentales..."
Le pouvoir par la voix du conseil constitutionnel aura donc ignoré une fois de plus avec mépris et autisme non seulement le bon sens élémentaire mais aussi l'intérêt général de la société toute entière que cette loi va contribuer à détruire en dénaturant le mariage et en défigurant la famille.
Le conseil constitutionnel composé à majorité de personnalités de "droite" nommées par l'UMP, aura donc, sans surprise, emboité le pas au législateur et à l'éxécutif socialiste dans leur entreprise concertée de destruction de la famille, c'est à dire, in fine, de la France.
Sans vergogne, ce même conseil aura donc piteusement avalisé une loi qui au nom de l'égalité privera certains enfants de la liberté fondamentale et du droit d'avoir un papa et une maman, créant ainsi de nouvelles inégalités dans notre pays. Il aura été suffisament répété qu'une différence de situation pour des adultes ne permettait pas une égalité de droits.
Que pouvait-on attendre de mieux de Jean-Louis Debré, grand ténor du "gaullisme" et de la "droite", si ce n'est un atavisme familial. Son père Michel Debré qui après avoir été un défenseur farouche de l'algérie française et qui pourtant a participé en tant que premier ministre à son abandon, est l'icône et la parfaite illustration de la "droite" UMP qui ces dernières semaines s'est débattu pour faire croire à son attachement artificiel aux valeurs traditionnelles de notre société tout en ne cherchant simplement qu'à instrumentaliser la saine réaction populaire contre les folles dérives du gouvernement socialiste.
Ce soir, tout en appelant à la "responsabilité", le président de la République vient d'annoncer qu'il promulguerait dès demain cette loi contre nature qui en détruisant la famille mettra en péril l'équilibre sociétal et menace par là, la paix civile dans notre pays.
Une loi doit servir le bien commun de la société et en aucun cas nous ne reconnaitrons qu'une telle loi mérite obéissance ou respect.
C'est ce même président de la république qui a affirmé hier lors d'une conférence de presse vouloir "laisser une trace" de son mandat dans l'histoire. Cette trace ce sera la ruine organisée de notre société et un changement de civilisation qui nous conduit vers une "culture de mort".
Nous appellons tous les défenseurs de la famille à ne pas se décourager ou se démobiliser par les effets d'annonces calculés d'un pouvoir tous les jours un peu plus aux abois. Car par ailleurs la situation économique, sociale, sécuritaire ne fait que se dégrader et tôt ou tard la réalité s'imposera.
Mais nous, le Pays réel, nous pouvons contribuer par notre mobilisation persévérante au retour du bon sens et des valeurs qui ont fait l'âme et la grandeur de notre pays.
Si vraiment cette infâme loi Taubira "n'est contaire à aucun principe constitutionnel" et bien c'est qu'il est temps de changer de constitution!
Cette décision du conseil constitutionnel, composé de ténor de la "droite", d'avaliser cette loi infâme défendue par la "gauche", prouve une fois de plus que désormais le clivage "droite-gauche" est entré dans l'histoire.
La réalité du clivage actuel c'est "Pour ou Contre" la pourriture révolutionnaire véhiculée et illustrée par mai 68 et ses protagonistes.
Un printemps français est en marche qui au lieu de s'essoufler doit se transformer en un profond sursaut puis en un tsunami contre-révolutionnaire.
Dans ces heures les plus sombres de notre histoire, nous prions Notre Dame de France et sainte Jeanne D'arc d'accorder à notre pays de se redresser et de donner à tous les patriotes et catholiques Français le courage de défendre la famille sans défaillir et sans se résigner.
Selon le président de la république cette loi inique sera une loi "de consensus, de réconciliation et de progrès".
Alors le 26 mai à Paris aux cotés de Civitas et de nombreuses associations, venez exprimer sans concession et avec détermination ce que les défenseurs de la famille pensent du prétendu consensus et du prétendu progrès, véhiculés par cette loi contre nature.
Venez dire à ce gouvernement qu'il n'y aura pas de réconciliation possible au détriment des plus faibles, ceux qui doivent être protégés, c'est à dire les enfants.
Venez dire stop aux arnaques et aux folies de la droite et de la gauche.
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Un projet de loi sur l'immigration avant l'été...
Source Le Point cliquez ici
Un projet de loi sur l'immigration sera présenté au Conseil des ministres "avant l'été", a annoncé mardi soir Matignon dans un communiqué. Le député PS Matthias Fekl a remis mardi à Jean-Marc Ayrault un rapport sur l'immigration, qui préconise notamment de généraliser les titres de séjour de quatre ans pour faciliter la vie des étrangers et désengorger les préfectures.
"Le gouvernement a souhaité aborder la question de l'immigration avec un esprit d'apaisement et de responsabilité", souligne Matignon dans un communiqué.
Stopper les "réformes incessantes"
"Tous ces éléments participent d'une volonté du gouvernement de réorienter la politique d'immigration de notre pays en privilégiant la concertation et l'analyse plutôt que les réformes incessantes et finalement inefficaces", ajoutent les services du Premier ministre. Parmi les pistes étudiées par M. Fekl, "le projet de création d'un titre pluriannuel de séjour constituera, conformément à l'engagement du président de la République, une des dispositions de la future loi relative à l'immigration qui sera présentée en Conseil des ministres avant l'été".
"Les propositions qu'il contient alimenteront le travail interministériel qui permettra d'aboutir à la présentation par le ministre de l'Intérieur du projet de loi immigration", conclut Matignon.
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A propos de la manifestation de l'Union sacrée des patriotes, dimanche dernier...
Un communiqué de Thierry Maillard, porte-parole du réseau France Nationaliste :
Ce dimanche 12 mai 2013, l'Union Sacrée des Patriotes Français a donné toute sa mesure de mobilisation, de sérieux et de dignité pour l'ensemble des nationalistes et solidaristes unis et face au Système dans l'adversité en déjouant une grotesque provocation gouvernementale de MM. Hollande, Ayrault et Valls.
En effet, pour tenter de casser l'Hommage à Jeanne d'Arc, Patronne de la France, et l'Hommage à Sebastien Deyzieu par le c9m, le ministricule de la police Valls, téléguidé par le lobby homosexualiste LGBT, pro-américain, anti-russe et anti-français, n'a trouvé comme mercenaires du Système et de l'Empire du $ que quatre (4 !) putains des FEMEN de Haine pour provoquer les patriotes unis lors de leur manifestation parisienne annuelle principale du 2ème dimanche de mai !
Honte aux valets du Système PS inverti et partouzeur, qui ont servi les exploiteurs du Peuple et la Police de la pensée en réalisant cette lamentable provocation anti-nationale ! Les putes des Femen ont braillé leur haine communautariste de la France et des Français, les Patriotes sont passés ! Et la provocation politico-policière du PS parti sioniste - LGBT a échoué par l'intervention rapide et opérationnelle des JNR, SO de Troisième Voie et de la manifestation de l'Union Sacrée des Patriotes, empêchant que la Fête et l'Hommage ne soient gâchés par 4 pétasses payées par le Système et par une police chargée de nous réprimer face à la réaction naturelle d'indignation des patriotes et des nationalistes présents aux pieds de la statue de l'Héroïne de la Patrie, incarnation de la jeunesse française et symbole du Peuple en armes !
Alors oui HONNEUR aux JNR, qui ont déjoué cette ignoble provo des putains de la Répoubelle, protégeant les militants des gaz, des coups des CRS de Valls et Hollande, chargées de nous triquer et de nous embarquer, ce qui aurait entaché et empêché la fin de la manifestation unitaire et les discours vigoureux des orateurs patriotes ! Alors, n'en déplaise aux chochottes, aigrefins et autres coupeurs de poils de cul en quatre qui se plaignent de la réactivité virile du SO des patriotes VIve le JNR ! HONNEUR aux JNR !
13:56 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La vérité sur le "révolutionnaire" Mélenchon !
Source PdF Calvados cliquez ici
Dans son dernier ouvrage Le trotskisme dégénéré (Les Bouquins de Synthèse nationale, 2013, cliquez ici), l'ancien trotskiste caennais Patrick Gofman, désormais sympathisant de la cause nationale, se paie (entre autres) Jean-Luc Mélenchon dans son chapitre Quelques asticots sur la charogne trotsko-lambertiste :
"Jean-Luc Mélenchon est de ceux qui m'inspirent la plus vive répugnance. Son opportunisme et son carriérisme, à peine voilés par un fumigène rouge, me semble des plus salement cyniques. Dirigeant de la secte Lambert à Besançon de 1972 à 75, il ne tarde pas à découvrir de quel côté son assiette est beurrée, adhérent au PS dès 1977. Et dès 1986 - il a 35 ans - la sieste commence pour lui au Sénat ! Pour un bon quart de siècle, au cours duquel le Damné de la Terre encaisse :
Traitement mensuel : 7.100,15 euros dont
Indemnité parlementaire de base : 5.514,68 euros bruts
Indemnité de résidence : 165,44 euros bruts
Indemnité de fonction 1.420,03 euros bruts
A ce traitement s'ajoutent :
- Indemnité de frais de représentation : 6412 euros bruts (6037,23 euros nets). Somme forfaitaire sans justificatif et non imposable. Soit un revenu par sénateur de 13.512,15 euros.
- Rémunération de 1 à 3 assistants (à temps plein) : 7.548,10 euros bruts.
- Subvention mensuelle aux groupes politiques : 1.330,02 euros par sénateur.
- Supplément familial de traitement
Avantages en nature :
- Accès gratuit au réseau SNCF (1re classe)
- Taxis gratuits à Paris
- Bureau individuel
- Ordinateur, internet, 4 lignes téléphoniques, courrier
- Quotas de transports aériens (40 A-R Paris/Circonscription)
- Prêts d'aide au logement (pour 2008 : montant moyen 94 000 euros, taux moyen 2%)
La moitié de ce pactole est imposable.
Retraite : pension mensuelle moyenne de retraite au 1er septembre 2011 de 4.442 euros nets. Le droit à la pension est ouvert dès 60 ans.
La belle au bois dormant est réveillée en sursaut en 2007 par le fracas de l'effondrement stalinien : 01,93% dans le Buffet. Les Sept Nains trotskistes récoltent 05,75% à trois. Mélenchon calcul probablement qu'il lui sera facile de capter les suffrages de tous ces minables. Il fonde son Parti de Gauche l'année suivante, 2008 ; et collecte bel et bien 11,10% à la présidentielle 2012."
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Il y a 35 ans : KOLWEZY !
Pieter Kerstens
Le 19 mai 1978 débutait l’opération “Léopard”, celle qui a vu l’armée française sauter à Kolwezi et qui a permis par la suite de l’engager au Liban, d’intervenir dans le Golfe, sauver des otages en Afrique, s’investir en Afghanistan et en Irak, puis en Côte d’Ivoire et actuellement au Mali.
N’en déplaise aux pacifistes et autres attardés soixante-huitards, Kolwezi fut une histoire de héros et une affaire d’hommes. Un réel condensé de force virile pour la bonne cause qui enflammerait les esprits les mieux trempés, encore de nos jours. Et en comparaison avec ce qui se passe au Mali avec « Serval », « Léopard » fut une opération militaire rapide comme l’éclair et redoutablement efficace, en même temps qu’un fabuleux pari politique, car en 1978 nous étions en pleine guerre froide entre l’Occident et le monde communiste. D’ailleurs Fidel Castro avait envoyé ses contingents dans plus de 15 pays africains, dont 20.000 soldats cubains en Angola, 17.000 en Ethiopie, 1.000 en Tanzanie, en autres.
En 1977 le Katanga (Shaba à l’époque) avait déjà été le théâtre d’une premiière rébellion des « Tigres » -ex gendarmes katangais- vite matée par les Forces Armées Zaïroises (les FAZ) déjà soutenues par une logistique française.
Mais un an plus tard, le samedi 13 mai 1978, mieux entraînés, encadrés et armés, les Tigres du Front National de Libération du Congo, mouvement dirigé par Nathanaël M’Bumba, attaquent en force à Kolwezi avec plus de 4.000 hommes venant d’Angola et passant par la Zambie pays complice.
C’est grâce à l’ambassadeur français son Excellence André Ross et au colonel Gras, chef de la mission militaire au Zaïre, à leur persuasion et leur ténacité que le Président Valéry Giscard d’Estaing donnera le feu vert à une intervention aéroportée au départ de Calvi, le 18 mai.
C’est le 2e Régiment Etranger de Parachutistes, commandé par le colonel Philippe Erulin qui avec ses 400 hommes sautera sur Kolwezi.
Malgré les 3.000 européens (dont de très nombreux belges) pris en otages dans la ville par les rebelles du FNLC, la France assume seule l’intervention armée. En effet, à Kinshasa un officier supérieure de l’armée belge avait déclaré au colonel Larzul, adjoint du colonel Gras : « je puis vous assurer qu’une intervention française serait considérée par nous comme inopportune et inamicale » ….
Le 2e REP va gagner un pari stratégique (ni soutien, ni appui feu, ni renforts à moins de 3 jours) par une intervention militaire exemplaire doublée d’une opération humanitaire remarquable, opération qui fut enseignée durant de longues années tant dans les écoles de guerre en Europe qu’aux Etats-Unis.
En moins de 24 heures, les unités vont vite s’emparer des points cruciaux de la ville, en cherchant à déstabiliser l’adversaire et faire arrêter les massacres de ressortissants européens et de citoyens zaïrois, tout en leur permettant de se regrouper auprès des points sécurisés. Dans les jours suivants, une fois la majorité des civils mis à l’abri ou évacués, le régiment a sécurisé les faubourgs et les villages environnants pour repousser l’ennemi sur ses bases de repli en Angola, fin mai. Vite fait, bien fait !
Si les militaires des FAZ, présents à Kolwezi en permanence, ont perdu 382 hommes, les civils zaïrois ont eu 151 tués et sur les 3.000 civils blancs, 131 ont été assassinés par les Tigres du FNLC.
Grâce aux soldats du 2e REP de la Légion étrangère (5 morts et 20 blessés) un massacre général de la population civile fut évité à Kolwezi. GLOIRE A EUX !
00:58 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
vendredi, 17 mai 2013
PSG : Le Monde ment, les ultras n’y sont pour rien.
Serge Ayoub
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Le Monde ment et tout le monde le sait. Ce qui s’est passé ce 12 mai, au Trocadéro, n’est pas l’œuvre des « ultras » du PSG. Le « Kop de Boulogne » n’est pas coupable. Et surtout, le PSG, Valls et la mairie de Paris ne sont pas les victimes.
D’abord, les « ultras » de Boulogne sont à l’agonie. La répression qu’ils subissent depuis des années les a décimés. De plus, un simple coup d’œil innocente, aussitôt, nos « hooligans d’extrême droite ». Ceux qui se sont fait filmer n’ont pas le « profil » de la tribune Boulogne. Surtout, aucun « ultra » ne porterait un maillot du club qui l’a exclu et qu’il boycotte depuis le plan Leproux. Il s’en fait un devoir.
Évidemment, les vrais coupables sont ailleurs.
Depuis des années, le profit ne se fait plus dans les stades mais dans les retransmissions télévisées. Les « ultras », qui ont fait la réputation du club et rempli ses tribunes, dérangent. Ils sont parigots, populaires et souvent nationalistes : c’en est trop pour le club, l’esprit « Canal », la mairie de Paris, la région et Le Parisien. La chasse aux « hooligans » est ouverte.
D’abord, on crée une tribune artificielle : Auteuil. Elle sera un contre-feu à Boulogne car on pense que la diversité festive se vendra mieux que la colère française… L’idée ravit tout le monde : le club et le conseil régional (dont Valls) offrent, aux frais du contribuable, des tombereaux de billets pour motiver cette jeunesse des banlieues qui sera, après la France, une chance pour Paris… Ensuite, Le Parisien stigmatise chaque bousculade qu’oserait commettre Boulogne. Ces campagnes de presse entraînent naturellement un émoi, et la répression policière. Le club finit par être purgé de ses éléments politiquement incorrects, et le Qatar, après avoir acheté le PSG, les banlieues et notre honneur, peut enfin triompher au Trocadéro. Il le veut et l’a payé assez cher.
Mais ce 12 mai, tout déraille, car la réalité est une fille rancunière. Marchands et politiques ont mis en place un club consumériste, sans autre identité que celle qu’il vend. Ils ont évincé une tribune française au bénéfice d’une clientèle disparate et prétendument docile. Messieurs, vous récoltez ce que vous avez semé. Sans la moindre identité, votre création se fout de tout, même de vous, elle veut jouir, consommer vite, quitte à piller, c’est plus facile, plus marrant. Le Qatar qui finance les banlieues les voit se retourner contre lui, Delanoë en est le témoin et Valls le dindon. Il y a une justice dans ce monde, et elle n’est pas dénuée d’humour.
Alors pour sauver la face, on tire sur les ambulances, on attaque des supporters sans moyens et sans argent, on agite un fantasme fasciste qui permet à un gouvernement qui est tout, sauf socialiste, de donner l’illusion d’un combat de gauche. En somme, ils font ce qu’ils savent le mieux faire : nous prendre pour des cons.
23:56 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du fantasme sportif aux fantasmes politiques...
La chronique
de Philippe Randa
L’argent, décidément, n’achète pas tout… La preuve, le Qatar n’avait pas pris ses précautions pour assurer la sécurité de l’après-victoire du PSG contre les sauvageons. Certes, les Autorités françaises non plus ! Nous, on a l’habitude, mais les Quataris, eux, ne savaient pas. Au moins, auront-ils appris que la France n’est pas « le leur pays » où ce genre de facéties n’est sans doute même pas imaginable… Là-bas, le premier hooligan qui éternue sans dire « pardon » étant probablement illico bastonné et jeté dans un cul de base fosse.
Maintenant, ils savent pour la prochaine fois – si prochaine fois, il y a ! – qu’ils devront débourser quelques centaines de milliers d’euros d’investissement supplémentaire pour que la remise de la coupe aux joueurs victorieux se déroule dans la joie et l’allégresse… On sait ce qu’il en a été lundi dernier : vandalisme, pillage, 32 blessés (dont 1 policier et 2 gendarmes)… Tandis que les « ultras » du Club braillaient leur colère d’être interdits de tribunes depuis des mois, les « chances pour la France » déboulaient de leurs ghettos pour venir faire leurs courses… Coût du passage en caisse : autour de deux millions d’euros, estime-t-on.
« Pourquoi tout a-t-il ainsi dégénéré, alors qu’on s’attendait à ce que les “ultras” manifestent leurs aigreurs… et que l’occasion était trop belle pour que les racailles se privent de s’adonner à la joie d’un “shopping” » entend-on depuis les événements ?
Mais s’y attendait-on vraiment coté gouvernement ? Toute la question est là, car ses membres sont tellement imbibés jusqu’à l’ivresse de bonne conscience politiquement correcte qu’ils ne pouvaient sans doute imaginer que le sacro-saint football – qui a remplacé dans leur « idéal citoyen » la sacro-sainte patrie de leurs aïeux – soit ainsi bafoué…
Qui pouvait oser ? « Eux », tout simplement… tout ceux qui ne sacralisent pas ce sport, voire tous ceux qui sont dégoûtés que s’étalent sans cesse à la une des médias les sommes colossales qu’encaissent joueurs, entraîneurs, intermédiaires et autres personnes gravitant autour de la « planète foot ».
C’est moins par laxisme que par utopie qu’un gouvernement socialiste et une municipalité socialiste n’ont pas vu le « coup venir ».
Et c’est tout autant par fantasme politique que le premier s’est montré aussi brutal dans la répression lors des récents rassemblements de la « Manif pour tous » dans lesquels il appréhendait ni plus ni moins qu’un nouveau « 6 Février 34 », une menace de « putsch fasciste », voire une résurgence d’on-ne-sait quelle conspiration cagoularde…
23:44 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Paris, dimanche 12 mai, les nationalistes rassemblés derrière l'Union sacrée des patriotes étaient dans la rue...
21:47 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Jeudi soir, une fois de plus, les flics de Manuel Gaz sont plus gaillards pour matraquer les étudiants patriotes à la Sorbonne que la racaille sur les Champs Elysées...
21:36 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Manip' ratée, émeute raciale, robocops fatigués et cambriole... Valls déprime!
Yves Darchicourt
Manuel "Prosper" Valls n'a vraiment pas de chance ! Dimanche dernier, il donne dans l'association de malfaiteurs foireuse avec son Préfet de Police de Paris et un quarteron de prostituées pour avoir le prétexte de lancer ses robocops sur les militants nationaux, identitaires et solidaristes... flop retentissant ! Le lendemain soir, il fâche tout rouge la principauté chamelière propriétaire du PSG en laissant une horde exotique gâcher l'apothéose programmée de l'équipe mercenaire victorieuse ! Hier soir encore, comme quasiment tous les jours depuis des semaines, une saine jeunesse française, blanche et hétérosexuelle s'est permis de manifester son opposition radicale à la loi éponyme de l'afro-antillaise discriminée positivement au gouvernement, une intelligente stratégie de harcèlement - cette fois près de la Sorbonne sans doute en clin d'oeil à mai 68 - qui fatigue gendarmes mobiles et CRS et commence à faire murmurer dans les rangs !
Cerise sur le gâteau, cette dernière nuit, des spécialistes de la cambriole se sont fait un coffiot à Cannes, raflant pour un million de dollars de quincaillerie helvétique destinée à rutiler sur quelques mémères du grand écran façon arbre de Noël et qui va finir chez les fourgues. Juste quand il fallait pour énerver Manuel, des primesautiers sans doute ! Un petit chef d'oeuvre de truands à l'ancienne qui restera dans les annales. On se demande si la PJ a encore de quoi rémunérer des indics en ces temps de récession socialiste ! Sécurité publique zéro autour du Festival, de quoi se brouiller avec le 7e Art ! Pauvre Manuel hanté par le spectre du limogeage et la perspective de finir comme maque de femen dont on peut sans risque dire qu'elles ne sont pas du genre gagneuses dociles... il va finir par se payer une dépression, une nervousse bréquedoune carabinée comme faisait dire Audiard au Volfoni des Tontons Flingueurs !
21:25 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le 26 mai, pas seulement contre la loi Taubira...
Alain Escada
Président de Civitas cliquez ici
Le 26 mai, il s'agira de manifester, une fois de plus, pour défendre le mariage, la famille et la France catholique. Car il faut bien se rendre compte que le mariage entre personnes de même sexe n'est que la première étape d'un plan que le gouvernement a déjà rendu public dans des documents officiels qu'hélas personne ne lit. La suite ?
-La légalisation de ce qu'on appelle pudiquement la procréation médicalement assistée puis la gestation pour autrui (plusieurs actuels ministres avaient signé dès 2010 un manifeste en faveur d'un tel projet) qui consiste en réalité à louer les ventres des femmes et à pratiquer la marchandisation de l'être humain pour permettre à des duos homosexuels, par définition stériles, de pouvoir acheter des enfants et s'en prétendre les parents.
Mais le "Programme d'actions gouvernemental contre les violences et les discriminations commises à raison de l'orientation sexuelle ou de l'identité de genre" va bien plus loin ! Et annonce :
- L'introduction dès l'école maternelle de programmes banalisant l'homosexualité et la théorie du gender. Pour rappel, selon cette absurde théorie du gender, ce n'est pas la réalité anatomique et biologique qui fait de vous un homme ou une femme mais seulement ce qui se passe dans votre cerveau, si bien qu'au nom de la soi-disant liberté sacralisée jusqu'à la folie, vous seriez en droit si cela vous chante de vous proclamer homme les jours pairs et femme les jours impairs ! Des représentants du lobby homosexuel seront chargés par le ministère de l'éducation nationale de marteler ces théories contre-nature dès la plus petite enfance.
Des crèches ont déjà été inaugurées dans ce but afin d'encourager les petits garçons à jouer avec des jouets de petites filles et inversément.
- Le formatage de l'opinion sera organisé à travers des formations professionnelles obligatoires pour les enseignants, le personnel médical, les services sociaux, les forces de l'ordre, la magistrature,..., formations destinées à imposer la soumission au lobby homosexuel et à la théorie du gender.
- Un organisme va être créé afin de traquer ceux qui pensent mal et les faire traduire en justice. Les représentants du lobby homosexuel siègeront parmi la direction de ce nouvel organisme.
- La critique du lobby homosexuel et la critique de la théorie du gender vont être inscrites dans le code pénal comme des discriminations condamnables et seront criminalisées.
- Les employeurs devront prouver qu'ils ne pratiquent aucune discrimination à l'embauche sur base de l'orientation sexuelle. Ce qui dans la pratique équivaut à mettre en place un système de quota de personnel homosexuel/bisexuel/transexuel pour éviter d'être suspect.
- Le fait de conseiller à un homosexuel de se corriger sera considéré comme une attitude sectaire.
- Les nouveaux immigrés se déclarant homosexuels et discriminés pour cette raison dans leur pays d'origine pourront s'établir en France.
- L'histoire du lobby homosexuel sera valorisée par le ministère de la culture.
- Les ambassadeurs français soutiendront le lobby homosexuel dans le pays dans lequel ils sont affectés.
Même les formations du BAFA et du BAFD devront inclure ces thématiques. Et les associations familiales, pour être jugées représentatives, devront compter des "familles homoparentales". Jusqu'en dans les moindres détails, tout est imaginé pour subvertir l'ensemble de la société, particulièrement dès le plus jeune âge. La sénatrice socialiste Laurence Rossignol a d'ailleurs déclaré à la télévision (5 avril, France 2, émission Ce soir ou jamais) : "Les enfants n'appartiennent pas à leurs parents, ils appartiennent à l'Etat".Une déclaration qu'il faut également relier à l'intention de Vincent Peillon d'imposer des cours de morale laïque dans tous les établissements scolaires. Car la haine de la famille a pour corollaire la haine de la religion.
Tout cela reflète un authentique totalitarisme. Allons-nous assister à cela sans réagir alors que nous sommes avertis de la perversion de ce projet gouvernemental ? Ce serait impensable !
Par le passé, des lois votées ont néanmoins été bloquées par la détermination populaire. L'enjeu civilisationnel rend notre détermination indispensable et oblige à refuser toute concession.
C'est pourquoi CIVITAS convie tous les défenseurs de la Famille lucides à manifester le 26 mai prochain avec un message clair et une attitude résolue. Il n'y a pas d'exemple d'un gouvernement qui cède devant une foule festive. Seule la ferme détermination d'une foule peut faire reculer un monde politique en perpétuelle quête de réélection.
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Vendredi, c'est le jour de Rivarol...
01:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 16 mai 2013
Bordeaux, samedi 1er juin, 21 h 00 :
19:42 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
"Les guerres d'Afrique, des origines à nos jours", un nouveau livre de Bernard Lugan
Le long déroulé de l’histoire du continent africain est rythmé par une succession de guerres. Les plus anciennes sont figurées sur les parois peintes du Sahara et de l’Afrique australe ; les plus récentes font l’actualité, de la Libye au Kivu et de la Somalie au Mali.
Dans l’Afrique d’ « avant les Blancs », la guerre entraîna la mutation de nombre de sociétés et fut créatrice d’empires, dont ceux d’el Hadj Omar, de Samory, de Rabah, de Shaka Zulu, etc.
Avec la conquête coloniale, à l’exception de l’échec italien en Ethiopie, les guerres tournèrent toutes à l’avantage des colonisateurs, même si, ici ou là, des batailles retardatrices dont le livre rend compte, furent occasionnellement remportées par les Africains.
La parenthèse impériale fut ensuite refermée sans affrontements majeurs, les guérillas nationalistes n’y étant jamais en mesure de l’emporter sur le terrain.
Après les indépendances, l’Afrique fut ravagée par de multiples confits qui firent des millions de morts et des dizaines de millions de déplacés.
Après la « guerre froide », l’Afrique redevint l’actrice de ses propres guerres, donc de sa propre histoire. Les placages idéologiques et politiques qui lui avaient été imposés depuis des décennies volèrent alors en éclats et le continent s’embrasa. Durant la décennie 2000-2010, 70% des décisions de l’ONU et 45% des séances du Conseil de Sécurité furent consacrées aux conflits africains.
Les guerres d’Afrique, des origines à nos jours, Bernard Lugan, Les éditions du Rocher, 2013. 408 pages, 72 cartes et planches 37,00 €, franco de port.
Sortie du livre le 1er juin 2013 mais il est disponible à l’Afrique Réelle dès le 17 mai et peut y être commandé dès à présent.
Bernard Lugan cliquez ici
18:33 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Syrie : un rebelle, oui, un rebelle mange le cœur d’un soldat !
Gabrielle Cluzel
Boulevard Voltaire cliquez ici
Horreur et malédiction. Stupeur et tremblements. Une vidéo dont, pour le moment, nul n’est parvenu à mettre en doute l’authenticité, montre un chef de mouvement rebelle syrien arracher le cœur d’un soldat et le porter à sa bouche. Après avoir mutilé le corps vêtu de l’uniforme de l’armée syrienne, le rebelle s’exprime en ces termes devant la caméra : « Je vous promets devant Dieu, vous les soldats de Bachar, vous les chiens, que nous mangerons vos cœurs et vos foies… » et joint le geste à la parole.
Ah non, ça ne va pas être possible ! Qui m’a écrit ce foutu scénario ? Ce n’était pas du tout ce qui était prévu dans le synopsis. Que l’on fasse appeler tout de suite Spielberg qui tue le temps sur la Croisette, qu’il nous remette tout ça d’aplomb. Parce que, ce qu’il faut pour l’opinion publique, c’est un bon film américain, avec des gentils très gentils et des méchants très méchants. Et il était convenu, c’était dans le contrat, que Bachar el-Assad et lui seul camperait Dark Vador. Vous comprenez bien que si les chevaliers Jedi se mettent à faire frire en rognons les viscères de Palpatine, cela brouille le message.
C’est comme cela, et pas autrement, que se mènent les guerres en Occident. Il y a, tout au début, le coup de starter : une séquence émotion, relayée en format XXL par les chaînes de télévision, où il est question de liberté bafouée, d’opposants assassinés, de femmes en pleurs, d’enfants opprimés (et même de couveuses débranchées, cela s’est vu, quand on a affaire à des scénaristes vraiment perfectionnistes qui soignent les détails) et d’un croque-mitaine sanguinaire au pouvoir. Avec, à la clé, une morale binaire quelque part entre Bonanza et La petite maison de la prairie, partant du postulat que la finesse d’analyse de l’occidental moyen ne dépasse pas le niveau entrée en 6e.
Il y a ensuite, à rythme régulier, les piqûres de rappel : la liberté assassinée, les opposants bafoués, les enfants en pleurs et les femmes opprimées… Parce qu’il est entendu qu’aucun pays occidental digne de ce nom n’entre en conflit (ni ne soutient en sous-main une insurrection) pour défendre des intérêts géostratégiques, financiers, politiques, diplomatiques, et choisit de ce fait de jouer opportunément et ponctuellement la carte de la peste contre celle du choléra.
Un pays occidental est forcément un justicier blanc désintéressé droit sorti du générique d’Avengers. Le malheur est qu’il faut composer avec un casting complexe, et des acteurs locaux aux mœurs et à la philosophie générale de vie passablement éloignées des nôtres, pour le dire pudiquement, qui ont un peu de mal à rentrer dans leur rôle. Et faire passer un rebelle syrien — comme en son temps un rebelle libyen — pour le clone jovial de Charles Ingalls, même auprès d’un téléspectateur confiant et de bonne volonté, n’est pas toujours chose aisée. Surtout lorsque la formidable fluidité de circulation des films et clichés induite par Internet vient se mettre en travers de votre chemin.
Allez, pas de panique. Ces jolies légendes dorées, aujourd’hui comme hier, sont ciselées par des orfèvres. Il faut plus que les manies un peu gore de certains pour atteindre leur blancheur immaculée. Au hasard… qui se souvient encore de Mgr Asensio Barroso, émasculé vivant avant d’être assassiné le 9 août 1936 ? Qui se souvient encore de l’embuscade de Palestro et de ses cadavres éviscérés et mutilés ? Tout cela empêche-t-il les républicains espagnols et les Algériens du FLN de passer pour des héros ? Non, n’est-ce pas ? Alors ce ne sont pas les fredaines somme toute assez modestes d’un obscur rebelle syrien qui vont mettre en péril la nouvelle superproduction.
08:16 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Montpellier : Cohn Bendit n'était pas le bienvenu !
08:10 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Émeutes ethniques à Paris : les prémices du chaos !
Un communiqué du Parti de la France :
Les scènes de guérilla urbaine qui ont eu lieu à Paris dimanche soir ont une cause principale ; il ne s'agit ni du football, ni du Paris Qatar Saint-Germain, ni des supporters Ultras, mais bien du résultat de la colonisation migratoire de notre pays. En effet, malgré les pitoyables tentatives de dissimulation du Ministère de l'Intérieur et des médias aux ordres, les émeutiers étaient manifestement, dans leur grande majorité, des jeunes voyous issus de l’immigration venus agresser, vandaliser, piller, et brûler tout sur leur passage, profitant comme souvent d'un événement festif afin de se livrer à leurs razzias.
Refuser de voir la réalité de cette colonisation migratoire par des populations inassimilables, hostiles au pays d'accueil, revanchardes et souvent islamisées conduit tout droit notre pays à une situation de pré-guerre civile si aucun changement radical de politique n'est rapidement entrepris.
Carl Lang et Le Parti de la France constatent que le ministre Valls est beaucoup plus agressif à l’égard des familles françaises qui manifestent pacifiquement contre le mariage homosexuel et l’infâme loi Taubira qu’à l’égard des voyous et casseurs de banlieue. Cela est parfaitement conforme à l’idéologie anti-nationale, anti-familiale et pro-immigrée véhiculée depuis des décennies par l’internationale socialiste.
Le Parti de la France appelle à la décolonisation de la France et de l’Europe par l’inversion massive des flux migratoires extra-européens, l’organisation du retour au pays, l’expulsion de tous les clandestins ainsi que des délinquants et criminels étrangers à l'issue de leur peine, l’attribution des prestations sociales et familiales réservée exclusivement aux Français, au nom du patriotisme social et familial.
Le Parti de la France rappelle la nécessité de réformer le code de la nationalité en remplaçant le droit du sol par le droit de la filiation.
Afin de rétablir l'ordre et la loi sur tout le territoire national et pour que la France soit respectée et les Français protégés de la racaille étrangère, il faut d’urgence rendre la France aux Français !
00:09 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 15 mai 2013
Franck Abed nous présente le dernier livre d'Anne Kling : "Menteurs et affabulateurs de la Shoah"...
18:06 Publié dans Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Chronique de la France asservie et résistante...
Robert SPIELER
RIVAROL
N° 3093 du 8 mai 2013
LES IMBECILES, ça ose tout, et c’est à cela qu’on les reconnaît. Le Syndicat de la magistrature, qui s’y connaît en stupidités ne recule devant rien et verse dans le grandiose. Vilipendé, poursuivi en justice pour son « mur des cons », il n’a pas fallu plus de 48 heures d’une relative discrétion pour qu’il retrouve toute son arrogance. Il ose dénoncer « une violation de sa sphère syndicale », et dénonce « un journaliste qui filme en cachette l’intérieur d’un local syndical à l’insu de ses occupants ». Le SM s’en prend aussi au site Atlantico, qui a révélé l’affaire, et qui est accusé d’être « proche de la droite la plus dure ». Une plaisanterie : Atlantico est de sensibilité libérale-conservatrice et serait plutôt proche de l’UMP, et certes pas de l’Œuvre française.
L’INCROYABLE ARROGANCE DU SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE
Mais ce n’est pas fini. Ne doutant de rien, le voici qu’il se pose en victime : « En plus de 40 années de combats pour les droits des magistrats et les libertés publiques, le Syndicat de la magistrature a dû faire face à de multiples tentatives visant à l’empêcher de s’exprimer ». Amusant si on y réfléchit. Ce sont plutôt les juges rouges qui ont muselé l’expression des militants nationaux et nationalistes. Ils osent même donner des leçons à la ministre de la Justice, Christiane Taubira, qui, après avoir tergiversé, avait fini par dénoncer « un acte insupportable, stupide et malsain ». Le SM lui a écrit : « Vous venez de vous inscrire dans cette longue tradition, nous le regrettons vivement. » Le syndicat rouge fait référence aux persécutions que subissent depuis des décennies les juges rouges. Tout le monde l’ignorait. Tout le monde le sait aujourd’hui.
LA CHASSE AU TRAÎTRE
Dans cette affaire, le Syndicat de la magistrature a montré son vrai visage. Le général Philippe Schmitt, père de la pauvre Anne-Lorraine, assassinée dans le RER D par un multi-récidiviste, et qui figure sur le « mur des cons », déclare fort justement : « On voit à travers de tels actes le mépris et la haine que ces magistrats éprouvent pour des familles comme nous ». Patrick Ollier, député UMP des Hauts-de-Seine et ancien ministre des Relations avec le Parlement, figurait lui aussi sur le « mur des cons ». Il vient de déclarer : « J’ai été très étonné d’y trouver ma photo. Je suis un con et je ne sais pas pourquoi. » Bon, on lui expliquera… En attendant, les chiens mènent l’enquête. Qui est le traître qui a filmé et éventuellement diffusé les images du « mur des cons » ? C’est un journaliste, ça c’est sûr. Mais qui ? Le Syndicat rouge a son idée : « Le Syndicat de la magistrature estime, après avoir décortiqué les images, que ces dernières ont été prises par une équipe d’une chaîne de télévision nationale ». Car le Syndicat, qui ne manque pas de talent, sait aussi « décortiquer les images ». Très fort… Mais le quotidien Libération s’est, lui aussi, mis à la chasse à l’homme.
HOURRA ! LE TRAÎTRE A ÉTÉ DÉBUSQUÉ ET SERA FUSILLÉ !
Le syndicat national des journalistes a apporté son soutien, non au journaliste poursuivi par la meute, mais au Syndicat de la magistrature. Étonnant, mais pas tant que cela. Libé livre la solution de l’énigme : « Le journaliste incriminé est en effet engagé à droite, et est décrit comme “déontologiquement problématique” ». Il s’agit de Claude Weill-Raynal, journaliste à France 3, qui, courageusement, dénonce les collusions entre le SNJ-CGT et le SM. Il vient de déclarer : « Ils veulent ma tête. Je suis fier d’avoir tourné ces images. Je ne pense pas ternir l’image de France 3. J’ai révélé l’action néfaste d’un syndicat majeur et aligné sur les positions politiques de la CGT. » Conséquence : la direction nationale de la rédaction de France 3 a ouvert, lundi 29 avril, une procédure disciplinaire à l’encontre de Clément Weill-Raynal qui aurait fait « le choix de dissimuler l’existence des (images) à sa hiérarchie ».
UNE FOURRIÈRE PARISIENNE QUI DÉPORTE DES BÉBÉS
Une maman a vécu un moment de panique, le vendredi 27 avril, dans le seizième arrondissement de Paris. Alors qu’elle accompagnait un de ses enfants à l’école, sa voiture, mal garée, a été emmenée à la fourrière. Avec son bébé de trois semaines à l’intérieur… Selon Le Parisien, l’incident s’est produit vers 8 heures 30 devant une école maternelle située rue Descamps, où des voitures étaient mal garées. La fourrière en a enlevé plusieurs, dont la Renault Scenic où se trouvait le nourrisson. Dieu merci, sa mère a pu le récupérer grâce à une autre maman, qui l’a emmenée à la fourrière de l’avenue Foch. Elle a été effarée de découvrir, à l’entrée de la fourrière, un énorme sigle : « Arbeit macht frei » (Le travail rend libre), de sinistre mémoire. Bon, là, j’exagère un peu, mais tout le reste est vrai. L’enfant était, Dieu merci, encore vivant. Elle a pu récupérer son véhicule, et accessoirement son bébé. Le sculpteur César n’était heureusement pas passé par là et n’avait pas compressé la voiture. Cerise sur le gâteau, la même histoire s’est répétée dans la journée, dans la même fourrière. Cette fois-ci, c’est un enfant de neuf ans qui dormait dans un véhicule. Une enquête administrative a été ouverte par la préfecture de police, qui n’a, décidément aucun humour.
RACHIDA DATI EN BANDE DESSINÉE
Une bande dessinée intitulée Au nom des pères, évoque sur le ton de l’humour et de la caricature la recherche de paternité de Zohra, quatre ans, l’enfant de l’ex-ministre. Parmi les personnalités qui figurent dans la bande dessinée, on retrouve bien sûr Nicolas Sarkozy mais aussi le PDG du groupe de casinos et d’hôtels de luxe Lucien Barrière. Il s’agit de Dominique Desseigne, qui fait l’objet d’une assignation en reconnaissance de paternité de Zohra Dati, qu’il conteste. Rachida Dati avait tout fait pour tenter de faire interdire la parution. Las, elle a été déboutée, et le président du TGI de Versailles, qui présidait l’audience, a estimé que l’ouvrage ne « dépasse pas les lois de la satire politique » et ne « porte pas atteinte à l’intimité de la vie privée » de l’ex-ministre et de sa fille, « alors que la médiatisation par Madame Dati de la parentalité de sa fille a accompagné sa vie politique depuis quatre ans. » Et pan sur le bec ! L’avocat de l’éditeur s’en réjouit et considère que la justice a « retenu d’une part le droit à l’humour et d’autre part la complaisance de Mme Dati en matière d’utilisation de sa propre vie privée. » Autre bande dessinée qui paraîtra le 15 mai : Moi, Président, ma vie quotidienne à l’Elysée. Un album humoristique consacré au Pingouin. On craint pour lui le pire… Nicolas Sarkozy avait eu droit, lui aussi à sa bande dessinée, dont le titre était La face karchée de Sarkozy.
COMBIEN D’“ATTAQUES TERRORISTES” EN EUROPE EN 2012 ?
Selon le dernier rapport d’Europol, 219 attaques terroristes auraient été perpétrées en 2012 dans les États membres de l’Union européenne. En France, le nombre d’attentats ou d’agressions dus à des islamistes est passé en un an de 46 à 91. Le nombre de terroristes islamistes arrêtés en Europe passe de 122 à 159. 18 attaques ont eu pour auteurs des extrémistes de gauche, soit 19 de moins qu’en 2011. Quant aux « groupuscules néonazis », les chiffres sont effrayants : deux attaques en un an dans toute l’Europe… Au fait, BHL, ainsi que Franz-Olivier Giesbert, patron du Point, viennent d’être condamnés à 1 000 euros d’amende et 1 000 euros de dommages et intérêts pour avoir qualifié le Bloc Identitaire de « groupuscule néo-nazi » dans une tribune parue en décembre 2010 dans Le Point.
LE BELGE, LA MÉTÉO ET LA RACAILLE
Il s’appelle Luc Trullemans. Il est Belge, ce qu’on peut lui pardonner à titre tout à fait exceptionnel. Il est, ou plutôt était, le « Monsieur météo » de RTL. Il avait eu un petit problème, au volant de sa voiture. Il roulait à 50 /60 km/h. Pas assez vite pour la voiture qui le suivait. Il se fait dépasser. Une queue de poisson. Il klaxonne vigoureusement. La voiture s’arrête et « des gens du sud, habillés en tenues traditionnelles » sont sortis du véhicule, l’agressant verbalement, déclarant qu’il n’était qu’un « petit Belge », qu’ils « étaient chez eux », et qu’il n’avait pas « à imposer ses règles ». L’un des individus a donné un coup dans la voiture du Belge. Du coup, le Belge, pas content, s’est lâché sur Facebook, écrivant : « La racaille, j’en ai marre. Ces gens-là n’ont rien à faire chez nous. » Du coup, il est suspendu d’antenne. Du coup, il tente de se justifier, déclarant qu’il « avait agi sous le coup de la colère » et qu’il visait « une minorité d’Arabes. Ceux qui font le marché gare du Midi le dimanche ne (lui) posent pas de problème ». Mais ça ne suffit pas. Le directeur de RTL envisage un licenciement. Du coup, notre Monsieur météo en remet une couche dans l’auto-flagellation, en déclarant : « Je ne suis pas raciste. D’ailleurs j’ai eu une relation de 5 ans avec une Algérienne ». Du coup, il sera viré quand même. Ça lui apprendra à se coucher…
LE PRÉSIDENT ITALIEN : FASCISTE, PUIS STALINIEN, PUIS FÉAL DE GOLDMAN SACHS
Giorgio Napolitano, le Président italien, a 88 ans. Il vient de désigner Enrico Letta à la présidence du Conseil. Ce dernier n’avait pas craint de saluer « le courage et la lucidité d’analyse de la Goldman Sachs ». Courageux et lucide, il vient de désigner Cecile KyengeKashetu, d’origine congolaise, comme ministre. Très fier de lui, il la qualifie de « première ministre de couleur de l’histoire italienne ». La ministre vient de déclarer que sa priorité était la réforme du code de la nationalité pour imposer le droit du sol, ajoutant : « L’idée d’une société métissée, sans distinction entre eux et nous, est de moins en moins utopique ». Mais revenons à Giorgio Napolitano. Voici ce qu’il écrivait, à l’âge de 16 ans, alors qu’il était membre des Gruppi Universitari Fascisti : « L’ Opération Barbarossa civilise les peuples slaves. Puisque notre fidèle allié est lancé à la conquête de la Russie, il y a un besoin absolu d’un corps expéditionnaire italien pour soutenir le titanesque effort de guerre allemand », évoquant la « barbarie des territoires orientaux ». Quinze ans plus tard, le même Napolitano insultait les communistes italiens qui avaient pris leurs distances avec l’invasion soviétique de la Hongrie. En 2011, il soutenait l’invasion de la Libye. Et aujourd’hui, il a nommé comme président du Conseil Enrico Letta, membre du comité européen de la Commission Trilatérale, qui participait en 2012 à la réunion du Groupe Bilderberg aux Etats-Unis. La boucle est
bouclée.
COMMENT ÉTABLIR UN PÉRIMÈTRE DE SÉCURITÉ AUTOUR D’UNE MANIFESTATION DU FN ?
Une militante du FN a eu une riche idée lors de la manifestation du Front National à Paris le 1er mai. Pour assurer la sécurité de son espace vital, des fois que des islamistes auraient eu la tentation de venir perturber la manifestation, elle a attaché un saucisson sur son drapeau français : «C’est pour faire un périmètre de sécurité» a-t-elle déclaré, le plus sérieusement du monde, à une journaliste estomaquée.
CAHUZAC FAIT VENDRE (AUX 3 SUISSES)
Les « 3 Suisses » sont cette société de vente par correspondance, quelque peu en perte de vitesse ces derniers mois. Ils ont cependant trouvé, grâce à Cahuzac, le moyen de faire parler d’eux et de créer le buzz. Jouant sur l’ambiguïté entre le compte de Cahuzac en Suisse et le compte dont dispose chez elle chaque client, les 3 Suisses ont mis en ligne une publicité mettant en scène une jeune femme, dont un bandeau noir barre les yeux, avec ce slogan : « J’avoue… moi aussi j’ai un compte aux 3 Suisses ; pas vous ? » Les détournements sont parfois assez amusants. Nous avions eu récemment droit à une fausse pub qui a circulé sur twitter : « Chez Findus, nous sommes très à cheval sur la qualité » Findus n’avait apprécié que modérément la plaisanterie…
LE SALON DU LIVRE DE CASABLANCA : APOLOGIE DU NAZISME ET ANTISÉMITISME
Le plus important salon du livre du monde arabe fait fort : près de 250 stands marocains, libanais, syriens, égyptiens, saoudiens, palestiniens, etc... Parmi les best-sellers proposés, on y trouve Mein Kampf, Les Protocoles des sages de Sion, Le Sionisme et le nazisme, Le Début et la fin du peuple juif, La Malice des Juifs et Les Règles des rabbins de Lucife». Et tout à l’avenant. Shimon Samuels, du Centre Simon-Wiesenthal, vient d’adresser une lettre furibarde à M. Mohamed Amine Shibi, ministre de la Culture du Maroc, écrivant : « Il est effrayant de constater que depuis 2010 jusqu’à l’édition 2013 de ce salon, et nonobstant le printemps arabe, la haine des Juifs demeure une constante implacable de la littérature arabe exposée ». Le « printemps arabe ». Qu’en pense Bernard-Henri Lévy ?.
17:32 Publié dans Chronique de la France asservie et résistante | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Du CRAN à SOS Racisme : ras le bol de la « société civile » !
Robert Ménard
Boulevard Voltaire cliquez ici
Les délires du président du Conseil représentatif des associations noires (CRAN) assignant en justice la Caisse des dépôts et consignation pour « complicité d’un crime contre l’humanité ».
La condamnation de cette initiative par Patrick Lozès, fondateur de cette même association, s’inquiétant de « cette dérive qui consiste à réduire la mémoire de l’esclavage à une transaction matérielle et à des considérations financières ».
En quelques jours, la société civile, tellement chère à nos médias, aura montré, jusqu’à la caricature, ce dont elle était capable. Ses élucubrations. Ses bisbilles.
S’il est un secteur qui n’est pas en récession en France, c’est bien celui des associations. Du club de boulistes aux différentes chapelles des french doctors, on en compte des centaines de milliers. Dont certaines pèsent d’un poids certain dans le débat politique et intellectuel. D’autant qu’à l’heure du discrédit qui frappe la parole politique comme médiatique, les représentants autoproclamés de la société civile passent pour être les derniers porteurs d’une parole « vraie ».
Parole « vraie », loin de la langue de bois reprochée aux politiques ? Rien n’est plus faux. De SOS Racisme au CRIF, de la Ligue des droits de l’homme au MRAP, c’est tout au contraire les tenants des plus orthodoxes des discours qui font loi. Antichambre du pouvoir pour certains, retraite dorée pour d’autres, les responsables des « grandes associations » sont, presque toujours, les gardiens vigilants du bien penser. Et ils en administrent la preuve.
Dotés du pouvoir d’« ester » en justice – de porter plainte en lieu et place des victimes elles-mêmes –, ils sont aujourd’hui les plus redoutables des censeurs. Qui n’ont même plus besoin de poursuivre en justice ceux qui ont eu le malheur de leur déplaire. Il leur suffit d’évoquer la possibilité d’une plainte pour terroriser quiconque est attaché à faire carrière. Ne reste plus aux malheureux qu’à faire amende honorable.
Si Louis-Georges Tin et son CRAN ont quelque chose de ridicule – et, du coup, d’inoffensif -, il n’en est pas de même de cette société civile dont on nous rebat les oreilles. Et si l’on veut vraiment entendre les gens, le peuple, il suffit de l’interroger. Cela s’appelle le référendum. Et cela marche plutôt bien. Mais, c’est vrai, dans des contrées lointaines : en Suisse, me semble-t-il…
RAPPEL : Robert Ménard sera ce soir au Local (92, rue de Javel 75015 Paris) où il donnera à 19 h 30 une conférence. Venez nombreux. A ce soir. RH
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Solidarité des Français a fêté ses 10 ans...
Il y a quelques semaines, l'association Solidarité des Français présidée par Odile Bonnivard, a fêté ses 10 ans. A cette occasion un banquet était organisé à Paris. Plus d'une centaines de convives étaient présents. Beaucoup de démunis bien sûr, mais aussi des amis de l'association venus témoignés de leur soutien à cette belle initiative. La réussite de cette sympathique réunion prouve à elle seule que le travail réalisé par les animateurs de SDF est plus que remarquable.
En effet, malgré l'adversité et les difficultés matérielles, SDF a toujours été, depuis l'hiver 2003, au rendez-vous avec ceux des nôtres qui sont dans le besoin. L'équipe de bénévoles qui entoure Odile et Roger Bonnivard fait preuve d'une parfaite abnégation et démontre ainsi que le mot "solidarité" n'est pas seulement qu'un mot qui donne bonne conscience mais surtout un acte qui peut redonner l'espoir à ceux qui l'on perdu. Nous sommes, avec SDF, aux antipodes des bavardages des adeptes de la charité patentée.
Soutenir SDF est un devoir pour les patriotes. Nul ne sait de quoi demain sera fait. Aidons les nôtres avant les autres...
Roland Hélie
Solidarité des Français : cliquez ici
Prochain rendez-vous de SDF : Lundi 27 mai sur l'esplanade de la Gare Montparnasse à 20 h 00.
08:57 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi dernier, Carl Lang était invité au congrès du Renouveau français :
08:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 14 mai 2013
Mai 68... c'est loin !
23:51 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RAPPEL : mercredi soir, soirée exceptionnelle au Local avec Robert Ménard...
19:52 Publié dans Sortir en ville... ou à la campagne | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
PSG-Lyon : prétexte à rezzou sur le Trocadéro et les Champs Elysées !
Yves Darchicourt
Il va tirer la leçon de ce qu'il ose appeler une bousculade ! Manuel "Prosper" Valls - le même qui utilise les service de prostituées pour provoquer des incidents avec les militants nationalistes - vient encore une fois de faire état de sa vision "sécuritaire" à géométrie variable.
On se souvient qu'il n'a pas hésité à envoyer en masse ses robocops se défouler sur des manifestants inermes et pacifiques défilant en famille et dont le seul tort était de lancer des slogans hostiles aux réformes "sociétales" du Normal et de sa Taubira. Hier, la même police gouvernementale a visiblement eu pour consigne d'éviter l'affrontement avec les bandes de "jeunes" vomis par les "quartiers" qui cernent la capitale et qui ont effectué un rezzou sur le Trocadero et les Champs Elysées. Evidemment, il est plus facile de gazer des enfants, de bousculer des femmes, de renverser des poussettes ou de molester des personnes âgés que de charger des racailles équipées, armées et entraînées à la castagne. Et puis, il est médiatiquement, juridiquement et politiquement moins risqué de faire tabasser du gaulois que de lancer des cognes sur des "venus d'un ailleurs exotique". Le franchouillard tuméfié est un manifestant qui n'a pas obtempéré, l'allogène matraqué - forcément par erreur - est une victime du racisme.
21 arrestations alors que des centaines de barbaresques arabes et africains s'adonnaient aux joies du pillage et de la violence haineuse anti-blanc...et tout cela pour éviter l'accident majeur sur un tropical au crâne un peu fragile, ce qui n'aurait pas manqué de susciter l'indignation véhémente des associatifs, des médiacrates, des robins de la magistrature syndiquée et autres collabos de la France plurielle. La victoire footballistique du Qatar'Club n'a été évidemment qu'un prétexte à razzia...pouvait-on d'ailleurs s'attendre à autre chose à l'issue d'une partie de ballon où évoluait une équipe mercenaire payée par des chameliers !
19:50 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La provocation des Femens le 12 mai orchestrée en « haut lieu » ?
Une tribune de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :
Dimanche 12 mai à Paris, au cours des différents défilés des nationalistes français en hommage à Jeanne d'Arc, quatre Femens (fausses féministes et vraies prostituées ukrainiennes) ont pu, durant près d'une heure, perturber la commémoration du haut d'un balcon après avoir déployé une banderole (au message complètement débile par ailleurs).
A noter que leur présence avait été détectée dès la veille à l'hôtel Régina et qu'elle avait été signalée aux forces de l'ordre. A noter qu'elles ont pratiqué leur exhibition grotesque sur le balcon d'un appartement (adjacent à l'hôtel) appartenant au Ministère de la Culture. A noter l'apathie totale de la police à leur égard que l'on connaît plus zélée et efficace lorsqu'il s'agit de réprimer les nationalistes et les défenseurs du mariage traditionnel.
Tout ceci sent bon la manipulation gouvernementale. L'objectif ? Créer des incidents entre les forces de l'ordre (en l'occurrence du désordre plutôt) et une foule légitimement en colère et chauffée à blanc par la complicité et la bienveillance policière à l'égard des quatre dégénérées blasphématrices.
Apparemment les paniers à salade étaient prêts pour des arrestations massives, ce qui aurait pu justifier, en cas d'affrontement avec les CRS, l'interdiction de tout hommage des nationalistes à Jeanne d'Arc par Manuel Valls, trop heureux de l'aubaine.
Quand le trouble à l'ordre public n'existe pas, il suffit parfois de le provoquer. Cette fois-ci la ficelle était un peu trop grosse...
12:42 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |