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vendredi, 07 octobre 2022

Victoire de Bolsonaro au niveau local, ballotage au niveau national

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Par Nicolas Dolo

Loin d’être, pour Lula, le succès annoncés par les commentateurs, les élections brésiliennes marquent de nombreuses victoires des membres du parti de Bolsonaro dans les élections locales et fédérales. Si Lula et Bolsonaro sont au coude-à-coude pour le second tour de la présidentielle, le Parti libéral s’enracine dans la politique locale du Brésil.

Le 2 octobre 2022 avaient lieu au Brésil, et de façon concomitante, le premier tour des élections présidentielles, l’élection de tous les gouverneurs d’État (26 États plus le District Fédéral de Brasilia), et le renouvellement du Parlement national (ensemble de la Chambre des députés, 513 sièges, et un tiers du Sénat, qui compte 3 sénateurs par État) et des chambres législatives des États fédérés. Le mode de scrutin est variable d’une élection à l’autre : scrutin majoritaire à deux tours pour la présidentielle et l’élection des gouverneurs, majorité des scrutins exprimés à deux tours pour les sénatoriales, scrutin proportionnel pur pour la Chambre des députés, mode de scrutin variable d’un État fédéré à l’autre pour les chambres locales.

Grande importance des élections locales

Les élections générales peuvent paraître plus négligeables que la présidentielle, mais leur importance est en réalité fondamentale. Le soutien d’une majorité stable dans les deux chambres, souvent le fruit d’un jeu d’alliances, est en effet une clé de la conduite sereine des affaires gouvernementales. Or le gouvernement sortant a clairement, malgré quelques belles réussites, manqué d’une majorité solide durant la dernière législature, ce qui a fortement limité son champ d’action et les réformes en profondeur de l’État annoncées en début de mandat.

De même, de nombreuses compétences demeurent l’apanage des États fédérés, parmi elles la sûreté publique. Il est par conséquent essentiel pour la cohérence de l’action du gouvernement fédéral, le Brésil étant un pays-continent, de trouver autant de relais politiques que possible chez les gouverneurs et assemblées législatives d’États fédérés.

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Jean-Pax Méfret, une vie pour la grandeur de la France

Richard Haddad reçoit Jean-Pax Méfret, ancien journaliste qui a parcouru le monde et chanteur engagé, célèbre pour sa liberté de parole. Il évoquera dans cette émission son histoire, livrera son témoignage et son regard sur l’actualité.

Né en Algérie et rapatrié en France métropolitaine en 1962, Jean-Pax Méfret débute une carrière de journaliste et se lance dans la chanson. De 1970 à 1980, il est grand reporter au service politique étrangère du journal l’Aurore où il couvre la plupart des conflits armés et mène de grandes enquêtes sur le terrorisme international. De 1980 à 2002, il est grand reporter au Figaro Magazine puis rédacteur en chef des grandes enquêtes. Grâce à son métier, il a été le témoin de divers conflits dans le monde et du comportement de l’Occident et de ses dirigeants, notamment face au bloc de l’Est communiste. Mais Jean-Pax Méfret est aussi un chanteur à succès, ses chansons engagées (plus de 300), sont comme des reportages sur notre monde. De l’Algérie française aux goulags de Sibérie, des héros de l’armée française à la tyrannie des régimes communistes, ses paroles sonnent toujours vraies au regard de l’actualité que nous vivons.

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Philippe de Villiers : "Eric Zemmour avait raison avant tout le monde"

Philippe de Villiers, ancien ministre, fondateur du Puy du Fou, soutien d’Eric Zemmour pendant la campagne et écrivain, répond aux questions de Sonia Mabrouk. 

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L’Etat au bord de la crise de nerf !

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Le billet de Patrick Parment

Allo maman bobo ! chantait Souchon. Emmanuel Macron pourrait en dire autant. Son fusible, miss Elisabeth Borne, Premier ministre, appelle les Français à se montrer raisonnable en matière de consommation de gaz et d’électricité. Misant sur un hiver peu clément, l’Etat nous laisse entendre que des coupures d’électricité sont à craindre. Il faut bien dire que nos énarques à force d’avoir fait joujou avec notre parc nucléaire en démantelant EDF de son monopole et en voulant faire plaisir à ces imbéciles d’écolos, on a fragilisé notre industrie nucléaire alors que nous étions les leaders non seulement européens mais mondiaux. Et deux hommes sont particulièrement responsables de cette catastrophe, François Hollande pour de basses manœuvres électorales et son ministre d’alors, un certain Emmanuel Macron. Si l’on ajoute à cela le fait que les Allemands, via l’Europe, ont tout fait pour que nous ouvrions notre électricité à la concurrence histoire de nous fragiliser, on comprend mieux pourquoi les trois quarts de nos centrales sont en révision. Sans parler de la fermeture de Fessenheim pour faire plaisir aux écolos-barjots ! Le mot indépendance nationale, si chère au général De Gaulle, n'a cessé d’être bafouée par ses successeurs, exception faite de Georges Pompidou et Giscard au triste destin.

Par ailleurs, l’Europe s’est mise dans un pétrin dont on ne mesure pas encore toute l’ampleur en soutenant les Américains dans la guerre qu’ils livrent à l’Union soviétique hier et à la Russie aujourd’hui, via l’Ukraine qui leur sert d’épouvantail et à laquelle ils fournissent, et nous autres Européens par la même occasion, du matériel militaire pour combattre les armées russes. Bref, en se mettant à dos la Russie de Poutine, en votant d’inutiles sanctions, ce dernier a utilisé l’arme dont il disposait en nous coupant le gaz et dans une moindre mesure le pétrole. Et si vous regardez une carte de géographie, vous vous rendrez vite compte que la Russie est nettement plus proche de nous que l’Amérique. Et ce n’est pas le gaz algérien, ni norvégien qui va suppléer à nos besoins. Dans cette affaire, les Allemands vont payer cher l’absence de gaz russe qui venait alimenter toute leur industrie. Leurs écolos vont-ils se frotter les mains ? Mais il n’y a pas que l’Allemagne qui va plonger, c’est tout le continent européen qui va payer la note à l’heure même où l’irresponsable Van der Leyen entend voter de nouvelles sanctions à l’égard de la Russie.

Le fait de savoir si nous allons passer l’hiver – ce dont se foutent complétement les américains – n’est pas le plus inquiétant pour ce qui est de celui de 2022-2023, il est de savoir ce qui va se passer ensuite quand, faute d’énergie nécessaire, c’est toute l’industrie européenne qui va plonger dans le rouge. Que diront alors Macron et autre miss Borne pour faire passer la pilule ? A la suite du sabotage des gazoducs NordStream 1 & 2, Vladimir Poutine a déclaré : « En organisant des explosions sur les gazoducs internationaux qui longent le fond de la mer Baltique, ils ont en réalité commencé à détruire l’infrastructure énergétique européenne ». On ne saurait mieux dire.

Revers de la médaille, il y a de fortes chances que les peuples européens ne l’entendent pas de cette oreille et demandent des comptes à leurs dirigeants. Car pas plus qu’on ne voulait se battre pour Dantzig, pas plus les Européens n’entendent se battre pour l’Ukraine. Sauf les Polonais et les baltes que les soviétiques ont marqué au fer rouge et qui manquent de réalisme. Les temps ont changé et on voit mal Poutine se lancer militairement à l’assaut de l’Europe alors qu’il rame en Ukraine. Idem de l’Allemagne qui vient d’allouer 100 Mds€ à son armée sur fond d’achat de matériel américain. On croit rêver. Non, c’est le rêve européen qui part en sucette. Au stade où nous en sommes, on se pose la question de savoir si l’implosion de l’Union européenne ne serait pas une bonne chose. A moins que l’irruption soudaine des populistes ne change la donne. Mais pas dans sa version Meloni. Le problème des européens n’est pas d’être pour ou contre Poutine, il est de créer les conditions pour que Poutine daigne s’asseoir à la table des négociations et de rééquilibrer nos rapports avec lui.

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jeudi, 06 octobre 2022

Dans son Journal de bord de cette semaine, Jean-Marie Le Pen nous parle de Callac et aussi notre Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge du dimanche 16 octobre prochain

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Climat 101: Les Incohérences

Par-delà la propagande médiatique, l'alarmisme climatique souffre de nombreuses incohérences.

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17:36 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Comment sauver la France - Livre-Libre avec Marc Rousset

À la lumière des éléments actuels, ce titre pourrait paraître au moins déplacé, voir provocateur. Il n’en est rien et l’ouvrage de Marc Rousset, au pire, restera comme une illustration abondamment documentée des occasions perdues par le vaste espace européen dont nous faisons partie. Marc Rousset, HEC, docteur ès sciences économiques, diplômé des universités de Columbia et de Harvard, prix de l’Académie des sciences morales et politiques en 1994, est un ancien haut dirigeant d’entreprise, auteur de nombreux ouvrages. Sur le plan interne, favorable à ce qu’il nomme "un mai 68 à l’envers", il trace de nombreuses pistes pour libérer la France des carcans qui la paralysent. Il propose également un changement d’orientation radicale en Europe et s’oppose aussi bien au libre-échange mondialiste qu’à l’immigration extra européenne et à l’hégémonie anglo-américaine. Des analyses fouillées, documentées, qui construisent un projet audacieux et cohérent.

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Projet Horizon à Callac (22). Pris à partie sur le marché, le maire refuse un référendum « car les Callacois voteraient à 80% contre le projet »

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Source Breizh-info cliquez ici

De la tension durant plusieurs heures ce mercredi 5 octobre au matin, sur le marché de Callac, toujours en raison du spectre du Projet Horizon et de l’accueil forcé de plusieurs familles de migrants possiblement à venir dans les prochains mois et les prochaines années, dans cette petite commune de 2200 habitants.

Alors que le collectif « Les Amis de Callac » diffusait une pétition réclamant la tenue d’un référendum sur le projet – pétition que l’on peut retrouver dans de nombreux commerces de la commune – Jean-Yves Rolland s’est présenté avec deux de ses adjoints… et les gendarmes, pour avertir les militants pro référendum qu’il venait de prendre un arrêté municipal… interdisant la diffusion de cette pétition sur le marché de Callac.

Il n’en fallait pas plus pour provoquer la colère et la tension sur le marché : durant plusieurs heures, M. Rolland s’est ainsi retrouvé confronté à une partie de sa population en colère. Quelques noms d’oiseaux ont fusé. Et le maire de faire un aveu rapporté par plusieurs habitants de la commune, qui réclamaient pour la plupart un référendum : « Si j’organise un référendum, 80% des habitants de Callac voteront contre moi » aurait indiqué l’édile, comme un aveu énorme du fait que ce projet Horizon est en train de se bâtir envers et contre les habitants de la commune et du canton.

Voici le communiqué adressé suite à cet épisode par Les Amis de Callac :

L’association Les amis de Callac et ses environs, présente tôt ce matin sur le marché de Callac afin de proposer à la signature des Callacois la pétition demandant un referendum sur le projet Horizon, a noté une accélération très forte des demandes de signatures de la part des habitants. Tant mieux, celà prouve que les Callacois commencent à prendre conscience de la gravité de la situation. Dans la matinée, le maire Jean -Yves Rolland est arrivé, entouré de deux adjoints et suivi de la gendarmerie. Il a immédiatement été assailli de questions par une bonne trentaine d’habitants dont beaucoup lui ont dit vertement leur façon de penser. Les Callacois arrivés en nombre  se sont relayés pour faire passer le même message  » nous voulons être consultés ».

Les débats, extrêmement houleux, ont duré près de deux heures, durant lesquelles le maire nous a montré son vrai visage en nous avisant sans ménagement qu’il venait, comme par hasard, d’édicter un arrêté municipal interdisant toute pétition sur le marché. In fine le maire a mis définitivement bas le masque  en nous disant « je n’organise pas de referendum car je sais bien que 80% des Callacois seront contre le projet. » Ces propos signent de façon évidente que le maire se moque bien de l’avis des Callacois. M. Rolland continue à faire régner à Callac la  » chappe de plomb » qui a étouffé la ville durant les décennies de ses prédécesseurs communistes et veut imposer par la force et la ruse le projet Horizon aux Callacois.

Quant au « climat délétère »dont se plaint le maire il n’est généré que par lui-même et ses méthodes non démocratiques.

L’association Les amis de Callac et ses environs appelle la population à signer en masse les pétitions exigeant un referendum sur le projet Horizon, avant de pouvoir s’exprimer d’une autre façon au sein d’une grande manifestation à venir.

Enfin l’Association convie toute la presse à une conférence de presse  41 Bd de Kerlossouarn à Callac demain jeudi 6 octobre à 15heures.

Catherine Blein et Danielle Le Men, présidente et vice-présidente des Amis de Callac et ses environs.

À noter que des rumeurs dans la commune – à confirmer rapidement toutefois – font état du possible rachat, cette fois-ci par une association non affiliée à la municipalité, d’un autre bâtiment de la commune toujours dans le but d’y loger des migrants.

Pour un autre projet au service des Callacois ?

Afin de ne pas être que force de contestation, certains Callacois et habitants du secteur envisageraient de proposer un autre projet pour la commune, une fois que le montant de l’argent public prévu pour le Projet Horizon aura été dévoilé (s’il l’est un jour) : « Il faut faire une grande maison pour les assistantes maternelles, mais aussi pour les associations sportives, pour redonner du dynamisme à la commune » nous confie une habitante en train de travailler sur cet alter projet. « Nous recensons par ailleurs actuellement plusieurs maisons, plusieurs logements qui sont à rénover dans le bourg, occupés par des Callacois, qui n’ont pas les possibilités financières ici de faire l’isolation, là les traitements anti humidité, ou encore la rénovation des façades. Si les pouvoirs publics veulent dépenser de l’argent, il y a de quoi faire dans la commune, et pas pour les migrants, mais pour les locaux ».

Le fait que le maire de la commune persiste à vouloir passer en force tout en avouant mener un projet pas partagé par une majorité de Callacois et d’habitants du secteur n’est bien évidemment pas fait pour apaiser les tensions, d’autant plus que l’arrêté municipal interdisant la diffusion, sur le marché, d’une pétition, pourrait lui aussi valoir quelques batailles juridiques à venir, l’aspect légal et constitutionnel de cet arrêté pouvant être potentiellement contesté juridiquement. Quoi qu’il en soit, la pétition aurait été signée par plus de 10% des habitants de Callac en vue d’un référendum. N’est-ce pas cela la Démocratie et l’écoute, l’ouverture, la tolérance vis à vis de sa propre population ?

15:19 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire, Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Suite aux incidents d'hier à Callac où le maire s'est vu contesté par la population... Sud Radio en parle

Bernard Germain, porte-parole de l'Association de défense de Callac et sa région, était reçu aujourd'hui par André Bercoff sur Sud Radio.

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15:19 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire, TV SYNTHESE | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Le nouveau numéro de la revue Eléments est sorti

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15:17 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 05 octobre 2022

JEAN-CLAUDE ROLINAT INTERVIENDRA LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE LE DIMANCHE 16 OCTOBRE À RUNGIS (94)

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François Braun, le Ministre « Zangra » des déserts médicaux

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La chronique de Philippe Randa

Braun. François Braun. Pour ceux qui l’ignoreraient, c’est le nouveau ministre de la Santé et de la Prévention. Un ministre qui entend faire bouger les choses : ambition que son prédécesseur Olivier Véran, devenu porte-parole du gouvernement, appréciera comme on s’en doute.

Les « choses », dans le domaine médical, c’est entre autres, le souci des déserts médicaux… Fort bien ! Il n’en serait effectivement que temps et même « grand temps », personne ne le contestera.

À défaut d’avoir déjà les solutions à cet épineux problème, le Ministre sait au moins où les trouver, comme il l’a confié au quotidien Ouest France : « (Elles) viendront des territoires. […] Le nouveau ministre de la Santé et de la Prévention, “médecin de terrain”, est persuadé que les territoires savent ce qu’il faut faire pour résoudre leurs problèmes en matière de santé. Il propose de les écouter et de les aider à mettre leurs solutions en œuvre. Et vite. »

« Médecin de terrain », « écouter », « aider », « vite » : qu’en termes de communication choisis ces choses sont dites pour ne contrarier personne et ne pas risquer d’être critiqué, même si des esprits chagrins peuvent traduire de si belles intentions en ces termes plus exacts : « On va voir ce qu’on va voir en laissant le temps au temps tout en se dépêchant de ne pas se précipiter » …

Et donc, pour mettre en œuvre son plan audacieux, rien de mieux qu’une première réunion du Conseil national de la refondation (CNR) sur le thème de la santé le lundi 3 octobre, au Mans (Sarthe)…

Pourquoi le choix de cette région ? Parce que, dixit le ministre, c’est « un territoire où les problèmes d’accès à la santé sont importants, mais où l’intelligence locale collective parvient à trouver des solutions. C’est ce qui m’intéresse, c’est d’aller voir comment ils font. »

On est évidemment tout aussi curieux que lui de connaître lesdites solutions, guère miraculeuses néanmoins, puisqu’en mars dernier, le même quotidien Ouest-France relayait une enquête de UFC Que choisir Sarthe nous apprenant que neuf médecins généralistes sur dix et autant de dentistes ne prenaient plus de nouveaux patients… et que 13 % de la population du département se trouvait sans médecin traitant, selon l’Association de citoyens contre les déserts médicaux (ACCDM).

N’empêche, François Braun est « très confiant », puisque « les représentants de nos “parties prenantes” nationales ont compris la démarche », qu’il y a « une vraie volonté de participer », et « des concitoyens qui veulent qu’on prenne en compte leurs problèmes », ainsi que « des professionnels de santé, des élus, qui ont leur rôle à jouer… »

François Braun est indiscutablement maître dans l’art de parler pour ne strictement rien dire !

Mais qu’on se rassure, si toutes les solutions n’existaient pas (encore ? déjà ? Ah bon ?) dans la Sarthe, « il y aura une partie nationale, avec interrogation des Français par voie numérique et discussion autour de questions transversales, qui va prendre un peu plus de temps»

Plus de temps est un peu contradictoire avec la volonté du Ministre d’aider les territoires « à mettre leurs solutions en œuvre. Et vite », mais bon, va pour la rapidité sans précipitation, pas trop vite le matin et doucement l’après-midi, donc !

En attendant, les Français pourront toujours se consoler en adaptant à son intention la chanson Zangra de Jacques Brel :

Je m’appelle Braun et je suis Ministre

Au gouvernement d’Élisabeth Borne

Et je veux être aussi un héros

En attendant ce jour je m’ennuie quelquefois

Alors je vais au Mans qui domine les déserts médicaux

D’où les solutions viendront qui me feront héros.

Je m’appelle Braun hier trop insignifiant ministre

Quand je quitterais le ministère on risque bien

Que les déserts médicaux soient toujours là,

Au Mans comme ailleurs

Et je ne serai pas héros…

20:24 Publié dans La chronique de Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Représailles au sabotage des gazoducs par l’Amérique : les câbles sous-marins internet !

ROUSSET M 2.JPGMarc Rousset

Vladimir Poutine, lors de son discours au Kremlin, qui fera date, d’unification à la Fédération de Russie, du vendredi 30 septembre, a accusé l’Amérique d’avoir provoqué l’explosion des gazoducs : « La dictature des États-Unis repose sur la force brute, c’est la loi du plus fort ». Poutine a imputé ce sabotage aux États-Unis qui « font pression » sur les pays européens pour qu’ils coupent complètement leur approvisionnement en gaz russe « afin de s’emparer (eux-mêmes) du marché européen ».

Et Poutine accusateur encore plus direct et formel contre les États-Unis d’ajouter dans son discours afin d’ouvrir les yeux aux Européens lobotomisés, des traîtres que sont Macron, Scholz, von der Leyen : « Les sanctions ne suffisent pas aux Anglo-Saxons ; ils sont passés au sabotage incroyable, mais vrai : après avoir organisé des explosions sur les gazoducs internationaux Nord Stream, qui longent le fond de la mer Baltique, ils ont commencé à détruire les infrastructures énergétiques paneuropéennes. C’est clair pour tous ceux qui en bénéficient. C’est celui qui en profite qui l’a fait, bien sûr ». Le saboteur, c’est donc bien les États-Unis et personne d’autre ! À qui profite le crime ? Aux seuls États-Unis !

Le sabotage est énorme et n’a pu être réalisé que par une puissance étatique puisqu’il y a eu deux explosions de 500 kg et 700 kg de TNT (magnitudes 2,1 et 2,3 sur l’échelle de Richter) dans les eaux internationales à l’est de l’île danoise de Bornholm, selon l’institut norvégien de sismologie « Norsar ». Les fuites de gaz sont énormes avec des bouillonnements allant de 200 à 900 mètres de diamètre, jusqu’à ce que les deux gazoducs Nord Stream 1 et 2 se vident complètement en plusieurs jours. Il semble que les deux gazoducs soient inutilisables car l’eau est rentrée dans les gazoducs pour les remplir complètement avec des dommages irréparables.

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20:05 Publié dans Tribunes de Marc Rousset | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Racaille Football Club, le nouveau visage de la France

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Equipe de France en 1939

 

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Equipe de France aujourdhui

François Bousquet*

Vue de l’étranger, la France se résume à une poignée de clichés touristiques. La tour Eiffel, le château de Versailles, le bicorne de Napoléon, le Moulin rouge, les sacs Louis Vuitton – et l’équipe nationale de football. Impossible d’y échapper. Plus d’un milliard de téléspectateurs lors de la finale de la Coupe du monde 2018 entre la France et la Croatie. Le football a tout d’une pandémie mondiale. C’est le retour du Circus Maximus projeté sur la scène du monde, tant on se croirait revenu à Rome et à ses jeux du cirque, lorsque les poètes Martial et Juvénal s’indignaient que tel conducteur de char gagne autant que cent juristes ou que tel gladiateur rafle en une heure quinze bourses d’or. Que ne diraient-ils aujourd’hui des kilotonnes d’or déversés sur les divas du ballon rond. Chez nous, les divas sont noires. Quand elles ne font pas du rap, elles tapent dans un ballon.

Qu’on le veuille ou non, le foot est la vitrine de la France à l’étranger. Or, la vitrine ressemble à la devanture d’une boutique afro dans le 18e arrondissement parisien ou à des revendeurs à la sauvette au métro Stalingrad. C’est la Françafrique transplantée en bord de Seine. C’est elle qui fournit les effectifs des équipes de foot professionnel. Black-black-black, comme s’en affligeait naguère un de nos meilleurs académiciens.

Minorité visible, majorité invisible

Le football est un miroir grossissant. Il dit avec vingt ou trente ans d’avance ce que sera la France de demain. Une société multiculturelle, exotique et violente placée sous le signe du croissant vert. Langue officielle : le verlan mélangé de mots arabes, les « wesh » et les « wallah » des caïds de barre d’immeuble. Le 56e pays de la Confédération africaine dont la capitale gastronomique sera le KFC du coin.

En 2011, Mediapart, officine de délation, selon la taxinomie consacrée, osa parler de « quotas discriminatoires officieux » au cœur de la Direction technique nationale du football français au prétexte que le sélectionneur national, le si mal nommé Laurent Blanc, s’était dit accablé par la surreprésentation de « grands noirs costauds qui sautent haut », de « rebeus techniques » et de binationaux ingrats qui s’empressent de rejoindre la sélection de leur pays d’origine. Si discriminations il y a, n’en déplaise à Edwy Plenel, c’est à l’encontre des joueurs blancs qu’elle s’exerce.

Le foot a longtemps été l’ascenseur social le plus rapide pour les enfants des classes populaires. Il y a un siècle ou deux, ils entraient au petit séminaire. C’est l’histoire de Julien Sorel. Mais il n’y a plus de séminaire. Le héros de Stendhal en est réduit à frapper à la porte des centres de formation, qui reste obstinément fermée. Zéro Blanc, sinon pour se faire découper les jambes. La composition ethnique monochrome desdits centres de formation ne laisse planer aucun doute sur le sujet.

En 2010, un doctorant s’était amusé à calculer la proportion de joueurs noirs parmi les effectifs des clubs professionnels français : ils constituaient environ 45 % de l’ensemble. Et 65 % en équipe de France A. En dix ans, la proportion s’est nettement accrue. Lors du dernier match de la France contre le Danemark, le 25 septembre dernier, le « onze » titulaire comportait plus de 70 % de joueurs de couleur ; et plus de 80 % à la fin du match. C’est la norme désormais. Les minorités visibles sont majoritaires, pendant que la majorité historique est invisibilisée.

Sociologie de la racaille

La vérité, c’est que le foot français est quasi intégralement grand-remplacé. Il préfigure notre destin démographique – et notre destin tout court. C’est le Racaille Football Club, titre d’un livre au vitriol de Daniel Riolo. Nous étions en 2013. Le souvenir de la grève des joueurs à la Coupe du monde 2010 en Afrique du Sud était encore dans toutes les têtes. Alors que Nelson Mandela et Frederik de Klerk venaient d’abolir l’apartheid, Franck Ribéry – Bilal, Yousouf, Mohammed, de son état civil islamique complet – se préparait à le restaurer dans le vestiaire de l’équipe de France en persécutant le si falot Yoann Gourcuff, un « jambon-beurre » breton sans saveur, j’en conviens, mais un « jambon-beurre » tout de même.

Ribéry n’a certes pas été le dernier Blanc sélectionné en équipe de France, mais il appartient indiscutablement à la famille des Homo racaillus. Il en a même inauguré le modèle halal : la charia de la caillera, entre une partie de jambes en l’air avec Zahia et un pèlerinage à La Mecque. Depuis, on n’a pas fait mieux. Il faut dire qu’on ne retrouvera pas de sitôt une pareille dentition chevaline, le Fernandel du Nord, l’humour en moins, la bêtise en plus, affligé d’une balafre de pirate qui fait de lui le clone déglingué de Tony Montana, dit Scarface, le balafré. Ribéry, c’est une réplique de Jacquouille la Fripouille acheté en soldes dans une braderie islamique du Pas-de-Calais. Joueur de l’équipe de France, mais supporter avec sa femme, Wahiba Ribéry, de l’équipe d’Algérie.

Qu’est-ce qu’une racaille ? Le dictionnaire souffre de graves imprécisions. Il s’en tient à une définition a minima qui en ignore la pluralité de sens. La racaille a remplacé la canaille. La canaille était indigène, la racaille est allogène. Une racaille digne de ce nom porte une capuche, même quand il fait 50°C, ou bien arbore une casquette Lacoste criarde mal vissée sur la tête. Aux pieds, des tennis de marque fluorescents ; un sac banane saugrenu accroché à l’épaule. Flanqué de son maillot du Racaille Football Club, il marche en roulant des épaules et en dodelinant la tête comme une poule d’eau. Quand il n’alpague pas des « meufs » dans le métro, il cherche des embrouilles. Pour lui, le monde se divise en « frérots » et en « blaireaux ». Le blaireau, c’est pourtant lui avec son QI de crevette.

Typologie de la racaille

Quatre affaires récentes viennent nous rappeler l’omniprésence footballistique d’Homo racaillus. Elles s’ajoutent à des dizaines d’autres : arbitres molestés dans les divisions inférieures, hidjabeuses vindicatives, douches prises en caleçon pour ne pas offenser la pudeur islamique, etc.

La première de ces quatre affaires, étonnamment sous-médiatisée, en France du moins, pas en Pologne, concerne les Bleuets, réservoir de la grande équipe de France. Le 25 septembre, à Limoges, les Bleuets – près de 90 % de joueurs issus de la « diversité » – perdaient lamentablement contre la Pologne après l’arrêt du match sur décision de l’arbitre suite à la quatrième exclusion d’un joueur français, qui, après avoir sauvagement cisaillé un joueur polonais, a cru devoir terminer le travail en apothéose en lui assénant un coup de boule. Les Bleuets, c’est l’entrée de gamme de la racaille et son armée de réserve.

La seconde affaire est aussi symptomatique. Elle met en scène des BBC – je laisse à chacun le soin d’aller voir la signification de l’acronyme sur Internet – et des « Wags », en bon français les épouses ou les petites amies de joueurs professionnels qui ont la fesse un peu légère. Je ne sais si les sept jeunes filles que Benjamin Mendy, champion du monde 2018 qui évolue à Manchester City, a – ou aurait – violées appartiennent à cette catégorie. Lui, c’est la racaille en mode serial violeur.

La troisième affaire est une variante françafricaine du crêpage de chignons. Le 4 novembre dernier, la joueuse du PSG, Kheira Hamraoui, internationale française, comme son nom ne l’indique pas, était victime d’une violente agression à coups de barre de fer par deux hommes cagoulés. La commanditaire présumée serait Aminata Diallo, l’une de ses coéquipières et rivales au PSG et en équipe de France, sur fond de jalousie et de diablerie anti-Blancs. L’agent de Diallo disant vouloir « découper » les « racailles de Babtous » que compte l’encadrement du PSG. Elle, c’est la racaille en souillon hargneuse.

Nos invasions barbares

La quatrième, c’est l’inénarrable feuilleton à rebondissements des frères Pogba, Paul le vaudou et Mathias le voyou, tous deux convertis à l’islam. Le second, aujourd’hui en détention provisoire, accuse le premier d’avoir payé un sorcier pour marabouter Kylian Mbappé. Un chantage fort peu fraternel à plusieurs millions d’euros. Eux, c’est le modèle familial de la racaille.

Les mauvaises langues feront valoir qu’on n’a dénombré dans ces affaires aucun mort, à la différence du drame survenu dans un stade indonésien. C’est vrai. Mais ce n’est pas moins vrai que c’est un autre drame qui se joue chez nous : celui des invasions barbares, prélude à la chute de l’empire européen d’Occident. Le foot en est l’avant-garde.

(*) François Bousquet est le rédacteur en chef de la revue Eléments.

Source : radio Courtoisie

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L’Occident fatigué

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Gaëtan de Capèle

C’est une lame de fond que personne n’avait vue venir. Longtemps obsédé par la lutte contre le chômage, ce cancer social qui détruit les individus, les familles, parfois des territoires entiers, l’Occident affronte désormais son double négatif : la remise en question du travail. En France, en Europe, aux États-Unis, les jeunes générations, mais aussi celles déjà installées dans la vie, refusent de faire de leur activité professionnelle le centre de leur existence. Au diable l’ambition, le besoin d’émancipation, la soif de reconnaissance, le désir d’enrichissement. Autrefois prioritaire, le travail devient un accessoire au service de préoccupations aux contours nouveaux : accomplissement personnel, préservation de la vie familiale, quête de sens, défense de l’environnement. Les offres d’emplois ne trouvent plus preneur, les démissions deviennent monnaie courante, les candidats dictent leurs exigences aux recruteurs, l’engagement au service de son entreprise se réduit au strict minimum (le fameux « quiet quitting »). Entre crise environnementale et crise sanitaire, on connaît les moteurs de cette révolution silencieuse. Pourquoi produire et consommer toujours davantage si la planète se consume ? Pourquoi retourner au bureau quand tout a à peu près fonctionné des mois durant en télé-travail ? Pourquoi se ruer sur le premier emploi quand, chez nous plus que partout ailleurs, l’intervention massive de l’État a démontré la possibilité de vivre de subsides publics en cas d’arrêt de l’activité ? La valeur travail, que Macron et la droite veulent réhabiliter, n’a plus la cote. Elle la retrouvera d’autant moins que gauche et syndicats réunis, qui la défendaient bec et ongles, y sont désormais quasiment tous foncièrement hostiles, lui préférant le droit à la paresse. Il faut tout le confort de notre société d’abondance et de notre modèle social sans équivalent pour s’autoriser cette prise de distance avec l’effort et les contraintes professionnelles. Mais la France et l’Occident ne sont pas seuls au monde. Ailleurs, d’autres n’ont pas ce luxe. Sans états d’âme, ils accélèrent et nous défient. Il faudra bien se réveiller avant qu’il soit trop tard.

Source : Figaro 4/10/2022

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mardi, 04 octobre 2022

XAVIER EMAN, JOURNALISTE ET ESSAYISTE, INTERVIENDRA DIMANCHE 16 OCTOBRE À RUNGIS LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE

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Revue de presse : Législative partielle dans les Yvelines : à Versailles, Reconquête monte en force

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Laurence Trochu, candidate de Reconquête !

Julie Ménard Le Parisien cliquez ici

Le parti d’Éric Zemmour a gagné trois points ce dimanche par rapport au premier tour de l’élection de juin sur l’ensemble de la circonscription. Il s’est même placé en deuxième position dans la cité royale, devant la Nupes, les LR et le RN.

La tendance se vérifie. Reconquête dispose bien d’un noyau dur à Versailles. À l’issue de ce premier tour de l’élection législative partielle sur la 2e circonscription des Yvelines, le parti d’extrême droite renforce ses acquis. Avec un score global de 11,07 %, la candidate Laurence Trochu se place en quatrième position du scrutin. Mais dans la cité royale, elle obtient 737 voix et se positionne comme principale opposante du ministre député sortant, Jean-Noël Barrot (MoDem), qui enregistre 1 371 bulletins en sa faveur.

« Ça montre que Reconquête est capable de mobiliser encore, commente Laurence Trochu. C’est la droite que veulent les Versaillais, c’est très clair. » Candidate sur la 1re circonscription en juin, elle a finalement repris la... 2e à la place de son homologue Céline Jullié « qui ne pouvait pas mener cette campagne au pied levé en septembre, pour des raisons familiales ».

Et malgré un taux d’abstention qui a atteint 73,33 % ce dimanche, les soutiens de son camp étaient bien présents aux urnes. « C’est l’électorat de Reconquête qui s’est le plus mobilisé, on a une base militante très solide à Versailles », analyse Laurence Trochu.

La Présidente du mouvement conservateur Sens Commun, conseillère départementale et conseillère municipale de Guyancourt, avait reçu le soutien de Marion Maréchal et d’Éric Zemmour, qui s’est déplacé dans un café versaillais la semaine dernière.

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lundi, 03 octobre 2022

Loïk Le Floch-Prigent : Nord Stream, nucléaire... le sabotage énergétique

Les Français auront-ils du chauffage cet hiver ou devront-ils tous céder à l’injonction de Bruno Le Maire, le ministre de l’Économie, d’acheter des cols roulés ? Alors que la guerre en Ukraine a permis à Ursula von der Leyen de décréter des sanctions qui portent préjudice à nos pays européens, la disparition de notre souveraineté énergétique était programmée de longue date et entamée depuis longtemps à force de politique de sape de l’industrie. L’abandon de la maintenance des centrales nucléaires ajouté à l’obsession pour les éoliennes sans discernement, en passant par des approvisionnements étrangers incohérents, voilà désormais la France renvoyée à l’heure des délestages, des rationnements et des pénuries.

Ancien patron de Gaz de France, d’ELF Aquitaine et de la SNCF, Loïk Le Floch-Prigent (Auteur de "Il ne faut pas se tromper - Pour en finir avec les idées reçues sur l'énergie et l'industrie" chez Elytel disponible ici) est parmi les ingénieurs et experts qui connaissent le mieux le secteur énergétique. Il explique comment les grands patrons doivent réapprendre à défendre leurs entreprises avant d’obéir aux politiques incohérentes. Dans une émission abordable et didactique, autant que fournie et précise, il démonte les politiques qui ont contribué, étape après étape, à saborder notre indépendance énergétique. De la pression des prétendus écologiques pleins d’idéologie aux ingérences extérieures en passant par la méconnaissance économie et géopolitique, rien n’a de sens, ni de cohérence.

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Hommage à Paul Veyne

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On ne le répétera jamais assez, la lecture des Anciens demeure le socle d’une anthropologie sociale européenne. Le philosophe Jean-Michel Delacomptée rend ici hommage à Paul Veyne récemment décédé et qui fut pour les Romains ce que fut Jacqueline de Romilly pour les Grecs. Il nous démontre une fois de plus que les errements actuels, notamment au sujet de la remise en cause du patriarcat et de la montée du féminisme militant collé à toutes les sauces ne visent qu’à remettre en question les fondements même de notre culture. L’optimisme dans cette affaire est que ces stupides combats répondent de cet adage « les chiens aboient la caravane passe ».

 Lire la suite ICI

Source : Le Figaro 3/10/2022

09:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

L'ÉCONOMISTE BERNARD MONOT INTERVIENDRA LE DIMANCHE 16 OCTOBRE LORS DU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE À RUNGIS

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Prenez votre billet cliquez ici

dimanche, 02 octobre 2022

Jean-Dominique Michel : "Le naufrage de l’Occident : fraudes et corruption au temps du Covid"

Il était une fois un Occident marqué par le siècle des Lumières. Droits humains, libertés individuelles, débats ouverts et critiques, aspirations démocratiques ont peu à peu constitué un socle de valeurs communes. Même si ces valeurs n’étaient, de loin, pas pleinement réalisées ni respectées. Même si d’autres peuples, ainsi que la nature, étaient surexploités et endommagés. Même si elles servaient de prétexte à des conflits barbares. Mais ces valeurs scintillaient comme une lueur d’espoir pour l’humanité.

En quelques années, tout semble basculer brutalement. L’exposé de l’anthropologue Jean-Dominique Michel, « Le naufrage de l’Occident : fraudes et corruption au temps du Covid », énumère avec précision le laminage de deux siècles d’avancées humanistes.

La gestion politique et commerciale de la crise sanitaire se caractérise, dit-il, par le déni et l’occultation des faits ou opinions avancés par ceux qui questionnent cette gestion. Et aussi par le harcèlement, voire la persécution des voix dissidentes.

Des grands savants comme Montagnier ou Perronne ont été discrédités sans pouvoir répondre, ou menacés de sanctions. Des salles sont refusées ou retirées lorsque des personnalités affublées du label qui tue – « complotiste » – sont invitées à s’exprimer.

Des catégories comme les non-vaccinés, traités d’égoïstes ou irresponsables, sont privés de liberté ou d’emploi. La détresse des enfants condamnés au masque n’est pas prise en compte. Ceux qui ont des idées non conformes se taisent ou dépriment.

Jean-Dominique Michel décrit une inexorable dérive totalitaire. Pensée unique et sectaire, fabrication d’une fausse réalité inoculée par une propagande massive, colonisation progressive de tous les aspects de nos vies, colonisation des esprits amenés à défendre l’indéfendable.

On ose, secrètement, espérer qu’il exagère et que le cauchemar n’arrivera pas. Mais en tout cas, les avertissements de nombreux scientifiques comme lui pourront peut-être permettre aux citoyens de stopper la marche vers l’irréparable.

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Source : E&R

17:11 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

AVEZ-VOUS PENSÉ À RÉSERVER VOTRE STAND AU RENDEZ-VOUS BLEU-BLANC-ROUGE DE SYNTHÈSE NATIONALE DU DIMANCHE 16 OCTOBRE PROCHAIN ?

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Chaque année, lors des 13 précédentes Journées de Synthèse nationale, de nombreuses associations, maisons d'éditions, revues et publications non-conformistes, entreprises commerciales ou artisanales, des auteurs indépendants, des producteurs du terroir... réservent des stands pour faire connaître leurs activités et vendre leur produits. Chaque année, plus de 80% d'entre eux reviennent avec enthousiasme. Déjà, plus de 40 stands sont retenus pour le dimanche 16 octobre prochain.

Alors, vous aussi qui dirigez une structure susceptible d'intéresser le public présent, qu'attendez-vous pour la faire encore plus connaître ? Prenez contact avec le comité d'organisation synthesenationale2022@gmail.com. Un  dossier vous sera aussitôt adressé pour vous inscrire à ce nouveau Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge. Nous serons heureux de vous recevoir à cette grande manifestation nationale et identitaire.

Plus d'infos sur ce 14e RDV BBR cliquez là

13:12 Publié dans 14 - Les 14e Journées de Synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Vouloir renverser Poutine : une logique particulièrement dangereuse

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Pierre Lellouche, ancien président de l’Assemblée parlementaire de l’Otan s’inquiète d’une « escalade imprécatoire » qui, selon lui, a transformé un conflit territorial et géopolitique en guerre de civilisation, ruinant tout espoir de négociation et de sortie de crise.

 Lire la suite ICI

Source, Le Figaro, 1er octobre 2022

07:15 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 01 octobre 2022

CALLAC : Bernard Germain, porte-parole de l'Association de défense de Callac et ses environs, reçu par Radio Courtoisie et par Jean-Marie Le Pen

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Bernard Germain vient de présenter à Jean-Marie Le Pen la situation que subissent les habitants de Callac et ses environs.

Mercredi dernier, Bernard Germain, prote-parole de l'Association de défense de Callac et ses environs, était invité sur les ondes de Radio Courtoisie cliquez ici pour expliquer les raisons de l'opposition d'un nombre grandissant d'habitants de la commune et de sa région au projet Horizon visant à installer à court terme 70 familles de migrants dans ce bourg breton.

Jeudi après-midi, avant de participer à une autre émission sur TV ADP, Bernard Germain a été reçu par le fondateur du Front national, Jean-Marie Le Pen, qui, depuis 50 ans, dénonce sans relâche l'immigration sauvage qui, peu à peu, change considérablement l'identité de notre pays. Il a pu ainsi exposer la situation catastrophique qui se profile à Callac au président Le Pen qui, en tant que Breton et Français, a été très intéressé.

L'Association entend donner une dimension nationale à ce qui se passe à Callac. Des nouvelles initiatives seront prises très prochainement.

12:12 Publié dans Callac 22, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La fausse conscience de l’Occident

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Emmanuel Todd*

Si l'on me demandait quel concept caractérise le mieux l'Occident actuel, je répondrais sans hésiter : la «fausse conscience ». Nous ne savons plus ce que nous sommes, ce que sont les autres et ce qu'ils pensent de nous. Nous avons laissé détruire nos industries et nos classes ouvrières. Les inégalités s'envolent et notre niveau de vie baisse. Aux États-Unis, l'espérance de vie des pauvres diminue. La puissance du capital financier y a transformé le système politique en joujou des riches. Partout en Occident, la nouvelle stratification éducative a fabriqué des mondes séparés pour les éduqués supérieurs et les demi-citoyens de l'éducation secondaire. Si les transformations économiques et culturelles ont laissé subsister les institutions de la démocratie, elles en ont détruit les mœurs.

Les démocraties occidentales ont muté, elles sont devenues, sans s’en rendre compte, « autre chose ». Une nation occidentale sans « fausse conscience » se penserait oligarchie libérale plutôt que démocratie libérale. Mais nous croyons toujours être libéraux et démocratiques, et continuons d'affirmer notre supériorité et l’universalité de nos valeurs. Et c’est au nom de ces valeurs que nous affrontons la Russie pour aider l'Ukraine à préserver son indépendance et son territoire.

Ajoutant l'amnésie à la « fausse conscience », nous avons préféré les sanctions économiques à l'envoi de soldats, sans nous souvenir que cet instrument de guerre n’est pas de basse intensité. La sanction est un élément classique de la guerre totale. Nicholas Mulder, brillant chercheur néerlandais travaillant à l’université Cornell, aux États-Unis, nous rappelle, dans The Economic Weapon (Yale, 2022), que les sanctions de la Société des Nations s'inspiraient du blocus allié de 1914-1918, responsable de 300 000 morts dans les empires centraux et de 500 000 dans l'Empire ottoman. Les sanctions économiques contre le régime de Saddam Hussein, quant à elles, ont fait 300 000 morts.

Les sanctions ont pour objectif la déstabilisation de la société adverse et la destruction de son régime - en commençant par la mort de ses vieux et de ses enfants.

Nous avons voulu détruire l'économie russe et faire tomber Poutine. Dans ces conditions, n'était-ce pas forcer les Russes à répondre par une escalade économique en nous privant de gaz pour déstabiliser nos sociétés et nos régimes ? « Fausse conscience », encore et toujours. Et ce n’est pas tout. Par les sanctions, nous avons rendu nécessaire une guerre planétaire. Comme le note Mulder, les sanctions, pour bien étouffer l'ennemi, doivent faire disparaître les « neutres ». C'est cette logique qui conduit l'Occident à exiger de tous les peuples qu'ils participent aux sanctions contre la Russie. C’est un instrument inconscient de cette logique qu'Emmanuel Macron a sommé, aux Nations unies, les neutres de prendre parti. Notre vision exagérée de nous- mêmes est supposée légitimer cet ultimatum.

Mais acceptons un instant, comme une expérience spirituelle, l’existence de l’autre. Comment le « reste du monde » nous voit-il ? L’anthropologie nous dit qu'il est à 75 % porteur de valeurs familiales patrilinéaires et non individualistes, peu féministes et le plus souvent homophobes. Nos valeurs ultra-individualistes, féministes et LGBT ne lui plaisent pas.  Dans ce champ anthropologique, la Russie est d’ailleurs une bizarrerie, patrilinéaire et non individualiste, homophobe, mais avec un statut élevé des femmes.

Soyons moins techniques, plus historiques : le Royaume-Uni, la France, les Pays-Bas, la Belgique, l'Allemagne, le Japon furent les puissances coloniales féroces de ces pays neutres dont nous exigeons l'allégeance. Les États-Unis, longtemps « gendarmes » de l'Amérique latine, ont quant à eux sublimé par étapes l'ensemble des pouvoirs coloniaux dans une globalisation dominatrice, édictant règles et punitions, s'efforçant de tenir la planète par leurs instruments financiers et par l'Internet, sans oublier leur armée. Mais l'Inde veut-elle à nouveau se prosterner devant le roi d'Angleterre ? L'Afrique de l'Ouest veut-elle obéir au président français, l'Indonésie aux Pays- Bas, l'Amérique latine et les Arabes aux États-Unis, la Chine aux Européens et aux Japonais ? Le reste du monde se méfie de nous. Il n’adhère pas à nos valeurs anthropologiques et politiques. Il ne voit pas en nous des démocraties libérales mais des oligarchies qui méprisent leurs pauvres. Il sent surtout un tempérament colonial résurgent. La cruelle vérité est que le reste du monde ne nous aime pas. S'il est sommé de choisir entre l'Occident et les Russes, il risque de choisir les Russes.

(*) Emmanuel Todd est anthropologue, historien et essayiste à qui l’on doit quelques essais retentissants comme Après l’empire sur la décomposition du système américain (2002). Il a publié de nombreux ouvrages d’anthropologie sociale, la plupart de ses analyses portant sur la famille dans une approche holiste. Dans des ouvrages qui l’amènent à étendre son champ d’analyse, on dira qu’à défaut d’avoir toujours raison, il n’a pas toujours tort.

Source : Marianne 29/9/2022

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Journal du chaos

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