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mardi, 02 juillet 2024

Le mouvement catholique et identitaire Academia Christiana organise deux universités d’été en Provence et dans l’Ouest de la France

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Le mouvement catholique et identitaire Academia Christiana organise deux universités d’été en Provence et dans l’Ouest de la France

La première se déroulera du 15 au 21 juillet 2024 en Provence. La seconde du 12 au 18 août dans l’Ouest de la France.

En 10 ans Academia Christiana est devenu le rendez-vous incontournable d’une certaine jeunesse catholique qui cherche à s’engager dans la société. Plusieurs milliers de jeunes sont passés sur nos bancs. Venus de toute la France pour se former, ce sont des lycéens, des étudiants ou de jeunes familles qui se retrouvent à l’université d’été pour se former et réfléchir à leur avenir. Plus qu’une simple université d’été, c’est aussi un carrefour ou une plateforme de rencontre sur laquelle se croisent tous les milieux et toutes les écoles de pensées spirituelles ou politiques. Vous y croiserez des prêtres de différentes communautés mais aussi des acteurs politiques et associatifs (élus locaux, enseignants, écrivains, journalistes, militants…) issus de notre mouvance de pensée au sens le plus large qui soit.

Le programme définitif n’a pas encore été communiqué, mais nous vous tiendrons informé.

Pour vous inscrire, c’est ici

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jeudi, 27 juin 2024

Du 8 au 14 juillet : camp annuel de Jeune Nation

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Renseignements au : 07 81 72 58 81

Inscription obligatoire sur : Camp Jeune Nation 2024

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mercredi, 26 juin 2024

La dernière abjection darmanesque : la dissolution du GUD

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En prononçant la dissolution du GUD (Groupe union & défense), le syndicat des étudiants nationalistes né en 1968, le gouvernement de paranos névrosés en fin de parcours qui dirige encore la France, sans doute pour bien peu de temps, se livre à un ultime et mesquin règlement de compte.

Le GUD fut à l'origine d'Ordre nouveau à la fin des années 1960 ; Ordre nouveau, au début des années 1970, fut à l'origine du Front national ; le Front national, en 2017, est devenu le Rassemblement national et, dans quelques jours, il est possible que le RN accède au pouvoir... C'en était trop pour la clique gouvernementale en débâcle. Il leur restait une dernière balle, ils l'ont tirée ce matin en dissolvant le GUD. C'est petit... mais ces gens sont minuscules.

Le GUD, dans sa tumultueuse et héroïque histoire, s'est retrouvé à maintes reprises face à l'adversité violente. Qu'il s'agisse des bandes armées gauchistes, des milices sionistes des années 1980 ou de l'appareil répressif des différents pouvoirs qui se sont succédés. Il s'en est toujours sorti. Ce n'est donc pas les rodomontades darmanesques, qui vont l'éliminer. 

Ce qui est le plus révoltant dans cette affaire, c'est que, il y a quelques jours, un homme politique de droite (par charité, nous vous laisserons deviner de qui il s'agit), s'est cru autorisé, lui aussi, alors que personne ne lui en demandait autant, de réclamer la dissolution du GUD à qui il doit tant - mais cela, il ne le sait probablement pas. Cependant, nous ne lui en tiendrons pas trop rigueur... Disons que nous mettrons cette intervention sur le compte de l'inexpérience pardonnable... 

Suite au prochain épisode...

Roland Hélie

directeur de Synthèse nationale

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mercredi, 15 mai 2024

Paris, vendredi 31 mai : banquet militant du Parti de la France

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dimanche, 12 mai 2024

Manifestation du Comité 9 mai à Paris : une nouvelle victoire de la liberté contre la tyrannie

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Samedi 11 mai, le Tribunal administratif de Paris a finalement, quelques heures seulement avant celle prévue pour le rassemblement, donné raison au Comité 9 mai cliquez ici. L'interdiction prononcée par le pouvoir a été levée.

Plusieurs centaines de jeunes nationalistes ont ainsi pu, rue d'Assas, rendre hommage à Sébastien Deyzieu, militant du GUD décédé lors d'une manifestation contre l'impérialisme américain en mai 1994. 

Il faut dire qu'avec cette juste décision du Tribunal, Darmanin, le liberticide de la place Beauvau, et sont factotum parisien, le préfet Nuñez, prennent un coup dans les narines. Elle prouve, comme s'il en était encore besoin, l'inanité de la circulaire publiée il y a un an par le ministre de l'Intérieur demandant l'interdiction systématique des réunions et manifestations patriotiques. 

Samedi après-midi la manifestation s'est donc déroulée dans un ordre parfait. Aucun incident à signaler, aucune vitrine brisée, aucune voiture incendiée, aucun passant molesté... Nous sommes aux antipodes des démonstrations de haines ultra violentes de LFI et autres groupes "antifas" ou islamogauchistes.

Avec la réussite de cette admirable marche du souvenir, une nouvelle victoire pour la liberté a été remportée face aux tyrans encore au pouvoir. Bravo au Comité 9 mai, le combat continue !

S N

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jeudi, 09 mai 2024

Samedi 11 mai, Paris : marche en souvenir de Sébastien, militant nationaliste tombé lors d'une manif le 9 mai 1994

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Samedi 11 et dimanche 12 mai : l'Action française à Paris

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samedi, 04 mai 2024

Comme chaque année, malgré les interdictions, le Parti de la France a célébré symboliquement Jeanne d'Arc le 1er mai dernier

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jeudi, 02 mai 2024

Bélabre (36), samedi 11 mai : contre le projet CADA, mobilisation populaire !

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mardi, 30 avril 2024

Le Parti de la France gagne son procès contre le site gauchiste "La Horde"

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Un communiqué de Pierre-Nicolas Nups (membre du Bureau politique du Parti de la France)

J'ai le plaisir de vous annoncer qu'Isabelle de Baric-Briand, directrice de publication du « portail antifasciste La Horde », a été mise en examen et renvoyée devant le Tribunal correctionnel de Nancy pour y être jugée le 14 juin 2024 à 8h30, pour diffamation à mon encontre.

C’est une très grande victoire pour le camp national car cela fait plus de vingt ans que ces odieux personnages diffament, mentent, injurient et commettent des méfaits sous couvert d’anonymat pour nuire aux militants patriotes.

Jamais inquiétés car jamais formellement identifiés, les plaintes n’ont jamais abouties jusqu’à aujourd’hui.

Je ne suis pas peu fier de les avoir coincés après une très longue procédure judiciaire.

Dorénavant, je sais avec certitude qui tient ce site. Je possède des aveux faits devant un juge d’instruction et des preuves, notamment constatées par huissier, qui ont abouti à la mise en examen de Madame Isabelle de Baric-Briand.

Dorénavant, c’est terminé l’anonymat pour ces gens. À chaque fois qu’ils écriront des choses sur nous, je ferai citer leur directrice de publication à comparaître.

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vendredi, 26 avril 2024

"Europe, civilisation des libertés !", intervention de Jean-Yves Le Gallou au colloque de l'Iliade du 6 avril dernier

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Co-fondateur de l’Institut Iliade, Jean-Yves Le Gallou est essayiste et ancien haut fonctionnaire. Membre du GRECE en 1969, il co-fonde en 1974 le Club de l’horloge. Il est président du groupe FN puis du MNR au conseil régional d’Île-de-France de 1986 à 2004, et député européen de 1994 à 1999. En 2003, il crée Polémia et il anime également l’émission de critique des médias I-Media sur TV Libertés.

Son intervention au colloque de l'Iliade cliquez ici :

Je vais vous faire une confidence. Je vais vous raconter à quoi Romain et moi avons passé cette dernière semaine de préparation du colloque. Cette semaine, toutes les trois heures, nous sommes allés sur le site de la préfecture de police pour vérifier qu’il n’y figurait pas d’arrêté d’interdiction de notre colloque. Il n’y a pas eu d’interdiction de notre colloque et c’est heureux. Mais le simple fait que la question ait pu se poser, le simple fait qu’il ait pu être envisagé qu’un colloque intellectuel comme celui-ci soit interdit, montre l’ampleur des menaces qui pèsent sur les libertés françaises et les libertés européennes aujourd’hui. Cette interdiction potentielle est à mettre en perspective avec la vague d’interdictions bien réelle de manifestations, la vague de dissolutions, la vague de détentions arbitraires qui ont eu lieu au cours de la dernière année.

C’est aussi à mettre en perspective avec trois propositions de loi en cours de discussion au Parlement. Enfin, quand je dis en cours de discussion, j’exagère, puisqu’on s’achemine vers des votes à l’unanimité. Je vais vous les énumérer rapidement. Et puis nous rappellerons ce que sont les libertés européennes et en quoi elles peuvent nous inspirer aujourd’hui. D’abord, il y a un projet, un premier projet de loi, qui vise à compléter la loi Pleven par l’ajout d’un interdit supplémentaire, à savoir la discrimination capillaire. Je dois dire que ça me sidère un petit peu puisqu’il y a quatre ans j’avais prévu d’organiser le 1ᵉʳ avril 2020 une manifestation parodique précisément contre la discrimination capillaire. Mais ce qui était un « 1ᵉʳ avril » il y a quatre ans est une proposition de loi votée en première instance aujourd’hui. Certes, cela vise davantage à protéger les jeunes rastas noirs que les vieux hommes blancs chauves. Mais enfin, l’esprit des lois est là. Ça, c’est la première loi. La deuxième loi, c’est un nouveau dispositif qui crée un délit d’outrage en ligne pour tout ce qui porte atteinte à la dignité d’une personne et présente à son égard un « caractère injurieux, dégradant ou humiliant », ou crée une « situation intimidante, hostile ou offensante », c’est-à-dire une définition extrêmement large de ce nouveau délit pénal. Et puis il y a le sommet, déjà voté en première instance à l’Assemblée nationale, à l’unanimité : c’est la création d’un délit d’opinion privé. La correctionnalisation des propos privés, c’est-à-dire l’extension de l’ensemble du dispositif de la loi Pleven aux conversations privées – entre amis, en famille – qui est a été votée en première lecture à l’Assemblée nationale. C’est l’interdiction, la pénalisation, la criminalisation de la blagounette.

Certes, et ce n’est pas une consolation, il n’y a pas qu’en France qu’on connaît une telle évolution liberticide. En Écosse, J. K. Rowling, la mère d’Harry Potter, a expliqué qu’elle risquait sept ans de prison – oui, vous avez bien entendu, sept ans de prison – puisqu’elle refusait la loi faisant de la négation de la transidentité un délit. En Allemagne, la présidente du Bundestag a demandé à l’Office fédéral de protection de la Constitution, c’est-à-dire la police politique, de contrôler le choix de leurs assistants par les parlementaires de l’AfD, ce qui est la négation de la démocratie représentative. Dans le même temps, le gouvernement a engagé 400 procédures disciplinaires contre des policiers pour délit d’opinion identitaire. Je pourrais aussi citer la Pologne où on prévoit une loi contre les discours de haine dans le but de protéger la propagande LGBTQ X, Y, Z. Trois ans de prison ferme. Je pourrais citer la Belgique, les Pays-Bas. Partout en Europe, c’est la nuit qui tombe sur les libertés.

Alors, comment appelle-t-on un régime où la liberté d’expression est réprimée ? Comment appelle-t-on un régime où des interdits professionnels sont mis en place en fonction des opinions ? Comment appelle-t-on un régime qui abolit la distinction entre le domaine privé et le domaine public ? On appelle cela un régime totalitaire, ou, pour reprendre le titre du livre de l’essayiste Mathieu Bock-Côté, un « totalitarisme sans le goulag ». Alors comment faire face ? Comment réagir ? Eh bien, en retournant à la source des libertés européennes à l’aube grecque, de la pensée aux discussions de l’Académie, à la fondation de la rhétorique, c’est-à-dire à l’organisation de la libre confrontation des opinions et au développement de la disputatio. À l’origine de l’essor de la pensée européenne.

Voici ce qui est au cœur de la pensée européenne : en dehors des dogmes religieux, ne peut être dit vrai que ce qui peut être librement contesté. Je précise : la proposition A peut être dite vraie, mais uniquement si elle est confrontée à la proposition non A et qu’elle en sort victorieuse ou en tout cas et uniquement à cette condition. Je vais donner, au risque de choquer, un exemple concret. Je croirai personnellement à la thèse de l’origine anthropique du réchauffement climatique le jour où, dans la dizaine de disciplines qui concernent le climat, les recherches critiques sur la thèse officielle seront financées et publiées, autant financées et publiées que les recherches conformes à la doxa. Ce n’est pas le cas aujourd’hui. Un chercheur américain qui a publié un article dans la revue Science (à propos de l’origine des feux de forêts en Californie) a déclaré : « Je n’ai pu le publier que parce que j’ai biaisé les résultats. » Donc, en l’état actuel, on ne peut pas dire que la thèse du réchauffement d’origine anthropique soit scientifique. Ce n’est rien d’autre qu’un millénarisme, une hérésie millénariste. Et d’ailleurs, il y a dans les tuyaux la préparation d’un adjuvant à la loi Pleven visant à interdire le « déni climatique » (sic). C’est le retour de la « science officielle » comme à la belle époque du lyssenkisme, sous Staline. Alors il faut retrouver les libertés académiques, retrouver les libertés universitaires, retrouver les libertés publiques. Il y a 30 ans ou 40 ans, il aurait été impensable d’avoir à tenir un tel discours tellement ces exigences-là paraissaient évidentes.

Alors, continuons notre retour aux sources et revenons à la distinction entre le public et le privé. Le dictateur romain Sylla, précurseur d’Auguste, avait fait adopter une loi, une lex Cornelia, qui réprimait les violences et les injures au domicile. Mais il avait exclu des poursuites les membres de la famille et les proches parce que l’État n’avait pas à entrer dans le privé. L’État n’avait pas à entrer dans la maisonnée. Et cette loi a inspiré beaucoup d’autres lois successives aux différentes époques de l’histoire. Elle a contribué à fonder une distinction essentielle entre le domaine public et le domaine privé. Bref, il ne faut pas faire entrer l’État dans l’espace privé comme il est en train d’y entrer par la loi que j’ai évoquée, de criminalisation des propos privés. Comme il y entre aussi par l’intermédiaire de toute une série de réglementations sur ce qu’on peut ou doit faire à l’intérieur de son domicile pour respecter des normes de plus en plus nombreuses et tatillonnes. Quand on accepte cela, on va dans le sens du totalitarisme. Alors, il faut libérer le domicile et les relations à l’intérieur du domicile des contraintes de l’État.

Continuons d’aller aux sources. Eh bien, les sources, ce sont aussi les leçons du Moyen Âge. Pour le grand historien Fernand Braudel, du ve au xve siècle il y a un mot qui traverse toute la dynamique économique et sociale de l’Europe.

Ce mot, c’est les libertés. Pas la liberté, les libertés : liberté des villes, libertés universitaires (qui sont aujourd’hui en voie de disparition), liberté des corporations, liberté des terres, les alleux. Quand vous vous promenez en France, vous trouvez partout des bourgs, des lieux-dits qui s’appellent Les Allues, Les Alluets. Des toponymes qui renvoient à cette période d’émancipation des terres. Alors cette idée de liberté, c’est une idée de libertés au pluriel. C’est une idée très féconde pour faire face à la normalisation, au retour du jacobinisme contre les libertés locales et à la concurrence dans le domaine agricole des petites exploitations avec les latifundia. Les réglementations sont écrites et faites par les grosses unités, les multinationales en particulier. Il faut en dispenser les petites unités. Et, comme dans cette période finalement féconde (contrairement à ce qu’on a pu en raconter à certaines périodes) du Moyen Âge, cet âge des libertés, l’heure est aux franchises. Franchises pour les terroirs, franchises pour les communes, franchises pour les petites et moyennes entreprises, franchises pour les écoles.

Continuons d’aller aux sources avant de conclure. Aller aux sources, c’est aussi se rappeler l’histoire de la liberté de la presse. Toute la lutte du XIXᵉ siècle en France et dans les pays voisins tourne autour de la lutte contre la censure qu’on appelait « Anastasie » avec ses ciseaux. Quand Polignac, ministre de Charles X, a voulu rétablir la censure par des ordonnances, il a déclenché la révolution de Juillet contre la censure. Mais la liberté de la presse a connu encore différents avatars. Sous la monarchie de Juillet, sous le Second Empire, sous les débuts de la Troisième République, il y eut régulièrement le retour de la censure. Il faut attendre la grande loi de 1881 pour fonder durablement la liberté de la presse. Son article 1 est simple et merveilleux. Il faudrait y revenir, voici son texte : « La presse et l’imprimerie sont libres. » C’est ce qui est resté la règle, en dehors des périodes de guerre, jusqu’en 1972. Année funeste où a été votée la loi Pleven, première étape d’un resserrement progressif puis d’une disparition des libertés. D’abord par l’extension progressive de son contenu en France, l’extension des incriminations – j’en ai cité quelques-unes – et par son imitation dans la quasi-totalité des pays européens. Face à l’extension permanente de nouveaux sujets de poursuites, il faut, là aussi, un choc de liberté. Aujourd’hui, l’Europe a besoin d’un double choc, d’un choc de liberté et d’un choc d’identité. Ces deux chocs sont liés car il n’y a pas d’identité européenne s’il n’y a pas de liberté européenne, et il n’y a pas de liberté européenne sans identité. Liberté et identité, c’est le combat central. Nous ne pouvons sauver l’une que si nous sauvons l’autre. Les deux sont liées. Nous devons retrouver les sources, les fondements des libertés européennes.

Toutes les interventions au colloque de l'Iliade du 6 avril 2024 cliquez là

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lundi, 22 avril 2024

Mardi 30 avril, à Paris : conférence de Pauline Condomines sur l'ultra-gauche

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dimanche, 21 avril 2024

Rennes : le militant de l'Oriflamme condamné en octobre relaxé en appel vendredi dernier

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Communiqué de l'Oriflamme cliquez là :

En octobre dernier, un de nos militants était condamne a 4 mois de prison ferme, 2 900 euros d'amende et à 3 ans d'interdiction de détenir une arme. Son crime ? Avoir été le porte-parole de notre action pacifique contre la lecture réalisée par des drags queens auprès d'enfants de trois a six ans dans la médiatheque de Saint-Senoux au mois de mai 2023. Sous la pression politique, médiatique et gauchiste, le tribunal avait jugé qu'un tel affront méritait d'être puni de prison ferme.

Quand les juges reviennent à la raison. Ils balayent d'un revers de main les condamnations iniques pour délit d'opinion. Car en première instance. Rien n'était motivé en droit mais tout n'était qu'idéologie et soumission au pouvoir.

Notre militant a été entièrement relaxe de tous les chefs d'accusation a l'issue de ce procès en appel.

Il est toutefois inquiétant de constater que les intimidations de quelques gauchistes et du lobby LGBT, les articles de quelques journalistes et l'acharnement d'un procureur peuvent condamner à l'avance les militants nationalistes pour des futilités. « Le droit, c'est le royaume de l'imaginaire » disait Cioran.

Pour une manifestation pacifique de dix minutes qui ne constitue aucun délit. Comme l'atteste la cour d'appel de rennes donc. Notre militant a subi deux gardes a vue, deux procès, a et jeté en pâture a la presse et par la presse. Les Français ne constatent pas un tel acharnement contre ceux qui, en haut ou en bas, détruisent littéralement notre pays.

Finalement, gauchistes, journalistes, politiques, procureurs, tous ont voulu mettre les menottes aux poignets de notre militant afin de détruire l'oriflamme. Ils ont cru réussir : qu'ils déchantent et pleurnichent désormais.

Pour la nation, pour la civilisation.

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Sur ce qu'il s'est passé en

octobre dernier à Rennes  cliquez ici

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samedi, 20 avril 2024

Riposte laïque est sauvé !

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Le site Riposte laïque cliquez là

 

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lundi, 15 avril 2024

Riposte laïque a bien raison : il faut dissoudre tous ceux qui appellent à manifester contre l’islamophobie

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Source Riposte laïque cliquez ici

Le 21 avril 2002, Jean-Marie Le Pen provoquait un séisme dans tout le pays, en se qualifiant pour le deuxième tour, face à Jacques Chirac. Lionel Jospin, qui se voyait déjà à l’Élysée, se retrouvait au tapis, et tous les dirigeants de gauche, à l’exception d’Arlette Laguiller, se ridiculisaient en appelant à voter pour le candidat corrompu du RPR.

Pendant l’entre deux tours, nous eûmes droit à une propagande grotesque, mais efficace, de l’ensemble de l’appareil d’État, mobilisé contre le “péril fasciste”, avec instrumentalisation des enfants par les enseignants, manipulation des médias et même annulation du débat entre les deux tours, Chirac ayant compris qu’il avait tout à perdre en acceptant un débat dont il serait sorti en lambeaux.

La symbolique est forte, 22 ans après ce jour historique, tout ce que la gauche compte de collabos et de traîtres va s’associer aux islamistes, dans une marche mensongèrement appelée contre le racisme, l’islamophobie et pour la protection de nos enfants. Cliquez ici

De quoi s’agit-il ? D’une inversion accusatoire classique, dans un contexte où en France, en Europe et dans le monde, le djihad s’accélère par la multiplication de coups de couteaux mortels contre les infidèles, et même les mauvais musulmans. Alors que nos compatriotes, et à juste titre, sont de plus en plus inquiets par l’invasion migratoire majoritairement musulmane organisée par l’UE, le régime de Macron et les collabos de gauche, il s’agit de faire passer l’idée que la France serait un pays gangrené par le racisme de nos compatriotes à l’égard des paisibles musulmans, et que les policiers – régulièrement agressés par des racailles – assassineraient gratuitement, en toute impunité, les enfants des quartiers. Bien évidemment, on oublie de préciser que ceux-ci, souvent sur des engins volés, ou au volant de voitures qu’ils conduisent sans permis, comme Nahel Merzouk, refusent d’obtempérer aux demandes de contrôles des forces de l’ordre.

Cette manifestation aura donc lieu plus de 4 années après celle du 10 novembre 2019, où toute la gauche avait cautionné un délit d’islamophobie supposé, et les cris d’Allah akbar poussés près du Bataclan.

Nous n’avons pas oublié que le 18 décembre 2010, quand nous organisions les Assises internationales contre l’islamisation de nos pays, main dans la main, une dizaine d’islamistes et une cinquantaine de militants de gauche, dont l’ineffable Caroline Fourest et Alexis Corbière, manifestaient déjà contre ce qu’ils appelaient l’islamophobie.

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mercredi, 10 avril 2024

En cette fin de semaine, dans l'Ouest, plusieurs rendez-vous à ne pas manquer :

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Les héroïnes de Besançon :

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Deux jeunes femmes au courage exemplaire ont participé à leur manière au carnaval de Besançon dimanche dernier. Elles ont en effet défilé en brandissant des pancartes dénonçant le développement de la criminalité liée à l'immigration incontrôlée. Ces jeunes femmes appartiennent au collectif identitaire Némésis cliquez ici qui, depuis quelques années, agit efficacement pour soutenir les femmes agressées.

Il n'en fallait pas plus pour susciter l'hystérie des valets locaux du Système qui, par l'intermédiaire du maire de la capitale franc-comtoise, une dénommée Anne Vignot (écolo immigrationniste), en appellent à la répression contre ces valeureuses résistantes. 

Pourtant, cette manifestation improvisée a eu le mérite de susciter dans la nombreuse assistance présente l'approbation ou, tout du moins, l'interrogation. Il s'agit donc d'une victoire pour nos jeunes et téméraires camarades. Cela, le maire écolo et ses sbires ne peuvent le supporter.

Viendra vite le temps où la Vignot et les autres collabos de cette ville devront, ici comme ailleurs, enfin rendre des comptes. 

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Au même moment, des militantes ont déployé une banderole cliquez là en plein centre ville de Besançon.

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La vérité qui dérange...

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lundi, 08 avril 2024

Banquet du Parti de la France à Combourg (35) : une belle journée pour les nationalistes de Bretagne...

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Magnifique banquet du Parti de la France d'Ille-et-Vilaine dimanche à Combourg (35). Plus de 50 participants, une ambiance amicale et constructive, des appels enthousiastes à voter pour la liste de Marion Maréchal. Interventions de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque, Bruno Hirout, secrétaire général du PdF, et de Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale.

Le stand de notre maison d'édition a remporté un beau succès et de nombreux convives profitèrent de l'occasion pour s'abonner à notre revue ou acheter nos livres. Merci à Jean-Marie Lebraud, responsable du PdF en Bretagne, et à son équipe pour leur accueil. 

Une belle journée pour les nationalistes de Bretagne...

samedi, 06 avril 2024

TOURS (37) : LES LÂCHES ONT VOULU EMPECHER GABRIELE ADINOLFI DE PARLER

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Jeudi soir, à Tours, les antifas ont tenté d'empêcher la tenue de la conférence cliquez ici de notre ami Gabriele Adinolfi prévue dans cette ville sur le thème de "la stratégie de la tension" qui marqua l'Italie dans les années 1970 et 1980 et pour y présenter son nouveau livre Le défi au futur (Synthèse nationale cliquez ici).

Une fois de plus, à cette occasion, ces petits miliciens du Système ont montré ce qu'ils sont, à savoir une bande de lâches juste capables de dégrader, à l'aide de bombes de peinture, les mûrs du quartier et briser les vitres de la brasserie Saint Germain où la réunion s'est tenue. En tout, il y a plus de 15 000 euros de dégâts...

Malgré ces piteuses tentatives d'intimidations, Gabriele Adinolfi, avec le talent que nous lui connaissons, s'est exprimé devant une quarantaine de Tourangeaux, parmi lesquels beaucoup d'étudiants. Un débat s'en suivit à l'issue duquel nombreux furent ceux qui se firent dédicacer Le défi au futur dans lequel Gabriele Adinolfi explique le sens du combat des Lansquenets d'Europe, la structure continentale qu'il a créée il y a quelques années.

Saluons la détermination du Cercle Prométhée - Des Tours et des Lys cliquez là, très actif en Touraine, qui était l'organisateur de cette conférence, et le courage de la direction de la salle qui, malgré les détériorations et les menaces, n'a pas cédé aux prétentions des gauchistes.  

S N

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mardi, 26 mars 2024

Samedi 6 avril, à Paris : colloque de l'institut Iliade

En savoir plus cliquez ici

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mardi, 05 mars 2024

Jules Lecompte, le courageux lycéen qui se bat pour la reconnaissance du génocide vendéen, invité sur Radio Courtoisie

 

L'émission Ligne Droite du vendredi 1er mars, sur Radio Courtoisie, avec Jules Lecompte, lycéen, Reynald Secher, historien et Sophie Audugé, déléguée générale de SOS Éducation.

Jules était aussi invité récemment sur Boulevard Voltaire :

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Soutien à Jules Lecompte :

Ces derniers jours, d'un côté on gobe les bobards d'une hystérique porteuse du voile islamique dans son lycée qui prétendait avoir été agressée par son proviseur... et, de l'autre, on exclue Jules Lecompte, un jeune lycéen dont le seul "crime" est d'avoir posé une question sur le génocide vendéen...

C'est comme cela que ça se passe dans la France de Macron. Vous savez cette France qui se gargarise de "valeurs républicaines" et qui prétend donner des leçons à la terre entière... Heureusement, l'heure approche ou ces tristes sires devront rendre des comptes....

Tiens-bon Jules !

S N

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samedi, 02 mars 2024

RENNES : LES JEUNES DE L'ORIFLAMME DÉCORENT LA VILLE

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À Rennes et dans ses environs, comme partout en France, les nationalistes réveillent nos villes...

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samedi, 24 février 2024

Angers : les étudiants décorent la cité du Roi René

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Rassemblement des étudiants de droite Angers

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mardi, 20 février 2024

Dimanche dernier, en Vendée : conférence de Bernard Germain sur son dernier livre, "Union européenne : en sortir... au plus vite !" 

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Dimanche 18 février, près de la ville de Challans, en Vendée, s'est tenue une conférence organisée par le Rassemblement vendéen. L'invité de cette belle réunion, qui réunissait une cinquantaine de personnes, était Bernard Germain, auteur du livre Union européenne : en sortir... au plus vite !. Tel était, bien entendu, le thème de son exposé. De nombreux exemplaires du livre de Bernard, ainsi que des numéros de notre revue Synthèse nationale, ont été diffusés à cette occasion.

Merci à la sympathique équipe du Rassemblement vendéen et à son président Eric Mauvoisin-Delavaud, pour leur accueil et bravo pour l'excellent travail militant qu'ils réalisent dans toute la Vendée militaire pour la renaissance de la France française.

S N

Le livre de Bernard Germain Union européenne : en sortir... au plus vite !  cliquez ici

Site du Rassemblement vendéen cliquez là

dimanche, 18 février 2024

Il y a 40 ans, Jean-Marie Le Pen crevait l’écran à L’Heure de vérité…

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Nicolas Gauthier

C’était il y a quarante ans, le 13 février 1984, sur Antenne 2, qui ne s’appelait pas encore France 2. Les moins jeunes de nos lecteurs doivent encore s’en souvenir. Ce soir-là, un certain Jean-Marie Le Pen avait, pour la première fois de sa carrière, les honneurs de L’Heure de vérité, l’émission politique la plus prestigieuse de l’époque.

Et ce qui aurait pu n’être qu’un moment télévisuel anodin devient un coup de tonnerre médiatique. À l’époque, tout l’état-major du Front national tient dans un trois-pièces du 11, rue Bernoulli, dans le huitième arrondissement parisien. Dès le lendemain, ses deux malheureuses lignes téléphoniques sont au bord de l’implosion. On fait la queue pour adhérer. La province n’est pas en reste, malgré une implantation des plus modestes. Bref, une étoile est née.

Certes, le FN avait déjà commencé un début de percée électorale, à Aulnay-sous-Bois (93) ou Dreux (28). Pour les rares clampins qui connaissent le nom de Le Pen, son image renvoie à celle du reître avec bandeau sur l’œil, à l’élection présidentielle de 1974. Mais cette émission change définitivement la donne. Son public d’avant ? Celui de meetings aux rangs clairsemés, ne rassemblant que sympathisants radicaux de longue date acquis à sa cause. Mais là, c’est pour la première fois au grand public qu’il s’adresse.

Et puis, il y a les élections européennes…

La preuve : quatre mois plus tard, le Front national recueille 10,95 % des voix aux élections européennes, talonnant ainsi le PCF (11,20 %). Bref, la vie politique ne sera plus jamais comme avant, le FN, avant de devenir RN, commençant à passer de jeune pousse à valeur sûre, d’opposition symbolique à force de gouvernement. Pour ce faire, il aura fallu quarante ans, mais tout aura symboliquement démarré ce jour-là.

Paradoxalement, et à revoir ce moment mythique, on constate, en revanche, qu’autre chose n’a pas changé depuis : l’obsession de ces journalistes à toujours vouloir tout ramener aux questions du racisme et de l’antisémitisme. Lors de cette Heure de vérité, Jean-Marie Le Pen doit donc rappeler que son nom était inscrit sur les monuments aux morts, alors que celui d’un Georges Marchais ne l’est que sur les fiches de paye des usines Messerschmitt, en Allemagne. Un demi-siècle plus tard, sa fille est encore tenue de se justifier de ces mêmes procès en sorcellerie.

Quant au mépris de classe, il est déjà là, lui aussi. Il suffit de voir le masque, à la fois mondain et suffisant, d’un Jean-Louis Servan-Schreiber, en costume sur mesure, tenter d’en tailler un à Jean-Marie Le Pen, dont le tailleur, lui, est manifestement un brin moins riche. D’où le renvoi du gandin dans ses cordes par le Menhir lui accordant que pour « élégant et feutré », son « inquisition politique » n’en est pas moins réelle.

Ce qui n’a pas changé non plus, c’est la clémence du microcosme politico-médiatique quant aux morts du communisme. La preuve par cette minute de silence improvisée, histoire de célébrer les victimes du goulag. Là, tout le monde est pris de court sur le plateau, comme elle le serait encore aujourd’hui ; et la séquence devient illico mythique.

Un visionnaire en matière d’immigration

Ce qui n’a pas davantage changé, c’est la clairvoyance de l’invité ; en matière migratoire, surtout. Jean-Marie Le Pen dénonce, avec quelques décennies d’avance, cette politique visant à importer de malheureux immigrés, histoire de tirer à la baisse le salaire des travailleurs français. Reconnaissons qu’en leur temps, Jean Jaurès et la CGT ne disaient pas autre chose. Mais le « petit plus » lepéniste consiste à évoquer l’explosion démographique du sud de l’Europe ; sujet désormais central du débat public.

Bref, ces propos tenus il y a quarante ans n’ont jamais été autant d’actualité. Et dans le registre de la clairvoyance, on peut encore se rapporter à ce débat plus récent l’ayant opposé, le 15 mars 2018, à Gérald Darmanin, alors ministre de l’Action et des Comptes publics.

Là encore, un Jean-Marie Le Pen visionnaire à propos de l’explosion migratoire à Mayotte, pour laquelle il entend déjà remettre en cause le droit du sol. Ce qui révulse, à l’époque, le jeune clone de Nicolas Sarkozy, alors que le même se targue maintenant de mettre en place semblable mesure dans cette île ultramarine.

À l’heure où ces lignes sont écrites, on peut mesurer le chemin parcouru en termes de lepénisation des esprits. Certes, on a souvent tort d’avoir raison trop tôt. Mais à force d’insister, on finit toujours par avoir raison, tout en espérant qu’il ne soit pas trop tard. Un jour viendra peut-être où les Français se rendront compte de tout ce qu’ils doivent, à leur corps défendant ou non, qu'ils l'aiment ou le détestent, à Jean-Marie Le Pen. Voilà qui ne serait que justice.

Sources Bld Voltaire cliquez ici, via Thomas Joly cliquez là

 

lundi, 12 février 2024

Droit du sol :… il faut le supprimer !

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Bernard Germain

Tout d’abord prenons quelques secondes pour rappeler les possibilités permettant de devenir Français. Cela peut se faire par « attribution » ou par « acquisition ».

On dit que la nationalité est « attribuée » lorsqu'elle est obtenue de façon automatique.

C’est le cas, à la naissance, pour :

  • un enfant né en France ou à l'étranger dont au moins un des parents est Français, c'est le "droit du sang" ;
  • un enfant né en France de deux parents apatrides ("droit du sol") ;
  • un enfant né en France dont au moins un des parents est également né en France, c'est le "double droit du sol".

La nationalité peut également être « attribuée » à la majorité lorsqu'un enfant est né en France de deux parents étrangers, c'est le "droit du sol". Pour cela, il doit résider en France à la date de ses 18 ans et avoir sa résidence habituelle en France pendant une période continue ou discontinue d’au moins cinq ans depuis l’âge de 11 ans.

Toutefois, l'enfant peut obtenir la nationalité française avant sa majorité sur demande de ses parents (entre 13 et 16 ans) ou sur demande personnelle (entre 16 et 18 ans), avec des conditions de durée de résidence en France. Dans ce cas, c'est une « acquisition » de la nationalité par déclaration. 

En ce moment, cette notion de « droit du sol » est l’objet de très vives polémiques en France, principalement du fait de la situation à Mayotte, véritable poudrière. On se souviendra que Mayotte fait partie de l’archipel des Comores situé dans le canal du Mozambique.

Le 23 décembre 1974, un référendum fut organisé aux Comores pour demander à la population si elle voulait son indépendance vis à vis de la France. Le résultat fut sans appel : 96 % favorables à l’indépendance. Écrasante majorité pour l’indépendance, mais à une exception près : l’île de Mayotte choisira de rester avec la France. La France organisera un second référendum à Mayotte, le 8 décembre 1976, pour confirmer ce choix. La population confirmera par son vote sa volonté de rester liée à la France.

Le 18 avril 2008, à l’unanimité, le conseil général de Mayotte votera une résolution demandant que Mayotte devienne un département français.

Le 29 mars 2009, un référendum est organisé pour demander à la population si elle veut la transformation de Mayotte en département. Par 95,24 % de « oui », a approuvé le projet, avec une participation de 61,37 %. Mayotte deviendra donc le jeudi 31 mars 2011, le 101° département français et le 5° département d’Outre-Mer. Ce qui provoquera une grave crise dans tout l’archipel car les Comores revendiquent l’appartenance de Mayotte aux Comores et l’ONU n’a jamais reconnu le référendum de 1976 et la volonté des Mahorais de rester français.

En ce moment la situation est au bord de l’explosion à Mayotte car une immigration délirante y déferle de manière continue, en provenance des Comores, mais aussi d’Afrique. Des bidonvilles immenses se sont créés. La délinquance et la violence sont omniprésentes sur l’île, avec des crimes et délits innombrables. Les Mahorais n’en peuvent plus.

On pourrait se demander pourquoi les populations comorienne (qui ont souhaité leur indépendance) et africaine viennent si nombreuses sur le sol de Mayotte. La réponse est toute simple : parce qu’il y a le droit du sol !

De très nombreuses femmes viennent donc accoucher à Mayotte car pour elles c’est un avantage fabuleux. Par la magie du droit du sol, l’enfant qui naît à Mayotte est français. Avec bien sûr tous les avantages et droits sociaux liés à la nationalité française. Sans parler bien sûr des droits accordés aux parents, suite à cette naissance d’un petit « français ». Pour mesurer l’ampleur du problème, il faut savoir que Mayotte possède la plus grande maternité de France.

Afin de stopper cette immigration totalement incontrôlée, Gérald Darmanin a annoncé dès son arrivée à Mayotte aujourd’hui qu’il voulait supprimer le droit du sol sur l’île. Hurlements bien sûr à gauche. Notamment parce que cela serait une décision qui remettrait en cause l’égalité de traitement entre les citoyens Mayotte et ceux du reste de la France.

L’argument est parfaitement recevable et c’est justement pour cela qu’il faut supprimer le droit du sol, pas simplement à Mayotte, mais sur tout le territoire français y compris dans les DOM.

D’ailleurs, ce qui est en train de se passer à Mayotte, c’est ce qui va arriver à notre France métropolitaine dans les années à venir.

L’immigration y est de plus en plus nombreuse et totalement incontrôlée. On n’est pas encore au niveau de Mayotte, mais on y vient. Et comme à Mayotte, la délinquance et la violence ne cesse d’augmenter, comme l’ont confirmé les chiffres publiés par le ministère de l’intérieur en janvier 2024.

L’essentiel des immigrés viennent en France, au motif d’être des « réfugiés politiques », mais en réalité pour obtenir nos avantages sociaux. On voit à Mayotte où ce phénomène les a conduits. L’île est au bord de l’explosion. Si nous ne faisons rien pour endiguer l’immigration, dans quelques années, la France métropolitaine connaîtra la même situation et le même destin que Mayotte.

La suppression du droit du sol, véritable pompe aspirante pour l’immigration, est une nécessité vitale. Pour Mayotte mais aussi pour toute la France.

Il resterait donc simplement deux possibilités d’obtenir la nationalité française :

  • Avoir au moins l’un de ses parents possédant la nationalité française.
  • Avoir fait une ou des actions particulièrement favorables à la France. Mais l’attribution de la nationalité dans ce cas serait une décision à l’entière discrétion des autorités.

Au passage, ces modifications des conditions d’obtention de la nationalité française auraient l’avantage de nous éviter de voir proliférer les « français de papiers » qui veulent être français pour nos avantages sociaux, mais vomissent la France et les Français à la moindre occasion.

17:44 Publié dans Bernard Germain, Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 11 février 2024

Les miliciens antifas ont encore frappé à Paris : la Librairie Vincent vandalisée dans la nuit de vendredi à samedi

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Une fois de plus, le régime macroniste aux abois s'en prend à la culture. Ses miliciens, dans la nuit de vendredi à samedi, ont attaqué la Librairie Vincent, espace de liberté à Paris.

Ils savent que leurs jours sont comptés et, dans leur folie suicidaire, ils multiplient les agressions contre les forces nationales et identitaires... Après les interdictions, les dissolutions et les perquisitions, les petits valets du liberticide de la Place Beauvau passent au stade des intimidations. Cet acte lâche et minable en est une preuve de plus...

Aujourd'hui, les patriotes doivent soutenir cette courageuse librairie, ainsi que notre ami Vincent, son animateur, face aux actions malveillantes qui les menacent.

S N

Librairie Vincent : cliquez ici

12:04 Publié dans Combat nationaliste et identitaire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 09 février 2024

Nouvelle folie liberticide de Darmanin : il vient de dissoudre le mouvement identitaire lillois La Citadelle

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Aurélien Verhassel, président de La Citadelle lilloise

La réaction de Pierre Cassen, fondateur de Riposte laïque :

Au suivant ! Au suivant ! Notre Moussa national conserve son rythme de croisière. Bien meilleur que Borne, incapable de battre le record de 49-3 ! Moussa vient de pulvériser, en trois ans, le record de dissolutions d’associations, et curieusement très souvent celles des patriotes.

Son dernier exploit : la dissolution du bar Identitaire « La Citadelle », à Lille, tenu par Aurélien Verhassel. Ils avaient osé organiser une soirée débat autour du thème « Qu’ils retournent en Afrique ! ».

Bien sûr, grand cinéma du pouvoir, la Gravosse avait demandé l’interdiction, obtenue, les gauchos avaient attaqué le bar, la justice avait autorisé sa réouverture, cela ne pouvait plus durer. Moussa a donc frappé, et le Conseil des ministres a officialisé la dissolution de La Citadelle, comme en 2014 le Local de Serge Ayoub avait été dissous par Manuel Valls.

Demain le tour de Riposte Laïque ? Le pire est que c’est possible !

Et dire que certains comparent la France, le pays des Droits de l’Homme et de la défense des libertés, à la Corée du Nord !

Source cliquez ici

 

Lire aussi : l'article de Clémence de Longraye publié sur Boulevard Voltaire cliquez ici

15:49 Publié dans Combat nationaliste et identitaire, Communiqués de presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

dimanche, 04 février 2024

Face à l'acharnement du pouvoir liberticide à son encontre, le site Riposte laïque dans l'obligation de se mettre (momentanément) en sommeil...

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Seuls les responsables de Riposte laïque sont aptes à prendre une telle décision et nous ne pouvons qu'admirer leur courage et leur sage prudence. En effet, et nous le rappelons sans cesse dans notre revue cliquez ici et sur notre site quotidien d'information, l'opposition patriotique, dans son ensemble, est victime de l'acharnement liberticide du pouvoir encore en place. Il  ne recule devant rien pour nous asphyxier. 

L'essentiel pour nous tous, c'est de sauver les structures combattantes. Parfois, tels les félins, il faut savoir se mettre en stagnation pour mieux bondir le moment venu. L'heure du réveil national approche... Soutien total à nos camarades de Riposte laïque !

S N

Pourquoi Riposte Laïque doit se mettre en sommeil quelque temps…

Source Riposte laïque cliquez ici

Nos lecteurs connaissent notre pugnacité au combat. Ils savent que depuis 2007 notre site et ses animateurs mènent un combat inlassable contre l’islamisation de la France, permise par l’invasion migratoire organisée par les mondialistes.

Nous savons que chaque matin des dizaines de milliers de lecteurs attendent avec impatience la sortie de notre lettre, qui amène une autre lecture de l’actualité que celle des médias propagandistes sur des sujets comme l’islam, l’invasion migratoire, l’imposture climatique, la dictature sanitaire, la guerre Russie-Ukraine, le conflit Hamas-Israël, le régime de Macron, l’Union européenne, les trahisons de la gauche immigrationniste et de la droite collabo, les agressions ethniques quotidiennes commises contre les Français par des envahisseurs, etc.

La plupart de nos contributeurs choisissent d’écrire à visage découvert, sous leur vrai nom, et certains, pour des raisons de sécurité physique ou professionnelle, choisissent un pseudonyme. Bien sûr, jamais un seul article de notre site n’a eu comme conséquence le passage à l’acte d’un de nos lecteurs.

Mais c’est parce que Riposte Laïque est devenu un outil de la réinformation de plus en plus lu que le régime de Macron a décidé d’utiliser les grands moyens pour le faire taire définitivement. Nos lecteurs connaissent l’acharnement judiciaire utilisé contre nous depuis plus de dix ans pour nous ruiner : des dizaines et des dizaines de plaintes, suivies d’interrogatoires policiers et judiciaires et de procès, que nous gagnons la plupart du temps mais qui affaiblissent notre trésorerie. Sans le talent de notre avocat, Maître Pichon, sans le soutien de nos lecteurs, par les dons et les achats de nos livres, nous n’aurions jamais pu faire face à cette offensive.

Mais depuis quelques jours, une nouvelle étape a été franchie par le régime. Profitant du procès de Charles Demassieux, un des piliers de Riposte Laïque, qui s’est comporté en héros pour sauver la vie d’une vieille dame de 83 ans agressée par un délinquant multirécidiviste alcoolique et toxicomane, les juges, sous les ordres du pouvoir, se sont lancés dans une énorme offensive contre notre site coupable d’avoir défendu notre contributeur.

Charles a en effet été lourdement condamné par le juge Michael Humbert  : 18 mois de prison, dont 3 mois ferme, 3 500 euros de dommages et intérêts à verser à l’agresseur, cinq années d’inéligibilité, trois années d’interdiction de détention d’armes, quand le délinquant était condamné à 68 euros d’amende et à quelques heures de travaux d’intérêt général. Charles a témoigné sur ce scandaleux procès, sur l’attitude d’un juge qui s’est davantage comporté comme un militant du Syndicat de la magistrature que comme un magistrat rendant la justice au nom du peuple français.

Ce témoignage de Charles Demassieux a fortement indigné des lecteurs de Riposte Laïque, et bien plus largement des milliers de Français. Certains ont cru bon de réagir en insultant grossièrement le juge, voire en le menaçant de mort, comme l’a fait le site Réseau Libre. Une aubaine pour le régime, qui a infligé, dans la foulée, une nouvelle garde à vue de 36 heures à Charles Demassieux, et une perquisition contre Pierre Cassen qui s’est vu confisquer ses ordinateurs et son téléphone portable.

Notre fondateur paraît la victime d’un coup tordu digne des pires barbouzes. La chaîne sur laquelle il enregistrait ses vidéos quotidiennes a été bloquée et a été redirigée, au grand dam de Pierre, sur le site Réseau Libre, celui qui a proféré les menaces de mort contre le juge. Et donc, sautant sur l’occasion, le pouvoir, par le juge Grégory Weill, a diligenté cette perquisition contre lui, pendant que Charles était encore en garde à vue. Les policiers lui ont même demandé s’il était Léon, le signataire des textes les plus virulents de Réseau Libre !

L’appareil d’État, ses policiers et ses juges, qu’on suspecte de surveiller les animateurs de notre site depuis longtemps, espèrent donc trouver en fouillant dans les archives de Riposte Laïque des preuves que nous les suspectons d’être capables de fabriquer, impliquant les animateurs les plus actifs de notre site. Ce qui se profile, c’est une possible inculpation de nos dirigeants, voire des persécutions judiciaires dont nul ne sait jusqu’où elles peuvent aller. La dissolution de nos associations, la fermeture de nos sites ne peuvent être exclues, surtout quand on sait que les banques de Riposte Laïque et de Résistance républicaine ont fait savoir qu’elles nous viraient, et que le compte Twitter de RL a été fermé. Nous savons que nos communications, écrites ou orales, sont surveillées par la police politique de Macron-Darmanin-Dupond-Moretti.

Nous nous devons, dans une situation grave où la survie de notre site mais aussi la liberté de nos animateurs est en jeu, de prendre le temps de la réflexion. Or, publier un journal tous les jours avec la pression que cela représente, le temps que cela implique, n’est pas compatible avec ce recul nécessaire que la situation demande.

Nous avons donc décidé, et ceux qui nous connaissent savent que cela nous coûte, de suspendre momentanément le site Riposte Laïque. Nous ne le fermons pas et ses seize années de combat demeurent accessibles sur Internet. Nous éprouvons simplement le besoin de réfléchir ensemble à la suite. Devons-nous, après cette pause, continuer comme si de rien n’était, et attendre les éventuelles poursuites qui peuvent nous atteindre ? Devons-nous poursuivre Riposte Laïque, mais avec des changements dans les rythmes de publication, dans la ligne éditoriale, dans le nombre d’articles, dans la maquette ? Devons-nous inventer quelque chose de nouveau, de différent ? Nous sommes ouverts à toutes les suggestions de nos lecteurs, dans les commentaires qui demeurent ouverts. Cela peut durer quelques jours, ou quelques semaines, en fonction de l’évolution de la situation.

Bien évidemment, pour vous confirmer que nous n’abandonnons pas le combat, nous vous informons que Résistance républicaine continue à informer ses lecteurs de l’actualité, dans un esprit proche de celui de Riposte Laïque, et que Pierre Cassen va retrouver dans les heures qui viennent les moyens de reprendre ses vidéos quotidiennes, qu’il enverra comme tous les jours à des milliers d’abonnés.

Ne soyez donc pas inquiets, le combat continue, mais il est des périodes où il faut savoir faire une escale au port avant de repartir.

Hauts les cœurs, amis patriotes, et à bientôt !

Lire l'entretien que nous a accordé vendredi dernier notre Ami Pierre Cassen, fondateur de RL cliquez ici

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