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mardi, 14 mai 2013

Intervention de Thibaut de Chassey, Président du Renouveau français, dimanche dernier devant la statue de Jeanne d'Arc :

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LE S.O. DES JNR A EVITE LE PIRE !

peuple en marche.jpgUn communiqué de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et membre du Bureau de la Nouvelle Droite populaire :

Ici et là, on me rapporte certains propos critiques à l’encontre du Service d’ordre des JNR qui assurait, dimanche matin, la sécurité du cortège de l’Union sacrée des patriotes français. 

Ceux qui colportent de telles allégations feraient mieux, s’ils sont des nationalistes sincères, ce dont je ne doute pas, de se réjouir de l’efficacité du S.O.. En s’interposant courageusement entre les forces de répression du Système et la foule légitimement excédée par la provocation des Femen, le SO des JNR a évité que la manifestation dégénère et que des dizaines de jeunes patriotes se retrouvent au mieux en garde à vue, ou au pire à l'hôpital....

Si cela avait été le cas, ce matin, Hollande, Valls, l'oligarchie mondialiste et la clique journalistique seraient trop heureux de pouvoir assimiler notre belle démonstration de force de dimanche aux scènes de violences qui se sont déroulées hier soir à Paris.

Une manifestation nationaliste, c’est un acte politique, ce n’est pas un défouloir collectif. Remercions le SO des JNR pour son action et son sang-froid.

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UNION SACREE DES PATRIOTES !

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01:16 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 13 mai 2013

GRACE A L'INTERVENTION EFFICACE DU SERVICE D'ORDRE DES JNR : LE PLAN PROVO DE MANUEL GAZ A LAMENTABLEMENT ECHOUE !

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En partant de la place de la Madeleine, ce dimanche 12 mai, nous savions que cette édition 2013 de la Jeanne d’Arc organisée par le C9M, Troisième Voie, la Nouvelle Droite Populaire, Europe Identité, France nationaliste, Réseau identitaire, MNR, et bien d’autres pour manifester contre le mondialisme, serait un succès.

En effet, c’est près d’un millier de manifestants qui s’étaient réunis cette année pour rendre hommage à Jeanne d’Arc et commémorer le décès de Sébastien Deyzieu, victime en 1994 d’un acharnement policier contre la résistance nationale.

Nous croyons que c’était un succès, ce fut en réalité une véritable victoire contre un système qui cherche par tous les moyens à étouffer cette opposition populaire, sociale et nationale.

Une victoire, parce que nous avons évité de justesse le piège pervers tendu par les autorités.

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En effet, au moment nous parvenions place des Pyramides, devant la statue de Jeanne d’Arc, quatre Femen déployaient, à l’intention de notre cortège, une banderole (dont le slogan ridicule et anglophone « sextermination for nazism » sonnait bon la novlangue orwellienne rédigée par des communicants professionnels) depuis le balcon de ce qui a d’abord semblé être une chambre de l’hôtel Régina, et qui s’avéra ensuite être un appartement du ministère de la… culture ! Après une demi-heure de vociférations pitoyables et étouffées par la clameur des manifestants ainsi que par la sono de l’organisation qui crachait du Laibach, les pompiers finirent par faire descendre les quatre femelles une à une.

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C’est à ce moment que Serge Ayoub, principal organisateur de l’événement, ordonna au JNR de s’interposer entre les CRS qui protégeaient les Femen et la foule furieuse de la manière dont la police avait laissé quatre putes ukrainiennes bafouer par leur happening grotesque l’image de la patronne de la France et la mémoire de Sébastien Deyzieu.

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C’est cette décision d’intercaler le JNR entre les CRS et les manifestants qui nous donna la véritable victoire : celle de préserver le déroulement normal de la manifestation. Serge Ayoub avait en effet averti la Police dès 8 heures du matin que les Femen préparait un « coup » aux abords de la place des Pyramides. Il en avait averti la préfecture. En arrivant devant la statue de Jeanne d’Arc, il constate que non seulement les Femen sont au balcon, mais que la préfecture a prévu onze cars de CRS (contre quatre l’an dernier). Pour une manifestation traditionnelle, c’est naturellement disproportionné. Le piège imaginé par le pouvoir est d’un scénario parfaitement galvaudé : trouver des provocateurs, laisser les manifestants s’exciter contre eux, puis, au moment où les manifestants, animés d’une juste colère, veulent punir les provocatrices, faire gazer, matraquer, et arrêter tout le monde par les CRS. Le pouvoir n’aurait plus eu ensuite qu’à décider l’interdiction de la fête de Jeanne d’Arc, « rassemblement de l’extrême droite », pour montrer aux derniers sympathisants qui lui reste qu’il fait bien une politique de gauche. Voilà ce qu’il faut comprendre.

Sans l’intervention indispensable du JNR, il y aurait eu de la répression, et l’interruption de la manifestation.

Sans eux, il y aurait eu des manifestants en garde-à-vue.

Sans eux, il y aurait eu « trouble à l’ordre public », et donc un prétexte pour interdire les défilés futurs, voire les autres manifestations nationalistes.

Sans eux, nous aurions perdu.

Les années passées, nous avions ciblé ce système comme notre ennemi. Cette année, c’est lui qui nous a désigné comme son ennemi. Il a voulu nous réduire, nous faire reculer, nous humilier au moment où nous fêtions la patronne de la France.

Ce 12 mai, le système nous a déclaré la guerre.

Ce 12 mai, nous avons tenu bon.

À l’année prochaine.

Source 3e Voie cliquez ici

23:05 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche après-midi, il y avait aussi le cortège de Civitas...

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La dynamique organisation catholique Civitas organisait dimanche après-midi, comme chaque année, son propre cortège en l'honneur de Sainte Jeanne d'Arc. Plusieurs personnalités politiques ont participé à cette procession parmi lesquelles Carl Lang, président du Parti de la France, Thomas Joly, secrétaire général, Martine Lehideux, Roger Holeindre, Jean-Pierre Reveau et Christian Baeckeroot, membres du bureau politique du PdF.

Rappelons qu'en novembre dernier, lors d'une manifestation contre ce qui était encore alors "le projet de loi Taubira", Civitas avait subi une agression extrêmement violente de la part des pétroleuses "Femen" à la tête desquelles se trouvait d'ailleurs la sinistre donneuse de leçons Caroline Fourest. Rappelons aussi que les Femen n'avaient pas hésité, à l'image de la police du Système, à gazer des enfants dans leurs poussettes.

Arrivé devant la statue de l'héroïne nationale, Alain Escada, Président de l'Institut Civitas, annonça l'organisation, le dimanche 26 mai prochain, d'une nouvelle manifestation nationale contre le mariage gay et contre la politique gouvernementale. En effet, et nous ne pouvons que nous en réjouir, Civitas entend donner à cette manifestation une image beaucoup plus politique.

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23:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Jean-Luc Mélenchon, véritable damné de la pierre...

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Arnaud Raffard de Brienne

En son temps, Frantz Fanon s’était ému du sort des "damnés de la Terre", titre d’un essai paru en 1961 et décrivant, entre autres, le sort des colonisés selon le prisme de la vulgate tiers-mondiste. Mais qui se préoccupe aujourd’hui des tribulations insoutenables des damnés de la pierre, de leurs soucis et contrariétés ?

Tenez, prenons, au hasard, le cas de ce pauvre Jean-Luc Mélenchon, le porte-parole auto-proclamé des pauvres et des exclus, le grand pourfendeur de la droite comme de la gauche, oubliant sans doute ou plutôt tentant de faire oublier qu’il pantoufla plus de trente années au Parti socialiste dont on ne peut affirmer qu’il se soucie vraiment des classes populaires. Le bien peu consensuel Canard enchainé nous révèle que le sieur Mélenchon possède une appartement dans le 15ème arrondissement de Paris, d’une superficie de 218 m2. Pas vraiment une chambre de bonne ou d’étudiant. En plus le 15ème, c’est toujours mieux que Créteil ou Garges-lès-Gonesse. L’agence Immo-Consult, toujours selon le Canard, estime ce modeste logis entre 1,450 et 1,5 millions d’euros. Pas de quoi fouetter un chat, n’est-ce-pas ?

Le pourfendeur des nantis et des héritiers a par ailleurs bénéficié en héritage d’une maisonnette de campagne de 9 pièces, avec dépendances, sur un jardinet de 1,4 hectare, évaluée à 700 000 euros. De plus, une généreuse tante a légué à notre tribun un studio à Deauville – station balnéaire fort peu prolétaire – avec vue sur mer, d’une valeur de 220 000 euros. Soit un patrimoine immobilier de plus de 2 200 000 euros. On ne compte que bien peu de citoyens de gauche comme de droite dotés d’un tel patrimoine !

Question moyen de transport, notre Mélenchon national ne fait pas non plus dans le misérabilisme. Inutile de l’imaginer ahanant, suant et soufflant debout sur les manivelles de sa petite reine car l’heureux porte-parole des défavorisés dispose quand même de trois automobiles : une Clio, une vieille 206 Peugeot et une Citroën C6 Exclusive d’une valeur de 44 000 euros.

A ces quelques menus détails, on comprend mieux que Jean-Luc Mélenchon soit un opposant farouche de la publication par les élus de leur patrimoine.

Dans un entretien à La Croix, il assure ne pas être "un homme public, mais un homme privé avec des activités publiques"."Je suis favorable au contrôle du patrimoine des élus par un organisme indépendant, il n’y a pas de raison que ces informations soient publiées et se retrouvent sur la place publique.La transparence ne doit pas être une exigence névrotique."

Malgré tout cela et si l’on tient compte d’une certaine passion française pour le cocufiage, il se pourrait bien que le porte-parole du Front de Gauche ait encore de beaux jours devant lui.

18:47 Publié dans Les rubriques d'Arnaud Raffard de Brienne | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Nouvelles images de dimanche, ou comment la séance "gazage" était prévue : regardez bien !

18:32 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un mage nommé Hollande

898178450.jpgLe billet de Patrick Parment

Le nouveau gourou économique du PS, ce n’est plus Thomas Piketty – contre lequel Aurélie Filippetti avait porté plainte pour trop plein de torgnoles – mais une jeune femme de 39 ans, Karine Berger, une grande techno qui n’a pas besoin de fumer la moquette pour s’envoyer en l’air et nous refiler le résultat de ses rêves éthérés. Jugez-en par vous-même : Polytechnique, Sciences-Po, école de la statistique et de l’administration économique. Le genre de cursus qui vous mène tout droit à Bercy, ce qui fut le cas, quand Strauss-Kahn en était le patron de surcroît. Ajoutez à cela deux campagnes présidentielles, celle de Jospin puis de Hollande. Et, un court séjour dans le privé, l’assurance-crédit, ce qui n’est pas suffisant pour ressortir aguerri de la libre entreprise. Fonctionnaire donc qui, en raison des services rendus, s’est vue attribuer une circonscription dans les Hautes-Alpes. Et voici notre authentique nuisible qui atterrit à l’Assemblée nationale. 

 Elle a pris aussi le temps d’écrire un livre totalement délirant avec une certaine Valérie Rabault, intitulé Les Trente glorieuses sont devant nous. C’est vous dire le délire avancé de la dame.

Le problème, c’est qu’elle a toujours l’oreille de François Hollande où sa dernière trouvaille a trouvé un écho. Dans un édito de Challenges, canard du groupe Perdriel, le patron du Nouvel Obs, elle nous explique que l’économie fonctionne par cycles et que nous approchons du suivant. L’origine de la crise ? La faillite de Lehman Brothers en 2008. Or, écrit la dame, les crises « durent six à sept ans ». Donc, pour l’Europe, c’est en 2014 que nous sortirons du tunnel. Et la reprise française suivra automatiquement. Comme ça, par simple enchantement.

Pourquoi, en effet, s’acharner à assainir les finances publiques et réduire le train de vie de l’Etat ? Le pire, c’est que Hollande a repris ces balivernes à son compte sur l’air de « demain on rase gratis ».

Quid d’un marché du travail ultrarigide, d’une fiscalité étouffante et un secteur public boulimique ? D’une administration toujours colbertiste ! Les handicaps structurels de ce pays sont tels que l’on voit mal comment la France pourrait bénéficier d’une quelconque reprise.

Qu’un Hollande se laisse berner par ce qui n’est jamais qu’une petite fonctionnaire, en dit long sur cette nomenklatura, de droite comme de gauche, qui ignore superbement les réalités. Et qui n’a aucune idée de ce qu’est l’entreprise.  Sans compter un patronat qui pousse au crime et se nourrit de la chair fraîche des immigrés qu’il exploite et sous-paie avec d’autant plus d’aisance que les syndicats ne représentent plus rien dans ce pays.

C’est dire si nous ne sommes pas au bout de nos peines et que la reprise n’est pas pour demain. Le pire n’est pas à craindre, car on est déjà dedans. C’est d’autant plus navrant que nul n’ignore que ce pays dispose encore de remarquables ressources d’hommes et d’idées.

17:53 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Manuel "Prosper" Valls a loupé son coup : la provocation de ses femen a fait flop !

260358_195481293936446_88448372_n.jpgYves Darchicourt

De toute évidence, la prestation du quarteron de Femen au débouché de la manifestation de l'Union Sacrée des Patriotes hier à Paris a été programmée et organisée par le ministère de l'Intérieur.

Les quatres siliconisées qui ont gesticulé mamelles à l'air et se sont égosillées au balcon d'un appartement donnant sur la statue équestre de Jeanne d'Arc - et dont on dit maintenant qu'il est à disposition du ministère de la culture pour ses hôtes de passage ou les 5 à 7 de ses ronds de cuir - travaillaient sur commande dans ce cadre somme toute familier pour des praticiennes des amours tarifées. Il s'est bien agi d'une provocation destinée à susciter une réaction violente de la part des patriotes participant à la marche contre le mondialisme et pouvant justifier l'intervention des robocops massés aux alentours, à seule fin de faire disperser le cortège avant les allocutions. Le nombre inaccoutumé de journalistes et de photographes embusqués en bonne place pour "rendre compte" de l'évènement suffit à lui seul à prouver que les médias s'attendaient à l'apparition des quatre filles folieuses, à une réaction indignée des militants nationaux et solidaristes et à une charge policière.Fort heureusement, Manuels Valls et les galonnés de la Préfecture sont des sommaires qui n'avaient pas prévu la rapidité d'exécution et le sang-froid du service d'ordre mis en place par les Jeunesses Nationalistes Révolutionnaires : l'incident a fait flop, les quatre "respectueuses" ont été évacuées par les sapeurs pompiers (pour corser le spectacle sans doute) et les robocops ont continué à faire le pied de grue pour rien.

Par effet boomerang, Manuel "prosper" Valls et ses gagneuses ont assuré une belle couverture médiatique à la manifestation unitaire nationaliste et solidariste contre le mondialisme. Une fort belle journée dont on peut suivre le reportage sur le site de Synthèse Nationale ( cliquez ici )

17:08 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Revue de presse : LA DROITE NATIONALE EN ORDRE DISPERSÉ

Axel Richter

Le nouveau NH cliquez ici

Plusieurs défilés se sont succédés au pied de la statue de Jeanne d’Arc, place des Pyramides, dimanche à Paris.

C’est à un curieux ballet de la droite nationale auquel ont pu assister les Parisiens et les touristes devant la statue de Jeanne d’Arc, une sorte de remake du film « Un jour sans fin ». Pas moins de quatre cortèges dimanche matin entre la Madeleine et la place des Pyramides pour rendre hommage à Jeanne d’Arc et un cinquième défilé avait lieu l’après-midi à l’appel des catholiques de l’institut Civitas.

Une journée sans incident notable à l’exception du spectacle offert par les Femen en fin de matinée.

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L’Œuvre française et les Jeunesses nationalistes ont ouvert le bal des défilés et des allocutions. (Photo D.R.)

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Fidèle à son habitude de défiler seule l’Action française a rendu hommage à Jeanne entre les Jeunesses nationalistes et le Renouveau français. (Photo D.R.)

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Au départ de la Madeleine, le cortège du Renouveau français, qui organisait la veille le Ve Congrès nationaliste. (Photo D.R.)

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De loin le cortège le plus nombreux, l’Union sacrée des patriotes français rassemblait sous sa bannière les mouvements, 3e Voie, Nouvelle Droite Populaire, Europe Identité, France nationaliste, Réseau identitaire, MNR. (Photo D.R.)

17:01 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

UNION SACREE DES PATRIOTES : PRES D'UN MILLIER DE NATIONALISTES DANS LES RUES DE PARIS POUR CELEBRER JEANNE D'ARC, COMMEMORER SEBASTIEN ET COMBATTRE LE MONDIALISME !

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Ce dimanche 12 mai, à 10 h 00, c'est près d'un millier de militants nationaux et nationalistes qui a répondu présent, Place de la Madeleine, à l'appel des mouvements 3e Voie, Nouvelle Droite Populaire, Europe Identité, France nationaliste, Réseau identitaire, MNR, et bien d'autres pour manifester contre le mondialisme.

Cette démonstration de force de la résistance patriotique s’est déroulée sans incident. Le cortège unitaire, ouvert par une grande banderole sur laquelle on pouvait lire « UNION SACREE DES PATRIOTES CONTRE LE MONDIALISME », avait une fière allure en cette belle matinée ensoleillée. Des centaines de drapeaux tricolores ainsi que ceux aux couleurs de nos provinces de France donnaient un air festif à la manifestation. Il est vrai que dans la période sombre que traverse notre pays, un an après le retour aux affaires des socialistes, ce cortège était de nature à redonner l’espoir aux militants et aux Parisiens qui étaient venus nombreux sur les trottoirs de la rue de Rivoli pour l’applaudir.

Au mois de février dernier, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale et membre du Bureau de la NDP, avait appelé, à l’issue d’une manifestation devant le Panthéon, à la constitution d’un vaste front nationaliste et populaire unitaire contre le mondialisme. Trois mois plus tard ce front est en train de prendre forme. Le climat d’agitation qui se développe à travers le pays étant de nature à accélérer les choses.

Inquiet de voir se développer un tel mouvement, le pouvoir socialiste, à la solde des mondialistes, se devait de réagir. C’est ainsi qu’il tenta une grossière provocation en envoyant ses chiennes de garde, les Femens, narguer, sous la haute protection des forces de police massivement déployées, les patriotes qui arrivaient Place des Pyramides, là où se trouve la statue de Sainte Jeanne d’Arc, héroïne de la Patrie. Quatre péronnelles, les seins à l’air, ont déployé d’un balcon situé au quatrième étage d’un immeuble donnant sur cette place, une banderole sur laquelle on pouvait lire «  Sextermination (?... il faudra nous expliquer) for nazism ». Visiblement, elles ne savent pas parler français, mais elles ont la prétention de donner des leçons aux Français... incroyable.

Nous avons aussitôt compris la manœuvre. Le pouvoir, comptant sur la légitime exaspération  des manifestants qui arrivaient en masse, voulait les disperser avant que les responsables des organisations nationalistes prennent la parole. Cela aurait pu marcher mais les provocateurs de la bande à Manuel Gaz n’avaient pas prévu l’efficacité et le sang-froid du service d’ordre des JNR qui réussit à éviter tout affrontement direct avec les CRS en s’interposant afin de protéger les patriotes. Piteusement, au bout d’une heure, les quatre folles dégagèrent de leur balcon (en fait celui d’un appartement  appartenant à l’administration - comme c’est curieux !) grace à l’intervention des pompiers et disparurent subitement dans un car de police. Pitoyable rôle que celui de petites domestiques de l’hyperclasse apatride….

L’ordre revenu, le meeting pouvait donc commencer. Et ce fut un grand moment. Se succédèrent à la tribune : Hervé Van Laethem, dirigeant du mouvement Nation, Roland Hélie, notre directeur, Richard Roudier, président du Réseau identité et président de la Ligue du Midi, et Serge Ayoub, porte-parole de 3e Voie et principal organisateur de cette grande et belle manifestation de la France française.

Très bientôt vous pourrez suivre ces interventions sur ce site.

Le 12 mai 2013 aura été une nouvelle occasion pour les nationalistes de prouver leur force et leur volonté de se rassembler. Au-delà de la contestation actuelle contre la dénaturation du mariage, il est temps de proposer une alternative crédible au système qui, depuis trop longtemps, veut détruire nos identités, nos libertés et les fondements de notre civilisation. Comme l'a proclamé Roland Hélie en concluant son discours : « Combattre la loi Taubira, c’est bien. Abattre l’idéologie mondialiste, c’est mieux ! ».

Et comme chez nous ça se termine toujours par une fête, c'est dans une ambiance de franche camaraderie que plusieurs centaines de jeunes nationalistes (et de moins jeunes) se sont retrouvés dimanche après midi pour assister à un concert donné par nos amis italiens du groupe Drizzatorti, venu spécialement de Rome, et par notre Cher Dr Merlin... et au diable les Femen !

 

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Union sacrée des patriotes : les interventions...

 Hervé Van Laethem, Roland Hélie, Richard Roudier

 

 Serge Ayoub conclue la manifestation

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Manifestation contre le mondialisme : la police met 1 heure pour dégager 4 hystériques, elle met 1 minute pour enchrister un patriote !

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dimanche, 12 mai 2013

C’est l’histoire d’un électeur… à Villeneuve-sur-Lot !

Randa Philippe août 2010 Portrait.jpgLa chronique de Philippe Randa

Il fut un temps où un commerçant en faillite se tirait une balle dans la tête, moins pour échapper à ses créanciers que pour laver son honneur et préserver ce qu’il estimait primordial pour ses proches : l’honneur de son nom. Idem pour un militaire vaincu. Mais comme on dit actuellement : « Ça, c’était avant ! »

La preuve par Jérôme Cahuzac.

Certes, l’ex-député, ex-ministre, ex-membre du Parti socialiste, mis en examen pour blanchiment de fraude fiscale pour avoir détenu et avoué avoir possédé un compte bancaire à l'étranger, n’est ni un ex-commerçant, et encore moins un ex-militaire. Un simple politicien. Mais quand même ! À défaut de se loger quelques centimètres de métal dans la tronche, on aurait pu s’attendre de sa part à un retrait de la vie publique… ou tout au moins à une discrétion, même passagère.

Que nenni ! Après avoir laissé durer le suspense sur la récupération – comme la loi le lui autorisait – de son siège de député auquel il a finit par renoncer, toujours avec la moue dédaigneuse qu’il affiche en permanence, il laisse désormais planer le doute sur sa possible candidature à la législative partielle des 16 et 23 juin prochain de sa circonscription du Lot-et-Garonne…

Et pour que tout un chacun comprenne bien ses intentions – en tout cas, celles de prouver qu’il est toujours là et bien là – il est venu samedi matin arpenter les allées du marché de Villeneuve-sur-Lot. Comme au bon vieux temps, celui où il était le tout puissant député-Maire. Serrant des mains, distribuant ses compliments et ses commentaires. Et Jérôme Cahuzac a prouvé qu’il ne volait pas seulement les contributions directes, mais aussi la vedette… au Front de gauche qui, inaugurant une permanence dans la ville, a vu les journalistes venus pour l’occasion, s’envoler dans sa direction, sitôt sa présence connue.

L’attitude du personnage soulève évidemment bien des questions… Qu’est-ce qui peut bien le pousser à pourrir ainsi la vie de ses anciens copains socialistes ? Le sentiment d’être lâchés par nombre d’entre eux tout aussi coquins que lui, voire même davantage… ou faire pression sur les mêmes afin de se négocier un avenir le plus confortable ou le moins désagréable possible ?

Ou alors la conviction que rien n’est encore perdu. Soit la possibilité d’être réélu dans un mois au nez et à la barbe d’un pays indigné, mais où il est de notoriété publique qu’« impossible n’est pas français. »

La circonscription, en effet, n’est guère « à droite » : depuis 1988, le Parti socialiste ne l’a cédé qu’a un centriste (de l’UDF à l’époque) entre 2002 et 2007… et Jérôme Cahuzac, après l’avoir emporté avec 52,08 % des suffrages, y a été réélu en 2012 avec 61,48 %.

Le candidat désigné par le Parti socialiste claironne, fort de ses chiffres, qu’il est confiant… Mais l’étiquette du parti à la rose est-elle vraiment si porteuse que cela depuis un an ? Outre le plongeon de la cote de popularité du locataire de l’Élysée et de son inexistant Premier ministre, le « scandale Cahuzac » n’a sans doute pas été sans répercussion sur l’électorat socialiste dont était tout de même issu la brebis galeuse qui n’entend pas se laisser clouer au pilori de l’infamie sans mots dire… et sans maux collatéraux.

Tout peut donc dépendre sur place de l’existence des réseaux d’influence de Jérôme Cahuzac… ou de ce qu’il en reste ! Que ses obligés soient nombreux – et pourquoi pas ! — et se mobilisent comme il faut, le personnage peut très bien décrocher au minimum un ticket de second tour. Ce qui serait déjà acquérir une légitimité pour reprendre pied sur l’échiquier politique français… et préparer un futur retour à l’Assemblée nationale, que ce soit dès le 23 juin prochain… ou plus tard.

Car l’électeur, dégoûté par la classe politique, toute étiquette confondue, peut créer la mauvaise surprise par simple esprit de représailles. Rappelons-nous le précédent Coluche… L’humoriste avait annoncé sa candidature, à poil et une plume dans les fesses… et avait persisté, soutenu à l’époque par l’équipe d’Hara Kiri, emmené par le défunt professeur Choron. Il fut rapidement crédité de 15 % des intentions de vote dans les sondages(1) et obtint sans difficulté plus de 500 signatures d’élus pour le parrainer.

Certes, le « mec » finit par retirer sa candidature, mais son « histoire »(2) avait tout de même soulevé un vent de panique dans la classe politique de l’époque : celle-ci avait bel et bien failli être ridiculisée.(3)

Imaginons qu’un Jérôme Cahuzac, voleur avoué, parjure devant ses pairs de l’Assemblée nationale et, bien plus grave pour le système, « les yeux dans les yeux » devant un procureur de la « Cour médiatique »(4) soit reconduit à l’Assemblée nationale par une majorité d’électeurs…

Existerait-il pire scénario pour l’UMPS ?

On se prend à rêver d’être électeur de Villeneuve-sur-Lot…

Notes

(1) Le 14 décembre 1980, un sondage publié par Le Journal du dimanche le crédite de 16 % d'intentions de vote.

(2) Allusion à un sketch célèbre de l’humoriste : C’est l’histoire d’un mec…

(3) Michel Debré, ancien Premier ministre et père de l’actuelle Constitution française et candidat à l’élection présidentielle, était alors crédité de quatre fois moins de suffrage que Coluche.

(4) Sur BFM TV, devant Jean-Jacques Bourdin, le 8 février 2013.

23:09 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

J’étais trotskiste, j’ai rejoint la droite nationale…

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Patrick Gofman

Boulevard Voltaire

Entretien avec Nicolas Gauthier cliquez ici

Longtemps, Patrick Gofman fut trotskiste. Tendance PCI. Comme Lionel Jospin, Jean-Christophe Cambadélis ou Jean-Luc Mélenchon. Il y a presque trente ans, il est passé de l’autre côté de la barricade, apportant sa plume à divers organes de ce qu’il est convenu de surnommer la droite nationale. Dans Trotskisme dégénéré, il revient sur les folles années de sa jeunesse. Sans nostalgie ni repentance. Entretien.

Votre témoignage sur ce passé trotskiste est sans complaisance ni repentance. Déjà, c’est digne. Nonobstant, on sent chez vous le besoin, à un moment de votre adolescence, d’entrer en religion…

Il serait non seulement indigne mais aussi stupide de se repentir d’avoir eu 18 ans ! Et puis c’était tellement plus marrant de bâtir une secte incendiaire, de terroriser les adultes, plutôt que d’étudier docilement, d’être un « bon sujet », comme dans la comtesse de Ségur.

À vous lire, il y aurait dans le communisme et sa version trotskiste une sorte de dimension eschatologique. Vous attendiez le « Paradis sur Terre » et pratiquiez les confessions publiques plus ou moins forcées.

« L’autocritique » à laquelle vous faites allusion était plutôt stalinienne et maoïste. Ce qui ne fait aucun doute, ce sont les emprunts de Lénine au christianisme, parfois mot à mot : « Hors du Parti, point de salut ! » L’ex-séminariste Staline, pendant la guerre civile : « J’ai ramené tel régiment à la foi orthodoxe ! »

Le gaullo-pompidolisme immobilier, malgré ses augustes racines résistancialistes, valait-il toujours forcément mieux ?

Non seulement il ne valait pas mieux, mais il nous qualifiait d’enragés sans bien comprendre que la rage nous venait de son affairisme, de son hypocrisie, de son oppression conservatrice…

Vous voilà désormais relégué dans un autre champ politique alternatif, celui du « Mouvement national », notion qu’on trouve sous votre plume et dont nous vous laissons l’entière responsabilité. D’un château l’autre ?

Pourquoi « relégué » ? Je suis heureux d’aider tout le mouvement national, sans adhérer à aucune de ses composantes. Mon retour à la patrie est sincère et même enthousiaste. Un soir, Jean-Marie Le Pen m’achète un exemplaire de mon Dictionnaire des emmerdeuses (Grancher), le lendemain, le mouvement Synthèse nationale, opposition « de droite » composée d’anciens transfuges du FN, publie Le Trotskisme dégénéré. Oui, d’un château, d’une joie, d’une liberté l’autre…

À lire votre livre, il y a beaucoup d’humour et de colère sous votre plume. Lequel de ces deux sentiments prédomine-t-il en cette jolie journée de printemps ?

On a assez répété que « l’humour est la politesse du désespoir ». En cette belle journée de printemps français, j’oscille en chantant de la colère plaisante à la blague furibonde !

Trotskisme de-ge-ne-re-.jpgCommandez Le Trotskisme dégénéré, le nouveau livre de Patrick Gofman cliquez ici

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samedi, 11 mai 2013

DJIHADISTES OU BRIGADISTES ?

Photo 003.jpgPieter Kerstens

Les ministres de l’Intérieur français, Manuel VALS, et belge, Joëlle MILQUET, s’étonnent et s’offusquent que des volontaires musulmans, issus des « banlieues » puissent s’engager dans les rébellions en Lybie, en Syrie ou au Mali aux côtés des mercenaires payés, entraînés et armés par l’Arabie Saoudite et le Qatar.

Quoi de plus normal puisque depuis plusieurs années les gouvernements européens ont aidé à la déstabilisation de l’Irak, de l’Afghanistan, de l’Egypte, de la Tunisie ou de la Lybie hier, et aujourd’hui de la Syrie.

Les complices de la parodie de procès de Saddam Hussein ayant conduit à sa pendaison, les commanditaires de l’assassinat de Mouammar Kadhafi, les responsables de l’échec afghan, de l’éviction de Moubarak et de Ben Ali, ceux qui exigent la peau de Bachar-el-Assad, refusent maintenant que des milliers de maghrébins inassimilables puissent rallier les sunnites au Proche-Orient, au Maghreb ou ailleurs en Afrique.

Pourquoi reprocher à ces volontaires d’aller défendre leurs convictions ou leur idéal pour une cause qui leur a été présentée comme indispensable à l’instauration de la « démocratie » ?

Pourquoi critiquer ces « jeunes » et condamner leur engagement, alors que dans le même temps les médias, aux ordres du gouvernement, dénoncent en permanence ces « dictatures » à abattre ?

Les donneurs de leçons de la mafia socialaud-libéro-écolo-humaniste feraient bien de se taire et balayer devant leur porte.  Durant la guerre d’Espagne (1936-1939) des dizaines de milliers d’européens ont rejoint les Brigades Internationales au prétexte d’instaurer, les armes à la main, le communisme (chanté et adulé par Dolorès Ibarruri la « Pasionaria ») contre la volonté de la majorité du peuple espagnol.  Ces brigadistes du marxisme mondialiste ont toujours et partout été montrés en exemple, tout au long de la seconde moitié du XXème siècle, par les charlatans de la démocrasse.

Il est donc naturel, logique et compréhensible que le combat pour défendre le domaine de l’Islam soit aujourd’hui alimenté par des volontaires – janissaires du 21ème siècle – nourris et lobotomisés par ceux qui durant des décennies ont saboté et vilipendé les valeurs séculaires qui ont fait la grandeur de l’Europe.

Mais le déclin de notre civilisation et la décadence de notre culture conduisent une partie des immigrants à se tourner vers d’autres horizons.  C’est pourquoi le boomerang droit de l’hommiste et la culture de l’excuse se retournent contre les saltimbanques de la Pensée Unique, du Politiquement Correct et du Melting-Pot à tous les étages !

Et quand Carla DEL PONTE, membre de la Commission de Recherche de l’ONU sur les violations des Droits de l’Homme, confirme maintenant que les rebelles de l’ASL et les katibas salafistes utilisent la torture, commettent d’innombrables viols envers les civils et font usage de gaz sarin pour assassiner la population, il est grand temps d’ouvrir les yeux, de changer de discours et de tout mettre en œuvre pour sauver le soldat BACHAR ! 

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Marseille : six racailles de moins depuis le début 2013 !

3041062348.jpgYves Darchicourt

A Marseille, la truanderie continue de réduire ses effectifs ! C'est une pratique propre aux prédateurs que de maintenir leur nombre à un niveau raisonnable sur leur territoire pour continuer à y vivre dans des conditions acceptables. Ainsi depuis le début de l'année, six racailles "marseillaises" ont été farcies de plomb (il y en a eu 24 en 2012) ; Iskander le dernier en date s'est allourdi de 23 balles de 9mm, trucidé proprement par des tueurs à moto, un modus operandi classique mais imparable, scène culte vue et revue dans nombre de polars. Inutile de préciser qu'Iskander était un "jeune", connu des services de police et membre d'un gang soupçonné d'avoir perpétré l'attaque d'une bijouterie le 30 mars dernier durant laquelle des coups de feux avaient été tirés sur la police. Une racaille donc, dessoudée par d'autres racailles, qui s'en plaint réellement ? Certainement pas les honnêtes citoyens, ni les policiers de terrain qui comptent les coups sans doute avec satisfaction.

Manuel Valls y est allé de ses rodomontades habituelles sans une fois de plus aller au fond des choses même s'il a osé évoquer un "néo-banditisme propre aux cités". L'augmentation des effectifs de police n'ont pas servi et ne serviront pas à grand'chose tant que les policiers n'auront pas consigne d'aller traquer la racaille là où elle se trouve, c'est à dire dans les enclaves exotiques des "quartiers nord" qui lui servent de base, de refuge, de zone de stockage, d'arsenal et de pouponnière. Présence policière et investissements massifs aux frais des contribuables sont aussi inutiles que coûteux dans ces "quartiers", peuplés qu'ils sont de surnuméraires allogènes qui entendent continuer à bien vivre des aides publiques et de la truanderie sans même envisager de devoir travailler. A Marseille, comme en tant d'autres villes françaises ceintes de banlieues criminogènes, ce n'est pas un Tartarin qu'il faut, c'est un Matamore (au sens ethymologique du terme) ou un flic à la Audiard n'hésitant pas à organiser la Saint-Barthélémy du mitan. En attendant, que les racailles s'entre-tuent, personne de sensé ne s'en plaindra !

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vendredi, 10 mai 2013

Dimanche 12 mai, Fête de Jeanne d'Arc (10 h, Place de la Madeleine à Paris) : TOUS A LA MANIF CONTRE LE MONDIALISME !

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Goldofaf à Villepreux (78) samedi :

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Vendredi, c'est le jour de Rivarol !

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Chez votre marchand de journaux 3,50 €

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jeudi, 09 mai 2013

Vendredi soir, sur Méridien zéro :

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Méridien zéro RBN

Avec Georges Feltin-Tracol

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Un an que François Hollande veille sur la France et les Français !

2778009759.jpgYves Darchicourt

François le Normal règne depuis un an : la France en récession, 3.224.000 chômeurs (10,50% de la population active), le niveau de vie qui baisse, des millions de français de tous âges à la limite du seuil de pauvreté, une pression fiscale sans précédent, une insécurité galopante, des banlieues entières aux mains de la racaille allogène, une déferlante migratoire ininterrompue, budgétivore et criminogène, une maffia politicienne de copains-coquins aux ordres de la finance anonyme et vagabonde... et sans doute satisfait de son bilan économique et social, Pépère - qui a "sinécurisé" Mémère 1 à la Banque Publique d'Investissement - emmène Mémère 2 au Maroc aux frais du contribuable et - tel un gros loukoum dans son emballage doré - succombe à une douce somnolence gastro-hépatique aussi ridicule que peu diplomatique.

Evènement emblèmatique, le parangon des privilégiés du Système roupille, repu et embrumé, aux côtés de sa maîtresse tandis que le France crève et que des millions de français sont dans la misère. Le réveil risque d'être dur pour Hollande, sa cour et sa clique ! Le plus tôt sera le mieux !

18:28 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Chronique de la France asservie et résistante...

2666464449.jpgRobert SPIELER 

RIVAROL N° 3092 du 3 mai 2013

 

LE SITE Atlantico a obtenu une vidéo tournée en cachette du « Mur des Cons » du Syndicat de la magistrature. Les photos des ennemis de ce syndicat, ennemis à abattre, sont exposées à la façon dont les maoïstes exposaient les portraits de leurs ennemis sur les murs d’infamie, avant de leur faire un sort. Parmi eux, de nombreux hommes politiques de droite, des intellectuels, des journalistes…

 

IL FAUT DISSOUDRE LE SYNDICAT DE LA MAGISTRATURE !

 

Le Syndicat de la Magistrature, créé en 1968, représente un tiers des magistrats de l’ordre judiciaire et avait appelé en 2012 à voter contre Nicolas Sarkozy. Christiane Taubira, la garde des Sceaux, avait d’ailleurs ouvert son 46e Congrès en novembre dernier. Sur le « Mur des Cons » sont exposées des dizaines de photos de personnalités classées à droite (du moins aux yeux du syndicat). On y retrouve Nicolas Sarkozy, mais aussi, Eric Woerth, Edouard Balladur, Nadine Morano, François Baroin, Luc Chatel, Michèle Alliot-Marie, Luc Ferry, Eric Besson, Christian Jacob, ou encore Patrick Balkany. Et puis, ma Christine y figure ! Mais pas Marine Le Pen… Certains sont cependant marqués d’un signe supplémentaire d’infamie : un autocollant du Front National. Le portrait de l’ancien ministre de l’Intérieur Brice Hortefeux est souligné d’une mention qui se veut particulièrement injurieuse : « L’homme de Vichy ». Certains intellectuels, tels Jacques Attali, Alain Minc, Guy Sorman, ou encore Alexandre Adler, y figurent. On notera qu’ils sont tous juifs. D’où l’épouvantable question que les media n’ont pas osé poser : le Syndicat de la Magistrature ne serait-il pas antisémite ? Des journalistes ont aussi droit à l’opprobre : Eric Zemmour, bien entendu, l’ancien directeur du Figaro Etienne Mougeotte, et l’ancien patron de TF1, Patrick Le Lay ; l’éditorialiste du Figaro Yves Thréard, la journaliste Béatrice Schoenberg (épouse à la ville de Jean-Louis Borloo) ou encore le présentateur David Pujadas. Et… honneur à lui, Robert Ménard ! On se demande ce que fait là Pujadas, qui est un cireur de pompes de grande envergure. La liste n’est pas close. Le Mur des cons est d’ailleurs évolutif. Chaque magistrat syndiqué est invité à y placarder une prochaine victime : « Avant d’ajouter un con, vérifiez qu’il n’y est pas déjà ». L’ancien ministre de l’Education nationale, Luc Ferry, commente avec humour : « Je suis scotché. »

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LE GÉNÉRAL SCHMITT, PÈRE D’ANNE-LORRAINE EST UN “CON”

 

Philippe Schmitt, général en deuxième section, figure sur le Mur des cons du Syndicat de la Magistrature (SM). C’est Jean-Dominique Merchet, journaliste à Marianne (hebdo plutôt de gauche) qui le raconte. Philippe Schmitt a eu le désagréable surprise de s’y découvrir. Qu’a-t-il fait pour être ainsi jeté aux chiens ? Philippe Schmitt est le père d’Anne-Lorraine, assassinée de 34 coups de couteau dans le RER D, le 25 novembre 2007, par un récidiviste Thierry Devé-Oglou, condamné depuis lors à la réclusion à perpétuité. Anne-Lorraine se destinait au journalisme et se passionnait pour les questions de défense. Depuis sa mort, un prix portant son nom est décerné chaque année par l’Association des journalistes de défense (AJD). A la suite de ce drame, Philippe Schmitt a critiqué « les libérations irresponsables de violeurs récidivistes et le laxisme de certains juges d’application des peines » et s’est, avant de s’en éloigner, engagé au sein de l’Institut pour la Justice — un organisme plaidant pour une plus grande répression. Voilà, aux yeux du SM, les preuves de sa “connerie”. Constatant avec « stupeur et profond dégoût », sa présence sur le Mur des cons, Philippe Schmitt estime que « à travers cet acte, c’est la mémoire de notre fille qu’on insulte, ce sont aussi toutes les familles de victimes qui peuvent ainsi constater le mépris et la haine que ce syndicat de magistrats éprouve à leur égard ». Philippe Schmitt et son épouse ont chargé leur avocat « d’étudier les suites judiciaires à donner à cette lamentable affaire ». Félicitons le journaliste de Marianne pour son commentaire : « Si le Syndicat de la Magistrature conserve son Mur des cons, qu’il n’hésite pas à y faire figurer l’auteur de ces lignes. J’y serai, aux côtés de Philippe Schmitt notamment, en excellente compagnie. » Exigeons la dissolution du Syndicat de la Magistrature ! Guillaume Peltier et les représentants de la Droite forte proposent « d’interdire le syndicalisme dans la magistrature ». Interdisons en effet le syndicalisme dans la magistrature, mais aussi l’appartenance à la franc-maçonnerie !

 

JEAN-LUC MÉLENCHON PREMIER MINISTRE ?

 

Mélenchon, qui ne doute de rien, vient de déclarer sur Europe 1 qu’il se verrait bien à Matignon. La question qui lui était posée était : « François Hollande doit-il vous nommer Premier ministre ? » Mélenchon, a répondu, bravache : « Je travaille à cela. Bien sûr, c’est le but. François Hollande avait une chance de faire quelque chose de bien, il l’a ratée. Il peut se rattraper… Il peut me nommer Premier ministre. Je n’ai pas peur ! » Si Jean-Luc Mélenchon était nommé Premier ministre, j’en connais quelques-uns qui auraient intérêt à traverser le Rhin à la nage. Vite fait…

 

LES DERNIÈRES AVENTURES DE SÉGOLÈNE

 

Ségolène Royal vient d’être nommée vice-présidente de la Banque publique d’investissement (BPI). Un hochet, à vrai dire. Le vrai patron de la banque est Nicolas Dufourcq, le directeur général, avec lequel elle entretient des relations quelque peu tendues. Il y a une semaine, se tenait le deuxième conseil d’administration de la nouvelle entité. Une conférence de presse était programmée à l’issue du conseil. Que fit Ségolène ? Elle quitta précocement la réunion pour donner sa propre conférence de presse. Du coup, l’ambiance est curieusement exécrable au sein de la BPI…

 

LE COLOSSAL LAPSUS DE VALLS

 

Manuel Valls était interrogé, il y a quelques jours, au micro d’Europe 1, sur le mariage homosexuel. Il a commis cette déclaration grandiose : « Quand la droite reviendra au pouvoir, et j’espère que ce sera le plus longtemps possible, il n’y aura pas de remise en cause de la loi sur le mariage homosexuel. » Les Twitters se sont évidemment déchaînés, posant la question : « Manuel Valls, ministre d’ouverture ? ». Et que fit Europe 1 ? Il modifia les propos tenus par le ministre, écrivant sur son site : « Quand la droite reviendra au pouvoir, et j’espère que cela sera le plus tard possible ». Ils sont vraiment sympas, ces journalistes. En attendant, Manuel Valls n’en est pas à sa première gaffe. Récemment invité sur le plateau de France 2, au sujet de l’affaire Cahuzac, il avait déclaré : « Des ministres ont trahi ». Lesquels (en dehors de Cahuzac) ! Des noms !

 

LES “TÊTES DE NAZIS” DES MANIFESTANTS ANTI-MARIAGE HOMOSEXUEL

 

On n’avait pas trop fait attention, mais c’est vrai quand on y réfléchit. « La plupart des manifestants de la manif pour tous ont une tête de nazis ». C’est ce que vient d’écrire Sihem Souid, membre du cabinet du ministre de la Justice, Christiane Taubira, sur son compte tweeter. Et lui, il a une tête de quoi ? Manuel Valls, toujours lui, avait déjà évoqué Vichy pour diaboliser les manifestants opposés au mariage homosexuel. Alors qu’il avait fait gazer des enfants… Il fallait oser.

 

LA JUSTICE A PERDU LE DOSSIER VANNESTE

 

Christian Vanneste, ancien député, paraît-il de droite, avait, il y a un an, expliqué que le « lobby gay » disposait d’une puissance médiatique parfaitement disproportionnée. Il disait : « Fort de sa domination dans les media, il use d’une désinformation systématique, notamment fondée sur la victimisation des homosexuels ». Vanneste prenait en exemple la « légende de la déportation des homosexuels en France », propos confirmés par Serge Klarsfeld. Il déclara : « Je nie une politique de déportation des homosexuels français depuis le territoire national, par les Allemands, les collaborateurs ou les autorités de Vichy ». Il ajoutait assez perfidement que beaucoup d’homosexuels n’avaient pas eu à se plaindre de leur situation à cette époque, « à commencer par le ministre de Pétain, Abel Bonnard, et bien d’autres. » En effet. Abel Bonnard, ministre de ce qui deviendra l’« Education nationale » avait droit au beau surnom de “gestapette”… Quant à Benoist-Méchin, il eut l’insigne honneur de rencontrer le Führer à Berchtesgaden, sans que celui-ci ne lui impose le port du triangle rose. Mais revenons à Vanneste. Il avait assigné ceux qui osaient parler à son sujet de “négationnisme”. Prudent, il avait cependant déclaré n’avoir jamais « nié la déportation, ni les six millions de victimes de la Shoah », rappelant les propos très forts qu’il avait tenus à Auschwitz, au nom du groupe UMP. Oui, mais cela n’avait pas suffi… Le magazine L’Express avait cependant usé à son encontre de ce terme abominable : “négationniste”. Du coup, Vanneste, pas content, avait porté plainte. Le procès devait avoir lieu. Mais le procès n’aura pas lieu. Pourquoi ? Eh bien, le dossier, pardi, le dossier a disparu. Furieux, il écrit : « Lorsqu’une démocratie privilégie des minorités, elle n’est plus une démocratie. » Mais de quelles minorités parle-t-il ?

 

LE LOURD SOMMEIL DE MOSCOVICI

 

Les media internationaux en font des gorges chaudes. Pierre Moscovici s’est assoupi en pleines négociations européennes sur Chypre. Apparemment, ça ne passionnait pas plus que cela. Mais il s’en défend : « Non, je ne dors pas pendant les négociations », vient-il de tweeter. L’honneur de la France étant en jeu, nous voici rassurés… Au fait, à propos de Chypre : le ministre turc des Affaires européennes, Egemen Bagis, commentant avec ironie la crise financière à Nicosie, vient de déclarer : « La Turquie est prête à soutenir la partie grecque de Chypre si elle souhaite adopter la livre turque. » La partie nord de l’île grecque est occupée depuis 1974 par la Turquie. Mais peut-être Moscovici finira-t-il, comme la Belle au Bois dormant, par se réveiller au bout d’un siècle, d’un long, très long sommeil ?

 

LA “MORALE LAÏQUE” DE PEILLON

 

Le ministre de l’Education, Vincent Peillon, détaille la mise en place de cette nouvelle discipline, qui sera enseignée dans nos écoles dès 2015. Cet enseignement aura sa place, des programmes de CP jusqu’en terminale. Les auteurs de ce projet sont Alain Bergougnioux, secrétaire national à l’éducation du PS, un professeur féminin de philosophie de l’éducation (on craint, à raison, le pire) et le conseiller d’Etat Rémy Schwartz. Le but de cette nouvelle discipline ? « Enseigner et faire partager les valeurs de la République. » Elle inculquera aux élèves « des notions de morale universelle, et non religieuse, telles que le vivre ensemble (que c’est beau !) et l’égalité homme-femme en insistant sur le principe de laïcité. » Mais attention ! Les enseignants devront « veiller à ne blesser aucune conscience tout en transmettant des valeurs communes à tous les enfants, quelles que soient leurs croyances religieuses. » Mais ne s’agit-il pas d’un bourrage de crâne, digne des plus estimables dictatures ? Pas du tout ! Le Pingouin, qui a réponse à tout, comme tous les pingouins, démine le terrain : les cours de morale ne sont pas voués à enrégimenter les élèves, mais à « permettre à chacun de construire sa liberté dans le respect de celle des autres. » Il n’y a que les imbéciles pour se sentir obligés de le croire…

 

POURQUOI TANT DE HAINE À L’ENCONTRE DE FRIGIDE BARJOT ?

 

Le vote du projet de loi en faveur du mariage homosexuel a eu lieu, il y a quelques jours. Parmi ses opposants les plus déterminés, Henri Guaino a voté oui. Par erreur, il avait appuyé sur le faux bouton. Il est vrai que ce n’était pas si simple que cela. Il fallait choisir un des trois boutons : pour, contre et abstention, ce qui, dans le climat de coup d’Etat qui régnait à l’Assemblée, a considérablement ému Guaino, qui s’est trompé. Mais, rassurez-vous, il a corrigé son vote auprès des services. Pendant ce temps, Frigide Barjot était exfiltrée de l’Assemblée nationale sous les quolibets des pro-mariage gay, qui lui ont lancé : « Raciste, nazie, facho ! », ce qui est profondément injuste. Elle croisa, dans un état second, Jean-Luc Romero, conseiller régional homosexuel PS d’Ile-de-France, qui lui dit son fait. Frigide, après s’être extirpée de la foule, a tweeté plaintivement, dénonçant la “haine” et la “violence” dont elle avait été victime. Ça lui apprendra… Après tout, elle aurait pu se faire accompagner de quelques skinheads pour assurer sa protection.

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mercredi, 08 mai 2013

ATTENTION, cette semaine au Local : conférence vendredi 10 mai à 19 h 30, avec Serge Ayoub et Roland Hélie...

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mardi, 07 mai 2013

Le 7 mai...

imagesCA9WSTNL.jpgPieter Kerstens

En 1919,  naissance de Eva Duarte de Peron à Los Toldos en Argentine.

Mais  le 7 mai  en 1954, c’était  la chute du camp retranché de Dien Bien Phu. Ni capitulation… Ni reddition !

Et pour ces milliers de vaincus commence une lente descente aux enfers, l’apprentissage du désespoir. Mais ce qu’ils ne savent pas, parce que personne ne leur a jamais dit, c’est que la liberté était en marche et venait à leur rencontre.

Car si la presse du monde entier annonce, en première page le 8 mai 1954, la défaite française et la perte irrémédiable de l’Indochine, les tribus montagnardes, elles, se soulèvent. Par milliers, les maquisards se mettent en route et libèrent des villes abandonnées précédemment par les Français et occupées par les troupes de Giap. Dien Bien Phu appartient au Viet Minh, mais tout l’arrière pays leur échappe ! Jamais les volontaires méos n’ont été aussi nombreux et enthousiastes dans la jungle, les vallées et les forêts du Nord Tonkin et du Nord Laos…alors que semble triompher l’ordre rouge. Ly Séo Nung et ses partisans ont repris Lao Kay à la frontière de Chine, ainsi que Laï Chau, et ses guerriers vêtus de noirs sont arrivés en vue d’Eliane 2, le 8 mai.

Ce même jour, le colonel Godard commandant la colonne Crèvecœur a reçu l’ordre de faire demi-tour pour rentrer au Laos alors qu’il ne restait plus que 50 kms pour aboutir à Dien Bien Phu. Il aurait rencontré les maquisards de « Malo » et « Servan », venus de la plaine des Jarres, plus de 2.000 méos autour de leur roi Touby Liphong, allié de la France dès l’invasion japonaise. Après des semaines de marches harassantes dans la jungle, des escalades de pitons calcaires, le franchissement d’innombrables rivières et vallées, ils sont sans doute partis trop tard. Mais qu’auraient-ils pu faire face aux 60.000 bo-doïs du Viet Minh ?

Et la France a délibérément ignoré le sort qui attendait les dizaines de milliers de montagnards qui attestaient les armes à la main dans les hautes vallées d’Indochine, leur refus d’être livrés, pieds et poings liés, aux Tonkinois, ces étrangers qu’ils avaient toujours combattus. Honte à Mendès France !

Et jamais cette question n’a été posée aux Vietnamiens « A Dien Bien Phu, vous avez capturé 11.721 soldats de l’Union française, valides ou blessés. Après les accords de Genève, vous nous en avez rendus 3.290. Ils en manquent 7.801. Que sont-ils devenus ? »

J’ai eu la chance de pouvoir parcourir, l’automne dernier, le nord du Tonkin sur plus de 3.000 km. Ce circuit en boucle, de Hanoi à Haiphong, en passant par Mai Chau, Son La, Dien Bien Phu, Cha Pa, Bao Ha , Yen Binh, Bac Quang, Quan Ba, Yen Minh, Coc Pan, Cao Bang, Dong Khe, Na Cham, Dong Dang, On, Bac Ninh, et Ha Long m’a permis de visualiser le cadre décrit dans les multiples ouvrages concernant la guerre d’Indochine (de 1945 à 1954).

Ce périple « sur les traces de la Légion Etrangère » était aussi l’accomplissement d’une promesse faite à deux anciens képis blancs -à des périodes différentes- si d’aventure j’allais au Viet Nam, je rechercherais les lieux historiques et j’irais aussi me recueillir, en mémoire du sacrifice des dizaines de milliers de soldats tombés pour la défense du drapeau français et des valeurs qui s’y rattachent (courage, fidélité, patrie, famille, honneur, abnégation ou ténacité).

A Dien Bien Phu se trouvent d’immenses monuments érigés à la gloire de l’Armée de Libération du Vietminh, commandée par le génial et illustre général GIAP au service de l’Oncle HO ; monuments qui écrasent les visiteurs étrangers par la hauteur de leur suffisance. Pour ma part j’ai ignoré la propagande marxiste (nous étions selon mon guide, mon épouse et moi, les seuls touristes étrangers à ne pas vouloir visiter le champ de batailles, le musée et le mausolée) et je me suis rendu au monument de l’armée française.

Ce petit obélisque se situe dans le quartier Thanh Truong, près de la reconstruction du tunnel De Castries. Très rares sont les visiteurs qui se recueillent là, dans ce carré chargé de symboles, de sang et de sacrifices, d’explosions et d’exploits, de victoires et d’humiliations.

Ce monument a été érigé grâce à l’obstination de Rolf Rodel, sous-officier de la Légion et ancien combattant du Front de l’Est. En effet selon certaines sources, la Légion Etrangère avait enrôlé 35.000 soldats allemands issus des camps de prisonniers, au lendemain de l’armistice, dont plusieurs dizaines de sous-officiers et certains officiers, très compétents et efficaces, pour un engagement de 5 ans. Partout ailleurs au Tonkin, à Lao Kay ou à Lay Chau, à Ha Giang ou à Dong Van, à Meo Vac ou à Bao Lac, à Cao Bang ou à Dong Khe, à That Khe, à Lang Son, Dong Trieu ou Haiphong,  RIEN ! Vae  Victis …Mais, « la gloire est le soleil des morts », R.I.P.

Au Tonkin, en novembre 2012, plus aucune trace d’un siècle de présence française. TOUT a été effacé, martelé, éradiqué. Subsistent encore les passerelles volantes au-dessus des rivières, des poteaux en béton portant les câbles électriques, quelques rares maisons coloniales et le chemin de fer qui n’a subi aucune amélioration ni modernisation ces 60 dernières années…

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Lille : une Synthèse réussie...

timthumb.jpgFranck Abed cliquez ici

Une synthèse réussie, une diérèse pour nos ennemis

D’un côté, il y a la République, entité sûre d’elle et dominatrice, dont le projet connu et reconnu est la mise à mort de la fille aînée de la Maison de Dieu… De l’autre, il y a Synthèse Nationale, un groupe d’hommes de bonne volonté, courageux, dont l’antienne déjà ancienne est « vive la France »… Entre eux, le fossé est grand, presque insurmontable, et le dénouement incertain…  Clotho file et Atropos prépare ses ciseaux… Et aucun oracle n’est rendu…

Une synthèse réussie.

Le dimanche 28 avril 2013 s’est joué un nouvel acte de la tragédie républicaine qui oppose depuis plus de 200 ans les sectateurs du Grand Architecte aux fidèles de Saint Michel Archange, saint patron et protecteur de la France… En effet, furent réunis près de Lille, dans une ancienne bâtisse champêtre, sous l’égide bienveillante de Roland HELIE, Arnaud RAFFARD de BRIENNE (écrivain, spécialiste de la désinformation) – Lionel BALAND (un camarade belge spécialiste des droites nationalistes européennes) – Luc PECHARMAN (responsable régional de la Nouvelle Droite Populaire) – Thomas JOLY (secrétaire général du Parti de la France) – Serge AYOUB (porte-parole de 3e Voie ) – Robert SPIELER (délégué général de la NDP) – Filip DEWINTER (invité d’honneur, député et porte-parole du Vlaams Belang) – et Franck ABED, lors de la première journée régionale de Synthèse Nationale. Et cette grande première fut une réussite ! Car, malgré les pressions politiques, policières, journalistiques, malgré la lâcheté d’un élu républicain de « l’Union Militante Philosémite », et malgré les menaces et la corruption dont furent victimes les propriétaires qui louaient aimablement leur local, chacun d’entre nous a pu discourir librement et apporter sa pierre à l’édifice français, sapé continuellement depuis la révolution prétendument française. Et c’est cela que nous retenons !

Fi des divergences, des différences, des discordances, des dissonances, et rassemblons nous sous une même bannière, celle de la France éternelle, éducatrice et évangélisatrice des peuples !

Et en nom Dieu, que les hommes d’armes combattent, et Dieu donnera la victoire !

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lundi, 06 mai 2013

Cet homme est dangereux et son dernier livre encore plus... surtout pour les trotskistes !

Le Trotskisme dégénéré, Patrick Gofman cliquez ici

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Demain, fera-t-il jour ?

Le billet de Patrick Parment

Je ne suis pas en mesure, comme tous ces messieurs et dames « Soleil » journalistico-médiatiques, d’évaluer à sa juste mesure le bien fondé de la politique des sbires du sieur Hollande. Sauf, comme de bien entendu,  d’estimer l’immense désordre social qu’a instauré cette gauche à la morale tout aussi élastique que celle de la droite : Cahuzac, Guéant, fausses déclarations de patrimoine de nos élus, j’en passe et des meilleurs. J’en retiens surtout la casse sociale, les entreprises qui ferment et qui laissent sur le carreau des ouvriers et en suspend des savoir-faire qui nous distinguent, et de loin, des pays asiatiques et de toute leur quincaillerie.

Je n’oublie pas pour autant que nous sommes en pleine crise du capitalisme financier et que Hollande, pas plus que Sarkozy, ne cherchent ou n’ont cherché, à sortir d’une logique économique qui plombe non seulement notre pays mais encore l’Europe entière. Cette absence de volonté d’en sortir montre bien que nous sommes toujours en dépendance et sous perfusion. Le récent procès fait à l’Allemagne est stupide, Merkel défend ses intérêts au nom des principes mêmes de cet américano-libéralisme qui régit l’ensemble de nos économies.

Et, pour ne rien arranger, on a un patronat idiot, stupide et cupide. Sauf, qu’ici aussi, il faut distinguer entre les baltringues du CAC 40 qui jonglent avec les hommes et les salaires comme au casino et la majorité des petits patrons de nos PMI-PME qui font tourner la boutique.

Il y a une France de la connivence – grands patrons et classe politico-médiatique qui verrouillent tout et surtout la parole – et une France du travail où se côtoient petits patrons, artisans et commerçant. Sur ce terrain-là, on n’entend nullement les grandes gueules habituelles qui vont de Copé à Mélenchon en passant par tout le petit personnel qui vit peinard aux frais du contribuable (syndicalistes, élus, certains fonctionnaires, etc.)

Les grands discours, les promesses et le baratin habituel du politiquement correct de cette classe politico-médiatique, les Français n’en veulent plus. Ils en sont las. Ils veulent que l’on dresse d’autres perspectives qui redonnent à ce continent sa vigueur. Ils veulent retrouver la niaque  de leurs ancêtres. Au risque de casser le joujou démocratique qui n’engraisse que des porcs.

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dimanche, 05 mai 2013

Dans l'Hexagone de François Hollande...

ps-hollande.jpgGeorges Feltin-Tracol

Europe Maxima

Dans l’Hexagone de François Hollande, il ne fait pas bon être opposant. Ce triste constat se vérifiait déjà au temps de l’atlantiste Nicolas Sarközy. À cette époque oubliée par quelques demeurés droitards sans cervelle, ni mémoire, désormais fans d’une véritable imposture appelée la « Droite forte », C.R.S. et gendarmes arrêtaient avec une violence certaine les manifestants hostiles aux pièces de théâtre blasphématoires, en particulier la pièce de Romeo Castellucci, Sur le concept du visage du fils de Dieu. Des manifestants courageux tentèrent d’interrompre certaines représentations et se firent arrêter. Prévenus d’entraves de manière concertée à la liberté d’expression, par voies de fait, destruction ou dégradation et violence, ces victimes du politiquement correct risquent d’après l’article 431 – 1 du Code pénal  45 000 € d’amende et trois ans d’emprisonnement. Qu’en pensent Amnesty International, la Ligue internationale des droits de l’homme et Human Rights Watch si prompts en général à dénoncer les législations iranienne, russe et bélarussienne ?

Pigiste à l’hebdomadaire bourgeois mondialiste Charlie Hebdo, Sigolène Vinson rapporte que « leur action se doublait d’actes subversifs constituant à balancer des poules puantes ou à souffler dans des sifflets à roulette (1) ». De vrais actes terroristes… « À l’audience, la présidente rappelle les termes de la commission rogatoire, faisant état de propos tenus par les manifestants : “ Le Seigneur vous pardonne ” “ Allez au diable ”, etc. (2) ». De pareils mots bafouent vraiment la sacro-sainte (sic !) laïcité républicaine et la dignité de policiers guère habitués à de telles « injures » probablement plus scandaleuses que les insultes proférées par la racaille des banlieues de l’immigration…

Ce « deux poids deux mesures » est une caractéristique constante de la part des pseudo-autorités ripoublicaines. Alors que quatre militants de Génération Identitaire pâtissent de conditions draconiennes inacceptables de contrôle judiciaire parce qu’ils ont osé organiser l’occupation pacifique du chantier de la future grande mosquée de Poitiers, les FemHaine qui investissent, seins nus, la nef de Notre-Dame de Paris, beuglent leur joie à l’abdication de Benoît XVI et saccagent les nouvelles cloches, n’ont qu’un simple contrôle d’identité…

Ces faits ne sont pas isolés; ils se répandent plutôt. Le 18 octobre 2012, le président d’Entraide-Solidarité, François Maris, fut placé en garde à vue pendant dix-sept heures. Pourquoi ? Parce qu’il défendait un couple de harkis à Gorniès dans l’Hérault. Les gendarmes l’accusèrent d’« installation en réunion sans autorisation d’un mobil-home » (un délit puni de six mois de prison !), et de… « génocide » ! Vite conscients de l’absurdité des accusations, les pandores enquêtèrent alors sur le « vol d’une banderole » ! Puis, comprenant que l’objet du délit avait été récupéré dans une décharge, ces Sherlock Holmes de bas-étage retinrent finalement une banale « installation d’une habitation légère en un lieu non autorisé ».

Le Régime aime terroriser. Outre des pressions psychologiques et sociales sur l’entourage de ses proies, il n’hésite pas à instrumentaliser le fisc contre ceux qui lui tiennent tête. Suite à un redressement fiscal, l’humoriste Dieudonné a été condamné à une amende d’un million d’euros. On cherche ainsi à museler les grandes gueules. À leur faire peur aussi. Le 18 novembre 2012, les FemHaine agressaient les paisibles manifestants de Civitas qui, voyant l’inaction des policiers, réagirent avec vigueur. Or, raconte Aurélien, l’une des victimes de ces hystériques, « le mercredi 28 novembre à six heures précise, j’ai été réveillé par les forces de l’ordre (le S.I.T. [Service d'investigation transversale, une unité de la police nationale hexagonale chargée des enquêtes pour motif politique] plus précisément) qui m’ont menotté dans mon lit, une arme à feu braquée sur ma tempe. J’ai ensuite fait quarante-huit heures de garde à vue et quinze heures de dépôt (une sorte de prison sous le tribunal de Paris) et je suis désormais sous contrôle judiciaire avec interdiction de sortir du territoire Français, et l’obligation de pointer tous les quinze jours au commissariat de ma ville, tant que le jugement ne sera pas rendu. J’ai un travail, je n’avais pas de casier judiciaire, j’ai été traité comme un terroriste, alors que c’est nous qui avons été agressés ! Il y a eu quatre autres interpellés ce même jour… […] Nous risquons 45 000 € d’amende et trois ans de prison, sans compter les dommages et intérêts (3) ».

L’action policière contre des personnes solvables et honnêtes a atteint son point culminant au moment des démonstrations de force de la « Manif pour tous ». Suite à des manœuvres provocatrices d’agents infiltrés parmi les manifestants, le 24 mars 2013, des enfants ont été gazés par les lacrymogènes des forces du « désordre » établi ! Conditionné à s’élever à la seconde près contre les soi-disant violences policières à l’Est ou ailleurs dans le monde, le Parlement européen, cette pétaudière inutile, a gardé un silence éloquent et n’a nullement protesté contre la centaine d’interpellations et les six gardes à vue ! La République a maintenant ses prisonniers politiques.

Quant aux prisonniers d’opinion, après l’historien dissident Vincent Reynouard, voici le président de l’Œuvre française, Yvan Benedetti, et le responsable des Jeunesses nationalistes, Alexandre Gabriac, d’être poursuivis pour des motifs futiles par une justice devenue par enchantement d’une rare intransigeance. Incapables d’empêcher les « nouvelles attaques de diligence » dans le R.E.R. D en Île-de-France ou des T.E.R. en Provence – Alpes – Côte d’Azur ou l’épidémie de kalachnikovite aiguë dans les quartiers marseillais, le Pouvoir préfère réprimer les « factieux ». Il faut dire que les risques sont souvent bien moindres face aux familles, aux jeunes gens sympathiques et aux « veilleurs » que devant la voyoucratie des banlieues lourdement armée.

Les responsables du désordre public légal ont en effet reçu des consignes précises, iniques et grotesques. Le 1er avril dernier, venu depuis l’Aisne pour passer quelques jours dans la capitale avec son épouse et leurs six enfants, Franck Talleu est arrêté par les agents du parc du Luxembourg, conduit une heure au poste et poursuivi par le ministère public. Qu’a donc commis cet honorable père de famille ? A-t-il agressé une personne âgée qui promenait son chien sous le contrôle vigilant des pervenches des caniveaux ? Entraîné ses enfants dans une salle de shoot ou bien payé son séjour parisien grâce au compte singapourien de Jérôme Cahuzac ? Non, Franck Talleu a fait pire. Il portait, ce jour-là, un maillot de corps sans slogan, ni inscription, de la « Manif pour tous ». Il a d’abord été verbalisé pour « port d’une tenue contraire aux bonnes mœurs ». On hallucine ! Voilà pourquoi la Gay Pride ne passe jamais par ces jardins… Devant l’énormité du motif, le procès-verbal a ensuite été modifié (4). Fort de ce précédent incroyable, les gendarmes ont ensuite réprimé une douzaine de personnes au même endroit pour le port de maillots semblables. « Interpellés, emmenés au poste, écrit Delphine de Mallevoüe, certains ont été fouillés et ont subi un interrogatoire de une à deux heures, avant de recevoir un P.V. [pour] organisation d’une manifestation ludique sans autorisation spéciale [ou] gêne à la tranquillité des promeneurs par affichage ostentatoire d’éléments relatifs à une manifestation interdite (5) ». Ces zélés fonctionnaires auraient-ils ainsi agi devant les solides gaillards des Jeunesses nationalistes, de Génération Identitaire, du Renouveau français ou du G.U.D. ?

Une telle entrave à la liberté d’expression réelle (on n’est pas dans un théâtre subventionné !) est somme tout cohérente venant d’un Système mortifère qui proscrit le voile intégral musulman. La police du vêtement et des tenues va de pair avec le flicage de la pensée. La peste du politiquement correct contamine tout. En raison d’un risque supposé de troubles à l’ordre public (toujours la même rengaine), la journée régionale de Synthèse nationale dans le Nord a été interdite, Synthèse nationale devant même payer un millier d’euros au maire U.M.P. de Marcq-en-Barœul. Fort heureusement, l’équipe nordiste a pu trouver une autre salle, ailleurs, et la réunion prévue du 28 avril s’est bien tenue. Elle a été un succès. Le fait est révélateur qu’il est maintenant difficile pour les résistants au Nouvel Ordre mondial d’organiser des réunions publiques et de trouver des salles.

Sous le prétexte fallacieux de maintenir la « légalité républicaine », le Régime entend frapper fort afin de contenir, voire d’étouffer, tout mouvement protestataire durable. Dans la nuit du 14 au 15 avril, soixante-sept « campeurs illégaux », les « veilleurs », âgés de 18 à 25 ans, ont été raflés et placés en garde à vue. Stéphane Kovacs évoque des gardes à vue de quarante-quatre heures ! Outre « la fouille – intégrale -, la prise d’empreintes, les photos de face et de profil, “ comme des criminels ” (6) », ces nouveaux prisonniers politiques « ont dû se soumettre à des tests A.D.N. et seront inscrits au fichier (7) ». Or le fichage génétique ne concernait à l’origine que les affaires de terrorisme et les crimes sexuels. « La Manif pour tous n’est pas du tout appréciée en haut lieu… » avance Amicie, une étudiante de 25 ans interpellée qui a eu droit à une confidence de policier (8). Sur la même place près du Palais-Bourbon se tiennent régulièrement des manifestations d’étrangers clandestins sous l’œil placide des policiers. « Les délinquants sont ici ceux qui ont le front de s’opposer au Pouvoir pour des raisons de conviction », écrit la philosophe Chantal Delsol (9). Taubira adore tellement les délinquants qu’elle en crée de nouveaux…

Les exactions policières témoignent de l’étroite connivence de l’appareil d’État aux mains de l’hyper-classe mondialiste avec les racailles allogènes des banlieues annoncée en son temps par Éric Werner qui voit son hypothèse validée. La protection des sites officiels implique pour l’heure « moins de sécurisation des cités et plus de mission pour protéger les palais nationaux (10) », affirme un officier des forces mobiles.

Un an après l’élection du « capitaine de pédalo (heureuse expression de Jean-Luc Mélenchon) » « Flamby le Pépère », une ambiance de fin de règne s’installe dans la population. Des comités de hués de ministres se lèvent partout dans le pays. Certes, les conditions de 1992 quand les membres du gouvernement socialiste ne pouvaient plus circuler ne sont pas encore réunies. En outre, parier sur une convergence des luttes entre les opposants de l’Ayraultport à Notre-Dame des Landes, la colère sociale incitée par la fermeture massive d’entreprises et l’Accord national interprofessionnel (A.N.I.) qui nie les droits des salariés, et le combat sociétal contre le mensonger « Mariage pour tous » relève de l’impossibilité tactique, faute d’investissements militants tangibles dans le syndicalisme et l’action écolo-agricole. Les tensions actuelles traduisent néanmoins un ras-le-bol patent du pays réel. Son réveil pourrait à terme provoquer un anti-Mai 68 ou un contre-4 Septembre 1870. On comprend que pour les hiérarques faillis du Pouvoir, la répression, c’est maintenant !

Notes

 

1 : dans Charlie Hebdo, 6 février 2013.

2 : Idem.

3 : entretien d’Aurélien avec Laurent Bayard, La Voix de la Russie, 13 décembre 2012.

4 : La contravention porte sur « organisation d’une manifestation ludique dans le jardin du Luxembourg sans autorisation spéciale », dans Emmanuel Ratier, Faits & Documents, du 15 au 30 avril 2013, p. 9.

5 : dans Le Figaro, 9 avril 2013.

6 : Stéphane Kovacs, dans Le Figaro, 24 avril 2013.

7 : Stéphane Kovacs et Jean-Marc Leclerc, dans Le Figaro, 16 avril 2013.

8 : Stéphane Kovacs, dans Le Figaro, 24 avril 2013.

9 : dans Le Figaro, 25 avril 2013.

10 : cité par Jean-Marc Leclerc, dans Le Figaro, 16 avril 2013.

23:29 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Bruxelles : des femen ridiculisées pour avoir voulu ridiculiser un archevêque !

518839005.jpgYves Darchicourt

Mgr André Léonard, archevêque de Malines-Bruxelles participait le 26 avril dernier à un débat portant sur l'homoparentalité - une déviance sociétale qu'il pourfend avec assiduité - à l'Université libre de la capitale du royaume de Belgique. Un débat brutalement interrompu par l'irruption d'un groupe de "femen" dépoitraillées et vociférantes qui ont aspergé d'eau l'ecclésiastique, lequel est resté imperturbable...s'attirant ainsi - de l'aveu même de son contradicteur (Guy Haarscher, ancien enseignant de philosophie en cet établissement et "homoparentaliste" convaincu) - la sympathie de l'auditoire estudiantin qui ne lui était pourtant a priori pas favorable.

Par ailleurs, la présence inaccoutumée - pour ce genre de débat universitaire -  d'une dizaine de journalistes avec leurs photographes a clairement démontré que les médiacrates avaient été avertis de l'agression qui allait être commise sur le religieux (ou pourquoi pas l'avait planifiée avec ces "dames") d'autant que - toujours selon Guy Haarscher - les plumitifs et leurs acolytes sont repartis quasiment "bras dessus dessous" avec les folles-dingues. 

Quoi qu'il en soit la sarabande des hystériques, leurs gestes honteux sur un vieil homme et leurs criaillements auront eu comme résultat immédiat de déconsidérer les partisans de l'homoparentalité catalogués comme des agressifs et des sectaires. Un peu comme à Paris où tout un chacun peut mettre en parallèle la bonhommie des familles défilant pacifiquement contre le mariage "homo" avec la fureur des militants des lobbies ambigus et la brutalité de la police politique de l'état socialiste. Et puis ces pauvres bêtes aux mamelles peinturlurées  - dont on attend la même prestation sur un imam ou un rabbin, mais cette fois sous l'oeil obligatoirement courroucé des médias - ont finalement été ridiculisées par le flegme de Mgr Léonard, elles ont une fois de plus discrédité le féminisme sauce soixante-huitarde réchauffée et donné à penser que décidément monsieur Vladimir Poutine - embastilleur de femen et autres pussy riot - était bien sympathique.

23:07 Publié dans Les articles de Yves Darchicourt | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |