vendredi, 08 janvier 2021
Macron sur la tombe de Mitterrand.
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12:13 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le meilleur vaccin : le contenu de notre assiette
Il n’est pas inutile de rappeler que ce fameux coronavirus fait quand même moins de mort que la grippe, son originalité tenant au fait qu’il a contaminé la terre entière. L’autre fait marquant de cette cochonnerie, c’est que les effets destructeurs sur nos économies sont nettement plus importants que le virus lui-même. Ce n’est pas le moindre des paradoxes. Les réponses apportées par chaque nation à cette pandémie sont aussi diverses que variées. En France, l’Etat jacobin couplé à une administration qui n’en fait qu’à sa tête a littéralement empêché toute réponse claire, simple et précise à cette pandémie. Au-delà des critiques qui sont émises de toute part, Périco Légasse, le critique gastronomique de Marianne nous donne un conseil plein de bon sens : bien manger est certainement l’une des meilleures réponses à apporter pour lutter contre le virus. Car, il y a bel et bien un lien entre la malbouffe dont nous abreuvent les industriels de l’agroalimentaire et la propagation du virus.
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11:23 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
France, ta démocratie fout le camp...
Excellent édito d’Yvan Rioufol dans Le Figaro (8/01/2021) qui dresse un état des lieux consternant de la France sous l’emprise du covid et d’Emmanuel Macron. Comme par hasard, ça craque de toute part dans cet Occident fatigué, épuisé par une démocratie devenue schizophrénique en proie aux délires de minorités raciales et sexuelles dont les bénéfices tant civilisationnel que culturel sont nuls mais incontestablement régressifs.
A lire ICI
10:12 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
jeudi, 07 janvier 2021
Acca Larentia : l'Europe nationaliste se souvient
Il y a 43 ans, le 7 janvier 1978, Acca Larentia à Rome, près d'un local du MSI (Mouvement social italien cliquez ici), trois militants du Front de la Jeunesse étaient assassinés par les communistes. Chaque année, les jeunes nationalistes italiens organisent des marches à travers le pays pour commémorer ce crime resté impuni. Il y a trois ans une gigantesque manifestation s'est déroulée à Rome (photo ci-dessous).
Cette année, en raison des restrictions sanitaires, l'organisation d'une telle démonstration de force est impossible. Cependant, à l'initiative des amis de notre camarade Gabriele Adinolfi, directeur du Centre Polaris, une vidéo a été réalisée cliquez ici
Sur la manifestation du 8 janvier 2018 :
Lire l'article publié le 10 janvier 2018 cliquez là
Lire l'article publié le janvier 2018 cliquez ici
17:26 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
L'émission Synthèse sur TV Libertés avec le dessinateur Ignace
ÉMISSION PRÉENREGISTRÉE
Le dessinateur Ignace… les téléspectateurs de TVLibertés le connaissent bien. Lors de chaque émission « Bistro Libertés », il croque avec humour et talent à la fois l’actualité et les invités de Martial Bild. Mais Ignace ne se contente pas de passer à la télé. Chaque jour, il taille ses crayons et il se creuse la tête pour illustrer différents sites non conformistes comme, par exemple, TV Libertés et Media Presse-infos… Depuis plusieurs années, l’ensemble de ses dessins sont réunis dans des albums publiés dans le cadre des Bouquins de Synthèse nationale. La livraison 2020, intitulée « Dictature sanitaire, la France est bêle », vient de sortir des presses : 210 pages, 600 dessins… un régal. Il était donc de bon aloi d’inviter Ignace à venir à l’émission « Synthèse » de cette semaine, animée par Roland Hélie et par Philippe Randa.
Pour se procurer cet album : www.synthese-editions.com
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16:44 Publié dans Radio Libertés Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
15:03 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Quand l'Amérique s'éveille...
Sans doute quelques excentriques, quelques excités et peut-être même quelques provocateurs...
...assurément une grande frousse pour la bien-pensance institutionnalisée...
Mais, surtout, une Amérique qui n'entend pas mourir (avec ou sans Trump) et qui se réveille avec fracas pour manifester sa foi en son avenir !
12:46 Publié dans En Europe et ailleurs... | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Association de malfaiteurs démocrates.
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10:09 Publié dans Jean-François Touzé | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mercredi, 06 janvier 2021
Live: "Stop au Vol” - Supporteurs de Trump à Washington
En direct de Washington DC ce mercredi de l'Epiphanie, la foule arrive déjà par dizaines de milliers et on attend des révélations importantes. Le discours du Président Trump est prévu pour 13 h (heure locale) pour nous ce sera 19h. Un moment historique que vous pouvez suivre en direct via Synthèse Nationale.
15:50 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Retour du projet de loi IVG au Sénat le 20 janvier : même en pleine crise sanitaire, rien n’arrête l’idéologie !
Alors que la France fait face à l’une des pires crises sanitaires de son histoire, La Marche pour la Vie s’indigne du retour précipité du projet de loi visant à l’extension du délai d’avortement ainsi que la suppression de la clause de conscience du personnel soignant .
Confinement prolongé, hôpitaux engorgés, services de réanimation saturés, personnel médical sous pression, détresse sociale, effondrement économique… « Le pays souffre, et il y a bien plus urgent à faire que débattre de projets de loi idéologiques visant à adopter de nouvelles transgressions éthiques », déclare Nicolas Tardy-Joubert, le nouveau président de la Marche pour la Vie.
Les retours annoncés au Sénat des projets de loi bioéthique le 19 janvier et sur l’IVG le 20 janvier confortent l’urgence pour la Marche pour la Vie d’appeler à la mobilisation le 17 janvier.
Avec ces lois, l’accès à l’avortement sera encore augmenté, y compris jusqu’à la veille de la naissance, alors que nous enregistrons déjà un triste record avec 232.000 avortements en 2019. La liberté de conscience spécifique est menacée, ce qui est une atteinte grave aux libertés fondamentales.
En France, l’insécurité règne sur la vie humaine naissante et sur la vie humaine vieillissante. Nous avons besoin de politiques de prévention de l’IVG, d’accueil et de protection de la vie.
Ensemble, nous sommes plus que jamais déterminés à défendre la vie des plus fragiles. Le défi est immense mais à nous de changer le cours des choses avec des hommes et des femmes politiques courageux.
Source : Marche pour la vie
15:09 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
MIKE PENCE COMPROMIS ?
Plusieurs se questionnent sur le rôle et la compromission possible du Vice Président Mike Pence. Analyse des propos de Lin Wood dans ce webjournal d' Alexis Cossette.
12:08 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un pédophile nommé Olivier Duhamel, grande conscience de gauche
C’est une des grandes figures de cette gauche caviar qui fait la pluie et le beau temps et qui impose à une classe intellectuelle à bout de souffle et politique, exsangue, sa conception du bien et du mal qui prend sa source dans une interprétation des droits de l’homme totalement dévoyée. Olivier Duhamel, hier encore prof de science politique, député européen, éditorialiste sur LCI et président – démissionnaire - de la Fondation nationale des Sciences politique qui finance Sciences Po, était en fait un pédophile qui a abusé d’un beau-fils dont le père n’était autre que Bernard Kouchner. Marié à Evelyne Pisier, première épouse de l’ex-ministre dont elle a eu trois enfants, cette dernière, décédée en 2017, a pratiqué l’omerta pour couvrir son deuxième mari, Olivier Duhamel, et préserver une respectabilité de façade. Vingt ans après, la sœur jumelle de la victime, Camille Kouchner, sort un livre, la Familia grande (Seuil), où elle dévoile la perversité si bien cachée de son beau-père avec la complicité, ô combien révélatrice, de ce milieu de gauche qui se goinfre aux frais de cette République bananière qu’elle estime à sa botte. Et c’est Ariane Chemin, du Monde, qui a mené l’enquête. Histoire de couper les branches pourris et trop voyantes d’une camarilla qui entend conserver ses privilèges ? C’est plus simple, Camille Kouchner est la compagne de Louis Dreyfus, le président du directoire du groupe le Monde.
Lire l’enquête ICI
10:26 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 05 janvier 2021
MERCREDI 6 JANVIER 2021 : LE DESSINATEUR IGNACE PRÉSENTE SON NOUVEL ALBUM "LA FRANCE EST BÊLE" DANS L'ÉMISSION SYNTHÈSE SUR TVLIBERTÉS
23:53 Publié dans IGNACE, Radio Libertés Synthèse, Rendez-vous avec Les Bouquins de Synthèse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Samedi 16 janvier : Paris rend hommage à Sainte Geneviève
23:52 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Et... un de plus qui avait la remontrance facile
16:25 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
La Sécu, c’est open bar !
Le juge Charles Prats, vice-président au tribunal de Paris, dresse un effrayant catalogue des fraudes qui sabotent notre système de protection sociale. Allocataires fantômes, centenaires par milliers, faux documents administratifs, décès non déclarés, pères de familles très nombreuse, fausses grossesses, etc., les arnaques sont nombreuses et coûtent très cher aux contribuables. Faire le ménage ? A la condition que la Sécu ne fasse pas de rétention d’information.
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13:13 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 04 janvier 2021
Nouveau documentaire qui va faire grand bruit ! " Le Crime Parfait "
17:44 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Fiasco de la vaccination : l’administration façon puzzle
Olivier Auguste
Il y a eu, le 31 décembre en France, 242 décrets, arrêts, circulaires, décisions et avis publiés au Journal officiel. Davantage que le nombre de vaccinés contre la Covid-19 au cours de la même journée. Comment ne pas voir un rapport entre les deux, dans ce pays où l’initiative étouffe sous les normes, où l’administration éparpille sa reponsabilité en empilant les organismes redondants, où la principale activité des fonctionnaires et politiques semble être devenue de se protéger derrière des lignes Maginot de réglementation ? Ironie navrante, les innombrables « officiels » de la santé ne sont même pas capables d’estimer clairement les effectifs vaccinés : c’est un jeune bricoleur de data, travaillant bénévolement et en solo, qui s’est imposé comme référence, avec son site covidtracker.fr.
Symptôme ultime de la grande confusion bureaucratique : même l’explication du bide de la vaccination est floue ! Les doses ne manquent pas (encore), les super-congélateurs sont (à peu près) installés, les consignes ont été (laborieusement) assimilées, les Ehpad sont (globalement) demandeurs, les médecins rentrent (bientôt) de vacances, les pharmaciens seront (peut-être) autorisés à « piquer » eux aussi, les maires seront (un jour) chargés d’organiser des centres de vaccination. Le gouvernement assume la stratégie de la lenteur mais va accélérer le mouvement. Non sans avoir consulté 35 citoyens sans autre compétence que d’avoir été tirés au sort.
Il faut comprendre nos décideurs, ils ont le trouillomètre à zéro depuis l’affaire du sang contaminé, plaident les uns – contresens puisque, déjà, c’est leur coup de frein à l’utilisation de tests qui auraient évité des contaminations au VIH qui leur avait été reproché. Ce n’est qu’un retard bénin qui sera vite rattrapé, osent d’autres – indécence car dans l’intervalle, des patients et des entreprises meurent chaque jour.
Source : L’Opinion 04/01/2021
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Sortie du n°19 des Cahiers d'Histoire du nationalisme consacré à la Belgique francophone : un entretien avec Hervé Van Laethem, son auteur
Hervé Van Laethem, en photo ci-dessus lors d'une Journée de Synthèse nationale en 2013, est un militant belge qui approche de ses 40 ans de militantisme. Président du Mouvement NATION depuis 2016, il vient de signer le n°19 du Cahier d'Histoire du nationalisme, numéro consacré à l’histoire de la mouvance nationaliste radicale en Belgique entre 1950 et 2000. A l’occasion de la sortie de son ouvrage, il a accepté de répondre à nos questions.
Propos recueillis par Basile Tomé
Hervé, pourquoi avoir écrit un tel livre ?
Avant tout, parce que je voulais transmettre une histoire. Une histoire méconnue, parfois sombre, mais toujours extraordinaire de par la somme d’engagements et de sacrifices qu’elle a générée. Une histoire qui peut paraître parfois modeste mais qui, si on y regarde bien, a malgré tout influencé certaines choses.
Aussi, car je me suis aperçu que si certains camarades avaient une connaissance parfois pointue sur l’histoire des nationalistes en France ou en Italie, ils n’avaient que peu d’informations sur l’histoire de la mouvance en Belgique.
Je voulais également parler de ces militants, souvent peu ou pas connus, qui ont pourtant sacrifié tant de choses, jusqu’à leur liberté pour certains. Et pas pour leur gloriole personnelle … J’ai essayé d’en citer nommément certains, j’en ai sans doute oublié beaucoup d’autres. Mais c’est en l’honneur de tous que j’ai voulu écrire ce livre et je leur dédie d’ailleurs…
Et enfin, je voulais aussi montrer aux militants sains que le camp nationaliste n’est pas composé que d’arrivistes, de démagogues aux petits pieds ou de « militants virtuels » dont la seule ligne idéologique consiste à s’admirer dans leurs propres selfies ou vidéos… Mais qu’il y a eu et qu’il y aura toujours en son sein, de vrais idéalistes prêts à combattre sans complexes, sans concessions et sans recherche d’un intérêt personnel. C’est ce côté-là de notre camp que je voulais montrer car trop souvent certains camarades désabusés, ce que je peux comprendre, en brossent un portrait trop négatif.
En fait, ce livre est un livre qui se veut positif et plein d’espoir. Il veut dire : « Même si le combat politique est dur ; même si comme tout entreprise humaine, on y est parfois confronté à des choses difficiles ; il n’en reste pas moins que des choses formidables aussi ont eu lieu et je le pense, auront encore lieu dans l’avenir !»
Le récit a une partie « historique », classique, mais aussi une partie composée de récits très vivants d’actions et de manifestations, n’avez-vous pas peur d’un mélange des genres ?
Ce n’est pas forcément une mauvaise chose lorsqu’on sait faire un mélangé équilibré. Il y a bien entendu, une évocation de l’histoire politique et militante de la mouvance belge. Vue pour une fois par quelqu’un de notre camp. Mais, et c’est en effet assez unique, avec beaucoup de témoignages vécus au niveau de l’activisme. Et je voulais remercier celles et ceux qui ont bien voulu me parler de leurs expériences, ce qui m’a permis de pouvoir évoquer nombre d’actions et manifestations en plus de mes souvenirs personnels.
J’ai essayé aussi d’être ambitieux sur le choix des illustrations et nombre d’entre elles sont des photos rares sinon uniques et exclusives. Bon après, certaines ne plairont pas à tous mais ici, je raconte une histoire qui, à une époque, fut je le reconnais « haute en couleurs »…
Votre analyse de certains faits et stratégies est parfois assez dure, est-ce juste une impression ?
On ne se refait pas ! Un ex-camarade français avait dit de moi que j’étais dogmatique alors que lui était pragmatique… J’ai compris plus tard en le voyant se vendre à un parti politique pour quelques fiches de paie ce qu’il entendait par là !
Pour en revenir à votre question, si j’avais fait un ouvrage bisounours, je serais tombé dans le travers inversé de ce que nous reprochons aux « spécialistes » de tout noircir pour le plaisir de noircir. Ici, je n’allais pas prétendre que tout fut pour le mieux dans le meilleur des mondes.
Je reconnais que c’est bien évidemment facile de donner son avis avec le recul… Mais est-ce que pour autant, on ne peut faire une critique positive de certaines erreurs du passé ? Sans bien évidemment remettre en cause, la volonté de bien faire, le courage et l’abnégation de tous les militants de l’époque, y compris de ceux avec les choix politiques desquels, on est en désaccord.
Pourquoi avoir consacré une aussi grande place à certains groupes flamands, tels le VMO ou le NSV, que l’on peut difficilement qualifier de nationalistes « belges » ?
Tout simplement car (et c’est peu connu) dans les années 70-80, les nationalistes francophones et flamands ont eu des liens assez réguliers. Et plus tard, on peut même dire que certains groupes francophones se sont lancés par des actions en collaboration directe avec les nationalistes flamands. Il était donc difficile de parler des groupes radicaux francophones sans parler de leurs pendants flamands. Ceci dit, je n’évoque que quelques groupes, sans rentrer dans les détails du nationalisme flamand. Mouvance qui mériterait un ouvrage à elle toute seule.
Mais il est vrai qu’il vaut mieux parler ici de l’histoire des « nationalistes de Belgique » au lieu de celle des « nationalistes belges ».
En revanche, vous parlez très peu du Vlaams Blok/Belang ? Est-il possible de parler de l’histoire des nationalistes en Belgique sans presque jamais évoquer le VB ou même le FN belge ?
Il faut savoir que la première idée de cet ouvrage n’était de parler que des groupes activistes de sensibilité nationaliste-révolutionnaire. Puis, il est apparu, comme expliqué dans la réponse précédente, qu’il allait être difficile de ne pas parler de certains groupes activistes flamands. Ensuite, on s’est dit qu’on ne pouvait pas non plus faire l’impasse sur l’ensemble des autres formations politico-militantes francophones, etc… Et on a fini par écrire ce livre sur l’ensemble de la mouvance. Mais elle reste néanmoins centrée sur les groupes les plus activistes et les plus radicaux de la partie francophone du pays.
Je pense que le VB d’aujourd’hui n'est plus dans la mouvance radicale et n’a en tous cas plus grand-chose à voir avec le parti militant qui, en 1980, participait aux cortèges du VMO.
Quant au FN belge, l’expérience fut à ce point désastreuse que même si nous l’évoquons rapidement, on ne se penche guère sur cette « histoire » là !
Pour la partie de ce récit que vous avez vécu, n’avez-vous pas des regrets sur certains points ?
Je peux évidemment regretter que lorsque j’avais 20 ans, il n’y ait pas eu d’aînés respectés pour nous conseiller. Je ne dis pas que j’aurais tout écouté mais j’aurais peut-être fait certaines choses différemment. C’est sans doute pour cela qu’au sein de NATION, on donne une place aussi importante à la formation.
Pour le reste, lorsque je vois le recul de l’engagement, le niveau de répression et la disparition de nos libertés, je suis globalement content d’avoir été activiste, radical et même parfois « excessif ».
Quels enseignements y a-t-il à tirer de ce demi-siècle de « nationalisme » pour les militants du XXIe siècle ?
D’abord que, plus que jamais, nous avons besoin de mouvements politico-activistes. Si les élections ne doivent pas être ignorées, elles ne doivent pas être la seule obsession d’un mouvement. Il faut aussi être présent sur un plan activiste mais aussi social.
40 ans de parlementarisme effréné de certains nous ont amené dans un cul de sac. A force de tout miser sur « on va y arriver par les élections », la droite nationale a raté une occasion au moment où les régimes occidentaux étaient en état de choc après les progressions électorales successives des années 80-90. Elle a laissé « l’état profond » se reprendre et lui a laissé le temps de mettre en place, tous les « garde-fous » qui font qu’aujourd’hui, et alors que nos idées sont de plus en plus populaires, les forces politiques patriotiques n’ont que très peu d’influence sur les événements.
La leçon principale est donc que, si demain de nouvelles circonstances s’y prêtent, il ne faut plus hésiter à tenter notre chance d’une manière ou de l’autre ! On n’a plus guère de temps de faire dans la finesse stratégique !
Quant à moi qui ai connu 20 de ces 50 années, outre de grands et nombreux souvenirs, j’en retiens beaucoup de rencontres. Alors bien sûr, j’ai rencontré de mauvaises ou de drôles de personnes… comme j’en aurais rencontré à l’extrême-gauche ou dans les partis traditionnels (en pire). Mais j’ai aussi rencontre des gens formidables, cultivés, humbles, courageux, idéalistes, désintéressés. Certains ne firent qu’un passage, d’autres furent longtemps présents. Tous ont gardé vivante une flamme… C’est à eux TOUS que je dédie ce livre !
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12:09 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Western Electrique, le nouveau livre de Pierre Gillieth
Georges Feltin-Tracol
Principal animateur de l’excellent magazine Réfléchir & Agir, Pierre Gillieth a déjà signé sept ouvrages et collaboré à quatre autres. Ses centres d’intérêt, très variés, vont des Gaulois à Alphonse Boudard, du polar à la sinistre Épuration de 1944 – 1945. Avec Western électrique, il concentre sa narration surquelques moments de la vie de Bertrand, un jeune huissier dans les années 1990 à Toulouse.
Il s’agit d’une autobiographie romancée qui ne respecte pas la chronologie. Issu d’un milieu bourgeoisaux très fortes convictions centristes lié à la dynastie municipale des Baudis, Bertrand se morfond dans un travail inutile, contraint en plus de cohabiter des journées entières avec des collègues antipathiques à souhait. Seul s’extrait un sympathique demeuré préposé au courrier, grassement rémunéré, en tant que fils du fondateur de l’étude.
Au FN
Bertrand trompe son ennui professionnel de diverses manières. L’ancien étudiant en droit et à Sciences-Po Toulouse, peut-être l’institut d’études politiques le plus pourri de France avant que Richard Descoings ne fasse de Sciences-Po Paris un sommet de la nullité intellectuelle et du politiquement correct global, a une copine, Sonia, joue dans un groupe de rock et, surtout, milite au Front national de la Jeunesse. Ainsi collabore-t-il à La Flamme, le bulletin de la fédération de Haute-Garonne que ne citent pas Jean-Yves Camus et René Monzat dans Les droites nationales et radicales en France (Presses universitaires de Lyon, 1992, « publié avec le concours du B’nai B’rith de France », un beau gage d’impartialité…).
Bertrand participe aux collages nocturnes dans un département occitan assez réfractaire au tocsinlepéniste. Bien que le FN fasse à l’époque des résultats électoraux à deux chiffres au niveau national, les militants locaux affrontent souvent l’indifférence du plus grand nombre qui ne pense politique que cinq minutes par an (et encore !), le mépris des nantis, la hargne de l’extrême gauche et la violence des jeunes immigrés. Deux chapitres révélateurs rapportent des cas concrets de ce « harcèlement démocratique » encouragé par le socialiste Jean-Christophe Cambadélis aujourd’hui disparu du premier plan médiatique. « Ces déjà Charlie étaient […] partisans d’empêcher de parler tout ce qui ne pensait pas comme eux (pp. 48 – 49). » La distribution de tracts dans l’université de Toulouse voit l’inévitable hargne moutonnière des petits merdeux syndicalistes estudiantins de gauche. Les violences sont d’ailleurs toujours provoquées par les antifas qui pratiquent dans les faits lemasochisme du rue : ils aiment recevoir des coups pour ensuite adopter une posture victimaire bien commode grâce à la complaisance des médiats complices. En raison de son engagement politique, Bertrand se fait bientôt virer du groupe de rock. L’un des membres du groupe, détenteur d’une maîtrise d’histoire (respect !), défend l’immigration et refuse par conséquent de jouer avec un « facho ». Un bien bel exemple de discrimination…
Quelques portraits militants
Western électrique dresse aussi le portrait de quelques sympathiques personnages tels le frontiste « JR », un ancien « délégué CGT de la cantine du restau U de Tolbiac (p. 52) » ou l’Abbé, « prétendument un ancien prêtre défroqué, rendu à la civilisation pour des motifs brumeux, et vivant aujourd’hui d’expédients encore plus incertains (p. 34) ». On y rencontre même de futurs contributeurs à Réfléchir & Agir… En revanche, d’autres adhérents au FN en prennent pour leur grade à l’instar du très oublié Stéphane Durbec ou de l’actuel maire de Perpignan. On relèvera enfin le satisfecit qu’accorde Pierre Gillieth à Bernard Antony. Bien que député européen et croisé de l’Occident éternel, il « vient coller avec nous, la nuit même, il mouille la chemise. Il n’est pas hautain. […] Humainement et sur le plan militant, il n’y a rien à lui reprocher (p. 87) ».
Il est agréable de lire Western électrique. On y retrouve l’atmosphère des dix ultimes années du XXesiècle. Cette décennie marquée par le coup monté de Carpentras en 1990, le référendum prostatique de Maastricht en 1992 et la scission mortifère du FN en 1998 accélère un déclin civilisationnel entamé au moins un siècle auparavant. Le héros de Western électrique ne sait pas encore qu’il délaissera bientôt le militantisme pour l’activisme culturel et éditorial. Il va vite comprendre qu’avec le pot de colle et les tracts, le livre constitue une autre arme de combat.
Pierre Gillieth, Western électrique, Auda Isarn, 2020, 153 p., 16 €.
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dimanche, 03 janvier 2021
Pour ne pas oublier ce que fut la terreur rouge :
Dès le mois de décembre 1917, la révolution bolchevique instituait la forme la plus terrifiante et la plus systématique de répression. Lénine en confia la direction à l'aristocrate polonais Félix Dzerjinski. Pendant plus de 70 ans, cet organe de pouvoir, la Tcheka d'une violence sans limites, littéralement terroriste, ne fit que changer de nom : Guépéou, NKVD, KGB.
Et tout au long de son histoire, l’URSS exporta ses méthodes inchangées et impunies dans tous les pays communistes, de l’Allemagne de l’Est jusqu’en Chine.
Ce livre comprend :
• Terreur rouge et théorie révolutionnaire • par Jean-Gilles Malliarakis : les bases doctrinales de la dictature de l'appareil du Parti, au nom du Prolétariat. Comment Lénine, disciple de Karl Marx et de Engels, s’affirme comme héritier de la Terreur jacobine. Ses nostalgiques, de Buonarotti à Blanqui, influenceront à leur tour les révolutions du XIXe siècle, jusqu'à la théorisation par Marx et Engels, et la mise en œuvre par Lénine.
• Terreur rouge, pratique révolutionnaire • par Charles Culbert : la logique du système, matrice du totalitarisme au XXe siècle. Les crimes communistes, lois d'être des excès momentanés se révèlent les conséquences invariantes du projet lui-même. Le prototype soviétique se retrouve ainsi sous toutes les latitudes. • Les Documents Tchernov diffusés dès 1922 en occident montrent le caractère total du système répressif.
La terreur rouge, théorie et pratique, Jean-Gilles Malliarakis et Charles Culbert, Editions du Trident, 2020, 230 pages, 20 euros franco.
Pour le commander cliquez ici
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Morts au Mali : ça suffit !
Dominique Merchet
Quentin, Dorian et Tanerri avaient 21, 23 et 28 ans. Ils étaient militaires français et « sont morts pour la France, dans l’accomplissement de leur mission ». Le président Macron a fait part de « sa très grande émotion » et un hommage leur sera rendu.
Comme 50 autres soldats avant eux, ces trois jeunes Français ne reviendront pas du Mali, où, depuis bientôt huit ans, notre pays s’est enlisé dans une guerre sans issue. Quant aux blessés, les armées ne communiquent pas sur leur nombre. Ils sont assurément plusieurs centaines, dont certains handicapés à vie.
Cela suffit ! Quel « rôle international » de la France justifie ces pertes ? Aucune menace terroriste contre le territoire national n’est jamais venue du Sahel, reconnaissent les chefs du renseignement. Sur place, les conflits ne pourront se régler que par la négociation avec ces « groupes terroristes », qui sont en réalité des insurrections renouant avec l’histoire précoloniale du Sahel.
Peut-être était-il indispensable d’intervenir au Mali comme l’a fait François Hollande en 2013. L’erreur a été d’y rester, car désormais, on ne sait plus comment partir. Ou plutôt comment habiller de manière présentable ce qui sera l’aveu d’un échec. Car malgré des débauches de communication, les Européens ne se précipitent pas pour venir aider les Français et les armées locales n’ont ni les moyens, ni la volonté de mener ce type de guerre.
Nous partirons donc du Mali, comme nous l’avons fait d’Afghanistan (après la mort de 90 militaires) et comme les Américains le font à leur tour. Les Talibans, eux, sont toujours là.
Tout à leur rêve de grandeur, nos dirigeants peinent à comprendre que les Occidentaux ne gagnent plus ces guerres et que l’ère des expéditions militaires est derrière nous. Un jour, ils seront obligés d’en convenir. Ce sera trop tard pour Quentin, Dorian et Tanerri. Et les prochains.
Source : L’Opinion 29/12/2020
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samedi, 02 janvier 2021
Alexandre Simonnot invité aux entretiens du Parti de la France
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Demain, dimanche 3 janvier à 14 h, mobilisation pour défendre le calvaire de Plorec-sur-Arguenon (22)
Source Breizh info cliquez là
Les militants gauchistes de la Libre Pensée ont réussi à faire quasiment l’unanimité contre eux concernant l’affaire dite du Calvaire de Plorec-sur-Arguenon, dans les Côtes d’Armor.
Localement d’abord, car les habitants interrogés sont, dans l’ensemble, circonspects sur l’acharnement « laïque » de cette association dans une région qui, traditionnellement et historiquement, est chrétienne et catholique.
Politique ensuite. Ainsi, un appel à mobilisation a été lancé en vue d’une manifestation le 3 janvier prochain, par David Cabas et le collectif « Touche pas à ma croix ».
« En 2017, lors de l’affaire de la croix de Ploërmel, j’ai fondé le collectif « Touche pas ma croix ».
Lors de cette affaire , j’ai dit : Déplacer la croix, c’est déplacer le problème ». Suite à la décision du tribunal administratif de Rennes de détruire le calvaire de Plorec-sur-Arguenon le 5 février 2021, il est évident que j’avais raison.
Hier, mercredi 15 décembre, je me suis déplacé à Plorec-sur-Arguenon et j’ai lancé à nouveau un appel pour protéger notre patrimoine. Ma vidéo a déjà été vue plus de 10.000 fois sur Facebook.
Avec le collectif « Touche pas à ma croix », j’appelle à une grande mobilisation dans le respect des règles sanitaires le dimanche 3 janvier entre 14h et 15h devant le Calvaire de Plorec-sur-Arguenon » indique-t-il.
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Sergueï Lavrov dresse les perspectives de la politique étrangère russe
Sergueï Lavrov, 70 ans, le ministre des Affaires étrangères russe, est certainement l’un des plus fins stratèges de la planète diplomatique mondiale. Mais à l’heure où les Etats-Unis ont rallumé le spectre de la « guerre froide » et quasiment déclaré la guerre aux Chinois pour conserver leur leadership, la Russie se doit de louvoyer pour faire entendre sa voix. Et de confirmer le déplacement géopolitique de la zone euro-atlantique vers l’espace Pacifique. Enfin, pour Sergueï Lavrov, l’arrivée de Joe Biden ne changera fondamentalement rien à la politique d’hostilité menée par Donald Trump à l’égard de la Russie.
Source : site Sputnik - Lire la suite ICI
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Journal du chaos
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Les voeux de Philippe Milliau, président de TV Libertés
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vendredi, 01 janvier 2021
Les voeux de Jean-Marie Le Pen
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Reiner Fuellmich : Les procès des tests PCR sont imminents
Si la vidéo ne fonctionne pas bien, voici un autre lien : ICI
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Les Meilleurs voeux bolchéviques du Préfet Didier Lallement
Il doit ignorer que Trotsky est mort assassiné...
«Je suis profondément convaincu, et les corbeaux auront beau croasser, que nous créerons par nos efforts communs l’ordre nécessaire. Sachez seulement et souvenez-vous bien que, sans cela, la faillite et le naufrage sont inévitables»
Non seulement il cite Trotski, mais il cite le Trotski de 1918, celui de la Terreur Rouge. En 1918, Trotski (de son vrai nom Lev Davidovitch Bronstein) était à la tête de l’Armée rouge, théorisait et conduisait la terreur et ouvrait les premiers camps destinés aux «agitateurs louches, officiers contre-révolutionnaires, saboteurs, parasites». Entre un préfet psychorigide et le fondateur de l’Armée rouge, nous avons à faire à la même inhumanité. En citant Trostski, Lallement fait un double clin d’oeil à un génie de la répression et à ses auxiliaires Blackblocs. Sous des dehors qui se veulent humoristiques il confirme l’alliance du pouvoir et de l’extrême gauche.
Les manifestants qui battront le pavé parisien sont prévenus…
Source : Le Salon Beige
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