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jeudi, 04 avril 2019

Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine

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Super-Flic de Grand Président est-il un menteur ou un délirant ?

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Bernard Plouvier

L’excellent site Breizh Info (cliquez ici), dans l’édition du soir du mercredi 3 avril, nous informe de la dernière prestation théâtrale de notre distingué ministre de l’Intérieur et des Cultes : selon cet homme, en principe bien informé de toutes les questions touchant à l’ordre public, le Gilet Jaune agressé à Besançon « a été poussé »... et rien de plus !

Après tout pourquoi pas ? D’autant que 20 épisodes pour accoucher de la souris « Grand Débat » et de cadeaux fiscaux, illusoires car temporaires, ça suffit !

Objectivement, il est temps de passer aux choses sérieuses : la lutte contre l’immigration incontrôlée et l’insécurité subséquente, la lutte active contre la désertification industrielle de la France et l’inefficacité du système d’Instruction Publique, qui génèrent un chômage massif de longue durée... bref, tout ce qui empoisonne la vie des Français honnêtes.

L’ennui, c’est que Grand et Génial Président a remplacé un ministre de l’Intérieur un peu usagé par un joueur de poker et que même s’il n’est de sot métier, l’on voit parfois de sottes gens.

De fait et tout bien considéré, on ne sait plus trop si son excellence Castaner joue au poker menteur ou s’il délire totalement... en clair, s’il se moque de nous ou s’il a pleinement « perdu les pédales », comme d’autres membres de l’entourage présidentiel.

En effet, notre ministre faisait référence à ce qui s’était passé le samedi 30 mars, au Quai Veïl-Picard de Besançon. Or, un honnête citoyen avait filmé l’agression du dit GJ par un « policier » fou de rage et l’argumentation du Grand Ministre ne tient plus, mais alors plus du tout !

Le GJ regarde des policiers charger ses co-manifestants et se présente dos tourné à son flic-agresseur. Il regarde et ne fait strictement RIEN, ni jet de pierre, ni hurlement : il contemple médusé les violences policières et se fait agresser d’un violent coup de matraque par un fou en uniforme (car ce lâche cogneur, on ne peut le désigner comme étant un policier, un homme « des forces de l’ordre »). Il s’agit d’un acte de pure brutalité d’un voyou sur un manifestant CALME.

Il en est résulté un traumatisme crânio-facial... que notre Castaner des familles réduit à un simple effet de poussée.

Ou bien Castaner nous prend pour des abrutis incapables d’aller consulter les vidéos qui circulent sur le Net. Ou bien, assuré comme ses confrères ministres et députés macroniens, d’être en place pour longtemps et assurés d’une quasi-impunité, il a perdu tout bon sens et prend ses désirs pour des réalités.

Mensonge ou délire ? Dans les deux cas, cet homme n’est pas un démocrate et n’est en aucun cas apte à gérer le Bien Commun. Les prochaines élections doivent être un raz-de-marée démocratique contre Macron et ses collaborateurs au comportement de mafieux : brutalités gratuites, mensonge et omerta.

Que Macron et ses sbires aillent « administrer » ailleurs, mais pas la France, autrefois Terre des Lois... Au fait, va-t-on voir un honnête magistrat condamner le flic-voyou et sanctionner le ministre menteur ou délirant ? Bof, il ne faudrait pas trop y compter !    

09:20 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

CE JEUDI 4 AVRIL, VINCENT VAUCLIN INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSIONS CLIQUEZ ICI

09:20 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Gabriele Adinolfi s'entretient avec Martial Bild sur TV Libertés

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09:15 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’harmonie, une caractéristique essentielle de notre civilisation

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Ligne Droite cliquez ici

L’harmonie est sans conteste l’une des caractéristiques les plus emblématiques de notre civilisation. Aussi n’y aura-t-il pas de redressement véritable de notre pays comme de notre continent sans un retour à l’harmonie. La notion, qui paraît au premier abord plus intuitive que rationnelle, est cependant essentielle. Elle correspond en effet à un ordre social équilibré qui agence les êtres et les choses au service du bien commun et s’appuie sur les valeurs fondatrices de notre civilisation. Aussi, quels que soient les efforts menés par ailleurs, Ligne droite estime qu’il n’y aura pas de renaissance si l’ordre et les valeurs propres à l’harmonie ne s’imposent pas à nouveau au sein de notre nation.

L’harmonie au cœur de notre civilisation

Il importe en effet que notre pays et notre continent renouent avec cet ordonnancement supérieur qui a fait depuis ses origines la grandeur et la force de notre civilisation. L’harmonie n’était-elle pas présente dans les cités grecques comme nous le rappelle aujourd’hui la beauté exceptionnelle de leurs temples et de leurs monuments? Une harmonie présente ensuite tout au long de notre histoire, notamment dans les cathédrales et les édifices royaux, et qui, au-delà de l’architecture, irradiait la société française toute entière. Certes, notre pays a connu bien des difficultés mais il n’a presque jamais perdu les fondements qui, en termes d’ordre et de valeurs, ont assuré sa pérennité. Aujourd’hui, il en va différemment car la France connaît un chaos qui menace son existence même. Aussi l’harmonie est-elle aujourd’hui plus nécessaire que jamais.

Un ordre qui donne à chacun sa place

Elle est en effet à l’origine d’un ordre qui structure la société en offrant à tous les citoyens une place légitime dans l’édifice social. Une place qui leur permet de savoir qui ils sont et d’où ils viennent mais aussi de connaître leur rôle dans la communauté et d’obtenir la reconnaissance et le respect de leurs pairs. Ainsi, par exemple, est-il nécessaire que chaque Français soit reconnu et rétribué en fonction de son mérite, de son talent et de son travail. De même, en tant que membre de la communauté nationale doit-il jouir d’une préférence qui concrétise son appartenance à la nation et lui permet de se sentir chez lui dans son propre pays. Autant d’impératifs qui construisent un ordre clair et légitime, indispensable à l’harmonie sociale. Malheureusement, cet ordre est aujourd’hui bafoué par l’idéologie déconstructiviste du Système, sa volonté de promouvoir les minorités et son obsession maladive de favoriser l’immigration.

Un ordre équilibré et mesuré

Face à ce chaos créé de toute pièce par l’oligarchie, l’harmonie est d’autant plus nécessaire que l’ordre qu’elle véhicule est très éloigné de la caricature qu’on en donne habituellement. Il s’inspire en effet de la formule grecque “rien de trop” qui est le refus de l’excès alors que notre monde est aujourd’hui marqué par la culture du No Limits c’est à dire de l’excès en tout. De fait cet ordre cultive l’équilibre et la mesure propres à la civilisation européenne et réussit à marier en un même élan des éléments apparemment opposés : la force et la douceur, le beau et l’utile, le communautaire et le personnel. Il n’a donc rien de totalitaire ni de brutal et ne cède pas à l’hubris. Il n’a jamais conduit à la démesure et l’harmonie qui le porte est toujours à dimension humaine.

Un ordre qui œuvre au bien commun

Pour autant l’harmonie ne conduit pas à l’individualisme car son rôle consiste au contraire à ordonner les membres de la communauté autour d’un objectif commun. Avec elle les acteurs de la société sont appelés à concourir au même but, à la manière d’un orchestre dans lequel chacun joue de son instrument, permettant ainsi à l’ensemble de faire entendre une symphonie. Une démarche au service du bien commun radicalement contraire à celle que nous connaissons aujourd’hui en France où la société est dominée par l’individualisme et pousse chacun à demander toujours plus de droits et d’avantages sans se préoccuper d’apporter quoi que ce soit à la communauté.

Les valeurs qui rendent l’harmonie possible

Cet ordre mesuré et équilibré qui structure la société et garantit sa dimension collective ne suffit cependant pas à créer l’harmonie car celle-ci n’existe que fondée sur des valeurs. Ainsi par exemple un ordre imposé dans un cadre dictatorial n’aurait rien d’harmonieux car il bafouerait la liberté, une valeur fondamentale propre à la civilisation européenne. Aussi l’harmonie doit-elle s’appuyer sur des valeurs fondatrices, celles qui tirent leur légitimité de leur permanence et de leur ancienneté et qui ont façonné notre civilisation depuis ses origines.

Les valeurs fondatrices de notre civilisation

Il s’agit notamment de la famille, aujourd’hui oubliée et méprisée par le Système, ainsi que de l’éducation détruite par le refus de l’excellence, de la sélection et de l’enracinement. Il y a également la liberté, paradoxalement occultée par l’état de droit et la dictature des minorités. Il faut aussi citer la nation mise en cause par le vivre ensemble, ainsi que le travail ruiné par le libre-échangisme sauvage et l’assistanat généralisé. Compte également la reconnaissance du mérite, rendue impossible par l’égalitarisme et la discrimination positive. Citons enfin l’identité, gravement érodée par la marée migratoire et l’entreprise de déconstruction. Le rejet ou l’oubli de toutes ces valeurs pourtant fondatrices entraîne la disparition de l’harmonie dans notre pays et par voie de conséquence menace notre civilisation. Elle instaure un grave désordre qui désarçonne nos compatriotes et prive nos enfants de tout repère.

C’est donc pour mettre un terme à ce chaos politiquement correct que le retour à l’harmonie est à ce point nécessaire. Une action de redressement que Ligne droite juge essentielle et que la droite nouvelle devrait conduire en s’affichant comme le défenseur de l’ordre et des valeurs, c’est-à-dire comme le champion de l’harmonie.

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mercredi, 03 avril 2019

Samedi dernier à Rungis : Synthèse nationale à la Fête du Pays réel organisée par Civitas

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Belle affluence samedi dernier au stand de Synthèse nationale, qui jouxtait celui de Francephi, lors de la Fête du Pays réel organisée par Civitas à Rungis. Parmi les auteurs venus dédicacer leurs livres, on reconnait ici Kakou Ernest Tigori, auteur de "L'Afrique à désintoxiquer" (Éditions Dualpha, cliquez ici).

Quant à Docteur Merlin, il remporta aussi un franc succès avec son livre "Corneliu Zelea Codreanu, Capitaine de la Garde de fer" (Les Cahiers d'Histoire du nationalisme n°16, cliquez ici).

Merci à Alain Escada et à son équipe pour leur aimable accueil.

20:29 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Une balade dans l'Histoire de l'Irlande : les Pâques sanglantes de 1916

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10:04 Publié dans TV SYNTHESE, Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La liste des personnalités signataires de l'Appel contre la dissolution du Bastion social ne cesse d'augmenter

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 NON À LA DISSOLUTION DU BASTION SOCIAL

UN APPEL AU PRÉSIDENT DE LA RÉPUBLIQUE

Le 16 février, un militant islamiste insulte l'écrivain Alain Finkielkraut. Le 20 février, au dîner du Crif, Emmanuel Macron annonce aux présents qu'il va, en conséquence, dissoudre le Bastion social, une organisation, habituellement considérée comme nationaliste révolutionnaire, qui consacre la majeure partie de ses activités à la défense de la culture européenne et à l'aide des SDF français.

On pourrait sourire de l'inconséquence de la décision du Président de la République française si elle n'était pas, en même temps, injuste, partisane et gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles.

- Injuste, car aucun juriste sensé ne peut trouver dans les activités du Bastion social (ouverture de lieux communautaires, maraudes de soutien aux SDF, nettoyages de parcs, etc.) l'ombre du commencement d'une preuve que ce mouvement prône la violence et l'antisémitisme.

- Partisane, car on ne peut que remarquer qu'alors qu'on veut faire dissoudre le Bastion social pour des faits et des idées qu'il ne prône pas, les groupuscules zadistes et antifas qui de manière récurrente s'en prennent aux forces de l'ordre et aux biens tant publics que privés avec une violence qu'ils revendiquent sans honte ne sont sous le coup d'aucune menace de dissolution.

- Gravement attentatoire aux libertés démocratiques essentielles car elle remet en cause le droit a s'associer, ainsi que celui à exprimer leurs idées, de ceux qui ont le tort de professer des pensées et des comportement dissidents.

Les signataires, qui ne partagent pas forcément les idées du Bastion social sur de nombreux points, s'inquiètent de ce lynchage démocratique d'une association qui n'a comme réel tort que d'aimer son peuple et sa patrie et demandent au Président de la République de revenir sur ses intentions (1).

(1) - A la date de la rédaction de ce texte le Bastion social n'a pas encore été dissous.

Cet appel s'adresse à tous...

Vous aussi, rejoignez les signataires, cliquez ici

ou écrivez à roland.helie@sfr.fr

ou imprimez et retournez ce bulletin cliquez là

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, initiateur de l'Appel contre la menace de dissolution du Bastion social.  

Ils soutiennent l'Appel :

Gabriele Adinolfi, Président de l'Institut Polaris (Rome) - Emmanuel Albach, ancien volontaire au Liban en 1976, écrivain - Gaston Alcide, écrivain - Bernard Atlan, écrivain - Serge Ayoub, ancien président du mouvement Troisième voie, lui-même dissout en 2013 - Yves Baeckeroot, écrivain - Alain de Benoist, éditorialiste de la revue Eléments - Francis Bergeron, directeur de Présent - Mario Borghezio, ancien ministre italien, député européen (La Ligue) - François Bousquet, directeur de la Nouvelle librairie - Caroline-Christa Bernard, artiste - Jean-Pierre Blanchard, pasteur - Christian Bouchet, enseignant, éditeur (Ars Magna) - Hugues Bouchu, les Amis franciliens de SN - Paule Bouvard, secrétaire départementale des CCP du Gard - Anne Brassié, écrivain - Les Brigandes, groupe musical non-conformiste - Christian Brosio, journaliste - Franck Buleux, écrivain normand, directeur de la collection Les Cahiers d'Histoire du nationalisme - Pierre Cassen, Président fondateur de Riposte laïque - Lucien Cerise, écrivain, chercheur en sciences sociales - André Chanclu, président du Collectif France-Russie - Jacques Chassaing, collaborateur au site Riposte laïque - François de Chassey, écrivain - Jean-Paul Chayrigues de Olmetta, écrivain, président des Amis de Synthèse nationale - Patrick Cocriamont, ancien député belge - Louis de Condé, combattant Algérie française - Daniel Conversano, écrivain, éditeur - Roland Curtet, responsable du MNR - Clotaire De La Rue, journaliste à Nous Sommes Partout - Jean-Pierre Demol, secrétaire de Nation (Belgique) - Thierry Dreschmann, libraire - Henri Dubost, directeur d'émission sur Radio Courtoisie - Claudine Dupont-Tingaud, présidente du club quimpérois Agir et réagir - Xavier Eman, essayiste, romancier, animateur de Paris-Vox - David l'Epée, rédacteur en chef de Krisis - Alain Escada, Président de l'Institut Civitas - Pascal Eysseric, directeur de la rédaction d'Eléments - Georges Feltin-Tracol, éditorialiste de Réfléchir et agir - Jean-Eudes Gannat, porte-parole de Alvarium (Angers) - Nicolas Gauthier, journaliste - Christophe Georgy, libraire - Pierre Gillieth, écrivain, directeur de Réfléchir & agir - Patrick Gofman, essayiste - Thomas Joly, secrétaire général du Parti de la France - Philippe Josselin, mathématicien Patrick Junca, ancien responsable identitaire Pieter Kerstens, chef d'entreprise - Perig Kerys, sculpteur - Kroc blanc, rappeur patriote - Pascal Lassalle, animateur d'émission sur Radio Courtoisie - Pierre de Laubier (le professeur), directeur de l'Aristoloche, chroniqueur à Radio Libertés - Didier Lejeune, conseiller municipal de Nieppe (59) - Jean-Marie Le Pen, député européen, président d'honneur du Front national - Christophe Lespagnon (Dr Merlin), artiste - Gérard Letailleur, écrivain - Aristide Leucate, écrivain, chroniqueur - Juan Antonio Llopart, édition Fides (Barcelonne) - Patrick Lusinchi, directeur artistique d'Eléments  - Massimo Magliaro, directeur de Nova Historica (Rome) - Samuel Martin, rédacteur en chef de Présent - Jacques Mayadoux, ancien responsable de l'Union des lycéens nationalistes - Hubert de Mesmay, ancien conseiller régional PACA - Françoise Monestier, journaliste - Claudio Mutti, directeur d’Eurasia, éditeur (Parme, Italie) - Dr Alain de Peretti, président de Vigilance halal - Patrick Parment, Le Journal du chaos - Jacqueline Picoche, professeur d'université honoraire - Jean Picollec, éditeur - Gérard Pince, économiste - James Porazzo, éditeur (New-York) - Bernard Plouvier, écrivain - Joël Provansal, Afrique du Sud - Arnaud Raffard de Brienne, essayiste - Philippe Randa, écrivain, éditeur, directeur d’Eurolibertés - Jean-Claude Rolinat, écrivain, grand voyageur - Claudette Rose, retraitée de l'Aviation civile - Olivier Roudier, porte-parole Ligue du Midi - Richard Roudier, Président de la Ligue du Midi - Marc Rousset, chef d'entreprise, chroniqueur économique - Lorrain de Saint Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne - Alain Sanders, écrivain et journaliste à Présent - Yannick Sauveur, écrivain - Luc Sommeyre, blog Minurne - Jacques Soulis, président du Cercle poitevin des Chats bottés - Robert Spieler, ancien député, chroniqueur à Rivarol - Robert Steuckers, essayiste - Christine Tasin, Présidente de Résistance républicaine - Frère Thierry, homme d'Eglise - Jean-François Touzé, membre du bureau du PdF et directeur de Confrontation - Rémi Tremblay, directeur du Harfang (Canada) - Hervé Van Laethem, porte-parole de Nation (Belgique) - Vincent Vauclin, président  de Dissidence française - David Veysseyre, essayiste - Pierre Vial, président de Terre & peuple - Marc Vidal, libraire - Marie-Jeanne Vincent, déléguée du PdF du Calaisis, ainsi que des centaines d'autres patriotes cliquez ici

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mardi, 02 avril 2019

Le discours de clôture prononcé par Alain Escada de la 3e Fête du Pays réel samedi 30 mars

21:27 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L’intellectuel néofasciste italien Gabriele Adinolfi analyse le phénomène Salvini en Italie

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Le Retour au sources cliquez ici

C’est un événement, car il s’exprime rarement dans les médias : il s’agit de Gabriele Adinolfi. L’intellectuel italien était en direct de Rome, jeudi 7 mars, sur Kernews, pour commenter la popularité croissante de Matteo Salvini, qu’il connaît bien, et dont il relate le parcours dans un ouvrage.

Gabriele Adinolfi a commencé à militer en 1968 au sein du Mouvement social italien (MSI), il a été le dirigeant de plusieurs mouvements fascistes, il a fait l’objet d’un mandat d’arrêt international qui l’a contraint à s’exiler à l’étranger, notamment à Paris, mais il a pu revenir en Italie en 2000. Alors, pour nous aider à comprendre ce qui se passe actuellement en Italie, ce proche de Matteo Salvini a accepté de répondre aux questions de Yannick Urrien. « Matteo Salvini ou l’itinéraire d’un parcours politique météorique » de Gabriele Adinolfi est publié aux Éditions Synthèse Nationale.

Kernews : Les Français ont besoin de comprendre ce qui se passe en Italie et qui est vraiment Matteo Salvini. Les médias français évoquent des gens infréquentables qui sont au pouvoir, des populistes et des extrêmes, toutefois le contexte semble plus complexe. Vous êtes vous-même un intellectuel issu de cette mouvance, on vous présente comme un théoricien nationaliste révolutionnaire italien, ancien activiste de la mouvance néofasciste. Or, si l’on voulait comprendre la Chine de Mao, ce ne serait pas en interrogeant un intellectuel libéral, mais plutôt un intellectuel communiste… Alors, pour appréhender Italie d’aujourd’hui, je m’adresse à vous… Peut-on transposer à l’Italie ce que l’on appelle l’extrême droite en France ?

Gabriele Adinolfi : Non, l’Italie et la France se rassemblent sur beaucoup de choses, mais ce sont des pays divisés sur beaucoup de choses aussi. Par exemple, le phénomène des Gilets jaunes remonte à une tradition française, alors qu’en Italie on ne trouverait pas quelque chose de comparable. La culture sociale et la psychologie des foules sont vraiment différentes entre les deux pays.

Peut-on faire un parallèle entre Salvini et Berlusconi, qui avait lui aussi surpris les Français ?

Mon livre est une enquête, j’explique le phénomène plutôt que de prendre parti, et ce phénomène populiste remonte effectivement à Silvio Berlusconi en 1994. Je reviens sur le parcours politique de Salvini, avec les différentes interventions publiques qu’il a pu avoir, son itinéraire et ses changements de posture aussi. Pour l’Europe, nous avons un Salvini anti européen, un Salvini alter européen et même un Salvini européen… C’est beaucoup plus complexe. En France, vous êtes prisonniers d’une dialectique faussée, à savoir que l’Italie est en rébellion contre l’Union européenne, mais ce n’est pas tout à fait vrai. C’est pourtant ce que Macron et Moscovici essaient de faire croire pour donner une espèce de logique politique au macronisme, mais ce n’est pas du tout comme cela dans le reste de l’Europe. Même l’Allemagne, par exemple, n’a rien contre les dirigeants italiens.

On pourrait penser que Salvini serait l’équivalent de Marine Le Pen, mais en réalité cela n’a rien à voir… A qui pourrait-il ressembler ?

Salvini, ce n’est pas Marine Le Pen. La France est souvent un laboratoire culturel et politique, le fascisme s’est largement inspiré de la culture de la droite révolutionnaire et de la droite réactionnaire françaises. Pourtant, Mussolini a fait des choses vraiment différentes, car en Italie il y a cette tradition politique du transformisme, à savoir la force qui se transforme sans aucun complexe, et c’est une composante importante de la culture politique italienne, alors que cela n’existe pas en France. Ce n’est même pas saisissable en France. Cette notion de transformisme se concrétise par le fait que quelqu’un part en campagne en promettant une chose et, finalement, à l’arrivée, il fait totalement autre chose, tout en gardant plus ou moins la même base sociale… Ce n’est pas négatif, cela peut être aussi positif, puisque l’on peut faire mieux que ce que l’on disait, comme on peut faire pire.

Cela consiste-t-il en quelque sorte à ajuster son programme ?

Il y a des choses sur lesquelles l’Italie vaut mieux que la France et des choses sur lesquelles la France vaut mieux que l’Italie… Dans ce transformisme, il y a une culture de base que l’on retrouve partout. Chez les gens qui font de la politique, mais aussi au sein de la masse qui suit la politique, tout le monde sait que c’est une comédie et ce que l’on dit n’a finalement aucune importance. Par exemple, les Français donnent beaucoup d’importance aux programmes électoraux. Or, en Italie, personne ne lit un programme électoral, pas même la personne qui l’écrit !

En France, on donne beaucoup d’importance aux programmes électoraux, mais ils ne sont jamais respectés ! Dans les médias, on qualifie Salvini d’extrême droite ou de fasciste, des mots souvent associés à la haine de l’autre, au racisme ou à l’antisémitisme… En réalité, vous démontrez que le fascisme n’a rien à voir avec tout cela…

Cela n’a évidemment rien à voir. Salvini a commencé à l’extrême gauche, tout comme Mussolini, d’ailleurs… Salvini ne peut pas être qualifié de raciste, puisque la Ligue du Nord gère les régions les plus importantes sur le plan économique et ce sont aussi les régions où il y a le plus d’immigrés. En plus, il y a même des personnes d’origine immigrée qui sont élues au sein de la Ligue du Nord. Donc, il n’y a pas de racisme. Il y a surtout l’absence de préjugés. Il a compris ce que les Italiens voulaient. Les Italiens en avaient marre de cette immigration excessive, de cette invasion par navires et des conditions économiques favorisant les immigrés, comme pour le logement. Une grande partie des Italiens en ont eu assez et Salvini a tout simplement repris cet élément avec un discours de bon sens, mais qui n’est pas du tout raciste. Évidemment, Salvini n’est absolument pas antisémite, il est très pro-israélien, par exemple. On ne peut pas le soupçonner d’antisémitisme.

Est-ce une sorte de Donald Trump italien ?

Non, Donald Trump est plus proche, dans son style de personnage, de Silvio Berlusconi. Trump est un homme d’affaires qui investit la politique, alors que Salvini est un politicien depuis toujours. En plus, Donald Trump a surpris tout le monde aux élections, alors que Salvini n’a pas surpris grand monde, puisqu’il est arrivé en tête dans la coalition de centre-droit, en étant dépassé par le mouvement 5 étoiles. C’est ensuite qu’il a gagné sa popularité, parce que c’est une vraie bête de scène, alors que Luigi Di Maio, dirigeant du mouvement 5 étoiles, garde cette mentalité consistant à voir les choses avec un prisme irréel, en prétendant avoir la solution à tout. Salvini est différent, parce qu’il fait preuve de bon sens. Tout ceci entre effectivement dans une vague que l’on qualifie de populiste et, dans cette vague, on retrouve Donald Trump, Salvini, Marine Le Pen ou Bolsonaro, mais ce sont des choses très différentes.

Est-ce parce que Salvini est populaire dans les sondages au détriment du mouvement 5 étoiles que, pour tenter de gagner en popularité, Luigi Di Maio est allé soutenir les Gilets jaunes en France ?

Absolument. Di Maio est entré dans le jeu de Macron sur cette idée de guerre entre la France démocratique et l’Italie souverainiste. Les deux ont besoin de cette comédie pour des questions électorales, mais ils sont complètement à côté de la plaque…

Donc, Salvini, malgré les divergences, est prêt à coopérer avec Emmanuel Macron, alors que Luigi Di Maio se situe davantage dans la provocation ?

Oui, mais il ne faudrait pas penser que Luigi Di Maio serait plus idéaliste pour certains, ou extrémiste pour d’autres. En réalité, il fait cela parce qu’il est en perte de vitesse. S’il avait le vent en poupe, il serait beaucoup plus raisonnable dans les relations internationales. Salvini a cette capacité assez unique, tout comme Silvio Berlusconi, qui est de tenir un discours avec le ton qu’il faut pour rassurer à la fois les extrémistes et les modérés.

Dans cette tradition néofasciste italienne que vous incarnez, on aurait parfois pu vous cataloguer à l’extrême gauche, alors que vous avez évolué vers plus de liberté économique et de compréhension du monde moderne…

Si l’on parle de la tradition que nous incarnons, vous pensez certainement à Che Guevara, mais ce n’est pas vraiment contradictoire. Le fascisme a été un courant nationaliste avec une logique spirituelle universelle qui consistait à faire progresser les différents peuples sur le plan social en s’opposant aux grands empires, comme l’Empire britannique. Après la guerre, il y a eu plusieurs éléments qui se sont détachés de la logique de Yalta, avec les soi-disant non-alignés, et il y avait les successeurs néofascistes, comme Juan Domingo Perón en Argentine, qui soutenait Che Guevara de son vivant. Che Guevara a fait escale en Espagne pour aller voir Franco avant d’aller en Afrique. Donc, il y avait une logique de rupture générale et il y avait des alliances stratégiques qui étaient significatives. Maintenant, les choses ont complètement évolué.

Vous vous exprimez souvent dans les médias italiens, alors qu’en France les médias sont plus fermés aux pensées alternatives. Comment expliquez-vous cela ?

En France, il y a une tradition jacobine du pouvoir, alors qu’en Italie il y a une tradition cléricale du pouvoir. Donc, la façon de s’y prendre est différente. Par exemple, Emmanuel Macron vient de prendre la décision de dissoudre des groupes comme Bastion social. En Italie, cela ne se fait pas comme ça mais, quand cela se fait, les gens vont en prison pour plusieurs années. Je veux dire qu’en Italie, la laisse est beaucoup plus large et plus longue mais si l’on dépasse trop le niveau, on risque de s’étrangler.

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20:22 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sécurité routière : d'abord faire payer les Français

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Jean-François Touzé

Délégué national du Parti de la France aux Études et Argumentaire

Emmanuel Macron et pour son Premier ministre Édouard Philippe, l’orientation à la hausse de la mortalité routière constatée ces dernières semaines (+17,1 % en février avec 253 personnes tuées après une augmentation de 3,9 % en janvier) a été provoquée par les nombreuses destructions de radars, enregistrées depuis l'été dernier.

En réalité, ne voulant pas reconnaître l'inutilité punitive et l'inefficacité totale de la mesure des 80 km/heure sur le nombre d'accidents de la route, le pouvoir cherche donc un bouc émissaire commode. Il est jaune et porte un gilet. Il doit être désigné comme responsable et coupable.

La réalité des causes des accidents et surtout de la mortalité routière est pourtant connue : la fatigue et la somnolence, la prise d’alcool ou de drogue (25 % des cas), l'inattention et les manœuvres dangereuses (26 %), le non-respect des distances de sécurité, l'implication de poids lourds (14 % des cas) et le mauvais état des routes. La fable des radars brisés sert donc bien trois buts : culpabiliser les automobilistes, designer les Gilets jaunes à la vindicte populaire et tenter une diversion face à l'incapacité gouvernementale à prendre de vraies mesures pour réduire l’insécurité routière et enrayer la spirale de la hausse des accidents.

Mais, ce qui préoccupe au premier chef le gouvernement, bien au-delà de l’impact humain, dans cette très hasardeuse et totalement hypothétique mise en avant de la responsabilité de la destruction des radars, ce sont les conséquences budgétaires de ces supposés actes de vandalisme.

Selon les derniers chiffres de Bercy, relayés par Les Échos, les dégradations de radars qui se seraient amplifiées à la faveur de la crise des gilets jaunes, laisseraient sur les seules années 2018 et 2019 un trou de plus de 660 millions d'euros dans les comptes publics.

Ces chiffres restent à démontrer. Mais leur publication et leur mise en avant par les pouvoirs publics montrent, s'il en était besoin, où sont les vraies priorités du pouvoir en matière de « prévention » routière : emm… r les Français, comme le notait déjà Georges Pompidou, alors Premier ministre, et surtout faire des automobilistes les vaches à lait de la République.

20:22 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Fuite en avant des banques centrales pour retarder l’explosion du Système

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Marc Rousset

Lors d’une conférence à Paris, le jeudi 28 mars 2019, le vice-président de la Fed, Richard Clarida, a pu déclarer : « Si nous avons un choc défavorable, la première réponse serait d’employer les outils monétaires habituels. Si cela ne suffit pas, il y a d’autres instruments dans la boîte à outils qui ont déjà été employés et il est certain qu’on les emploierait à nouveau si nécessaire. » Autrement dit, baisse à venir des taux d’intérêt déjà pas très élevés et reprise probable, en 2019 ou en 2020, de la création monétaire non conventionnelle par achat d’obligations, le fameux « QE ». Mais c’est aussi reconnaître l’échec de la politique laxiste pratiquée jusqu’à présent par les banques centrales.

En fait, la Fed a jeté l’éponge le 20 mars dernier avec une volte-face historique puisque, trois mois auparavant, elle affirmait que la taille de son bilan serait réduite, en 2019, de 50 milliards de dollars par mois et que les taux continueraient de grimper. En septembre 2019, la Fed aura toujours, dans son portefeuille, plus de 3.500 milliards d’obligations, soit 17 % du PIB, alors que ce chiffre s’élevait à seulement 6 % en 2006. L’économie est droguée avec des taux bas, une liquidité record, une dette record, trop d’entreprises zombies, une croissance insuffisante et une bulle des actifs. La Fed ne peut plus faire marche arrière, seulement aller de l’avant tout droit dans le mur, tout comme la BCE en Europe !

La Fed a capitulé face aux pressions politiques de Trump et des « banksters » de Wall Street. Le conseiller économique de Donald Trump, Larry Kudlow, a appelé, vendredi dernier, la Fed à baisser ses taux immédiatement d’un demi-point pour les ramener entre 1,75 % et 2 %, au lieu de 2,25 % et 2,50 %. Trump vient de nommer Stephen Moore, un économiste soumis, au Conseil de la Fed en précisant qu’il n’avait pas l’intention de limoger le président de la Fed, Jerome Powell, soi-disant indépendant. L’outil « Fed Watch » du marché de Chicago CME montrait, vendredi dernier, une très forte probabilité que les taux soient rabaissés.

Le comble, c’est que cette politique est présentée sous le nom de « théorie monétaire moderne » ! En fait, la TMM n’est ni moderne ni une théorie, mais de la démagogie pure et simple pour justifier les bas taux d’intérêt et le laxisme de la création monétaire. Le Système veut nous faire croire, par ce subterfuge, que les taux d’intérêt pourraient un jour remonter, alors qu’il en sera incapable. Selon le site Bloombergmondialement connu, « la TMM est une blague qui n’est pas drôle ». Les empereurs romains et les rois de France pratiquaient déjà la création monétaire laxiste avec de moins en moins d’or et d’argent dans chaque pièce de monnaie. On peut illusionner en créant de la monnaie à volonté, mais on ne peut pas créer de la richesse économique à volonté sans capital, sans technologie et sans travail compétitif.

Le taux des obligations américaines à long terme sur dix ans est passé en dessous du taux des bons du Trésor à trois mois pour la première fois depuis 2007. Au cours des sept dernières fois où la courbe de rendement s’est inversée, l’économie américaine est entrée, en moyenne, en récession après onze mois. Selon le modèle de récession de la Fed de New York, la probabilité de 29 % est aujourd’hui plus élevée que celle observée avant cinq des sept dernières récessions. Le fait qu’en Europe, le taux négatif du Bund allemand à 10 ans de -0,008 5 % soit inférieur à celui du taux japonais de -0,008 3 % – une première depuis 2016 – est aussi annonciateur de cataclysme.

Le retour en grâce des métaux physiques précieux en or et en argent est aussi très préoccupant puisque, de 2009 à 2018, les achats d’or de 16.200 tonnes ont été multipliés par 4 par rapport à 1999-2008, tandis que les achats d’argent de 57.800 tonnes étaient multipliés par 3,8.

Les banques centrales, en créant de la monnaie non conventionnelle et en baissant les taux d’intérêt, empêchent les banques, les États hyper-endettés et les Bourses de s’écrouler dans l’immédiat, mais elles ne pourront pas empêcher l’inéluctable récession à venir et c’est alors que le Système explosera d’une façon encore plus violente, avec un effondrement monétaire en lieu et place d’un simple krach économique, financier et boursier, style 1929 !

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lundi, 01 avril 2019

La canaille mondaine

Michel Maffesoli, sociologue

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De nos jours c’est cette intelligentsia déphasée qui — outre les chaînes tv en continu — se partage les débats de ces divers bulletins paroissiaux que sont les organes de presse « mainstream » : Le Monde, Le Figaro, Libération. Chaînes et journaux n’étant plus qualifiés de « référence » que dans les EPHAD et divers clubs du 4e âge où l’on papote, entre soi, de l’avenir du monde. C’est dire !

Un avenir que les divers experts consultés par les politiques ont du mal à saisir, obnubilés qu’ils sont par ce que j’ai nommé « apriorisme ». C’est-à-dire une idéosophie on ne peut plus crédule, croyant, car c’est bien de croyance qu’il s’agit, que le réel doit se plier à ces a‐priori théoriques que, telles des incantations d’un autre âge, on serine ad nauseam : valeurs républicaines, démocratie, citoyenneté, laïcité et autres fariboles du même acabit, n’intéressant plus personne, sinon les divers privilégiés se partageant les pouvoirs institutionnels d’une technocratie en déshérence.

 En la matière d’incompréhension, le summum est atteint par la Caste des journalistes. On se souvient de la formule assassine que Nietzsche prononçait en 1882 : « Encore un siècle de journalisme et les mots pueront ». Prophétie on ne peut plus d’actualité.

Source, site Nice Provence info

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