mardi, 14 mai 2013
La provocation des Femens le 12 mai orchestrée en « haut lieu » ?
Une tribune de Thomas Joly, Secrétaire général du Parti de la France :
Dimanche 12 mai à Paris, au cours des différents défilés des nationalistes français en hommage à Jeanne d'Arc, quatre Femens (fausses féministes et vraies prostituées ukrainiennes) ont pu, durant près d'une heure, perturber la commémoration du haut d'un balcon après avoir déployé une banderole (au message complètement débile par ailleurs).
A noter que leur présence avait été détectée dès la veille à l'hôtel Régina et qu'elle avait été signalée aux forces de l'ordre. A noter qu'elles ont pratiqué leur exhibition grotesque sur le balcon d'un appartement (adjacent à l'hôtel) appartenant au Ministère de la Culture. A noter l'apathie totale de la police à leur égard que l'on connaît plus zélée et efficace lorsqu'il s'agit de réprimer les nationalistes et les défenseurs du mariage traditionnel.
Tout ceci sent bon la manipulation gouvernementale. L'objectif ? Créer des incidents entre les forces de l'ordre (en l'occurrence du désordre plutôt) et une foule légitimement en colère et chauffée à blanc par la complicité et la bienveillance policière à l'égard des quatre dégénérées blasphématrices.
Apparemment les paniers à salade étaient prêts pour des arrestations massives, ce qui aurait pu justifier, en cas d'affrontement avec les CRS, l'interdiction de tout hommage des nationalistes à Jeanne d'Arc par Manuel Valls, trop heureux de l'aubaine.
Quand le trouble à l'ordre public n'existe pas, il suffit parfois de le provoquer. Cette fois-ci la ficelle était un peu trop grosse...
12:42 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
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