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samedi, 30 novembre 2024

Piotr Tolstoï sur les missiles, l'escalade, Trump, les médias et la victoire russe

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Association Dialogue Franco-Russe

Piotr Tolstoï est l'auteur de la préface du dernier livre de Marc Rousset, Notre faux ami l'Amérique, pour une alliance avec la Russie (Librinova, 2023).

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Réflexions à propos des 700 viols d’un ancien journaliste de gauche : silence radio !

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Michel Festivi  

L’affaire dite des viols de Mazan a fait et fait la Une de tous les journaux, de France et du monde entier paraît-il, l’ensemble des médias en font leurs choux-gras. Cet horrible fait divers de perversion sexuelle, tourne en boucle sur toutes les chaînes de télévisions, sur toutes les radios. Pour certains, il s’agit d’un fait de société, l’homme est mauvais, malfaisant par nature, il faut changer la société, rééduquer les garçons, modifier complètement les rapports hommes/femmes et mettre fin à un patriarcat dont on peine à entrevoir les prémisses ; pour d’autres, dont je fais partie, il s’agit tout simplement des résultats d’obsessions humaines sadiques, de dépravations aussi vieilles que le monde est monde. Bref, toutes les litanies féministes et gauchistes font de la surenchère dans l’idéologie anti-occidentale, anti homme blanc. Pourtant, dans les années 1970, cette même gauche revendiquait la liberté sexuelle de pouvoir avoir des rapports avec des mineurs, voire des enfants. Que l’on se souvienne à cet égard des pages du Monde, ou de Libération qui exigeaient que des mineurs de 15 ans puissent avoir des relations sexuelles avec des adultes au nom de la liberté débridée, interdit d’interdire, et de dénoncer les lois de l’époque. Le tourisme sexuel dans certains pays dits exotiques a fait des ravages.

Pourtant, il y a parfois des viols d’une cruauté terrible, qui passent au-dessus des radars médiatiques, et le silence radio se fait. Pourquoi ? Ainsi, un ancien journaliste pour France info et de Radio France, Jean-Philippe Desbordes (photo ci-dessus), ancien échotier également au Canard enchaîné, à Charlie Hebdo, Libération et intervenant il y a quelques années pour le magazine Envoyé Spécial, vient d’être condamné à vingt années de réclusion criminelle, le 22 novembre dernier par la Cour d’Assises de l’Ariège, pour avoir violé à plus de 700 reprises, et avec actes de tortures et de barbaries les trois filles de son ex-compagne. Ces viols sont d’autant plus abjects qu’ils ont été commis par personne ayant autorité sur les victimes. Il aurait aussi violé l’une de ses élèves, car il pratiquait « l’Aiki thérapie », une pratique respiratoire de son invention. Il avait aussi écrit des livres, s’installant dans l’Ariège, après sa carrière médiatique dans les années 2000.

La Cour a assorti sa décision d’un suivi socio judiciaire de cinq années après la libération du condamné, sept ans d’injonction de soins et interdiction pour lui d’entrer en contact avec ses victimes et son ex-compagne. Faits d’autant plus scélérats, que l’épouse du violeur, ou sa compagne a aussi été condamnée à cinq ans de prison pour complicité. L’appel étant encore possible au moment où j’écris ces lignes, notre homme et sa complice sont donc encore présumés innocents.

L’une des victimes est venue dire à la juridiction, qu’elle pouvait être violée tous les jours, et a estimé les viols à plus de 700 pour une année ! Elle a déclaré « C’était l’enfer, j’ai subi des viols, de la maltraitance, de la privation de nourriture. » Cet individu, ancien journaliste de gauche, était aussi professeur d’aïkido spécialisé dans la thérapie par le sport, cela ne s’invente pas, c’est par ce biais semble-t-il qu’il pratiquait ses perversions, créant une espèce de dépendance avec ses proies dans le cercle familial ou professionnel. Curieusement, comme le souligne judicieusement Boulevard Voltaire, ces crimes n’ont pas été dénoncés comme étant « de la culture du viol », « du patriarcat » « de la domination masculine », les féministes de tout poil sont restées totalement taisantes, et n’ont pas crié « Sus au Patriarcat ». France Info, qui a publié plus de 50 articles sur l’affaire Pélicot, n’a quasiment pas donné la moindre information sur les faits reprochés à son ancien journaliste, bizarre non ? Serait-ce France désinformation ? Certes, nous dira-t-on, il avait quitté cette profession en 2006, et que l’on n’est pas responsable des perversions secrètes de ses journalistes, dont acte.

Ni Libération, ni Médiapart, ni l’Humanité, ni Le Monde, ni Ouest-France n’en ont vraiment parlé. Pratiquement non plus du côté de BFMTV ou de LCI. Seul Cnews en a débattu à plusieurs reprises, notamment dans l’émission de Pascal Praud. Le seul journal régional qui y a consacré quelques articles est La Dépêche et aussi France 3 Occitanie, l’Ariège se trouvant dans leur champ géographique de compétence. On notera également que certains articles mettent en exergue les mensonges réitérés de Jean-Philippe Desbordes, se présentant faussement comme anthropologue, chercheur au CNRS, ou professeur d’Aïkido, selon notamment le JDD.fr du 29/11/2024.

Gilles-William Goldnadel a lancé « Je pense que quand vous commettez des actes de barbaries avec des viols sur trois de vos belles-filles avec la complicité de leur mère, c’est quasiment aussi choquant que l’affaire Pélicot ». Et de dénoncer l’audiovisuel public « parce que c’est un des leurs... il pratique l’omerta ». Indignation morale à géométrie variable, comme le décrypte Boulevard Voltaire, on y est habitué avec les gauches, le deux poids deux mesures leur est permanent et sur tous les sujets, immigration, délinquance, c’est leur marque de fabrique. En ce sens, la perversité des femmes est bien à l’égal des hommes. J’avais il y a plus de 20 ans maintenant, plaidé comme partie civile, pour de jeunes enfants placés à l’Aide sociale à l’enfance, ils avaient été violés, autant par leur mère que leur beau-père, le nouveau compagnon de cette dernière, la mère autant que je m’en souvienne avait pris 20 ans de réclusion. Le sadisme, la perfidie, et la noirceur de l’âme ne sont pas des apanages uniquement masculins, comme veulent nous le faire croire nos néos féministes gauchistes. On vient d’apprendre que Radio France aurait consulté ses avocats pour éventuellement intenter une action judiciaire contre GW Goldnadel, accusant ce dernier « de dénigrement du Service public ».

Pour sa défense, l’ancien journaliste de gauche a fait savoir qu’il était un « bouc-émissaire », « une proie », « une cible », qu’il était la victime d’un « féminazie », nouveau barbarisme incongru. La dépêche a titré « Elles ont vécu dans la maison de l’horreur ». Il est à noter la relative clémence de la Cour, le principal prévenu risquait la perpétuité, sa complice 30 ans de réclusion. La dépêche relate aussi des privations de soins, des sévices répétés, des mauvais traitements autant psychologiques que physiques. Mais sauf erreur de ma part, dans les différents articles de la Dépêche, on se garde bien de préciser que Desbordes, avait travaillé, dans le passé, à France Info. Aucun article des rares journaux qui ont rapportés l’affaire, ne relèvent le nom des différents médias dans lesquels il a œuvré, aucun. En aurait été-t-il de même s’il avait chroniqué sur Cnews, l’actuel JDD, ou Valeurs Actuelles ? Poser la question c’est y répondre me semble-t-il ?  Que vous soyez de gauche ou de droite, les médias vous blanchiront ou vous noirciront, les jugements de Cour aussi.

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THIBAUD GIBELIN : "IL APPARTIENT À TRUMP ET ORBAN DE MENER LA BARQUE DE L'OCCIDENT"

À l'occasion de la sortie du documentaire, "Hongrie, le monde d'Orban", OMERTA reçoit l'essayiste Thibaud Gibelin. L'auteur de "Pourquoi Viktor Orban joue et gagne" (Fauves éditions) revient sur l'élection de Donald Trump et des relations entre le président réélu et le Premier ministre hongrois. Relation Hongrie - Serbie, accords du MERCOSUR, conflit russo-ukrainien, le professeur invité au Mathias Corvinus Collegium balaye également l'actualité du moment.

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Source : omertamedia.fr

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Lancement par les Editions du Puy-du-Fou d'un magazine destiné aux adolescents : Le Panache...

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Sous la direction de Gwenaële Barussaud, autrice à succès de la série « Célestine, Petit rat de l’opéra », Puy du Fou Éditions dévoile son tout premier magazine jeunesse.
 
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Chaque mois, recevez un magazine grâce auquel vos 8-13 ans reprendront goût à la lecture ! Rempli de récits légendaires, plein de surprises et d’émotions, Le Panache leur fera découvrir les splendeurs françaises ! 
 
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vendredi, 29 novembre 2024

La Vendée a tenu face aux menaces gauchistes : salle pleine pour la diffusion de Silenced

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Rose Martin

Riposte Laïque a rendu publiques, hier, les menaces et les insultes d’un groupuscule gauchiste vendéen, qui avait décidé d’utiliser tous les moyens pour interdire la diffusion du film de Tommy Robinson, « Silenced ». C’était pourtant une première en France, et la Vendée qui avait su à l’initiative de Philippe de Villiers accueillir le grand Soljenitsyne il y a 30 ans ne pouvait que s’enorgueillir d’être la première région à accueillir ce documentaire-choc,  sur l’instrumentalisation, par l’appareil d’État anglais, d’un fait divers dans une école pour victimiser un élève syrien et salir un jeune Anglais. Dans ce film, Tommy réalise un extraordinaire travail de journaliste et réussit à percer tous les mensonges de cette affabulation et à dénoncer tous ceux, politiciens, journalistes, avocats, juges, islamistes et antifas qui se sont ligués contre lui pour le menacer, lui et sa famille, et interdire la diffusion de ce film sur le territoire anglais. Cliquez ici

L’affaire a fait grand bruit. Ouest-France a consacré une page complète à l’événement, en chargeant naturellement Tommy et le Rassemblement Vendéen, accusés de tous les maux. Toute la journée de mercredi et de jeudi, les gauchistes ont multiplié les intimidations. Ce sont des centaines de courriels, de textos et de coups de téléphone menaçants qu’a reçu le propriétaire du cinéma. Le maire a été lui aussi insulté et diffamé, pour ne pas s’opposer à l’initiative, de même bien sûr que l’organisateur de l’événement, Eric Mauvoisin. Les gauchistes une fois encore ont montré qu’ils étaient les pires ennemis des libertés publiques, puisque incapables d’accepter qu’on diffuse ce film qu’ils n’ont pas vu d’ailleurs mais qu’ils qualifient de raciste et de fasciste. En bons totalitaires qu’ils sont, ils ont donc tout fait pour obtenir l’annulation de la diffusion. Ils ont échoué, le film a été diffusé, la salle était complète, 100 personnes étaient présentes, un résultat inespéré pour le Rassemblement Vendéen.

Si la Vendée a été pionnière encore une fois dans un nouveau combat, elle le doit à trois hommes courageux, qui, chacun dans leur rôle, ont défendu la liberté d’expression, en permettant à « Silenced » d’être diffusé en France et en Vendée. Eric Mauvoisin, d’abord, a fait le voyage le 26 octobre à Londres où il est intervenu devant 50.000 manifestants, des familles des classes populaires, pour apporter le soutien de la France à Tommy qui venait juste d’être arrêté par les forces de l’ordre avant d’être emprisonné – pour 18 mois – deux jours plus tard. Grâce aux contacts noués avec l’équipe du militant patriote anglais, Eric a pu obtenir la possibilité de diffuser le film en France, avec un nouveau sous-titrage de qualité.

Félicitons également le propriétaire du Ciné Triskell Eric Dubot qui a accepté de mettre à la disposition du Rassemblement Vendéen une salle de cent places, rappelant qu’il louait des salles à toutes les composantes de la société, que l’association présidée par Eric Mauvoisin s’est présentée aux dernières élections législatives et qu’elle fait partie de la diversité d’opinion qui a le droit, comme les autres, de s’exprimer et de proposer des initiatives à la population. Il a tenu bon face aux menaces et aux insultes.

Dans cette histoire, le maire, Rémi Pascreau, a lui aussi résisté, refusant la facilité qui aurait été de reculer sous les menaces brandies et d’acheter la paix avec les gauchistes au prix d’une du déshonneur. On aimerait tant que nombre d’autres maires de France fassent preuve d’autant de courage.

L’organisation était parfaite, une équipe de militants du Rassemblement Vendéen assurait efficacement la sécurité, une voiture de gendarmerie était également présente, la salle était pleine, le débat qui suivit fut intéressant, et on se sépara par un vin d’honneur, avec une chanson pour Tommy, qui fêtait ce jour ses 42 ans, hélas en prison.

Et pas de trace d’un seul gauchiste, ce qui ne manqua à personne.

Nous reviendrons, dans un prochain article, sur ce film et surtout la nécessité de le faire diffuser dans la France entière. Il n’est pas inutile de constater le degré de soumission aux islamistes de l’appareil d’Etat anglais, et de comparer ce que vit Tommy avec la persécution de certains dissidents français. Mais dans ce documentaire, le résistant anglais donne une leçon de courage et de combativité non seulement au peuple anglais mais aussi à tous ceux qui, en France et dans le monde, entendent lutter pour la liberté d’expression.

Source Riposte laïque cliquez là

19:01 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 28 novembre 2024

Souvent terrorisme varie, bien fol est qui s’y fit…

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La chronique de Philippe Randa

La classe politique est quasi unanime à s’offusquer après la proposition de loi de La France Insoumise visant à abroger le délit d’apologie du terrorisme dans le code pénal… et malheur à celui ou celle qui ne s’indignerait pas d’une telle proposition jugée « ignoble (…) innommable » (Bruno Retailleau, ministre de l’Intérieur), « résolument contre » (Didier Migaud, Garde des Sceaux), « proposition de loi de la honte » (Éric Ciotti, député), « insulte à toutes les victimes du terrorisme » (Othman Nasrou, secrétaire d’État), pour ne citer que les qualificatifs les plus aimables.

Au-delà de ce tohu-bohu médiatique qui finalement sert bien les intérêts d’une classe politique soucieuse de faire oublier d’autres préoccupations moins morales, mais plus inquiétantes telles l’apauvrissement des classes moyennes, l’augmentation de la précarité des plus démunis, l’explosion de l’insécurité sur fond de cartellisation des trafics de stupéfiants (liste non-exhaustive), on ne peut que reconnaître aux rédacteurs de cette proposition de loi qui sera défendue par le député LFI Ugo Bernalicis, un sens certain de la communication… réussie.

Sur la forme, tout d’abord, le message envoyé à leurs électeurs ne leur déplaira nullement, loin s’en faut… Entre ceux de gauche extrême communiant dans le culte de leurs « grands anciens » (de la française Action Directe aux italiennes Brigades rouges en passant par la teutonne Bande à Baader) et ceux naturalisés de plus ou mois fraîche date et modéremment indifférents aux quelques 30 à 40 000 morts (selon les diverses estimations) dans la bande de Gaza depuis l’offensive israélienne en 2023…

Pour ces Français-là, ces électeurs-là, il est certain que le terme de « terrorisme » n’a pas la même signification que pour bien d’autres Français pour qui la proposition de Loi insoumise est interprétée comme un futur blanc-sein pour vanter les mérites de tout bandit, trafiquant, violeur, assassin, escroc et autres catégories de population guère appréciée…

Mais sur le fond, cette proposition de loi est-elle vraiment scandaleuse, sachant que des esprits chagrins feront remarquer que le qualificatif de « terrorisme » a de tout temps été une variable d’ajustement de la propagande de guerre selon qui gagne ou perd une guerre.

Les exemples ne manquent pas dans l’histoire… Sans remonter à la préhistoire du terrorisme avec la secte des Zélotes (ou Sicaires) qui, au Ier siècle, se rébella en Palestine contre l’occupation romaine ou encore la secte ismaélienne des Assassins qui, à partir du XIe siècle sema la terreur, citons parmi les plus récents exemples ceux des Résistants français durant la IIe Guerre mondiale, appelés « terroristes » par les autorités françaises de l’époque tout autant que par les troupes d’occupation allemandes, puis les membres de l’OAS, partisans de l’Algérie Française et les Fellaghas, partisans de l’indépendance de ce pays, considérés les uns comme les autres comme « terroristes » sous la IVe et la Ve République française…

Et n’oublions pas Maximilien Robespierre, un des principaux instigateurs de « La Terreur » durant la Révolution française (35 000 à 40 000 guillotinés, fusillés ou morts dans les prisons, ainsi que les dizaines de milliers de morts lors des massacres en Vendée) dont nombre d’avenues, boulevards, rues ou squares portent aujourd’hui son nom en France.

Mais le cas le plus emblématique, sinon célèbre, reste sans doute celui de l’Africain Nelson Mandela, futur Prix nobel de la paix en 1993 : « Des années 80 et la présidence de Ronald Reagan jusqu’à 2008, l’ancien président [de l’Afrique du sud de 1994 à 1999] figurait ainsi sur la liste des terroristes, établie par les États-Unis. En cause : son parti, l’ANC, le Congrès national africain, était considéré par les autorités américaines comme une organisation terroriste, en raison de son engagement contre l’apartheid » (article du Monde en décembre 2013).

Alors, « ignoble », « innommable », « proposition de loi de la honte », « insulte à toutes les victimes du terrorisme », la proposition de loi LFiste ? Aujourd’hui, peut-être et pour certains Français seulement… mais demain ?

Souvent terrorisme varie, bien fol est qui s’y fit…

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Le Prix Goncourt c'est aussi cela :

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Source Cyril Destoky cliquez là

via Terre & peuple cliquez ici

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Samedi 14 décembre, à Dijon : repas de Noël du Parti de la France de Bourgogne

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Communiqué du PdF Bourgogne :

C'est le samedi 14 décembre, à Dijon, que le Parti de la France organise cette année son désormais traditionnel repas de Noël.

Thomas Joly, Président du Parti de la France, et Alexandre Hinger, Délégué régional du PdF pour la Bourgogne, prendront la parole au cours de ce dîner.

Amis bourguignons et limitrophes, venez à la rencontre de la vraie droite nationale !

Repas bourguignon (Apéritif - Entrée - Plat - Dessert - Digestif) : 30 € payables sur place.

Réservation obligatoire ici : alexandre@hinger.fr

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Parution du nouveau numéro de "Réfléchir & Agir"

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Pour le commander cliquez ici

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mercredi, 27 novembre 2024

Roumanie : un outsider nationaliste arrive en tête lors du premier tour de la présidentielle

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Lionel Baland
 
Lors du premier tour de l’élection présidentielle roumaine, Călin Georgescu a créé la surprise en arrivant en tête. Son discours pacifiste, centré sur la cessation des livraisons d’armes aux Ukrainiens, a séduit un électorat sensible aux tensions frontalières avec l’Ukraine, non pas tant « pro-russe » qu’anti-guerre. Son élection, si elle devait advenir, serait un signal fort envoyé à l’UE et au camp occidentaliste.

Lors du premier tour des élections présidentielles roumaines qui s’est déroulé ce dimanche 24 novembre 2024, le candidat nationaliste indépendant Călin Georgescu s’est imposé, à la surprise générale, à la première place. Son triomphe est avant tout dû à son positionnement en faveur de la paix en Ukraine, qu’il a fait connaître à la population en passant par les réseaux sociaux, tout particulièrement par l’application de partage de courtes vidéos TikTok. Diplômé en agronomie, il a été secrétaire général du ministère de l’Environnement et a ensuite occupé des fonctions aux Nations Unies.

Cet Outsider est désormais présenté, par la presse internationale de grand chemin, comme étant « pro-russe », alors qu’il désire simplement la paix en Ukraine et s’oppose à des livraisons d’armes supplémentaires à cet État. Il a déclaré, lors de la soirée post-électorale : « Ce soir, le peuple roumain a crié pour la paix. Et il a crié très fort, extrêmement fort. » Son discours pacifiste a fait mouche auprès de l’électorat d’un pays qui partage une frontière de plus de 500 kilomètres avec l’Ukraine, qui est une plateforme des livraisons occidentales vers cet État et où sont stationnées des troupes de pays membres de l’OTAN. Il a affirmé que l’Union européenne et l’OTAN ne défendent pas correctement les intérêts roumains.

Călin Georgescu a qualifié son succès de « réveil extraordinaire du peuple roumain » et a prétendu : « L’incertitude économique qui a pesé sur le peuple roumain pendant 35 ans est devenue aujourd’hui une incertitude pour les partis politiques. » Souverainiste, il désire favoriser l’autarcie économique, agricole et énergétique du pays.

La presse internationale du système met en avant l’affirmation émise dans le passé par Călin Georgescu à propos de deux personnages de l’histoire roumaine qu’il a qualifiés de « héros », affirmant que l’histoire a parlé par eux et non à travers les laquais actuels des puissances mondialistes : le « Conducător » Ion Antonescu, qui a dirigé le pays de 1940 à 1944 sous la houlette de l’Allemagne et a été fusillé en 1946, et le « Căpitanul » Corneliu Zelea Codreanu, chef de la « Légion de l’archange Michel » – renommée « Garde de fer » – assassiné en 1938. Il a ajouté : « Tous ont fait de bonnes choses et des choses moins bonnes. L’histoire a été mystifiée. »

Deux autres nationalistes

Un autre candidat nationaliste, le président de l’Alliance pour l’unité des Roumains (AUR) George Simion, arrive quatrième. L’AUR est eurosceptique modérée, souhaitant renforcer le poids de la Roumanie au sein de l’Union européenne, et est favorable à l’OTAN qui, selon elle, offre plus de sécurité, tout en étant anti-interventionniste dans le conflit ukrainien.

La candidate nationaliste Diana Șoșoacă de S.O.S. România n’a pas été autorisée à se présenter, sa candidature ayant été invalidée par la Cour constitutionnelle, sans que cette décision soit motivée.

L’idée de la « Grande Roumanie » – comprenant les anciens territoires roumains de Bessarabie, répartis de nos jours entre la République de Moldavie et la partie sud de la région d’Odessa en Ukraine, y compris l’île des Serpents, et de Bucovine du Nord en Ukraine – est très populaire au sein des milieux nationalistes roumains qui, par ailleurs sont très influencés par la religion orthodoxe.

Le président de l’AUR George Simion appelle à voter pour le nationaliste Călin Georgescu, face à la libérale Elena Lasconi arrivée deuxième avec un peu plus de 2 000 voix d’avance sur le Premier ministre social-démocrate Marcel Ciolacu sorti troisième, au deuxième tour de l’élection présidentielle prévu le 8 décembre. Entretemps, le 1er décembre, les élections législatives auront lieu à travers la Roumanie afin de désigner les députés et les sénateurs. Les partis nationalistes AUR et S.O.S. România seront en lice.

Les « anti-guerre » de moins en moins isolés

La montée en puissance de personnalités politiques opposées à la poursuite de la guerre en Ukraine, telle celle de Călin Georgescu, est un phénomène qui s’étend au sein de différents pays de la partie orientale de l’Union européenne, alors que, en Allemagne, le parti patriotique Alternative pour l’Allemagne (AfD) et le parti de gauche anti-immigration BSW, dont Sahra Wagenknecht est la figure de proue, mettent le gouvernement, qui est engagé dans une politique belliciste sous la coupe idéologique des écologistes de Bündnis 90/Die Grünen, sous pression : le Premier ministre démocrate-chrétien hongrois Viktor Orbán et le Premier ministre social-démocrate slovaque Robert Fico – dont le gouvernement comprend les deux partis sociaux-démocrates souverainistes et le parti nationaliste SNS – sont de moins en moins seuls. Même si le poste de président de la Roumanie est une fonction aux pouvoirs restreints, l’éventuelle élection de Călin Georgescu le 8 décembre constituerait une victoire symbolique pour le « parti de la paix ».

Article publié sur le site Eléments cliquez ici

Consultez le site de Lionel Baland cliquez là

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Eric Zemmour répond à l'Algérie après l'arrestation de Boualem Sansal

Eric Zemmour était l'invité de la chaine Frontières ce mardi en fin d'après-midi.

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mardi, 26 novembre 2024

La mort d’un stalinien gris et froid : André Lajoinie

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Michel Festivi

Les moins de 40 ou de 50 ans, ne s’en souviennent sans doute pas ou plus, on vient d’apprendre la mort d’André Lajoinie, communiste stalinien pur et dur, un apparatchik qui dans l’ombre de Georges Marchais, avala et fit avaler toutes les couleuvres du communisme stalinien.

Le PC dit français par l’intermédiaire de son Secrétaire national, Fabien Roussel, s’est fendu d’une larme, le même Fabien Roussel qui n’a guère remis en cause la volonté des LFI de supprimer le délit d’apologie du terrorisme. « Nous perdons un homme d’une grande humanité », a cru énoncer Fabien Roussel, c’est à se tordre de rire si l’Histoire n’avait été tragique, par les cent millions de morts du communisme.

Sa mort a aussi été saluée par de nombreuses personnalités de gauche, comme l’inévitable François Hollande, qui n’en rate jamais une dans la débilité politique, osant ajouter « il a grandi dans l’esprit de la Résistance », faisant sans doute allusion à la Résistance du PC « F », qui de 1939 à 1941 a sciemment trahi la France et les Français, pour ensuite ne combattre que pour la prise de pouvoir des moscovites. JL Mélenchon a souligné, lui, « son dévouement absolu au communisme ». Ian Brossat, le sénateur communiste qui insulte ceux qui osent critiquer les fumeux 75 000 fusillés du Parti qui n’ont jamais existés, ou si peu,  y est allé aussi de son couplet louangeur, comme le député PS, Emmanuel Grégoire.

Mais ce que ne vous dirons pas, tous ces chantres du communisme international, c’est que la campagne électorale pour les élections présidentielles de 1988, que mena André Lajoinie, fut financée à 100% par l’argent de l'URSS, par l’argent d’un pays totalitaire qui mettait encore ses dissidents dans les goulags ou les hôpitaux psychiatriques, beaucoup feignent de l’oublier.

Dans mon livre publié cette année chez Dualpha, « La désinformation autour du Parti communiste « français » cliquez ici, je reviens sur cette séquence de l’histoire. Pierre Lorrain et Victor Loupan, deux soviétologues qui parlaient le russe, avaient déniché dans les archives de Moscou, de multiples documents qui prouvaient que de 1921 à 1991, le PC « F » avait été entièrement sponsorisé par la IIIème internationale, ou par Moscou. Cf L’argent de Moscou publié en 1994 par Plon.

Dans les annexes du livre de ces deux éminents historiens, on y trouve une lettre d’Anatoly Dobrynine adressée à Mikhaël Gorbatchev en date du 29 juin 1987, et on peut y lire ceci : « Gaston Plissonnier a fait savoir que Georges Marchais lui avait demandé de solliciter auprès de vous une aide supplémentaire pour le PCF. Cette demande concerne l’élection présidentielle en France qui aura lieu en 1988... nous nous tournons vers notre frère, le PCUS, comme c’était la coutume dans le passé, pour qu’il nous accorde une aide supplémentaire de 10 millions de francs... Pour information, le PCF a déjà reçu en 1987, deux millions de dollars du fonds d’aide international aux organisations ouvrières de gauche... ». Quatre jours plus tard, l’argent de Moscou, parvenait au PC « F ».

André Lajoinie était un triste personnage et un personnage triste et gris comme tous ces sbires staliniens qui appliquaient à la lettre les ordres venus de la Place Rouge, que ce soit pour la RDA en 1953, la Hongrie en 1956, la Tchécoslovaquie en 1968, la Pologne en 1981 etc. Sa campagne électorale de 1988 fut un désastre, tant il n’avait aucun charisme, ni aucune empathie pour quiconque. Il fit à peine plus de 6,70%, soit la moitié moins que Georges Marchais en 1981. La dégringolade électorale du PC avait déjà commencé. Aujourd’hui le PC « F » aimerait faire ce score ou s’en rapprocher. Son journal l’Humanité, qui n’a quasiment plus aucun lecteur, ne survit que par la manne financière gouvernementale payée par les impôts des français. Ses quelques députés ne sont élus que par qu’ils bénéficient de l’apport des islamogauchistes de LFI. Mais l’idée désastreuse communiste n’a pas disparu, loin s’en faut, elle est toujours présente dans notre histoire politique et nationale. Comme l’a écrit François Kersaudy, dans Les dix faces cachées du communisme : « qu’une idéologie aussi mortifère puisse exercer un tel attrait et susciter autant de dévouements fanatiques, voilà qui restera sans doute, l’une des plus grandes énigmes de ces cents dernières années », Editions Perrin 2023.

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lundi, 25 novembre 2024

UKRAINE : CA SUFFIT,  MACRON  NOUS  ENTRAINE  VERS  UNE  GUERRE  QUI  N’EST  PAS  LA NÔTRE !

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Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat

Le chef de l’État, de plus en  plus rejeté par une majorité de Français, prend d’inquiétantes initiatives, mettant la France en danger pour des intérêts qui ne sont pas les nôtres. Un petit rappel des circonstances historiques qui ont conduit à la guerre en Ukraine est nécessaire.

En 1954, le Premier secrétaire du Parti communiste d’URSS Nikita Kroutchev, natif d’Ukraine, avait détaché de la Russie  proprement dite,  la  Crimée,  pour l’arrimer  à la République socialiste soviétique d’Ukraine. Or, cette péninsule était russe depuis la tsarine Catherine II, les seuls autochtones authentiques étant des Tatars, aujourd’hui une ethnie minoritaire.

Le conflit absurde entre deux peuples slaves de même religion, attisé par les menées occidentales de 2004 lors de la « Révolution orange », aggravé par les frappes ukrainiennes contre les poches séparatistes russophones du Donbass en 2014 – lesquelles entrainèrent de massives  et cruelles représailles russes -,  est, en fait,  une effroyable guerre civile. Elle résulte d’un mauvais tracé des frontières lors de la chute de l’URSS en 1991, entrainant ailleurs d’autres   velléités sécessionnistes en Moldavie, avec la Transnistrie, et en Géorgie avec l’Abkhazie et l’Ossétie.

Les pays de l’OTAN, en tête desquels la France macroniste, en autorisant les autorités de Kiev à tirer des missiles de longue portée sur le sol russe - sans oublier que la France forme sur son sol les éléments d’une brigade ukrainienne et s’apprête à livrer des Mirage 2000 -, ajoutent de la guerre à la guerre. La seule attitude convenable pour respecter une exigeante neutralité, eut été de fournir à l’Ukraine des moyens de défense anti-aériens capables de protéger efficacement ses villes et ses infrastructures, au lieu d’alimenter son arsenal offensif qui ne fait qu’exciter la Russie contre nos  intérêts. Intérêts que nous avons sacrifiés  au bénéfice du complexe militaro-industriel américain, en nous privant du gaz russe, et en fermant avec pertes sans profits nos entreprises, qui employaient 160 000 salariés russes.

Avant que ne se lève l’espoir d’une paix de compromis avec l’arrivée au pouvoir de Donald Trump en janvier 2025, il convient de dire « STOP » à la délirante fuite en avant vers une potentielle III ème Guerre mondiale !

Le Parti de la France invite les Français à refuser cet engrenage belliciste, et demande à notre état-major général de réfréner les obsessions guerrières de Manuel Macron, l’homme qui n’a jamais mis les pieds dans une caserne ni, à plus forte raison, jamais chaussé de rangers ! 

23:23 Publié dans Le bloc-notes de Jean-Claude Rolinat | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

LA VÉRITÉ ÉCLATE ENFIN ! TOUT SUR L’ATTENTAT DE NOTRE-DAME AVEC LUDOVIC MALOT

L’incendie de Notre-Dame dépasse la simple hypothèse d’un accident fortuit. La société Aubriat, impliquée dans le traitement des poutres de la cathédrale, a appliqué un gel anti-champignons. Le choix de faire intervenir cette société interroge d’autant plus que le logo de l’entreprise présente des similitudes troublantes avec des symboles ésotériques, renforçant les spéculations sur une conspiration. Cette intervention soulève des doutes sur la sécurité des travaux réalisés sur ce patrimoine emblématique, écho aux controverses historiques liées à la restauration des monuments en France.

Le phénomène de la fumée jaune durant l’incendie, attribué par certains au plomb fondu, a nourri des interprétations plus mystiques. Cette couleur inhabituelle a conduit certains à y voir des signes d’influences occultes, évoquant la symbolique associée à la fumée dans des rituels magiques. Notre-Dame, chargée d’histoire et de spiritualité, est souvent associée à des événements au-delà du rationnel, et son aura a longtemps captivé l’imaginaire collectif. Ces éléments renforcent l'idée que des forces symboliques ou culturelles pourraient être à l'œuvre autour de cet événement.

On analyse ce sujet important avec Ludovic Malot, Marc Daoud, Frigide Barjot, Andrzej Linowiecki et Mike Borowski sur GPTV.

Ludovic Malot, franco-suisse, est économiste et entrepreneur. Il est un expert sur les fondamentaux d’une monnaie saine adossée à l’or et l’argent métal et détaille dans son ouvrage "Le suicide monétaire", le système actuel frauduleux avec ses nombreuses implications notamment politiques, économiques, financières, sociales et environnementales.

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17:56 Publié dans Sacha de Roye | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Mercredi soir prochain, sur C8 :

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dimanche, 24 novembre 2024

Breizh-Info, 11 ans de combat médiatique : nous dérangeons, donc on continue !

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Entretien avec Pierre Cassen publié sur Riposte laïque cliquez là :

Quand un site ami comme Breizh Info et son fondateur Yann Vallerie publient un livre sur l’histoire de leur aventure médiatique, il est normal que le fondateur de Riposte Laïque s’intéresse à cet ouvrage, et lui pose quelques questions. Cela fait partie de la solidarité nécessaire entre sites de la réinfosphère, qui mènent un combat semblable, avoir parfois des chemins différents…

Riposte Laïque : Vous êtes le fondateur de Breizh Info, son responsable de publication, et vous êtes considéré comme son principal animateur. Pourriez-vous vous présenter à nos lecteurs ?

Yann Vallerie : Je m’appelle Yann Vallerie, j’ai 40 ans, père de trois enfants. J’habite à côté de Callac, dans les Côtes d’Armor. Je suis ce qu’on peut appeler un « identitaire breton », dans le sens où la Bretagne est ma nation, et qu’à différents niveaux et de différentes façons, j’ai mené des combats politiques, et aujourd’hui médiatiques, pour ma nation, comme pour plus globalement la civilisation européenne, et, encore plus globalement, pour l’idée d’identité et d’enracinement à travers le monde.

Les frontières permettent à chaque peuple sur cette planète de se développer sereinement et de se protéger. Elles sont essentielles à la bonne marche et à la bonne harmonie du monde, n’en déplaise à ceux qui, apprentis sorciers qu’ils sont, veulent les abolir.

Après avoir  travaillé dans la sécurité, en poissonnerie, à l’usine, et surtout pendant 8 ans en hôtellerie-restauration – un domaine rempli de beaux métiers malheureusement très mal payés malgré le courage des gens qui y travaillent – j’ai donc embrassé la carrière de journaliste indépendant, et fondé breizh-info.com avec des camarades.

Riposte Laïque : Vous avez annoncé la sortie d’un livre, pour le mois de novembre, sur l’histoire de Breizh Info, un journal breton créé en 2013. Pourquoi ce projet ?

Yann Vallerie : On a loupé l’écriture du livre pour nos 10 ans, donc on y est parvenu pour nos onze ans. Pourquoi pas ? L’idée était de faire un bilan de parcours. Qui est Breizh-info.com ? Qui sont les gens qui travaillent derrière ? Quel est notre quotidien professionnel ? Qu’est-ce que nous défendons en matière éditoriale, et que voulons-nous faire demain ? Quelle place pour notre journal dans le combat médiatique d’aujourd’hui ? Quelles ont été nos victoires, quel a été notre intérêt depuis 11 ans ? C’est à tout cela que nous tentons de répondre dans ce livre.

Riposte Laïque : Comment définiriez-vous le journal que vous avez créé, et en quoi est-il différent d’autres médias de la réinfosphère ?

Yann Vallerie : Tout d’abord, il s’agit d’un média de la Presse Quotidienne régionale (PQR). Nous produisons un contenu à 40-50 % local (sur la Bretagne unifiée donc, à 5 départements) et bien entendu, une actualité plus française, européenne, ou même mondiale, mais qui concerne aussi les Bretons et ceux qui habitent en Bretagne. Mais nous sommes lus quotidiennement au Canada, en Belgique, en Australie… donc au final, notre journal n’est pas uniquement focalisé sur la Bretagne. C’est un média breton de presse alternative.

Ce qui nous distingue de la réinfosphère ou d’autres journaux, c’est notre volonté de ne pas traiter que les sujets politiques, ou sociétaux. Nous traitons aussi le sport, la santé, la culture, l’économie… nous sommes un vrai média généraliste, et c’est ce qui fait notre force, grâce à la diversité et à l’ouverture d’esprit des gens qui composent notre rédaction, quoi qu’en disent nos détracteurs – qui n’ont jamais pris la peine de nous rencontrer, ni même d’essayer de nous parler.

Riposte Laïque : Vous annoncez dans cet ouvrage que depuis une dizaine d’années, les deux journaux phares de Bretagne, Ouest-France et Le Télégramme, voient leur audience chuter. Comment vous définissez-vous par rapport à eux, êtes-vous rivaux, concurrents, ou bien évoluez-vous dans des registres très différents ?

Yann Vallerie : À la création de Breizh-info.com, nous sommes partis du constat que les deux journaux que vous avez cités pratiquaient une forme d’omerta sur certains sujets, tout en influençant grandement la population, notamment âgée, qui reçoit tous les jours son journal dans sa boîte aux lettres. Nous ne comptions plus le nombre d’articles en faveur de l’immigration, des migrants, et cela alors que de plus en plus de gens étaient hostiles à ce grand mouvement de fond. Aujourd’hui, c’est la même chose avec les questions sociétales autour du genre, de la transexualité, etc. Il y a un focus démesuré sur des pratiques, des façons de vivre, qui sont totalement minoritaires : ce qui est insignifiant devient au centre de l’actualité, par le travail de certains de ces journalistes.

Nous voulions contrebalancer cela. Nous avons été les premiers à évoquer la question de la délinquance importante des mineurs isolés étrangers à Rennes et Nantes notamment. Aujourd’hui les deux principaux quotidiens ont été obligés d’évoquer cela, de ne plus pratiquer l’omission. Idem pour le trafic de drogue, véritable gangrène qui se développe dans toute la Bretagne.

Je ne vois pas ces quotidiens comme des concurrents : ils sont bien plus importants que nous économiquement, et en terme d’influence, même si en onze ans, nous nous sommes aperçus que nous en avions énormément. Je nous vois plutôt comme des compléments à une certaine information parfois très orientée. Nous sommes une autre boussole, avec une autre grille de lecture, et surtout une indépendance de ton (nous ne touchons pas de subvention ni ne sommes liés à aucun groupe économique) qui nous permet de dire ce que nous voulons, dans les limites fixées par la loi française, et de ne pas faire de concession. Cette liberté, nous ne la vendrions pour rien au monde.

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Alban d'Arguin invité du Parti de la France

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Pour le commander cliquez ici

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Mercredi 11 décembre, à Paris : Xavier Eman dédicace son nouveau livre "Formatage continu" à la Librairie Vincent

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L’alliance politique abjecte entre La France insoumise et l’islamisme

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Michel Festivi  

La France dite mensongèrement « insoumise » s’est vautrée corps et biens dans la mouvance islamiste, elle s’est inféodée à cette dernière, elle qui ose prétendre qu’elle serait « insoumise ». De plus, comment ne pas rappeler, que le terme « musulman », signifie très exactement « celui qui se soumet à Dieu », ou, mais le sens est totalement identique « celui qui se remet à Dieu » selon l’islamologue Jacques Berque. Dès lors, en s’adossant jusqu’à plus soif, comme nous allons le voir, avec les pires des islamistes, les militants et dirigeants de La France « insoumise » se sont totalement et complètement agenouillés devant une religion politico-juridique, l’islam, qui entend conquérir le monde, eux qui se prétendent de surcroit, pour la plupart athées. Elle est devenue La France Islamiste, son vrai sigle désormais (LFI).

Un opposant Syrien au régime de Bachar el Hassad, qui vit en France, Omar Youssef Souleimane, a réussi à s’immerger pendant plusieurs mois parmi les pires des activistes propalestiniens, en se grimant, en portant l’éternel keffieh autour du cou, et en scandant à son corps défendant, les pires slogans islamistes. Son enquête vient de paraître le 22 novembre, dans Le Figaro Magazine, elle commence par le rappel d’un anniversaire de sang, le 5 octobre 2024, place de la République à Paris, ou se sont réunis tous ceux qui entendent célébrer le massacre des juifs, un an auparavant, dont le collectif Urgence Palestine, constitué le 8 octobre 2023, le lendemain de cette tuerie perpétrée par le Hamas, avec l’aide de l’Iran.

Omar Youssef est aux premières loges, et il peut ainsi témoigner de ce qu’il voit et entend. La bannière LFI est bien sûr présente, aux côtés des drapeaux palestiniens, à l’image de ces étendards à croix gammées qui flottaient dans le vent à Moscou, le 23 août 1939, entrelacés avec les drapeaux rouges incrustés de la faucille et du marteau. Car tout se tient en matière de terrorisme politique, communisme, nazisme, islamisme et aujourd’hui LFIsme. Le symbole du Hamas, un triangle rouge renversé, et toujours et encore l’oriflamme de LFI, qui côtoie ceux de la Palestine et de l’Algérie, nous informe Omar Youssef.

Comme dans les manifestations à Damas, en 2011, Omar Youssef nous apprend qu’il s’est grimé, pour ne pas être reconnu. Et il déclare « Je n’aurais pas imaginé me retrouver dans des manifestations où des hommes barbus, des extrémistes, au regard agressif répètent des slogans qu’on entendait en Syrie « à bas Israël » ». Parmi cette foule galvanisée de haine, ces yeux injectés de sang, il signale les députés LFI présents, qui font donc leurs de facto, ces appels au meurtre, Thomas Portes, Ersilia Soudais, Louis Boyard, Manon Aubry, et bien sûr le leader Maximo, el Comandante, le grand Timonier, Jean Luc Mélenchon.

LFI a dès le début fait sienne les déblatérations terroristes du Hamas « une offensive armée des forces palestiniennes menée par le Hamas », effectivement, tuer sciemment et volontairement, méthodiquement, des bébés, des enfants, des femmes, des jeunes ou moins jeunes totalement désarmés, c’est une offensive armée. Omar Youssef décrit la présence d’un certains nombres de terroristes patentés, ou de soutiens à ces terroristes, comme Omar Alsoumi (sans jeu de mots), militant d’un groupuscule allié au FPLP, organisme classé terroriste par les pays de l’Union Européenne et bien d’autres nations, directeur d’Urgence Palestine. Nous apprenons, que cette personne avait été aperçue, le 8 mars 2024, lors d’une manifestation dont certains membres avaient agressé des femmes de confession juive, nous dit notre reporter, on imagine le contraire, des femmes voilées agressées par des militants juifs, le monde entier aurait immédiatement réagi.

Les photos illustrant l’article nous montrent Manuel Bompard arborant un drapeau à l’effigie de George Ibrahim Abdallah, chef d’une ancienne organisation terroriste, la FARL, et condamné à perpétuité pour plusieurs assassinats en France. Notre journaliste syrien a repéré Mehdi Meftah, ami de Tariq Ramadan. Que du beau monde. Cet islamiste de haut vol est régulièrement aperçu avec à ses côtés les mêmes députés LFistes. En 2021, lors de l’examen du projet de loi contre « le séparatisme », édulcoration macronienne au demeurant, Meftah était vent debout et déclarait à une chaine libanaise soutenant l’Iran et le Hezbollah, que cette loi pourtant très en retrait par rapport aux enjeux était un « signe horrible pour les musulmans » et relevait « du racisme d’État. »

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17:03 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 23 novembre 2024

En Algérie, on arrête Boalem Sansal, en Grande-Bretagne, on emprisonne Tommy Robinson...

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S'il est normal de s'indigner sur l'arrestation en Algérie de l'écrivain franco-algérien Boualem Sansal, il ne faut pas oublier pour autant qu'en Grande Bretagne on vide les racailles d'importation des prisons pour y jeter les patriotes qui s'opposent à l'invasion de leur terre par des masses venues d'ailleurs.

Au premier rang des victimes du régime tortionnaire qui sévit à Londres, il y a le courageux combattant Tommy Robinson. Il y a quelques semaines, des dizaines de milliers de Londoniens sont descendus dans les rues de leur ville pour exiger sa libération. Comme on pouvait s'y attendre, les tyrans au pouvoir on fait la sourde oreille.

Pour attirer l'attention des peuples européens sur le triste sort des patriotes anglais, une campagne de sensibilisation se met en place. Un film a été réalisé et, une fois de plus, c'est la Vendée, grâce au dynamique Rassemblement vendéen présidé par notre ami Eric Mauvoisin Delavaud (qui était d'ailleurs présent à la manifestation londonienne cliquez ici), qui montre l'exemple. En effet, jeudi prochain, pour la première fois sur notre continent européen, sera projeté le film "Silenced" consacré au salvateur combat de Tommy Robinson.

Amis de l'Ouest, soyez nombreux a assister à cet événement.

Synthèse nationale

Prix de la place 10 euros. Ouverture des portes 18 h 30.

Réservation obligatoire à l’adresse mail :
rassemblementvendeen@outlook.fr.

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Vous êtes lecteurs de Synthèse nationale : pour aider notre action, contribuez à notre souscription patriotique 2024

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La revue Synthèse nationale a 18 ans ! Elle a été fondée par Roland Hélie en 2006. Se situant résolument dans le camp nationaliste et identitaire, à chacune de ses livraisons trimestrielles, elle nous livre des analyses non-conformistes sur l’actualité.

Au-delà de la revue, Synthèse nationale a créé, en 2012, une maison d’édition qui a déjà publié près de 150 titres parmi lesquels ceux de la fameuse collection « Les Cahiers d’Histoire du nationalisme ». cliquez ici

Synthèse nationale, c’est aussi des campagnes militantes, des conférences et des colloques thématiques à travers la France, des partenariats en Europe, et, bien sûr, les Rendez-vous Bleu-Blanc-Rouge qui rassemblent des milliers de participants…

En contribuant à la souscription patriotique 2024 de Synthèse nationale, non seulement, vous recevrez une revue engagée et téméraire et, en plus, vous nous aiderez à développer notre combat pour l’indispensable renouveau salvateur de notre Nation et notre Civilisation…

Bulletin de participation cliquez ici

Vous pouvez aussi effectuer un virement. Voici le numéro IBAN de Synthèse nationale :

FR36 2004 1000 0153 6380 4C02 068

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vendredi, 22 novembre 2024

Samedi 14 décembre au Mans (72)

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16:50 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Soutien à Boualem Sansal, emprisonné en Algérie

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Pierre Cassen,

fondateur de Riposte laïque cliquez ici

Notre ami Boualem Sansal a été arrêté par la police algérienne, ce 16 novembre, et depuis, plus de nouvelles de lui.Bien sûr, ce jour, nous lui consacrons deux articles et encourageons, en attendant mieux, nos lecteurs à protester auprès de l’ambassade d’Algérie.

50, rue de Lisbonne, 75008 Paris ( +33 1 53 93 20 20,  +33 1 53 93 20 69, chancellerie@amb-algerie.fr)

Site de l'ambassade d'Algérie cliquez ici

Nous sommes obligés de constater que, dans les démocraties occidentales, tous ceux qui osent alerter sur l’islamisation de leur pays subissent des tracas. Quelques exemples tout récents. Hier, je vous informais de la situation de cet enseignant condamné à 4 mois de prison avec sursis par le tribunal de Lyon pour avoir collé des affiches s’interrogeant, vus certains textes du Coran, sur la compatibilité de l’islam avec nos valeurs ! J’expliquais que c’était un verdict digne d’un tribunal islamique.

Hier encore, Christine Tasin, ma compagne, a été condamnée lourdement par la Cour d’Appel de Paris. Hier encore, le député suisse UDC Andreas Glarner a vu la levée de son immunité parlementaire votée, parce que, suite à une nouvelle attaque au couteau en Allemagne, il s’interrogeait, lui aussi, sur le lien entre l’islam et ces agressions. Hier encore, un ancien soldat britannique s’est retrouvé en taule pour avoir posté sur Facebook des messages informant de l’inévitable guerre civile qui se préparait en Angleterre, à cause des islamistes. Au gnouf ! cliquez ici

Et Tommy Robinson est lui aussi toujours en prison, chez les rosbifs. Tiens, ils vont passer son film pour la première fois, en Vendée, la semaine prochaine. cliquez là

Quant à moi, je suis harcelé depuis plusieurs semaines par un juge qui veut absolument m’auditionner sur un dossier où j’ai déjà répondu aux gendarmes, et sur lequel je n’ai absolument rien à voir. Je communiquerai plus tard plus précisément, mais je crains un coup tordu.

Bref, plus les islamistes tuent, et plus les collabos persécutent les résistants. Une grande classique, hélas…

 

11:47 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Sarah Knafo sur le media "Front populaire"

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Le revenant

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La chronique flibustière de Georges Feltin-Tracol

Bien que Barack Obama ait félicité Donald Trump, l’ancien chef de l’État yankee de 2009 à 2017 doit encore le regretter. En 2011, à l’occasion du dîner annuel des correspondants de presse auprès de l’exécutif, il diffusa des images parodiques qui présentaient des aménagements extravagants de la Maison Blanche sous la présidence de Donald Trump. Ulcéré, l’entrepreneur new-yorkais maugréa, se leva et quitta la salle. Il n’apprécia pas la moquerie présidentielle. Obama se vengeait des insinuations de l’homme d’affaire concernant l’inauthenticité de son acte de naissance sur le sol des États-Unis. Ce soir-là, Donald Trump se jura d’entrer en politique au moment opportun.

Quand Donald Trump annonça sa candidature aux primaires républicaines le 16 juin 2015, la médiasphère s’esclaffa ! Les premiers sondages le créditaient de moins de 0,5 %, puis autour de 5 %. Personne ne se doutait alors qu’il deviendrait l’astre majeur de la vie politico-médiatique des États-Unis jusqu’en 2029. Battu en 2020, Donald Trump aurait pu se retirer. Mais son élection inattendue en 2016 lui attira la haine immédiate de l’Establishment, une haine aussitôt matérialisée par une kyrielle de persécutions judiciaires plus ou moins fallacieuses. Loin de le démotiver, ces attaques l’incitèrent à renouer avec un dessein présidentiel.

Enquêtes d’opinions et sondages prédisaient des résultats serrés le 5 novembre dernier. La médiastructure a oublié que trump signifie « atout », « emporter », « éclipser ». Les journalistes n’ont pas vu venir la déflagration électorale. Élu en 2016, battu en 2020, Donald Trump décroche un second mandat non consécutif. Ainsi rejoint-il le démocrate Grover Cleveland (1837 – 1908), 22e président entre 1885 et 1889 et 24e président de 1893 à 1897. Il perdit l’élection en 1888 face au républicain Benjamin Harrison.

Les conditions matérielles de cette victoire reviennent en premier lieu à une équipe investie, réactive et disciplinée. Surpris en 2016 par son élection, Donald Trump avait laissé les caciques du parti républicain s’occuper de l’administration à ses dépens. Ayant compris son énorme erreur, il a œuvré entre 2021 et 2023 à en prendre la direction. Sa réélection représente un fantastique camouflet pour l’ancienne élue belliciste et capricieuse, Liz Cheney, et pour son père, Dick Cheney, le grand criminel de guerre, vice-président de George Bush fils de 2001 à 2009. Ces deux-là, faucons néo-conservateurs, globalistes et libre-échangistes, ont préféré le duo Harris – Walz.

L’organisation pratique de l’équipe de Trump a reposé sur le savoir-faire de ses co-directeurs, Chris LaCivita et Susie Wiles. Qualifié de misogyne, le supposé phallocrate réélu a désigné cette dernière chef de cabinet de la Maison Blanche. Susie Wiles sera la première femme de l’histoire à occuper cette fonction équivalente en France au secrétaire général de l’Élysée et à la supervision d’un gouvernement qui, en régime présidentiel, ignore toute solidarité ministérielle.

Faut-il pour autant parler d’une vague rouge trumpiste ? Pour la première fois depuis 2004, un candidat républicain remporte le vote populaire. Selon les dernières informations, Donald Trump rassemble 75 864 226 voix (50,06 %) et Kamala Harris 72 861 845 bulletins (48,08 %). En 2016, Trump réalisait 62 984 828 voix (46,09 %) et Hillary Clinton 65 853 514 bulletins (48,11 %). En 2020, Trump obtenait 74 223 975 voix (46,85 %) et Joe Biden 81 283 501 voix (51,31 %). Les tierces candidatures font sur huit ans des résultats négligeables. On constate qu’entre 2020 et 2024, 1 640 251 suffrages supplémentaires en faveur de Trump alors que dans le même temps, la candidate démocrate perd environ huit millions et demi de voix ! L’absence de liste électorale fédérale au sens que l’on entend en France rend malaisée toute explication rationnelle sur cette incroyable déperdition. En 2020, en raison du cirque covidien, le recours massif au vote par correspondance a perturbé la réalité électorale et favorisé les manipulations. Il serait bien que les spécialistes se penchent sur cette surprenante évaporation à moins que le tandem Biden – Harris soit l’auteur d’un génocide occulté…

Quand bien même les républicains retrouvent la Maison Blanche, influencent la Cour suprême, regagnent la majorité au Sénat et la conservent à la Chambre des représentants, il ne faut surtout pas croire que cette victoire constitue un triomphe libéral – conservateur total. Après l’élection au Sénat en 2018 de l’ancienne démocrate de l’Arizona Krysten Sinema ouvertement bisexuelle qui ne se représentait pas cette année, les électeurs démocrates du Delaware viennent d’envoyer à la Chambre des représentants la transgenre Sarah McBride. Dix référendums dans les États fédérés abordaient le sujet de l’avortement. Les électeurs de sept États (Missouri, Montana, Arizona, Nevada, etc.) ont approuvé l’inscription de l’IVG dans leur constitution respective. Seuls le Dakota du Sud, la Floride et le Nebraska ont rejeté cette légalisation. Par ailleurs, la question du salaire minimum a aussi fait l’objet de référendums en Californie, en Alaska et dans le Missouri. Il serait augmenté dans ces deux derniers États. Enfin, un démocrate remporte le poste de gouverneur dans un État-pivot, la Caroline du Nord gagné par Trump.

Le succès de Donald Trump valide en tout cas le point de vue de deux réprouvés de la scène étatsunienne. Hostile au libre-échange, l’homme d’affaire indépendant texan, feu Ross Perot, bénéficia en 1992 de 19 743 821 voix, puis de 8 085 294 voix en 1996. Contempteur des interventions militaires extérieures, le républicain paléo-conservateur Pat Buchanan fut candidat aux primaires en 1992 (2 899 488 suffrages) et en 1996 (3 184 943 voix), et, enfin, à la présidentielle de 2000 (449 895 voix).

En 2016, l’Alt Right bénéficia des retombées médiatiques de l’élection imprévue de Donald Trump. Contrairement à ce que clame le système médiatique d’occupation mentale qui y voit un nouveau succès des suprémacistes leucodermes, des sionistes chrétiens, des identitaires euro-américains et des évangéliques, le retour au Bureau ovale de Trump confirme surtout la montée en puissance de la pensée post-libérale dont la figure politique la plus connue est désormais le prochain vice-président James David Vance. Marié à une femme originaire d’Inde, Usha Chilukuri, JD Vance s’est converti au catholicisme sous l’influence de saint Augustin. La question du travail au regard de la doctrine sociale de l’Église romaine le préoccupe beaucoup. En privilégiant les thèmes économiques et sociaux liés à la mondialisation plutôt que les sujets sociétaux monopolisés par les démocrates, le duo Trump – Vance a su coaliser sur lui les catégories populaires délaissées et les classes moyennes déclassées. Maints électeurs démocrates ont sciemment choisi Trump et redeviennent, quatre décennies plus tard, des « chiens bleus », c’est-à-dire des démocrates naguère reaganiens. Cette configuration électorale rappelle celle des législatives de décembre 2019 en Grande-Bretagne quand les tories de Boris Johnson remportaient des circonscriptions historiquement travaillistes. 

Le retour tonitruant de Donald Trump risque de donner en France des idées à deux personnalités politiques. Heureux d’avoir retrouvé son siège de député de Corrèze par la grâce de la dissolution, François Hollande prépare sa candidature à la présidentielle de 2027. Il entend laver l’affront de ne s’être pas présenté dix ans auparavant. Toutefois, le créneau social-démocrate est déjà bien encombré avec les concurrences éventuelles de Raphaël « CIA » Glucksmann, de Bernard Cazeneuve, voire de François Ruffin. Dans l’impossibilité constitutionnelle de se représenter en 2027, Emmanuel Macron penserait-il dès à présent à 2032 ? Il n’aura que 54 ans, une relative jeunesse dans un monde de plus en plus sénile.

Salutations flibustières !

« Vigie d’un monde en ébullition », n°134, mise en ligne le 20 novembre 2024.

09:28 Publié dans Georges Feltin-Tracol | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

jeudi, 21 novembre 2024

LE NOUVEAU NUMÉRO DE "LA LETTRE DES AMITIÉS FRANCO-ESPAGNOLES" EST SORTI

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Un communiqué d'Hélène Grimaldi, présidente du Cercle Franco-Hispanique :

Le Cercle Franco-Hispanique, fondé le 20 novembre 1984, par Olivier Grimaldi, s’est fixé comme mission d’entretenir des liens étroits et fraternels entre les nationaux et nationalistes français et les différentes composantes du mouvement national espagnol. Le CFH contribue activement à faire connaître en France la pensée et l’action du fondateur de la Phalange, José Antonio Primo de Rivera, héros et martyre de la cause nationaliste ibérique et la victoire franquiste dans la croisade espagnole contre le bolchevisme.

Chaque année, le 6 février, le Cercle Franco-Hispanique organise une cérémonie en hommage aux morts du 6 février 1934, à l’écrivain Robert Brasillach (fusillé le 6 février 1945) et y associe son beau-frère Maurice Bardèche (un des maîtres à penser du nationalisme.)

Et de même, le Cercle Franco-Hispanique fait dire une messe à Paris, ainsi que dans plusieurs villes de province, en mémoire du général Franco et de José Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange. Cette année, la messe commémorative sera dite le 30 novembre 2024, à 12 heures, à la chapelle Notre Dame de Consolation (23 rue Jean Goujon, 75008 Paris, métro Alma Marceau). Elle sera suivie d’un déjeuner.

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LE NOUVEAU CATALOGUE DE SYNTHÈSE ÉDITIONS

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2006-2024 : Synthèse nationale a 18 ans…

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.

Cette année a été une année importante pour Synthèse nationale… Année importante car notre revue a fêté ses 18 ans. C’est en effet en 2006, au mois de mai, que nous avons créé le site d’information quotidien, et au mois de novembre, qu’a paru le premier numéro de la revue Synthèse nationale. Le lancement avait été mûrement réfléchi par le petit groupe de militants et de cadres que nous étions alors (et que nous sommes toujours), durant les mois précédents, à l’occasion de plusieurs réunions, en Bourgogne et en Bretagne.

Il s’agissait, avec peu de moyens, de créer un organe de réflexion capable de donner la parole à toutes les sensibilités de notre famille politique. Celle-ci sortait à peine d’une grave crise qui l’avait divisée des années durant (FN MNR) et qui l’avait amené à reculer sur le plan électoral (présidentielle de 2007). Nous pensions qu’il était temps de tenter de recoller les morceaux afin que le mouvement national retrouve sa place et redevienne une force attractive capable de sauver la France face aux dangers terribles qui la menacent. L’entreprise n’était pas gagnée d’avance mais méritait d’être tentée.

Certes, les années qui suivirent ont apporté leur lot de divisions, surtout sur le plan électoral (et de persécutions, au plan militant). Mais, à notre modeste niveau, nous avons réussi à réunir, dans les colonnes de notre revue, comme lors de nos Rendez-vous Bleu Blanc Rouge ou des colloques et réunions que nous avons tenus, tant à Paris qu’en Province, tous ceux qui, il y a quelques années encore, semblaient inconciliables. Mettre à la même tribune toutes les organisations (allant des néo-droitistes aux catholiques de tradition, en passant par les patriotes laïques issus de l’ultra gauche, ou encore les nationaux conservateurs, les monarchistes et les nationalistes-révolutionnaires) était un pari audacieux que finalement nous avons gagné à de nombreuses reprises. Je pense, sans vanité aucune, que Synthèse nationale a contribué, au-delà des structures partisanes, à introduire au sein de la droite d’idées un état d’esprit différent que celui qui régnait avant sa création. C’est une immense satisfaction pour nous tous, mais il y a encore beaucoup à faire…

Parallèlement, nous avons lancé, en 2012, notre maison d’édition qui, depuis, a publié des dizaines de livres destinés à la formation des militants qui, chaque année, sont de plus en plus nombreux à rejoindre le combat nationaliste et identitaire. Là aussi, après douze ans d’existence de Synthèse éditions, les résultats sont positifs. Nous nous félicitons en particulier du succès de notre collection phare, Les Cahiers d’Histoire du nationalisme, qui est destinée à apprendre aux jeunes générations militantes, sous un prisme différent de celui de la pensée dominante, l’histoire tumultueuse et passionnante des droites nationalistes, tant en France qu’ailleurs dans le monde…

Tout cela a été possible grâce au soutien que vous nous avez apporté tout au long de ces dix-huit ans de combat. Que ce soit en vous abonnant à notre revue trimestrielle Synthèse nationale, en achetant les livres que nous publions ou encore en contribuant à nos "souscriptions patriotiques" annuelles qui nous permettent de "boucler" nos budgets.

Aujourd’hui, en France (comme un peu partout en Europe et même au-delà), la droite nationale est en passe d’arriver au pouvoir. Pour atteindre cet objectif, il faudra qu’elle réalise la "synthèse" de toutes ses composantes. Quelque part, depuis dix-huit ans, nous avons essayé de montrer le chemin à suivre, et nous en sommes plutôt fiers. Néanmoins, nous sommes conscients du travail qu’il reste à réaliser. Ce travail se fera avec votre indispensable soutien. Nous savons que nous pouvons compter sur votre aide à tous… La renaissance de notre nation et de notre civilisation le vaut bien !

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CONTRIBUEZ À LA SOUSCRIPTION PATRIOTIQUE 2024 !

Un bulletin de défiscalisation vous sera envoyé.

Bulletin de participation à la souscription patriotique 2024 cliquez ici

10:55 Publié dans La vie de l'association Synthèse nationale, Livres | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 20 novembre 2024

Le gouvernement socialo-communiste espagnol ouvre à fond les vannes de l’immigration

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Michel Festivi 

Pour que le public français le comprenne bien, l’Espagne, depuis la fin de l’année 2018 est gouvernée par une coalition dite « Frankenstein », comme l’a justement nommée un politologue espagnol, tant cette coalition regroupant des socialistes, des communistes, des indépendantistes catalans, basques et galiciens, est hideuse et est en train de fracasser le pays par la multiplication de lois dites « mémorielles », c’est-à-dire attentatoires à la liberté d’expression ; des lois « historiques », pour graver dans le marbre la doxa des gauches sur la guerre civile ; des lois transgenres qui permettent même à des mineurs, et ce sans autorisation parentale, de changer de sexe sur simples déclarations administratives, sans preuve médicale aucune ; en faisant libérer par anticipation des violeurs en réduisant les peines de prison les concernant ; en reconnaissant « un état » palestinien, soutenant ainsi les pires terroristes du Hamas.

Et bien, cet agglomérat stupéfiant vient de décider d’ouvrir une fois de plus totalement, les vannes de l’immigration, ce qui va en n’en pas douter constituer un appel d’air considérable dont vont pâtir tous les pays européens. Cette loi contient essentiellement deux volets. D’une part faciliter la réduction des délais et des formalités pour l’obtention d’un titre de séjour avec l’inévitable tarte à la crème « du renforcement des droits des travailleurs migrants ». D’autre part, accélérer la régularisation de centaines de milliers d’immigrants illégaux.

L’Espagne qui est déjà submergée par les Canaries et les enclaves de Melilla et Ceuta, va voir ce phénomène s’amplifier. En toile de fond, ne nous leurrons pas, existe aussi, comme en France, la volonté de voir multiplier les naturalisations, pour obtenir un nouvel électorat, qui permettra ainsi aux partis de gauches et d’extrême gauche de se maintenir indéfiniment au pouvoir. D’autant qu’en face, le Parti Populaire, une sorte de centre droit amorphe et mou, n’a strictement aucune colonne vertébrale idéologique et laisse manœuvrer les gauches à leur guise. Seul Vox est un vrai opposant, mais ce n’est pas suffisant, dans l’immédiat en tout cas, pour contrer l’irrépressible action de Pedro Sanchez et de ses acolytes.

On estime que jusqu’à 300.000 immigrés par an pourront ainsi être régularisés. Il est prévu également que 210 000 migrants pourraient se voir attribuer la nationalité espagnole, soit 85.000 personnes de plus qu’en 2022. Avec ces chiffres, les socialo-communistes ont de beaux jours devant eux !

On sait que l’Espagne est l’une des trois principales portes d’entrée de l’immigration en Europe, avec l’Italie et la Grèce. Aux Canaries, 32.858 migrants illégaux y sont arrivés cette année, contre 23.537, l’an passé, pour les mêmes périodes. Le camp des Saints de Jean Raspail, publié en 1973 est totalement dépassé.

La loi est chapotée par la ministre espagnole « de l’inclusion et des migrations » (ça ne s’invente pas), la dénommée Elma Saiz, qui affirme péremptoirement que l’Espagne aurait besoin de 250 000 à 300 000 travailleurs étrangers par an, pour soin disant maintenir son niveau de vie. La collusion entre les gauches et le grand patronat n’a plus besoin d’être prouvée. Cette politique ne peut qu’impacter la France, par la proximité géographique des nos deux pays. Déjà, des premières mesures ont été prises, comme le fait d’accorder de plein droit, à savoir que tous les visas de recherche d’emploi seront désormais délivrés pour un an et non plus pour trois mois, et les renouvellements pour 4 ans.

Les travailleurs immigrés clandestins ou non sévissent beaucoup dans l’agriculture qui est aux mains de grands groupes, et le tourisme aussi, nos agriculteurs français qui sont durement concurrencés par des pays à main d’œuvre à bas coût, ne vont pas près de voir le bout de leur tunnel...

Prendre connaissance de la presse de gauche et d’extrême gauche est parfaitement révélateur. C’est ainsi que Libération a titré « Immigration : et si l’Espagne avait raison ? ». Et de fustiger bien sûr le gouvernement italien de Méloni.

Pedro Sanchez avait pris il y a quelques mois une décision hautement politique. Il avait obligé les communautés autonomes à accueillir des immigrants illégaux arrivant principalement des Canaries. Comme la plupart de ces Communautés sont dirigées désormais par le Parti populaire depuis les élections de mai 2023, c’était aussi l’occasion de saper ses adversaires et leur mettre de gros cailloux dans leurs souliers. Le PP n’y a pas vu malice et a accepté la chose. Aussitôt Vox est monté au créneau et n’a pas hésité à rompre des contrats de coalition qu’il avait passé avec le PP dans 5 régions. On le voit, par ce truchement, les socialistes et communistes espagnols entendent lutter idéologiquement contre le PP et Vox. C’est ce qu’on appelle un jeu de billards à trois bandes.

Santiago Abascal, le patron de Vox a déclaré le 17 octobre dernier à Bruxelles, qu’aucun migrant qui entre illégalement en Europe ne doit pouvoir voir sa situation régularisée. Il a fustigé et le PP et le PSOE qui font exactement le contraire. Santiago Abascal a fait remarquer, qu’aujourd’hui en Europe, même des gouvernements de gauche, se montrent plus restrictif envers l’immigration, comme l’Allemagne ou la Pologne. Car selon lui « la chose la plus importante est que les migrants en situation irrégulière, cessent de venir... quiconque entre illégalement en Europe ne pourra jamais être régularisé ». L’Espagne socialo-communiste, l’Espagne Frankenstein, n’en prend pas vraiment le chemin, c’est le moins que l’on puisse en dire. Mais elle risque d’entraîner dans ses errements, bons nombres d’autres pays, dont la France.   

12:23 Publié dans Michel Festivi | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

20 NOVEMBRE, L'ESPAGNE SE SOUVIENT :

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12:22 Publié dans Un peu d'Histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

Dans Valeurs actuelles de cette semaine : la revanche de Philippe de Villiers

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Site de VA cliquez ici

10:31 Publié dans Revue de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |