jeudi, 06 mai 2021
L'Affaire des Fiches (Saison 2021)
François Floc'h
Les jeunes Français d'aujourd'hui, pour la plupart, ne savent pas ce que fut l'Affaire des Fiches. Ils ont quelques excuses car il nous faut remonter au début du XXe Siècle !
En pleine IIIe République triomphante flottait comme un air de règlement de comptes entre les laïcards et les conservateurs tendance catho. La loi de séparation de l’Église et de l’État, les inventaires puis les spoliations des biens du clergé, l'expulsion des congrégations, …se préparaient en Loge !
Il fallait donc formater les esprits et verrouiller les éventuelles résistances. L'Affaire des Fiches commençait. Pour en connaître toutes les étapes, tous les acteurs de l'ombre, toutes leurs déclarations, il vous est conseillé de lire l'enquête en 4 parties réalisée par Patrice Mores et publiée dans l'excellente revue Lectures Françaises (n°760 à 763, juillet-novembre 2020, cliquez ici) fondée par le regretté Henry Coston.
Pour résumer, l'objectif de cette opération, savamment organisée et très conforme aux valeurs de la République, était de mettre en fiches tous les officiers de l'Armée française pour repérer ceux qui étaient catholiques. Et pouvoir ainsi bloquer et même briser leurs carrières ! Bref, pour empêcher toutes oppositions aux lois laïcardes en préparation. Bel esprit, non ?
Dans une moindre mesure, l'opération de flicage fut entreprise aussi dans le ministère de l'Instruction Publique. Mon grand-père maternel, jeune répétiteur – on dirait aujourd’hui maître d'internat – puis professeur d'anglais, fut ainsi repéré par les supplétifs du Grand Orient de France ! La chronique familiale rapporte même que sa fiche portait la mention accusatrice : " Va à la messe, avec un gros missel " !
Vous le voyez, dans un style un peu différent mais d'esprit similaire, l'histoire se répète aujourd'hui… En quelque sorte, une nouvelle saison d'un mauvais feuilleton républicain !
Pour avoir signé une tribune sous forme de lettre ouverte au Président de la République et autres responsables politiques, des militaires, généraux en tête, sont accusés de putsch, activement identifiés. Dénoncés par leurs chefs, ministre et chef d’État Major, qui leur promettent de graves sanctions. Le tout assaisonné de mensonges et tripatouillages historiques et surtout de grande bêtise !
Leur crime ? Avoir publiquement – bizarre pour des putschistes ! -- avalisé ce que nombre de nos concitoyens constatent eux-mêmes : " le délitement qui frappe notre patrie." Pas étonnant qu'une majorité de Français se disent en accord avec la tribune dite "des généraux".
Notre petit président et sa clique n'en sortiront pas grandis… mais justifiant ainsi le proverbe breton : C'est par la tête que pourrit le poisson !
12:15 Publié dans François Floc'h | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Un nouveau policier tué, l’Etat aux abonnés absents
Le billet de Patrick Parment
C’est peu dire que le vase a débordé depuis longtemps. Un policier, intervenant dans un quarter d’Avignon réputé pour être l’un des lieux du trafic de drogue, a été tué par un individu qui n’a pas hésité à lui tirer dessus avec une arme à feu. L’individu a pris la fuite est recherché comme l’on dit. Si l’on ne peut accuser la police de faire son travail – comme le font les médias bobos comme Libération, Mediapart ou France 2 -, et dans des conditions bien souvent difficiles – par manque de moyens – il n’en va pas de même de ce président de la République et de son gouvernement, totalement dépassés par les événements et dont les préoccupations majeures sont plus électorales que sécuritaires. La police paie la note de l’impuissance de l’Etat et le ministre de l’Injustice signe les factures.
Car l’impuissance de l’Etat se manifeste également au niveau de la Justice et de son ministre, Dupond-Lajoie-Moretti, dont l’objectif majeur est de courir après le Rassemblement national au lieu de botter le cul de ses juges. Cette faiblesse de la justice, les policiers en font les frais chaque jour tant les délinquants qu’ils leur présentent sont trop souvent relâchés, absous ou condamnés à des peines peu en rapport avec le délit. L’affaire Halimi nous en a offert le triste spectacle. Dans les trois quarts des opérations cités, on constate que le délinquant était bien souvent un récidiviste et connu comme l’on dit des services de police. Et, trop souvent, un immigré quand ce n’est pas un fou d’Allah !
Il faut bien dire que quand on place à la tête du ministère de l’Intérieur, des calibres du genre Christophe Castaner, qui fréquenta la pègre dans sa jeunesse pré-socialiste, ou un Gérald Darmanin, à la mode Muselier, pur politicard uniquement soucieux de faire carrière et dénué de toute vision métapolitique, il ne faut pas s’attendre à des miracles. Le drame est que la déliquescence de l’Etat remonte à un certain mai 1981 quand Mitterrand, socialiste à la mode de Bretagne, s’est installé à l’Elysée. On est dès lors allé de Charybe en Scylla dans l’effondrement et l’impuissance avec Chirac, Sarkozy, Hollande et Emmanuel Macron aujourd’hui.
Aussi, quand des militaires prennent la plume pour dénoncer les carences de l’Etat et de son autisme à l’égard de la société et des Français, ils ont malheureusement raison. Raison aussi quand ils prédisent que demain il faudra faire appel à l’armée pour remettre de l’ordre dans ce pays. La future bataille d’Alger, c’est en France qu’elle aura lieu.
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Dimanche 9 mai, cortège traditionnel de l'Action française en honneur de Jeanne d'Arc
01:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dimanche 9 mai, les nationalistes rendront hommage à Jeanne d'Arc
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mercredi, 05 mai 2021
DISSOLUTION DE GÉNÉRATION IDENTITAIRE : HONTE AUX MAGISTRATS DU CONSEIL D’ÉTAT
Saisi par Génération Identitaire, qui contestait la dissolution lancée par Gérald Darmanin, le juge des référés du Conseil d’État « ne suspend pas la dissolution.. », dans sa décision du 3 mai 2021.
On se demande vraiment quel État représentent ces juges, qui qualifient d’action violente le déploiement à nos frontières de banderoles d’avertissement aux migrants.
Au moment où se multiplient les actions violentes d’immigrés musulmans contre des représentants de l’État (policiers, professeurs…), on ne peut que ressentir un immense dégoût devant cette décision.
Avec tous les patriotes, travaillons à l’avènement d’un État français vraiment national.
23:37 Publié dans Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Michel Onfray : "Les militaires ont raison de sonner le tocsin"
16:10 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
RÉÉDITION DU CAHIER D'HISTOIRE DU NATIONALISME (N°5) CONSACRÉ AU MARÉCHAL MANNERHEIM ET À LA FINLANDE FACE À L'URSS
13:57 Publié dans Les Cahiers d'Histoire du Nationalisme | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le cinéma lave plus racisé
La culture de l’effacement européen ne sévit pas que dans les médias, comme le montre l’exemple du cinéma. Le whitewashing, littéralement « blanchir à la chaux » en anglais, est un concept inventé et importé des États-Unis. Ce terme « novateur » décrit le fait pour un acteur blanc de jouer le rôle d’un personnage dit « racisé », c’est-à-dire noir, asiatique ou encore maghrébin.
Que ce soit la presse cinéphile, les médias d’infodivertissement ou même des rédactions renommées, le concept du whitewashing a envahi le paysage médiatique de logorrhées antiracistes, décoloniales et autres idéologies issues de la repentance. Ainsi, on assiste depuis 2015 à un florilège d’articles tels que « 18 exemples de « whitewashing » au cinéma » ou encore « Whitewashing à Hollywood : 14 exemples édifiants pour comprendre ! ».
Les Césars aussi
La question de la diversité dans les films et séries revient régulièrement sur le devant de la scène. Le comédien Jean-Pascal Zadi, meilleur espoir (noir) masculin au César 2021 pour son film Tout simplement noir, a ainsi remercié dans son discours plus que bancal : les comédiens et comédiennes noires qui l’ont précédé. Certes, beaucoup de rôles de personnages non-européens ont été joués par des acteurs blancs, il ne s’agit pas de nier une évidence. Par exemple, Édouard Baer, acteur blanc, joue le rôle d’un égyptien (Otis) dans Astérix et Obélix : Mission Cléopâtre.
Pour France Info, l’origine du whitewashing se trouverait dans la pratique de la blackface, consistant pour un blanc à se grimer en noir pour jouer le rôle d’un personnage noir. Cette pratique remonterait au XVIIe siècle.
Le whitewashing est accusé de deux maux : réécrire l’histoire, en ne respectant pas l’ethnie historique du personnage, et mettre sous le boisseau des acteurs non-blancs, en les cantonnant à des seconds rôles. En d’autres termes, le whitewashing serait l’incarnation même du racisme systémique qui rongerait nos sociétés occidentales. Dénoncer le whitewashing, c’est dénoncer le fameux « privilège blanc ».
Arsène Lupin était noir ? Bien sûr !
Mais qu’en est-il du blackwashing ? C’est à dire, lorsqu’un personnage blanc est joué par un acteur noir. Là aussi, les exemples ne manquent pas. Ainsi, dans la série Lupin (2021) de Netflix, Omar Sy joue le rôle d’Arsène Lupin, gentleman français (et bien blanc) qui évolue dans la France de la Belle époque. Ou encore Jodie Turner-Smith, actrice britannique noire interprétant le rôle d’Anne Boleyn, épouse d’Henri VIII d’Angleterre. Et on parle d’un Africain pour jouer Achille dans l’Iliade, pauvre Homère…
Ce blackwashing a‑t-il autant mauvaise presse que le whitewashing ? Non, car il vise à apporter de la « diversité ». Il s’inscrit dans la culture woke, qui souhaite mettre en lumière les « injustices » subies à cause de la couleur de peau, mais pas de toutes les couleurs.
Le site Slate dénonçant les « cas de whitewashing », le 15 mars 2020, va jusqu’à affirmer que « Le blackwashing n’existe pas », le sous-titre précisant « Le whitewashing existe bel et bien mais il n’y a pas de symétrie qui tienne. ».
Le cinéma est ainsi devenu une véritable machine de propagande pour l’idéologie antiraciste et décoloniale. Le whitewashing : c’est mal et raciste, mais le blackwashing, c’est bien et inclusif. Fermez le ban.
Source : site L’Observatoire du journalisme
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LEUR NOVLANGUE PREPARE LES ESPRITS A LEUR « MONDE D’APRES »
Pieter Kerstens
Après la « bravitude » de Ségolène Royal, on entend de plus en plus de mots abscons utilisés par les politicards et les médias afin de désorienter la population. Cette caste qui prétend détenir le savoir et la vérité n’use en fait que d’un langage convenu et rigide, visant à dénaturer la réalité, comme cela a fort bien été démontré par Georges Orwell dans son roman « 1984 » écrit après la guerre d’Espagne, en 1949, pour dénoncer les dangers du totalitarisme.
En provenance des Etats-Unis, des minorités intellectuelles nous avaient imposé le « politiquement correct », la pensée unique, la police de la pensée et ses inquisiteurs, le « soft power », les quotas, les « fake news », les discriminations positives et autres fadaises.
Aujourd’hui, place à l’empathie, à la résilience (terme propre à la physique), à l’anonymisation, au distanciel (néologisme), à la jauge (dispositif permettant de mesurer des liquides ou le tonnage d’un navire), sans oublier l’expression « çà vous parle » …les valeurs de la République ? Mais lesquelles ?
Mieux embrouiller pour mieux imposer.
La gestion de la crise sanitaire et du chaos économique que nous vivons depuis 15 mois démontre à suffisance que les gouvernements européens ont été maîtres dans une politique globale de diffusion de la trouille et l’absence totale d’analyse et de raisonnement des populations concernées. A quelques rares exceptions, tous les citoyens d’Europe ont avalé les déclarations et engagements contradictoires au fil des mois, à propos de l’utilité des masques, de l’efficacité des tests, des mesures impératives d’isolement en « quarantaine », du manque d’appareils respiratoires et des capacités d’hospitalisation, ainsi que du décompte morbide des gens contagieux, en réanimation ou décédés, jour après jour.
Quant aux campagnes de vaccination avec des sérums aussi divers que multiples, les chefs d’Etat et de gouvernement nous avaient juré et promis que ce serait LA solution, pour en finir avec les assignations à résidence, les couvre feux et les interdictions multiples.
Ils nous annoncent maintenant le retour à la liberté pour chacun d’aller et venir à sa guise, à condition d’être en possession d’un « pass-Covid », attestant votre vaccination, sorte de sésame pour aller au restaurant, au cinéma, prendre l’avion ou le bateau, assister à un match de rugby, visiter un musée ou prendre un pot au bar avec nos copains. Mais cette vaccination n’est pas obligatoire, comme celle contre la grippe. Et pour ceux qui ne le seront pas ? Une étoile jaune pour les identifier, comme aux « heures les plus sombres de notre Histoire » ?
Leur "monde d'après" sera celui d'aujourd'hui, plus celui d'hier.
Avec une notable différence quand même. Parce que pour votre Bien et votre Sécurité, tous les euro-mondialistes siégeant à Bruxelles vont nous imposer une surveillance et un contrôle permanent au moyen de caméras thermiques, de reconnaissance faciale, du suivi des téléphones portables et d’algorithmes dignes des régimes totalitaires. Cela a déjà été mis en œuvre en Asie, où les résultats permettent d’identifier les récalcitrants, les punir par des amendes et l’obligation d’avoir un « contrat social » à points (comme le permis de conduire) qui limitera partout leurs déplacements ou permettra leur liberté de circulation en fonction du solde.
Autant savoir où pourra nous mener leur « novlangue ».
12:34 Publié dans Les articles de Pieter Kerstens | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
mardi, 04 mai 2021
Au moment où le terrorisme islamique fait des ravages, le "Conseil d'Etat" confirme la dissolution de Génération identitaire...
Roland Hélie
Directeur de Synthèse nationale
La poignée de préretraités cacochymes qui constitue ce que l'on appelle le Conseil d'État (comme s’il y avait encore un État en France) vient de confirmer la scandaleuse dissolution du mouvement Génération identitaire.
Au moment où se multiplient les actes terroristes liés à l'islamisme (donc à l'islam - idéologie politico-religieuse massivement importée sur notre sol ces dernières décennies avec l'immigration voulue et encouragée par le Système) ; au moment où des flics et même des profs, incarnations de cet Etat en déshérence, se font insulter, lapider, voire égorger ; au moment où la délinquance importée sévit quasiment en toute impunité dans des zones de plus en plus vastes, la décision de cette institution montre à quel point la notion même de République se trouve désormais vidée de tout contenu.
Rappelons que le principal reproche fait à Génération identitaire est d'avoir déployé pacifiquement quelques banderoles à nos frontières pour informer les migrants, souvent abusés par des ONG antinationales et exploités par des passeurs peu scrupuleux, qu'il n'y a pas d'avenir pour eux dans un pays où l'économie est au plus mal et où le chômage reste à un niveau élevé.
Manifestement, les problèmes qui terrassent la France et les Français ne sont pas la préoccupation première des membres du Conseil dit "d'État". Ceux-ci, plutôt que de voir ce qu’ils voient, d’admettre les dures réalités et d’en tirer les conclusions qui s’imposent, préfèrent, soumis qu’ils sont à la pensée dominante, condamner, en s'appuyant sur des arguments futiles, ceux qui, comme Génération identitaire, restent debout et résistent.
Heureusement, le Système qu'ils protègent est arrivé à un tel point de décomposition que l'espoir de son proche effondrement grandit de jour en jour. Alors, un nouvel État authentiquement national, défenseur de la France et des Français, abolira toutes les lois liberticides et rendra justice aux organisations patriotiques qui, depuis des années, ont subi la répression des gouvernements mondialistes successifs...
11:51 Publié dans Editoriaux | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Dénaturalisations pour cause d’inadéquation à notre civilisation
Bernard Plouvier
Manifestement, la campagne pour les Présidentielles françaises de 2022 est lancée avec une année d’avance sur le calendrier. En est cause la nullité absolue de l’équipe exerçant les apparences du pouvoir.
Une campagne électorale est une affaire de démagogie et pas du tout l’époque des réflexions de fond. Tant pis ! La France crève d’un excès d’opportunisme ; il serait temps d’en revenir aux fondements de notre civilisation, qui est européenne.
Dans un petit livre de 1930 : Paroles d’autorité, le grand patriote Jean Chiappe, qui fut un excellent Préfet de police, avait écrit des phrases qui sont oubliées en nos tristes jours, mais qui n’ont rien perdu de leur force ni de leur intelligence : « Dans tous les pays, le séjour des étrangers n’est pas un droit, mais une faveur. Transformer cette faveur en droit est une abdication. La nation n’a alors plus ni contrôle, ni sécurité ».
De fait, quelle peut être la justification – face au seul souverain : la Nation – d’élus qui, non seulement refusent d’expulser des immigrants clandestins, par définition en état de délit par refus d’obéir à nos lois, mais encore leur offrent une indemnité de séjour ou de subsistance ?
Pour quelle raison ne dénaturalise–t-on pas des individus qui osent proclamer leur volonté de remplacer les lois fondamentales de notre État par une loi religieuse médiévale, la charî’a ? De la même façon, on réintègre dans le pays des fous d’allah qui sont allés exporter leur haine meurtrière un peu partout sur la planète. En quoi cela est-il logique dans un État régi par une loi de laïcité ?
Pourquoi ne pas dénaturaliser des rejetons de l’immigration extra-européenne, devenus « citoyens français » par l’effet de l’absurde Droit du sol, et dont la conduite depuis la fin de l’enfance est délinquante voire criminelle ?
Ah oui, c’est vrai ! Les candidats de la démagogie tiers-mondiste recherchent les voix de l’électorat extra-européen, naturalisé alors que nul n’a sollicité l’avis du seul Souverain légitime de l’État français : la Nation... de souche européenne, puisqu’à l’évidence, la France est placée en Europe, pas au Maghreb, encore moins en Afrique Noire ou au Proche-Orient.
C’est sûr, il faut en revenir aux notions de l’école primaire et de façon urgente, car, depuis peu, nos sages magistrats expédient en prison ceux qui énoncent cette évidence, à savoir qu’il n’y avait pas, durant l’Antiquité, de Celte noir !
11:30 Publié dans Tribune de Bernard Plouvier | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Devoir de mémoire à éclipses
Camille Galic
S’alignant sur Anne Hidalgo, Emmanuel Macron a fait déposer le 1er mai une gerbe à la mémoire du clandestin marocain Brahim Bouarram tombé dans la Seine, où il se noya, à la suite d’une rixe se déroulant le 1er mai 1995 en marge d’un défilé du Front national, et sa ministre déléguée à la Diversité et à l’Egalité des chances, Elisabeth Moreno, a souligné que « si la douleur ne se gomme pas, la mémoire doit nous permettre de tout faire pour que ces drames ne se répètent plus » car « le racisme reste une réalité que nous devons combattre ».
On espère que, dans quelques semaines, le chef de l’Etat honorera de même d’autres victimes du racisme antifrançais, cette fois : le commandant Jean-Baptiste Salvaing et sa compagne Jessica Schneider (voir photo), adjoint administratif, deux policiers égorgés le 13 juin 2016 devant leur enfant de trois ans et aux cris d’Allahou Akbar par le « Français » Larossi Abballa, jugé en 2013 pour assistance à une filière d’acheminement de djihadistes vers le Pakistan. Mais alors condamné à une simple peine avec sursis.
Source : Présent 04/05/2021
09:58 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 03 mai 2021
Le survivalisme en question
Georges Feltin-Tracol
L’enlèvement de la jeune Mia, le 13 avril dernier, dans les Vosges par des proches de sa mère permet au Système médiatique de dénoncer gratuitement la constellation survivaliste. L’arrestation, quelques jours plus tard, de la mère de Mia et de ses complices supposés autorise la Grasse Presse subventionnée à poursuivre les amalgames grossiers. La mise en cause par le Parquet d’Épinal d’un individu interlope dont les initiatives douteuses ont été mises en lumière dans le n°491 de l’excellente lettre confidentielle Faits & Documents des 15 au 30 novembre 2020 invite à prendre de la hauteur par rapport à ce fait-divers monté volontairement en épingle.
Cette regrettable affaire familiale sert de prétexte pour une large entreprise de manipulation psychologique auprès de l’opinion. Observons cette manœuvre magistrale d’intoxication mentale en deux temps. Depuis les Gilets jaunes, la caste au pouvoir vit dans la crainte d’une reprise de ce vaste mouvement populaire, hélas !, inorganisé. Les nombreuses restrictions liberticides prises officiellement pour contrer la pandémie covidesque sont en réalité des rétorsions implicites envers une population rétive ou circonspecte envers le capitalisme de surveillance globale.
À l’approche de l’élection présidentielle, la caste dirigeante craint l’émergence d’un candidat hors système et anti-Système capable de tout balayer sur son passage. Elle garde dans un coin de son esprit l’excellente série Baron noir. Ses scénaristes finissent la première saison tournée en 2015 par la démission du président socialiste. Ils commencent la deuxième saison tournée en 2017 par l’élection à l’Élysée de la candidate socialiste novice qui n’hésite pas à gouverner avec les centristes. Dans la troisième saison, ils mettent en avant un professeur de SVT, chantre du tirage au sort et vedette sur Internet, qui réunit autour de sa candidature les dissidents de la Droite nationale et de la gauche radicale.
Il s’agit pour le Régime d’empêcher que cette fiction politique se réalise en 2022, d’où la mise en évidence négative d’une grande gueule sur la Toile qui vivrait en Extrême-Orient. L’emploi par les journalistes officiels d’une argumentation psychiatrique et « secticide » digne de l’URSS de Brejnev à son encontre participe à cette vaste opération de disqualification médiatique. Le Système cherche ensuite à noircir le survivalisme et à faire passer ses pratiquants pour de doux dingues ou des tarés extrémistes. Les ouvrages de Piero San Giorgio ne sont bien sûr jamais cités, car ils contrecarrent la narration médiatique fallacieuse.
Pour faire simple, le survivalisme se formalise dans les années 1970 en Amérique du Nord à un moment où le risque d’une guerre nucléaire entre l’Est et l’Ouest paraît inévitable. Bien des romans, des films, des nouvelles et des feuilletons de science fiction décrivent le monde d’après les explosions atomiques. Donald Eugene Sisco alias Kurt Saxon qui navigue entre différents milieux nationalistes, libertariens et satanistes appelle dans ses livres et au cours de ses conférences à se préparer à n’importe quelle catastrophe afin de survivre. Au fil des décennies, en se répandant en Occident, le survivalisme prend selon les moments et les endroits une coloration politique gauchiste ou écologiste radicale.
On distingue aujourd’hui six principaux profils issus de cette mouvance hétérogène. Les plus connus sont les autonomes zadistes qui s’élèvent plus ou moins avec raison à Boyron ou à Notre-Dame-des-Landes contre des projets inutiles et coûteux. Sous le patronage de l’ancien ministre Vert Yves Cochet, les collapsologues envisagent la fin prochaine de la civilisation techno-industrielle en se fondant sur les postulats d’une nouvelle science : la collapsologie. Les plus modérés sont les adeptes de la « survie douce ». Ce sont les habitués des stages de survie en pleine nature. Un député LREM veut légiférer sur ces stages et leurs participants. De quoi ose-t-il se mêler ? Les « preppers » se préparent à un quotidien post-catastrophique proche des films Mad Max II et III. Il y a enfin, théorisée par Michel Drac et Serge Ayoub, la BAD ou « base autonome durable ». Le badiste ne cache pas son engagement identitaire européen. Il veut assurer la pérennité de son clan au sein de communautés enracinées et écologiquement armées. L’essayiste catholique identitaire radical Julien Langella partage ce point de vue salutaire.
Divers, le survivalisme ne rentre pas par conséquent dans le moule confortable des certitudes médiatiques et universitaires. On comprend mieux pourquoi le Régime s’en méfie tant. Des braves gens qui pensent par eux-mêmes ne peuvent avoir que des intentions maléfiques...
Bonjour chez vous !
• « Chronique hebdomadaire du Village planétaire », n°212, mise en ligne sur TVLibertés, le 27 avril 2021.
Europe maxima cliquez ici
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Thomas Joly est le candidat de la droite nationale non reniée à l'élection partielle qui se déroulera dans l'Oise le 30 mai prochain
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Le Journal de bord de Jean-Marie Le Pen de cette semaine
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Gouvernement Macron : « Chef, j’ai glissé, chef… »
Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne EuroLibertés.
(Propos recueillis par Guirec Sèvres)
Comment réagissez-vous à la polémique suscitée par la tribune des militaires français sonnant le tocsin ?
Il se trouve que j’ai dû être un des premiers à publier, le 19 avril, sur EuroLibertés cette tribune à l’initiative de Jean-Pierre Fabre-Bernadac. Elle me semblait intéressante, mais je ne me doutais pas qu’elle susciterait autant de réactions.
Qu’un Jean-Luc Mélenchon s’étrangle d’indignation en agitant la perspective d’un putsch de militaires, c’est logique ; il n’y a bien que les gens de gauche, ou ce qu’il en reste, pour y avoir jamais crû (et surtout dans leur efficacité, mais c’est un autre débat). Contrairement à l’Amérique du Sud ou à l’Afrique, les coups d’État militaires ne font pas partie de notre culture politique.
Le plus étonnant est la réaction du gouvernement qui a immédiatement fustigé les signataires de cette tribune, leur assurant ainsi un retentissement national. La ministre Florence Parly s’est ridiculisée dans des invectives menaçantes. La preuve, encore une fois, que ce gouvernement vit dans l’affolement permanent et ne maîtrise plus rien, pas même la communication… Il donne l’impression – et même plus que l’impression, hélas ! – de gérer tout événement sans réflexion aucune, sans concertation, sans « tourner sept fois sa langue dans sa bouche » avant de s’exprimer, comme le recommande cette excellente expression populaire. Les ministres me font penser à cette réplique du soldat Pithivier, interprété par Jean Lefebvre dans On a retrouvé la 7e compagnie, et qui revient sans cesse dans le film, jusqu’à la scène finale : « Chef, J’ai glissé chef !… »
Les constatations que font les signataires de la tribune se vérifient pourtant chaque jour par les violences nocturnes dans de plus en plus de villes françaises, l’assassinat récent d’une policière jusque dans un commissariat de Rambouillet… ou encore ce 1er mai, lors des traditionnelles manifestations syndicales et politiques.
Ce qui est nouveau, ce ne sont pas ces violences qui toutes existent depuis des années maintenant, c’est à la fois la vitesse de leur propagation – digne de celle du coronavirus sous ses différents variants – et que policiers et pompiers sont désormais ouvertement devenus des cibles vivantes. Une violence extrême et nouvelle que ce soit de la part des dealers de banlieues, des Fous d’Allah ou des extrémistes de gauche qui entendent ouvertement casser ou trucider du flic, comme une sorte de droit tout autant que de devoir… Dans le passé, les délinquants faisaient tout pour se tenir à l’écart des forces de l’ordre ou leur échapper… et ne se préoccupaient pas des pompiers, désormais assimilés par ignorance et bêtise à la police.
Marine Le Pen prédit un « chaos général » en cas de réélection d’Emmanuel Macron…
En l’occurrence, la présidente du Rassemblent national ne fait là que resservir à son rival la prédiction dont la classe politique a usé et abusé contre elle-même en 2017. Pour ce qui est du chaos, on est déjà servi avec le présent quinquennat : gilets jaunes, réforme des retraites, gestion de la pandémie de Covid-19, violences urbaines, djihad… Avoir nommé un Éric Dupond-Moretti à la justice, confié une mission sur « la mémoire de la colonisation et de la guerre d’Algérie » à un Benjamin Stora ou encore stigmatisé les violences policières est à l’évidence de l’huile jeté sur le feu de la délinquance et renforce les extrémistes racialistes et les Islamistes. Tous sont renforcés dans leur sentiment d’impunité. Hélas ! à juste titre… Ce qui semble probable, c’est que, quel que soit le ou la locataire de l’Élysée l’année prochaine, elle ou il sera confronté(e) à l’actuel chaos qui ne peut qu’empirer d’ici là.
Chaos que les fameux « complotistes » affirment être bel et bien voulu pour imposer une dictature…
Oui, par des forces pas si occultes que ça, puisque au choix de ces fameux « complotistes » divers et variés, ils seraient connus (liste non exhaustive au choix de chacun)… Pourquoi pas ! Mais mon côté par trop cartésien me pousse tout de même à une certaine perplexité : comment de supposés Machiavel comme ceux de notre gouvernement actuel pourront-ils imposer quelque dictature en traitant comme ils le font les forces de police ou les forces armées ? Ce sont les partisans de la République en marche (combien de divisions ?) qui vont organiser répressions, arrestations, exécutions, etc. ? Dans ce cas, dans ce monde de brute, est-il bien besoin d’en trembler d’avance… sinon de rire ?
EuroLibertés cliquez ici
L'appel de Place d'armes cliquez là
10:46 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
François Galvaire, connu aussi sous le pseudo de "Batdaf" invité d'Epona aux Entretiens du PdF
10:46 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Les demi-habiles
Vincent Trémolet de Villers
Ce qui est commode avec le Rassemblement national, c’est qu’il permet d’habiller des plus hautes vertus tous les renoncements, même les plus piteux. Non content de lui avoir abandonné, un à un, les piliers de la doctrine politique - nation, frontières, sécurité, laïcité -, nos stratèges qui, depuis quarante ans, le font tranquillement prospérer ont décidé, pour mieux le combattre, de lui ouvrir l’autoroute du Sud. Oubliant que la science électorale préfère la dynamique à l’arithmétique, Renaud Muselier a pensé qu’additionner deux faiblesses le rendrait plus fort. Rien n’est moins sûr. Dans ce jeu à somme nulle, ce que l’on gagne dans la poche gauche est perdu dans la poche droite. De son côté, Emmanuel Macron veut faire la preuve, un an avant l’élection présidentielle, qu’entre lui et la droite l’alliance est inéluctable. Le pari est hasardeux. Le soir du 27 juin, en cas de défaite de son candidat témoin, l’alliance LR-LREM, présentée comme une digue contre le RN, apparaîtrait comme un marchepied. On retrouve une fois encore le vice originel de ces combinaisons : faire de Marine Le Pen le pivot de notre vie politique. Penser en fonction de son parti plutôt que dans l’intérêt du pays. La droite, qui a trop souvent cédé à cette tentation, a malheureusement joué un grand rôle dans cet affaissement de l’intelligence. Bilan : la France, dont toutes les études d’opinion montrent que l’épicentre politique se trouve à droite, est devenue le champ d’un affrontement sommaire, brutal, souvent navrant entre deux candidats qui poursuivent le but commun d’évacuer du jeu cette famille politique. Impossible pourtant de se contenter d’un débat public qui opposerait jusqu’à la nausée le « théâtre antifasciste » (Lionel Jospin) à la disqualification systématique des élites. La responsabilité de la droite est immense : retrouver souffle, convictions, énergie, vision, courage, pour nous libérer de cette élection négative. Sinon, les demi-habiles continue- ront de compter sur la martingale du «front anti-Le Pen », qui, à la fin de l’histoire, se retournera inévitablement contre ses concepteurs.
Source : Le Figaro 03/05/2021
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dimanche, 02 mai 2021
Faillites, chômage et inflation en vue, si l’économie redémarre
Marc Rousset
Les tendances boursières deviennent hésitantes tandis que les Bourses semblent plafonner partout dans le monde. Alors que la France a déjà dépensé plus de 420 milliards d’euros financés par des emprunts, tous les regards se tournent bizarrement vers les 39 petits milliards d’euros de subventions que doit nous attribuer l’Union européenne, moyennant une paperasserie hallucinante pour la bureaucratie bruxelloise : un plan moyen par pays représente 50.000 pages !
La relance pour la France représentera environ 20 % du PIB français, alors que les 5.125 milliards des trois plans Biden (26 % du PIB), auxquels il convient d’ajouter les 900 milliards de Trump à la fin 2020 (4,5 % du PIB), représentent une relance globale de 30,5 % du PIB. Si Biden échoue, il peut déclencher aux États-Unis un choc inflationniste ou une flambée des taux obligataires. Et si Draghi, l’homme de la dernière chance, échoue en Italie, c’est l’effondrement économique pour le pays et l’éclatement assuré de la zone euro.
Les fonds débloqués du « QE » par la BCE pour le financement du programme anti-Covid des États européens atteignent déjà 850 milliards d’euros, alors que l’enveloppe allouée jusqu’à mars 2022 pour l’ensemble des États est de 1.850 milliards d’euros. La BCE et la Banque de France ont acheté, en 2020, 186,1 milliards d’euros de titres français, finançant ainsi 73 % des émissions de la dette publique française. Pour l’Espagne, l’Italie et l’Allemagne, le même ratio est respectivement de 76 %, 70 % et 66 %. Le problème est de savoir ce qui se passera pour les taux obligataires des différents pays lorsque avec un début de croissance retrouvée, la BCE commencera à acheter moins de titres que les remboursements reçus des précédents titres achetés arrivant à échéance, ce qui entraînera une diminution des liquidités sur les marchés, et donc un début possible d’augmentation différenciée des taux d’intérêt obligataires selon les risques représentés par chaque pays.
Aux États-Unis, les économistes estiment que la Fed devrait commencer à réduire ses achats mensuels d’actifs (QE) de 120 milliards de dollars (80 milliards de dollars pour les bons du Trésor et 40 milliards pour les créances hypothécaires) avant la fin de l’année. Il est peu probable que la première hausse des taux d’intérêt à court terme par la Fed, contrairement à ce qui est annoncé officiellement, n’ait pas lieu avant 2023. Selon un sondage d’Axios, environ 87 % des Américains s’inquiètent déjà de la hausse du coût de la vie et il y a aujourd’hui, aux États-Unis, 8,5 millions d’emplois de moins par rapport à février 2020. De plus, avec un taux de croissance annoncé de 6,4 % du PIB pour 2021, cela représente, pour un PIB de 20.000 milliards de dollars, une augmentation de 1.280 milliards de dollars pour cette année, à comparer au coût global du plan Trump/Biden de 6.025 milliards de dollars sur dix ans, 20 % minimum étant certainement dépensés dès 2021, ce qui aboutirait à un rendement quasi nul, voire négatif des dépenses du plan de relance Trump/Biden pour l’année 2021. Biden espère financer une grande partie de son programme par l’impôt.
La Fed annonce une inflation aux États-Unis de 2 %, pour 2021, mais elle sera certainement de 5 % au minimum lorsqu’on voit les cours du blé, du cuivre, de l’aluminium, de l’acier, du bois s’envoler. En Allemagne, l’inflation a dépassé pour la première fois, en avril, l’objectif de la BCE de 2 % (2,1 %).
La BCE alerte sur un risque « systémique » de faillites à venir. 127.000 entreprises pourraient se retrouver en faillite d’ici à 2022, en France. La BCE recommande aux États d’être vigilants quant au retrait des mesures de soutien au secteur privé. Si une entreprise sur deux faisait faillite, un salarié sur deux serait rapidement au chômage, à un moment malencontreux où l’État français – ce qu’il aurait dû faire depuis très longtemps – se décide enfin à baisser les allocations chômage avec la réforme qui entrera en vigueur le 1er juillet.
Pour le moment, la situation ne tient que par la politique folle de l’hyper-endettement du quoi qu’il en coûte, mais on assistera bientôt malheureusement, même si l’économie repart, suite une victoire des vaccins contre le Covid, à une explosion hallucinante des faillites d’entreprises, à la mise à mort des entreprises « zombies » dans l’Hexagone.
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Une conférence de Franck Abed à Nantes sur la propagande
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Un grad entretien avec Jean-Marie Le Pen sur le site du Point
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Renaud Muselier dans la peau de Ganelon !
Le billet de Patrick Parment
Le cirque politique ne cessera jamais de nous faire rigoler tant les exemples sont nombreux de ces élus qui pour conserver leur casse-croûte n’hésitent pas à renier ce qu’ils sont censés être au mépris des intérêts supérieurs de leur parti mais plus grave encore de la nation. Ce baltringue de Renaud Muselier, petit-fils de l’amiral Muselier - à qui l’on doit un pamphlet sévère contre un certain Charles De Gaulle, De Gaulle contre le gaullisme (ed. Du Chene, 1946) - en est l’archétype. Le Premier ministre, Jean Castex, vient de l’adouber en déclarant que « la majorité présidentielle répond très favorablement à l’initiative de Renaud Muselier » de s’allier avec LREM aux élections régionales. Un Muselier qui avait rallié le RPR en qualité d’homme lige d’un certain Jacques Chirac qui fut au gaullisme ce que le hamburger est au tournedos Rossini.
Et il n’est pas le seul, puisque des hommes de haute conviction comme le maire de Nice Christian Estrosi, surnommé « motoculture » et Hubert Falco, médiocre maire de Toulon, pataugent dans la même bouillabaisse. Et ce au mépris du mot d’ordre de leur président, Christian Jacob, qui a pourtant clamé haut et fort « pas d’alliance avec la majorité présidentielle ».
Reste que face à la montée grandissante du ras-le-bol des Français – ce que confirment tous les sondages - et qui favorise au premier chef le Rassemblement national - ce grand gueuloir ripoublicain -, nombreux sont ceux chez les Républicains qui sont prêts à toutes les compromissions pour conserver leur casse-croûte. La question se pose d’ores et déjà dans le Centre-Val-de-Loire entre Nicolas Forissier (LR) et le ministre (Modem) Marc Fesneau ; c’est le cas en Nouvelle Aquitaine entre la ministre Modem Geneviève Darrieussecq et Nicolas Florian (LR) afin de déboulonner le sortant socialiste ; c’est aussi le cas dans le Grand-Est où le sortant LR, Jean Rottner se trouve en difficulté face au RN ; et que dire de Xavier Bertrand sérieusement talonné par le RN dans les Hauts-de-France. Autant dire que comme cela risque fort d’arriver, c’est tout le parti de Christian Jacob, les Républicains, qui va voler en éclats.
Là où l’affaire devient croquignolette, c’est que du même coup, les ambitions présidentielles clairement avouées du représentant de commerce Xavier Bertrand, de Valéry Pécresse, patronne de l’Ile-de-France et du sénateur Retailleau vont se prendre une grande claque dans la tronche. On s’entretue à gauche, on se parjure à droite, quel spectacle ! Ce qui doit faire marrer Emmanuel Macron qui rêve d’un duel avec Marine Le Pen.
Cela confirme surtout que toute cette horde de peigne-culs n’ont strictement aucune conviction et que de l’avenir de la France, ils n’en n’ont rien à foutre. Car le bilan du macronisme est catastrophique et pas seulement en raison de la pandémie. Macron foule du pied la France profonde qu’il méprise et ignore afin de nous aligner sur la philosophie de tous les satrapes qui se retrouvent chaque année à Davos et qui ont un profond mépris des peuples qui s’opposent à leur funeste dessein, réduire la planète à un vaste marché. Autant dire qu’à la lecture de tous ces événements et des surprises encore à venir, la prochaine élection présidentielle demeure une énigme. On s’en réjouit.
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samedi, 01 mai 2021
Haute-Savoie : dans les Voirons, site protégé Natura 2000, un berger agressé par des jeunes en quad, finit à l'hôpital
La sauvagerie de trop
Robin de La Roche
C’était il y a dix jours.
Un berger était sur son alpage de la Lettaz, dans les Voirons, près de sa bergerie, quand plusieurs “jeunes” ont fait irruption en quad et en moto, décidés à engager une partie de rodéo dans l’herbe.
Le berger leur a demandé de partir, leur rappelant qu’il était en outre totalement interdit de circuler avec leurs engins dans cette zone qui est protégée.
Le ton est monté. Et comme nous y sommes désormais habitués, les racailles se sont jetées sur lui… à huit contre un. Tabassage. La barbarie contre le plus doux symbole de notre civilisation : le berger qui fait paître ses moutons.
Ils l’ont molesté à huit contre un, le blessant lourdement. Un berger.
Depuis deux décennies, nous sommes plus ou moins habitués aux horreurs commises par ces ordures. Mais inconsciemment, nous avions imaginé que seules les villes étaient atteintes. Là, au coeur des alpages, la réalité vient frapper : nous ne serons à l’abri nulle part, et même un berger peut être massacré par ces hordes de sauvages.
Français, il est temps de reprendre le contrôle du pays, que l’on nous y autorise ou non.
Source La Lettre patriote cliquez ici
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Une émission de la chaine "Café noir" consacrée à Klaus Schwab, le magicien de Davos et du "Grand Reset"
Café Noir – Un Autre Regard sur le Monde. Émission du vendredi 30 avril 2021 avec Pierre Le Vigan, Gilbert Dawed & Modeste Schwartz.
Le Magicien de Davos : Vérité(s) et Mensonge(s) de la Grande Réinitialisation, Modeste Schwartz, éditeur : Culture & Racines – Lien
18:48 Publié dans TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Emouvant témoignage d'Hervé Ryssen après 7 mois de prison...
Que l'on soit d'accord ou pas avec tous les travaux d'Hervé Ryssen, il n'en demeure pas moins que cet écrivain vient de passer sept mois en prison, en France macédonienne, pour avoir exprimé des idées non-conformistes sans que cela ne semble émouvoir les grandes consciences universelles.
Il nous a donc paru intéressant de diffuser son témoignage, émouvant et sincère, au moment où il retrouve la liberté.
S N
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18:18 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le courage des généraux en retraite, La peur de Florence Parly
Eric Zemmour
"En France, on laisse en repos ceux qui mettent le feu, et on persécute ceux qui sonnent le tocsin." On ne pouvait s’empêcher de songer à cette phrase de Chamfort au vu des réactions outragées à la tribune d’une vingtaine de généraux à la retraite publié e la semaine dernière dans Valeurs actuelles. Cette formule de "généraux à la retraite" rappelait irrésistiblement l’apostrophe du général de Gaulle en réponse au putsch d’Alger de 1961, d’autant plus que – hasard ou nécessité inconsciente ? – la parution dans le journal datait du 21 avril, jour anniversaire de ce putsch.
Même si les intentions des auteurs sont pures et que leur texte a été déposé auprès de l’hebdomadaire une semaine avant, on pourrait poursuivre cette comparaison que fait notre inconscient collectif. il y a soixante ans, les putschistes voulaient conserver l’Algérie française tandis que le général de Gaulle prônait l’indépendance de l’Algérie pour que, disait-il à Alain Peyrefitte, "mon village ne s’appelle pas Colombey les deux mosquées". Il y a trois mosquées aujourd’hui autour de Colombey. Et une guérilla permanente enflamme les banlieues françaises islamisées. Ces généraux à la retraite dénoncent le "laxisme" des politiques dans la lutte contre "l’islamisme" et "les hordes de banlieues", pointant "un certain antiracisme" dont les représentants, "partisans haineux et fanatiques", veulent "la guerre raciale". Qui peut sérieusement leur donner tort ? Qui peut nier leur légitime inquiétude, nourrie par un patriotisme sincère ? Quand ils appellent leurs camarades d’active à intervenir "dans une mission périlleuse de protection de nos valeurs civilisationnelles et de sauvegarde de nos compatriotes sur le territoire national", Jean-Luc Mélenchon veut y voir un appel de "factieux". Quant à Florence Parly, ministre des Armées, elle promet des sanctions tandis que ses services épluchent la liste de noms espérant y trouver un officier qui ne soit pas à la retraite. ses collègues du gouvernement en profitent pour ranimer le jeu de rôle usé avec Marine Le Pen en épouvantail à moineaux.
Tout cela n’est pas à la hauteur de l’enjeu. Des milliers de civils souhaitent signer cet appel. L’armée n’a jamais été aussi populaire dans le pays. La guérilla dans les banlieues et les crimes du djihadisme font qu’une part croissante de l’opinion considère qu’on ne pourra pas échapper à une intervention de l’armée pour rétablir l’ordre dans ces banlieues islamisées.
Chaque jour, des policiers y sont agressés, caillassés, pris pour cible par des tirs de mortier. Des pompiers, des médecins, des professeurs y sont également attaqués, tandis que des é coles brûlent. L’Etat ne maıt̂rise plus le territoire national et ne fait plus régner l’ordre – ce qui est quand même à l’origine de sa légitimité. Nous revenons lentement mais inexorablement à une situation dé crite par Hobbes : "La guerre de tous contre tous."
Figaro Magazine 2 mai 2024
10:49 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Le nouveau numéro de Livr'arbitres (n°33) consacré à Louis-Ferdinand Céline
10:25 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
Journal du chaos
Pour télécharger, cliquez ICI
09:06 Publié dans Le Journal du Chaos hebdo | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |