vendredi, 21 octobre 2011
Qui gouverne ? La gauche ! Qui dirige ? Les banques ! Qui paye ? Le peuple !
Par Pieter Kerstens
Ce n’est un secret pour personne que de constater que depuis des décennies, la gôche préside aux destinées de la majorité des communes, des provinces, des régions ou des communautés dans l’Hexagone, mais aussi partout en Europe.
En effet, de l’extrême-gauche trotskyste aux bourgeois bohêmes (bobos) en passant par les radicaux-socialistes et les khmers verts, tous nous ont imposé leurs doctrines fumeuses dont nous payons maintenant les conséquences.
Ce sont quand même eux, ces Pisani, ces Delors, ces Lamy, ces DSK et autres « camarades » Gonzales, Spitaels, Prodi, Zapatero, Mitterrand, Schröder ou Papandréou qui nous avaient certifié une Union Européenne garante de notre développement, de notre bien-être et d’un futur radieux pour nos enfants ?
Ce sont les mêmes qui nous ont obligé à accepter les traités de Maastricht et de Lisbonne, ainsi que l’EURO comme monnaie d’avenir ? Avec quel résultat ?
Encore eux qui, avec leurs complices trônant à la Commission Européenne, nous ont vanté les bienfaits de la mondialisation et de la globalisation, deux utopies mortifères pour nos industries et nos sociétés. Un vrai champ de ruines !
Toujours les mêmes qui ont également ouvert nos frontières à tous les miséreux de la terre et aux produits bradés et de mauvaise qualité. Eux, ces idéologues aux lunettes roses, qui avec leurs acolytes de la droite cosmopolite nous ont imposé un développement durable et une société « citoyenne » fondés sur de multiples promesses et des mensonges à répétition. Et à quel coût ?
Mais aujourd’hui, ces mêmes imbéciles refusent d’assumer leurs erreurs et d’en accepter la paternité. NI RESPONSABLES, NI COUPABLES !
Alors que durant des lustres, ces valets de la lutte des classes ont accaparé tous les leviers du pouvoir pour nous imposer des tabous, des lois et des règlements liberticides qui interdisent la moindre contestation à ceux d’entre-nous qui combattent le « politiquement correct », la « Pensée Unique », ou la Nouvelle Religion droits-de-l’hommiste.
Tout leur était dû et grâce à leurs copains banksters du capital apatride, ils se sont cramponnés au Pouvoir pour se remplir les poches. Partout en Europe, du Nord au Sud et d’Est en Ouest, la corruption, la prévarication, le trafic d’influence, l’abus de pouvoir ou la dilapidation des deniers publics ont fait des ravages et les scandales politico-financiers remplissent les journaux et les tribunaux !
Cette gabegie doit cesser et les citoyens peuvent y mettre le holà : il faut seulement « oser penser et oser agir », mais vite, parce que la crise qui enfle va irrémédiablement vider les assiettes d’une multitude d’européens et comme le dit le dicton, « ventre affamé n’à point d’oreilles ».
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lundi, 29 août 2011
Mensonges, désinformation, tromperies : la fin justifie les moyens !
Par Pieter Kerstens
Correspondant de
Synthèse nationale à Bruxelles
Depuis des siècles, la contre-propagande a toujours été utilisée pour déstabiliser l’ennemi et tenter de rallier les indécis à ses idées.
Mais grâce aux techniques de communication ultrarapides et à la transmission d’images par Internet, la désinformation, l’intoxication, ou la manipulation de l’opinion publique internationale sont telles que les médias, aux mains de lobbies mondialistes, font gober toutes sortes de fadaises contraire à la vérité à l’homme de la rue. C’est également le moyen le plus facile à utiliser dans la guerre de l’information.
Que l’on se souvienne des charniers de Timisoara où l’on nous annonce 4.632 innocents exécutés par balles et baïonnettes et 7.614 manifestants tués par la Securitate du tyran roumain Ceausescu, après les émeutes des 17 et 19 décembre 1989 : chiffres repris par Guillaume Durant sur la Cinq, alors que pour sa part, un correspondant de France Inter annonçait « 4.630 cadavres, dans UNE SEULE fosse commune ». Par la suite, le bilan officiel pour TOUTE LA ROUMANIE était de 689 morts et non pas 70.000. A Timisoara, il y aurait eu entre 90 et 147 décès, et non 12.000 !
Et puis ce montage calamiteux en mai 1990, avant des élections, à propos de la violation des tombes et de l’empalement d’un cadavre à Carpentras. Un seul coupable : Jean-Marie Le Pen ! Une manifestation monstre fut organisée à Paris conduite par le Président Mitterrand et tous les barons du régime – Fabius, J. Lang, Maurois, Joxe & C°. A l’issue de l’enquête, RIEN ne pouvait incriminer le F.N, ni J-M Le Pen …
Et qui parmi la gôche s’en est excusé ?
Et encore les prétextes inventés par G.H. Bush pour attaquer l’Irak de Saddam Hussein : détention d’armes de destruction massive, armement chimique et bactériologique ; la 4ème armée du monde ; les crimes des soldats irakiens tuant les nourrissons dans les couveuses de Koweit-City! La suite a amplement démontré ces piètres mensonges tant dans les comptes-rendus de la commission neutre chargée d’enquêter en Irak à la recherche de ces armes démoniaques introuvables et n’existant que ….dans l’imaginaire yankee.
Pour les couveuses, le témoignage était celui de la fille de l’ambassadeur du Koweit à …Washington (et dont le faux avait été rédigé par Michael K.Deaver, ancien conseiller en communication de R.Reagan) !
Et toutes ces affabulations ont été reprises sans vergogne par des personnalités connues, comme P.Lelouche, B.Kouchner, Alain Finkelkraut ou André Gulksmann.
Mais en ce qui concerne l’agression contre la Libye, on atteint l’apothéose !
On a appris par Human Rights Watch et Amnesty International, qui avaient des observateurs sur place ( parlant arabe), que ce que nous contaient les médias occidentaux n’était que du pipeau : les prétendus « viols de masse par une soldatesque sous viagra », les milliers de morts civils à Benghazi (et même des dizaines de milliers…) massacrés par des attaques d’hélicoptères ou des bombardements aériens sur la ville (le Croissant Rouge libyen lui, a reconnu que seuls 110 morts avaient été comptés avant le 19 mars à Benghazi) devaient à eux seuls justifier l’intervention des occidentaux et accoucher d’une résolution de l’ONU.
Comme je l’avais déjà relevé il y a six mois, la Libye détient l’Indice de Développement humain (IDH) le plus élevé du continent africain ; son PIB par habitant est aussi comparable à certains pays développés ; le peuple libyen est le plus scolarisé, possède le système de santé le meilleur et l’un des meilleurs niveaux de vie du monde arabe. Sur une population de 6,5 millions d’habitants, plus de 20% étaient des immigrés de Tunisie et d’Egypte, mais aussi d’Asie et d’Europe, car la Libye offrait du travail et d’importants revenus à des étrangers, grâce à l’essor de son économie, bien gérée ; et personne ne pourra nier que la différence était éclatante en comparaison avec la gestion de multiples roitelets africains, des émirs du pétrole ou des dictateurs arabes.
Les raisons d’éliminer Mouammar Kadhafi pourraient être la manne pétrolière, mais pas uniquement.
Les trusts financiers libyens détiennent des centaines de milliards d’USD partout dans le monde, des participations dans plusieurs sociétés multinationales et développent des projets d’infrastructures majeures dans certains pays d’Afrique pour les aider à obtenir une indépendance concernant les importations provenant des pays occidentaux.
Mais ce qui a sans doute été la « goutte d’eau qui a fait déborder le vase » c’est la volonté de Kadhafi de faire payer aux compagnies pétrolières installées en Libye les dégâts infligés à son économie par l’embargo imposé par l’ONU entre 1990 et 2000.
Si l’on rajoute à cela un projet de satellite de communication panafricain, pour se défaire de la tutelle des satellites occidentaux et des redevances qui en découlent pouvant se chiffrer à 5 milliards d’USD par an, on comprend mieux pourquoi certains lobbies américains ont manipulé les pantins du Conseil de Sécurité de l’ONU, afin d’aboutir à la résolution 1973 permettant une exclusion aérienne au-dessus de la Libye, pour éviter un « massacre de la population civile de Benghazi »…
Alors que cette résolution 1973 n’autorise en aucune manière l’OTAN à bombarder les villes et les campagnes libyennes, ni à envoyer des armes aux insurgés et encore moins à former et encadrer les troupes rebelles, c’est tout le contraire qui c’est passé et autant les Américains que les Anglais ou les Français ont déployé des conseillers militaires (bien connus depuis la guerre au Viêt-Nam) et des forces spéciales ont permis au Conseil National Transitoire (CNT) d’envoyer ses barbus islamisés à la conquête des villes côtières.
« Si nous n’avions pas envoyé de forces spéciales pour aider les rebelles et leur apprendre le métier, les insurgés ne seraient pas à Tripoli aujourd’hui et la guerre serait loin d’être terminée » commente un officier général français.
Dans la cacophonie qui entoure le drame libyen, les mensonges sont pires que tous ceux que l’on a déjà entendu pour le Kosovo, l’Irak ou l’Afghanistan !
Le 22 août, le CNT affirmait avoir arrêtés trois des fils Kadhafi : Mohammed, Saïf al-Islam et Saadi. Le procureur de la Cour pénale internationale, Luis Moreno-Ocampo avait confirmé la nouvelle et demandait aux insurgés de lui remettre Saïf al-Islam sur base d’un mandat d’arrêt lancé fin juin. Cette intoxication destinée à l’opinion internationale s’est lamentablement dégonflée face à la réalité, car les 3 fils et le père étaient toujours libres de leurs mouvements…
Après la Tunisie, l’Egypte et la Libye, la déstabilisation va-t-elle toucher la Syrie et l’Algérie ? Avant d’atteindre le Maroc et pourquoi pas la Turquie où les Kurdes se réveillent ?
Et qu’en est-il du Yémen ? L’ONU et L’OTAN vont-t-elles s’y intéresser ? Peu de chances à vrai dire ; mais d’autre part, soyez rassurés : l’ordre règne à Manama, il n’y a plus d’insurgés sur la Place des Perles, car l’armée saoudienne a nettoyé les rues et balayé la contestation. Normal, Bahreïn est une base très importante pour l’US Navy !
Les médias nous ont vanté les bienfaits de la « Révolution de Jasmin », du « Printemps arabe » et de l’arrivée de la « Liberté » en Tunisie et en Egypte enfin débarrassées de leurs tyrans. Six mois plus tard, nous Européens, nous constatons que des dizaines de milliers de maghrébins se réfugient sur notre continent en fuyant cette « Liberté ». Pourquoi ?
Bien au contraire, si la Lumière avait fini par remplacer enfin l’Obscurité au Maghreb, ce devraient être des centaines de milliers d’immigrés qui auraient dû rentrer au pays pour participer au Grand Bond et finalement déguster cette « LIBERTE » tant recherchée et dont ils ne disposent pas entièrement chez nous, paraît-il.
Quant à l’Egypte, il semblerait que la Place Tahrir retrouve à nouveau une certaine effervescence et que depuis peu, ceux qui hier acclamaient les soldats vouent maintenant l’armée aux gémonies. Comprenne qui pourra !
Ce qui est probable, mais non encore écrit, est le fait que les barbus tunisiens d’Ennadha et leurs compères égyptiens des Frères Musulmans attendent le moment propice pour récolter ce qu’une main invisible a semé durant le printemps.
Dans le contexte de Pensée Unique, imposée par les charlatans du Politiquement Correct et du devoir de mémoire, il y a lieu de se souvenir de ce que disait le très estimé président A. Lincoln :
« On peut tromper tout le monde pendant quelques temps ; on peut tromper quelques personnes tout le temps ; mais on ne peut pas tromper tout le monde tout le temps ! »
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mercredi, 20 avril 2011
LE 22 AVRIL… il y a 50 ans, commençait la révolte des centurions.
Par Pieter Kerstens
En 1959, le général Challe avait gagné la guerre d’Algérie. Coupé de ses bases tunisiennes et marocaines par des barrages imperméables, le FLN mourait d’asphyxie. Les parachutistes avaient largement contribué à cette victoire.
Le discours du 16 septembre 1959 sur l’autodétermination leur apparut comme une faute irréparable, compromettant la victoire psychologique et militaire à laquelle ils avaient œuvré. Quand d’un trait de plume, le général De Gaulle supprima le 5ème Bureau (bureau d’action psychologique), il fit un geste dont les Français ne mesurèrent l’importance ni dans l’immédiat, ni pour l’avenir.
Cette incompréhension totale de l’aspect subversif des guerres modernes n’a pas fini d’avoir des conséquences fâcheuses …
En avril 1961, c’est pour ne pas se perdre que des militaires, parmi lesquels une majorité de paras, choisirent de se révolter contre une politique qui les conduisait à renier leur combat, leurs certitudes, leur fidélité, leur espérance, leur honneur.
Plus tard, aucun d’entre eux ne sera surpris par la tournure des évènements. Ils connaissaient la nature profonde du FLN. Ils avaient découvert les ramifications qui menaient des maquis algériens à Moscou et à Pékin. A maintes reprises, depuis la désertion de l’aspirant Maillot, ils avaient détecté le travail de sape du Parti Communiste Français et de certains complices socialistes et si les communistes du monde entier et leurs compagnons de route se servaient des aspirations légitimes des populations, les officiers parachutistes ne se faisaient aucune illusion : ce n’était pas par grandeur d’âme, c’était une occasion bénie de lutter contre les nations occidentales libres et d’imposer à de jeunes peuples en quête de patrie, leur idéologie marxiste.
Il faudra longtemps pour que les observateurs politiques professionnels reconnaissent qu’ils se sont lourdement trompés…
Il faudra Soljénitsine, la chape du silence étendue sur le Viêt-Nam, le génocide des Khmers Rouges, l’implantation soviétique en Afrique noire, la fin du culte de Mao, pour qu’ils admettent -du bout des lèvres- toutes les atteintes portées sous le masque du mot « libération » aux principes qu’eux-mêmes défendent !
A-t-on encore jamais écrit l’histoire calamiteuse des journalistes perdus ?
Lorsque le 22 avril 1961 au petit jour, le général Challe annonce qu’il est revenu prendre la tête de l’armée et proclame sa volonté de gagner la guerre afin que l’Algérie puisse rester dans un cadre français, les parachutistes se rallient à lui, à la quasi-unanimité ! Si quelques problèmes se posent aux chefs de corps, il ne s’en pose pas beaucoup aux cadres subalternes, habitués à suivre aveuglément leurs chefs.
Depuis longtemps les jeux sont faits : l’immense majorité des paras se bat pour l’ALGÉRIE FRANCAISE.
Pourquoi les paras sont-ils si nombreux à répondre présents au général Challe ? Obéissent-ils à un réflexe conditionné ? Sont-ils donc tous semblables ? Certes non. Ils ont des personnalités accusées ; l’esprit de commandos développe chez le para le sens des responsabilités, le goût des initiatives. Les missions périlleuses loin des chefs, à la tête d’une poignée d’hommes que l’on peut mener au succès comme à la mort, accentuent les caractères, renforcent l’individualisme.
Qu’y a-t-il de commun entre un Broizat, moine-soldat philosophe, répugnant à la violence, et un Godard, vainqueur de la bataille d’Alger, inventeur de la bleuite qui a porté le massacre chez l’ennemi, organisateur de l’OAS, partisan de la terre brûlée ?
Quelle foi commune peut bien partager le petit Cabiro à l’œil étincelant de malice, au verbe haut, à la chaleur communicative, et l’immense Robin, Porthos toujours prêt à dégainer pour chasser l’importun qui traîne sur sa route ? Quel lien existe-t-il entre un Curutchet qui cite Marx, Lénine et Mao et un Glasser méticuleux comme une ménagère flamande qui ne supporte pas le moindre grain de poussière sur le canon d’un fusil ?
Pourquoi le lieutenant Degueldre, l’homme du rang et le lieutenant Godot, l’homme de l’élite, le fort en thème, l’éternel premier, vont-ils se retrouver côte à côte dans l’ombre et la violence ? Quelle force mystérieuse poussera donc le premier jusque sous les balles d’un peloton d’exécution, et le second dans les prisons où il sacrifiera sa jeunesse ?
Tous ont fait partie d’un corps d’élite et à ceux-là on demande plus qu’aux autres… Depuis 1946 en effet, on leur a tout demandé : lancer des assauts décisifs, défendre des positions intenables, sauter dans les fournaises, sillonner de jour et de nuit la jungle, les rizières, la rocaille. On leur a même demandé de se salir les mains pour traquer dans Alger les poseurs de bombes.
On pouvait tout leur demander comme le dira si bien le capitaine ESTOUP lors du procès des officiers du 1er REP :
-« On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr à organiser le ravitaillement en fruits et légumes d’une ville comme Alger. Le 2 janvier 1957, j’en ai reçu l’ordre.
- On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr à suivre une filière policière…j’en ai reçu l’ordre.
-On ne m’avait jamais appris à Saint-Cyr comment s’exerçaient les fonctions de préfet de police…j’en ai reçu l’ordre.
-On ne m’avait jamais appris à organiser un bureau de vote…à ouvrir un marché…à ouvrir des écoles… »
Etrange, émouvante litanie du devoir accompli sans hésitation ni murmure par des hommes habitués à aller jusqu’au bout de leurs ressources, toujours prêts à tenter l’impossible.
Ainsi, les centurions qui répondent « OUI » au général Challe ce 22 avril 1961 sont de cette race là. Ils sont nés des combats incessants qu’ils ont livrés aux marches de l’Empire à la pointe du combat, dans tous les coups durs.
On a donné d’eux l’image de loups affamés, durs, courageux, exigeants envers les autres, parce que surtout exigeants envers eux-mêmes.
On les a jalousés, accusés d’immodestie.
On leur a reproché d’être des vedettes. Ils se sont contentés de hausser les épaules.
Seule leur valeur les poussait au premier rang. C’est la sueur et le sang qui les maintenaient.
Ils en avaient conscience et ils ne se trompaient pas !
Ils ont été trahis, mais ne seront pas oubliés pour autant !
GLOIRE A EUX …
Article publié dans le n°22 de la revue Synthèse nationale
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lundi, 21 mars 2011
APRES LA LIBYE, LE YEMEN ? BARHEIN ? …OU ALORS LA TURQUIE ?
Par Pieter Kerstens
Le premier trimestre de cette année est riche en évènements géopolitiques et pimenté de catastrophes naturelles et humaines…
Soucieux de redorer sa cote de popularité, après des déclarations inopportunes concernant l’affaire Cassez et les « amitiés » franco-tunisiennes, Sarko a déclaré la guerre à son client/fournisseur le bédouin Mouammar.
Forts d’une autorisation onusienne à bombarder les armées d’un tyran sanguinaire, dictateur mégalomane et bourreau de son peuple, les « coalisés occidentaux » mettront le paquet pour réduire le guide à néant.
Car ce colonel, tombeur du roi Idriss 1er en septembre 1969, avait entamé une révolution de type socialo/nationaliste dont le modèle était celle de Nasser en Egypte et durant de nombreuses années fut aussi soutenu par l’intelligentsia gaucho-bobo. Il a entretenu des relations très équivoques avec d’anciens agents de la CIA, a financé le terrorisme international, a organisé moult attentats ayant entraîné des centaines de morts et n’a cessé de s’ingérer dans les affaires intérieures des pays africains pour y créer un chaos désastreux.
S’il est exact que sous sa férule, la Libye a pu se développer d’une manière spectaculaire grâce à la manne pétrolière et à la mise en place d’un réseau d’irrigation performant (issu d’un « fleuve » souterrain pharaonique), que l’Indice de Développement Humain compte parmi les plus élevés d’Afrique, que la situation de la femme n’est plus comparable celle des Egyptiennes, Marocaines ou Soudanaises, Kadhafi est bien l’un des seuls qui a pu juguler l’expansion islamiste au Maghreb, en jouant des alliances avec les tribus qui lui sont inféodées.
Bien des potentats africains, des éminences européennes ou des barons de multinationales lui sont redevables et surtout ceux du complexe militaro-industriel ! Il détiendrait donc des informations et des documents compromettant certains de ceux qui veulent sa peau aujourd’hui…ces va-t-en-guerre haineux et méprisables.
Deux poids, deux mesures ?
Au prétexte de sauver les insurgés, ces rebelles qui ne songent qu’à renverser le « guide » au nom d’ALLAH le tout-puissant, l’ONU, par sa résolution 1973, permet l’envoi de forces militaires afin de destituer dans un ouragan de fer un dirigeant mégalomaniaque.
Mais alors, serait-ce le SEUL ? L’ONU va-t-elle également prendre les mêmes dispositions envers le président du Yémen Ali Abdallah Al-Salih qui lui aussi fait tirer sur la foule des insurgés ? Une autre résolution onusienne pour contraindre par un embargo Hamad Ibn Isa Al Khalifa, monarque de Bahreïn, au cessez-le-feu contre les manifestants de la place de la Perle à Manama ? Avant l’envoi de chasseurs-bombardiers ?
Et pour ce qui est des guerres civiles en Côte d’Ivoire, au Nigeria, en RDC, et tutti quanti, l’ONU pourra-t-elle fermer les yeux encore longtemps sur les massacres perpétrés par des « tyrans sanguinaires », sans prendre des résolutions identiques à la 1973 ?
Et que dire des situations dramatiques vécues par les populations innocentes par exemple au Zimbabwe, en Corée du Nord et même au Mexique (aux portes de l’ONU) où les narcos trafiquants, bien mieux armés que les va-nu-pieds de Benghazi, ont acheté l’Etat de Droit cher au cœur des humanistes et massacrent à tour de bras.
Devoir de mémoire ?
Les états membres (192) s’engagent à remplir les obligations prévues par la Charte, en vue de sauvegarder la paix et la sécurité internationale et d’instituer entre les nations une coopération économique, culturelle et sociale. Cà c’est pour les intentions …car chaque pays membre est obligé de faire respecter les résolutions du Conseil de Sécurité et l’Histoire nous oblige à constater que de la théorie à la pratique, il y a un gouffre !
Les résolutions 181,194, 242, 476, 478, et 672 par exemple, prises de 1947 à 1990, n’ont JAMAIS été respectées par Israël, qui persévère quant à son attitude belliqueuse et refuse de libérer les territoires occupés.
Même chose pour l’occupation et l’annexion illégale du Tibet par la Chine en 1950.
Ne parlons pas des deux guerres en Irak où règne l’anarchie la plus totale et où la population subit des exactions pires que sous le régime de Saddam Hussein.
Idem en Afghanistan qui devient un copié collé de la guerre du Vietnam…
En Somalie, les onusiens de 1992 à 1995 (avec Kouchner et son sac de riz) se sont fait aplatir par les milices islamistes, qui ont maintenant muté en une coopérative de piratage international et preneur d’otages maritimes.
Plus près de nous, l’armée turque occupe militairement le nord l’île de Chypre depuis 1974, sans que l’ONU n’ait pris une résolution permettant un embargo contre la Turquie, ni le bombardement d’Ankara : et on voudrait même que l’Europe accepte cet agresseur en son sein !
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jeudi, 03 mars 2011
PLACE… PLACE ! FAITES-LEUR DE LA PLACE : ILS ARRIVENT !
Par Pieter Kerstens
Le simoun de la Liberté qui souffle depuis plusieurs mois au Maghreb et dans les pays arabes gonflera le flux migratoire du Sud vers le Nord.
Parce que les quelques milliers de Tunisiens débarquant sur l’île italienne de Lempedusa ne sont que l’avant-garde d’une armada de sarrasins qui va déferler sur notre continent dans un futur proche, puisque les eurocrates mondialistes – obnubilés par leurs dogmes angéliques et droits-de-l’hommistes- ne prendront aucune mesure coercitive envers ces hors-la-loi.
Dans un contexte un peu différent, l’écrivain Jean Raspail avait écrit en 1973 un livre prémonitoire : Le Camp des Saints (réédité maintenant chez Robert Laffont).
Les charlatans du multiculturel, les gourous du métissage à tous les étages et les pourriticards aux commandes seraient bien inspirés de lire cette œuvre prophétique qui raconte la fin du monde blanc, sous l’invasion de millions et de millions de miséreux du monde entier.
AUX IMMIGRES LEUR PLACE, TOUTE LA PLACE ! AUX EUROPEENS LEUR PLACE, RIEN QUE LEUR PLACE !
Les gouvernants, les politologues et les journalistes nous racontent maintenant que les Moubarak, les Ben Ali, les Kadhafi & C° sont d’affreux dictateurs qui tenaient leur pays sous un joug de fer et persécutaient leur peuple ! Cet état de fait n’a jamais gêné les dizaines de millions d’européens qui allaient se bronzer à Djerba, à Hammamet, à Hurghada ou à Sharm-el-Sheik, ces dix dernières années, sans se poser trop de questions. Des milliers de « camarades » socialo-bobos-démocratos-écolos ont rendu visite à leurs copains du pourtour méditerranéen sans se boucher le nez, ni fermer les yeux ! Et subitement ceux-ci seraient devenus des « tyrans » ?
La gôche et ses courroies de transmissions vont-elles nous abreuver d’un salmigondis humanitaire prêchant la solidarité pour que l’Europe ouvre ses frontières à nos « frères » du Sud ?
En Lybie, sur une population de 6,4 millions d’habitants, 30% était des immigrés travaillant dans tous les secteurs économiques du pays. Dont 1,5 million d’Egyptiens, 60.000 issus du Bengladesh, 33.000 originaires de Chine, 30.000 Philippins, 25.000 Turcs, 23.000 Thaïlandais, 18.000 Indiens, des Vietnamiens, des Anglais, des Russes, des Français, des dizaines de milliers de Tunisiens, etc, etc…une vraie Babel !
Et un grand danger existe si Mouammar Abou Minyar Abdel Salam ben Hamid al-Kadhafi disparaît à la suite de Ben Ali et de Moubarak, car on ignore QUI occupera les postes abandonnés et quelle sera l’ampleur de l’instabilité qui règne déjà en Egypte et en Tunisie. La contagion peut se propager non seulement au Yémen, à Oman, à Bahreïn, en Irak, en Jordanie, au Soudan, au Maroc ou en Algérie et dégénérer comme en Somalie depuis des années… tout est devenu imprévisible pour ceux qui ont ouvert la boîte de Pandore et soutenu ces révoltes « populaires ».
Que se passera-t-il si les gérontes de la tribu des Séoud sont à leur tour menacés ?
QUAND ON N’EST PAS CAPABLE, ON CHANGE DE METIER !
Le plus étonnant et incroyable est bien sûr le fait que ni les USA, ni l’Union Européenne n’ont rien vu venir. Ceux-là même qui disposent d’innombrables services de renseignements et de méthodes ultrasophistiquées pour le recueil des informations. Ceux-là encore qui possèdent le pouvoir de décrypter votre emploi du temps, de déterminer le montant de vos achats dans votre supermarché favori et de lire en temps réel le numéro de votre plaque minéralogique quand votre auto sort du car-wash !
Inondés par des centaines de milliers d’informations, les techniciens du renseignement et les analystes des services spéciaux ont été totalement incapables d’anticiper les révoltes de l’automne 2010 et les rebellions arabes, entièrement scotchés à leurs écrans et coupés du terrain.
Souvenez-vous ! Ce ne sont pas les 100.000 caméras installées dans les rues de Londres qui ont pu empêcher les attentats du 7 juillet 2005…
Ce ne sont pas non plus toutes ces caméras, placées dans les grandes villes d’Europe, qui ont fait baisser la délinquance et la criminalité quotidienne…cela se saurait !
RAUS, FUERA, GET OUT, BUITEN, FORA, DEHORS !
Hormis les pays musulmans en ébullition, certaines contrées d’Afrique Noire sont aussi le théâtre de troubles graves : Somalie, Niger, Côte d’Ivoire, R.D.C, Mali, entre-autres, dont nous voyons les ressortissants arriver sous nos cieux.
Mais pourquoi si loin de leur pays d’origine ?
Pourquoi donc ne s’installent-ils pas dans les régions voisines ?
Parce que l’Europe serait un nouvel Eldorado ?
Parce que notre législation laxiste et les organisations d’aide aux « sans-papiers » et les conseils de leurs avocats marrons leurs garantissent une aide financière sans travailler, dix fois (et souvent 50 fois) supérieure à ce qu’ils gagneraient chez eux en travaillant ?
Parce que si l’Europe a pu octroyer 4.589 milliards d’Euros au secteur financier en 2 ans (soit 10.000 € par habitant) elle pourrait en faire autant pour une centaine de millions de futurs immigrés qui ne subsistent aujourd’hui qu’avec 2 € par jour ?
Il faut en finir avec ces saltimbanques de la Nouvelle Religion Droits-de-l’hommiste et les bonimenteurs du multiculturel, véritables collaborateurs de l’islamisation de nos quartiers !
Bientôt de nouvelles élections auront lieu dans la plupart des pays européens : infligeons un carton rouge à la mafia des partis libéro-socialo-démocrato-écologistes, cette mafia qui, d’échec en échec, nous a conduit au fond du gouffre.
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lundi, 07 février 2011
Automobilistes : LES VACHES A LAIT DU GOUVERNEMENT...
Par Pieter Kerstens
Les automobilistes, nouveaux serfs du XXIème siècle taillables et corvéables à merci, subissent les pires avanies de la part de politicards imbus de leur pouvoir. Téléphoner dans son auto devient un délit et entraîne de fortes amendes. Et fumer dans sa voiture ? C’est passible de 20 ans de bagne ? Bientôt… patience !
Curieusement, la répression ne sévit pas de la même façon dans les quartiers à forte densité d’immigrés. Discrimination ?
Il est temps de mettre un holà à cette dérive des maniaques des pistes cyclables tout azimut, de la gratuité des transports publics, de la suppression des places de stationnement dans les rues ou encore de la transformation de nos avenues et de nos boulevards de liaisons en ruelles piétonnes de cités du tiers-monde.
A les écouter, on devrait circuler en trottinettes, en rollers ou en pousse-pousse et abandonner nos voitures au profit des bus, des trams ou du métro (renommés pour leur propreté, leur ponctualité et leur sécurité : tout le monde le sait !).
NOTRE AUTO ? C’EST NOTRE LIBERTE !
Demandez donc aux mères de famille ce qu’elles en pensent. Si l’utilisation automobile a connu un tel développement au cours des 30 dernières années, c’est bien qu’il existait de bonnes raisons. Depuis 1980, à puissance égale, la voiture consomme et pollue 30% de moins, grâce aux améliorations techniques des moteurs, à l’essence sans plomb et sans soufre et au pot catalytique.
En est-il de même aux USA, en Chine, en Inde ou en Afrique ? Ce sont eux les plus gros pollueurs !
Nous n’acceptons pas les affirmations mensongères des khmèrs verts et de leurs laquais socialistes, visant à nous culpabiliser.
Pour diminuer les effets de serre ou le rejet de CO2 les Ecolos et les altermondialistes vont-ils aussi mener leur campagne à Dakar, à Calcutta, à Rio ou à Canton pour empêcher les habitants de s’équiper en motos ou en voitures et à en revenir à l’utilisation du vélo ?
Il ne faut plus racketter les conducteurs sous de faux prétextes.
TROP C’EST TROP !
Le Pouvoir ponctionne des milliards d’euros aux secteurs liés à la voiture (taxes d’immatriculation et de circulation, accises, assurances, TVA, amendes, etc…).
Mais dans quel état se trouvent nos rues et notre réseau routier ?
Le Régime cache son incurie en diabolisant les automobilistes. C’est scandaleux et c’est pourquoi il est temps d’organiser la rébellion des conducteurs, victimes d’une véritable persécution, qui circulent tous les jours pour des raisons professionnelles et perdent leur temps dans les embouteillages organisés par des utopistes dont les dogmes, eux, polluent notre quotidien.
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jeudi, 18 novembre 2010
LE CONGO CHEZ TINTIN...
Par Pieter Kerstens
Notre correspondant à Bruxelles
« A l’heure actuelle, l’Europe compte plus de 5 millions d’immigrés clandestins et leur nombre tend à augmenter. » Cette déclaration a été faite à Sotchi (Mer Noire) le 5 octobre dernier, par Nicolaï Patrouchev, le secrétaire du Conseil de Sécurité russe et sur base des données fournies par l’U.E.
Et ce haut responsable de l’administration russe ajoutait : «on s’attend à une augmentation de 350 à 500.000 personne par an » lors de cette réunion des représentants des Conseils de Sécurité de 44 pays. En conclusion de son intervention, Nicolaï Patrouchev insistait : « Il est nécessaire de mettre en place des accords intergouvernementaux sur l’accueil et le rapatriement des immigrés illégaux et de prendre des mesures de prévention conformes ». Source : RIA Novosti.
La Belgique, terre d’accueil, caverne d’Ali Baba ou vache à lait ?
9,1% des habitants du plat pays sont des étrangers, et 1/3 proviennent du Maghreb. Mais depuis 1970 plus de 900.000 ont été naturalisés et tous les ans 40.000 immigrés obtiennent la nationalité belge, ce qui place notre pays au 5ème rang (sur 27) des naturalisations en Europe ! Parmi tous ceux qui deviennent « belge » beaucoup conservent leur nationalité d’origine, ce qui autorise certains abus …
Mais ce qui est scandaleux réside dans le fait que, parmi les dizaines de milliers de dossiers de demandeurs d’asile que reçoit l’Office des Etrangers tous les ans, plus de 80% sont fantaisistes ou farfelus ! Et pendant les mois (ou les années) que dure l’instruction de leur dossier, ces étrangers vivent aux frais de la société et leurs enfants squattent nos écoles alors que souvent les parents vivent de nos subsides… pendant que 1,5 millions de nos compatriotes, eux, survivent avec moins de 800€ par mois ! Stop ou encore ?
Durant l’examen de ces dossiers de demandes d’asile, c’est FEDASIL qui doit prendre en charge le logement et la subsistance de tout de monde. Depuis de longs mois, cet organisme est totalement débordé par le tsunami migratoire et selon une récente déclaration de Mieke Candaele (porte-parole de Fedasil) parue dans Gazet van Antwerpen « un demandeur d’asile coûte moins cher si on le loge à l’hôtel (36€) que s’il se trouve dans un centre d’accueil (53 €). Pour la fin de 2010, plus aucun demandeur d’asile ne sera hébergé dans les hôtels. »
Combien çà coûte ?
Au 1er mai 2010, FEDASIL avait la charge de 18.882 personnes, dont 16.579 dans ses centres et 1.024 logés dans les hôtels. Dépenses quotidiennes :
1024 en hôtel X 36 € = 36.864 € / jour
16.579 en centres X 53 € = 878.687 € / jour
TOTAL = 915.551 € / jour, soit 334 millions par an !
Et une récente décision du Conseil des Ministres augmente de plus de 4.000 le nombre de places dans les centres d’accueil…soit une dépense supplémentaire de 212.000 € par jour et 77,4 millions € par an !
C’est pourquoi FEDASIL réclame un budget de 430 millions € pour 2011…
N’oublions pas non plus que des dizaines de milliers de dossiers de régularisations de clandestins sont toujours en suspend, suite à l’accord gouvernemental entre partis de mars 2008, qui est un phénoménal incitant à venir en Belgique pour tous les « sans papiers » de la planète, parce que obtenir un permis de séjour chez nous, ouvre le droit au minimex ou à défaut le paiement d’allocations distribuées par les Centres Publics d’Aides Sociales.
L’Europe n’est pas le dépotoir de l’Afrique, Bruxelles n’est pas la poubelle de l’Europe !
Les prophètes du multiculturel et du pluriethnique sont ceux qui depuis trop longtemps ne cessent de nous culpabiliser et de vanter les bienfaits d’un « melting-pot » véritable génocide de nos peuples. Nous devons nous libérer de ces saboteurs qui nous ont mené d’échecs en désillusions, de mensonges en félonies, de trahisons en défaites.
Nos ennemis se trouvent dans toutes les strates administratives, économiques et politiques de nos sociétés, régionales, nationales et européennes. Le point d’orgue de la décadence, du déclin et de la décrépitude de notre civilisation a été atteint ce 28 octobre 2010 à Bruxelles.
Jugez-en : « A la requête d’un Congolais, demandeur d’asile arrivé en Belgique le 18 août 2010, le tribunal du travail de Bruxelles a condamné l’Agence Fédérale pour l’Accueil des Demandeurs d’Asile (FEDASIL) à lui verser 500 € pour chaque journée durant laquelle Fedasil ne lui aura pas trouvé un logement (éventuellement une chambre d’hôtel). Le requérant a fait exécuter la condamnation. Il a chargé un huissier de saisir chez Fedasil 15 ordinateurs et 4 véhicules Peugeot pour un total de 15.980 € correspondant aux 31 jours « sans logement » depuis le 19 août, augmentés des frais divers ! ! ! »
Pour ce Congolais, la Belgique est le pays du jackpot permanent.
Si l’on en croit un article de l’hebdomadaire Jeune Afrique du 18/01/2010, le PIB par habitant et en dollars US a évolué de la manière suivante dans les pays ci-dessous :
Sénégal 257 $ en 1960 et 1.030 $ en 2010.
Gabon 291 $ en 1960 et 8.624 $ en 2010
Niger 147 $ en 1960 et 402 $ en 2010.
Congo Brazza 130 $ en 1960 et 3.142 $ en 2010
Tchad 106 $ en 1960 et 806 $ en 2010.
Madagascar 132 $ en 1960 et 424 $ en 2010.
Mali 65 $ en 1960 et 684 $ en 2010.
Mauritanie 102 $ en 1960 et 1.084 $ en 2010.
TOUS ont donc multiplié leur PIB respectif par habitant, par 3, par 4, par 8, par 10 et même par 24 et par 30 pour le Congo Brazzaville et le Gabon.
Mais qu’en est-il donc pour la République Démocratique du Congo (ex-Congo belge, ex-Zaïre) ?
En 1960 le PIB par habitant se chiffrait à 222 $ par an et en 2010, ce même PIB annuel par habitant était de 184 $: un recul de 20% ! ! ! Cherchez l’erreur …
Le « demandeur d’asile » Congolais, arrivé en Belgique le 18/08/2010 et bénéficiant depuis le 19 août 2010 de 500€ /jour, s’est retrouvé 1 mois plus tard avec un capital d’environ 16.000 €, soit l’équivalent d’environ 22.000 $, ce qui correspond « en gros » à 100 ans de PIB/habitant en R.D.C, mais sur base non dévaluée de 1960. Avec un tel traitement de l’ancienne puissance coloniale, pourquoi donc suer et trimer à Lubumbashi, Kamina ou Bukavu ?
OUI ! En EUROPE, en 2010 il est possible pour un immigré de gagner en 1 mois sans travailler, ce qu’il gagnerait chez lui en 20 ans -au minimum- en travaillant, dur.
Ceci est le résultat de laxisme, d’irresponsabilité, d’hypocrisie, d’incompétence, de suffisance, de clientélisme et de corruption additionnés.
D’une manière ou d’une autre, il faut mettre la mafia socialo-libero-democrato-ecologiste hors d’état de nuire, cette fratrie maléfique qui a gangrené toutes les administrations et les partis politiques d’Europe.
Curieusement, une adepte de l’atlantisme tout azimut vient d’ouvrir un œil : le samedi 16 octobre 2010 la chancelière allemande Angela Merkel avouait « l’approche Multikulti a échoué, totalement échoué !» C’est un bon début et ce diagnostic nous, nationalistes, nous l’avions pronostiqué depuis des lustres. Maintenant nous attendons les mesures que pourrait envisager l’Etat-Major aux commandes du Conseil de L’Union Européenne afin de renverser la vapeur et de réparer les dégâts infligés à nos peuples par le « multikulti ».
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