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mardi, 25 août 2015

COMME LE MIEL ATTIRE LES MOUCHES, L’EUROPE ATTIRE LES HORS-LA-LOI

SAM_0153.JPGPieter Kerstens

Depuis plusieurs années, la caste des politiciens européens se trouve confrontée au plus grand défi depuis 1939 : l’invasion de son territoire par des hordes de clandestins. Et ce n’est pas l’illusoire Espace Schengen ou encore les fonctionnaires de Frontex qui vont nous protéger de cet envahissement.

Selon Ewa Moncure, porte-parole de Frontex, il y a eu 100.000 clandestins entrés en Europe en 2013 et plus de 274.000 en 2014, chiffres recensés seulement par les gardes-frontières.

Et le reste ?  En matière d’invasion des sans-papiers, 2015 sera un cru exceptionnel !

De Stockholm à Kos et de Calais à Varna, chaque Européen assiste à la submersion de son pays, sous l’œil complaisant des gouvernements et avec la bienveillance des ministres concernés.

PERSONNE n’envisage un retour immédiat et manu militari de ces illégaux dans leur pays d’origine, comme c’est le cas dans la grande majorité des états dans le monde, où vous êtes refoulé si vous n’avez pas de visa ou d’autorisation légale de séjour.

Seuls les Occidentaux et les Européens, en particulier, sont assez suicidaires pour accepter que le monde entier s’installe chez eux. Dans le même temps, 15% de nos concitoyens vivent sous le seuil de pauvreté, nos budgets sont déficitaires depuis des années et nos dettes publiques s’aggravent de jour en  jour.

Parallèlement, le chômage  touche de plus en plus de travailleurs, oblige nos récents diplômés à s’exiler et l’on voit dans nos rues de plus en plus de S.D.F.

En Grèce, on se dirige vers une catastrophe économique, financière et sociale d’une ampleur inégalée au XXIème siècle. En Espagne, au Portugal et en Italie les populations se serrent la ceinture. Ailleurs en Europe, les impôts continuent d’augmenter et le mécontentement gronde.

Mais pendant ce temps les princes qui nous gouvernent nous parlent d’accueillir encore et toujours plus de hors-la-loi  qui ne cherchent ni à s’assimiler, ni à s’intégrer, mais  seulement à bénéficier d’aides sociales en tout genre et d’allocations diverses, magnificences dont ils ne bénéficient pas chez eux et qui leur permettent de subsister chez nous sans travailler.

Quand nos enfants sont exclus du monde du travail, quand nos vieillards tirent le diable par la queue pour terminer le mois, et que beaucoup d’européens blancs acceptent plusieurs « petits boulots » pour se payer à manger, il faut fermer nos frontières, rapatrier les clandestins et renvoyer dans la patrie de leurs aïeux tous les délinquants multirécidivistes qui s’attaquent aux plus faibles de notre société et polluent le quotidien des travailleurs honnêtes.

La grande majorité des illégaux n’arrivent pas sous nos cieux pour chercher du travail, mais sont attirés par notre généreux système social, grâce à la complicité dont les gouvernements de la droite cosmopolite et de la gôche mondialiste font preuve depuis des décennies.

Il est impératif de changer certaines lois et de mettre le holà aux directives « multiculturelles et pluriethniques » des eurocrates doctrinaires et utopistes, tel Frank Timmermans –vice-président de la Commission Européenne- et en charge des flux migratoires qui, ce 25 août, déclarait au micro d’Europe n°1 à 8h20 que « l’Europe devait faire preuve d’humanité et recevoir son lot de migrants » et que « les clandestins arrivés dans nos territoires y resteraient durablement ». Ce complice de l’invasion est l’artisan du melting-pot à tous les étages qui verra la disparition de la race blanche.

BASTA. Le temps du blablabla est dépassé, celui du grand retour est désormais d’actualité : en bateau, en train ou en avion !

« VOLEM VIURE AL PAIS » ?  (Slogan cher aux bobos-écolos-gauchistes des années 1970).

Oui, c’est non seulement un choix, mais aussi un droit, et surtout un devoir.

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mercredi, 12 août 2015

« OTAN, FOUT LE CAMP ! »

otan_no.jpgPieter Kerstens

Le Protocole de l’Atlantique Nord, ou Organisation du Traité de l’Atlantique Nord a été signé à Washington le 4 avril 1949 entre les Etats-Unis, le Canada et 9 autres pays européens, rejoints en 1952 par la Grèce et la Turquie, puis en 1955 par l’Allemagne, dans le but de « sauvegarder la paix et la sécurité et afin de développer la stabilité et le bien-être de la région de l’Atlantique Nord. »  Et pour contrer la menace soviétique essentiellement. Quand l’URSS s’est effondrée et que les forces du Pacte de Varsovie se sont dissoutes, l’OTAN n’avait plus de raison d’être. Aucun ennemi conventionnel ne menaçait plus l’Europe et l’extension  de l’Organisation vers l’est violait ses engagements.

Cette Alliance politique et militaire comprend un organe exécutif - le Conseil de l’Atlantique Nord - dirigé par un Secrétaire Général et dont le siège est à Bruxelles, à Evere non loin de l’aéroport de Zaventem, dans des locaux futuristes gigantesques…et un comité militaire qui dirige les grands commandements intégrés :

*le S.H.A.P.E qui coiffe les forces alliées en Europe basé à Casteau (près de Mons) en Belgique 

*le S.A.C.L.A.N.T installé à Norfolk (aux USA) qui couvre tout l’Atlantique

*le commandement de la Manche à Portsmouth

*le groupe stratégique Canada-Etats-Unis, chargé de la défense du continent nord-américain.

La France s’était retirée de l’OTAN en 1966, pour des raisons de souveraineté mais aussi parce qu’elle estimait perfectible la couverture de protection assurée par les forces alliées, et l’a réintégrée en 2007, sur ordre du président Nicolas Sarközy.

En 1974, suite à l’invasion de l’île de Chypre par l’armée turque, la Grèce retire ses forces de l’OTAN, mais en reste membre.

De 1982 à 2009, ce sont l’Espagne, la Tchéquie, la Pologne, la Hongrie, les trois états baltes, la Bulgarie, la Roumanie, la Slovaquie, la Slovénie, la Croatie et l’Albanie qui adhèrent à l’Organisation qui compte 28 membres aujourd’hui.

Examinons quelques incohérences de cette Alliance.

A) Créée surtout pour contrebalancer les forces du Pacte de Varsovie et destinée à « sauvegarder la paix et la sécurité », elle n’est pas intervenue lorsque les militaires turcs ont envahi Chypre en 1974. En effet, la Grèce et la Turquie, membres de l’ONU, participaient toutes deux à l’OTAN mais s’opposaient sur le futur de l’île. Une forte majorité de chypriotes (de religion orthodoxe) souhaitait le rattachement de Chypre à la Grèce, alors que la Turquie voulait tout simplement annexer l’île, soutenue par une minorité musulmane.

B) Par contre, mais avec une résolution de l’ONU, les avions de l’OTAN sont allés bombarder Belgrade en mars 1999, lors du conflit en ex-Yougoslavie, prenant ainsi fait et cause pour les terroristes islamistes qui ont proclamé unilatéralement l’indépendance du Kosovo le 17 février 2008, après que la Bosnie-Herzégovine avait obtenu la sienne dès 1992.

C) En Asie Centrale, l’Afghanistan est un pion du « Grand Jeu » où se sont affrontés l’Inde et l’Iran aux 16ème et 17ème siècles ; l’Angleterre y a mis son grain de sel au 19ème siècle (relire les ouvrages de Rudyard Kipling), suivie de l’URSS de 1921 à 1989. On se souviendra que c’est Ben Laden, envoyé sur le terrain par le prince saoudien Turki Al Fayçal (chef des services secrets de l’Arabie Saoudite entre 1977 et 2001), qui a été recruté, entraîné, armé  et financé par la CIA pour combattre les communistes, au nom de la guerre sainte,  qui eux étaient intervenus dès la fin 1979, pour soutenir le gouvernement marxiste de Kaboul en lutte contre les moudjahidin. Après une cinglante défaite sur le terrain, les derniers bataillons russes rentrent dans leurs casernes moscovites en février 1989 et les musulmans du commandant tadjik Ahmad Chah Massoud renversent Mohammad Nadjibullah pour instaurer un régime islamiste.

Tout baigne pour l’Islam ?  PAS DU TOUT !

Les factions rivales vont s’affronter pour le contrôle du territoire et dès 1996 les talibans vont s’allier aux katibas de Bin Laden, avec comme objectif l’instauration d’un Islam« radical » qui devra alors se battre contre une coalition d’armées de l’OTAN qui intervient en février 2002, en réaction aux destructions des WTC 1, 2 & 7 le 11/09/2001.

Comme pour les armées anglaises et russes, la défaite des coalisés occidentaux en 2011 fut amère et peu commentée…car nous sommes fort loin de l’Atlantique Nord.

D) Et que penser alors de l’engagement des armées de l’Otan contre l’état libyen de Mouammar Kadhafi qui a vu le pays basculer dans l’anarchie la plus totale, dès le lynchage de son dirigeant le 20 octobre 2011 ?

E) Que dire aussi des multiples interventions de l’OTAN, sous divers prétextes, en Irak ou en Syrie, aujourd’hui zones d’opérations militaires pour de nombreux pays européens, sans lien aucun avec « la stabilité et le bien-être de la région de l’Atlantique Nord » ?

A vrai dire, cette coalition hétéroclite de machiavels et d’apprentis-sorciers tente maintenant de réparer les dégâts qui sont le résultat de leur stratégie aberrante menée depuis 70 ans au Proche et au Moyen-Orient, pour étouffer toute velléité de nationalisme arabe, en favorisant l’expansion d’un Islam conquérant, financé dès l’origine, par les wahhabites de l’Arabie Saoudite et amplifié depuis 30 ans par l’appui des pétro-monarques. Bien entendu, l’ensemble de cette politique impérialiste baigne dans les odeurs de pétrole et de gaz, tel que confirmé par le pacte du Quincy signé le 14 février 1945 (le même jour que le bombardement de Dresde par les avions anglo-américains) entre Th. Roosevelt et Ibn Séoud, traité reconduit par G.W.Bush en 2005, pour 60 ans.

L’Oncle Sam et ses laquais de l’OTAN, encouragés par les innombrables organisations internationales à leur dévotion (parce que dirigées par des dizaines de milliers de fonctionnaires grassement payés) accumulent les échecs, subissent de nombreux revers et multiplient les erreurs et les fautes.

Pour combattre le communisme, ils ont partout favorisé l’implantation de l’Islam.

Nous en sommes les victimes. Nous sommes aussi soumis à la désinformation et à la propagande des mondialistes qui voudraient nous faire avaler des balivernes et des contes à dormir debout, issus des cerveaux malades de docteurs Folamour, prescrivant des doses massives de « Padamalgam » et de « vivre ensemble », afin de soigner le mal identitaire, les poussées de fièvre nationaliste ou les éruptions de racisme. L’OTAN est le bras armé de ces drogués du Nouvel Ordre Mondial qui rêvent de nous contraindre par tous les moyens à devenir des homos-consuméris, parlant un sabir anglo-arabo-moldave, sans racines, sans traditions, sans aucun repère moral, ni spirituel, tous ensemble issus d’un métissage à tous les étages et dénués de la moindre envie de rébellion, car pris en charge par l’Etat-Providence, de la naissance à la mort.

C’est pourquoi les droits-de l’homme sont leur Nouvelle Religion  et la « démocratie » leur credo : ils sont l’Empire du Bien. Pour les récalcitrants et les opposants, on utilisera des missiles, parce que ce sont les « Forces du Mal ».

Ce n’est dès lors plus avec un bulletin de vote que l’on se débarrassera des nuisibles et des saboteurs qui depuis 40 ans ont livré nos villes et nos campagnes à la barbarie, ces incapables et ces félons qui ont vidé les églises pour remplir les mosquées. Il est l’heure d’envisager une autre forme de combat, car TOUS les politicards ont baissé les bras et condamnent les Européens blancs et chrétiens sous une submersion d’étrangers inassimilables et ennemis de notre civilisation ; civilisation que nous devons défendre car elle constitue un héritage de 40 siècles d’Histoire.   On ne renonce pas !

Le Secrétaire Général de l’Organisation du Traité de l’Atlantique Nord assiste benoîtement à l’arrivée quotidienne de centaines de hors-la-loi qui débarquent sur nos côtes, alors même que leur présence, elle, affecte dangereusement la mission de son Alliance c’est-à-dire :

« Sauvegarder la paix et la sécurité et afin de développer la stabilité et le bien-être de la région de l’Atlantique Nord »… Dehors les traitres !

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vendredi, 24 juillet 2015

ATHENES, SON ACROPOLE, SON METRO ET SON GOUFFRE FINANCIER.

Korbo.E.U-banksters.-18.11.2013-ww.jpgPieter Kerstens

La Grèce s’est mise en faillite toute seule et l’UE n’y est pour rien. Syriza pose la Grèce en victime, alors qu’elle est coupable et Alexis Tsipras ferait bien de ne pas attribuer aux autres les manquements et les défauts des gouvernements successifs et les reconnaître pour se corriger et s’en sortir. Les Grecs (population, oligarques et politicards) sont responsables de ce qui leur arrive en accusant le FMI, la BCE et l’Union Européenne d’ultra-libéralisme et d’une austérité « criminelle »… C’est un peu rapidement oublier que le pays a vécu très largement au-dessus de ses moyens et ce, depuis très longtemps, parce que les différents gouvernements ont mis en place une politique collectiviste et clientéliste, connue des tous les eurocrates, en utilisant des embauches massives de fonctionnaires, des allocations sociales excessives et des fraudes fiscales pour tous et tolérées par tous. A cela, il faut quand même rajouter que pour entrer dans l’UE et faire partie ensuite de la zone euro, la Grèce a truqué ses comptes publics et a essayé de vivre aux crochets de ses partenaires, complices parce que les coquins socialistes se retrouvaient aussi dans les instances de la Commission Européenne et de l’Internationale Socialiste !

On peut être ou non d’accord avec le principe de l’Euro, monnaie unique pour une zone regroupant 19 pays, et si oui en rejoignant ce « club » il faut alors en accepter les règles, ce que les Grecs n’ont pas fait. Par contre, les Anglais, les Tchèques, les Irlandais, les Suédois ou les Danois n’en font pas partie : en sont-ils plus malheureux ? Fort de son élection fin janvier et renforcé par 61% des électeurs le 5 juillet dernier, Tsipras bénéficie de la légitimité et de la souveraineté populaire pour exiger des autres membres du « club » qu’ils renoncent à revoir un jour la couleur de l’argent qui a été prêté à la Grèce depuis 2010, en échange de mesures illusoires qui seraient mises en place pour sortir le pays du marasme et de pouvoir équilibrer les recettes et les dépenses. Mais pourquoi donc les Grecs feraient-ils demain ce qu’ils ont été incapables de faire depuis 50 ans ?

C’est facile d’être généreux avec l’argent des autres.

La réelle question qui se pose à chacun de ceux qui utilisent l’euro est celle-ci : « Acceptez-vous de payer la note à la place des grecs ? »  Au 30 juin, les montants par habitant étaient de 105€ à 531€ pour les Portugais, les Slovaques et les Espagnols ; de 623€ à 646€ pour les Italiens, les Français et les Belges ; et de 683€ à 708€ pour les Hollandais, les Autrichiens, les Allemands et les Finlandais. Aujourd’hui, ce ne sont pas les horribles spéculateurs, les immondes banksters ou les « marchés honnis » qui détiennent la dette grecque. Dès 2010, les banquiers privés ont abandonné 107 milliards d’euros au gouvernement grec, magnifique cadeau de la finance internationale. Si effectivement la Grèce a connu 8 plans d’austérité depuis 2009 pour un montant total de 92 milliards d’euros, en contrepartie, le FMI, la BCE et l’Union Européenne ont octroyé 337 milliards d’euros de prêts à long terme, (outre l’effacement de 150 milliards d’euros). Ce ne sont pas  les méchants capitalistes qui sont maintenant les créanciers de la Grèce, NON, c’est vous et moi ! Et là, se trouve le problème du pouvoir des eurocrates qui, à l’inverse des traités de Maastricht et de Lisbonne, ont outrepassé leurs droits et obligé la BCE à contrevenir à ses statuts. La même BCE qui injecte TOUS LES MOIS plus de 60 milliards d’euros dans le système bancaire européen pour racheter des obligations pourries que possèdent les banques afin d’inciter celles-ci à accorder de nouveaux crédits aux sociétés et aux particuliers en espérant qu’avec ces euros « propres », l’économie repartirait…. on croit rêver.

Avec un peu de recul, en connaissant le montant des dégâts en Grèce et au vu des capacités financières de la BCE, du FMI et de l’Union Européenne on pourrait effectivement parler de « solidarité » avec les Grecs dans le besoin, et oublier leurs turpitudes. Les 337 milliards actuels pourraient être « effacés » et imposés individuellement aux autres habitants de la Zone Euro, en étalant cette charge sur les 10 prochaines années (soit environ 6€ par mois pour chaque français) ou pris en compte par la BCE sur les 1.000  milliards qu’ils vont octroyer au système bancaire européen dans les 15 prochains mois, tels que déjà actés. Mais si les Grecs bénéficient d’un tel cadeau, pourquoi pas les Portugais, les Irlandais, les Belges ou encore les Espagnols ? La zone euro n’existerait tout simplement plus et l’Europe non plus ! Et  l’Euro, monnaie d’escrocs,  aura disparu…

Un  Euro  tabou… HELLAS !

Et c’est bien ce que redoutent les eurocrates ; un « Grexit ferait jurisprudence » : l’Italie, l’Espagne voire la France pourraient purement et simplement, non seulement sortir de l’euro, mais surtout ne pas rembourser leurs dettes. La Grèce pèse moins de 2% dans le PNB Européen alors que l’Italie approche les 10% ! Les conséquences d’un éclatement de la zone euro serait certainement un drame financier et économique mais également une crise politique sans précédent : les bases des institutions démocratiques vacilleraient face à la colère et l’incompréhension des citoyens subissant le chaos comme c’est le cas actuellement en Grèce. En ce début de mois de juillet, après la victoire du non au référendum grec, la souveraineté populaire défie les oligarques de la Commission. Ce fait inédit a la faculté de mettre les décisions difficiles entre les mains du peuple, même si ces décisions s’avèrent mauvaises. N‘oublions pas que la Grèce peut trouver des financements hors de l’Europe que ce soit en Chine, en Russie ou encore chez les Rois du Pétrole. En effet, face à une situation où la Grèce est acculée et n’a plus rien à perdre, un prêt russe serait bienvenu. Les deux parties confirmeraient ainsi leur indépendance envers l’UE.

Ce qui est pour le moins étonnant, est la volte-face de Tsipras qui, porté au pouvoir en janvier, et confirmé par les urnes le 5 juillet - afin de s’opposer aux diktats des eurocrates et des mondialistes - s’incline désormais devant les ukases de la mafia bruxelloise en reniant ses engagements vis-à-vis de son peuple. Le Parlement grec a donc approuvé ce 15 juillet un 9e plan d’austérité, pire que les mesures prévues en mai. En échange, la BCE a envoyé à Athènes un petit milliard € en cash, par avion, pour remplir les distributeurs de billets. Les « prêteurs » (vous et moi) apporteront d’abord un prêt relais urgent de 7 milliards d’euros pour payer les fonctionnaires et les retraités grecs et rembourser les échéances de juin, juillet et août au FMI et à la BCE. Ensuite un 3e plan d’aide à la Grèce, d’un montant de 83 milliards d’euros, étalé sur 3 ans, sera octroyé à 80% par le Mécanisme Européen de Stabilité (MES) et 20% par le Fond Monétaire International (FMI), pour recapitaliser en priorité les banques grecques, puis rembourser des intérêts, et  payer la BCE et les prêts des banques centrales des 19 pays de l’euro. Enfin, s’ajoutent encore 35 milliards € accordés par des Fonds européens.

D’ores et déjà, de nombreuses voix s’élèvent pour clamer que cette rallonge financière ne servira à rien et que les grecs ne respecteront pas les accords signés ; Tsipras le premier, qui a déclaré « J’ai signé, mais je n’y crois pas ! » Christine Lagarde (directrice du FMI) demande de son côté un « allègement » de la dette grecque, ou une « restructuration », ce qui en bon français signifie une annulation ! La situation est donc la suivante : avant les accords signés à Bruxelles, la Grèce devait 337 milliards d’euros. Maintenant on va y ajouter 8 milliards € en urgence, puis 83 milliards sur 3 ans et encore 35 milliards des fonds européens, sur ordres de Jean-Claude Juncker, soit un global de 463 milliards, dont les bonnes âmes vont rapidement demander une annulation, car les intérêts et les remboursements (même avec des échéances à 60 ans) sont insoutenables pour le pays. Bien évidemment, ce sont les contribuables européens qui paieront l’addition et non les banksters. Et il est certain que l’on reparlera du problème grec à la rentrée… Quelle gabegie ! Quel ridicule ! L’Europe est vraiment gangrénée par des utopistes incompétents !

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jeudi, 16 avril 2015

IL Y A 40 ANS, LE KAMPUCHEA IMPOSAIT LA SHOAH.*

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Pieter Kerstens

C’est en effet le 17 avril 1975 que Phnom Penh tombe aux mains des maquisards du Front Uni National du Kampuchéa (le FUNK).  L’entrée de l’armée révolutionnaire de libération dans la capitale du Cambodge fut acclamée par des dizaines de milliers d’intellectuels, de journalistes, de politiciens et de philosophes occidentaux qui se réjouissaient de la chute du gouvernement Lon Nol.

Dès cet instant, le Cambodge bascule dans les ténèbres d’un enfer pensé, analysé, planifié et exécuté par l’Angkar - organisation socialo marxiste - dominée par les Khmers Rouges.

Reconnus et soutenus par l’Internationale Socialiste, armés par Moscou et Pékin, les « maîtres » du Kampuchéa Démocratique vont transformer et contrôler la société cambodgienne, saper la mémoire collective et couper la population de son Histoire.  Ce processus a conduit à évacuer toutes les villes, à créer un collectivisme absolu et à éradiquer toute trace du passé séculaire (monastères bouddhistes, école, livres et journaux).

 « Cette répression ne visait pas des groupes raciaux ou des minorités ethniques spécifiques, mais des couches sociales et tous les opposants politiques, réels ou supposés. Le démographe Marek Sliwinski a démontré scientifiquement que c’est un quart de la population (7,2 millions d’habitants en 1974) qui a été exterminé et presque 42% de ceux qui vivaient ou étaient réfugiés à Phnom Penh avant le 17 avril 1975.

Ces assassinats politiques en masse relevaient d’une volonté délibérée de terreur et d’extermination de la part des Khmers Rouges, cherchant à se maintenir au pouvoir par la violence et l’effroi afin d’établir dans la réalité leurs rêves utopiques.  A l’exception des Vietnamiens, qui eurent la chance d’être avant tout chassés massivement du pays, la population visée par les sbires de Pol Pot étaient en priorité celle des 17 avril ou Peuple Nouveau.

Au Cambodge, le Peuple Nouveau constituait environ la moitié de la population du pays.  Il n’avait strictement plus aucun droit, pas même le droit de vote, sinon celui de travailler sans la moindre récompense et pour une nourriture de plus en plus dérisoire.  A postériori, la seule raison pour laquelle tous les 17 avril n’ont pas été exterminés était qu’ils constituaient une immense réserve de main-d’œuvre gratuite indispensable à la révolution qui voulait tripler la production rizicole, puisqu’elle interdisait l’achat et l’utilisation de machines fabriquées à l’étranger. » (In « Le petit livre rouge de Pol Pot » de Henri Locard).

Saloth Sâr (Bâng Thom dans le parti) connu sous le nom de guerre de Pol Pot et sa clique de fidèles entre les fidèles : Nuon Chea, Ieng Sary et sa femme Ieng Thirith, Khieu Samphân, Ta Mok, Hu Nim, Mme Son Senet Duch, mettent en place l’ANGKAR LOEU, arme psychologique suprême des terroristes qui tiennent tout un peuple dans un état d’épouvante et de soumission absolue. Cette utopie marxiste était basée sur des slogans appliqués dans toute leur brutalité, partout et tout le temps.

On se rappellera ici du culte de l’Être Suprême (fêté le 8 juin), culte déiste organisé par Robespierre durant la Révolution française en mai 1794 ; mais il faut également se souvenir de la 1ère Terreur en août et septembre 1792 et de le 2ème Terreur de septembre 1793 à juillet 1794, entrainant des centaines de milliers de victimes au nom d’une idéologie mortifère.

Il est curieux de constater que ce « détail » de l’Histoire, au XXe siècle, en Asie,  n’a suscité depuis que peu de débats ou de manifestations, au même titre que le génocide arménien qui débuta le 24 avril 1915 ou encore les dizaines de millions de victimes du Goulags en URSS et du Laogaï en Chine.

IN MEMORIAM

*mot hébreux qui signifie « anéantissement ».

Bibliographie : « Pol Pot » de Louis Dreyfus. « Le petit livre rouge de Pol Pot » d’Henri Locard. « La digue des veuves » de Denise Affonço. « Revenue de l’enfer » de Claire Ly. « Cambodge année zéro » de François Ponchaud. « Le portail » de François Bizot.

Lire aussi :

polpot.jpgQui suis-je ? Pol Pot

Nicolas Tandler

Editions Pardès

128 pages, 12 €

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vendredi, 10 avril 2015

LE PEN A DIT LA VERITE, IL DOIT ETRE EXECUTE !

SAM_0153.JPGPieter Kerstens

Parce que le président-fondateur du Front National répète inlassablement des détails irréfutables  et avérés de l’Histoire, mais à l’encontre de la Pensée Unique et du Politiquement Correct, outre ses analyses critiques et dérangeantes.

Car les crimes contre l’Humanité et les génocides ne sont pas des cas particuliers ni un monopole du IIIème Reich. Bien avant, à la fin du XIXe siècle, les anglais ont initié des camps de concentration en Afrique du Sud pour y emprisonner les femmes, les enfants et les parents des Boers, afin de contraindre ceux-ci à se rendre et à déposer les armes.

Le 24 avril 1915 les Turcs avaient déclenché le génocide des arméniens, aussi horrible que la découverte 30 ans plus tard des camps de la mort en Allemagne. Après la seconde guerre mondiale les démocrasseux ont constitué l’ONU pour en finir avec les massacres sur la planète. Peine perdue.

En 1975, le 17 avril (coïncidence : le même jour où le sort de Jean-Marie Le Pen sera évoqué au Bureau Politique du FN), les Khmers Rouges défilaient à Phnom-Penh, ayant chassé le maréchal Lon Nol, dans un concert de louanges et encensés par les socialo-écolo-marxistes européens. Bilan ? L’extermination de 25% de la population du Kampuchéa Démocratique ! Silence dans les rangs….

Plus près de nous, en avril 1994, le génocide rwandais a conduit le pays des mille collines dans un bain de sang imaginé, planifié et organisé par un machiavel  africain toujours au pouvoir et protégé par les anglo-américains.

Ceci en ce qui concerne certains « détails » de l’Histoire qui dérangent encore les laquais du Nouvel Ordre Mondial, détails parmi tant d’autres au XXème siècle, comme les dizaines de millions de zeks disparus dans le Goulag d’U.R.S.S. ou les dizaines de millions de victimes des laogaïs chinois depuis 1950. R.I.P.

On peut tout de même s’interroger quant à cet acharnement contre Jean-Marie Le Pen, lorsqu’il exprime son point de vue au micro de RMC et lors une interview dans « Rivarol », en répondant aux questions posées. Il y a quelques semaines tout l’Hexagone avait défilé contre le terrorisme et pour défendre la liberté d’expression, sous le slogan « Je suis Charlie » ! Une liberté d’expression à géométrie variable ? Va-t-on bientôt devoir passer un examen pour avoir le droit de penser ? De s’exprimer ? De se réunir ? D’écrire en toute liberté ? Au nom de la Pensée Unique ?

Nous sommes nombreux à avoir subi les foudres de la Justice et les ciseaux d’Anastasie, parce que nous savions pertinemment que l’Histoire est écrite par les vainqueurs et que les libertés sont jugulées par ceux qui gouvernent.

Non seulement les hyènes de la secte politico-médiatique harcèlent leur proie, mais on entend aussi les petits roquets prétendus « patriotes » réclamer la tête du trublion. C’est mal connaître J-M Le Pen. Jamais il ne fera repentance ni un mea-culpa ou encore son autocritique. On ne le verra pas la corde au cou supplier le pardon des offenses devant les micros ou les caméras. La meute l’entoure, mais il fait face : debout !

Aujourd’hui : « JE SUIS JEAN-MARIE » !

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jeudi, 26 mars 2015

POLICE PARTOUT : SECURITE NULLE PART !

SAM_0153.JPGPieter Kerstens

C’est le constat amer que l’on peut dresser quand on se souvient du cruel bilan des attentats de la gare Atocha à Madrid en mars 2004 et ceux de Londres en juillet 2005. En Espagne effectivement, les forces de l’ordre connaissaient le terrorisme basque depuis plus de 30 ans, alors que dans la capitale anglaise, des dizaines de milliers de caméras observaient le moindre geste suspect.

Il en va de même aujourd’hui avec les déploiements de l’armée aux abords des synagogues, des mosquées, des bâtiments publics ou de lieux à forte concentration populaire.

Partout en Europe les gouvernements ont sorti leur panoplie hystérique et brandissent le bouclier « Padamalgam » afin d’empêcher le peuple de désigner l’ennemi, puisque selon eux, la guerre au terrorisme est déclarée. Car enfin, de Merah à Coulibaly en passant par Nemmouche et Kaouchi, ce ne sont pas des bouddhistes fanatiques, mais bien des musulmans (grands criminels multirécidivistes) qui sont les auteurs des récentes tueries au nom de « Allah Akbar ! » confirmant ainsi la relance d’une guerre de religion ancestrale. On remarque par ailleurs que le plan Vigipirate n’empêche en rien les bandes de racailles de dévaliser les passagers du RER et de poignarder les plus faibles pour quelques euros.

« Je suis Charlie », « Je suis danois », « Je suis Bardo » : OUI. « Je suis Maaloula », « Je suis Maïduguri », « Je suis Sanaa » : combien de bougies, combien de manifs… ?

A croire que les lunettes roses des laquais du Nouvel Ordre Mondial occultent les persécutions et les assassinats que subissent les chrétiens -et d’autres- dans l’arc musulman depuis 50 ans. Au nom du « vivre ensemble », les pantins européens nous imposent leur vision frelatée d’une société multiculturelle et pluriethnique qui se désagrège au fil du temps.

Cà et là, quelques courageux polémistes, intellectuels et criminologues tentent d’établir une analyse accablante sur les conséquences néfastes de l’envahissement de l’Europe par des individus qui ne cherchent ni à s’intégrer ni à s’assimiler à nos sociétés fondées sur des traditions, des us, des coutumes et des règlements hérités d’une culture et d’une civilisation européenne multiséculaire. Il en va de même pour une grande partie d’immigrés nés sur notre sol, qui revendiquent des comportements et des usages incompatibles avec nos lois.

Plus grave : les marionnettes pseudo-humanistes interdisent toute forme de contestations et refusent le débat des idées, au motif que seules leurs valeurs « citoyennes » seraient acceptables. Ils vivent dans une sphère aseptisée, hors des réalités du quotidien, entre initiés, seuls détenteurs de la vérité. Ils ignorent le mécontentement populaire, l’exaspération des citoyens et le désespoir de ceux « d’en-bas ».

Et cela ne date pas d’hier. En désignant les volontaires partis faire le djihad en Irak, en Syrie (après avoir désigné Bachar Al-Assad comme « l’homme à abattre »), en Lybie, au Mali ou ailleurs, comme étant des terroristes, ils oublient que lors de précédents conflits en Afghanistan en 1980, en Irak en 1991, en Tchétchénie en 1991, en Bosnie en 1992, au Kosovo en 1998, à nouveau en Afghanistan en 2002 et encore en Irak en 2003, des milliers d’européens étaient partis combattre aux côtés des islamistes au nom « d’Allah le Tout Puissant ! ». Certains de ces djihadistes sont restés sur place, mais la grande majorité est rentrée en Europe. Combien de tueries ont-ils commis chez nous ces 30 dernières années ? Combien d’attentats à la bombe ou à la voiture piégée comme au Proche-Orient ?

La 5e colonne n’est pas à Damas, à Mossoul ou à Tunis, elle s’est déjà formée dans nos banlieues avec la complicité de nos politicards. Ces collabos de l’immigration/invasion, ceux-là mêmes qui depuis des décennies ont vidé les églises pour remplir les mosquées (qui forment et informent les futurs « terroristes ») et nous imposent la nourriture hallal dans les cantines, afin de complaire à de futurs électeurs ; ces clowns tristes responsables du déclin et de la décadence de nos pays ont imaginé maintenant des quartiers d’isolement pour islamistes dans nos prisons et une nouvelle restriction pour tous de la liberté d’expression.

Mais à ceux qui pensent que le problème commence en prison, je dis NON, il commence, pour certains, en classe primaire. Touche pas à mon pote ?

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mercredi, 04 mars 2015

RENDUS IRRESPONSABLES, ILS N’ONT PLUS QUE DES CAPRICES D’ENFANTS

SAM_0153.JPGPieter Kerstens

L’Etat-Providence fut initié en Suède par le socialiste Olof PALME qui dirigea le pays de 1969 à 1976 et de 1982 à 1986.  Durant ces périodes, les dépenses sociales avaient explosé et les impôts avaient atteint un sommet avec un taux prohibitif de 105% sur certaines tranches de revenus.  Cette « rage taxatrice » avait poussé de nombreux suédois à quitter le pays pour des cieux plus cléments, à l’exemple du metteur en scène Ingmar BERGMAN qui s’expatria aux USA.

Ce postulat d’Etat-Providence devait prendre à sa charge chaque individu, de la naissance à la mort, en lui garantissant un bien-être quotidien sans trop d’efforts ni de contreparties. « Dormez tranquille, braves gens, on s’occupe de tout » aurait pu être le leitmotiv de ce pays nordique.

Malheureusement, les arbres ne grimpant pas jusqu’au ciel et le Père Noël n’étant qu’un conte pour enfants, la réalité des chiffres a mis les politiciens suédois face au constat de leurs utopies, des années plus tard.  Cet exemple suédois avait néanmoins incité d’autres gouvernements européens à accorder une multitude d’allocations, d’avantages, de facilités et de « droits z’acquis » à leur peuple respectif.

La Fête est finie

Dans un contexte d’économie favorable, avec des balances commerciales bénéficiaires, des PIB en croissance continue, des budgets équilibrés et une dette publique modérée, ce principe d’Etat-Providence pouvait se justifier.  Mais ce fut loin d’être le cas.  Depuis 1967, les différents chocs pétroliers ont bouleversé les économies européennes en propulsant le prix du baril de 4 à 120 dollars sur 40 ans et en déstabilisant les coûts industriels de nos entreprises.  En outre les eurocrates de Bruxelles, en imposant la mondialisation et l’ouverture de nos frontières à des produits de mauvaise qualité vendus à des prix bradés, ont construit des cimetières industriels ayant une vue imprenable sur un désert économique.

De Walter HALLSTEIN à J-C JUNCKER, en passant par Sicco MANSHOLT, Jacques DELORS ou Romano PRODI, ces laquais du Nouvel Ordre Mondial ont muré nos mines, coulé les chantiers navals, condamné les industries sidérurgiques et textiles, réduit l’agriculture en jachères et nous ont imposé des normes de fabrication ou d’achat aussi stupides qu’inefficaces, au prétexte de « réguler les flux » et de créer une « société de services » qui nous apporterait un « mieux vivre » et garantirait des « emplois durables ». Aujourd’hui, on peut en tirer les conclusions.

Comme à l’exemple de la « société pluriethnique et multiculturelle » qui, selon les déclarations de Mme MERKEL et de MM CAMERON et SARKOZY est un « véritable échec », la politique économique, sociale, industrielle et financière menée par les gouvernements européens depuis 50 ans nous a conduits au fond du gouffre, et nos enfants et petits-enfants vont devoir en payer l’addition.

Le miracle de la carte plastique

Depuis 6 ans, les politicards nous répètent que « la crise est derrière nous » et que « la croissance revient ». Même avec les lunettes roses des utopistes socialo-démocrato-écologistes il est difficile d’apercevoir un horizon dégagé de toute intempérie et bien au contraire il y a lieu de craindre un krach futur.

En effet, les différents régimes au Pouvoir en Europe ont infligé le « principe de précaution » à leur citoyens, ajouté au « risque zéro », ont imposé un enseignement dévalué qui produit des analphabètes et des incultes par bataillons entiers, se sont servis des médias pour intoxiquer et anesthésier leur population et se comportent comme des inquisiteurs envers tous ceux qui ne respectent pas la Pensée Unique (ou ne se conforment pas au « prêt-à-penser ») en les traînant devant les tribunaux de la Police de la Pensée.  Quant à ceux qui ne se convertissent pas à la Nouvelle Religion Droits-de-l’Hommiste, ils peuvent s’exiler !

En confinant les individus dans des limites préétablies et rigoureusement surveillées, le Régime a cadenassé l’espace des libertés (opinion, réunion, presse et expression) en instaurant des lois liberticides depuis 1974.  En contrepartie, ce Pouvoir, le Nouvel Ordre Mondial, sacralise l’homo-consuméris en vantant l’hédonisme et en permettant toutes les outrances de la consommation au détriment de toute exigence humaine d’un autre ordre.  Afin de pouvoir jouir sans entrave, l’individu se voit doté de cartes de crédit et d’argent virtuel qui lui ouvrent les portes d’un « mieux-vivre » ou d’un « bien-être » factice.

Plus, encore plus et toujours plus ?

Mais n’oublions  pas que ces « homo-consuméris » en grande majorité sont également des électeurs qui votent pour les députés qui rédigent de nouvelles lois.  Certains sont même affilié aux syndicats revendicatifs.  Tous ou presque soutiennent les partis omnipotents qui dirigent nos pays.

Ces mêmes homo-consuméris sont donc incapables de discernement, abrutis par la publicité et confrontés aujourd’hui aux fins de mois difficiles.  Il est vrai que leurs parents, génération mai 68’, n’ont pas non plus fait preuve d’appréciation dans leur choix de vie et ont fait profiter leur progéniture d’une facilité d’existence héritée de leurs aïeux qui, eux, avaient connus les souffrances et certaines privations.  Pourquoi s’étonner dès lors du refus d’affronter les difficultés de l’existence, de la majorité des 18-35 ans ?  Beaucoup végètent chez leurs parents, bénéficiant d’allocations diverses et trainent les pieds pour chercher du boulot. Pire, une grande partie revendique tout et n’importe quoi, sans contribuer eux-mêmes à l’effort collectif. D’autres, innombrables parasites se gavant d’argent public et rétribués par les administrations ou les services publics, manifestent à tout bout de champ pour des motifs récurrents depuis 50 ans !

Et comment peut-on soutenir les grèves et les revendications des cheminots, conducteurs de TGV, qui réclament la défense de leur « pouvoir d’achat », alors que leurs privilèges datent des locomotives à vapeur et des primes aux chauffeurs qui enfournaient le charbon dans les chaudières ?

Comment se sentir solidaire des pilotes d’avions, au salaire confortable, quand ils refusent l’allongement de leur durée de travail ?

Pourquoi accepter plus longtemps les privilèges des dockers et le monopole d’embauche octroyé à leur syndicat corporatiste ?

Tenant compte de la situation économique et financière de beaucoup de pays européens, ces revendications déplacées font figures de caprices d’enfants gâtés, pour une grande majorité des manifestants et particulièrement des fonctionnaires.

Les exemples sont multiples, mais la nature humaine est telle que l’égoïsme l’emporte souvent sur le réalisme et la raison.

Abraham LINCOLN, président américain, avait déclaré au Congrès en 1860 :

« Vous ne pouvez pas aider le salarié en anéantissant l’employeur.

Vous ne pouvez pas aider le pauvre en ruinant le riche.

Vous ne pouvez pas éviter les ennuis en dépensant plus que vous ne gagnez.

Vous ne pouvez pas forcer le caractère et le courage en décourageant l’initiative et l’indépendance.

Vous ne pouvez pas aider les hommes continuellement en faisant pour eux ce qu’ils pourraient faire eux-mêmes. »

Les caisses sont vides et il est temps maintenant de distinguer l’essentiel du superflu, de retrousser ses manches, d’instaurer une réelle politique de redressement de nos économies en stoppant le déclin et la décadence de nos sociétés sclérosées par des décennies de laxisme et de turpitude, de gauche comme de droite. OUI, le travail rend libre !

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mercredi, 18 février 2015

LES MINORITES TOTALITAIRES ET LEURS EXIGENCES SECTAIRES.

1377734341.jpgPieter Kerstens

Des cohortes d’associations, de collectifs, de groupements, de syndicats, de mouvements, de lobbies ou d’observatoires s’activent dans une multitude de débats tous aussi revendicatifs que stupides.

Que ces actions multiformes puissent améliorer le bien commun, dans l’intérêt général, pourquoi pas ?

Mais c’est loin d’être le cas et, depuis très longtemps, on s’aperçoit que ces innombrables groupuscules s’ingénient à mystifier les citoyens avec leurs utopies et leurs revendications outrancières. Au fil des ans, et sans doute à cause de la lassitude des populations, des milliers de groupes de pression ont imposé leurs visions contre la volonté des gens, encadrés par les gouvernements dans un carcan de lois liberticides.

Ce carcan fut institué par le Tribunal International de Nuremberg (20 nov. 1945 – 1er oct. 1946) dont les jugements ne pouvaient d’aucune façon être remis en cause par quiconque, et jusque dans la nuit des temps. Durant ce procès, le massacre de Katyn fut attribué aux Allemands, désignés comme étant les responsables de l’assassinat de 26.000 officiers, soldats et civils polonais, dont les corps furent découverts en mars 1943 par la Wehrmacht elle-même. Ce n’est que 50 ans plus tard à la fin des années 90, que la Russie a reconnu que ce crime de guerre avait été perpétré sur ordre de Staline, daté du 5 mars 1940, avec l’aval du Politburo du Comité Central du Parti Communiste d’Union Soviétique.

Dès lors, comment croire encore aux élucubrations entourant les prétendus « crimes contre l’humanité » imputés aux Allemands, alors que durant 1/2  siècle les russes, eux, ont fait endosser leur massacre par d’autres, et ce, avec la connivence de l’Occident dans son ensemble ?

On constate que l’Histoire est écrite par les vainqueurs, mais qu’au fil des ans la vérité sort du puits.

Il en va de même avec d’autres affabulations, martelées par les slogans des minorités de khmers verts, d’agités gauchistes et de bobos socialos tendance « caviar », dont les médias ont souillé les esprits :

§  « le nucléaire est un danger planétaire ». C’est encore jusqu’à maintenant la source d’énergie la moins chère et celle qui dégage le moins de CO2.

§  « le trou dans la couche d’ozone va carboniser toute la Terre ». Ce fameux « trou » a quand même très largement diminué depuis 1995.

§  « les bio-carburants doivent être imposés aux automobilistes (exclusivement européens…) pour lutter contre la pollution ». Cheval de bataille des Ecolos au début des années 2000, ce leitmotiv est abandonné, car ces agro carburants obtenus à partir du soja, de la canne à sucre, de la betterave ou des céréales, ont un bilan énergétique négatif et sont la cause de l’étendue des déforestations et de l’abandon des cultures vivrières en Amérique du sud, en Afrique et en Asie, toutes formes d’agriculture qui ne sont même plus destinées à l’alimentation des populations et engendrent des problèmes d’autosuffisance alimentaire dans les pays pauvres. Cette chimère des verts est un crime contre le monde agricole planétaire.

§  « le réchauffement de la planète va engendrer la fonte des glaciers et la montée des océans ». Et alors ? Au cours des siècles le refroidissement et le réchauffement de la Planète se sont succédé.  Au Groenland, île danoise, la fonte des neiges et des glaciers en effraye plus d’un. Au Xème siècle, ce territoire offrait de vastes forêts et d’immenses plaines où les vikings d’Eric le Rouge faisaient paître leurs troupeaux. De là son nom de « PAYS VERT ».

§  « il ne faut plus manger de foie gras, car cela fait trop souffrir les oies ». Et plus de gigot non plus car cela fait pleurer les agneaux ? Pas d’œufs, parce qu’on élève les poules en batteries ? On mange quoi : des asticots, des algues ? Et avec quoi on préparera le tournedos Rossini ? Avec du pâté de neurones issu du cerveau atrophié des eurocrates de Bruxelles ?

Certaines lois sont faites « sur mesure » pour des minorités agissantes et bénéficiant de la complaisance et du soutien indirect des gouvernements (avec des arrière-pensées électoralistes), ainsi le Pacte Civil de Solidarité -PACS- institué en France en 1999 et qui a concerné moins de 3% des ménages ! Il en est de même pour ce qui est du Mariage pour Tous : les mariages entre homosexuels n’ont totalisé que moins de 5% des 241.000 mariages célébrés en 2014.

PADAMALGAM, « VIVRE ENSEMBLE », « INVASION DE CRIQUETS »et « DIVERSITE »

En évoquant la communauté musulmane en France, force est de constater qu’elle est encore minoritaire au sein de la population, bien qu’elle occupe une place importante dans le show-business, le sports ou dans les médias et la rubrique « faits divers ». Cela n’empêche nullement ses représentants de réclamer avec arrogance des revendications non fondées.

A ce titre Azouz BEGAG, ministre délégué à la Promotion de l’Egalité des Chances sous Nicolas SARKOZY, déclarait avec aplomb en décembre 2005 :

« … il faut traverser le périphérique, aller chez les indigènes là-bas, les descendants de Vercingétorix…il faut casser les portes, et si elles ne veulent pas s’ouvrir, il faut y aller aux forceps. Partout où la diversité n’existe pas, ça doit être une invasion de criquets, dans les concours de la fonction publique, dans la Police Nationale. Partout, de manière à ce qu’on ne puisse pas revenir en arrière.*

…je veux un Noir, je veux un Antillais, un type de Madagascar, je veux des femmes, je veux la diversité. J’ai composé mon cabinet en fonction de cette diversité, il ressemble à la France d’aujourd’hui.

…le but de la Charte de la diversité est non seulement que les entreprises ne discriminent plus, mais que la sensibilisation à ce sujet les pousse à aller chercher cette diversité…. C’est mon pays la diversité, et çà, je veux le faire comprendre partout ». Interview à la revue Respect Magazine n°8 Oct/Déc 2005.

Ce ne sont plus le QI, l’expérience, les compétences ou les diplômes qui comptent, ce n’est uniquement que la couleur de la peau : la DI-VER-SI-TE.    Ce n’est pas du racisme çà ? Maintenant, ils récoltent !

Pour créer un syndicat, il faut avoir fait la Résistance en 39-45. Et pas la retraite de Russie ?

Les privilèges corporatistes propres aux syndicats et datant de l’immédiat après-guerre, sont une véritable honte. Ces copains et ces coquins se sont attribué depuis 70 ans des passe-droits et des avantages exorbitants. Ce sont des milliards d’euros qui partent en gaspillages scandaleux. Cet argent, public en grande partie, mais aussi provenant des sociétés, pourrait aller directement dans les poches des salariés, sans passer par les cases comités d’entreprises ou des syndicats !

Ne parlons pas des caisses de retraite des fonctionnaires, des agents des collectivités territoriales et des sociétés parapubliques… Pourquoi ne pas les aligner avec celles du secteur privé ? Pourquoi encore tolérer plus longtemps les injustices qui frappent les travailleurs du secteur privé ? Les fonctionnaires et assimilés doivent, eux-aussi, se plier à l’intérêt général dans le souci du bien commun et par conséquence accepter que leur régime de retraite soit identique à celui du secteur privé. Il s’agit ici très précisément de l’affectation de l’impôt prélevé par l’Etat sur l’ensemble des travailleurs et des sociétés du privé.

Tous ces exemples ne concernent que des minorités. Mais additionnés les uns aux autres (et les cas sont multiples) on arrive à ce que sur 100€ de richesse produite annuellement en France en 2015, 57€ seront destinés à la survie de l’Etat-Providence et à entretenir le  parasitisme d’une multitude d’associations et de cloportes qui vivent sur le dos des travailleurs qui se lèvent tôt le matin.

Si vous trouvez cela anormal, OSEZ PENSER & OSER AGIR ! Un vote sanction sera le bienvenu : Mieux vaut tard que jamais.

* Azzédine TAIB, élu le 30 mars 2014 maire de Stains, est un immigré algérien. C’est le premier maghrébin communiste à prendre la direction d’une commune de plus de 30.000 habitants. Stop ou Encore ?

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mardi, 03 février 2015

ILS sont venus malgré nous, ILS partiront grâce à vous !

Photo 005.jpgPieter Kerstens

En 1974, l’ancien président de la République Démocratique et Populaire d’Algérie, Houari BOUMEDIENNE déclarait à la tribune de l’ONU : « Un jour, des millions d’hommes quitteront l’hémisphère sud pour aller dans l’hémisphère nord. Et ils n’iront pas là-bas en tant qu’amis. Parce qu’ils iront là-bas pour le conquérir Et ils le conquerront en le peuplant avec leurs fils. C’est le ventre de nos femmes qui nous donnera la victoire ».

En 1997, l’ex-maire d’Istanbul, actuel 1er ministre Turc, Recep Tayyip ERDOGAN a affirmé : « Les mosquées sont nos casernes, les minarets nos baïonnettes, les dômes nos casques et les croyants nos soldats ».

Dans le quotidien français « Le Figaro » du 19 décembre 2006, le guide de la Jamahiriya Islamique de Libye, Mouammar al-KADHAFI exprimait solennellement sa conviction : « Sans épée, sans fusil, sans conquêtes, les 50 millions de musulmans en Europe la transformeront bientôt en continent musulman ! »

C’était clair non ? Ecrit en langue française, compréhensible par une grande majorité des européens.

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mercredi, 31 décembre 2014

Silence : ON TUE !

Photo 009.jpgPieter Kerstens

Alors que jamais personne ne s’est intéressé à leur sort, depuis quelques mois, le martyre des chrétiens occupe nos médias et les colonnes de nos périodiques. Depuis fort longtemps les chrétiens, blancs pour la grande majorité, ont été persécutés sous toutes les latitudes et par tous les régimes politiques ou religieux.

Devoir d’oubli ?

Laïcistes, francs-maçons, socialo-marxistes et prétendus « chrétiens de gôche et humanistes », tous se sont tus et esquivés, quand les anglais en Afrique du Sud ont enfermé les femmes, les enfants et les vieillards dans les camps de concentrations - dont ils furent les inventeurs en 1899 - pour obliger les Boers à déposer les armes et à se rendre.

Le régime communiste de Lénine, Staline, Zinoviev, Kamenev, Trotski, Beria et Vychinski, ne suscita que peu de réactions de la part des églises catholiques d’Europe, quand il organisait les exterminations de masse, le nettoyage ethnique, la famine en Ukraine (Holodomor) ou l’élimination des Koulaks. Aucune protestation du monde chrétien quand la Guépéou envoya des millions de déportés pourrir dans le Goulag.  Pas un murmure des Eglises lorsque le NKVD (« Commissariat du Peuple aux Affaires Intérieures ») puis le KGB -Komitet Gossoudarstevennoï Bezopasnotsi- (« Comité de Sécurité de l’Etat ») liquida des dizaines de milliers de déviationnistes. Même silence gêné, aucune déclaration ferme, pas de manifestations ni de condamnations quand 2 millions d’Ibos chrétiens ont été massacrés par les militaires nigérians, lors de la guerre du Biafra en 1967-1970.

Et durant les décennies 1970-2010, que ce soit en Chine, aux Philippines, en Indonésie, au Cambodge avec les Khmers Rouges, ou au Viêt-Nam, partout en Asie les chrétiens ont été persécutés et martyrisés. N’évoquons pas les meurtres, les massacres, les assassinats et les tortures, année après année, dont les victimes sont chrétiennes et vivent en Afrique, au Maghreb, au Proche & au Moyen Orient ou dans la Péninsule Arabique. La liste en serait trop longue.

Les médias en ont-ils parlé ? Y a-t-il eu des débats ou encore des émissions à ce sujet ? L’église de Rome est-elle montée au créneau pour clamer son indignation et appeler tous les chrétiens à faire face ? Les professeurs d’Histoire ont-ils enseigné ces faits réels à leurs élèves ? Pas un mot non plus concernant les crimes contre l’humanité de l’éthiopien Mengistu Haïlé Mariam, ci-devant conducator de l’ancien royaume d’Axoum de 1974 à 1991, qui transforma son pays (où vivaient plus de 75% de chrétiens) en République Populaire et Démocratique, allié de l’URSS et de Cuba.

Copie conforme.

Il devient de plus en plus évident pour chacun, que l’information diffusée par les chaines de radio et de télé est orientée vers l’émotion et la sensiblerie de manière à déclencher la compassion ou la pitié des auditeurs/téléspectateurs/internautes par le « poids des mots et le choc des photos ». C’est ainsi que les barbus de DAESH ont acquis une funeste renommée mondiale, grâce à leurs vidéos de décapitations.

Ce n’est certes pas un procédé nouveau, car les islamistes se sont inspirés des vidéos des cartels de la drogue mexicains.

Il suffit de s’informer sur : « cartel del Golfo » ; « cartel de Sinaloa » ; « cartel de Culiacàn » ou de taper « el Chapo Guzman » et « comandante Pitufo », pour regarder et écouter les méfaits de ces criminels qui, bien des années avant les djihadistes, ont mis en scène et diffusé leurs exactions.  L’ensemble sur des airs musicaux très entrainants, joyeux et communicatifs, les « Rancheras ». Sur l’une des vidéos ils montrent, dans une église, une pyramide de têtes coupées et un flot de sang dégoulinant sur les marches du parvis, avec un fond musical guilleret d’accordéon et de tambourins, en donnant les raisons de ce massacres, pour terroriser les paysans d’alentour : « si vous ne nous soutenez pas (ou n’appliquez pas l’omerta) contre les forces de l’ordre, alors préparez-vous à mourir dans d’atroces souffrances ! ».

Sachant qu’au Mexique TOUT s’achète et TOUT se vend, mêmes les consciences, et ce depuis Pancho Villa jusqu’au président Fox, en passant par Venustiano Carranza, Alvaro Obregon et Emiliano Zapata, il n’est pas étonnant que la corruption, la prévarication, la perversion ou le chantage puissent soudoyer les dépravés et les tarés à tous les niveaux de cette société, très catholique au demeurant.

« Pas d’amalgame s.v.p. : il ne faudrait pas stigmatiser une communauté en particulier ! »

Avec le recul, on peut constater que les différents papes depuis Pie X – de 1903 à 1914 – n’ont pas montré un réel enthousiasme à mener une croisade contre les ennemis de la Chrétienté, que ce soit en Europe ou par delà les mers.

Les musulmans se sont implantés en nombre en Europe ces 40 dernières années et ils comptent des dizaines de millions de fidèles. C’est pourquoi maintenant certains états et quelques églises semblent sortir de leur léthargie face au danger : le renard est dans le poulailler !

Mais quand mes camarades d’Ordre Nouveau et moi-même avions organisé le meeting du 21 juin 1973 à la Mutualité sous le thème « Halte à l’immigration sauvage », TOUS nous ont traités de « racistes », de « fascistes » et de « nazis ». Pourtant, les inspecteurs des R.G présents dans la salle ont tous confirmé au ministre de l’Intérieur, Raymond Marcellin, qu’ils n’avaient jamais entendu un propos raciste dans les différents discours. C’est après une campagne de presse haineuse et nauséabonde contre Ordre Nouveau, par les laquais du mondialisme comme Thierry Pfister du « Monde » ou comme Maurice Clavel dans « Le Nouvel Obs » soutenus par les ministres Pierre Messmer, Jean Taittinger et Bernard Stasi, que la dissolution d’O.N est prononcée le 28/6/1973. Et le Régime n’a pas changé de stratégie quatre décennies plus tard : « Quand on veut tuer son chien, on l’accuse de la rage ».

Par ailleurs, ce Pouvoir incompétent, qu’il se prétende de droite ou se réclame de gauche, s’obstine depuis 41 ans dans ses chimères et se berce d’illusions.  Nous allons droit vers une guerre de religions et la guerre civile : autant savoir et se préparer. Mais il n’y a pas d’islamisation de nos quartiers, sans immigration dans nos villes. C’est clair ?

Et pourtant l’Eglise, les syndicats chrétiens, les écoles libres, le Secours Catholique, et une multitude d’organismes liés au christianisme ont manipulé la réalité en occultant les massacres de chrétiens blancs, partout dans le monde au prétexte qu’il ne faudrait pas « condamner » ou « stigmatiser » les musulmans ou les marxistes. Sans doute au nom de l’œcuménisme frelaté et pervers que nous vendent les marchands du temple ? Parce que l’œcuménisme, c’est l’union de toutes les églises chrétiennes en une seule et non cette réunion entre l’Islam, la Chrétienté, le Bouddhisme et le Judaïsme, hallucination des laïcistes anti-blancs.

Ces ennemis de l’Europe, alliés aux gnomes de Wall Street, aux lobbies sionistes, aux sodomites pervers, aux rois du pétrole, aux khmers verts, aux francs-maçons et aux banksters cosmopolites, ont depuis plus de 70 ans vidé les églises pour remplir les mosquées !

Aujourd’hui, le réveil des Chrétiens d’Orient qui appellent à l’aide (en plus de prières, ils ont AUSSI besoin d’armes et de munitions pour défendre leur famille et leurs biens), devrait permettre aux Européens d’ouvrir un œil et imposer rapidement si possible, le rapatriement des immigrés inassimilables (de la 1ère, 2ème, 3ème, 4ème, ou 5ème génération peu importe) dans le pays d’origine de leurs aïeux.

Il est intolérable et particulièrement révoltant de voir un ministre de la Justice qui excuse les délinquants et les criminels et ignore les blessures et le calvaire des victimes. Cette politique imbécile a pour objectif de vider les prisons et par conséquence de pousser encore plus la racaille à commettre des agressions de plus en plus violentes et envers les plus faibles de notre société (jeunes femmes, enfants, vieillards). Les meurtres crapuleux de ces dernières semaines en sont la preuve évidente. Le ministre devrait pouvoir être poursuivi par la Justice Immanente et puni par le doigt de Dieu, puisque la justice humaine reste vaine.

Mes meilleurs vœux pour 2015 : «  La vie pour les Innocents. La mort pour les Assassins ! »

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samedi, 13 décembre 2014

NE DITES-PLUS « DE CHARYBE EN SCYLLA (1) », MAIS DE KABOUL A MOSSOUL.

Photo 009.jpgPieter KERSTENS

(écrit à Damas le 2 décembre 2014)

Il n’est plus un mystère pour personne que Oussama Ben Laden avait été recruté par le prince Turki al-Fayçal – chef des services de renseignements saoudiens – vieil ami de la famille des milliardaires Ben Laden. Au service des américains, la libération de l’Afghanistan, envahi par les infidèles communistes fin 1979, devient pour Oussama son djihad personnel, sa croisade anti-communiste pour laquelle il recrute sur fonds saoudiens et américains des centaines de moudjahidines, affluant de tous les pays arabes. Après la déroute des armées russes et l’effondrement de l’URSS en 1991, Ben Laden va s’allier à la cause des talibans du mollah Omar et mettre en place Al-Qaïda (la Base), dans différents pays du monde musulman, avec l’aval de la CIA.

Vingt ans après.

En avril 2006, Al-Qaïda en Irak forme avec 5 autres groupes djihadistes le Conseil des Moudjahidines en Irak, au sein de DAESH contraction de « ad-dawia al islamiyya fi-l Iraq wa-s-sam (2) ». Avec la prise de Mossoul au printemps 2014 et une intense propagande audio/vidéo sur Internet, DAESH acquiert une sinistre renommée mondiale et impose la terreur comme marque déposée. « La Base » a échappé à ses créateurs américanos-saoudiens et a implanté ses métastases au Proche et Moyen Orient. Après l’Irak et la Syrie, le Liban et la Jordanie sont également menacés. Parce que parmi les centaines de milliers de réfugiés, des centaines et sans doute des milliers de salafistes, takfiristes et wahabites se sont aussi infiltrés et recrutent en permanence au nom de DAESH, au grand désespoir des gouvernements concernés.

Et là où la situation devient franchement nauséabonde, c’est lorsque l’on apprend d’une part, que le calife de l’Etat Islamiste en Irak et au Levant - Abou Bakr al-Baghdadi - a séjourné quelques années dans les prisons américaines, avant d’être libéré, et que d’autre part la télévision israélienne montre des ministres du gouvernement Netanyahu visiter des blessés de Jabhat al-Nostra, soignés dans les hôpitaux de l’état hébreux, et les féliciter pour leur combat contre le régime syrien ! Et que l’Etat d’Israël cherche à envenimer la situation en incitant les djihadistes à ouvrir de nouveaux fronts à Koussaya et Arkoub …au Liban !

L’enjeu du pétrole et des gazoducs.

Si les USA voulaient vraiment couper les vivres à DAESH, ils bombarderaient les convois routiers de pétrole, facilement identifiables par les vols de reconnaissance aériens mis en place par la coalition en cours.  La volonté des USA de destruction des pipelines syriens a en réalité rien à voir avec la volonté de tarir les sources de financement de DAESH, mais vise à détruire plutôt les infrastructures pétrolières syriennes. Car l’estimation suivant laquelle DAESH retire 2 millions de dollars chaque jour de la vente de pétrole, ne provient que d’une seule source d’information, non vérifiée par ailleurs, qui est la société IHS, compagnie de consulting, basée au Colorado. Ce chiffre a été repris tel quel par l’administration américaine et les autres agences de presse. Ce montant probablement surévalué masque aussi le fait que DAESH reçoit des fonds de la part d’autres acteurs du conflit, comme le Qatar, l’Arabie Saoudite, d’autres états du Golfe et de la Turquie et sert de prétexte au ciblage des infrastructures syriennes.

L’objectif américain serait plus vaste que l’exploitation future du pétrole syrien, parce que les USA essaient de contrôler les flux de pétrole et leur vente aux autres nations ce qui est primordial dans leur projet d’hégémonie globale. Cette stratégie tient compte également des réserves de gaz de la Russie et de l’Iran. Ainsi selon le journal The Guardian : « Le président Assad avait refusé de signer en 2009 un projet avec le Qatar qui prévoyait la construction d’un gazoduc de son champ le plus au nord, contigu du champ iranien South Pars et traversant l’Arabie Saoudite, la Jordanie, puis la Turquie, avec comme but d’alimenter le marché européen et de fait de concurrencer la Russie. L’opinion d’Assad fut de protéger ses alliés russes qui sont les premiers fournisseurs de gaz naturel vers l’Europe.

Par la suite, Assad a développé un ancien projet de gazoduc alternatif avec l’Iran pour un coût estimé à 10 milliards de dollars. Celui-ci devait connecter l’Iran à la Syrie en traversant l’Irak, ce qui permettait à l’Iran de donner à son gisement de South Pars, commun avec le Qatar, un débouché sur le marché européen. Les documents officiels et les accords pour ce gazoduc seront signés en juillet 2012 entre les différentes parties, en même temps que la guerre civile syrienne gagnait Alep et Damas. Ce projet Iran-Irak-Syrie constituait un véritable camouflet pour les plans du Qatar ».

Le but du Qatar, en payant les rebelles, consiste à renverser le gouvernement syrien et à installer une opposition inféodée à ses intérêts afin de mener à terme son propre projet de gazoduc. La Turquie, l’Arabie Saoudite et la Jordanie partagent aussi des intérêts dans cette réalisation. Celle-ci rejoint l’objectif des Etats-Unis d’affaiblissement de la position stratégique de la Russie vis-à-vis de l’Europe.

Constatant leur échec quant à renverser Bachar al-Assad, les USA ont décidé de détruire ce qu’ils ne pouvaient contrôler. Et quand les médias occidentaux titrent : « Les forces coalisées bombardent les pipelines et les installations pétrolières de DAESH », ils oublient que ces infrastructures n’appartiennent pas à DAESH, mais au peuple syrien !

Les Etats-Unis et l’Europe ont recruté, entrainé, armé et financé des milliers de rebelles (venus aussi d’Europe) pour abattre le président Bachar – désigné comme un ignoble monstre par des ministres européens – et ce, depuis 2011. Aujourd’hui, ces rebelles modérés ont disparu et certaines sources militaires constatent que les katibas de DAESH disposent non seulement de missiles sol-air portables de type Strela et Igla, mais également de missiles anti-aériens chinois FN6 (une arme moderne et bien plus puissante que les missiles russes) livré par le Qatar. Il a été constaté récemment que les « terroristes » de DAESH possèdent aussi quelques missiles Milan qui, eux, ont été livrés par la France à l’ASL….

Conférence internationale sur la lutte contre le terrorisme et l’intégrisme religieux.

Organisée par le ministre de la Justice syrienne, Najem Ahmad à Damas les 30 novembre et 1er décembre, cette réunion a rassemblé plus de 300 personnalités politiques, religieuses, culturelles et sociales de 25 pays arabes et occidentaux, dont plusieurs observateurs français, belges et …américains.

Dans son discours d’ouverture le président du Conseil des Ministres, le Docteur Waël Halaqi a affirmé que la Syrie, son peuple, son armée et son gouvernement devaient aujourd’hui faire face aux gangs terroristes les plus dangereux : Daesh, le front al-Nostra (3) et al-Qaïda qui peuvent tout se permettre comme la destruction des infrastructures et les crimes les plus atroces. Le Docteur Halaqi a précisé que le terrorisme international est un problème mondial dangereux qui menace la sécurité et la paix et qui implique que la communauté assume ses responsabilités, étant donné que le terrorisme international n’exclut pas un peuple ou une région, mais qu’il compromet le monde entier.

Les participants à la Conférence internationale sur la lutte contre le terrorisme et l’intégrisme religieux ont estimé que le terrorisme est un « système intégral basé sur le pensée wahhabite, takfiriste et extrémiste et parallèlement sur un terrorisme politique, économique, médiatique, psychique, militaire et électronique, pratiqué par les pays occidentaux et les ennemis de la Syrie, contre elle. » Ils ont ajouté que « le terrorisme est un projet impérialiste et sioniste qui vise les politiques, les esprits, les nations et les projets patriotiques et nationaux, au travers des organisations telles que al-Qaïda, le front al-Nostra et DAESH. »

« Le terrorisme sioniste est l’un des piliers les plus importants du terrorisme international et il vise à réaliser les ambitions sionistes et à mettre en œuvre ses plans dans la région » ont indiqué les participants. En ce qui concerne l’illégitimité des sanctions imposées à la Syrie, les personnes présentes ont bien relevé que les interdictions unilatérales imposées par les Etats-Unis et l’Europe envers la Syrie sont illégales et inhumaines et conduisent à de graves répercussions sur la vie des citoyens, notamment par les crimes commis sur la destructions des infrastructures et installations industrielles, réalisés par des mercenaires entrés en Syrie ; les participants appellent en conséquence à une levée totale des sanctions injustes imposées à la Syrie. »

En outre, les participants déclarent que « les pays occidentaux et les Etats-Unis utilisent les sanctions économiques comme moyen pour soumettre les nations et comme outil contre les civils, au nom de la liberté et de la démocratie. » et en conclusion : « Les sanctions injustes imposées par les Etats-Unis et l’Union européenne envers la Syrie constituent une grave violation de la Charte des Nations Unies, des lois et des règlements internationaux, des Droits de l’Homme, du droit des peuples à l’autodétermination ainsi que de la souveraineté nationale. »

Les participants à la Conférence internationale ont recommandé dans le communiqué final la création par le forum d’une cour onusienne et populaire dont les magistrats seront choisis en coordination avec les membres de la Conférence.

Les participants « ont condamné toutes les parties impliquées dans le financement du terrorisme, en soulignant la nécessité que la lutte anti-terroriste internationale se fasse au sein de l’ONU sans porter atteinte à la souveraineté d’un pays, ou sans ingérence dans les affaires intérieures d’un état sous prétexte de lutte anti-terroriste. » Ils ont aussi affirmé l’importance de la nécessaire révision de la prédication religieuse pour lutter contre la violence.  Ils ont considéré que le blocus imposé à des pays comme la Syrie ou la bande de Gaza, pour des raisons politiques, comme des actes terroristes, relevant que les sanctions économiques unilatérales imposées par les Etats-Unis, l’Union Européenne et d’autres pays contre la Syrie sont illégales et transgressent le droit international.

Par ailleurs le ministre de la Justice, Najem Ahmad a suggéré la formation d’un forum onusien et populaire pour lutter contre le terrorisme, et dont le siège sera à Damas. Il a souligné la nécessité de lutter contre l’idéologie takfiriste qui n’a rien de commun avec les valeurs de notre société qui, elle, préconise l’esprit d’affection et de tolérance entre les différentes religions, imputant à certains médias la responsabilité de la déformation des faits et la provocation à la violence et la sédition.

Damas by night…

Durant les quelques jours passés à Damas, nous avons pu librement circuler (sans chaperon) dans les différents quartiers de la ville, fréquemment contrôlés par l’armée, mais sans voir ni entendre d’affrontements armés. Selon plusieurs témoignages, la situation serait tout à fait différente dans la grande banlieue.  Il est à noter que le centre historique et les souks sont soumis à un couvre-feu, car la disposition urbaine et l’entrelacs des ruelles -sans oublier les souterrains centenaires- favorisent une insécurité permanente.

Le pays est en guerre, mais cela n’a pas l’air d’émouvoir grand monde dans la capitale où la circulation est trépidante et les commerces bien achalandés. Avec quelques camarades nationalistes nous nous sommes promenés à plusieurs reprises à pied, à plusieurs kilomètres de notre hôtel, entre 22 h et 1 h 30, pour se rendre compte, entre autres lieux, que dans la discothèque « UPstairs », la jeunesse damascène paraissait totalement déconnectée des réalités. Nous avons pu, par ailleurs, admirer à l’hôtel Four Seasons les derniers modèles d’ambulances blindées et de véhicules 4 x 4 au logo de l’U.N (Nations Unies) disponibles pour d’hypothétiques interventions, pendant que leur personnel noyait ses ennuis au bar…

OUI, Damas est une ville paisible, accueillante et vestige d’une civilisation multimillénaire. Il est lamentable que les médias européens occultent la réalité, propagent des mensonges et distraient leurs population avec des bluettes concernant Julie et Valérie.

Au lieu d’envoyer nos avions bombarder les barbus dans le désert, il vaudrait peut-être mieux d’abord rétablir l’ordre dans nos quartiers !

Notes

(1) Quitter un mal pour un autre encore pire.

(2) Dirigé par le prince Abdul Rahman al Faiçal, fils du roi d’Arabie Saoudite.

(3) Contrôlé par le Qatar.

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mercredi, 26 novembre 2014

« CONGO NA BISSO» *

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Pieter Kerstens

Durant l’été, ni les télévisions européennes, ni les réseaux sociaux ou encore la presse généraliste ne se sont penchés sur le retour des ressortissants de la RDC imposé par le Congo Brazzaville, son voisin.

Il est une évidence que personne ne conteste : depuis 50 ans, à chaque soubresaut dans l’ex-Congo Belge, puis Zaïre, puis République Démocratique du Congo (RDC) un flot d’habitants de Kinshasa traverse le fleuve et submerge la capitale d’en face, Brazzaville, sans visa, sans autorisations, sans permis …sans papiers. Face au danger d’immigration/invasion, les autorités congolaises ont lancé en avril 2014, l’opération « Mbata ya bakolo » ** destinée à ce que les ressortissants étrangers (de la RDC) se mettent en règle ou quittent le pays.

En 3 mois seulement, plus de 200.000 « Congolais de Kin » sont repartis volontairement chez eux, de l’autre côté du fleuve et 2.000 ont été expulsés.

A Brazzaville, cette opération de rapatriement a été renforcée par le dispositif « Longwa na nzela »*** pour faire appliquer un décret de 2011 qui impose que les conducteurs dans les transports publics doivent obligatoirement être des nationaux. Plusieurs dizaines de chauffeurs de bus et surtout de taxis ont été priés de stopper leur travail, sine die.

L’Afrique aux Africains, l’Europe aux Européens !

Les gourous du multiculturel et du pluriethnique sont ceux qui, depuis trop longtemps, ne cessent de nous culpabiliser et de vanter les bienfaits d’une « assimilation » et du melting-pot, véritables génocides de nos peuples. Nous devons dénoncer et punir ces saboteurs qui nous ont menés d’échec en désillusions, de mensonges en félonies, de trahisons en défaites et qui sont aussi les collaborateurs des barbus qui envahissent nos quartiers et importent chez nous les problèmes internes de leurs pays d’origines (conflit israélo-palestinien, guerre en Irak et en Syrie, etc).

Il est grand temps que de tels errements cessent. Les Européens ne sont pas responsables des dérives des satrapes africains qui ont conduit la majorité des pays du continent noir dans une situation économique, sociale, financière ou politique calamiteuse.

L’ouvrier polonais, le cultivateur breton, l’enseignant madrilène, le retraité sicilien ou le docker de Rotterdam ne sont en rien concernés par les rebellions africaines (Mali, RCA, Nigeria, RDC, etc.) ou orientales (Lybie, Irak, Syrie, Gaza ). Nos populations ont suffisamment de soucis afin d’assurer leur quotidien, pour encore suppléer aux carences des pays d’Afrique qui, depuis plus de 50 ans ont obtenu leur souveraineté en expulsant très souvent les anciens colons avec un seul choix : « La valise ou le cercueil ! Toubabs, Muzungus ou Pieds Noirs dehors ! »

Nous ne sommes ni responsables, ni coupables des tares qui affectent les régimes africains. Les potentats et les roitelets locaux se sont constitués des fortunes grâce aux aides européennes et sur le dos de leurs populations. Ces despotes éclairés, très souvent soutenus par l’Internationale Socialiste, ont mené leur pays respectif au fond du gouffre et leur peuple dans la misère, la souffrance et la famine. Ils ont laissé tomber en ruine les hôpitaux et le système sanitaire, les ponts, les routes, les voies de chemin de fer, les plantations, les mines et les industries, de même que les écoles et l’administration, édifiés par les colons blancs. Ces pays étaient auto-suffisants du point de vue alimentaire, ce qui est loin d’être le cas aujourd’hui ! Ils ont sombré dans le chaos…

Et la République Démocratique du Congo (ex-Congo belge, ex-Zaïre) en est le parfait exemple : en 1960 le PIB par habitant se chiffrait à 222 $ par an et en 2012, ce même PIB n’était que de 241 $, ce qui ne correspond même pas à l’inflation durant 50 ans ! Au Congo Brazzaville, le voisin mieux géré ( ?) le PIB par habitant étant de 3.408 $ en 2012, est-ce cela qui attirerait les kinois ? Ou l’odeur du pétrole ?

Et chez nous, qu’est-ce que l’on attend pour imposer un « retour au pays » des inassimilables, notamment pour  libérer Calais des hordes de noirs agressifs ? 

Notes

En lingala :*« Notre Congo»**« la gifle des aînés »***« Dégage de la voie »

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mardi, 18 novembre 2014

ILS sont venus ! ILS sont tous là, mêmes les brigands de Barbarie… ILS ont envahi notre patrie !

268109_188374057890828_100001547060238_510969_1528095_a.jpgPieter Kerstens

Le simoun de la Liberté qui souffle depuis plusieurs années au Maghreb, au Proche-Orient, dans les pays arabes et en Afrique noire, gonfle tous les jours le flux migratoire du Sud vers le Nord.

Parce que les milliers d’africains débarquant sur l’île italienne de Lampedusa ne sont que l’avant-garde d’une armada de miséreux qui va déferler sur notre continent dans un futur proche, puisque les eurocrates mondialistes -obnubilés par leurs dogmes angéliques et droits-de-l’hommistes- ne prendront aucune mesure coercitive envers ces hors-la-loi. L’exemple récent des hordes de Balubas prenant d’assaut l’enclave de Melilla (1ère commune d’Europe, en Afrique) en constitue la démonstration éclatante.

Dans un contexte un peu différent, l’écrivain Jean Raspail avait écrit en 1973 un livre prémonitoire : Le Camp des Saints  (réédité chez Robert Laffont).

Les charlatans du multiculturel, les gourous du métissage à tous les étages et les pourriticards aux commandes seraient bien inspirés de lire cette œuvre prophétique qui raconte la fin du monde blanc, succombant sous l’invasion de millions et de millions d’immigrés du monde entier.

AUX IMMIGRES LEUR PLACE, TOUTE LA PLACE, AUX EUROPEENS LEUR PLACE, RIEN QUE LEUR PLACE !

Les gouvernants, les politologues et les journalistes nous racontaient que les Moubarak, les Ben Ali, les Kadhafi & C° étaient d’affreux dictateurs qui tenaient leur pays sous un joug de fer et persécutaient leur peuple ! Cet état de fait n’a jamais gêné les dizaines de millions d’européens qui allaient se bronzer à Djerba, à Hammamet, à Hurghada ou à Sharm-el-Sheikh, de 2000 à 2010, sans se poser trop de questions.  Des milliers de « camarades » socialaud-bobo-démocrato-écolos ont rendu visite à leurs copains du pourtour méditerranéen sans se boucher le nez, ni fermer les yeux !

Et subitement ceux-ci seraient devenus des « tyrans » parce qu’un petit marchand d’oranges s’est immolé par désespoir ?

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jeudi, 23 octobre 2014

DAESH REVEILLE LE BLANC ?

Photo 009.jpgPieter KERSTENS.

(écrit à Beyrouth le 15 octobre 2014).

Dans la foulée du “Printemps arabe” et des « révolutions de jasmin » du Maghreb et d’Egypte, certains esprits se sont crus malins en désignant le président syrien Bachar al-Asad, comme un clone d’Hitler, comme le Satan des temps modernes ou le Mal absolu. « Un individu qui ne mérite pas de vivre » selon l’opinion de Laurent Fabius, et aux yeux de nombreux chefs d’Etat et de gouvernements européens « dont il faudrait se débarrasser par tous les moyens »… Ceci concernant un Chef d’Etat reconnu par l’ONU et reçu il y a quelques temps dans la plupart des capitales d’Europe.

Quel serait donc le crime commis par le président syrien pour déclencher une telle haine occidentale ? Posséder la troisième armée mondiale, à l’exemple de l’irakien Saddam Hussein ? Développer l’arme nucléaire pour équilibrer les forces dans la région, parce que les israéliens, eux, disposent depuis longtemps de missiles atomiques Jéricho ? Mettre au point des armes bactériologiques terrifiantes ?

Rien de tout cela ! Comme dans chaque état souverain, son dirigeant devait réprimer les émeutes, mater les affrontements interreligieux et les rebelles armés. Contre toute attente, une coalition se forme contre le pouvoir syrien et favorise le recrutement, l’entraînement, l’armement et le paiement de factions diverses soutenues par les rois du pétrole. Cette alliance hétéroclite regroupée au sein de l’ASL (dont les dirigeants se trouvent à Londres) bénéficie de la bienveillance de la Turquie, par où transitent les djihadistes, les armes, les munitions, les médicaments et toute la logistique. Tous les opposants à Bachar reçoivent ces aides, sans discernement.

Des milliers de « conseillers » militaires étrangers entrainent les volontaires en Turquie, en Jordanie, en Irak et sur le terrain opérationnel en Syrie. Face à cette coalition contre nature, le président syrien ne peut compter que sur le soutien de la Russie et de l’Iran (présent depuis fort longtemps dans le sud-est de l’Irak).

Malgré ces aides massives, complétées par des brigadistes recrutés en Europe, mais surtout de katibas arrivant d’Irak, de Lybie, d’Afghanistan, de Tunisie ou d’Egypte, le régime de Damas ne cède pas et bien au contraire reprend des positions stratégiques.

Après des années de guerre, ces « gentils rebelles djihadistes » deviennent subitement infréquentables et se transforment en « horribles terroristes » ! Comprenne qui pourra… (à l’attention des plus crédules).

Dès la prise de Mossoul par les salafistes, qui à cette occasion ont mis la main sur les arsenaux de 4 divisions de la nouvelle armée irakienne (formée et équipée par les USA) et aussi sur un trésor de guerre de 425 millions de dollars en dépôt à la banque centrale de la ville, la communauté internationale opère un revirement de 180° et dénomme maintenant les djihadistes comme étant des « terroristes » rassemblés au sein de DAESH, car luttant pour la création d’un califat islamique, ce qu’aucun des politologues éclairés, ou prétendus « spécialistes », n’avait pu ou voulu imaginer.

Le sigle arabe de DAESH – « ad-dawia al islamiyya fi-l Iraq wa-s-sam »- remonte à sa création en 2006, quand Al-Quaïda en Irak forme avec 5 autres groupes djihadistes le Conseil consultatif des Moudjahidines en Irak. Ce Conseil proclame le 13 octobre 2006 l’Etat Islamique d’Irak (EII) puis l’Etat Islamique en Irak et au Levant (EIIL) le 9 avril 2013. Ce n’était donc pas un champignon vénéneux apparu après la pluie, et sa montée en puissance ne devait pas échapper aux experts dont s’entourent les chefs d’Etat en Orient, comme en Europe…

Il est surprenant de constater que c’est l’armée de Bachar al-Asad qui livre maintenant des armes aux kurdes assiégés à Kobané, alors que la Turquie assiste tranquillement à leur massacre. Mais le méli-mélo de situations conflictuelles orientales n’est pas nouveau.

A vrai dire, et selon l’analyse historique, les sources de cette guerre de religion remontent au cours des siècles et concernent la haine entre les chiites et les sunnites, toutes obédiences confondues et clans mélangés. Par ailleurs les accords pétroliers signés entre les américains et la famille des Séoud en 1945, ne sont pas étrangers non plus aux machinations et aux guerres du Proche et Moyen-Orient ces 70 dernières années.

En outre, il faut aussi noter que toute tentative de regroupement ou de création de républiques nationalistes arabes, qui aurait pu s’inspirer de la doctrine et de l’idéologie de Michel Aflak, le baasisme, a été sabotée par les USA et la CIA, à commencer par la destitution en 1953 de Mohammad Hedayat Mossadegh, fondateur du Front National iranien, et premier ministre depuis 1951.

L’Oncle Sam ne cesse les ingérences belliqueuses au nom du Nouvel Ordre Mondial ou de « l’american way of life », de Corée en Afghanistan, du Viet-Nam au Nicaragua, en passant par l’Irak et la Lybie. Aujourd’hui en Ukraine et en Syrie. Il impose son Dieu vert –le dollar- et ses missiles, si nécessaire.

Souvenons-nous également que pour contrer les avances soviétiques en Asie centrale lors de l’invasion en Afghanistan à la Noël 1979, les américains recrutent Ben Laden et ses islamistes, au nom du Djihad. Cela aboutit vers Al-Quaïda et sa suite sanglante. Le calife autoproclamé a lui aussi reçu l’absolution et les aides des USA, avant que la créature n’échappe à ses géniteurs.

Il est grand temps de stopper les élucubrations des gnomes de Wall Street, la nuisance du conglomérat militaro-industriel yankee et les dérives politiques des affidés américano-sionistes. OUI, il faut sauver le président Bachar !

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vendredi, 03 octobre 2014

DJIHADISTE CALIBRE 14, VERSION BRIGADISTE CLASSE 36’

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Pieter Kerstens

Il est recruté en France, au Danemark, en Belgique ou en Grande-Bretagne entre-autres. Nos chefs d’Etat et leurs ministres des Affaires étrangères, de la Défense et de l’Intérieur devraient tous faire amende honorable et effectuer leur autocritique lors d’un Journal Télévisé.

Parce que depuis plus de 20 ans, l’Union Européenne, à la remorque des USA et de leur bras armé, l’OTAN, ne cesse d’empiler les fiascos : d’abord en Irak en 1991, puis en Afghanistan, à nouveau en Irak et en Lybie, en ayant gaspillé des milliards d’euros en pure perte (milliards ayant pu être investis dans l’achat de matériel hospitalier par exemple).

Qui peut prétendre aujourd’hui que la pendaison de Saddam Hussein (après un simulacre de procès), la destitution des  Zine el-Abidine Ben Ali et Hosni Moubarak, l’ignoble assassinat de Muammar al- Kadhafi, aient apporté un bien-être aux populations locales, une relation harmonieuse entre les communautés ou l’instauration d’un début de commencement de « démocratie » telle que rêvée par les valets de l’euro-mondialisme ?

Plus grave ! Après les fameuses « Révolutions de Jasmin », plusieurs ministres et haut responsables européens ont publiquement appelé à l’élimination physique du président syrien, Bachar al-Assad. L’Europe, les USA et les Rois du pétrole ont recruté, entraîné, armé et payé des volontaires musulmans étrangers, pour abattre le dirigeant alaouite. Des milliers de « conseillers » militaires sont sur le terrain depuis plusieurs années, malgré les dénégations des Etats concernés.

C’est donc avec convictions et la foi en Allah que des milliers d’européens se sont engagés dans les brigades islamistes, à l’exemple des socialo-marxistes qui avaient rejoint les Brigades Internationales en Espagne. Les partis politiques et les syndicats encourageaient ces volontaires dans la certitude d’accomplir leur devoir d’aller combattre Franco de 1936 à 1939. Héros ici, terroristes là-bas ?

Et pourquoi se plaindre maintenant ? Parce que les « gentils petits islamistes modérés » -version ASL- sont devenus d’affreux barbares sanguinaires ? Parce que quelques têtes blondes tombent de temps à autre ? Il est tout de même curieux de constater que les otages et les décapités sont toujours des blancs et que cela ne concerne pas des asiatiques, des noirs ou des amérindiens…

La secte politico-médiatique abuse de la désinformation, du devoir d’oubli, de l’émotivité et de la sensiblerie pour faire pleurer Margot.

En Indochine, les Japonais ont aussi décapité des centaines d’Européens et armé les « terroristes » d’Oncle Hô, au nom de « l’Asie aux Asiatiques ». En Algérie, dès 1945 et surtout avec le massacre de Melouza le 28 mai 1957 (301 hommes tués et 150 blessés), les fellaghas, qu’ils appartiennent au MNA, au FLN ou à l’ALN, ont eux aussi décapités, émasculés, démembrés et massacrés des femmes, des enfants et des vieillards, par dizaines de milliers, pour parvenir à leurs fins et bien après 1962.

Comme l’avait d’ailleurs officiellement déclaré Hocine Aït Ahmed, l’un des chefs historiques de la guerre d’Algérie, le 29 novembre 2000 lors du Congrès du PS français à Grenoble : « durant ce débat sur la torture, sur les exécutions sommaires, sur les disparitions, ….on découvrira aussi qu’il y a eu des tortures du côté du FLN….il y a eu des dépassements de l’armée de libération. »

L’Histoire récente est jalonnée de massacres et de barbaries, mais curieusement, dans l’arc musulman (de la Mauritanie aux Philippines) on ne parle que rarement des chrétiens martyrisés depuis plus de 40 ans ! Silence, on tue …Et peu d’analystes évoquent la guerre de religion entre les sunnites et les chiites, permanente depuis quatorze siècles.

Maintenant, il est légitime de s’inquiéter en conséquence de ce qui pourrait se produire à l’avenir dans nos banlieues. Ces 751 Zones Urbaines Sensibles et ces 64 Zones de Sécurité Prioritaires, en France, où des dizaines de milliards d’euros ont été déversés depuis 20 ans, au nom de la « Politique de la Ville » ou du « Vivre Ensemble » par des ministres imbéciles qui, de Bernard Tapie à Najat Vallaud-Belkacem, pensaient acheter la paix sociale dans les quartiers…Mais qu’en sera-t-il, lorsque quelques « têtes brûlées » décideront d’imiter Merah ou Nemmouche, pour la plus grande gloire d’Allah ?

Quand on n’est pas capable chez nous, de maintenir l’ordre dans les quartiers, on ne va pas là-bas, bombarder les barbus, chez eux !

Et pour ceux (ou celles) qui croient encore aux étrennes apportées par Saint-Nicolas ou par le Père Noël, voici un message de paix, d’amour et de tolérance en provenance directe des islamistes :

« La meilleure chose que vous puissiez faire est de vous efforcer de tuer tout infidèle, qu’il soit Français, Américain ou d’un de leurs pays alliés », a déclaré Abou Mohamed al-Adnani, dans un message audio, diffusé le lundi 22 septembre 2014.

« Si vous ne pouvez pas trouver d’engin explosif, ou de munitions, alors isolez l’Américain infidèle, le Français infidèle ou n’importe lequel de ses alliés. Ecrasez-lui la tête à coup de pierre, tuez-le avec un couteau, renversez-le avec votre voiture, jetez-le dans le vide, étouffez-le ou empoisonnez-le » poursuit-il.

C’est pourquoi et dès aujourd’hui, vous regarderez 3 fois avant de traverser la rue !

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mardi, 23 septembre 2014

MAIS OU MENENT - ILS NOS ENFANTS ?

Photo 009.jpgPieter Kerstens

Depuis plus de quarante ans, les politiques de l’enseignement et les politiques urbaines, qui sont en amont et en aval de l’épine dorsale de nos sociétés, sont inspirées par des idéologies fumeuses et utopiques.

Des apprentis sorciers, souvent sans visages et sans noms, substituent à la saine analyse historique, à la nécessaire observation des faits et à l’incontournable homogénéité de destin, des mécanismes de mise en condition des peuples qui privilégient la valeur incantatoire des mots pour mieux brouiller les héritages et les repères culturels.

L’entreprise de démolition commence à l’école par la mise en place de projets éducatifs d’inspiration totalitaire. A coup de slogans du type « Ecole de la réussite », « Hétérogénéité obligatoire des classes », « Réussite pour tous » « ABCD de l’égalité » etc., des politiciens irresponsables ont camouflé, sous l’angélisme des propositions, la rupture radicale avec la transmission de l’héritage culturel de nos sociétés.

De la dérive de l’école à la sédition des banlieues et des quartiers sensibles

L’entreprise de démolition s’est concrétisé dans les politiques urbaines qui ont accouché au travers des « Projets de Ville » et des « Intégrations à marche forcée » (par ailleurs grassement subsidiés), un monde kafkaïen et barbare où le vernis des liftings urbanistiques, ronds-points, nouveaux trottoirs, plateaux et pistes cyclables, camoufle mal les zones de non droit (ZUS & ZSP), les mafias, les caïds et la racaille.

Alors, il est temps, grand temps, de stigmatiser les politiques malhonnêtes et suicidaires, car la constatation des mêmes effets pervers ne doit pas se solder, comme c’est le cas, par de nouveaux dérapages vers l’abîme, au son de cantiques lénifiants et creux, mais au contraire par un retour aux valeurs saines et aux politiques responsables. Il faut arrêter ce sabotage de l’Enseignement.

Soyons clairs, nous combattons les dérives sectaires dans les écoles, car ces projets fabriquent à la chaîne des individus amnésiques, incapables de jugement, et parfaitement soumis aux pouvoirs totalitaires et à la marchandisation mondialiste. Il faut écouter ceux qui, déjà nombreux, préconisent le retour aux filières et méthodes traditionnelles qui seules assureront la mémoire d’un héritage millénaire.

Il faut abandonner les mots d’ordre des quarante dernières années. Non, l’immigration n’est pas une chance pour nos pays ; non, l’intégration ne fonctionne pas pour des masses qui ne partagent aucun de nos principes culturels ; non, l’antiracisme ne facilite pas l’intégration, il génère au contraire un racisme à rebours et l’ostracisme de nos identités ; non, l’Etat providence et l’assistanat ne règlent aucunement tous les problèmes économiques et sociaux, ils les enracinent durablement.

Il faut expurger la morale de la culpabilité et avoir le courage de dire : HALTE AUX DELIRES !

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mardi, 16 septembre 2014

APRES LA JOURNEE SANS AUTOS, LE WEEK-END SANS ELECTRITE, LA SEMAINE SANS GAZ ? LE MOIS SANS GREVES ?… PEUT-ETRE L’ANNEE SANS CORRUPTION ?

Photo 009.jpgPieter Kerstens

Les Eurocrates de Bruxelles imposent tous les ans une « semaine de la mobilité » qui se tient sur notre continent à compter du 15 septembre et atteindra son point d’orgue le dimanche 21 dans plusieurs centaines de villes où la circulation sera interdite.

On nous parle de « mobilité durable », de trou dans la couche d’ozone et de lutte contre la pollution : mais tous les ans, ce sont des millions d’heures perdues dans les embouteillages.

Selon une étude publiée le 4 mars 2014, sur base des analyses concernant plus d’un million de kilomètres de routes et autoroutes en Europe, la société INRIX dresse le constat suivant :

Chaque automobiliste perd 24 heures par an dans les bouchons en Italie, alors qu’au Luxembourg les heures perdues se montent à 31 heures/an, à 35 heures en Allemagne et en France, mais à 58 heures/an et par automobiliste en Belgique !

Bien évidemment, hormis l’augmentation de la pollution, ces millions d’heures perdues dans les embouteillages de chaque pays ont un prix. L’OCDE a chiffré ce coût entre 1 à 2% du PIB : soit entre 4 et 8 milliards d’euros tous les ans pour la Belgique!

Et au minimum 20 milliards d’euros pour la France, chaque année ! Là aussi on pourrait faire des économies …à l’heure où tous les ministres des Finances cherchent à réduire les déficits du budget.

Mais au lieu de mettre en place tous les moyens indispensables pour améliorer la circulation sur les routes, les autoroutes et les voiries urbaines, c’est tout le contraire que nos gouvernements nous ont imposé ces 35 dernières années.

Les automobilistes, nouveaux serfs du XXIe siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir.

Téléphoner dans son auto devient un délit et entraîne de fortes amendes.

Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !

Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon en France, dans les 751 quartiers dénommés « Zones Urbaines Sensibles »… discrimination ? Et encore moins dans les 64 Z.S.P.

Il est temps de mettre un holà à cette dérive des maniaques des pistes cyclables tout azimut, de la gratuité des transports publics, de la suppression des places de stationnement dans les rues ou encore de la transformation de nos avenues et de nos boulevards de liaisons en ruelles de cités du tiers-monde.

A les écouter, on devrait circuler en trottinettes, en rollers ou en cyclorameurs et abandonner nos voitures pour emprunter les bus, les trams ou le métro (transports en commun, renommés pour leur propreté, leur ponctualité et surtout leur sécurité, tout le monde le sait).

NOTRE AUTO ? C’EST NOTRE LIBERTE !

Demandez donc aux mères de famille ce qu’elles en pensent. Si l’utilisation automobile a connu un tel développement au cours des 35 dernières années, c’est bien qu’il existait de bonnes raisons.

Depuis 1980, à puissance égale, la voiture consomme et pollue 40% de moins, grâce aux améliorations techniques des moteurs, à l’essence sans plomb et sans soufre, au pot catalytique et aux filtres captant les particules fines.

En est-il de même aux USA, en Chine, en Inde ou en Afrique ? Ce sont eux les plus gros pollueurs !

Nous n’acceptons pas les affirmations mensongères des khmers verts et de leurs laquais socialistes, visant à nous culpabiliser.

Pour diminuer les effets de serre ou le rejet de CO2 les Ecolos et les altermondialistes vont-ils mener campagne à Dakar, à Calcutta, à Rio ou à Canton pour interdire aux habitants d’acheter des motos ou des voitures et à revenir à l’utilisation du vélo ?

Il faut arrêter de martyriser les conducteurs européens sous de faux prétextes et de les désigner comme seuls responsables de tous les maux !

TROP, C’EST TROP !

Le Pouvoir ponctionne des milliards d’euros des secteurs liés à la voiture (taxes d’immatriculation et de circulation, accises, assurances, TVA, amendes, bonus/malus  CO2, etc…).

Mais dans quel état se trouvent nos rues et notre réseau routier ?

Face à ce racket fiscal, des centaines de milliers d’automobilistes sont aujourd’hui révoltés par l’impéritie, le laxisme et l’incompétence de la classe politique, plus soucieuse de sauver ses prébendes que défendre l’intérêt général.

Nos pourriticards ne se déplacent-ils pas tous en voiture de fonction ?

Le Régime cache son incurie en diabolisant les automobilistes. C’est scandaleux  et c’est pourquoi le mécontentement gronde parmi les conducteurs, victimes d’une véritable persécution, eux qui circulent tous les jours et perdent leur temps dans des embouteillages organisés par des utopistes dont les dogmes polluent notre quotidien, depuis trop longtemps déjà.

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mardi, 09 septembre 2014

LE SOCIALISME, C’EST PARTOUT ET TOUJOURS UN NIVEAU DE VIE PLUS BAS !

Korbo mendicite rom.4.11.2013.jpgPieter Kerstens

Cette association de copains et de coquins qui accaparent depuis trop longtemps les rouages de notre société à leur profit exclusif. On ne compte plus les procès et les scandales qui, du nord au sud de l’Europe éclaboussent cette clique de maffieux. Ils sont une nouvelle « nomenklatura » qui défend ses privilèges, acquis au détriment du peuple qu’ils trahissent en permanence.

Mais lentement et sûrement, les yeux s’ouvrent et les réactions ne se font plus attendre, par des manifestations nombreuses et massives de « bonnets rouges » bretons, de petits commerçants et artisans étranglés par les charges et de citoyens anonymes qui ploient sous les taxes et les impôts toujours plus nombreux.

Même si la Droite n’est pas exempte de critiques, c’est quand même la Gôche, ce salmigondis de « bien-pensants », d’écolos, de chrétiens « humanistes » et de marxistes attardés, qui nous clamait qu’il était interdit d’interdire. Ce sont eux, ces soixante-huitards aidés de leurs complices libéro-capitalistes qui nous ont imposé leurs lois liberticides depuis 45 ans ! Ils sont au gouvernement, aux commandes de l’Etat-Providence et dirigent la Justice, l’Enseignement et dictent leurs quatre volontés aux médias.

Depuis des lustres, cette gauche pervertie nous inonde de sa propagande et nous impose une immigration de colonisation, au nom de la société multiculturelle qui nous coûte des milliards d’euros, en période de chômage de masse.

Ces socialauds écrasent les travailleurs pour rembourser les banques qui souscrivent aux emprunts d’état, afin de  multiplier les subventions aux immigrés nouveaux venus –version Léonarda – qui n’ont jamais payé la moindre cotisation sociale. C’est la Gôche de la préférence étrangère, celle qui vous classe comme « raciste » et « fasciste » quand vous protestez. Cette clique de carriéristes a multiplié sa clientèle pour laquelle elle a créé des millions de postes de fonctionnaires, parasites inutiles qui s’engraissent sur le dos des travailleurs asservis.

Cette politique de l’Etat-Providence va droit dans le mur, sans mesures structurelles à long terme, telles que le recul de l’âge de la retraite, la diminution d’une grande partie des élus régionaux, nationaux et européens qui ne servent à rien, la hausse de la productivité et de l’emploi, la suppression des privilèges dans l’administration, le retour à la semaine de 40 hres sans augmentation des salaires et la nécessaire convergence des régimes de retraites publics et privés pour instaurer entre eux une équité. L’avenir va nous imposer la cruelle réalité des chiffres et nous serons tous obligés à réduire notre niveau de vie, parce que les pourriticards ont refusé de tenir un langage de vérités.

L’Etat-Providence ne s’est pas adapté aux nouveaux risques sociaux : les moins de 30 ans sont plus souvent touchés par la pauvreté qui se répartit inégalement selon les Régions. Le marché du travail est grippé et le taux de chômage est là pour le prouver.

Selon certains économistes et chercheurs, « nos performances en matière de chômage n’ont rien de remarquables. On veut une réforme, on sait qu’elle est indispensable, mais on a la trouille. » Ils constatent que la concertation sociale est dans l’impasse et que l’Etat est aux abonnés absents.

 « Pourtant le modèle allemand nous montre que ce sont les partenaires sociaux qui sont les moteurs des avancées sociales. Cela devrait quand même interpeller les nôtres… »

A l’heure de la rigueur budgétaire, des hausses d’impôts et des taxes à répétition, les politiciens ne peuvent plus fermer les yeux. Ils doivent activement réprimer les fraudes fiscales et sociales qui, année après année, privent les caisses de l’Etat de dizaines de milliards de recettes.

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mardi, 02 septembre 2014

LES EUROMONDIALISTES CONDUISENT L’EUROLAND A LA RUINE...

Korbo.E.U banksters. 18.11.2013 ww.jpgPieter Kerstens

De la CECA au Traité de Lisbonne, en passant par la CEE et le Traité de Maastricht, les ténors du libéralisme sauvage et les charlatans de la gôche faisandée nous ont imposé une Europe brinquebalante contre la volonté des peuples. Depuis des décennies, les directives s’entassent sur des règlements qui eux-mêmes s’ajoutent à des recommandations au point de compter des dizaines de milliers de pages censées améliorer le quotidien des citoyens de 28 pays. Tout est prescrit, détaillé, étudié et ordonné pour l’usage journalier des individus, de Gibraltar à Helsinki  et de Brest à Constanta, dans les domaines les plus variés afin d’aboutir à un homo consuméris standard qui servirait d’exemple ou de modèle au futur « hédonismus mondialis », docile, crédule et manipulable à souhait.

Car depuis 70 ans, cette clique de bonimenteurs n’a cessé de pervertir trois générations en faisant miroiter un Etat Providence qui prendrait les citoyens à sa charge de leur naissance à leur décès, sans devoirs, sans obligations, sans sacrifices, sans contreparties. Parce que la tolérance, le respect de l’Autre, le « vivre ensemble », la société pluriethnique et multiculturelle ou « citoyenne » et le mariage pour tous règleraient harmonieusement l’existence de chacun.

Il suffit de voyager dans l’espace européen pour constater que ce ne sont que des chimères et que le bonheur roumain n’est pas forcément le même que celui des Danois et que le bien-être des Grecs est loin de celui des Luxembourgeois. Et les écarts ne cessent de se creuser.

Leurs « valeurs » ne valent rien !

Ces saltimbanques euro mondialistes et leurs valets aux postes gouvernementaux se gargarisent en permanence du terme « valeurs » sans jamais en donner de définition.

Par contre ils ont vidé les églises pour remplir les mosquées, afin de s’attirer électoralement la reconnaissance de millions d’électeurs inassimilables qui, eux, nous imposent leurs coutumes, leurs traditions et leurs « valeurs ».

Ces gourous de la Nouvelle Religion droits-de-l’hommiste ont imposé une charte européenne et ordonnent à la Police de la Pensée de persécuter ceux qui ne se plieraient pas au « politiquement correct » ou qui oseraient contester le bien-fondé de leurs visions égalitaristes. Ils réfutent les notions de Quotient Intellectuel (Q.I), de l’inné et de l’acquis.

Ces griots du Nouvel Ordre Mondial condamnent l’ordre et la hiérarchie, le droit et le mérite, la discipline et le devoir, l’efficacité et la compétence, l’honneur et l’abnégation, toutes valeurs qui ont fait la grandeur de l’Europe au travers des siècles et par-delà les mers.

Cette mafia socialo-démocrato-écolo-capitaliste se serre les coudes en toute circonstance et en tous lieux comme le prouvent les élections de Jean-Claude JUNCKER à la présidence de la Commission Européenne et de Martin SCHULTZ à celle du Parlement Européen : tous unis ont voté pour l’un et pour l’autre. Quel aveu de connivence !

Et comment pourrait-il en être autrement ?

De la droite cosmopolite à la gauche caviar, leurs échecs sont patents dans les domaines comme le chômage, la drogue, la corruption, l’immigration, les impôts, l’insécurité ou la dette publique, entre autres exemples.

Malgré les mensonges et la manipulation des chiffres, leur bilan depuis 30 ans est accablant : TOUT AUGMENTE !

Seuls les handicapés des neurones et les ravis du village peuvent encore croire à leurs incantations récurrentes. « La crise est derrière nous », « le chômage diminue », « les banques sont saines », « la reprise est là », « tout va mieux ». Si ces idéologues judéo marxistes avaient gouverné nos pays avec efficacité et bon-sens, afin d’améliorer le bien commun dans l’intérêt général, certains partis comme l’UKIP en Grande Bretagne ou le FN en France n’arriveraient pas en tête lors des élections.

Mais à l’automne 2014, le PIB va s’accroître…

Et les soucis vont diminuer ? Effectivement, selon une exigence de la Commission Européenne et d’Eurostat (l’institut statistique européen) les 28 pays de l’Union Européenne seront tenus de comptabiliser l’économie « souterraine » dans le calcul du PIB dès le mois de septembre. Le travail au « noir », la drogue et la prostitution (et autres délits) vont donc améliorer les résultats calamiteux des économies nationales. On découvrirait par exemple que les départements français les plus riches ne seraient plus Paris et les Hauts-de-Seine, mais sans doute la Seine-Saint-Denis et les Bouches-du-Rhône…

Cette exigence de Bruxelles permettrait de continuer le « processus d’harmonisation ». Et si à cette « économie parallèle » on rajoute la comptabilisation de la recherche et développement (R&D) comme un investissement et non plus comme une « consommation intermédiaire », l’effet sera encore plus positif sur le niveau du PIB.

Les estimations publiées en mai 2014 par l’Institut Molinari chiffrent à 220 milliards d’euros le marché souterrain pour la France en 2013, soit 11% du PIB !

Pour Ch. DEMBIK, analyste chez Saxo Bank, la répercussion de cette décision européenne dans les calculs générerait une hausse de 5 à 10% sur le PIB français. En Italie le rebond serait de 2,4%, grâce aux seules mafias, en Angleterre de 5% et pour d’autres pays, de 15 à 20%. Cet analyste explique :

« En vérité, cette décision de la Commission Européenne est avant tout politique. Une hausse du PIB permettrait mécaniquement aux Etats de repasser sous la barre des 3% de déficit public requis par l’U.E ».

Et en conséquence les pourriticards pourront confirmer, grâce à cet artifice, que « tout va bien », que « la croissance est revenue », que «la dette publique a diminué »  etc…

Quant à la confiance des investisseurs et des ménages en Europe, on verra plus tard !

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samedi, 23 août 2014

Le 23 août 1939 : pacte germano-soviétique et devoir d’oubli !

stalinribentrop.jpgPieter Kerstens

Car comme chacun le sait l’Histoire est écrite par les plus puissants et les vainqueurs qui masquent leurs turpitudes et leurs crimes – dont celui de Katyn, attribué pendant 50 ans aux Allemands par les juges du Tribunal de Nuremberg, alors que c’était bien les troupes de l’URSS qui étaient coupables - afin de salir encore plus les vaincus.  Contrairement à ce que les gouvernements tentent de nous faire croire, le Bien n’est pas forcément où l’on pense et le Mal souvent très éloigné de ce que l’on veut bien nous montrer.

Il y a déjà 75 ans !

Deux hommes sont à la manœuvre. Joachim VON RIBBENTROP, Ministre des Affaires Etrangères du 3ème Reich allemand, de 1938 à 1945.  Le tribunal de Nuremberg le condamna à mort et il fut pendu en 1946. Viatcheslav Mikhaïlovitch SKRIABINE dit MOLOTOV, Commissaire du peuple aux Affaires Etrangères soviétiques de 1939 à 1949, puis de 1953 à 1956.  Fidèle de Staline, il fut écarté du pouvoir en 1957 pour avoir voulu éliminer Nikita Khrouchtchev (autre grand humaniste).  Il meurt dans son lit en 1986, à l’âge de 96 ans.

Le 23 août 1939, ils signent à Moscou le traité de non agression conclu entre l’Allemagne et l’URSS, dont une annexe prévoit le partage de la Pologne.

La mémoire à l’endroit.

Et pendant plus de sept décennies, aucun prof d’Histoire, de Lille à Nice ou de Colmar à Biarritz, n’a jamais appris à ses élèves que le 24 août 1939 le quotidien « L’Humanité » salue dans ce pacte « une politique à la fois énergique et intelligente, seule conforme à la cause de la paix… ».

Mais le 26 septembre 1939, le PCF est dissous par le gouvernement.

Le 28 septembre, un nouveau traité est signé entre l’Allemagne et l’URSS, après l’invasion de la Pologne, « traité d’amitié et de délimitation des frontières » qui permet ainsi à Moscou et à Berlin de resserrer leurs liens politiques et économiques.

Le 1er octobre, Jacques DUCLOS, premier secrétaire du PCF écrit à Edouard HERRIOT, président de l’Assemblée nationale, pour exiger l’ouverture de négociations de paix avec l’Allemagne.

Le 4 octobre, c’est Maurice THOREZ, numéro 1 du PCF qui déserte sa compagnie pour s’enfuir à Bruxelles, avant de s’installer à Moscou jusqu’en août 1944.

Mois après mois, les communistes français et leurs complices en Italie, ou en Belgique ont été, au début de la seconde guerre mondiale les véritables collaborateurs du 3ème Reich.  Du haut en bas de la hiérarchie du PCF, c’est avec conviction et allégresse que les militants appelaient au défaitisme et à la désertion.  Dans les usines d’armement, les communistes et leurs complices sabotent le matériel ce qui contribuera à tuer d’innombrables compatriotes en mai 1940.

« Non à la guerre impérialiste », et « Contre les impérialistes de Londres et de Paris » peut-on lire dans la prose clandestine de l’Humanité.

Le 18 juin 1940, la direction clandestine du Parti Communiste Français a très clairement défini sa position : du côté de l’alliance Hitler-Staline !

Le 14 juillet 1940, on peut lire dans le quotidien communiste interdit, l’Humanité : « Au sujet de la fraternité franco-allemande, les conversations amicales entre travailleurs parisiens et soldats allemands se multiplient.  Nous en sommes heureux ! ».

OUI, les communistes français (et européens) ont été les premiers collaborateurs avec l’Allemagne nationale-socialiste, aidés par les valets de la finance apatride, et ce, jusqu’au 22 juin 1941 – soit pendant presque 2 ans – ils ont encouragé et soutenu la politique menée par Adolf Hitler.  

Aujourd’hui, les marxistes et leurs alliés peuvent tout juste « fermer leur gu..le », arrêter de nous donner des leçons de civisme ou de patriotisme et retourner dans les poubelles de l’Histoire ! Crapules !

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mardi, 19 août 2014

La TURQUIE doit-elle absolument intégrer l’Union européenne ?

index.jpgPieter Kerstens

Au sommet d’Helsinki (en décembre 1999) les ministres des Quinze avaient reconnu à la Turquie son statut de pays candidat, le début des négociations devant rester lié à la conformation aux « critères de Copenhague » quant aux droits de l’homme.

Comment ces droits sont-ils respectés lorsqu’un pays (la Turquie) occupe militairement un membre de l’Union économique tel que Chypre ?  L’ensemble de la communauté internationale a condamné cette invasion militaire et une résolution de l’ONU a exigé en 1974 le retrait immédiat des troupes turques.

Depuis 40 ans ANKARA maintient son occupation militaire et spolie la population chypriote.

Il faut se souvenir que MM. Valéry Giscard d’Estaing (ancien président de la République française) et Robert Badinter (ex-garde des Sceaux du président François Mitterrand) étaient résolument contre l’entrée de la Turquie dans l’Union européenne

Le 18 juin 1987, le Parlement européen votait une résolution en 15 points.  Celle-ci subordonnait l’admission de la Turquie dans la Communauté européenne à plusieurs conditions précises.  Parmi celles-ci, la reconnaissance du génocide arménien et l’évacuation de la partie nord de Chypre, occupée militairement par les turcs depuis leur invasion en 1974.

Ces deux faits suffisent amplement à refuser l’entrée de ce pays asiatique et peuplé à 92% de musulmans, dans l’Union européenne !

Et 27 ans après, cette résolution du Parlement européen n’a pas été appliquée. Entre-temps, Chypre est devenue membre de l’UE.

L’obligation faite à la Turquie est restée sans effet.  Elle garde cependant tout son sens car le P.E avait adopté le 26/02/2004 un rapport du député Per Gahrton qui réitère sa position telle que la résolution l’avait énoncée le 18 juin 1987.

A ce jour, Ankara n’a pas changé de position sur les deux points ci-dessus.

L’on pourrait donc se demander si pour faire respecter le droit international, comme cela c’est passé en Irak, en Yougoslavie, en Lybie ou ailleurs, après avoir fait bombarder Bagdad, Belgrade et Tripoli, l’ONU ne devrait pas prendre la résolution de faire bombarder Istanbul ou Ankara ?

Avant de commencer à imaginer une quelconque alliance avec les pays de l’Est, d’Asie ou du Maghreb, la Commission serait mieux inspirée de convaincre la NORVEGE, L’ISLANDE et la SUISSE de rejoindre le noyau dur des pays européens à vocation et culture identiques qui, comme mentionné dans le Traité de Maastricht, s’engageaient à défendre la préférence européenne …on perdrait moins de temps !

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lundi, 04 août 2014

La mémoire comme un gruyère !

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Pieter Kerstens

Toutes les composantes de l’euro-mondialisme se sont coalisées pour attribuer la présidence du Parlement Européen à Martin Schultz (socialiste) en échange de la présidence de la Commission Européenne décernée à Jean-Claude Junker (conservateur libéral).

La collusion est limpide et parfaitement nauséabonde lorsqu’on a entendu et lu les déclarations ou les commentaires des pourriticards de la mafia socialo-libéro-écolo-capitaliste durant ces six derniers mois. Rien n’a été épargné aux opposants de l’Euroland, dirigé par les laquais des USA. Tous les chantages, les injures, les pressions et surtout la propagandastaffel et la désinformation des médias aux ordres du Système ont été utilisés pour disqualifier les « eurosceptiques » ou les « populistes».

Alors, remettons les pendules à l’heure :

Comprenez-moi bien, ce ne sont pas les étrangers en tant qu’individu que je critique, mais bien les hommes politiques (ou les femmes) et les hauts fonctionnaires ainsi que les journalistes subventionnés par les Etats qui ont permis le déplacement d’allogènes de pays du tiers-monde, pour leur donner des travaux à bas salaires dans nos industries ou notre agriculture durant la décennie 1965-1975.

ET TOUTE LA CLASSE POLITIQUE AVAIT DECLARE QUE DEPUIS 1974 L’IMMIGRATION ECONOMIQUE ETAIT STOPPEE !

Il est clair que ce sont les partis traditionnels qui sont les véritables responsables de l’invasion étrangère dans tous les secteurs : textile, finance, automobiles, alimentaire, industriel, social, culturel ou médias.

Ils ont favorisé les faillites de nos entreprises ou le rachat de celles-ci par des concurrents étrangers, en grande partie parce que les conditions de la concurrence étaient faussées : à force de charger le baudet, celui-ci n’avance plus !

Avant de jeter l’opprobre sur autrui, avant de critiquer les autres, ces donneurs de leçons seraient bien inspirés de balayer devant leur porte. Parce que le Parti Socialiste appartient à une Internationale, complice de l’élimination de dizaines de millions de victimes au nom de la lutte « finale » !

Chez eux, au parti, dans les maisons du Peuple durant les fêtes entre camarades, personne n’a jamais été ému par les 6 millions de victimes de la Grande Famine de 1932/33 en Ukraine, Holodomor organisé par le pouvoir soviétique, comparse du Parti Socialiste.

Peuvent-ils encore ignorer aujourd’hui, les 4 millions de déportés (les zeks) disparus entre 1937 et 1951 dans les sinistres « goulags » de l’Union des Républiques Socialistes et Soviétiques ?  Je ne me souviens pas de leurs condamnations ni de celles de leurs amis, quand les chars du Pacte de Varsovie ont écrasé les soulèvements populaires à Berlin en juin 1953, à Poznan en juin 1956, à Budapest en octobre 1956, à Prague  en août 1968 ou à Gdansk en décembre 1970, par exemple.

Ni le Parti Socialiste, ni la FGTB (CGT) ou leurs multiples associations proches ne se sont manifestées pour condamner les camps de travail et les Laogaïs de la République Démocratique Populaire de Chine où des dizaines de millions de citoyens ont disparu entre 1949 et aujourd’hui.  Et en 2008, les Jeux Olympiques ont eu lieu à Pékin !

Honte à tous ceux qui y étaient : que le sang des victimes innocentes rejaillissent sur leurs têtes ! 

Je n’ai jamais entendu un mot de repentance de la part des socialistes, pour leur complicité dans le génocide de 2 millions de cambodgiens entre 1975 et 1979, méticuleusement organisé par l’Angkar et les « frères » Saloth-Sar (Pol Pot), Ieng Sary, Khieu Samphan, Hou Youn ou encore le fameux Son Sen, qui ont tous été applaudis avec frénésie par les partis progressistes du monde entier, lors de la chute de Phnom-Penh le 17 avril 1975, au premier rang desquels le Parti Socialiste Français et son petit frère belge.

Aucune critique envers Cuba et son régime de plomb.Pas un murmure au sujet du génocide de l’armée nigériane envers les 800.000 biafrais exécutés en 1968.

Mais ce qui est le plus écœurant quand on parcourt leur propagande au fil des années, c’est qu’ils ne reconnaissent jamais leurs erreurs et que toutes les tueries et les massacres commis par leurs camarades tyrans africains sont passés sous silence !

Les socialistes ont aidé et soutenu financièrement et politiquement SEKOU TOURE en Guinée, JULIUS NYERERE en Tanzanie, ROBERT MUGABE au Zimbabwe, MENGISTU HAILE MARIAM en Ethiopie, SAMORA MACHEL au Mozambique, JOMO KENYATTA au Kenya, IDI AMIN DADA en Ouganda MACIAS NGUEMA en Guinée Equatoriale et bien entendu le duo des bouchers d’Alger en 1954/1962 BEN BELLA et BOUMEDIENNE.

Dans leurs prochaines déclarations, il serait donc judicieux qu’ils ne s’érigent pas trop en censeurs ou moralisateurs et adoptent une certaine retenue dans leurs revendications « progressistes et démocratiques » en songeant par exemple à ceux qui se sont fait découper en rondelles, à coup de faucille dans une rizière au nord de Siem Réap par une belle journée de juillet 1977 alors que leur exécuteur, lui aussi, chantait l’Internationale, tout comme eux le 1er mai dernier ! Coïncidence quand tu nous tiens …

PS : Malgré une stratégie politique imparable et la chance d’avoir géré la majorité des 19 communes bruxelloises, le Parti Socialiste n’a pas pu (su ou voulu) réduire le nombre d’analphabètes qui s’élève à 110.000 individus à Bruxelles -capitale de l’Europe- soit 10% de la population et ce depuis plus de 40 ans !  

En 2013, 66% de la population bruxelloise était d’origine étrangère, dont 40% étaient musulmans.

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lundi, 28 juillet 2014

A PARIS, COMME A GAZA : IN-TI-FA-DA ?

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Pieter Kerstens

On peut être « pro » ou « anti » sioniste, mais on constate que les israéliens se moquent entièrement des récriminations, des mises en garde ou des recommandations de la communauté internationale, pour tout ce qui concerne leurs politiques intérieure et étrangère.

Comme peuple souverain, ils appliquent ce qui leur semble bon pour la défense de leurs intérêts, de leur population et de leur sphère d’influence.  Tel le blocus de Gaza …

GAZA : 363 km2. 1,8 million de palestiniens s’entassent dans ce véritable camp de concentration à ciel ouvert et portes closes (4.950 habitants au km²).

Pourtant, le 29 novembre 1947, l’Assemblée Générale de l’ONU vota le partage de la Palestine en 3 morceaux. Par cette résolution 181, 56% du territoire est dévolu à un Etat juif (558.000 juifs et 405.000 arabes), 43% est accordé aux Palestiniens (804.000 palestiniens et 100.000 juifs) et le dernier % concernant les Lieux Saints est placé sous tutelle des Nations Unies, avec la désignation d’un gouverneur.

Ce partage est considéré depuis comme une NAKBA par les Palestiniens et devient dès lors la source d’un des plus longs conflits qui perdure à ce jour, avec ses rivières de sang, ses torrents de haine et ses cortèges de souffrances.

Le 11/12/1948, l’ONU vote sa résolution 194 qui place Jérusalem sous mandat international et garantit le principe des droits existants.  Contre l’avis général, Israël a déclaré Jérusalem sa capitale et après le conflit de 1967, l’état hébreu occupe l’Est de la ville.

La résolution 242 du Conseil de sécurité de l’ONU, le 22/11/1967 précise bien :

« Le Conseil de sécurité affirme que l’accomplissement de la Charte des Nations Unies exige l’instauration d’une paix juste et durable au Moyen-Orient qui devrait comprendre l’application des deux principes suivants :

a) retrait des forces israéliennes des territoires occupés lors de la guerre des six jours (en juin 1967)

b) cessation de toutes assertions de belligérance ou de tous états de belligérance et respect et reconnaissance de la souveraineté, de l’intégrité territoriale et de l’indépendance politique de chaque Etat de la région et de leur droit de vivre en paix à l’intérieur de frontières sûres et reconnues…

Les résolutions 476 du 30/6/1980, 478 du 20/08/1980 et 672 du 12/10/1990, condamnent toutes l’attitude belliqueuse de l’Etat hébreu et déclarent illégales les lois, la juridiction et l’administration de la ville sainte de Jérusalem.

Peut-on en conclure que l’Etat sioniste est un facteur de déstabilisation perpétuelle de la paix au Proche Orient et comme l’a écrit l’écrivain dissident israélien Israël Shamir :

« Etat  qui ne rassemble que la racaille des communautés juives mondiales » ?

Il est tout de même curieux de constater une évidence : bien avant le blocus de Gaza, la communauté internationale avait instauré elle aussi des blocus et des embargos envers l’Afrique du Sud, la Rhodésie, l’ex-Yougoslavie, l’Irak de Saddam Hussein et ensuite pour la Syrie de Bachar Al-Assad. Depuis des décennies, l’Oncle Sam étrangle Cuba… Combien de manifestations des pleureuses droits-de-l’hommistes ?  Combien de pétitions ?  Combien de flottilles apportant médicaments, aliments ou objets indispensables à ces nations qui ont été mises au ban de l’humanité avec la complicité des démocrasseux qui nous gouvernent ?

Et lorsque les gouvernements successifs dans les pays d’Europe nous parlent en permanence de « société citoyenne », d’intégration des immigrés, de tolérance ou encore du « vivre ensemble » on ne peut pas rester indifférent aux propos de Jacques KUPFER, co-président du Likoud mondial, ce 15 juillet 2014 :

« Lorsque les alliés ont voulu mettre un terme à la guerre contre l’Allemagne nazie, ils ont détruit la ville de Dresde. A juste titre.

Lorsque les Etats-Unis ont voulu mettre un terme à la guerre contre le Japon, ils ont détruit Hiroshima et Nagasaki en lançant la bombe atomique. A juste titre.

Si nous voulons mettre un terme à la guerre, nous devons raser Gaza.

Gaza doit devenir un champ de ruines d’où ne peuvent sortir que des gémissements. »

Qui répand la haine, la vengeance et l’appel à l’extermination du peuple palestinien ?

Depuis 67 ans, les sionistes se torchent le c…l avec les résolutions de l’ONU, pourquoi changeraient-ils maintenant d’avis ? Comme à Belgrade, à Bagdad ou à Tripoli, faudra-t-il contraindre militairement Israël pour faire appliquer les décisions du Conseil de Sécurité et faire respecter le Droit International ?

A juste titre ….

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mardi, 22 juillet 2014

« IL EST NECESSAIRE QUE LES CASSEURS SOIENT LES PAYEURS ».

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Pieter Kerstens

Ainsi s’exprimait le Premier ministre Jacques Chaban-Delmas, le 7 avril 1970, dans un entretien télévisé face à Pierre Desgraupes.

Une loi du 4 juin 1970, abrogée en 1982 (sous Mitterrand I) fut remplacée le 2 mars 2010 par la loi n° 2010-201 « sur les violences en bande » et renforçant la lutte contre les violences volontaires de groupes et la protection des personnes chargées d’une mission de service public ou de dégradations ou de destructions de bien.  Les délinquants sont passibles d’un an de prison et de 15.000€ d’amende.

Cet article est distinct de l’association de malfaiteurs et de celui des délits d’attroupements.

Ce à quoi nous avons assisté depuis 2 mois, lors des matchs concernant l’Algérie lors de la Coupe du Monde, à 4 reprises, ainsi qu’aux manifestations des 13, 14 et 19 juillet, répond parfaitement au cadre de cette loi.  Prochaine manifestation à Paris prévue ce mercredi 23/07.

 « Ouane, tout, tri : retourne dans ton pays ! ».

Durant les soirées foot-algérien, des dizaines de milliers d’immigrés ont clamé leur attachement à leur terre africaine, en saccageant par plaisir les biens publics et privés, lors de manifestations non autorisées.  Combien de condamnations ?

Plus curieusement, les médias n’ont soufflé mot sur le nombre de véhicules brûlés durant la nuit du 14 juillet. Un, deux ? 10, 20 ? Plus de 100 ?  Pas de communication de la part des préfectures. Il ne faut pas « stigmatiser »… Mais de Roubaix à Marseille et de Toulouse à Strasbourg, quelques entrefilets dans la presse locale laissent supposer que ces « débordements d’enthousiasme parmi les jeunes » ont été fort nombreux et s’imposent comme une tradition crapuleuse, de la part d’inassimilables.

 « A Paris comme à Gaza : Intifada ! »

Orchestrés par le Nouveau Parti Anticapitaliste (NPA) du sieur Besancenot, les rassemblements (13/07 et 19/07) en faveur de la Palestine, suscitent réactions, exaspérations, colères et violences urbaines des différentes parties en cause.

Cette situation n’est pas nouvelle et l’importation du désespoir des Palestiniens dans l’Hexagone comme ailleurs en Europe existe depuis plus de 40 ans !  Les Régimes laissent faire et condamnent du bout des lèvres les exactions des uns et des autres.  Cette indulgence et cette complaisance conduisent inévitablement à encourager les délits pour lesquels les juges prétextent l’ « excuse », comme nous en sommes les témoins depuis trop longtemps.

De son côté, le militantisme sioniste est dirigé par des groupes de pression politiquement organisé, autoproclamé, qui impose ses intérêts, ses désirs et ses choix, en taxant d’« antisémite » tout ceux qui ne sont pas d’accord avec eux. Ou encore de « Palestine on t’enc..le ! », tel le 13/7.

Certains prétendent que l’Occident doit défendre l’état d’Israël car situé aux avant-postes du Djihad. Quel Occident ? Celui de Washington à Tokyo et de Ryad à Londres ?  Celui des banksters de Wall Street et des eurocrates de Bruxelles ?  L’Occident du complexe militaro-industriel yankee et des conglomérats du business agro-alimentaires ?  Sachons raison garder !

Depuis 40 ans, ni à Paris, ni ailleurs en Europe, aucune organisation juive n’a JAMAIS participé ou soutenu les manifestations ou les meetings publics des nationalistes qui, dès 1973, condamnaient « l’immigration sauvage » cause de l’islamisation de nos quartiers.  JAMAIS les sympathisants de l’Etat d’Israël n’ont combattu les politiciens de l’UMPS et la mafia socialo-libéro-écolo-capitaliste aux manettes à Bruxelles, responsables de l’immigration/colonisation des pays européens ! Soyons clairs : ce ne sont pas nos alliés et encore moins nos défenseurs !

La Reconquista de nos villes et de nos villages ne commence pas à Yad Vashem ou devant le mur des lamentations, mais dans les rues de Copenhague ou de Birmingham, à Athènes ou à Barbès.  Il faut le dire et punir les élus qui sabotent les valeurs de l’Europe blanche.

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jeudi, 19 juin 2014

Mélangez-vous ! Mélangez-vous !

Pieter Kerstens

♪     ♫  « Mélangez-vous !     ♫             ♫

                      ♫              Mélangez-vous   ♪ ♪   ! »

        ♪                             ♪                     (Pierre PERET)

1 bleu + 1 noire ? 1 rouge + 1 vert ? Oléééé, Olé, Olé, Olé…

Mais de vous à moi, qui donc en Afrique appelle les noirs à se mélanger aux asiatiques, ou les maghrébines à se marier avec des inuits ?

Et en Asie ?  Y a-t-il de grands humanistes pour prôner un melting-pot général entre les Brahmanes et les Intouchables ? Ou encore un métissage entre les japonais et les apaches ?

Quelle humanité extraordinaire ! Quel apport (lorsque nous serons tous semblables, sans racines et sans passé, tous mélangés)  pourront-ils donner à une société acculturée ?

Nous serons dès lors devenus des esclaves ….

Mais HEU-REU-SE-MENT, nous pouvons compter sur l’Islam, le Judaïsme et le Shintoïsme notamment, pour refuser et combattre cette vision apocalyptique d’un village planétaire, où l’homo consuméris évoluerait dans « le meilleur des mondes » (A.Huxley) et contrôlé par Big Brother (in « 1984 » de G.Orwell), caractéristiques de la démocratie totalitaire.

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jeudi, 12 juin 2014

Accepter les règles du jeu des médias, c’est déjà se soumettre.

IMG_0152 -Copier-.JPGLuc Pécharman

Délégué régional de la NDP et de Synthèse nationale

Flandre Artois Hainaut

Depuis 2007, date à laquelle je n’ai plus renouvelé mon adhésion au FN et j’ai quitté toute responsabilité au sein du mouvement, je m’étais fait une règle de ne pas commenter, ou alors très peu, la vie de mon ancien parti. Non que je n’ai rien eu à dire, mais je ne souhaitais pas que ça puisse être interprété comme quelque forme d’amertume que ce soit. Je crois au combat, pas aux regrets.

Mais aujourd’hui la coupe est pleine. Le lynchage de JMLP par les cadres de son propre parti est non seulement indigne, mais politiquement débile. A tous ceux qui pensent qu’il faut donner en permanence des gages au pouvoir en place, et que la stratégie de la dédiabolisation est la seule voie pour la sauvegarde de notre Pays, je répondrais qu’adopter les us et coutumes de l’adversaire n’a jamais permis de gagner aucune guerre. La dédiabolisation aurait du consister à emmener le peuple à considérer que les thèses et idées défendues par le FN n’ont rien de diabolique. Au lieu de ça, il s’est agi de rapprocher les thèses et idées du FN de celles de ses détracteurs. Alors, d’aucuns mettront en avant les résultats électoraux de la stratégie mariniste. Des résultats exceptionnels ! Mais en réalité, c’est faux. Il n’y a pas plus d’électeurs aujourd’hui qu’hier. Car ce qui compte en réalité pour juger de la pertinence politique d’un mouvement, ce ne sont pas des pourcentages artificiellement gonflés par des abstentions records, c’est le nombre d’électeurs en valeur absolue.

Et quand bien même cette stratégie, qui n’a pour but que de multiplier le nombre d’élus, fonctionnerait, et quand bien même le néo-FN arriverait à décrocher des leviers de pouvoir, qu’en fera-t-il ? Car renoncer à sa liberté de parole, refuser à ses membres la liberté d’utiliser des expressions idiomatiques parfaitement acceptées dans toute autre situation conduit inexorablement à renoncer à sa liberté de penser, et donc d’agir.

Langage et pensée sont liés. Poser des interdits sur le premier ne fait que réduire la seconde.

Je ne soutiens pas JMLP en tant qu’homme politique, car il a fait du FN ce qu’il en a voulu, mais je ne peux que soutenir sa liberté d’expression fondamentale et son droit inaliénable à utiliser les expressions françaises au même titre que ses concitoyens.

Accepter les règles du jeu des médias, c’est déjà se soumettre.

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mercredi, 11 juin 2014

Brochette, charrette, cohorte, fournée & C° …

Pieter Kerstens.JPGPieter Kerstens

Il est une évidence, c’est qu’une grande partie du monde culturel, sportif ou médiatique appartient à cette engeance qui combat le F.N depuis 40 ans, exclusivement par des anathèmes, des invectives ou des procès, car ces « bobos » sont incapables d’opposer des arguments rationnels aux thèses de la préférence nationale et de la défense de notre identité.

Ces ennemis du peuple et de la liberté d’opinion ne cessent de menacer et d’exercer un chantage envers ceux qui osent ne pas penser et s’exprimer comme eux.

Le F.N étant donc sorti des urnes le 25 mai 2014 en vainqueur, nous attendons que Yannick Noah quitte l’Hexagone demain, comme il s’y était engagé il y a peu « si le FN devenait le premier parti de France ». Bye, bye ! Et le joueur de poker viscéral et invétéré, le sieur Benguigui, pourrait l’accompagner, il ne manquera à personne.

Jean-Marie Le Pen a raison de recadrer le débat là où il aurait dû rester : à la richesse de la langue française et du bon usage du vocabulaire. Il suffisait aux ignares et aux handicapés des neurones, d’ouvrir un dictionnaire et de vouloir s’instruire.

Malheureusement, les Aliot, Collard et Philippot ont envenimé la polémique et semé la zizanie au sein du F.N, comme si étrangement l’UMPS, en proie aux divisions internes, n’attendait que cela.

Qui sont-ils donc, ces fonctionnaires issus de la bien-pensance, sans aucune légitimité, pour exiger la démission du fondateur du F.N ou envisager son exclusion, comme Dame Yade ?

Pour qui se prennent-ils, ces donneurs de leçons, arrogants et suffisants ?

La France d’en-bas –la majorité  silencieuse- donne raison aux propos de J-M Le Pen, car eux aussi ne supportent plus les attaques de Lady Caca et du show-business hyper friqué contre les électeurs du Front National.

NON, la déclaration de J-M Le Pen n’est pas une « faute politique », c’est au contraire une saine réaction en réponse aux agressions répétées des inquisiteurs de la Police de la pensée et des laquais du politiquement correct ! L’obligation d’autocensure est devenue insupportable.

Allons-nous demain être désignés comme « antisémites » lorsque nous achèterons des petits fours chez le pâtissier ?

L’hystérie des médias atteint des sommets d’intolérance et d’imbécilité. Comme c’était le cas pour la manipulation de Carpentras ….en 1990 et pour la tuerie du musée juif de Bruxelles le 24 mai dernier, quand tous ont accusé « l’extrême droite » et les grands blonds aux yeux bleus !

 « QUI VEUT TUER SON CHIEN, L’ACCUSE DE LA RAGE. »

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mardi, 27 mai 2014

MAIS QU’ONT-ILS FAIT AU BON DIEU POUR SUBIR UNE TELLE DECULOTTEE ELECTORALE ?

lapin surprise.korbo.22.10.2013.jpgPieter Kerstens

C’est avec une réelle délectation que j’ai découvert les mines déconfites de certains barons de l’Eurocratie Bruxelloise, au soir du 25 mai, et la consternation de la plupart des « politologues ».

Cette raclée électorale ils l’ont méritée !

Sourds aux légitimes aspirations des peuples d’Europe, les Van Rompuy, Baroso, Barnier, Schulz, Verhofstadt, Junker et autres complices de la décadence de nos pays, n’ont jamais accepté de prendre en considération les maux qui gangrènent notre quotidien (chômage structurel, insécurité permanente, immigration invasion, drogues mortelles, impôts exorbitants, corruption endémique). Ils ont occulté les réalités pour nous imposer leurs coûteuses chimères.

Cette sanction électorale -véritable séisme dans certains pays de l’U.E- était quand même prévisible quant à son ampleur, étant donné les avertissements électoraux précédents. Lentement mais sûrement, les « européens d’en bas » (la majorité silencieuse) ont ouvert les yeux pour ce qui est des mensonges et des méfaits de la classe politique qui, pendant plus de 40 ans, nous a mené au fond du gouffre, en reniant ses engagements. Cette réaction de lucidité a été constatée d’Athènes à Stockholm et de Brest à Budapest : les peuples en ont assez de l’Euroland et des gourous de l’Empire américano-sioniste.

Longtemps annoncé, souvent critiqué, le raz-de-marée « populiste » a déferlé !

Les donneurs de leçons de morale, de civisme, de finance, d’économie, de politique ou de culture, n’ont JAMAIS toléré la moindre contestation envers leurs dogmes sectaires.

Depuis des décennies la mafia socialaud-écolo-libérale-capitaliste a interdit aux nationalistes, aux patriotes, aux identitaires et aux défenseurs de l’Europe blanche la moindre liberté d’expression, ou de réunion, ou de presse et d’opinion. Par contre le Pouvoir a systématiquement aidé les gauchistes.

Cette claque électorale, ils l’ont cherchée !

Mais le combat n’est pas terminé : pour restaurer les valeurs séculaires de l’Europe des peuples, il va falloir se battre, encore et encore, contre l’idéologie mortifère de cette caste d’illuminés qui veut nous imposer, envers et contre tous, une société multiculturelle sans racines et sans Histoire.

Bien plus grave est la situation financière de l’Europe, dont les dettes vont handicaper nos enfants et petits-enfants durant les 50 prochaines années… si le Système ne s’effondre pas avant. Non seulement les banques continuent leurs spéculations comme auparavant, mais les compagnies d’assurances et les fonds de pensions seront eux aussi dans l’impossibilité d’accomplir leurs engagements, notamment au regard de nos retraites ! Cela alors que les eurocrates et ceux qui nous dirigent ont été incapables de corriger et d’anticiper les dérives des banksters, toujours plus cupides et encore plus avides…

OUI, ce fut pour moi un réel plaisir d’assister à la défaite électorale historique que les bouffons du Système ont subi ce 25 mai 2014, ces charlatans d’une oligarchie arrogante, incompétente et indigne.

PS : Si les « nationalistes » ont remporté une belle victoire, il faut relever quelques mauvaises notes dans le bilan. Aux Pays-Bas, le PVV de Geert Wilders perd 1/4 de ses électeurs et 20% des sièges gagnés en 2009. En Belgique, le Vlaams Belang (V.B) quant à lui recule à moins de 4% au niveau national, perd la moitié de ses électeurs et n’obtient plus qu’un siège à Strasbourg (- 50%).

Erreurs de stratégie ? Déconnection avec les réalités du terrain ? Ou propagande inadaptée ? Mais certainement pas un manque de moyens financiers !

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jeudi, 15 mai 2014

CETTE EUROPE DONT NOUS NE VOULONS PAS !

420365_288245577914122_100001860456369_698758_789173961_n.jpgPieter Kerstens

En 2005, pour que les peuples puissent exprimer leur opinion, les ténors politiques avaient soumis à référendum une Constitution pour l’Europe, compilation de nombreux traités signés entre les Etats avant Maastricht, mais surtout depuis 1992 (Amsterdam et Nice) et fruit des synthèses obtenues par l’ex-Président français Valéry Giscard d’Estaing au sein d’une Commission spécialement dédiée à ce projet.

Contrairement aux citoyens des 14 autres pays, les belges ont été privés de ce référendum, car jugé « dangereux » et « inopportun » par MM Reyders, Di Ruppo, Steyvaert et Sommers, éminences aux manettes du plat pays.

Il est lamentable de constater que les sénateurs belges dans leur unanimité -sauf le FN et le VB ainsi que Paul Galand défiant l’ukase PS- aient approuvé ce texte que la plupart d’entre eux n’avaient même pas lu …Ce vote a été un camouflet pour la démocratie ! A qui voulait-on faire croire que cela reflétait l’expression des électeurs ? Une forte proportion des sympathisants d’ECOLO, une grande partie des troupes socialomarxistes, une majorité des militants syndicaux à gauche comme à droite et d’importants contingents libéro-chrétiens n’approuvaient pas les articles de cette Constitution qui nous imposait une Europe inféodée aux USA, ouverte aux pays d’Orient et porteuse d’un choc de civilisations à moyen terme

Tous les articles du Titre III devaient être retirés, car à eux seuls ils définissaient la politique future de l’Europe et constitutionnalisaient celle-ci, en interdisant toute orientation nouvelle à l’avenir, en la figeant définitivement.

Face au rejet des électeurs de certains pays, cette Constitution Européenne a été remplacée par le traité de Lisbonne -non soumis à référendum- et entré en vigueur le 1er décembre 2009.

L’Europe n’avait pas réglé les problèmes des 15, qu’en 2004 elle avait déjà accepté 10 nouveaux membres et annonçait l’arrivée de la Bulgarie et de la Roumanie pour 2007. Il fallait arrêter ce délire des eurocrates !

En 30 ans, ceux-ci ont muré les mines (charbon, fer, potasse et zinc), coulé les chantiers navals, sinistré la sidérurgie et la métallurgie, condamné l’agriculture et l’élevage et en 2005, ces fonctionnaires bruxellois avaient assassiné froidement l’industrie textile une seconde fois, à cause d’accords de l’OMC mal négociés ! 

Ces eurocrates, complices des gouvernements mondialistes, et les commissaires européens, adoubés par le Conseil, ont construit des cimetières industriels avec une vue imprenable sur un désert économique. Année après année les médias, aux ordres de ceux qui nous gouvernent, nous ont pourtant dit et répété que l’Union Européenne « allait nous apporter un niveau de vie meilleur et le plein emploi » !

C’est tout le contraire que nous constatons et cela ne fait qu’empirer…

Et ceci serait déjà une raison suffisante et valable pour punir la mafia socialaud-écolo-capitaliste.

Mais non contents de détruire notre économie, les gnomes de Bruxelles et leurs affidés du Parlement Européen ont délibérément favorisé l’immigration-colonisation dans nos pays, en ouvrant toutes grandes les frontières à une déferlante d’individus inassimilables et opposés à cette réalité :

« L’Europe est une terre de cathédrales et de beffrois, et non pas de mosquées ou de minarets ».

En votant le 25 mai, nous devons à nouveau exprimer notre colère et brandir un carton rouge.

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mardi, 06 mai 2014

ECRASONS LA VERMINE DE MAI 68…

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Pieter Kerstens

ECRASONS LA VERMINE DE MAI 68… parce que la chienlit qui, en Mai 1968 dévastait nos rues et cassait par plaisir, a aujourd’hui infiltré tous les rouages de nos institutions. Plus grave : elle a aussi engendré des rejetons bobos, ayant le prêt-à-penser franc-maçon et un comportement pastèque.

Pour les rares dirigeants clairvoyants qui résistent encore en Europe, la situation actuelle dans les domaines sociaux, culturels, financiers, industriels ou politiques est catastrophique, mais pas encore désespérée. Le délabrement et la décomposition de l’Europe ne sont pas les conséquences directes de Mai 68’, mais l’accélération d’une fin de civilisation entamée depuis de longues décennies.

Une intelligentsia judéo-bolchevique.

Lors des diverses commémorations des révoltes étudiantes de 68’ (25e ou 40e anniversaires), on a systématiquement entendu le pédophile Cohn-Bendit, mais les médias ne se sont pas suffisamment intéressés aux manipulateurs et aux responsables des organisations qui ont joué un rôle primordial durant cette période. La plupart d’entre eux ont accédé à des postes clés de notre Société, notamment Lionel Jospin-trotskyste patenté- devenu 1er ministre en France.

Et jetons un regard sur les groupements gauchistes et leurs dirigeants.

*Ligue Communiste (ex-JCR) : P. Franck, A. Krivine, B. Ben Saïd, H.Weber, P ; Abramovici, S. Rabehl, J. Stein, S. Niemetz, A.Bethel.

*Lutte Ouvrière (Ex-Voix Ouvrière) : M. Schroeot, O.Kaldy, L. Stean, V.Goria, C.Jung.

*Alliance Marxiste Révolutionnaire (Ex-GMR) : N. Baby, M. Najmann, B. Schalsha, L. Weisberg, S. Mandel, D. Rothenstein, L. Rosenblatt.

*Alliance des Jeunes pour le Socialisme (ex-FER) : P. Boussel (alias Lambert), Ch. Stobnicer (alias Berg), G. Bloch, G. Rousselot. Ce mouvement possédait un Service d’ordre dirigé par un transfuge d’Occident, Rémy. Nous les retrouverons face à nous au Palais des Sports, le 9 mars 1971, lors d’un meeting d’Ordre Nouveau.

*Parti Communiste Révolutionnaire : M. Mestri.

*La Voie : Blumenthal et Spitzer.

Comme on peut s’en rendre compte, les responsables de tous les mouvements gauchistes des années 1965-1972 appartiennent en grande majorité au « Peuple sûr de lui et dominateur ».

Un marxisme toujours puissant.

Enfant mongolien d’un Socialisme qui, en 1968, se voulait « à visage humain », le marxisme a entamé une mutation, à tel point que 45 ans plus tard, la « société citoyenne » a remplacé la lutte des classes. En décryptant la phraséologie et le vocabulaire utilisés par les médias, on se retrouve plongé dans la dialectique la plus stalinienne, où la novlangue a remplacé la langue de bois. La terreur rouge a émasculé des millions d’élèves et d’étudiants ; son emprise s’étend à la Culture et à la Communication, à l’Economie et aux Finances, à la Justice, la Police et la Gendarmerie…

Alors tous ceux qui ont participé aux Manif pour Tous ou aux défilés pour la Vie et la Famille, devraient quand même se poser certaines questions. QUI a voté pour les députés qui se pavanent à l’Assemblée ? QUI a désigné les responsables des partis au Pouvoir ? QUI soutient les partis de Droite cosmopolite et ceux de la Gauche caviar ? QUI se taisait quand ses enfants lui racontaient que la drogue était vendue aux portes des collèges et des Lycées ? QUI ricanait quand il apprenait que dans le même établissement certains adultes pervers profitaient de leur fonction pour assouvir leur pédérastie ?

Le constat : en quelques décennies, le Socialolaxisme a pourri l’esprit de la majorité de mes compatriotes, leur retirant même le courage de penser !

Œil pour œil, dent pour dent !

Le sabotage insidieux de toutes nos institutions n’a été possible que grâce à la complicité abjecte de ce que d’aucuns dénomment la Droite. Afin de préserver certains acquis et privilèges financiers et économiques, les prétendus « libéraux » ont laissé gangréner nos Règles et nos Valeurs ancestrales par les théories « avant-gardistes » et humanistes. La Foi est devenue une notion ringarde. La Conviction et l’Idéal, des valeurs démodées. La Famille une entrave à la liberté sexuelle des pédérastes et des lesbiennes. Les enfants, avenir de la Nation, et fruits d’un Amour réciproque, considérés comme une entrave au sacro-saint niveau de vie. Le Travail et la Conscience professionnelle, des sujets hors de propos. Par confort intellectuel et facilité économique, le peuple s’est embourgeoisé et au lieu d’opposer une légitime résistance à la décadence générale, il a préféré la carte de crédit et les loisirs tarifés, collé à l’écran de sa TV ou de son PC. L’hédonisme règne en maître et l’Europe glisse vers l’abîme aussi sûrement que le soleil se lève à l’Est.

La fin de l’Empire Romain s’est effectuée sur plusieurs siècles, mais s’est brusquement accélérée quand les métèques ont acquis le droit de cité.

En accordant le droit de vote aux barbares établis en Europe, nous acceptons le génocide de la race blanche. Le métissage n’est pas un enrichissement : l’état d’Israël l’a bien compris !

Faire face à l’héritage de Mai 68’.

-  En clamant à haute et intelligible voix votre refus du Nouvel Ordre Mondial, de l’Organisation Mondiale du Commerce (OMC) et de l’Euro, monnaie d’escrocs, au service d’un lobby : la Banque Centrale Européenne (BCE).

- En écrivant aux médias qu’ils ne détiennent pas la Vérité Absolue, que l’information n’est pas leur monopole et que vous avez un avis différent.

- En exigeant des maires, des députés et sénateurs qu’ils appliquent le principe de Préférence Nationale dans tous les domaines et qu’ils cessent de gaspiller nos impôts au profit de parasites sociaux.

-En déposant plainte, avec constitution de partie civile pour chaque agression dont vous êtes la victime.

- En contactant les syndicats, les centrales d’achats et les supermarchés pour réclamer l’arrêt des importations de produits étrangers, que nous sommes capables de produire nous-mêmes et mieux : c’est votre emploi qui est en jeu et plus tard celui de vos enfants !

- En infligeant un vote sanction le 25 mai 2014 à la mafia socialaud-libéro-écolo-capitaliste.

C’est maintenant qu’il faut éliminer la pègre rouge !

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