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mardi, 23 avril 2019

La pédophilie..., une “orientation sexuelle” ? Nous y voilà !

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Le cardinal Joseph Tobin, archevêque de Newark, Etats-Unis, aimerait bien que l'on  modifie le Catéchisme de l'Eglise catholique. En qualifiant l'attraction homosexuelle d’« intrinsèquement désordonnée », a-t-il déclaré lors d'une interview sur une chaîne nationale, l’Eglise se rend coupable d’une formulation « très malencontreuse », et il espère qu'elle saura tenir à l'avenir un discours moins « blessant », quels que soient les résultats de sa réflexion sur les relations homosexuelles en elle-mêmes.

Sans doute le cardinal « gay-friendly » ne pensait-il point justifier ainsi la pédophilie.
Mais les mots ont un sens et les concepts des prolongements logiques.

Rien ne l'illustre mieux que cette autre information, rapportée par l’excellent Newman Report sur les aberrations pédagogiques aux Etats-Unis, aussi présentes outre-Atlantique qu'en France.

Les responsables gouvernementaux des écoles publiques en Californie estiment « vraiment important » d'apprendre aux collégiens ce que sont la pédophilie et la pédérastie parce qu’il s'agit d'une « orientation sexuelle ». C'est ce qu'a reconnu une responsable du district scolaire de Brea Olinda, sur interpellation de parents indignés. Et pas question de mettre un terme à cet enseignement dans les classes, a-t-elle ajouté.

C’est donc en classe de troisième (le « 9th grade américain ») que les élèves des écoles publiques seront amenés à découvrir les relations sexuelles entre adultes et adolescents comme une possibilité culturelle. «  Nous faisons cela parce que il est question ici de perspectives historiques ; ne savoir comment les relations entre genres et des différents types d'orientation sexuelle ont existé au cours de l’histoire », a déclaré la vice-surveillante des programmes, Kerrie Torres.

C'était au cours d'une réunion avec les parents d'élèves et on comprend que cet aveu ait provoqué des réactions indignées. Une mère d’élève a aussitôt demandé : « Alors des relations sexuelles entre un homme et un garçon, c'est une orientation sexuelle ? »

Réponse de Torres, qui s'est bien gardé de démentir : « C'est une chose qui  s'est produite au cours de l'histoire, et donc, c'est très important pour nous de l'inclure dans les programmes. »

Des programmes américains par ailleurs formidablement indigents en ce qui concerne d'autres faits historiques, comme par exemple « la naissance, la vie, la mort et la résurrection de Jésus-Christ ou le texte complet du traité du Mayflower », ironise Alex Newman.

L'orientation sexuelle est aujourd’hui de plus en plus protégée par des déclarations de droits et autres chartes de non-discrimination. L’enseignement en Californie prépare objectivement le chemin à une reconnaissance de la pédophilie comme une « orientation sexuelle » parmi d'autres, ce qui devrait interdire en toute logique de qualifier les pulsions sexuelles à l'égard des enfants ou des adolescents comme intrinsèquement désordonnées.

C'est exactement de cette manière que l'on protège « l'orientation sexuelle » constituée par des pulsions sexuelles vis-à-vis de personnes du même sexe. Le simple fait de les considérer « désordonnées » est déjà « blessant », n'est-ce pas, Votre Eminence, Joseph cardinal Tobin ?

En fait, c'est la notion de consentement qui s'est substituée à celle de moralité, pour ce qui est des actes, et l'idée d’une inclination naturelle en elle-même moralement neutre qui remplace l’existence de désirs non conformes à la nature de l’homme.
 
Cette logique de la neutralité morale de l'attirance homosexuelle s’applique déjà dans des écoles américaines à la neutralité morale de l'attirance pédophile, ou plus exactement à l'attirance éphébophile éprouvée par certains homosexuels. En s'interdisant tout jugement de valeur sur l'attirance homosexuelle, on ouvre la porte à une appréciation analogue d'autres attirances, dès lors que le critère de référence se réduit à la possibilité du libre consentement.
 

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Le PFN est toujours présent... rue du Louvre à Paris

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Envoyé par un fidèle lecteur, cela date de 1983...

A propos du PFN cliquez ici

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Le Puy du Fou 2019

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lundi, 22 avril 2019

Les Brigandes viennent de sortir un nouvel album : CONTRE LE TEMPS

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12 nouvelles chansons, 20,00 € (+ 5,00 € de port)

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SRI-LANKA : « MEURTRES AU PARADIS »

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

L’île de Ceylan, rebaptisée République du Sri Lanka par les autochtones, peut-être la plus belle perle de l’ancien collier colonial britannique, a été frappée le dimanche de Pâques par une vague d’attentats anti-chrétiens sans précédent.

Pourtant l’île, pendant la guerre civile entre Cinghalais et Tamouls, en avait connu des horreurs, avant que l’armée nationale n’écrase définitivement dans leur enclave du nord-ouest, dans la péninsule de Jaffna,  les « Tigres Tamouls » de l’Etat autoproclamé de l’Eelam. La mort de Velupillai  Prabahakaran, chef des Tigres de Libération de l’Eelam  tamoul (LTTE), en mai 2009 (1), sonna le glas de leurs espérances séparatistes. Cette guerre avait fait en trois décennies plus de 70 000 morts, chiffre à rapprocher de la population, 20 millions d’âmes. Selon un bilan provisoire à l’heure où ces lignes sont écrites, c’est environ 300 personnes qui ont trouvé la mort dans l’explosion de bombes déposées dans trois églises, notamment Saint-Antoine à Colombo (2), et quatre hôtels, dont le Cinnamon Grand Hôteloù un musulman, Mohamed Azzam Mohamed,s’est fait exploser parmi les clients. L’heure et le jour n’ont pas été choisis au hasard, c’est en pleine célébration de la messe pascale que ces engins de mort ont explosé. De Londres à Washington en passant par Paris ou New-Delhi, c’est la stupeur et l’indignation qui se sont exprimées. Un émoi considérable a frappé les croyants, à commencer par ceux qui se trouvaient au Vatican, le cœur de la Chrétienté. Mais si le pape François n’a exprimé que  « sa tristesse », l’archevêque de la capitale cinghalaise a demandé que les coupables « soient châtiés sans pitié ». Un curé de choc, lui, pas un « bisounours » papal !

Une carte postale souillée

La carte postale sri-lankaise, avec ses plages ourlées de cocotiers, ses temples immaculés, ses collines assaillies de plantations de thé, et sa jungle pacifique où fût tourné, notamment, le film « Le pont dela rivière Kwaï » , est sérieusement écornée. Bien qu’une autre bombe ait été désamorcée sur la route menant de la capitale  à l’aéroport, ce dernier est resté ouvert au trafic, sous très haute surveillance. La police a officiellement annoncé avoir arrêté  des suspects en liaison avec ces actes de terreur. Les regards se tournent vers le National Thow Heeth Jarma’ath (NTJ), une organisation islamiste qui s’était déjà fait connaitre pour son hostilité au bouddhisme. Mais certaines rumeurs, - malveillantes, pour brouiller les pistes ? -, évoquent certains militaires, courroucés, par l’intrusion de chrétiens dans les enquêtes concernant la répression menée contre les Tigres tamouls. Toujours est-il que…

… Là comme ailleurs, « le bien vivre ensemble » est soumis à rude épreuve…

Les attentats de Colombo et de Batticaloa ne sont que les énièmes actes christianophobes qui ensanglantent ou mutilent la planète, du Caire à l’Irak, en passant par notre France profonde où les autorités semblent bien plus préoccupées par une imaginaire islamophobie, que par une réelle haine anti-chrétienne, telle qu’elle s’est exprimée, par exemple, sur les réseaux sociaux à l’occasion de l’incendie de Notre Dame. Incendie, d’ailleurs, dont on ignore encore, à ce jour, les origines et qui, sans complotisme aucun, est peut-être d’origine criminelle. Mais le saura-t-on jamais un jour ? Ce qui ne doit pas faire oublier non plus le départ de feu suspect à Saint-Sulpice, ou les profanations diverses et variées, - d’inspiration sataniques ? -, des cimetières et autres lieux ou symboles chrétiens, calvaires, crucifix etc…

Le Sri-Lanka, avec sa population composite, ethniquement et religieusement divisée, est l’exemple type du refus du « bien vivre ensemble ». Les communautés se supportent, plutôt mal que bien, ici comme ailleurs, à Chypre, au Liban, en Turquie, en Palestine/Israël, aux îles Fidji, Bosnie, etc…Bref partout où l’on oblige des peuples à vivre « dans le même sac » étatique. Et ce ne sont pas les évènements que connaissent quotidiennement nos banlieues, qui démentiront le constat. Le Sri Lanka sort d’une longue et furieuse guerre civile-raciale qui a opposé les « indigènes », les Cinghalais, principalement bouddhistes, -70 % de la population- , aux immigrés tamouls venus de l’Inde dravidienne et à leurs descendants, importés par le colonisateur anglais pour travailler dans les plantations de thé. Ces derniers étaient généralement musulmans, leur pourcentage tournant autour de plus ou moins 10 %, comme d’ autres Sri-Lankais de religion  hindouiste. Le reste étant chrétien ou animiste.

Le tourisme local est en grand danger

Le ministère des affaires étrangères local a déclaré à l’AFP « qu’autour de 37 étrangers sont morts,sur lesquels 11 ont été identifiés. Certains des corps sont mutilés et il est compliqué de lesidentifier »…C’est ainsi que le magnat du prêt -à -porter danois a perdu l’essentiel de sa famille. Voici une terrible situation qui ne va pas arranger le tourisme, une activité employant une nombreuse main-d’œuvre, tourisme qui venait de repartir après les « années de plomb » de la guerre contre les rebelles Tamouls. D’autant que la situation politique est compliquée :  si le président de la République, Maithripala Sirisena, leader de la coalition de gauche United people freedom aliance(UPFA) a été élu en 2015, c’est le parti de droite de Mr Rani Wickremesinghe de National front for a goodgouvernancequi occupe la primature ! Une situation ubuesque qui ne facilite pas la cohabitation pourtant nécessaire entre deux hommes en conflit politique permanent, dans une île en proie à la corruption, à la pauvreté et à l’intransigeance religieuse. 

Notes

(1) Selon des sources officielles, il aurait été abattu en fuyant dans une ambulance, en compagnie de deux de ses lieutenants.

(2) La capitale a été transférée dans la banlieue sud-est de Colombo, à Kotte, rebaptisée pour la circonstance «Sri Jayawardenapura Kotte ». Une tendance très asiatique, avec la Birmanie (Myanmar) et la Malaisie, qui ont délaissé leurs capitales, respectivement Rangoon et Kuala-Lampour au profit de villes nouvelles, Naypydaw et Putrajaya.

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17:07 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Yvan Benedetti face à la répression​

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Un communiqué de Jeune nation :

Condamné en 1ère Instance en juillet de l'année dernière à 4000 € d'amende ou 80 jours de prison, Yvan Benedetti sera de nouveau jugé en appel mardi 7 mai à 16h, à Lyon.

Il est poursuivi au motif de « reconstitution et maintien » de ligue dissoute ce qui constitue selon la citation qu’il a reçue, d’inversion accusatoire, « un crime contre la Nation et une atteinte à la sureté de l’Etat ». Durant l'enquête, devant les policiers, puis devant le juge d'instruction et enfin devant le tribunal, Yvan Benedetti a toujours réaffirmé la permanence de l'Œuvre française et à travers l'Œuvre, celle du nationalisme, et à travers le nationalisme, celle de la France! N'a-t-il pas déclaré haut et fort qu’ « à moins de le dissoudre dans l’acide, il ferait toujours face » et que « l'Œuvre française est comme la braise qui continuerait à luire alors que l'on ne parlerait plus ni de Valls ni Hollande » responsables de la dissolution. Aujourd'hui François Hollande n'est plus qu'un ancien président et Manuel Valls a déserté le champ de bataille, pour continuer ses activités à l'étranger.

Avant cela, le 25 avril, Yvan Benedetti est convoqué devant des membres de la commission parlementaire en charge des « violences d’extrême droite » pour y être entendu. Cette commission, constituée à la demande de la France Insoumise, regroupe des députés de l’ensemble des groupes siégeant à l’Assemblée prétendument nationale et est présidée par le député de l’Hérault du parti du Frère Mélenchon Mme Muriel Ressiguier, issue d’une famille communiste, elle-même ancienne militante de « Ras l’Front ». Elle s’est distinguée en demandant notamment en mars 2018 au président de leur république la dissolution de la « Ligue du midi » du camarade Roudier et en réclamant, auprès de la mairie de Montpellier, la suppression des subventions accordées pour les fêtes patronales « Saint-Roch » de cette ville. Personne n’oserait mettre en doute la parfaite impartialité d’un tel personnage… Rappelons que siège notamment dans cette commission le député Meyer Habib, qui faisait partie des agresseurs du cortège traditionnel en honneur de Sainte Jeanne d’Arc, organisé par l'Œuvre française, en 1988, attaque au cours de laquelle a été blessé Yvan Benedetti.

C’est toujours ce même procédé d’inversion accusatoire, utilisé sans vergogne par les mêmes, contre les mêmes, dans l’intérêt des mêmes…

Ni les menaces, ni les convocations parlementaires, ni les procès ne feront jamais baisser la tête de ceux qui sont engagés dans le combat pour le rétablissement de la France. Encore faut-il que nous soyons unis et solidaires. C’est ainsi que nous serons plus forts.

Si vous voulez aider Yvan Benedetti, confronté une fois de plus à la répression, trois possibilités:

En venant le soutenir au Tribunal des 24 colonnes, cour d'Appel dans le Vieux Lyon, le mardi 7 mai à 16h.
En relayant l’information car il faut alerter.
En participant aux frais de justice.

Par chèque ou espèces à l’adresse suivante : Les Natios – Yvan Benedetti 4 bis rue Caillaux 75013 Paris (Chq à l’ordre d’Yvan Benedetti)

11:37 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’exemple ukrainien

Par Patrick Parment

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La victoire d’un acteur de série télévisée en Ukraine, Volodymyr Zelensky, aurait de quoi surprendre si le niveau de corruption et l’incapacité de Petro Porochenko à ramener la paix dans le pays n’avaient largement exaspéré une population au bord de la crise de nerf. Aussi, est-ce sans surprise que le programme de Zelensky se soit borné à une lutte contre la corruption et au retour de la paix. Ce qui veut dire également qu’il sera contraint, mais non forcé, de prendre langue avec son puissant voisin russe qui détient les clés du Donbass. Au même tire que de renégocier avec l’Union européenne.  Mais sur quelles bases ? C’est sur ce terrain – par-delà la corruption – que Porochenko s’est un peu emmêlé les crayons, suscitant la défiance des uns et des autres. L’autre leçon que l’on peut tirer de cette élection surprenante, c’est que les peuples savent trancher quand il le faut.

Voici qui nous renvoie à l’élection européenne du mois de mai où se manifeste également une forte suspicion à l’égard d’une institution de plus en plus critiquée dans ses modes de fonctionnement. Certes, a priori, le clan des libéraux est suffisamment amarré dans cette Europe pour en attendre un tsunami populiste. Mais le futur Parlement se verra dans l’obligation de tenir compte des fortes tendances qui vont inexorablement se faire jour. Le Brexit fait déjà office de coup de semonce. Sauf qu’il s’agit d’un phénomène typiquement Bristih, c’est-à-dire insulaire. Car, dans les pays continentaux, nul ne souhaite la mort de l’Europe. Mais beaucoup souhaite un mode de fonctionnement plus démocratique, plus « nationaliste », à savoir une Europe des patries et non plus celle de fonctionnaires anonymes et irresponsables. Sinon, à terme, l’Europe pourrait subir un séisme ukrainien.

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08:58 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

UN DOCUMENT EXCEPTIONNEL PROPOSÉ PAR ROGER HOLEINDRE

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01:33 Publié dans Livres, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 21 avril 2019

Nouvelle société - nouvelle criminalité

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Bernard Plouvier

« Il n’est rien de nouveau sous le soleil » murmurait, il y a 23 siècles, l’un des auteurs les plus profonds de la littérature mondiale, toutes époques confondues – car il était l’un des plus lucides sur la nature humaine : l’Ecclésiaste (pour les initiés : le Qohelet).

Les apparences techniques semblent donner tort à ce génie, mais c’est une grave erreur de perspective. La nature humaine reste invariable dans ses déviances, sa délinquance, sa criminalité. Seules changent les méthodes, tandis que la répression suit avec beaucoup de retard, et, dans les époques minables, refuse de sévir.

Toujours et partout, l’ordure humaine – du petit tricheur juvénile jusqu’au djihadiste assassin de masse – innove et les faiseurs de lois peinent à trouver la parade, tandis que les agents des forces de sécurité sont perdus dès qu’ils ne sont plus dirigés de près.

Or en nos temps d’innovations délinquantes et criminelles foisonnantes de roublardise et de technicité, les faiseurs de lois – et surtout les « faiseuses » - sont devenus des agents du laxisme et de la licence (étymologiquement : une liberté excessive et pernicieuse pour la société).

Les petits maîtres dirigeant les forces de sécurité sont des carriéristes, préoccupés de leur surface sociale et de leurs intrigues politico-maçonniques. Quant aux agents de base, terrorisés à l’idée de se faire traiter de « wwouacistes », ils ne cognent que sur ordre, de préférence sur du « petit blanc », dont le sort n’intéresse aucune des dames-patronnesses ni aucun des fort-en-gueule des innombrables associations de lutte contre les discriminations ou des syndicats antinationaux.

Dès l’école puis à l’université, les moyens électro-magnétiques ne manquent pas qui permettent au fainéant de sembler briller, du moins jusqu’à ce qu’un examen ou un concours réellement démocratiques, c’est-à-dire bien surveillés et sans fuite savamment organisée, permettent à l’honnête individu de prouver ce qu’il vaut et au tricheur-truqueur de prendre une branlée bien méritée.

Chacun sait que les cités où l’on a concentré les envahisseurs sont devenues des zones strictement infréquentables pour les autochtones, où les preux chevaliers de « l’Ordre républicain » n’osent s’aventurer.

Il faut croire qu’un peu partout sur la planète, le désordre est peu ou prou aussi prégnant que dans notre ex-Doulce France, puisque dans chaque capitale, au moins un tiers des forces de sécurité régionales ont pour seule mission de protéger les « petits rois ». Allez à Washington et vous verrez une douzaine de polices différentes dont celles qui ont pour mission de sécuriser les palais gouvernementaux, le Capitole, la Banque des USA !

Chacun a pu contempler la peur panique de Grand Président et de ses ministres, lors des premières prestations des Gilets Jaunes… que l’on a très rapidement noyautés de vandales soldés par les fonds secrets. Coûteux Gilets Jaunes, à la fois par leurs revendications - temporairement satisfaites -, par la haute paie des anarcho-trotskistes ficheurs de pagaille, par la prime spéciale dévolue aux policiers cogneurs, enfin par le coût du vandalisme et des surprimes d’assurance qu’il va entraîner.

C’est sûr, il serait bon de réfléchir aux causes profondes de la dégradation ahurissante de notre vie quotidienne. Le laxisme des parents et des enseignants n’est que le reflet d’une veulerie générale, qui confine à la pourriture. Le laxisme des élus, à tous niveaux, est le reflet de la mollesse et de la sensiblerie femelle d’un électorat, débile à force d’ingurgiter une propagande émolliente de style Disney ou Bisounours.

La tricherie n’est que l’imitation juvénile de la corruption des adultes : politiciens, fonctionnaires, entrepreneurs, dirigeants d’associations et de syndicats. Même si l’actualité médiatique est soigneusement triée pour éviter de bouleverser la quiétude du gentil électeur, le peu qu’on réussisse à connaître témoigne de la constante dégradation morale des peuples et de leurs « élites ».

Là-dessus, comme si la canaillerie et la crapulerie d’origine européenne ne suffisait pas, on a organisé une invasion de ce que le Tiers-Monde fait de pire : violence aveugle ou religieuse, illettrisme, avidité de biens non acquis par le travail et d’esclaves sexuel(le)s, trafiquants et pervers de tous types, haine raciale etc.

La source de nos problèmes est exclusivement d’ordre moral : mollesse, malhonnêteté, veulerie, paresse. La responsabilité du citoyen-électeur est totale. Élire des incompétents, des parasites, des mous, c’est pécher contre l’État et contre la Nation. Nous en pâtissons depuis quarante années. Mais nos petits-enfants connaîtront bien pire… et ce sera notre faute capitale, impardonnable.   

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Après le krach, réévaluation de l’or et « Gold Exchange Standard » multidevises

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Marc Rousset

Olivier Blanchard, l’ancien chef économiste du FMI, avec des propos toujours surprenants pour défendre le Système, a découvert l’eau chaude début janvier 2019, devant l’Association des économistes américains : puisque les taux d’intérets sont bas, la dette publique de 250.000 milliards de $ dans le monde, soit 3 fois le PIB mondial de 80.000 milliards de $, et, selon le FMI, 103 % du PIB des pays riches au lieu de 71 %, il y a 10 ans, n’est peut-être qu’un problème accessoire ! Mais quid des « gros problèmes en cas de remontée des taux » ? selon Christine Lagarde, DG du FMI.

Georges Ugeux, ancien VP du NewYork Stock Exchange, qui prédit « une descente aux enfers de la finance » vient de déclarer : « Je crois que nous sommes de nouveau dans une période de déni. » Villeroy de Galhau, ancien Président de BNP-Paribas, aujourd’hui président de la Banque de France, lui aussi défenseur du Système, ne trouve rien de mieux à nous dire que la politique monétaire doit rester laxiste avec un taux directeur de la BCE à 0 % qui ruine les épargnants et va installer durablement les taux publics d’emprunts allemands en territoire négatif tandis que les taux d’obligations des entreprises en zone euro s’élèvent en moyenne à 0,6 %, soit dix fois moins qu’un taux juste et normal.

En fait, on va tout droit vers la récession avec un krach à la clé. L’indice PMI flash manufacturier en zone euro s’est contracté pour le deuxième mois consécutif en avril à 47,8, l’Allemagne se situant encore plus bas à 44,5. Le PIB allemand devrait progresser de seulement 0,5 % en 2019. Le sauvetage bancaire de la Deutsche Bank, avec un bilan de 48.000 milliards de $, soit 24 fois le montant de la dette publique allemande, ferait exploser la dette de 64,1 % à environ 90 % du PIB. Quant à la France, incapable avec Macron de faire des réformes structurelles, d’élever l’âge de départ à la retraite, elle doit s’inquiéter aussi de son endettement privé de 133 % du PIB (59,1 % pour les ménages et 74,1 % pour les entreprises. Selon le ministre russe des finances, Anto Silouanov, « le risque d’une récession mondiale est très élevé ».

C’est peut-être dans une Chine qui soutient la croissance de 6 % en 2019, comme un pendu sur son tabouret, que tout va se jouer. Le marché automobile chinois a reculé pour la première fois en 2018 à 26,3 millions de véhicule, avec un taux d’utilisation des usines inférieur à 57 %. La pression fiscale et sociale sur les entreprises va être abaissée de 265 milliards d’euros tandis les banques chinoises ont prêté au premier trimestre la somme record de 766 milliards d’euros, soit davantage que le PIB de la Suisse, pour les infrastructures. Le surendettement des entreprises atteint déjà 150 % du PIB. La croissance chinoise est, en fait, gonflée artificiellement à coup de crédits garantis par l’État et l’on peut aussi avoir des doutes sur les statistiques officielles camouflant les fragilités structurelles.

Pendant ce temps, les banques centrales (Chine, Russie, Kazakhstan, Turquie) continuent d’accumuler du métal jaune (90 tonnes durant les deux premiers mois de l’année 2019). Après le krach ou l’effondrement monétaire à venir, il est probable qu’un panier de plusieurs monnaies adossées à l’or réévalué remplacera l’étalon $. La révolution silencieuse Bâle III par les « gnomes de Zurich » a déjà commencé le 29 mars 2019 puisqu’il a été décidé de placer l’or de l’actif des banques centrale, non plus en troisième catégorie, à 50 % de sa valeur, mais en première position à 100 % de sa valeur, soit une première réévaluation comptable du métal jaune plaçant l’or avant le dollar. Et dès le 1er janvier 2022, les banques centrales auront le droit de garder jusqu’à 20 % de leurs actifs en or, argent ou platine. Le loup du système de change fixe avec l’or comme monnaie internationale est donc déjà bel et bien entré dans la bergerie dollar. Soyons certains que L’Amérique fera tout pour défendre bec et ongles le privilège de l’étalon $ mis en place à Bretton Woods en 1945.

Un calcul simpliste démontre cependant que la crise de l’hyper-endettement public de 250.000 miliards de $ ne peut être résolue qu’en multipliant le prix de l’ensemble des réserves mondiales d’or, soit environ 6.500 Milliards $, par 40 ! Ce n’est pas pour rien que les Allemands (ménages 5.548 tonnes et Bundesbank 3.370 tonnes) possèdent aujourd’hui une quantité record de 8.918 tonnes d’or physique. N’oublions pas que l’or valait 35 $ l’once en 1971 et qu’il vaut aujourd’hui 1.300 $ l’once ! Si l’or devait être réévalué, la France et l’Italie seraient aussi grandement avantagées.

Boulevard Voltaire cliquez ici

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samedi, 20 avril 2019

Sacraliser l’espace. En nous-mêmes.

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Notre-Dame dévastée par les flammes. Ces derniers mois, des incendies ont frappé Saint-Sulpice, à Paris, Saint-Nicolas, dans le nord, et Saint-Alain, dans le sud de la France. Des cimetières ont été dévastés, des croix ont été brisées, en un crescendo irrépressible. Nous pouvons voir les choses de diverses façons :

1-La haine djihadiste

De France sont partis de nombreux combattants de l’Etat islamique, et nombre d’entre eux ne sont toujours pas rentrés. Hier, un tailleur de pierre parisien a posté un tweet dans lequel il indique que, sur les chantiers, la main-d’œuvre vient de l’Afrique musulmane. Un sabotage serait donc possible ? Effectivement. Et si les autorités le savent, elles le taisent, pour ne pas diffuser un climat de terreur. Il suffit de penser que le personnel qui met les bagages dans les soutes des avions a la même provenance pour comprendre que l’effet de panique générale serait assuré.

2-L’accident

On en parle de façon un peu trop récurrente. Mais il est tout à fait possible, ce qui serait encore pire.

3-Les satanistes

Il s’agit d’un phénomène en croissance rapide en Occident. Je ne sais pas si nous découvrirons jamais la cause de cet événement, mais la connaître n’a qu’une importance relative, dès lors que l’on possède en soi une idée métaphysique à travers laquelle le symbole et l’âme de l’époque prévalent sur les faits contingents qui les accompagnent. On trouvera toujours un djihadiste ou un sataniste, quasiment en état de transe, pour accomplir un acte corrosif en ligne avec le symbole régnant et l’âme du moment. Et ce sont ceux-ci et non ceux-là qui comptent vraiment. Le symbole des hippies et de la contestation était une rune de la vie renversée, soit une pure inversion : avec des racines orientées, non vers le ciel, mais vers les enfers. Tel fut le message de « libération ». Une révolution psychédélique qui niait le père, castrait le mâle et faisait de l’identité une superstructure à commander à la carte. Chaque fois que l’on utilise le mot « libération », c’est de dévastation intérieure et collective que l’on parle. Et c’est de la dévastation intérieure et collective que l’on produit. Evidemment, ce ne fut pas seulement un phénomène spontané, mais, comme tout ce qui roule vers le bas, il eut une dynamique propre qui s’accéléra selon la loi de la gravitation. Notez bien ceci ! L’inversion de la hiérarchie et de l’ordre ne produit pas, en bas, des sommets, mais bien des tourbillons. Parce que le verbe, lorsqu’il n’est plus conjugué par un sujet conscient, prend une forme passive et ses Nazgül de Tolkien deviennent des compléments d’agent. On peut débusquer de nombreux virus et parasites intervenant comme compléments d’agent durant l’après-guerre en Europe. L’un d’eux en particulier, déjà puissant au début du XXème siècle, relie les structures de la terreur subversive : c’est le satanisme théosophique, qui commença par imprégner la totalité des services secrets britanniques, puis se répandit dans les principaux « services » occidentaux, mais aussi soviétiques. Si l’on devait entrevoir une centrale ennemie ayant de possibles responsabilités dans la mutilation de Notre-Dame, c’est peut-être là que l’on pourrait la trouver. Et c’est de là que partent également le djihadisme et le salafisme, inspirés aux pays musulmans par les services secrets occidentaux depuis le conflit en Afghanistan, dans les années 80. Ainsi Daech a été « vendue » en Occident sous le nom d’Isis, non seulement à la suite d’une appropriation illégitime et invertie de l’appellation du culte d’Isis, mais aussi pour donner un avertissement à l’aide des initiales « Is Is » : « Is Intelligence Service », c’est-à-dire la centrale de l’ombre. Avant Notre-Dame, exactement au même endroit, se trouvait un temple d’Isis. Pour les initiés, le message est clair. Reste à savoir si cela s’est fait avec une participation humaine consciente ou pas. Dans la négative, ça serait pire, parce que cela dénoterait une force surhumaine majeure dans l’inversion dévastatrice. Je me rends compte que très peu de gens disposent des instruments culturels et des expériences de vie nécessaires pour affronter une question aussi inquiétante. On risque de basculer dans le sensationnalisme et d’entrer dans le jeu des conditionnements psychologiques et spirituels. . Avant tout, tenons-nous éloignés de ces excès ! Car, en ces temps qui, d’un point de vue guénonien, sont la fin d’un cycle, et, d’un point de vue chrétien, la fin des temps, l’ennemi principal, le véritable allié de l’ennemi voleur d’âmes, c’est l’angoisse du devenir. A laquelle s’oppose seulement l’Etre, qui, si son devenir semble illusoire et destiné à se corrompre jour après jour, contient en réalité ce devenir, dès lors qu’il exprime une sérénité métaphysique rattachée à l’éternité. En quelques mots, ce qui compte, ce n’est pas tant de découvrir qui, quelles forces, se trouvent derrière le symbole de la destruction de Notre-Dame. Ce qui importe, c’est la capacité de réaction au processus de soi-disant « libération », au tourbillon destructeur qui en sont la cause essentielle. Il faut « Etre Europe », au sens exact de ce que cela signifie, c’est-à-dire que nous devons récupérer la conscience des Héros, la vision de l’art et du beau, et, par-dessus tout, refonder en sacralisant les espaces. En commençant par les espaces à l’intérieur de nous-mêmes. L’ennemi -appelons-le « Satan » si cela paraît plus familier à certains- existe tout en n’étant pas : il est hypnose et illusion. Celui qui sourit et aime la lumière ne perd jamais. Sanctifions-nous, nous-mêmes, avec simplicité, et, par contagion positive, les autres, autour de nous : alors, nous ne pourrons pas perdre. L’Europe fera son grand retour, et ce sera pour toujours. Elle se relèvera comme un phénix, sublimant et incarnant à la fois tout ce qu’elle est.

Gabriele Adinolfi, le 16 avril 2019

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Journal du chaos

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Martin Peltier dédicacera son nouveau livre "La fin de l'homme blanc" jeudi 25 avril (18 h à 20 h)

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Fini, le carnaval ! Rendors-toi, bon peuple.

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Bernard Plouvier

Ah, le très brillant jeune homme qu’est Maître Macron ! Durant trois mois, il a fort intelligemment et courageusement payé de sa personne, pour éteindre l’incendie que sa morgue et ses mesures avaient allumé.

Certes, il a été fort bien aidé par les débordements de la jacquerie, façon VeRépublique : les violences furent celles d’alcooliques comme l’on en trouve partout lors des émotions populaires et de nervis télécommandés par les maîtres du ministère de l’Intérieur.

La Nation s’est lassée du désolant spectacle de minables casseurs, qui ont - sur ordre, il ne faut pas l’oublier – miné le mouvement légitime de colère et de contestation et le discours présidentiel est fort bien passé. De savantes « indiscrétions » ont fait connaître les mesures qui vont faire oublier l’absence de véritable réforme de la vie publique.

Notre Président a démontré d’éminentes qualités de stratège lénifiant, amortissant une révolte – mal conduite et déclenchée pour des motifs mineurs au regard des vrais problèmes – par une série de cadeaux fiscaux (transitoires) et l’annonce de l’arrêt (provisoire) du démantèlement des infrastructures loco-régionales.

Les meneurs du mouvement n’ayant jamais abordé les vrais problèmes, Génial manœuvrier n’en parle pas. Les ravages de l’immigration incontrôlée et l’insécurité qu’elle génère, le racisme anti-Blancs (et la haine antichrétienne étalée, en tout impunité, sur les réseaux sociaux par quelques « merveilles »issues de l’immigration), la désertification industrielle et l’inadaptation de l’enseignement sources d’un énorme chômage structurel : tout cela est escamoté, puisque tout a été fait pour que les révoltés ne s’y intéressaient guère.

Les blessés et les invalides (éborgnés, amputés) sont les grands dindons de cette affaire qui semble se terminer en triomphe pour le Président des riches.

Pourtant, quitte à jouer les rabat-joie, l’on rappelle que la démocratie exige le respect de la personne des citoyens et leur participation à l’exercice du pouvoir, non pas seulement lors de consultations électorales biaisées par l’injection de sommes folles dans les media pour matraquer les citoyens moyennement doués qui forment la majorité de tout corps électoral, mais lors des grands choix qui orientent la vie politique, économique et sociale des vingt ou trente prochaines années.

Qui a demandé l’avis du peuple souverain sur la peine de mort en une époque de prolifération de « crimes gratuits » et d’attentats mahométans ? Qui a demandé l’avis du peuple souverain sur l’opportunité d’autoriser et de rembourser par la Sécurité sociale l’avortement de complaisance en période de déflation démographique des Français de souche européenne (la démographie d’origine exotique sera prochainement majoritaire) ? Qui a demandé l’avis du peuple souverain sur l’invasion de populations venues d’ailleurs, en grande partie sous-évoluées, agressives et souvent violentes ?

En résumé : le mouvement des Gilets Jaunes, mal conduit, avorte et Grand Président pourra reprendre dans trois ou quatre mois, après un succès triomphal aux prochaines élections grâce à la grosse caisse médiatique revigorée par quelques dizaines de millions d’euros, sa politique d’économie globale et de grand remplacement de la population française.

Ayons une pensée émue pour les blessés, les borgnes, les amputés, victimes de violences policières – que le bon peuple va vite oublier -, car si la montagne accouche d’une souris, divers « pékins » ont chèrement payé leur participation à la « démocratie en action »… mais une action tellement sotte, brouillonne, inefficace que Grand Président triomphe sans gloire, car sans péril. Corneille est bien mort et notre peuple est mûr pour un nouveau Front Popu, où il sera « couillonné » comme en 36 ! 

08:43 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'écrivain Arnaud Raffard de Brienne interviendra lors de la 7e Journée régionale de Synthèse nationale à Nieppe (59)

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vendredi, 19 avril 2019

Triste anniversaire de la loi Taubira

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Triste anniversaire : Le 23 avril 2013 était votée la loi Taubira ouvrant aux personnes de même sexe la possibilité de se marier entre elles et d’adopter. Les circonstances qui ont entouré le vote de cette loi n’ont pas fait honneur à la démocratie de notre pays. En plus de la divergence anthropologique, le mépris, la violence, les oukases, les barbouzeries et l’injustice dont ont abusé un pouvoir pervers laissent des traces douloureuses dans la société. Des années après, la fracture n’est toujours pas réduite, comme en témoigne la mobilisation lors des Etats-Généraux de la Bioéthique et le déni de ceux qui rêvent d’une société libérale-libertaire.

Le 23 avril à partir de 20:00, des Sentinelles de Paris veilleront place Vendôme pour redire silencieusement leur refus de voir bradée une anthropologie respectueuse de la dignité de l’homme pour laisser la place à une seule logique de marché. Elle témoignerons ainsi de leur détermination à demander, sans jamais se lasser, l’abrogation de cette loi scélérate.

Elle se tiendront debout, silencieuses, éloignées les unes des autres, pacifiques, sans slogan ni signe distinctif et elles respecteront l’ordre public. Comme toujours. Vous pouvez les rejoindre pour vous aussi veiller, que ce soit 10 minutes, une heure ou plus si le coeur vous en dit.

Vous êtes les bienvenus.

 
 
 
 

14:42 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre-Dame, Assange, prison pour Soral : Bruno Golnisch commente l’actualité

L'actualité de la semaine vue par Bruno Gollnisch :
incendie à Notre-Dame 
le Grand Débat en conclusion 
Julian Assange interpelé 
prison ferme pour Alain Soral
Bruno Gollnisch quitte le Parlement européen :
bilan, regrets et perspectives...
 
 

14:23 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 12 mai, en matinée : la Jeanne d'Arc des nationalistes

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14:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une autre Europe, est-elle possible ?

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« La victoire d’Emmanuel Macron […] transforme l’image de la France en Europe et sans doute celle de l’Europe dans le monde […]. Elle voit se reconstituer un axe franco-allemand potentiellement plus solide parce que beaucoup plus équilibré. En Allemagne et en Italie [cette victoire voit] les débuts d’une macromania qui ringardise l’extrême droite de l’AfD et fait repousser des ailes au centre gauche de Matteo Renzi. Plus généralement c’est l’Europe entière, à l’exception peut-être de la Hongrie et de la Pologne, provisoirement aux mains des populistes, qui se trouve ragaillardie. » (Dominique Moïsi, Les Échos, 9 mai 2017).

Ainsi s’exprimait un commentateur avisé au lendemain de l’élection d’Emmanuel Macron. Ne vous moquez pas ; la plupart des analystes parlaient ainsi, avec un ton moins enflammé il est vrai. Même enthousiasme lors de l’élection de Barack Obama. Le culte de l’homme providentiel fait des ravages à gauche comme à droite d’autant plus qu’après le Brexit et l’élection de Donald Trump, « l’homme providentiel » avait mis un terme à la série de succès des populistes. Tout rentrait dans l’ordre.

Que s’est-il passé ? Emmanuel Macron a prononcé un discours de haut vol à la Sorbonne le 26 septembre 2017, il a appelé à l’intégration européenne et fustigé le nationalisme dont il a fait son meilleur ennemi – il a d’ailleurs récidivé dans sa lettre aux Européens du 5 mars dernier.

 
 

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13:52 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

I -Média revient sur l'incendie de Notre-Dame de Paris

12:11 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dimanche 12 mai : la Jeanne d'Arc de Civitas

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11:48 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Eric Zemmour : ¨La guerre civile sera sanglante¨

Eric Zemmour était reçu par Elie Chouraqui ce dimanche dans l’émission Elie sans interdit.

 
 
 
 

11:39 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Notre-Dame du repentir

Par Jarente de Senac

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Ce doit être cette époque vide de sens qui veut cela. Dans une France largement déchristianisée la folie qui entoure Notre-Dame pourrait s’interpréter comme une sorte de repentance métaphysique. Comme si l’oubli des dieux pesait sur ce monde livré au Veau d’Or, à savoir la marchandise.  Cette ferveur soudaine est peut-être aussi la résurgence nostalgique d’un inconscient collectif, celui d’un temps où les baptêmes, les mariages et les enterrements avaient lieu à l’église.

Dans le même temps, à Strasbourg, la Pythie Jean-Marie Le Pen prononçait son discours d’adieu au Parlement européen dont il ne gardera « qu’un sentiment d’inutilité ». Face à l’aveuglement de l’institution à l’égard de l’immigration, Jean-Marie Le Pen leur a balancé : « Députés, aveugles, sourds et muets, la postérité vous maudira ». Il a malheureusement raison et les foules à venir qui visiteront Paris et sa cathédrale n’auront que peu à voir avec le symbole qu’elle représente.

A l’heure où les Gilets jaunes réclament plus de justice sociale, il y a comme une indécence à voir nos abonnés du CAC40 dégainer leurs millions d’euros gagnés à la sueur du front des Gilets jaunes pour que l’on restaure Notre-Dame. Près du milliard en deux jours seulement. Serait-ce le prix de la mauvaise conscience ou le retour sur investissement ?

Demain, la cathédrale et ses 14 millions de visiteurs sera sur pied pour la plus grande satisfaction d’un évêché qui doit confondre les touristes avec les croyants.

Les seuls vrais bénéficiaires de cette manne, ce sont nos artisans qui font vivre un patrimoine unique au monde par sa qualité et sa diversité. Malheureusement, ces merveilleux métiers attirent de moins en moins les jeunes. Parce que l’Education nationale ne fait plus son boulot depuis des lustres et que les jeunes préfèrent cette débile téléréalité qui fait de vous une vedette en trois coups de cuillère à pot.

Triste époque ! 

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jeudi, 18 avril 2019

L'émission "Synthèse" de cette semaine sur Radio Libertés avec Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi

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Ecoutez

l'émission cliquez ici

19:53 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Beau témoignage de l´aumônier des pompiers de Paris


Avec le Saint-Sacrement, il a béni la cathédrale Notre-Dame en flammes ... de l'intérieur.

Témoignage exceptionnel du père Fournier, aumônier des pompiers de Paris.

recueilli par KTO TV.

 
 

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Mieux que rebâtir, cesser de détruire

Par Périco Légasse

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(…) Combien de trésors sont-ils à ce jour menacés de disparition lorsque plus de 80 % de la bio-diversité a été sacrifiée sur l’autel du profit industriel ? Laisserons- nous encore longtemps se déliter les patrimoines naturels et culturels qui constituent le ferment de la civilisation sous prétexte que la croissance néolibérale a besoin d’actions fraîches pour nourrir le monde ? Nos schémas économiques financiarisent la consommation, en détruisant la ressource planétaire et l’environnement, sous prétexte qu’il ne peut y avoir de progrès sans conquête de parts de marché. Combien de Notre-Dame agricoles, maritimes, minérales, forestières, phréatiques, sociales, animales ou végétales a-t-il fallu immoler pour que le libre-échange globalisé continue à enrichir sa Bourse ? Au-delà des éléphants et des rhinocéros d’Afrique, emblèmes parmi les emblèmes du massacre auquel nous assistons sans rien faire, au-delà de cette faune et de cette flore menacées de disparition parce que les traités commerciaux sont bien plus efficaces que les traités sur le climat, les institutions européennes peuvent-elles enfin prendre les mesures dé nitives pour sauver, autre emblème, nos abeilles. Depuis la fin 2017, on estime à 60 %, voire 90 % dans certains cas, le taux de mortalité des butineuses. Chaque ruche qui disparaît n’est-elle pas, en soi, une petite Notre-Dame réduite en cendres ? Ravagés par la pêche industrielle à outrance, nos océans se vident et 20 % des espèces de l’Atlantique sont en voie d’extinction parce que les Etats voyous se moquent des moratoires. Quand il n’y aura plus d’anchois, d’espadons ou d’aigle fins, n’est-ce pas autant de Notre-Dame océanes qui auront été englouties par la folie humaine ?

Dans notre beau pays, la ruralité se meurt, des artisans mettent la clé sous la porte, des commerces de proximité disparaissent, des écoles et des postes ferment, des champs sont en friche, des villages s’éteignent et, là aussi, nos élus regardent à côté. Un cordon- nier qui tire le rideau, un boulanger qui débranche son pétrin, un instituteur qui donne sa dernière leçon, un facteur qui effectue son ultime tournée, une gare que l’on désaffecte, n’est-ce pas une Notre- Dame qui s’effondre par mépris ou insouciance des pouvoirs publics ? Lorsqu’une fromagerie ne peut plus se procurer de lait parce que le dernier éleveur du canton a déposé son bilan, quand il ne s’est pas suicidé, lorsqu’un menuisier démonte son atelier parce que aucun repreneur ne lui succède, lorsqu’un patron pêcheur envoie son bateau à la casse parce que la jeunesse n’a plus le pied marin, n’est-ce pas une Notre-Dame de plus qui crève du fait d’une gouvernance qui ne surveille que le CAC40?

(…) Combien de Notre-Dame va-t-on encore laisser brûler en regardant ailleurs ? Lâcheté de la classe politique, cécité et surdité de la haute administration, compromissions d’élus sans foi ni loi, médias absents, pression permanente des lobbies, trahison des engagements électoraux (et si l’ENA disparaît, les énarques sont encore aux manettes pour des décennies), il est des jours où la démocratie française prend des allures de charpente médiévale saturées de fils électriques défaillants. Que les larmes partagées par un peuple enfin conscient des périls qui pèsent sur la nation, en voyant ce qui n’est qu’un symbole, mais quel symbole, s’effondrer sous ses yeux, se rassemblent en un grand fleuve citoyen, plein d’espoir et de ferveur, pour rebâtir ce que nous avons de plus précieux, notre République.

Oui, la maison France brûle, il est donc plus que temps de la regarder bien en face.

Source : Marianne 19-25/04/2019

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mercredi, 17 avril 2019

Pour la responsable de l’UNEF, l’incendie de Notre-Dame qui fait pleurer sur « des bouts de bois » : un délire de petits Blancs !

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Jean-Pierre Fabre Bernadac

Boulevard Voltaire cliquez ici

« Allo, l’UNEF, allez-vous enfin réagir aux tweets racistes de votre vice-présidente lilloise Hafsa Askar ? »

Le 29 décembre 2017, la Ligue contre le racisme et l’antisémitisme avait, par ces mots, interpellé « brièvement » (La LICRA avait supprimé son message quelques heures après publication), sur Twitter, la jeune femme vice-présidente du syndicat étudiant lillois UNEF, en joignant une capture d’écran sur laquelle on pouvait voir les paroles de l’intéressée : « On devrait gazer tous les blancs, cette sous-race. »

Cette adorable jeune femme expliquait sans retenue son racisme haineux ciblant spécifiquement les Blancs : « Je suis une extrémiste anti-blancs […] le monde serait bien mieux sans blancs. »

Suite à ces injures, que croyez-vous qu’il arriva ? Rien, elle changea simplement son adresse Twitter !

Pourtant ce monstrueux envoi aurait dû tomber sous le coup de la loi pour racisme, un racisme primaire, viscéral, quasiment d’école pour étudiant en droit.

Or, figurez-vous que, ce 15 avril, elle a remis cela sur Twitter en s’en prenant, cette fois-ci, aux catholiques à travers l’incendie de Notre Dame de Paris : « Je m’en fiche de Notre-Dame de Paris car je m’en fiche de l’Histoire de France. »

« Jusqu’à les gens ils vont pleurer pour des bouts de bois… Wallah vs aimez trop l’identité française alors qu’on s’en balek objectivement c’est votre délire de petits blancs. »

Hélas,ce type de message ne fut pas le seul, ce soir-là ; des centaines, aussi vindicatifs, expliquaient doctement que l’incendie de la cathédrale était la réponse vengeresse d’Allah au tweet du jeune Hugo sur la Kaaba.

J’attends avec impatience de voir si la lettre de Témoignage chrétien et l’hebdomadaire La Vie vont faire état de ces ignominies ?

J’attends, aussi, avec hâte de savoir ce que fera le réseau social face à ces débordements de haine raciste et antireligieuse ?

J’attends, encore, avec empressement le communiqué de l’UNEF condamnant avec la plus grande sévérité ce genre de propos.

Mais peu d’illusions à se faire de ce côté-là quand on sait que l’organisation étudiante « représentative » avait répondu, en décembre 2017, à un correspondant indigné par le propos de Hafsa Askar : « Merci Jean-Michel, le bureau national de l’UNEF va se réunir et réfléchir à comment vous pisser dessus. Bonne journée et continuez d’envoyer des requêtes. »

J’attends, surtout, que Mme Belloubet et M. Castaner fassent enfin leur travail en enquêtant et saisissant la Justice pour ces paroles avérées tombant sous le coup de la loi no 72-546 du 1er juillet 1972 sur la lutte contre le racisme avec « provocation à la discrimination, à la haine ou à la violence à l’égard d’une personne ou d’un groupe de personnes en raison de leur origine ou de leur appartenance à une ethnie, une nation, une race ou une religion déterminée ».

Si toutes ces attentes se révélaient sans conséquences, alors nous aurions la preuve que la France n’est plus la France et que la Justice qui s’acharne contre les Identitaires n’est plus appliquée correctement dans notre pays.

11:24 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’incendie de Notre-Dame, tout un symbole

le billet de Patrick Parment

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Croyant ou non, la cathédrale Notre-Dame est un symbole qui appartient à notre patrimoine et qui témoigne d’un génie bâtisseur dont nos ancêtres avaient la maîtrise et qui s’est transmis de génération en génération. De Notre-Dame à Versailles, de Versailles au baron Hausmann, ce sont des centaines de métiers qui ont fait la beauté et la grandeur de notre culture et, par-delà, de toute la civilisation européenne. Comparé aux Arts premiers si chers à Chirac, et dont l’Afrique n’est jamais vraiment sortie, on comprendra mieux la nécessité pour les Européens de conserver leur patrimoine génétique.  Car bien souvent, ce que l’on oublie de dire, c’est que la notion même de travail est culturelle et ne relève pas d’une urgente nécessité mais bien d’une longue mémoire de l’esprit et du geste.

Il n’est d’ailleurs que de comparer les différents artisanats, de la Chine, de l’Inde et du Moyen Orient pour s’en convaincre. S’il n’y a pas d’échelle quant à leur excellence respective, il y en a quant à leur exécution et à cet esprit qui les relie à la main. Pour rénover Notre-Dame, il suffira de puiser dans le riche vivier des artisans français, malheureusement, lui aussi, victime d’un libéralisme éradicateur.

Préserver notre patrimoine génétique disions-nous. C’était une évidence hier encore et ce n’est plus le credo d’aujourd’hui.  Le libéralisme lamine tout, les hommes et ses productions selon le principe qu’il faut vendre au plus grand nombre une flopée de saloperie dont il n’a guère besoin et réguler un commerce désormais mondialisé.

A ce titre l’incendie de Notre-Dame apparaît comme un éminent symbole : celui de la fin d’un monde. De ce monde des Indo-européens qui essaima de la Grèce antique aux confins de l’Europe du Nord et de la Russie occidentale. De l’émergence du génie grec revigoré par la Renaissance italienne étendue à  l’Europe entière pour venir au final se casser les dents sur ce XXIe siècle au motif que les valeurs d’hier ne sont plus celles d’aujourd’hui. Je ne suis pas sûr que Nietzsche ait donné le même sens à sa fameuse transmutation des valeurs comparée à celle que nous subissons aujourd’hui. D’ailleurs, nous dit-on, on serait passé de l’holocène à l’anthropocène, à savoir, et pour faire court, de l’époque où l’homme cherchait à vivre en harmonie avec la nature à celle où il la domine. Ce qui en terme plus clair signifie tout simplement qu’on est en train de se suicider.

 
 

08:31 Publié dans Le Billet de Patrick Parment | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

"Notre Dame de Paris, c’est un symbole d’Occident" (Fabrice Luchini)

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"Hier en rentrant sur scène, je me suis permis d’évoquer le drame de Notre Dame. Il était impossible de commencer un spectacle sur les écrivains et l’argent sans évoquer les flammes dans le cœur de Paris. Et le texte de Charles Péguy et sa passion chrétienne nous ont plongés dans une communion dont je ne mesurai pas la puissance. Notre Dame de Paris, c’est un symbole d’Occident. Même si on n’est pas chrétien, même si nous ne sommes plus chrétiens: la France est chrétienne. C’est un fait. Moi-même je suis frappé en plein cœur. Hébété. Quelque chose de supérieur est venu perturber les calendriers des rencontres médiatiques, de la vie anecdotique, de la frénésie. C’est la métaphysique qui descend dans l’hallucinant débat agité des combats politiques pour affirmer une tragédie, restaurer une gravité (...) On pourrait presque penser à un signe."

Fabrice Luchini,

16 avril 2019, Le Figaro.

00:42 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 16 avril 2019

L'attitude des communistes en 1939 1945 examinée sur TV Libertés

19:52 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |