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jeudi, 16 mai 2019

Faits & Documents : Un 1989 du mondialisme ?

Au sommaire de cette quatrième émission animée par Xavier Poussard, rédacteur en chef de Faits & Documents et Vincent de la librairie Facta :

- Vers un 1989 des démocraties libérales ?

- Macron, « un truc des années 90 » ?

- L’irrésistible puissance chinoise

- Jean-Dominique Sénard, nouveau patron de Renault contre la fortune anonyme et vagabonde

- Le CAC 40 plus révolutionnaire que Juan Branco ?

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Les Lansquenets d'Europe vous attendent fin juillet dans les Bouches-du-Rhône avec Gabriele Adinolfi

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Conférence Pollution Électromagnétique à Nice le 1 juin

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Conférence de Christian Bouzy et Patrick Volpini à Nice

L’association culturelle niçoise ‘Culture Populaire’ vous convie à sa prochaine conférence pour vous emmener dans le monde invisible des ondes… pour y voir – une fois pour toutes – plus clair. Grâce au travail préparatif de vulgarisation, fait par nos deux conférenciers experts en la matière, chacun de nous pourra enfin établir sa propre opinion… surtout devant la quantité immense de fausses informations qui circulent en la matière.

Venez vous renseigner sur la pollution électromagnétique, émanant de diverses sources qui sont de plus en plus rapprochées et en nombre croissant…

Nos conférenciers vous attendent pour en finir avec les rumeurs, contre-vérités, voire mensonges qui circulent …. 

Après leurs exposés, vous aurez l’occasion de leur poser vos questions et acquérir des ouvrages sur le sujet.

Pour plus d'information et inscriptions cliquez ici

 
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Pierre de Brague et Jérôme Bourbon : "Qu’est-ce que le fascisme ?" de Maurice Bardèche

 
 
Pierre de Brague et Jérôme Bourbon, directeur de Rivarol, présentent l’ouvrage Qu’est-ce que le fascisme ? de Maurice Bardèche, réédité en mars 2019 par Kontre Kulture.
 
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Départ du pèlerinage de la Pentecôte devant l’Eglise St Sulpice le 8 Juin 2019

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Notre Dame de Chrétienté est heureuse d’annoncer à ses pèlerins que le départ du pèlerinage de la Pentecôte se fera de l’Eglise St Sulpice le 8 Juin 2019. Le rendez-vous des pèlerins reste fixé à 5h30, la messe étant célébrée à 7h. Notre Dame de Chrétienté remercie l’archevêché ainsi que les autorités civiles et militaires de leur compréhension et leurs efforts afin de trouver cette solution qui nous permet de commencer notre pèlerinage d’une église parisienne et sur un itinéraire proche de celui que nous empruntons habituellement.

La messe sera célébrée par le Père Julian Large, Prévôt de l'Oratoire de Londres, assisté de l’abbé Henri Lefer (FSSP, Aumônier de région Paris-Est) et du chanoine Martial Pinoteau (ICRSP, Aumônier de région Nord). Mgr Alexis Leproux, Vicaire Général et représentant de l'archevêché de Paris, donnera l’homélie. Le mot d’envoi sera donné par l’Abbé Alexis Garnier, Aumônier Général de Notre Dame de Chrétienté.

Les 42 chapitres famille et les 22 chapitres enfants se retrouveront à Igny le samedi 8 juin à 11h30 pour la messe célébrée par l’Abbé Guilhem de Labarre, de la Fraternité St Pierre, aumônier du Service d’Ordre.

Le pèlerinage placé sous le thème de la Paix du Christ par le Règne du Christ est une invitation à la conversion par le sens de l’effort et la richesse du Rosaire pour le retour à la Chrétienté.

Le dimanche 9 juin, la messe sera célébrée à 12h30 par le Père Marc, Prieur du monastère de Ste Marie de La Garde. Il donnera également l’homélie du jour.

Le Salut du Saint Sacrement et la consécration mariale seront présidés par l’Abbé Jean-Raphaël Dubrule, Missionnaire de la Miséricorde Divine, en présence de Monseigneur Philippe Christory, Evêque de Chartres, et de Monseigneur André Leonard, archevêque émérite de Malines Bruxelles.

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Le pèlerinage se clôturera le lundi 10 juin à 15h30 par une messe dans la cathédrale de Chartres, célébrée et prêchée par Monseigneur André Leonard, archevêque émérite de Malines-Bruxelles et ancien primat de Belgique, assisté par l’Abbé Garnier, Aumônier Général de Notre Dame de Chrétienté, et les abbés Hervé Hygonnet (FSSP) et Guillaume d’Aigremont (FSTB) en présence de Monseigneur Philippe Christory, évêque de Chartres, entouré du Chanoine Blondeau, recteur archiprêtre de la Cathédrale Notre Dame, de l'abbé Besnier, vicaire de la paroisse St Etienne en Drouais (diocèse de Chartres),

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Agir en conformité avec la nature profonde du politique

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Ligne Droite cliquez ici

Parmi les causes qui expliquent la crise du politique dans notre pays, il y a sans conteste la méconnaissance de la nature profonde du politique. Une méconnaissance qui touche, et c’est bien normal, la population tout entière, mais qui affecte aussi, plus curieusement, ceux qui s’engagent en politique, qu’ils soient simples adhérents ou élus. Ligne droite estime donc nécessaire que les militants de la droite nouvelle soient initiés à ce qui fait la spécificité du politique et donc à sa nature profonde.

La définition du politique : garantir le bien commun de la cité

Le terme de politique est construit à partir de polis, le mot grec qui désignait la cité État. Aussi le politique est-il l’art et la pratique du gouvernement des sociétés humaines. Il a pour but de garantir leur survie et de faire prévaloir l’intérêt général, c’est-à-dire plus globalement d’œuvrer au bien commun. Aujourd’hui en France cet objectif est largement perdu de vue car  les intérêts privés liés aux minorités comme au marché prennent le pas sur l’intérêt public. Une situation qui résulte de l’individualisme radical sécrété par l’idéologie libérale/libertaire du Système et dans laquelle, les individus étant seuls à exister, le bien commun disparaît, le politique s’efface et le chaos s’installe.

Les fondements du politique : un peuple, une terre, une loi

Le politique n’a en effet pas  sa place partout. Pour qu’il y ait politique, il faut que trois conditions soient réunies. Un peuple d’abord, car l’homme est par nature un être social et, à ce titre, il est voué à vivre en société. «Hors de la cité, l’homme est une bête ou un dieu», disait Aristote. Aussi doit-il vivre avec ses semblables au sein d’un peuple, c’est-à-dire d’une collectivité homogène de personnes ayant une histoire commune et la volonté de la prolonger dans le temps.

Mais il faut aussi une terre, car c’est en fonction du sol qu’il a conquis et dont il a hérité qu’un peuple s’organise, vit et se développe. Tant il est vrai que la civilisation qu’il construit dépend largement des liens qu’il établit avec sa terre.

Enfin, une loi, car attaché à son sol, le peuple définit les règles qui lui permettent de vivre le plus harmonieusement possible en garantissant, au-delà des modes et des circonstances, les conditions de sa survie.

Sans ces trois impératifs, il n’est pas de politique possible. Un peuple sans terre ou une terre sans loi ou encore une terre sans peuple, constituent autant de configurations d’où la dimension politique est exclue. Aussi est-il essentiel que la France conserve ces trois fondements. Car si demain, en raison de l’idéologie mondialiste du Système, notre pays n’était plus qu’un hexagone où vivraient des individus étrangers les uns aux autres, il ne pourrait plus connaître les bienfaits de la régulation politique. Aussi, en ignorant les fondements du politique, le Système qui nous dirige risque-t-il de faire sombrer la France dans le chaos.

La nature du politique : le commandement et l’obéissance

Le politique est par ailleurs défini par l’impératif du commandement et de l’obéissance. Deux notions qui peuvent paraître aujourd’hui brutales et déconnectées des sociétés contemporaines. Et, pourtant, dans tous les régimes, que l’organisation institutionnelle soit autoritaire ou démocratique, le politique passe par le commandement. C’est-à-dire par une relation hiérarchique à travers laquelle une volonté particulière exerce sa puissance sur les autres. Et loin d’être une forme d’autoritarisme d’un autre âge, cette réalité d’ordre politique s’avère à la fois nécessaire et bénéfique car c’est par la puissance de cette volonté propre au commandement que se forme l’unité politique d’une nation. En ce sens la puissance est positive puisqu’elle unifie et ordonne. Aussi est-il essentiel que celui qui exerce le commandement dispose de la puissance car, quelle que soit la source de sa légitimité, c’est elle qui lui permet d’agir, de rassembler, de mettre en ordre et de créer une harmonie.

La crise du politique qui affecte aujourd’hui notre pays s’explique largement par l’effacement de ce principe. Limités dans leur pouvoir par les médias, les juges, les eurocrates et la super classe mondiale, les dirigeants de la France manquent de puissance pour assurer leurs fonctions politiques. Dès lors, l’unité de la nation se fissure et le désordre apparaît. Un désordre d’autant plus marqué que, dans le même temps, le principe d’obéissance se trouve lui aussi affaibli.

Or, le politique exige l’obéissance. Une obéissance qui ne s’apparente nullement à une soumission ou à un rapport d’inférieur à supérieur. Car il n’y a rien d’arbitraire dans cette relation mais seulement l’acceptation des règles et obligations qui s’imposent à tous dans l’intérêt commun. Là encore, la crise du politique conduit à une remise en cause de ce principe d’obéissance, lequel sera d’ailleurs d’autant moins observé que le commandement ne sera plus respecté.

Le champ du politique : le public et le privé

Le domaine du politique est de plus caractérisé par la bonne articulation entre la sphère privée et la sphère publique. La première concerne l’individu dans ses relations avec ses semblables, qu’elles soient d’ordre familial, économique, associatif ou autre. Quant à la seconde, elle relève de tout ce qui concerne la sécurité, l’ordre et l’harmonie de la collectivité, c’est-à-dire la poursuite du bien commun.

Le politique, qui est en charge de la sphère publique et d’elle seule, doit donc veiller à la séparation des deux sphères. Car si le domaine du politique se trouve occupé par des éléments illégitimes ou si, au contraire, le politique interfère dans ce qui n’est pas de son ressort, si donc il y a interpénétration des deux sphères, le politique se trouve dénaturé et le désordre s’installe.

C’est là encore ce que l’on observe dans la France d’aujourd’hui avec un État qui envahit la sphère privée, s’occupant de régenter de A à Z la vie quotidienne des Français pendant que, de l’autre côté, des fonctionnaires, des financiers ou des journalistes s’immiscent dans les affaires publiques pour dicter leur loi à nos dirigeants. Une dénaturation du politique qui est l’une des causes majeures du déclin de notre pays.

L’essence du politique : l’ami et l’ennemi

Le politique est enfin d’essence conflictuelle. Son rôle est de traiter les antagonismes et de trancher les conflits. Aussi la notion d’ennemi est-elle indissolublement liée au politique. Encore faut-il dans ce domaine établir une distinction fondamentale entre deux catégories d’ennemis. Une distinction que les Romains avaient consacrée par l’usage de deux mots différents : inimicus et hostis. L’inimicus est l’ennemi privé, celui que l’on peut se faire dans sa vie personnelle et auquel on voue souvent des sentiments aussi passionnels qu’irrationnels. L’hostis désigne de son côté l’ennemi collectif, celui qui menace la nation, ses intérêts ou ses ressortissants. Il s’impose quant à lui pour des raisons objectives et c’est bien sûr de ce type d’adversaire que traite le politique.

Car le politique se distingue avant tout comme l’activité humaine régie par les relations conflictuelles entre amis et ennemis. Si la morale est le domaine du bien et du mal, l’art celui du beau et du laid, le politique est par excellence le domaine de l’ami et de l’ennemi.

Là encore, cette notion peut paraître dure et brutale mais elle doit cependant être nuancée car, si le critère spécifique du politique tient à sa nature polémique, le but du politique n’est pas de susciter des hostilités mais de vaincre l’ennemi pour faire régner la concorde et l’harmonie. Pour autant, il importe d’être lucide et de savoir désigner son ennemi car, si on ne le fait pas, lui le fera et se placera dès lors en position de supériorité.

De même, il est impératif de ne pas mélanger morale et politique. Car, à vouloir appliquer les règles de la morale au domaine politique, on abandonne celles qui sont spécifiques du politique et on multiplie les erreurs. Et, là encore, de telles erreurs sont régulièrement commises par les dirigeants de notre pays. N’est-ce pas en effet au nom de la morale qu’ils imposent aux Français d’accueillir toujours plus de migrants, alors que les règles du politique devraient au contraire les conduire à les en préserver pour sauvegarder l’identité et l’intégrité de notre peuple ?

On le voit, la plupart des graves problèmes que connaît notre nation sont dus à une méconnaissance de l’essence même du politique. C’est donc aussi en réhabilitant le politique au sens noble du terme que la droite nouvelle pourra assurer le redressement de notre nation et de notre civilisation.

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Jean-Marie Le Pen demande de voter pour Jordan Bardella (Rassemblement national)

safe_image.jpgJean-Marie Le Pen, passant au-dessus des affronts de ces dernières années, estime qu'entre Nathalie Loiseau et Jordan Bardella le choix est simple et qu'il faut donner un élan nouveau à la droite nationale.

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10:24 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

JEUDI 16 MAI, CARL LANG INVITÉ DE L'ÉMISSION "SYNTHÈSE" SUR RADIO LIBERTÉS

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LES PRÉCÉDENTES ÉMISSION CLIQUEZ ICI

LE LIVRE DE CARL LANG CLIQUEZ LÀ

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François Bousquet : « Avec le départ de Kotarac, c’est la fin du populisme de gauche de Mélenchon de 2017 »

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Boulevard Voltaire cliquez ici

François Bousquet analyse la portée du départ d’Andréa Kotarac de La France insoumise et son appel à voter pour la liste RN de Jordan Bardella. « Désormais, ce sera aux conservateurs type Bellamy à s’allier aux populistes et non plus l’inverse. »

Le conseiller régional Andréa Kotarac quitte la France Insoumise et affirme son soutien à Jordan Bardella, tête de liste au Rassemblement national. Cela va-t-il changer quelque chose politiquement ?

C’est un coup de tonnerre dans le landerneau polico-médiatique, en particulier chez les Insoumis. C’est un basculement chez nos frères ennemis, en l’occurrence le Rassemblement national. Cela clôt l’épisode populiste de 2017et la ligne que Mélenchon avait suivie pendant les élections présidentielles. Elle les avait portés à 20 % des voix. Pour avoir renoncé à cette ligne populiste, les Insoumis sont retombés à moins de 10 points.

La France Insoumise est un peu une auberge espagnole à tendance vénézuélienne. On peut dire que Ruffin était le pied gauche de Mélenchon, Raquel Garrido et Alexis Corbière étaient le bras droit et Djordje Kuzmanovic était la tête gauche. Ce dernier était le conseiller de Mélenchon pour les affaires internationales. Il a dû quitter les Insoumis en septembre pour avoir alerté le parti sur les dangers de l’immigration. Kotarac était le successeur. Danièle Obono était, elle, l’ulcère à l’estomac et l’indigéniste. Il semblerait que l’indigéniste ait pris désormais le dessus dans ce parti. Exit le populisme à gauche. Désormais, le populisme, c’est l’alliance du Rassemblement national et des Gilets jaunes.

Les Gilets jaunes à la France Insoumise ne sont jamais que des cols blancs. Ils ne peuvent rien comprendre aux Gilets jaunes !

Après le départ de Kuzmanovic et celui d’Andréa Kotarac aujourd’hui, peut-on bel et bien dire que le courant populiste de gauche est définitivement mort aux Insoumis ?

Kuzmanovic et Kotarac ont déserté. On peut donc dire qu’il est mort. Kuzmanovic reste un souverainiste de gauche, chevènementiste, incapable de franchir le Rubicon pour des questions générationnelles.

Kotarac a 29 ans. Il est désinhibé vis-à-vis des tabous de l’anti-racisme des années 80. C’est aujourd’hui un chapitre clos. C’est au niveau européen que le populisme est en train de disparaître. Podemos appelle à voter pour le parti socialiste espagnol.

Sahra Wegenknecht avait créé un micro parti sur les dangers de l’immigration, toujours à gauche de la gauche. Elle renonce aujourd’hui à la politique et va faire une carrière télévisuelle comme Raquel Garrido.

C’est le populisme tel que Mélenchon, Podémos et Sahra Wegenknecht l’envisageaient, c’est-à-dire transpartisan. Il est désormais derrière nous.

Manifestement il faut tirer un trait sur le populisme de gauche.

Peut-on pour autant parler de populisme de droite ? En réalité, le populisme, c’est un magma d’appel au peuple, de gilets jaunes, de souverainisme et de conservatisme. Il est classé sur l’échiquier politique à droite, mais je ne suis pas sûr qu’il soit complètement de droite. Il a été fréquent dans l’Histoire de France de voir ce type de débauchage de la gauche de la gauche vers la droite de la droite. C’était fréquent lors de l’épisode boulangiste. Il le redevient aujourd’hui avec le phénomène Front national.

Ce bloc populiste est aujourd’hui majoritaire dans l’opinion. Il n’a aucune perspective de pouvoir. Si vous additionnez les voix populistes entre les souverainistes populistes et conservateurs, on est à 30 % avec le Rassemblement national en tête.

Le rapport de force joue désormais en faveur des populistes et non plus des conservateurs. Marine, Dupont-Aignan et Philippot sont à 30 % et Bellamy à 15 %. Désormais, ce sera aux conservateurs de s’allier avec les populistes et non plus l’inverse.

Qu’a à gagner le Rassemblement national en mettant en avant le ralliement d’Andréa Kotarac ?

De souligner les impasses de ce populisme de gauche. Il lui a mordu quelques voix en 2017 en particulier dans la France périphérique. Il a un électorat populaire qui en 2017 a choisi LFI et non pas le RN. On peut imaginer que cet électorat populaire va désormais basculer vers le Rassemblement national. Kotarac appelle à voter Bardella et ne rejoint pas, pour l’heure, le Rassemblement national. Cela ne peut pas faire de mal au parti de Marine Le Pen.

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00:27 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vendredi 24 mai, à Dijon : conférence de François Ferrier sur la Syrie

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mercredi, 15 mai 2019

Serge Abad-Gallardo, «Euthanasie, la franc maçonnerie est à la manœuvre»

Entretien exclusif avec Armel Joubert des Ouches sur réinformation.tv

Après avoir passé plus de vingt ans au sein des loges maçonniques du Droit humain, une émanation du Grand Orient, Serge Abad-Gallardo, ancien haut fonctionnaire, converti au catholicisme, avait livré son parcours au lecteur dans un premier livre « J’ai frappé à la porte du temple ». Il revient aujourd’hui avec la sortie d’un nouvel ouvrage intitulé « Les manœuvres de la franc-maçonnerie pour le “droit à mourir” ».

Serge Abad-Gallardo sait de quoi il parle

L’euthanasie. On en parle beaucoup en France depuis ces 10 dernières années. Il y a eu l’affaire Vincent Humbert. Il y a eu ensuite le douloureux dossier Vincent Lambert, dossier toujours en cours actuellement. Deux événements sur lesquels les médias et le monde politique se sont appuyés pour faire « la promotion » de l’euthanasie, une mort selon eux « lente mais digne et sans souffrance ». Depuis sa conversion au catholicisme, Serge Abad-Gallardo est directement concerné par le sujet. Depuis 2012, de façon bénévole, il visite les malades. Dans le cadre d’une pastorale de la santé, il a intégré une aumônerie catholique. Affecté dans le service de soins palliatifs d’un hôpital public, Serge Abad-Gallardo accompagne des mourants avant leur décès. A ce jour, il s’est rendu au chevet de plusieurs centaines de personnes. « J’ai vécu de véritables d’amour avec des hommes et des femmes, sur le plan spirituel, explique-t-il. Ce sont des gens qui sont devenus mes amis et je pense avoir été leur ami. Quelqu’un que vous ne connaissez pas, vous entrez dans une chambre, vous le suivez pendant 2 semaines, 2 mois. Et lorsque vous terminez, vous prenez sa main et il part en vous regardant. Il n’est pas indigne et vous non plus. Vous n’êtes pas son bourreau. Vous l’accompagnez sur un chemin que lui seul peut prendre qui le chemin du mystère. Ce mystère que la franc-maçonnerie refuse de voir. Pour la franc-maçonnerie, il n’y a pas de mystère, il n’y a que des secrets ! Voilà encore une différence énorme entre le catholicisme et la franc-maçonnerie ».

Une fixation sur la franc-maçonnerie ?

Selon Serge Abad-Gallardo, pour se convaincre de l’implication de la franc-maçonnerie dans les débats qui ont lieu depuis de nombreuses années visant à imposer l’euthanasie dans la société française, il suffit juste de juger des faits. « Et les faits parlent d’eux-mêmes. Lorsqu’on lira mon livre, explique-t-il, on s’apercevra que la franc-maçonnerie est à la manœuvre derrière l’idéologie mortifère qui tend à vouloir imposer l’euthanasie dans la loi française ». L’auteur dit confirmer ses propos par des écrits maçonniques.

Les idéaux de la FM sont inscrits dans la société française

« Le tout premier projet de loi enregistré aux assemblées date de 1976. C’est le sénateur Henri Caillavet qui en est le rapporteur ou même l’auteur. Monsieur Romero, président de l’association pour le droit à mourir dans la dignité expliquait, dans une interview accordée à un journaliste, que Monsieur Caillavet était l’un des derniers grands franc-maçon et homme politique… »

Des faits irréfutables

Dans cet entretien réalisé par Armel Joubert des Ouches, Serge Abad-Gallardo révèle qu’il possède une planche maçonnique sur laquelle l’auteur fait l’apologie de l’euthanasie. Selon ce dernier, cette planche date de 2004. « Cet auteur fait l’éloge de l‘euthanasie alors même qu’il décrit une situation où la personne ne souffre pas ! On voit donc bien qu’il y a, derrière l’idéologie maçonnique, la volonté de maitriser le moment où l’homme décidera de mourir. »

« Mais où est donc l’amour dans cette société ? »

« Vous savez, les gens, lorsqu’ils parlent d’euthanasie, ils vous disent “J’ai besoin de votre amour”. Notre monde manque d’amour ! Lorsqu’on est atteint d’une grande maladie, un médecin vient vous dire « L’issue est fatale, votre maladie a gagné, maintenant nous allons soulager la douleur ». Ces gens passent par un certain nombre de phases… On ne gère pas une société comme on gère une entreprise. Les personnes ne sont pas des machines. Je suis déjà rentré dans des chambres où des personnes avaient des cancers, explique-t-il. Des personnes qui se trouvaient en chimiothérapies. La chimio fait vomir, donc cela sentait le vomi. A ces gens-là, je leur prenais la main et ils n’étaient plus indignes. Si nous considérons qu’une personne âgée à une bouche de grenouille et qu’elle sent le vieux, alors nous sommes des barbares ! Il faut faire comprendre à ces personnes-là ce qu’est l’amour de Dieu que nous portons en elles ».

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Pour ceux qui veulent voter pour la liste de la la Reconquête (Dissidence française) : comment faire ?

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De nombreux lecteurs nous demandent, depuis quelques jours, comment faire pour voter pour la liste de La Reconquête (Vincent Vauclin, La Dissidence française).

Pour imprimer le bulletin de vote cliquez ici

Le 26 mai, il leur suffira de le mettre dans l'urne (après être passé dans l'isoloir).

Pour ceux qui voudraient voter pour la liste Ligne claire (Renaud Camus) cliquez là ou pour celle de l'Alliance royale cliquez ici

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19:47 Publié dans Européennes 2019 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'hommage aux soldats tués... au nom de l'inconscience

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19:35 | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Macron : substitution de candidature, détournement d’élection !

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Bernard Antony dénonce l’entourloupe du président de la République :

Allez Loiseau, courage, plus qu’une dizaine de jours à tenir et la dure épreuve sera finie !

On apprend ce matin que Macron a fait tirer à 60 000 exemplaires pour cette élection « européenne » une affiche avec sa photo. Comme si c’était lui la tête de liste ! Pas question donc de la bobine de Loiseau qui, dit-on, ne cesse pas, comme la Castafiore dans Tintin, de se regarder dans son miroir. Se rengorgeant souvent de dépit courroucé, ne se trouve-t-elle pas aussi belle que Macron ?

En clair, cette pauvre Loiseau en a marre d’être prise pour une potiche. Mais qu’elle se rassure, c’est tout de même elle qui sera élue. Elle pourra alors se reposer dans la fonction de parlementaire européen dont elle se gardera d’avoir une conception par trop héroïque. Peut-être siègera-t-elle assidument mais on la verra sans doute plus dans les immeubles de Strasbourg et de Bruxelles qu’allant constater sur le terrain les dégâts des traités de libre échange et les abominations de l’islam jihâdiste.

Mais pour l’heure, c’est bien Macron qui effectue l’entourloupe d’une sorte de substitution de candidature. Voter pour la liste de la REM, ce sera voter pour lui bien que non candidat réel !

Lui qui utilise souvent le concept « d’imaginaire » pratique ainsi un véritable détournement d’élection.

Comme tous ceux qui n’ont que le mot de démocratie à la bouche, il en piétine allègrement la règle du jeu la plus élémentaire en détournant l’élection en un vote de fait sur sa personne.

À grand risque, il est vrai. Car si la liste oiseuse dont il est la véritable tête ne l’emporte pas, comme cela est bien possible, alors ce sera pour lui une claque, un désaveu dont il ne se remettra pas. L’imagine-t-on après pareil échec aller faire le mariole auprès de Trump, de Xi ou de Poutine ?

Le général De Gaulle, lui, avait tiré, par sa démission immédiate, les conséquences de la défaite du oui au référendum de 1968.

Si le 26 mai la liste faussement Loiseau réellement Macron est battue, nul ne comprendrait que Macron ne fasse pas de même, car ce serait de toute façon sa fin.

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Jean Sévillia & Jean-Pax Méfret : La tragédie de l’Algérie française

Soirée avec Jean Sévillia & Jean-Pax Méfret chez les Éveilleurs sur le thème "La tragédie de l’Algérie française: l’histoire et la mémoire” au théâtre Nouvelle France le 11 avril 2019 au Chesnay.

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Le prochain numéro d'Eléments sortira à la fin de la semaine

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La Jeanne d'Arc de la Dissidence française sur LDC News

Avec l'intervention de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale. Lire aussi cliquez là

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Lundi soir sur LCI, face à Cohn-Bendit : le courage de Caroline-Christa Bernard

Lors du débat entre le démagogue sulfureux Daniel Cohn-Bendit cliquez ici et le talentueux Eric Zemmour lundi soir sur LCI plusieurs Français étaient invités à prendre la parole. Parmi eux Caroline-Christa Bernard qui, avec courage et lucidité, a remis l'immigrationiste de Franckfort à sa place. 

Juriste et artiste, Caroline-Christa n'avait pas hésité à répondre à l'appel lancé par Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, en mars dernier contre la dissolution du Bastion social cliquez là.

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mardi, 14 mai 2019

Alain Escada : La bataille pour Notre-Dame de Paris ne fait que commencer !

 
Discours d’Alain Escada, président de Civitas, prononcé le dimanche 12 mai 2019, place des Pyramides à Paris, à l’issue du défilé organisé en hommage à sainte Jeanne d’Arc.

Alain Escada revient, factuellement, sur tous les éléments qui amènent les Français à poser de légitimes questions sur les causes réelles de l’incendie de la cathédrale Notre-Dame de Paris.

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Viviane Lambert sera devant l’hôpital de Reims ce dimanche 19 mai

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Message de Viviane Lambert :

Chers amis,

Dans ces moments dramatiques, je suis très touchée par tous vos messages de soutien pour mon fils Vincent.

Vous êtes nombreux à me demander « Qu’est-ce qu’on peut faire » ?

Ce dimanche 19 mai , je serai dès 15h devant l’hôpital de Reims, pour les supplier de continuer à hydrater et nourrir Vincent. En France, en 2019, personne ne devrait mourir de faim et de soif. Si vous le souhaitez, vous pouvez m’accompagner.

CHU de Reims – Hôpital Sébastopol
48 rue de Sébastopol

Il faut garder espoir jusqu’au bout et expliquer à tout le monde que Vincent n’est pas en fin vie, il est handicapé ! Rien n’est perdu, le comité des personnes handicapées de l’ONU a demandé à la France de continuer à hydrater et alimenter Vincent. Il faut que la France respecte la convention qu’elle a signée, elle doit le faire pour Vincent mais aussi pour tous les autres handicapés.

Encore merci à tous, du fond de mon cœur de maman.

Viviane Lambert,

maman de Vincent Lambert

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Marion Sigaut : L’incendie de Notre-Dame, à qui profite le crime ?

 
Discours de Marion Sigaut, historienne, au défilé en hommage à Sainte Jeanne d’Arc organisé par Civitas. A Paris, le dimanche 12 mai 2019.

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Question sur notre présence en Afrique

Le billet de Patrick Parment

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La mort de deux soldats français en Afrique pose la question de savoir ce que nous faisons sur ce continent et surtout qu’ambitionnons-nous ? Il y a des restes de la Françafrique me direz-vous, correspondant à une zone d’influence. Mais est-ce toujours le cas à l’heure où le continent fait l’objet des ambitions des Chinois et des Américains qui se livrent une sourde bataille.

Il est bien fini le temps que l’on a appelé colonial et qui consistait à apporter les bienfaits de notre civilisation en pacifiant les rapports entre les ethnies, en les dotant d’infrastructures diverses (routes, ponts, bâtiments) et surtout à mettre en place un système de santé - n’en déplaise aux tenants d’une chimérique « décolonisation » - et non à les dépouiller de leurs ressources, vu qu’à l’époque, il n’en était guère question. La grande erreur de la colonisation a été d’avoir dressé une géographie des frontières qui ne tenait pas compte de l’essence même de la réalité africaine, l’appartenance ethnique. Or, cette réalité d’hier est aussi celle d’aujourd’hui. Il est d’autres fractures, religieuses celles-là, entre chrétiens et musulmans par exemple. On retrouve en général les premiers dans l’orbite des pouvoirs, ce qui ne manque pas d’engendrer des rancoeurs.

Tout cela pour dire que dans ce que l’on a appelé le colonialisme, il y avait avant tout de l’humain avec ses vertus et ses défauts. Ce n’est plus le cas dans le cadre de la Françafrique qui est devenu un concept purement économique. Ce n’est plus le cas aujourd’hui où tous les protagonistes, occidentaux ou chinois, n’ont d’autre motivation que l’appropriation des ressources dont le continent est riche : pétrole, uranium, métaux rares, etc.

C’est triste à dire, mais tous les efforts consentis pour faire décoller l’Afrique n’ont pas donné de grands résultats. La grande erreur, sans doute, est d’avoir greffé des concepts occidentaux comme la démocratie ou les droits de l’homme sur des populations pour qui cela n’a aucun sens. Egalité, fraternité, parité, liberté, n’ont pas la même signification en Afrique. Et encore moins le rapport au temps, historique en Occident, ahistorique (au sens splenglérien du terme), en Afrique. Tout l’argent versé (et tous les Etats ne sont pas pauvres) n’a bien souvent servi que les intérêts de la caste au pouvoir et nourri leurs comptes en Suisse. Le mot répartition n’a semble-t-il guère de sens ici. Même un esprit éclairé comme Houphouët-Boigny a servi ses intérêts et ceux de son clan comme en témoigne la surréaliste cathédrale de Yamoussoukro. On a laissé des fous furieux ramener leur pays à l’âge de pierre comme c’est le cas au Zimbabwé, comme c’est le cas en Afrique du Sud avec l’ANC au pouvoir qui est en train d’appauvrir à grande vitesse ce qui était hier encore le pays le plus prospère d’Afrique. La comparaison entre le niveau de vie des Noirs hier et celui d’aujourd’hui, l’atteste malheureusement.

Aussi, à coups de milliards, Chinois et Américains sont en train d’inaugurer une autre forme de colonisation qui est proprement une autre version de l’esclavage. Car l’objet de ces attentions est économique avant d’être humain.

C’est la raison pour laquelle on se pose la question de savoir qu’elle est la finalité de notre présence en Afrique, mais surtout notre intérêt à intervenir militairement. S’il s’agit de contenir les flux migratoires, alors c’est toute l’Europe qui est concernée et pas seulement la France. C’est donc des « casques bleus » européens qui devraient opérer et pas seulement l’armée française. D’autant que l’Europe dispose encore d’une belle force de frappe économique pour contraindre les pays du pourtour méditerranéen comme de l’Afrique subsaharienne à contenir les flux migratoires.

Par ailleurs, il ne semble pas que dans ces pays de l’Afrique subsaharienne on protège des intérêts nationaux comme ceux des Bolloré et autre Total. Mali, Niger, Tchad, Mauritanie ne sont pas, que je sache, des terres de grand business à l’exception, peut-être, des mines d’uranium du Niger. Certes, ces pays ont pour langue officielle le français et le franc CFA pour monnaie. Mais est-ce suffisant pour envoyer nos soldats au casse-pipe au nom de la lutte contre Daech et sur un territoire gigantesque en grande partie désertique. On saisit mal l’intérêt. Le bilan économique est maigre. D’où ma question : qu’est-ce qu’on fout là ? Il est bien évident que d’un point de vue européen, la question serait tout autre. Il marquerait l’existence d’une Europe  de la puissance et donc décidée à en découdre avec les Américains et les Chinois. Ce qui n’est pas le cas.

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L'intervention de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, lors du meeting de Civitas dimanche à Paris

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11:22 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Hausse du carburant : c'est reparti.

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Jean-François Touzé
Délégué national du Parti de la France
aux Études et Argumentaire
 
La hausse de la taxe carbone avait en novembre dernier teinté du jaune de la colère une bonne partie du peuple français.
 
Qu'en sera-t-il du niveau record atteint ces dernières semaines par le prix du carburant ?
 
Depuis le début de l’année, les prix ne cessent, en effet d'augmenter et frôlent à nouveau des sommets. Le litre de sans-plomb 95 s’affichait ainsi dans les stations-service à 1,60 € en moyenne début mai. Et à 1,50 € pour le diesel. Soit une hausse supérieure à 17 centimes pour le diesel ; et de plus de 10 centimes pour le SP 95. Bref, le sans-plomb n’a jamais été aussi cher depuis avril 2013. Et le diesel frôle son record historique d’octobre 2018. 
 
Cette remontée des prix a trois causes :
  • Le prix du pétrole tout d’abord. Depuis le début de l’année, une baisse de la production et un euro faible face au dollar ont largement renchéri les cours du baril de brut. Celui-ci rentre pour un tiers environ dans le niveau du prix d’un litre de carburant, avec le transport et la distribution.
  • Le contexte géopolitique, ensuite. Les incertitudes liées à la guerre commerciale voulue par les États Unis et la situation de plus en plus menaçante au moyen Orient créent les conditions d'une crispation des marchés pétroliers ; une situation que la crise ouverte entre les États Unis et l’Iran à propos du nucléaire, assortie de menaces militaires US (les Américains ont envoyé un porte-avions, plusieurs dizaines de bombardiers B52, des véhicules amphibies et une batterie de missiles Patriot sur zone), de gesticulations menaçantes de l’Arabie Saoudite, et d'un ultimatum sur 60 jours de Téhéran mettant les Européens devant leurs responsabilités, ne peut qu'aggraver dans la mesure où la France doit importer 99 % du pétrole dont elle a besoin.
  • Le poids de plus en plus lourd de la fiscalité, enfin. Si un tiers du prix du carburant est lié à celui du brut, les deux autres tiers sont intégralement constitués par deux taxes : la TVA et surtout la TICPE (taxe intérieure sur la consommation de produits énergétiques), qui inclut la taxe carbone dont la hausse, rappelons-le, n'a pas été annulée par le gouvernement en décembre dernier comme veut le faire croire la propagande de Matignon, mais seulement reportée au début de l’année prochaine. Résultat : sur un litre de carburant vendu 1,60 € à la pompe, un euro part dans les poches de l’État. Ce qui représente une manne de 34 milliards d’euros (Mds€) par an, dont le gouvernement n’a nullement l’intention de se déposséder (la proposition émise par Macron au mois de février de restaurer la taxe flottante de Lionel Jospin censée faire baisser la fiscalité sur le carburant en fonction de l’augmentation du coût de l'importation du pétrole étant un leurre destiné à tromper les consommateurs : la taxe flottante, si elle a coûté 2,7 milliards d'euros à l'État pendant le court moment où elle fut en vigueur, n'a nullement bénéficié aux automobilistes puisque la baisse du prix à la pompe n'a, à aucun moment, dépassé les 2,2 centimes.
Pour le Parti de la France, dans ce domaine comme dans tous ceux qui touchent à la fiscalité, seule une baisse significative des dépenses publiques et des économies substantielles réalisées sur le budget de l'État (immigration, mille feuilles administratif, désengorgement de la fonction publique hors domaine régalien, gaspillages, fraude fiscale et sociale…) permettra d’opérer une baisse réelle des impôts des Français et des taxes qui les écrasent, redonnant ainsi à chacun du pouvoir d'achat propice à la consommation et donc à la croissance, et aux entreprises les moyens de leur compétitivité et de leurs initiatives.
 
Macron, dans son langage déroutant, déclarait en mars dernier : « le prix du carburant c'est pas bibi ». C'est pourtant bien lui qui en encaisse les dividendes.

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10:50 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Affaire des otages : une déclaration de Jean-Marie Le Pen

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AFRIQUE DU SUD : UNE FOIS DE PLUS, LES BLANCS « SONT ROULES DANS LA FARINE » !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

L’Afrique du Sud a voté le 8 mai et, partant, a désigné de factoson Président, le leader du parti qui obtient le plus grand nombre de députés, sans compter, si nécessaire, les marchandages de dernière minute. Depuis avril 1994, c’est le règne du « one men, one vote », la catastrophique soumission de  Frédérik De Klerk, dernier leader du grand Parti national. Ce parti qui fut, par excellence, le parti afrikaner, n’existe plus, il s’est immolé et s’est dissous, - un comble ! -, au sein de l’ANC avec ses derniers renégats en quête d’un poste ministériel !

L’Afrique du Sud des dernières années de l’apartheid, s’était pourtant bien « améliorée », si je puis dire. Les noirs, toutes ethnies confondues, majoritaires, pouvaient exercer leurs droits civiques dans leurs Etats d’origine, une dizaine, dont 4 indépendants, les fameux « TBVC », Transkei  et Ciskei pour les Xhosas, - l’ethnie de Mandela -, le Bophuthatswana pour les Tswanas et le Venda pour les… Venda. Plus 6 autres entités autonomes. Sans oublier les township, ces immenses banlieues aux toits de tôles ondulées, où les noirs détribalisés qui les habitaient, élisaient en toute indépendance leurs conseils municipaux. Les métis, peuple issu de la fusion des premiers colons blancs et de leurs domestiques, tout comme les Indiens, importés si je puis dire, par les Anglais pour travailler dans les plantations du Natal, avaient leur propre chambre élue aussi au suffrage universel, et leur propre conseil ministériel pour gérer les affaires concernant leur communauté. Certains de leurs membres, minoritaires, siégeaient au sein du cabinet national, à Pretoria. Ce système, en net progrès, avec parallèlement l’abolition de l’apartheid mesquin et la légalisation de l’African national congress (ANC), allait sur la bonne voie et n’attendait plus qu’un coup de pouce pour faire surgir les Africains, à leur tour, sur la scène politique nationale.

A vouloir tout garder, les blancs ont tout perdu

La grande erreur des blancs, on ne le dira jamais assez, fut  de ne pas avoir consolidé territorialement ces Etats ethniques, véritables « archipels en terre ferme ». (Le Bophuthatswana par exemple, riche en minerais, s’éparpillait en sept enclaves !). Et, à vouloir tout garder, ils ont tout perdu. Car, c’est la théorie de l’ethno mathématique électorale énoncée par le Professeur Bernard Lugan, qui s’avère prédominer partout en Afrique. Au lieu de négocier la création d’une Union fédérale, avec des garanties fondamentales pour la minorité blanche, et pas seulement elle d’ailleurs, - car on voit bien que les métis font de la part des noirs de l’ANC, l’objet de suspicion -, De Klerk a tout lâché à Nelson Mandela. Ce dernier, si je puis dire, « a roulé les blancs dans la farine ! ».

L’African National Congress est devenu le premier parti d’Afrique du Sud grâce à sa masse électorale noire dominante. Et il l’est resté, même si ses scores se sont érodés. Pourquoi ? Il est sévèrement concurrencé sur sa gauche par le parti extrémistes, raciste et haineux, l’Economic freedom fighters, l’EFF de Julius Maléma dont les slogans sont, rappelons-les, « une balle, un blanc » ou « tuez les Boers », les Boers étant ces fameux paysans d’origine hollandaise qui devinrent ,au fil du temps, avec l’absorption de Huguenots et de réformés allemands, les Afrikaners créateurs, avec les Anglais, de l’Afrique du Sud moderne que j’ai connue, et qui n’est plus que l’ombre d’elle-même.

Mandela, un moindre mal, mais aujourd’hui….

Les premières années du règne de Mandela, tant bien que mal, se déroulèrent sans trop de heurts, encore que, déjà, des assassinats de blancs précipitèrent la fuite d’un grand nombre d’entre eux, un million en 25 ans. (A noter que la première épouse de Frédérik De Klerk, le dernier président « blanc » de la RSA, fut assassinée). Et pour 4 départs, on ne recense qu’un  seul retour, le mal du pays peut-être, ou la nostalgie du « biltong », cette viande sauvage séchée ! Connaissant leur savoir-faire, le Mozambique, le Congo Brazza, la Zambie et la Russie, ont proposé gratuitement des terres aux fermiers, afin  de développer de vastes superficies. Il faut dire que les meurtres, dans des conditions abominables d’agriculteurs et de leurs familles, sans oublier la menace prégnante de la confiscation de leurs biens sans indemnisation, poussent aux départs. Par exemple, à Perth, très grande ville de l’Ouest australien, on recense plus ou moins 20 000 Sud-africains exilés, principalement anglophones.

De sinistres exemples qui ne serviraient à rien ?

Comme si le sinistre exemple du Zimbabwe n’avait pas servi de leçon, le président sortant Cyril Ramaphosa, ancien syndicaliste qui a brillamment réussi dans le business, comme son prédécesseur d’ailleurs, - ce Jacob Zuma remercié par l’ANC pour faits avérés de corruption et de détournement de fonds publics à usage personnel -, se préparerait-il à nationaliser les propriétés des blancs, pour les distribuer à ses frères noirs, la plupart, hélas, incapables comme leurs voisins du nord, de les exploiter correctement ? Comme si les exemples, en vrac, de l’Algérie, du Venezuela ou de leur voisin zimbabwéen ne servaient pas d’expériences maléfiques, d’exemples où l’on voit des pays bénis des Dieux, ayant tout ou presque, s’enfoncer dans la misère par la seule incurie de leurs mauvais dirigeants. Les responsables sud-africains, en agissant de même, s’enfermeraient alors dans une profonde  bêtise idéologique. Les recours juridiques suspendront-ils leurs décisions et les expropriations ? Dans ces inconfortables conditions de vie et l’incertitude planant sur leur avenir, on comprend que le taux de natalité chez les femmes d’origine européenne baisse constamment : de 3,1 en 1971 à 1,4 en  2007, pour ne retenir que ces deux chiffres. Au train où vont les choses, - baisse démographique et émigration -, un institut démographique local, le SAIRR a prédit… zéro blanc présent en RSA en 2101 ! C’est dans 82 ans, c’est-à-dire après-demain… 

L’ANC sort affaibli de ce nouveau scrutin

Alors, après cette sombre mais objective approche, quels sont les résultats de cette consultation ? Quelles leçons peut-on  en tirer, qui sont les perdants et les gagnants ? L’ANC est concurrencée sur sa gauche, comme sur sa droite. Les noirs éduqués et friqués, certains en tout cas, - il faut dire et redire qu’il y a plus ou moins 4 millions de noirs qui vivent, sinon comme des nababs, mais qui ont un standard de vie compatible avec les niveaux européens les plus développés -, peuvent avoir renoncé à soutenir l’ANC. Ceux-là auraient tendance à rejoindre les métis, qui votent pour l’Alliance démocratique (DA), l’alternative multiraciale, pourtant essentiellement blanche lors de sa création. Elle domine au gouvernement de la ville du Cap et dans sa province. Qu’en est-il en ce mai 2019, 25 ans après la honteuse capitulation de l’ex-président De Klerk, redisons-le, en rase campagne ?

L’ANC garde la majorité, Cyril Ramaphosa restera président de la RSA

Avec plus ou moins 57% des suffrages, l’African National Congressreste le parti majoritaire au sein des 400 députés de l’Assemblée nationale, mais il va perdre des sièges au profit de Julius Malema et de son mouvement, l’Economic Freedom Fighters (EEF) qui passe de 6 à 10% des voix. L’Alliance démocratique (DA), qu’a rejoint la communauté métisse et les noirs modérés , stagne à  moins de 21% des électeurs qui se sont exprimés. Le Freedom Front +, (FF ou VF selon la langue utilisée), le petit parti de la minorité afrikaner, - 6% de la population totale -, obtient 2,3% et conservera ses 4 députés, 1% des effectifs parlementaires. Il lutte contre la ségrégation à l’envers, le Black économic empowerment, une discrimination positiver qui avoue son nom et qui réserve un avantageux quota de jobs aux seuls noirs, entrainant de fait, la misère chez les anciens fonctionnaires « pâles », dont certains sont devenus des abonnés à la soupe populaire. Cyril Ramaphosa aura fort à faire face à ses concurrents en interne et, surtout, face à la surenchère démagogique de l’EEF, qui joue sur le mécontentement d’une grande partie de la population, laquelle se sent toujours frustrée, en dépit de la disparition du pouvoir politique des blancs. Scolarisation, adduction d’eau, effacement progressif des bidonvilles, électrification, redistribution des terres, sont au menu du gouvernement ANC. Et en même temps, il faut rassurer les investisseurs étrangers afin de combattre un chômage endémique touchant, officiellement, 27 % de la population active, en réalité bien plus.

L’ANC avait déjà enregistré lors des dernières élections municipales de 2016, son plus bas score, un pourcentage historique de 54%, lui faisant perdre les mairies de Johannesburg et de Pretoria, respectivement métropole économique et capitale politique du pays. Le Président a maintenant devant lui cinq ans pour faire mentir les mauvais pronostics, sans compter que ses propres amis de l’ANC l’attendent « au coin du bois ». Un tournant majeur pour la crédibilité du pays sera la grande affaire de la redistribution des terres. Si la République d’Afrique du Sud s’entêtait à copier les modèles zimbabwéen ou algérien, c’en serait fini de la prospérité agricole, partant des rentrées de devises, avec, à la clé, d’énormes problèmes alimentaires. Ramaphosa, que l’on dit pragmatique, cèdera-t-il aux démons idéologiques ? « La suite au prochain numéro… »

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10:28 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 13 mai 2019

Dimanche, avec plusieurs défilés, Paris à honorer Sainte Jeanne d'Arc

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Plusieurs défilés ont marqué ce dimanche, comme chaque année, la Fête de Jeanne d'Arc à Paris.

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Celui de l'Action française

Tout d'abord, à tout seigneur tout honneur, le traditionnel cortège de l'Action française. Toujours très animé, parti de l'Opéra dès 10 h, il fut le premier à arriver devant la statue de la Place des Pyramides. Enfin, presque le premier... car, dès potron minet, les autorités y avaient fort discrètement (bien que la fête de Jeanne d'Arc soit une fête nationale dont il n'y a pas à rougir) fait déposer quelques couronnes de fleurs (service minimum). Rappelons que dans les années 1920, les Camelots de Roi (les troupes de choc de l'Action française), avaient réussi, "au prix de 10 000 jours de prison" selon la formule consacrée, à imposer le deuxième dimanche de mai comme jour de cette fête patriotique.

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Celui des nationalistes

Une fois la commémoration monarchiste terminée, vinrent les organisations nationalistes au premier rang desquelles se distinguait, avec ses nombreux drapeaux noirs frappés de son emblème, le fer de lance, la Dissidence française de Vincent Vauclin. La DF réalise actuellement un joli coup en présentant la liste de la Reconquête aux élections européennes du 26 mai prochain. Des délégations du mouvement belge francophone Nation, des jeunes camarades lillois d'Action nationale radicale, des monarchistes dissidents de l'AF étaient aussi présentes. Le Parti nationaliste français d'Ivan Benedetti, venu en force, bouclait ce défilé. Devant la statue de la Sainte les responsables des différents mouvements ainsi que le directeur de la revue Synthèse nationale, Roland Hélie, qui dans un esprit de synthèse avait bien volontiers répondu à l'invitation amicale de Vincent Vauclin (tout comme à celle d'Alain Escada l'après-midi), prirent la parole pour expliquer le sens profond de cette manifestation.

et celui de Civitas

L'après midi, c'était au tour de Civitas de battre le pavé parisien. Comme c'est le cas depuis plusieurs années le cortège catholique est parti de la Place Saint Augustin... là où la veille Carl Lang, au nom du Parti de la France, avait aussi organisé une cérémonie.

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Avant le départ de cette manifestation, plusieurs responsables politiques et associatifs, parmi lesquels Alexandre Cabriac et Pierre Studer de Civitas ainsi que l'historienne Marion Sigaut, Clément Gautier au nom des royalistes, Alexandre Simonot des Comités Jeanne et Roland Hélie pour Synthèse nationale, intervinrent sur une tribune spécialement installée pour ce meeting en plein air et en plein soleil. 

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En tête du cortège qui rassemblait plus d'un millier de participants, trois cavaliers dont une Jeanne d'Arc en armure avaient fière allure. Cela n'échappa pas aux milliers de Parisiens qui flânaient en ce bel après-midi sur les Boulevards. Beaucoup manifestèrent d'ailleurs leur sympathie au passage de la procession. Les slogans : "La république est maçonnique, la France est catholique", "Nous voulons la vérité sur Notre-Dame" ou encore "Dissolution du CRIF et de la LICRA" ne laissaient pourtant pas planer l'ombre d'un doute sur la nature de celle-ci.

L'abbé Xavier Beauvais et Alain Escada, président de Civitas, prononcèrent leurs remarquables discours au cours desquels l'un et l'autre n'hésitèrent pas à émettre de sérieux doutes sur la version officielle de l'incendie "accidentel" de la Cathédrale Notre-Dame de Paris, avant la dispersion, sans incident, en fin d'après-midi place des Pyramides. 

Le succès rencontré par ces différents rassemblements nous confirme que quelque chose est en train de changer dans notre beau pays de France...

S.N.

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20:51 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA FRANCE SACRIFIE LES MEILLEURS DE SES FILS : POUR QUI, POUR QUOI ?

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Pierre Vial, Président de Terre & peuple

Deux soldats français d’élite, Cédric de Pierrepont et Alain Bertoncello, appartenant au célèbre commando Hubert, sont morts pour libérer deux olibrius, deux pédagos français, homosexuels qui venaient de se « marier » et étaient en « voyage de noce » au Bénin, dans une zone réputée dangereuse (source : Le Figaro).

Les autorités françaises étaient parfaitement informées de cette situation. Elles portent donc la responsabilité d’avoir sacrifié deux soldats exemplaires pour récupérer deux zozos qui méritaient de goûter aux charmes de la séquestration par des djihadistes.

Décidément ceux qui sont censés représenter la France (plus pour longtemps, je l’espère) ne méritent ni notre respect ni notre obéissance. A chacun d’en tirer les conséquences.

PS : pour les élections européennes, évidemment tout sauf Macron.

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12:23 Publié dans Les Nouvelles du Front de Pierre Vial | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Un nouvel ordre multipolaire fondé sur la régulation

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Ligne Droite cliquez ici

Le concept de communauté internationale, qui revient de façon récurrente dans le discours des diplomates occidentaux, n’est qu’un artifice destiné à légitimer la politique étrangère des États-Unis. Or celle-ci, porteuse de l’idéologie mondialiste, est contraire aux intérêts de la France et de l’Europe. Aussi notre pays devrait-il, selon Ligne droite, contester l’organisation actuelle des relations internationales et nourrir la grande ambition d’œuvrer à l’avènement d’un « nouvel ordre multipolaire » ancré dans la réalité du monde d’aujourd’hui et axé sur la régulation des échanges.

La notion de communauté internationale, un instrument de l’imperium américain

La notion de « communauté internationale », qui reprend sous un angle un peu différent celui de nouvel ordre mondial très en vogue à la fin du XXe siècle, est en effet une formule des plus ambiguë. Ceux qui s’en réclament laissent entendre qu’ils parlent pour l’ensemble des nations du monde, alors qu’il ne s’agit le plus souvent que des États-Unis et de leurs « alliés ». Cette référence à la communauté internationale est dès lors quasi systématiquement utilisée pour des actions ou des prises de position qui servent les États-Unis et leur vue du monde.

Autant dire, dans ces conditions, que cette notion s’inscrit dans un cadre très politiquement correct. Elle repose sur l’idée que le modèle américain fondé sur le libéralisme et la démocratie va s’étendre au monde entier et s’appuie sur l’idéologie mondialiste qui conduit à supprimer les frontières, à réduire le pouvoir des États et à œuvrer à la globalisation de la planète. En effet, la communauté internationale en question ne se préoccupe pas des identités et considère avec méfiance les États qui y demeurent attachés comme la Russie et tous les pays de l’Est de l’Europe.

Une conception politiquement correcte inadaptée au monde multipolaire d’aujourd’hui

Ligne droite estime en conséquence que les notions de nouvel ordre mondial et de communauté internationale doivent être rejetées car elles véhiculent le mondialisme, le libre-échangisme intégral, l’immigrationnisme et l’atlantisme. À ce titre, elles vont à l’encontre de ce qui est souhaitable pour le France et l’Europe, aussi notre pays doit-il les contester tout en proposant une autre vision.

Cette démarche se révèle d’autant plus légitime que le concept de communauté internationale ne correspond en rien à la réalité du monde d’aujourd’hui. La planète est en effet loin de converger autour du pôle américain, lequel perd d’ailleurs de son influence. Notre époque apparaît au contraire marquée par l’émergence de nouvelles puissances qui structurent la scène mondiale selon un schéma multipolaire. Un schéma qui n’est pas compatible avec la notion de communauté internationale puisqu’aucun des nouveaux pôles émergents comme la Chine, l’Inde ou le monde musulman, pas plus d’ailleurs que la Russie, le Brésil ou l’Afrique, ne sont prêts à s’aligner sur les États-Unis.

Il faut lui substituer le concept de nouvel ordre multipolaire

Ligne droite considère donc que la France devrait se faire le champion d’une autre conception des relations internationales. Une conception qu’elle devrait populariser sous le nom de « nouvel ordre multipolaire » et qui devrait reposer sur deux grands principes : prendre en compte la réalité multipolaire du monde d’aujourd’hui et substituer à l’ultralibéralisme international le principe de la régulation générale de tous les échanges.

Le nouvel ordre multipolaire pour une régulation des échanges

Contrairement au nouvel ordre mondial qui organisait le laisser-faire laissez-passer général tant pour les biens et services que pour les mouvements migratoires, le nouvel ordre multipolaire proposé par la droite nouvelle devrait s’appuyer sur le principe simple selon lequel les échanges ne sont admis que s’ils sont bénéfiques pour les deux parties concernées et doivent donc être régulés en conséquence.

Dans ce cadre, l’organisation du commerce mondial devrait être entièrement revue et de nouvelles négociations devraient être ouvertes en son sein pour mettre en place des écluses douanières entre les grands ensembles économiquement homogènes.

De même, s’agissant de l’immigration, la maîtrise des flux devrait s’imposer comme la règle commune. Aucun mouvement migratoire ne pourrait être organisé sans l’accord des deux pays concernés. Quant aux déplacements clandestins, ils devraient être combattus par les pays d’émigration comme par ceux d’immigration et, dans la mesure où ils sont organisés par des filières mafieuses, traités comme tels par les services compétents.

Le nouvel ordre multipolaire pour la stabilité du monde

Par ailleurs, le nouvel ordre multipolaire devrait prendre en compte la réalité du monde et reconnaître son caractère multipolaire. Pourrait en effet être constitué un G9 d’un nouveau genre regroupant les principaux pôles de puissance: Chine, Japon, Inde, Brésil, États-Unis, Russie et Europe, auxquels devraient être adjoints deux autres États, l’un représentant le monde musulman et l’autre l’Afrique (au besoin selon une formule de tourniquet). Une telle instance même informelle qui représenterait avec neuf partenaires la presque totalité de la population mondiale pourrait être le lieu le plus pertinent où débattre des conflits et des problèmes du monde. Une configuration qui serait capable d’apporter une plus grande stabilité internationale, car fondée, non plus sur une puissance unique qui cherche à s’imposer, mais sur l’équilibre des principaux pôles de puissance de la planète.

Le nouvel ordre multipolaire, un projet susceptible de s’imposer

Pour mettre en œuvre un tel projet, très différent des pratiques actuelles, la droite nouvelle, une fois au pouvoir, devrait commencer par faire de la France le champion de cette idée, à charge pour elle de l’expliquer et d’en assurer la promotion. Si, ensuite, l’Europe confédérale, telle que préconisée par Ligne droite, reprenait ce projet à son compte, gageons que tout deviendrait alors possible. L’idée d’un nouvel ordre multipolaire pourrait en effet intéresser les BRICS. Le Brésil, la Russie, la Chine, l’Inde et l’Afrique du Sud cherchent en effet à réduire l’influence des États-Unis dans le monde. Ils ne pourraient dès lors que soutenir un projet visant à institutionnaliser la réalité multipolaire qu’ils incarnent et, forte de ce soutien, l’Europe serait en mesure de faire prévaloir ce changement radical de l’organisation des relations internationales.

En tout état de cause, la France, dirigée par la droite nouvelle, aurait tout intérêt à porter l’idée d’une rénovation profonde des relations internationales. En dehors des bénéfices qu’elle et les autres pays européens pourraient en retirer si le projet se concrétisait, le seul fait de s’en faire l’artisan permettrait à la France de gagner en stature et d’offrir aux Français des perspectives ainsi qu’une ambition collective qui leur rendrait espoir et fierté.

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dimanche, 12 mai 2019

Samedi à Paris, dans une ambiance chaleureuse, le Parti de la France a fêté ses dix ans

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Le reportage du Parti de la France cliquez là

Salle comble ce samedi pour le banquet du Parti de la France organisé dans un grand restaurant parisien où nous avons dû, hélas, faute de places, refuser des réservations. Merci à tous nos militants qui, par leur mobilisation, ont rendu ce succès possible.

Aux côtés de notre Président étaient présents, les principaux membres fondateurs du Parti, Roger Holeindre, Christian et Myriam Baeckeroot, Michel Bayvet, Jean Verdon, Michelle Carayon, Éric Pinel, tandis que ceux de nos camarades disparus étaient dans toutes les mémoires, en particulier Pierre Descaves, mort il y a cinq ans presque jour pour jour, combattant national « de la race de ceux qui ne renoncent jamais » comme le rappela Carl Lang, où notre cher Robert « Freddy » Moreau, le fameux Bourreau de Béthune, qui, avant de devenir conseiller régional du Nord-Pas de Calais, fut pendant plus de dix ans le garde du corps fidèle et efficace de Jean-Marie Le Pen. 

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De nombreuses personnalités extérieures, mais partie prenante du mouvement national français et européen, avaient répondu à notre invitation. Ainsi Koen Dillen, ancien député européen du Vlaams Belang qui transmit son amitié personnelle et celle des nationalistes flamands à Carl Lang et au Parti de la France, et  Bernard Monot, économiste réputé et très actif député français au Parlement européen. On notait aussi la présence chaleureuse de Christelle Lechevalier, députée européenne, elle aussi, et conseillère régionale de Normandie, Valérie Redl conseillère régionale de Bourgogne, Lorrain de Sainte-Affrique, secrétaire général des Comités Jeanne et Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.

À la demande de Carl Lang, une minute de silence fut respectée en mémoire de nos deux officiers mariniers du Commando Hubert, Alain Bertoncello et Cédric de Pierreport, morts la veille au combat au Burkina Faso dans l’accomplissement de leur mission, exemple parfait des vertus militaires et du sens du sacrifice de nos soldats d’élite.

Tout au long de ce banquet se sont succédés les orateurs du mouvement, tous membres du Bureau politique, présentés avec précision, talent et efficacité par notre ami Jean Verdon qui, en prélude, avait brièvement rappelé les conditions de la création du PdF.

C’est ainsi que notre Secrétaire général Thomas Joly rappela l'engagement de nos militants dans l’action électorale et de terrain depuis dix ans, avant de placer chacun devant ses responsabilités : face à la déferlante migratoire et à l'offensive islamique, nous ne pouvons compter que sur nous. « Ce sera eux ou nous ! ».

Myriam Baeckeroot, trésorière nationale, ancienne conseillère régionale d'Ile de France, dressa un panorama financier du PdF, parti économiquement sain car sans dettes, contrairement à toutes les autres formations de l’échiquier politique. 

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Roland Hélie et Jean-François Touzé

Jean-François Touzé, délégué national aux études et argumentaire et directeur de Connexion rappela que l'engagement militant, loin d’être une option était une nécessité et un devoir. « Nous ne sommes pas un club de joueurs de boules, pas plus que nous ne sommes l’Amicale des anciens de la flamme, mais un parti politique qui a vocation à parvenir aux responsabilités ».

Sylvie Collet, ancienne conseillère régionale de Normandie, présentatrice du magazine Réinfo, évoqua tout le travail accompli par elle-même et Gilles Arnaud pour faire de la communication en ligne du Parti un outil performant au service de notre combat, outil qui, dans les prochains mois va se rénover et se redéfinir pour mieux répondre encore aux attentes.

Fernand Le Rachinel, figure historique de la Cause, ancien député européen membre fondateur du PdF, fit un historique de ces dix années de combat, précédées de plusieurs autres décennies au sein de la Droite nationale, et confia sa confiance dans l’avenir de notre parti.

Particulièrement applaudi, son blazer couvert de ses décorations gagnées au feu, Roger Holeindre, président d'honneur du Parti de la  France, ancien député, soldat de toujours et combattant inlassable, emblème du courage et de la constance nationale, parla avec sa force et sa foi inaltérables de ses soixante quinze ans passés au service de la France française donnant ainsi, comme il a toujours si bien su le faire, l’exemple de la volonté et de la détermination militante.

Dans un grand, long, profond et brillant discours, notre Président, Carl Lang, rappela le sens politique et spirituel de notre engagement. Se revendiquant comme un homme de droite, un combattant national et un partisan de l'Europe européenne, il dénonça longuement les trahisons et les renoncements – ceux de nos adversaires tenants du mondialisme et de l'immigrationnisme bien sûr, mais aussi, hélas, ceux venus de notre camp, avant d'appeler chacun à la résistance et à la mobilisation militante totale dans la discipline, le respect des décisions stratégiques et des lignes politiques adoptées. « J'ai voulu que nous soyons un parti, pas un simple mouvement. J'ai, en effet, la certitude que, au milieu des dangers immenses qui menacent l'existence même de la France et de notre civilisation, seul un parti sera en mesure de faire face ».

À l'issue de ce banquet, une délégation du PdF s'est rendue Place Saint Augustin à Paris où Carl Lang, conformément à la tradition nationale, déposa une gerbe au pied de la statue de Jeanne d’Arc, sainte et héroïne de la Patrie.

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21:15 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |