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jeudi, 07 novembre 2024

Samedi 23 novembre, au Puy-en-Velay :

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Dimanche 10 novembre , à Lille :

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ERIC ZEMMOUR ÉTAIT HIER SOIR CHEZ CHRISTINE KELLY (C NEWS)

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mercredi, 06 novembre 2024

L'exemple américain ?

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La victoire annoncée de Donald Trump aux élections est d’abord une victoire de l’identité américaine face au monde cosmopolite que veulent imposer les thuriféraires de la mondialisation économique et du grand brassage ethnique. En terme clair, c'est la victoire de l’Amérique profonde contre l’Etat profond incarné par les golden boys apatrides, les dégénérés wokistes, les lobbys bellicistes et autres LGBT en furie des deux côtes (Est et Ouest). C’est aussi une victoire contre les médias aux ordres et les donneurs de leçons patentés qui n’avaient pas mots assez durs pour insulter Trump et ses électeurs… la presse française ayant atteint des sommets dans ce domaine.

La campagne de Trump prouve aussi que l’heure n’est plus à la dédiabolisation et à la normalisation mais, bien au contraire, à l’affirmation sans complexe de ce que l’on est.

Maintenant, reste à savoir quelles seront les répercussions de ce tremblement de terre sur la France et sur les nations européennes dans leur ensemble. Les Américains, surtout lorsqu’ils ont un gouvernement républicain, ont toujours fait passer leurs intérêts avant ceux des autres. On ne va pas leur reprocher, mais leurs intérêts ne sont pas forcément les nôtres... Le drame, c’est que nous ne soyons pas capables d’en faire autant.

Espérons que ce qui se passe aujourd’hui aux États-Unis inspire dans l’avenir la France et les Français. 

S N

 

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Dimanche 10 novembre, à Castres : rassemblement contre l'insécurité

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mardi, 05 novembre 2024

La taca-taca-tacatique de Séraphin Lampion

seraphin-lampion-250.jpgLa chronique

de Philippe Randa

Quasiment chaque jour, désormais, la guerre entre trafiquants de drogue fait rage en France : fusillades, réglements de compte, etc. avec son lot de victimes, de plus en plus jeunes, par forcément toujours très innocentes… On parle désormais de cartels de la drogue, comme au Mexique.

L’actuel ministre de l’Intérieur Bruno Retailleau a jugé vendredi qu’on était « à un point de bascule » après qu’un garçonnet ait été grièvement blessé par balles près de Rennes… Juste après ce drame, une autre fusillade a eu lieue à Poitiers avec un affrontement entre 400 à 600 voyous…

Alors, sur l’air de « Vous allez voir ce que vous allez voir », Bruno Retailleau a immédiatement rappelé sa « détermination à intensifier les amendes forfaitaire délictuelles contre les consommateurs »… Non mais !

On imagine le fou-rire des narcotrafiquants en entendant cette matamoresque déclaration et on les comprend.

On imagine aussi, hélas ! que nombre de nos compatriotes vont s’enthousiasmer de la portée d’une telle mesure…

Incapable de combattre les délinquants, l’État va donc s’en prendre à leurs victimes, rebaptisées délinquants à leur tour et plus gravement délinquants encore que les trafiquants. On connaissait les Bac + 2, +3, +4, +… +… +… on découvre donc les délinquants + (en attendant les +… +… +…), d’autant plus providentiels pour les policiers qu’ils risqueront moins à interpeller des consommateurs rarement armés et plus rarement encore en état de se rebeller, sinon verbalement…

Menottés et enfourgonnés comme le premier député LFI venu, ils seront ensuite livrés à l’administration fiscale, via un passage par les tribunaux français qui n’en seront qu’un peu plus encombrés, mais ils ont l’habitude.

Moins de risques, plus d’argent pour les caisses de l’État, en voilà une idée qu’elle est bonne ! Tellement judicieuse d’ailleurs qu’elle n’a pu être inspirée que par un diplômé de grandes écoles… ou par leur cousin Séraphin Lampion, pittoresque personnage d’Hergé qui, tous les lecteurs de Tintin et Milou le savent, « ne semble connaître que la plaisanterie comme mode d’expression… »

Lire EuroLibertés cliquez là

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Jeudi 21 novembre, à Toulouse : une conférence de Jean-Yves Le Gallou

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Les propos hypocrites et insultants de Sandrine Rousseau sur le port du voile islamique

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Michel Festivi 

Sandrine Rousseau récidive. Elle a osé exprimer sa solidarité avec la courageuse, l’héroïque même jeune iranienne, qui pendant plusieurs minutes a déambulé en culotte et en soutien-gorge, devant son université à Téhéran, pour attirer l’attention sur la dictature islamiste d’Iran. Elle risque très gros.

Notre Sandrine Rousseau nationale, a cru faire un tweet « Notre corps, et tout ce qu’on y met-ou pas-pour le vêtir, nous appartient. Force aux iraniennes, aux Afghanes, à toutes celles qui subissent l’oppression ». Mais de nombreux internautes, et notamment Sophia Aram, ont à juste titre fait remarquer que ce tweet « est une honte », car en réalité, il autorise un parallèle, entre la lutte sanglante contre le port du voile en Iran et dans les théocraties islamistes et celles qui en France et en Europe soutiennent le port du voile dans l’espace public. La schizophrénie habituelle.

C’est effectivement un soutien implicite à la « liberté » de porter le voile en France. Car « mettre sur le même plan les filles qui se posent en martyres parce qu’on ne leur accorde pas le droit d’enfreindre les règles de la république au nom de leur micheton imaginaire et les vraies martyres iraniennes, qui en, meurent sous nos yeux, vous ne verrez pas plus déguelasse » a écrit une femme sur X.

Car, il convient de rappeler les propos de Sandrine Rousseau. Elle a toujours soutenu le port du voile « Il y a pleins de motivations pour porter le voile, et il y en a qui portent des voiles qui sont juste un embellissement en fait. », avait-elle déclaré. Pendant les jeux olympiques de Paris, Sophia Aram avait vertement critiqué une néerlandaise qui était venue envoilée se faire remettre sa médaille, alors que Sandrine Rousseau l’avait approuvée.

Une autre fois, une « influenceuse », selon ce vocable ridicule, une dénommée Maeva Ghennam, avait annoncé que tous les vendredis, elle porterait le voile. Elle s’était attirée les foudres de Sophia Aram en ironisant dans sa chronique sur France Inter : « il est tout à fait possible d’être refaite comme une voiture volée, et de recouvrir l’assemblage d’implants divers, de collagène, de botox, d’un voile pudique. ». Amine El Khatami, l’ancien président du mouvement « printemps républicain » a quant à lui pris aussi à partie Sandrine Rousseau « Une abjection et un crachat jeté à la figure de toutes les femmes qui, de Kaboul à Téhéran, risquent leur vie en se dressant face à leurs bourreaux islamistes. ». Je conseille personnellement aux lecteurs d’aller voir le très beau film de l’opposant iranien, Mohamed Rasoulof, Les graines du figuier sauvage, on y vit de près, l’implacable dictature des Mollahs, dans la vie quotidienne d’une famille de Téhéran.

Il ne faut pas oublier que tous les jours en France, des professeurs sont insultés, voire frappés, menacés, parce qu’ils osent demander simplement à leurs élèves, l’application de la loi, c’est-à-dire de retirer leurs voiles dans l’enceinte scolaire, conformément à la loi, et jamais Sandrine Rousseau, élue de la nation, n’a soutenu ces enseignants ! Elle n’a jamais non plus, l’an passé, soutenu la jeune iranienne, morte, parce que tabassée par des femmes corbeaux et des gardiens de la révolution.

Ne laissons pas de rares professeurs courageux, défendre seuls les principes de la laïcité. Mais le voile n’est pas comme certain le rabâchent « un outil fabriqué par le patriarcat religieux ». Il est bien autre chose. Deux versets du coran énoncent que son port pour les femmes musulmanes est obligatoire. Par exemple, le verset 59 de la sourate 33 ordonne « Ô Prophète ! Dis à tes épouses, et à tes filles, et aux femmes des croyants de ramener sur elles leurs grands voiles : elles en seront plus vite reconnues et exemptent de peine. ». Le voile islamique s’inscrit dans une obligation religieuse et théocratique, le coran étant la parole incréée du dieu des musulmans. Dans un autre verset, il est précisé «... qu’elles rabattent leur voile sur leur poitrine, et qu’elles ne montrent leurs parures qu’à leurs maris où à leurs pères... » (Sourate 24, verset 31). Le port du voile correspond donc bien à une obligation islamique, coranique. Il ne s’agit pas, comme on veut nous le faire croire, d’une simple tradition moyenâgeuse, méditerranéenne, ou je ne sais de quel autre acabit. Porter le voile c’est afficher de manière militante, sa volonté de revendiquer l’islam partout et en tout lieu. C’est au surplus un instrument de soumission de la femme, mais cela, Sandrine Rousseau ne le dénoncera jamais.

On vient d’apprendre, qu’un écrivain, Kamel Daoud, vient d’obtenir le prix Goncourt, ce 4 novembre, pour un livre, que je n’ai pas lu, intitulé, Houris. On sait que ce terme veut dire « les vierges » qui attendent les croyants musulmans dans l’autre monde. L’auteur est publié chez Gallimard. Or les éditions Gallimard ont été interdites de salon international du livre à Alger, sans que cela ne choque nos gauchistes et islamogauchistes. On nous dit que Kamel Daoud, né en 1970 à Mostaganem, défend les libertés dans son pays. Il a été visé par une Fatwa en 2014, pour un autre ouvrage, Meursault, en référence sans doute à L’étranger, d’Albert Camus. Il a aussi partagé sur X, la vidéo sur cette étudiante iranienne, que je viens d’évoquer. Il a mis, nous apprend le Figaro, en exergue de son livre une texte du code pénal algérien punissant « d’une emprisonnement de trois à cinq ans et d’une amende de 250.000 à 500 000 dinars, quiconque qui, par ses déclarations, écrits ou tout autre acte, utilise ou instrumentalise les blessures de la tragédie nationale, pour porter atteinte aux institutions de la république algérienne démocratique (sic) et populaire etc. ». On n’entendra ni Sandrine Rousseau, députée de la nation, ni Emmanuel Macron, fustiger une sanglante dictature algérienne. Non, seule la France doit être reconnue coupable de crimes contre l’Humanité. Le deux poids deux mesures a de beaux jours devant lui.

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5 novembre 1988 : disparition tragique de Jean-Pierre Stirbois

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Sur Jean-Pierre Stirbois cliquez ici

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Chateaulin (29), samedi 30 novembre : une conférence de l'économiste souverainiste Philippe Murer invité par l'Union finistérienne

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Paris, vendredi 8 novembre : une conférence d'Anne Le Pape sur Léon Daudet

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lundi, 04 novembre 2024

I Media (TV Libertés) revient sur le système répressif britannique et les élections américaines

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Inondations à Valencia, révélateur du foutoir espagnol

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Michel Festivi

L’Espagne socialo-communiste n’est plus gouvernée, sauf pour réprimer les opposants. Les terribles inondations qui ont ravagé notamment le Levant espagnol l’ont malheureusement démontré, et c’est le peuple, la population qui en a subi les conséquences mortifères, avec près de 250 morts, sans compter les milliers de sans-abris au moment où j’écris ces lignes, et les disparus par dizaines.

Cela était pourtant très prévisible. Cette zone singulière, cette plaine valencienne, riche en alluvion, puisqu’elle recueille les eaux de toutes les montagnes avoisinantes, a été sujette dans le passé à de très nombreuses catastrophes similaires, dont la dernière importante en date remonte à 1957. Après ce drame, le Général Franco avait fait construire un grand canal, pour endiguer les eaux dévastatrices. Cet ouvrage a d’ailleurs sauvé la ville de Valence qui n’a en réalité été que peu impactée, l’essentiel des crues se situant dans les environs de la Cité levantine et tous les pueblos des environs. A noter que l’ancien Président socialiste de la région, Puig, voulait un temps détruire cet ouvrage, symbole du franquisme. Les socialistes et leurs alliés ont d’ailleurs fait supprimer de nombreuses retenues d’eau, pas assez écologistes, et reflets de l’agriculture intensive ! On a vu les conséquences.

Au demeurant, c’est un autre dictateur « éclairé », le général Miguel Primo de Rivera cliquez ici, qui avait l’un des premiers, à partir de 1923, commencé d’importants travaux de canalisation des cours d’eaux espagnols, dont l’Ebre, comme je l’évoque dans cette biographie, publiée en 2023. Miguel Primo de Rivera avait d’ailleurs repris des projets d’ingénieurs, qu’aucun gouvernement précédent n’avait voulu ou pu mettre en œuvre, car du fait d’un système parlementaire dévoyé, les ministères tombaient tous les six mois.

Mais à ces époques, l’Espagne était gouvernée, elle était « Una, Grande y Libre ». De nos jours, avec les fameuses Communautés, tous les pouvoirs se télescopent et plus personne n’est responsable de rien. Sanchez, ce lâche, a renvoyé la balle à Carlos Màzon le nouveau Président PP de la Communauté, en place depuis juin 2023. Carlos Màzon a botté en touche aussi, en renvoyant la patate chaude à Sanchez. Les administrations locales et nationales se chevauchent, se « tirent dans les pattes », il a fallu des jours et des jours, pour qu’enfin, plus de 10 000 soldats et policiers soient envoyés en renfort pour rechercher les disparus et aider à la remise en état des localités ravagées par les torrents de boue. L’armée et la Garde civile qui dépendent de Madrid attendaient, l’arme aux pieds les ordres qui n’arrivaient pas.

Dimanche 3 novembre, le Roi Felipe VI, la Reine Letizia et le couard de Pedro Sanchez se sont rendus sur les lieux. Des centaines de sinistrés les ont copieusement injuriés, tant ils se trouvaient démunis de tout, beaucoup ayant des morts dans leurs familles, morts au demeurant qui ne sont toujours pas inhumés. Le Roi et la Reine ont fait preuve d’un certain courage, en restant stoïque, recevant même de la boue, la Reine était en pleurs. Mais Sanchez a préféré s’enfuir, se faire exfiltrer, en se dédouanant ensuite sur l’incurie de Màzon, et en soulignant, qu’il avait prévenu le Roi que ce déplacement était inopportun. Si les Espagnols se mobilisent et font preuve de solidarité, malgré quelques scandaleux pillages, les autorités ont failli incontestablement et ont passé plus de temps à se renvoyer la balle et à tergiverser plutôt que d’agir.

Ces dernières années, tous les pays d’Europe ont multiplié les démembrements administratifs à foison, avec pour chaque nation, le poids de l’Histoire et des particularités, c’est d’ailleurs une volonté de Bruxelles, pour abattre les nations. Mais globalement, qu’a-t-on fait, on a multiplié les fonctionnaires et les structures en superposition, entraînant une gabegie abyssale. En définitive, c’est l’incurie et l’impuissance qui prédominent, car plus personne ne commande et ne prend ses responsabilités.

Si d’aventure une catastrophe de ce type, arrivait en France, ce qu’à Dieu ne plaise, pensez-vous que nous ferions mieux ? Peut-être, car malgré tout, notre vieux pays détient encore des réminiscences centralisatrices salvatrices. En réalité, en accroissant le nombre des roitelets, des féodalités dépourvues d’âme, on ne fait que proliférer des taxes et des impôts, mais on aggrave l’impuissance et la désorganisation. Je n’ai rien contre les petites patries charnelles, mais un État digne de ce nom a besoin d’une colonne vertébrale de fer et d’un chef, pour que les trains arrivent et partent à l’heure. Comme l’avait dit de Gaulle dans ses mémoires de guerre, en évoquant le dernier président de la IIIe République, l’impuissant Albert Lebrun, « Au fond, comme chef de l’État, deux choses lui avaient manqué : qu’il fût un chef ; qu’il y eût un État ».

Car quand un pays n’a plus d’État, n’est plus dirigé, c’est toujours le Peuple qui souffre, on le voit pour les catastrophes naturelles, on le voit pour les perditions que subit la France, l’immigration massive, la délinquance qui devient une plaie quotidienne, les déficits tous azimuts, l’impuissance de l’État à tous les étages.     

11:52 Publié dans En Europe et ailleurs..., Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

La mafia des éoliennes : Fabien Bouglé reçu par André Bercoff

Le développement des éoliennes en France a commencé sur un conflit d'intérêt. Il a continué sur un détournement de la loi. Il coûtera 9Mds en taxes rien qu'en 2025 et exige 200Mds d'investissements pour que le réseau de distribution puisse supporter ces sources intermittentes… Alors que le nucléaire marche très bien !

Angela Merkel avait prévenu que si l'on commençait à donner des subventions aux éoliennes, on ne pourrait jamais les retirer tant leur lobby est puissant. Et pourtant… La France sans ses éoliennes a une empreinte carbone sept fois plus faible que l'Allemagne qui les a développés massivement.

Dernier mensonge, l'éolien et le nucléaire ne font pas bon ménage, que les centrales atomiques ne peuvent pas monter en charge suffisamment rapidement quand les éoliennes s'arrêtent… La France est donc obligée de s'appuyer sur des capacités thermiques !

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Source : Tocsin

11:18 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Tribune libre : Pourquoi tous les collabos haïssent-ils autant Donald Trump ?

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Cyrano Riposte laïque cliquez là

Dans quelques heures nous saurons. Nous ne doutons pas que Donald Trump, comme en 2020, va gagner cette élection. La seule question n’est pas celle-ci. Le seul suspense qui existe est d’un autre niveau. La fraude démocrate réussira-t-elle, comme en 2020, à priver de victoire le candidat républicain ?

Curieusement, tout le monde semble avoir oublié cet immense hold-up électoral, au soir du 5 novembre 2020, qui vit le processus électoral s’interrompre dans six États tenus par les démocrates, alors que les premiers résultats montraient de manière indiscutable que le président sortant avait gagné. Dès le 8 novembre, notre contributeur Maxime Lépante évoquera la plus énorme fraude électorale d’une histoire qui pourtant n’en manque pas. cliquez ici

Plus personne ne parle du coup d’État qui a consisté, au lendemain de l’élection, à ce que des journalistes coupent le discours de celui qui était encore président du pays le plus puissant au monde, parce qu’il osait dire qu’on lui avait volé la victoire, et le démontrer. Plus personne n’évoque le blocage de son compte Twitter, qui comptait 80 millions d’abonnés. Alors que Donald Trump multipliait les recours, les différents chefs d’État des pays européens et occidentaux félicitaient le voleur Biden. Et la gauche française, qui avait fait du président américain son ennemi, exultait de la défaite annoncée de Trump.

Pourtant, l’homme avait un bilan exceptionnel. Il avait mené une politique protectionniste qui avait assuré le plein emploi aux États-Unis. Il avait allégé les charges des entreprises, pour permettre à ceux qui avaient émigré de revenir aux USA en évitant les taxes douanières, sans que cela ne remette en cause leur viabilité. Il avait arrêté de jouer les gendarmes du monde, et pour la première fois, les Américains n’étaient plus impliqué dans aucun conflit sur la planète. Il n’avait pas d’attitude belliqueuse avec la Russie, alors qu’Hillary Clinton rêvait d’en découdre, ce que fit Biden. Il soutenait Israël sans la moindre réserve, contrairement aux démocrates. Son mot d’ordre était « America first », ce qui signifie qu’il consacrait les forces vives du pays au développement des États-Unis, et rien d’autre.

Durant quatre années, il a été agressé, harcelé, insulté par 98 % des médias américains, soutenus par les démocrates et l’État profond. On l’a suspecté de connivence avec la Russie, de multitudes de viols, de fraudes fiscales. Il a été traqué par des juges partisans. On lui a collé toutes les provocations possibles, dont notamment la mise en place du « Black Lives Matter » et des émeutes qui ont suivi. Tout a été fait pour le détruire. Et pourtant, en 2020, en pleine période de Covid, ses meetings faisaient le plein, quand Biden était terré dans les sous-sols de Washington. Il avait réussi à avoir 10 millions de voix en plus qu’en 2016. Et pourtant, il a été déclaré battu.

Plus personne ne donnait cher de son avenir lors de l’intronisation de Biden. Il paraissait un homme fini, et on envisageait, même chez les Républicains, l’après-Trump. Mais rien ne paraît pouvoir détruire cet homme hors du commun. Il a été traité de fasciste pendant quatre ans, et toute la campagne a été ordurière à son encontre. Ils ont même essayé de l’assassiner à deux reprises mais, tel le Canard de Robert Lamoureux, il est toujours vivant. On a vu le type d’homme qu’il est, quand il criait à ses supporters, quelques secondes après la tentative d’assassinat à son encontre, le poing levé « Fight » ! Durant toute cette campagne, il a rendu, comme toujours, coup pour coup, ridiculisant fréquemment la médiocre Kamala Harris.

Il est intéressant de chercher à comprendre pourquoi tous les collabos de la planète, c’est-à-dire essentiellement les démocraties occidentales et les forces de gauche, sont aussi hostiles à Donald Trump. Il incarne tout simplement la fierté de son pays, le refus de l’invasion migratoire, de l’islamisation des USA, de la dictature wokiste et de l’imposture climatique. Même si le fédéralisme américain fait que le président de ce pays a bien moins de pouvoir que le président français, sa victoire signifierait simplement un coup d’arrêt à la politique guerrière menée en Ukraine contre la Russie, à la mainmise du wokisme dans de nombreux secteurs de la société américaine, dont les universités, et surtout la fin de l’immigration sauvage, et de la volonté des démocrates de régulariser 14 millions de clandestins pour changer définitivement le corps électoral américain. Bien évidemment, avec la victoire de Donald, Netanyahou recevrait un soutien autrement plus efficace que celui des démocrates, très ambigus avec les terroristes du Hamas et du Hezbollah. Avec Trump, l’Amérique retrouverait le bon sens populaire que les démocrates ont abandonné depuis longtemps.

Les collabos occidentaux, Union européenne en tête, et la gauche américaine rêvent d’une victoire de Kamala Harris pour accélérer la politique de destruction des États-nations, de l’identité des peuples et de leur souveraineté. Ils veulent continuer à terroriser les habitants de la planète avec les bobards climatiques et les mensonges sanitaires, et restreindre toujours davantage la liberté d’expression.

Le courage physique et moral de Donald Trump et sa capacité de résistance à un système qui veut le détruire renvoie tous les collabos à leur lâcheté et à leur soumission. Son intégrité les renvoie à leur corruption. Il n’a pas eu besoin de la politique pour bien vivre, il s’est engagé pour défendre un pays qu’il aime. La plupart des collabos de la politique française et occidentale ne savent rien faire d’autres que des magouilles politiciennes pour rester en place. Ils n’arrivent pas à la cheville de Donald Trump et le savent. Il est leur mauvaise conscience.

La victoire de Donald Trump serait celle d’un peuple américain qui ne veut pas mourir et serait ressentie par tous les peuples du monde comme un formidable encouragement à lutter contre les traîtres qui dirigent leur pays. C’est pourquoi, en France, tous les médias de propagande, tous les macronistes, toute la gauche collabo sont vent debout pour salir un homme qui a le tort, à leurs yeux, de tenir un discours proche de celui du Rassemblement national, et encore davantage de celui de Reconquête, avec une audace qui manque parfois aux dirigeants patriotes de notre pays.

La victoire de Trump serait aussi celle de la liberté d’expression, avec le soutien d’Elon Musk, qui, depuis qu’il a pris la direction de Twitter, a ouvert un espace de liberté, comme Pavel Durov sur Telegram, que les maîtres-censeurs mondialistes contestent.

La victoire de Donald Trump est vitale pour les patriotes de tous les pays européens, et plus largement pour la liberté, la paix dans le monde, l’identité et la souveraineté des peuples menacées par les projets criminels et totalitaires des mondialistes et de leurs complices.

11:04 Publié dans Revue de presse, Tribunes libres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 03 novembre 2024

Samedi 16 novembre, à Paris : Xe Forum de Polémia

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Selon l’INSEE, à la fin du premier trimestre 2024, la dette publique s’établissait à 3 159,7 milliards d’euros, soit 110,7 % du PIB, auxquels s’ajoute un déficit annuel de 170 milliards d’euros, soit plus du tiers des dépenses de l’État. Un record absolu. Quand certains parlent d’augmenter des impôts déjà très élevés, d’autres – c’est le cas de Polémia – parlent de chasser les dépenses nuisibles. Et il y en a.

Programme de la journée

9h30 - Accueil

  • 10h00 - Michel Geoffroy, polémiarque, essayiste
    De quoi la dette est-elle le nom ? Priorité à la suppression des dépenses non seulement inutiles mais nuisibles.
  • 10h20 - Comment trouver 150 milliards ?
    Vidéo.
  • 10h30 - Philippe Herlin, économiste
    Le coût du parasitisme bureaucratique.
  • 11h00 - Michel Aubouin, ancien préfet
    Les dépenses nuisibles des politiques de la ville et du logement.
  • 11h30 - Lucas Chancerelle, co-animateur d’iMédia sur TV Libertés
    Aides à la presse, ou comment on subventionne les milliardaires et le politiquement correct.
  • 12h00 - Jean-Claude Martinez, professeur agrégé de droit, ancien député européen
    Ce que nous coûte l’Union européenne.
  • 12h30 - Thierry Mariani, ancien ministre, député européen
    L’aide à l’Ukraine, des milliards en pure perte.

12h45 -14h00 - Pause

  • 14h30 - La France médaille d’or des impôts, des dépenses publiques, de la dette et de l’insatisfaction.
    Vidéo.
  • 14h45 - Carl Hubert, polémiarque, essayiste
    Les subventions aux associations ou comment le contribuable finance le clientélisme ?
  • 15h15 - Xavier Driencourt, ancien ambassadeur
    L'Algérie et les aides aux pays étrangers.
  • 15h45 - Fabien Bouglé, lanceur d’alerte écologiste, essayiste
    Les folies budgétaires de la transition énergétique.

16h15-17h00 - Pause, forum des livres, signatures-dédicaces.

  • 17h00 - Ce que nous a coûté la gestion du Covid.
    Vidéo.
  • 17h15 -17h45 - Jean-Yves Le Gallou, président de Polémia
    Immigration : coût budgétaire direct, bilan global, charges d’infrastructures.
  • 17h45 - Le cas argentin.
    Vidéo.

18h00 - Conclusions du Forum

18h15 - Fin des travaux

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À MULHOUSE, C'EST L'ACTION FRANÇAISE QUI NE MANQUE PAS D'HUMOUR COMPARATIF...

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23:30 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Assassinat de Nicolas dans près de Valence : Il est temps qu’ils rendent des comptes !

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Réaction de Thibaut Monnier, député (Identité et Liberté) de la Drôme :

Nicolas, jeune Romanais de 22 ans, gravement blessé par balle à la tête à la suite d’une fusillade près de Valence, est décédé. J’adresse toutes mes condoléances à sa famille ainsi qu’à ses proches. Nicolas évoluait dans le même club de rugby que le jeune Thomas, poignardé à mort au bal de Crépol, il y a moins d'un an.

Le laxisme d’Etat a tué Nicolas comme il a tué Thomas, Lola, Philippine et tant d’autres, et il tuera encore d’autres Français si nous ne réagissons pas.

Les gouvernements qui se sont succédé, sont responsables, ceux qui veulent désarmer la police et la justice, vider nos prisons et faire venir des étrangers criminels sur notre sol, sont responsables.

Il est temps qu’ils rendent des comptes ! 

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Contre la violence d'importation, des centaines de Parisiens se sont rassemblés samedi aux Gobelins

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Dans la foule : Thomas Joly, président du Parti de la France, et Alexandre Simonnot, conseiller municipal PdF de Taverny.

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samedi, 02 novembre 2024

Complexités moldaves

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

On trouve en Europe orientale un État qui ne devrait pas exister et qui existe pourtant, suite aux facéties tragiques de l’histoire. Naguère désigné comme la Bessarabie du Moyen Âge à 1944, car situé sur la rive occidentale du Dniestr, ce territoire convoité tour à tour par la Russie, l’Empire ottoman et, plus tard, la Roumanie s’appelle aujourd’hui la Moldavie qu’il ne faut surtout pas confondre avec une région historique éponyme, l’une des matrices de la nation roumaine qui s’étendait des Carpates orientales aux berges du Prout. D’une superficie de 33.700 km², cette ancienne république soviétique, la plus pauvre d’Europe, d’où une très forte émigration, partage 450 km de frontières avec la Roumanie, et une frontière commune longue de 940 km avec l’Ukraine.

À la fin de l’ère médiévale, la Bessarabie devient une province tributaire de la Sublime Porte. Le traité de Bucarest de 1812 accorde la région comprise entre le Prout et le Dniestr à l’Empire russe qui concède néanmoins des portions territoriales en faveur des Ottomans et des Roumains au lendemain de la guerre de Crimée dans la seconde moitié du XIXe siècle.

Les troubles révolutionnaires de 1917 en Russie se répercutent en Bessarabie. Outre le conflit entre bolcheviks et contre-révolutionnaires, les Bessarabiens se divisent aussi entre quelques indépendantistes, des partisans du maintien dans la Russie, les tenants d’un rattachement à l’Ukraine et les chantres de l’union avec la Roumanie, car Bessarabiens et Roumains parlent la même langue latine, le roumain. Le 27 mars 1918, l’Assemblée nationale de Bessarabie proclame l’indépendance. Le 9 avril suivant, la même assemblée réclame l’intervention militaire de Bucarest et adopte l’union de la Bessarabie à la Roumanie. Les Alliés vainqueurs entérinent ce fait accompli le 28 octobre 1920 malgré les protestations de la Russie bolchevique et le refus des États-Unis d’Amérique d’approuver ce rattachement. La Bessarabie roumaine s’organisent en neuf départements. En réaction, en octobre 1924, Moscou fonde au sein de la république socialiste soviétique d’Ukraine, la république autonome de Moldavie installée sur la rive orientale du Dniestr. Conséquence du pacte germano-soviétique de non-agression du 23 août 1939, l’URSS exige par ultimatum en juin 1940 à Bucarest la Bessarabie et la Bucovine du Nord. Toute la Bessarabie passe sous tutelle soviétique. Mais l’opération Barbarossa du 22 juin 1941 permet à la Roumanie, alliée de l’Axe, de reconquérir les territoires perdus et d’avancer jusqu’à Odessa. La défaite allemande de 1945 redonne la Bessarabie à l’URSS qui fonde la république socialiste soviétique de Moldavie. Moscou se dépêche d’y installer des populations russophones et ukrainiennes et y impose une politique socialiste. Par exemple, le moldave est une langue roumaine russifiée rédigée en alphabet cyrillique.

La société soviétique moldave devient dès lors composite. Le recensement de 2014 indique 81 % de Moldaves de langue roumaine, 6,5 % d’Ukrainiens, 4,5 % de Gagaouzes, 4 % de Russes et 2 % de Bulgares. Les Gagaouzes sont des chrétiens orthodoxes fidèles au patriarcat de Moscou et de langue turcique écrite en alphabet latin.

La proclamation de l’indépendance de la Moldavie, le 27 août 1991, cristallise les tensions ethniques. En effet, les dirigeants moldaves aspirent à rejoindre la Roumanie à peine émancipée dans des conditions plus que douteuses de la tutelle nationale-communiste. Or les non-roumanophones rejettent cette perspective en favorisant deux sécessions territoriales. Russophones et Ukrainiens créent la Transnistrie, un État-fantôme qui conserve les attributs du soviétisme et où stationnent 1.500 soldats russes. Les Gagaouzes cherchent à se séparer de l’ensemble moldave, quitte à former des exclaves liées à la Fédération de Russie. Si le cas transnistrien est un exemple de conflit gelé, la communauté gagaouze a finalement obtenu le statut de république autonome (capitale : Komrat) constituée de quatre territoires non contigus rassemblés en trois districts administratifs.

À ces tensions ethnopolitiques plus ou moins latentes s’ajoutent des tiraillements géopolitiques entre un tropisme russe assez marqué chez les minorités linguistiques dont les Gagaouzes, et l’attrait occidental (Union pseudo-européenne, hégémonie yankee et grand espace euro-atlantiste) fort chez les élites moldaves roumanophones. Il faut enfin évoquer les violentes intrigues entre les différents oligarques locaux. Parmi eux signalons Vladimir Plahotniuc accusé d’avoir détourné un milliard de dollars et d’avoir corrompu toute la classe politique ou son adversaire, Ilan Shor. Né en 1987 à Tel Aviv – Jaffa en Israël, c’est un banquier israélo-moldave et aussi russe qui fait de la politique. Frappé de sanctions personnelles par Washington en octobre 2022, puis par l’Union pseudo-européenne en 2023, il s’enfuit en Russie dès 2019 d’où il anime son propre mouvement politique, le Parti Shor, qu’il met en ordre de marche pour les législatives à venir.

Cette longue digression politico-historique s’imposait pour comprendre la situation politique actuelle. Le 20 octobre dernier, la Moldavie organisait un double scrutin le même jour, à savoir le premier tour de l’élection présidentielle et un référendum sur l’inscription dans la constitution sous la forme d’un titre V et d’un article 140 de l’objectif d’adhésion à l’Union dite européenne en attendant de rejoindre l’OTAN malgré la neutralité inscrite dans cette même constitution. En dépit d’une abstention de 48,32 %, le référendum est validé puisqu’il mobilise plus du tiers des électeurs inscrits. Le oui gagne à 50,39 % grâce au vote des expatriés. L’attraction de l’UE s’émousse fortement auprès de populations restées conservatrices.

La seconde « douche froide » concerne les résultats du premier tour de la présidentielle. Les commentateurs occidentaux pariaient et parlaient d’une réélection dès le premier tour de la présidente sortante Maia Sandu. Patatras ! L’ancienne première ministresse pendant moins de six mois en 2019 récolte 42,45 %. Elle se présente au second tour sans de grandes réserves de voix. Son adversaire d’origine gagaouze russophone et détenteur de la nationalité roumaine, Alexandre Stoianoglo, candidat du Parti socialiste de la république de Moldavie, obtient 25,98 %. Il pourrait bénéficier du report des suffrages des autres candidats, en particulier de l’homme d’affaires conservateur Renato Usatîi (13,79 %) et d’Irina Vlah (5,38 %), gouverneure de la Gagaouzie entre 2015 et 2023.

Les élections moldaves font l’objet d’une interprétation complotiste gouvernementale. La présidente sortante accuse Moscou d’avoir acheté 150.000 voix moldaves. Mais comment expliquer alors une si forte abstention (48,42 %) ? En Occident, le système médiatique d’occupation mentale insiste sur le caractère pro-russe d’Alexandre Stoianoglo. L’ancien procureur général l’est tellement qu’il a condamné l’invasion de l’Ukraine et l’annexion de la Crimée. Par ailleurs, sa fille travaille ou a travaillé encore récemment à la Banque centrale européenne à Francfort. Les plus informés "savent" que la BCE est un repaire d’agents aux ordres du Kremlin"…

À l’instar d’autres ensembles étatiques d’Europe centrale, balkanique et orientale, la Moldavie est un cas très complexe. Sans ressources naturelles stratégiques vitales pour les grandes puissances mondiales, les influences variées qui s’y jouent démontrent en tout cas la primauté du politique sur l’économique.     

Salutations flibustières !

• « Vigie d’un monde en ébullition », n°131, mise en ligne le 29 octobre 2024.

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vendredi, 01 novembre 2024

Paris, samedi 2 novembre :

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À l’Assemblée nationale, les damnés de la came ont remplacé les damnés de la terre

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Entretien avec Philippe Randa, directeur du site de la réinformation européenne Eurolibertés.

(Propos recueillis par Guirec Sèvres)

Que penser de cette dérive de certains députés LFI à l’assemblée nationale qui insultent ou menacent d’autres députés, principalement du Rassemblement national ?

Elle peut s’expliquer sous l’angle social ou sous l’angle politique, l’un n’empêchant pas l’autre.

C’est-à-dire ?

Par leurs origines sociales, ces députés agissent et parlent tout simplement comme ils ont été élevés, comme ils ont l’habitude de s’exprimer, sans forcément se rendre compte de ce que leurs vulgarités et leurs comportements de sauvageons peut avoir de choquant pour ceux qui ont bénéficié d’une éducation « différente » ! Quand Thomas Portes (photo ci-dessus) apostrophe son collègue du RN Philippe Lottiaux en lui lançant : « Ferme ta gueule, toi ! On va s’occuper de toi », cela peut être simplement sa façon de lui exprimer son désaccord… et, sans vouloir le défendre, on s’en doute, j’ajouterais que ce qu’il a ajouté : « On va s’expliquer dehors, tu vas voir. On va aller dehors ; on va s’occuper de toi » n’est que le reflet de son éducation ou plutôt de l’absence de celle-ci… Sous le Premier Empire, rappelez-vous de Catherine Hubscher, aux origines modestes, mais qui épousa le maréchal d’empire Lefebvre et connut ainsi une ascension sociale : cette dame est passée à la postérité sous le nom de « Madame sans-gêne »… Qui vous dit que ce député LFI ne passera pas lui-même à la postérité sous le nom de « Monsieur malpoli » ou encore de « Monsieur racaille » ?

Et sous l’angle politique, comment appréhender une telle dérive ?

Dérive qui n’en serait alors nullement une, mais bien plutôt une stratégie payante à l’intention de l’électorat de certaines banlieues, devenues zones de non-droit ou « territoires perdus de la République », comme nommées désormais. Nombre de commentateurs politiques s’accordent enfin à reconnaitre la fracture entre les électeurs et le monde politique : les premiers se reconnaissent de moins en moins, sinon plus du tout, dans leurs députés, sensés pourtant les représenter. C’est la fameuse distinction entre « pays légal » et « pays réel » conceptualisé par Charles Maurras et que même Emmanuel Macron a admis en 2020 devant les députés de sa majorité d’alors… Mais imaginez-vous comment sont perçus par leurs électeurs les députés LFI tels Mathilde Panot, Thomas Portès, Louis Boyard et autres ? Grossiers ? Vindicatifs ? Menaçants ?

Ce n’est pas le cas ?

Peut-être, mais surtout comme des gens comme eux, parce qu’ils parlent comme eux et surtout des gens qui « leurs » parlent ! Non pas pour des objectifs politiques auxquels ils ne comprennent rien (comme la grande majorité des électeurs, diraient les esprits grincheux), mais dans leurs comportements, leurs langages, leurs réactions… Ces députés-là plaisent à leur électorat qui n’ont pas l’impression d’avoir envoyés à l’Assemblée nationale des « petits êtres gris » (comme dirait le journaliste Pascal Praud)… Des élus qui les flatteraient par devant et les oublieraient sitôt sous les ors de la République… « Grands Frères (et sœurs) » un jour, « Grands Frères (et sœurs) » toujours ! Leurs électeurs se reconnaissent en eux quand ils importent dans l’hémicycle les codes en usage dans leurs existences quotidiennes… En imposant à l’Assemblée nationale leurs langages, leurs débraillés, leurs mauvaises manières, ces députés, non seulement ne font pas honte à leurs électeurs, mais emportent leur admiration : pour ces Français-là, un voyou est toujours mieux qu’un « bouffon », comme ils disent. Sans compter que lorsque le député LFI Andy Kerbrat est arrêté en flagrant délit d’achat de drogues, comment croyez-vous que réagisse une partie de ses électeurs, sinon en pastichant la Chanson des Compagnons du Comptoir : « Il est des nôtres… Il a acheté sa beuh comme les autres… », soit un enthousiaste Bêlement des accrocs de la défonce… Ceux-là s’imaginent qu’une fois les Grands Frères et Sœurs insoumis(es) au Pouvoir, leur vie ne sera plus qu’un long shoot… Autres époques, autres gens, les damnés de la terre ont laissés la place aux damnés de la came…

Et Jean-Luc Mélenchon, a-t-il perdu tout espoir d’accéder un jour à l’Élysée ?

S’il a essayé d’entrer à l’Élysée par les urnes à trois reprises, il sait maintenant que cela ne lui sera plus possible… Alors, en bon trotskyste, il mise désormais sur le chaos pour pouvoir confisquer le Pouvoir à son profit, à l’occasion d’une guerre civile ou peut-être seulement d’un effondrement de notre pays… Crise économique, guérillas urbaines entre narcotrafiquants, scandales financiers ou sexuels instrumentalisés via les délires wokistes… et il bénéficie d’un sacré atout pour cela : à gauche de l’échiquier politique, il n’a aucun rival ! Pour l’heure en tout cas.

20:32 Publié dans Philippe Randa | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Moines, à la recherche de la vie intérieure

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Durant près de cinq jours, notre journaliste-réalisateur Armel Joubert des Ouches a pu filmer les moines du Barroux dans leur quotidien, mâtines, laudes, Messes, travaux manuels, etc. Si les moines ont accepté qu'une caméra les suivent, ils ont aussi demandé au réalisateur de faire preuve de la plus grande discrétion afin de ne pas les perturber dans leur vie de prière. Il a aussi été demandé à Armel Joubert des Ouches de ne pas utiliser de projecteurs pour éclairer les endroits sombres. Il ne fallait, sous aucun prétexte, troubler la vie de communauté.

À la recherche de la vie intérieure

L'abbaye du Barroux est une abbaye bénédictine située dans le Vaucluse, au pied du mont Ventoux, un sommet culminant à près de 2.000 mètres de hauteur (région Provence-Alpes-Côte d'Azur). Cinquante-neuf moines et prêtres ont choisi de consacrer leur vie à Dieu. La journée d'un moine démarre chaque jour à 3 h 20 du matin ; elle est ensuite ponctuée de différents rendez-vous dans l'église, en particulier par la messe. Ici, c'est la messe en grégorien qui est dite. Loin des nouveautés liturgiques, ce trésor, que les moines ont choisi de conserver, ne fait que s'appuyer sur une tradition millénaire, tradition qui, partout dans le monde, se répand à nouveau, après avoir été en partie abandonnée dans les années soixante.

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12:16 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |