mardi, 12 novembre 2024
La sépulture de Charles Maurras profanée
Source : Frontières cliquez ici
La tombe de Charles Maurras, figure du nationalisme français décédé en 1952, a été vandalisé dans la nuit du 9 novembre. L’Action française, mouvement royaliste historique auquel il appartenait, a fermement condamné ces actes de dégradation. Des tags et graffitis menaçants ont été retrouvés sur le caveau, situé dans le cimetière de Roquevaire, ainsi qu’à l’intérieur de la sépulture, tandis que la grille d’entrée avait été forcée.
Parmi les inscriptions, on note la présence d’un tag indiquant « À bas l’AF », accompagné du symbole des trois flèches, signe associé au mouvement antifasciste de la Jeune Garde. Ce groupuscule d’ultra-gauche est actif dans plusieurs grandes villes de France et prône souvent des actions directes contre les organisations qu’il considère comme appartenant à l’extrême droite. Un lien est donc possible mais le groupuscule d’ultra gauche n’a pas encore revendiqué cette attaque.
Face aux dégradations sur la tombe, l’Action française a dénoncé ce qu’elle considère comme une manifestation de « christianophobie » et un symbole du « désintérêt des autorités civiles et judiciaires » face aux agressions de cette nature. Le groupe royaliste a également annoncé qu’une plainte serait déposée auprès du Procureur de la République de Marseille et qu’ils suivraient de près la suite judiciaire qui serait donnée à cette affaire.
L’attaque de la tombe révélatrice des tensions avec les groupes d’ultra gauche
Le geste a suscité une vague d’indignation parmi les sympathisants et représentants de la droite. Jean-Philippe Courtaro, responsable local du parti Reconquête dans les Bouches-du-Rhône, a réagi en dénonçant « la lâcheté des Antifa » dans un tweet. Il a fermement condamné ce qu’il considère comme une atteinte à la mémoire des morts et a affirmé qu’il initierait des actions judiciaires contre les auteurs de cet acte.
La Jeune Garde au cœur des polémiques
La Jeune Garde, groupuscule antifasciste fondé à Lyon par Raphaël Arnault, aujourd’hui devenu député LFI, se revendique comme une organisation de combat contre ce qu’elle appelle l’extrême droite. Ayant adopté une culture d’action virile inspirée des hooligans, le groupe a régulièrement été impliqué dans des affrontements et des actes de violence. Ce dernier événement à Roquevaire, s’il est confirmé qu’il implique ce groupe, s’inscrit dans une série d’actions menées par l’ultra-gauche contre des symboles perçus comme trop à droite, quels qu’ils soient.
Les dégradations sur la tombe de Charles Maurras et les accusations mutuelles entre groupes de gauche et de droite témoignent d’une polarisation croissante en France. L’ancien ministère de l’Intérieur avait déjà pris des mesures de dissolution contre certains groupes militants de droite, mais des voix s’élèvent pour exiger une action plus ferme contre les groupuscules d’extrême gauche.
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samedi, 19 octobre 2024
Il paraît que le monde paysan se sentirait trahi... Mais c'était prévisible !
Le 3 février dernier, au moment du dernier grand mouvement de contestation paysan, nous avons publié sur ce blog un article intitulé : "Gestion par le pouvoir des colères du monde agricole : déjà, en 1964, François Brigneau mettait en garde les paysans".
Huit mois plus tard, au moment où les campagnes se sentent trahies une fois de plus, il nous semble judicieux de remettre en ligne ce papier qui vient rappeler à quel point les problèmes actuels ne sont pas récents et à quel point leur "traitement" par les pouvoirs publics reste grosso modo le même : "Cause toujours, tu m'intéresses"...
« Tout a été dit et fait, et aucune littérature ne peut dépasser le cynisme de la réalité. On ne soûle pas avec un verre celui qui a déjà bu une barrique ».
Anton Tchekhov
Synthèse nationale
Le 17 avril 1964, deux ans après la mise en place de la politique agricole commune (PAC) – et la fin dramatique de l’« Algérie française » -, François Brigneau (1) écrit un article intitulé Paysans, il vous a déjà compris ; le « il » en question étant, bien sûr, le général De Gaulle dont le journaliste s’employait alors à pourfendre les « impostures »… 60 ans plus tard, il nous paraît intéressant de publier des extraits de ce texte qui n’a rien perdu de sa profondeur et de son actualité… Il suffit juste de remplacer le général De Gaulle par Emmanuel Macron et Ben Bella par l’Ukraine ou « le Zambèze »…
« (…) Aujourd’hui, enfin demain, il a accepté de recevoir les paysans désireux de lui parler du pays. (…) Le soldat donnera audience aux laboureurs. Dès lors que son intérêt coïncidera avec son bon plaisir, évidemment. (…) Si ce général ne s’appelait pas De Gaulle, une semblable entrevue prêterait à la composition d’un grand tableau, dans le genre de ceux de Prud’hon. Au milieu, le vieux chef, méditatif. Autour de lui, les paysans assemblés, tête nue, à la fois fiers et respectueux. Il y a le berger des montagnes et le vacher des grasses prairies vertes ; l’homme des océans à blé et celui des petites cultures dont les lopins changent de visage au gré des saisons, comme les calendriers changent d’images. (…)
Tous parlent à leur tour ; tous disent le drame de leur vie qui tient à ceci : dans un monde qui ne croit qu’à l’avenir, ils ne veulent plus appartenir au passé ! Pendant des siècles, l’inconfort, l’éloignement, la solitude, le travail jamais terminé, l’insécurité chronique, la misère, le silence, la lenteur avaient été leur lot. En contrepartie, ils éprouvaient cette mystérieuse satisfaction organique que donnent à l’homme le sentiment de sa responsabilité, celui de la liberté et l’accord de son mouvement profond avec celui de la terre. Certes, rien de cela n’était dit, par pudeur ou faute de mots. Mais l’important n’est pas de formuler ; l’important est de ressentir. Et c’était parce qu’ils éprouvaient dans tout leur être cette joie inexprimable qu’ils demeuraient des paysans.
Et puis, petit à petit, ce sort a cessé de leur paraître normal. Les guerres, les invasions, le grand brassage des populations, l’automobile, le cinéma et la télévision ont changé leur état d’esprit. La vie des villes n’est plus apparue comme un mirage inaccessible. Dans d’autres nations, (…) des paysans la connaissaient – ou semblaient la connaître. Pourquoi pas le paysan français ? C’était la question qu’ils voulaient poser au vieux chef. Garder l’accord avec leur sol, gagner l’accord avec leur siècle, telle était leur ambition. Était-ce possible de vivre comme dans des villes à la campagne ? Était-ce possible de demander un peu plus de confort, de sécurité, de bien-être sans perdre pour autant la liberté ? Était-ce trop exiger que de vouloir des écoles pour leurs enfants, des hôpitaux pour leurs malades, des distractions pour leurs femmes ? En vingt siècles, ils avaient puissamment aidé à faire la France. Il était temps que la nation cessât de les considérer comme des étrangers, des exilés de l’intérieur.
Sur ce thème, on imagine facilement le dialogue qui eût pu s’instaurer et sa portée. Il eût fallu, pour cela, un général moins amoureux de la manœuvre. Hélas, (…) ce qui lui importait, ce n’était pas d’écouter les paysans, de connaître leurs travaux et leurs jours, de découvrir une réalité dont nous ne pouvons rougir. Ce qui lui importait, c’était de se servir de cette demande contre eux, dans cette petite guerre civile qu’on appelle la politique.
Les benêts ! Ils demandaient audience au chef de l’État parce qu’ils croyaient à son sens de la justice, de l’intérêt national, peut-être même à sa bonté (…). Ils pensaient : "Ah ! Si le général savait (…) nos terres abandonnées par une jeunesse qui fuit la pauvreté de nos existences… S’il savait que nous vendons notre lait moins cher que l’eau minérale… S’il savait ce qu’il faut d’efforts, de soins, de tracas, de périls pour élever des bêtes et mener une récolte à son terme… S’il savait les dangers qui nous menacent, la grêle, le gel, la maladie, l’effondrement des cours, les marchés engorgés, les saisons rigoureuses qui font les récoltes catastrophiques et les récoltes trop généreuses qui mettent la ruine dans la maison… S’il savait comme il est difficile de moderniser une exploitation, les périls nouveaux auxquels on s’expose en le faisant, les traites, les réparations imprévues qui chargent un budget, l’angoisse qui vous saisit, le sommeil qui vous fuit quand la preuve s’établit que plus vous travaillez et plus vous allez manger d’argent ! (…) Ah ! Si le général savait ça, sûr qu’il ne tolérerait pas que ça dure davantage ; sûr qu’il préférerait nous aider plutôt que Ben Bella. Il suffira de lui expliquer, (…) de lui dire, avec nos mots à nous, et il comprendra (…).
Pauvre Jacques Bonhomme, t’as qu’à croire… Tu vas vite apprendre (…) que le général parle mais n’écoute pas. Si, par extraordinaire, il écoutait, c’est qu’il n’aurait pas trouvé de meilleur moyen pour ne pas entendre. Là est son génie : dans l’utilisation magistrale de la ruse. Qui veut la fin veut les moyens, dit-on. Lui veut tous les moyens sans fin et sans aucune fin ! Tout ce qu’il a vu, dans cette entrevue accordée mais sans date fixée, c’était le moyen de ne pas obtenir la fin : à savoir la solution des problèmes agricoles. C’était aussi le truc qui lui accordait une petite victoire : la remise à une date ultérieure (…) de la grève des fourches. Le bénéfice est court, sans doute, et cette duplicité ne fait que renvoyer l’affaire au mois prochain. C’est vrai, mais il est vrai aussi que ce personnage dont on nous dit tant qu’il se modèle pour l’éternité, réussit surtout dans la bricole à la petite semaine ».
(1) François Brigneau (1919-2012) a été l’une des grandes plumes de la droite nationale des années 1950 jusqu’au début des années 2000 (notamment à Minute, Initiative nationale, Présent, National hebdo et Le Choc du Mois). Ce journaliste, grand reporter et écrivain a été également un militant et responsable politique d’Ordre nouveau, du Parti des forces nouvelles et du Front national.
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mardi, 01 octobre 2024
Un note de l’Observatoire de l’immigration et de la démographie (OID) - L’immigration entre 2006 et 2021 : une hausse rapide et forte, et une diffusion en taches d’huile sur le territoire, en particulier dans le Grand Ouest
Synthèse nationale
Il y a un peu plus d’un an, en juillet 2023, à la suite des émeutes du mois de juin précédent, l’analyste Jérôme Fourquet, dans un article publié par le Point, évoquait « la "banlieusardisation" progressive des territoires gravitant dans l’orbite éloignée des grande métropoles ». Cet étalement en tache d’huile de l’immigration, dans les « confins » des grands centres urbains (en particulier dans les petites villes) « desservis par les trains de grande banlieue ou d’importants axes routiers », vient d’être mis en évidence par une note de l’OID publiée récemment (à partir des bases de données du recensement rendues publiques par l’INSEE). On peut en retenir les principaux point suivants :
Selon ces chiffres officiels, entre 2006 et 2021, le nombre d’immigrés résidant en France a augmenté de 35%, passant de 5,136 millions à 6,932 millions (soit 1,8 million de plus en 15 ans). Résultat : « Il n’y a jamais eu autant d’immigrés en France qu’aujourd’hui, que ce soit en valeur absolue ou en part relative, avec une croissance spectaculaire pouvant être observée depuis la fin des années 1990 ».
Cette hausse concerne aussi bien le nombre des primo-titres de séjours accordés (+41% entre 2006 et 2021), que celui des primo-demandes d’asile (qui a triplé entre 2009 et 2019) ou celui de l’immigration clandestine (le nombre des bénéficiaires de l’aide médicale d’État - AME – a doublé entre 2006 et 2021).
« La France accueille l’immigration la plus africaine d’Europe ». En 2020 (selon les données de l’OCDE), 61% des immigrés vivant en France étaient originaires d’Afrique, « soit une part trois fois supérieure à la moyenne de l’UE ».
Plus de 40% des immigrés sont « venus pour accompagner ou rejoindre un membre de leur famille ».
L’immigration se diffuse rapidement dans l’ensemble du pays. Sa « surreprésentation (…) dans des régions concernées largement et de plus longue date » s’en trouve consolidée. Mais elle touche aussi, désormais, « des territoires parmi les moins concernés (…) jusqu’alors, avec un basculement notable dans les régions du Grand Ouest ».
À titre d’exemple, entre 2006 et 2021 toujours, la part des immigrés dans la population totale a doublé (ou presque) au Mans, à Brest, Caen, Libourne, Lorient, Saint-Nazaire ou Vélizy-Villacoublay (pour y représenter de 7,7% à 13,1% de la population totale). Si on prend les petites villes de la seule Bretagne, on voit qu’elle a été multipliée par 8,25 à La Guerche-de-Bretagne, par 6,8 à Vezin-le-Coquet et qu’elle a triplé à Loudéac, Pontivy ou Le Rheu (pour y représenter désormais de 8,5% à 11,8% de la population)…
Les « moteurs de ces dynamiques locales » recensés par la note de l’OID sont, depuis longtemps, bien identifiés, dénoncés et combattus par la droite nationale et identitaire (notamment par notre ami Bernard Germain) : « les stratégies nationales de "répartition" de l’immigration, les politiques d’attractivité migratoire mises en œuvre par certaines collectivités (et associations, NDLR) ou encore les phénomènes de diaspora entretenus par des flux migratoires à motif largement familial ».
Pour prendre connaissance de l’intégralité de la note de l’OID, cliquez ici
Pour commander le livre de Bernard Germain sur l'affaire de Callac, cliquez ici
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jeudi, 06 juin 2024
Rennes, la presse passe sous silence un dramatique accident... le chauffard est sous OQTF.
Quelques jours après le drame, les militants nationalistes rennais de l'Oriflamme se sont rendus sur place pour exiger l'expulsion des OQTF.
Le 9 avril dernier, dans le quartier de Beauregard à Rennes, un enfant de deux ans s’est fait écraser par une voiture. Personne n’a entendu parler de cette atroce histoire et pourtant, elle rappelle douloureusement les cas de Lola, de Thomas et plus récemment de Mathis. En effet, le conducteur conduisait sans permis et est un Géorgien de 40 ans sous OQTF.
Au-delà de l’omerta médiatique (quelques articles tout au plus), la justice s’est une nouvelle fois couverte d’ignominie en libérant ce meurtrier étranger sous OQTF une semaine après le drame. Il sera jugé le 10 juin.
Un clandestin a écrasé un petit Français et il est libre. Un étranger sous OQTF peut tuer des Français et rester libre sur le territoire national.
Il est plus que temps d’éviter de futurs drames en organisant une politique de remigration, tout comme il est temps que les juges rouges rendent des comptes, car ils ont du sang d’innocents jusqu’au coude.
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mardi, 04 juin 2024
Loi sur la fin de vie ou l’idéologie de la culture de mort
Bernard Antony
Avant le vote par le Parlement de la loi dite « d’accompagnement des personnes en fin de vie », vingt-trois associations principales de soignants – infirmiers, psychologues, médecins – ont lancé en début de semaine un cri d’alarme.
Elles dénoncent la « rupture profonde » du texte proposé avec les réalités qu’elles expérimentent quotidiennement, mais aussi « le grand décalage avec les promesses faites ces derniers mois ». Elles constatent que le projet adopté par la commission spéciale « est un modèle dont l’objectif, assumé par les votants, est la possibilité d’accéder à la mort provoquée assistée par des soignants, dans les situations médicales les plus larges, y compris celles qui laissent espérer plusieurs années de vie ».
Elles déplorent que le fait de donner la mort devienne « un soin », que « ce projet de loi constitue une incitation implicite à demander la mort pour les personnes âgées, vulnérables précaires, isolées, celles-là mêmes que la loi est supposée protéger ».
On lit encore : « On nous garantissait une procédure encadrée. Nous découvrions que celle-ci sera expéditive »…
On parlait d’un « modèle français ». Et l’appel des soignants d’observer que « la seule exception française se situe dans la coercition qu’imposerait ce texte : aux pharmaciens, aux établissements sanitaires et aux établissements médico-sociaux qui seraient « tenus » d’organiser la procédure mortelle en leurs murs ; à l’ensemble des soignants enfin… dont l’engagement sera menacé par un délit d’entrave ».
Oui, d’entrave au suicide ! D’entrave à la mort !
Comme on le voit, l’ensemble des soignants a parfaitement compris que le projet de loi sur la fin de vie n’est qu’un texte hypocrite de la culture de mort.
Tel que cela est déjà pratiqué dans les sociétés les plus déshumanisées. Comme en Belgique. Les sociétés où progresse l’abomination du mépris de l’humain, la réalité du racisme antihumain.
Le grand rabbin Haïm Korsia a parfaitement résumé cette moderne irruption de l’inhumain en deux phrases lapidaires : « On maquille un geste de mort donné par un proche en bienfait… J’en suis atterré ! ». Et d’annoncer : « Celui qui me soigne pourrait un jour me tuer ».
Ainsi va la dictature de l’idéologie mortifère grand-orientée maçonnico-macro-néronienne.
Source L'AGRIF cliquez ici
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dimanche, 28 avril 2024
Voilà où mène la gestion macronienne de la France : des milliers d'entreprises comme celle-ci au bord du gouffre !
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lundi, 22 avril 2024
Même la Vendée n'y échappe plus...
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mercredi, 03 avril 2024
Des nouvelles de Jean-Marie Le Pen
Thomas Joly, président du Parti de la France
Les médias relayent avec gourmandise depuis ce matin le placement sous « régime de protection juridique » de Jean-Marie Le Pen. Rappelons qu'il ne s'agit pas d'une tutelle - il conserve tous ses droits - et que cette mesure est effective depuis mi-février. L'objectif est de protéger ses intérêts comme cela se fait pour beaucoup de personnes de son âge vénérable.
Le Président-fondateur du Front national n'en reste pas moins lucide et un observateur avisé de l'actualité politique, contrairement à ce que pourraient espérer ses détracteurs.
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vendredi, 23 février 2024
J'étais à la manif pour Assange...
Thierry DeCruzy
Assange cliquez ici, qui défend la liberté d'expression ?
Le rassemblement organisé mardi 20 février à Paris pour la libération de Juilian Assange n’a pas réuni les foules. À peine plus de 200 personnes s’étaient déplacées place de la République pour défendre la liberté d’expression, le sujet n’est manifestement pas mobilisateur. Signe que les organisateurs s’étaient contentés du strict minimum, ils avaient seulement apporté un petit mégaphone cacochyme qui peinait à faire entendre les orateurs.
Mélanchon est donc passé en coup de vent sans prendre la parole, assistance trop dégarnie, et puis la liberté d’expression et LFI… Il s’est même fait traiter d’antisémite par une manifestante qui n’avait pas dû remarquer les drapeaux palestiniens dans l’assistance.
Plus amusant, si l’on peut dire, la présence des militants du Parti communiste avec leurs drapeaux. Eux aussi, grands combattants pour la liberté d’expression et de « fraternité humaine », comme l’a rappelé notre Président. Quand la liberté d’expression est défendue par ce genre d’individus, la question est réglée.
D’autant plus, que c’était la seule manifestation organisée à Paris et donc que les dissidents et les nationaux étaient aux abonnés absents. Avec les interdictions, les arrestations, les condamnations et les censures qui se sont aggravées ces derniers mois, les motifs ne manquaient pourtant pas.
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mardi, 20 février 2024
Les Bobards d'or sont maintenus... ailleurs !
Face aux pressions et aux intimidations, Polémia résiste et maintient la XVe cérémonie des Bobards d’Or !
Les Bobards d’Or auront bien lieu, malgré le refus du théâtre du gymnase Marie Bell de nous accueillir suite aux pressions d’Alexandra Cordebard, la maire PS du 10ème arrondissement.
Polémia a trouvé un nouveau lieu. Retrouvez-nous le mardi 5 mars à 19h30 dans Paris. Le nom et l’adresse de la salle seront communiqués en temps utile. Attention places limitées, n’attendez plus pour vous inscrire.
Face au cadenassage de la pensée et aux maîtres censeurs, défendez le rire libérateur et soutenez Polémia.
Billetterie : cliquez ici
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mercredi, 31 janvier 2024
Pour information : les députés RN qui ont voté la constitutionnalisation de l'avortement
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samedi, 16 décembre 2023
Vendée : Honte à la Sardinerie Gendreau, complice de l’invasion migratoire
Éric Mauvoisin-Delavaud
Président du Rassemblement Vendéen
Alors que la loi immigration est actuellement débattue à l’Assemblée nationale, La Sardinerie Gendreau de Saint-Gilles-Croix-de-Vie prend les devants…
En Vendée, face à “la pénurie” de main-d’oeuvre rencontrée par certains secteurs et particulièrement l’agro-alimentaire, l’article 3 du projet de loi crée une carte de séjour “travail dans des métiers en tension” d’une durée d’un an.
La conserverie de sardines Gendreau de Saint-Gilles-Croix-de-Vie s’en frotte les mains et a largement devancée le processus en organisant des convois de migrants pour alimenter en main-d’oeuvre son usine. Sauf que tout ceci est un tour de passe-passe. En effet, cette main-d’œuvre corvéable à merci coûte très cher aux contribuables mais pas aux patrons indélicats qui en profitent allègrement avec nos deniers (subventions aux associations qui organisent les flux, AME, RSA, allocation logement, aide sociale… et les 50 000 euros par jeune migrant arrivée en Vendée).
Ces employeurs devraient mettre la même énergie à une politique salariale novatrice et reconnaissante, et respectueuse des salariés vendéens (salaires plus élevés, horaires et amplitudes de travail en accord avec la vie familiale, etc.).
En attendant, ceci provoque un appel d’air migratoire dans notre département à cause de ce genre d’initiative que le Rassemblement Vendéen condamne avec la plus grande fermeté.
Alors que 80 % des Français souhaitent un arrêt total de ce processus destructeur, l’entreprise Gendreau fait une erreur commerciale majeure… les Vendéens apprécieront… Pour ma part je ne souhaite pas collaborer à ce projet immigrationniste funeste pour la Vendée.
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dimanche, 12 novembre 2023
QUE DIRE DE PLUS ?
Des décennies durant, l’oligarchie dominante a encouragé l’immigration massive.
Aujourd’hui, la France en subit les conséquences, et, toute honte bue, les pyromanes découvrent que le feu peut brûler…
Pourtant, pendant tout ce temps, la Droite nationale n’a jamais cessé de sonner le tocsin comme le rappelle le hors-série n°7 de notre revue Synthèse nationale, à lire et à diffuser largement !
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jeudi, 19 octobre 2023
Allo Darmanin, la dissolution de la Jeune Garde, ça vient ?
Richard Roudier
Raphaël Arnaud, responsable des Antifas de la Jeune Garde, a encore sévi en proférant des menaces de mort à l’encontre de la présidente du collectif féministe ("de droite" - NDLR) Némesis, Alice Cordier.
Ces menaces ont eu lieu lors de l’hommage au professeur Dominique Bernard, assassiné par un terroriste à Arras, qui se déroulait à Lyon, bastion de la Jeune Garde.
Ce groupuscule se revendiquant « antifasciste » est reconnu comme exerçant régulièrement des violences envers toute personne désignée selon ses critères comme « fasciste », terme fourre-tout bien pratique pour désigner tout ce qui n’est pas d’extrême-gauche…
Pour couvrir ses agissements, le groupe Jeune Garde bénéficie de soutiens très appuyés du parti La France Insoumise et notamment de son responsable Jean-Luc Mélenchon qui leur fournit un bagage idéologique ainsi que du député Carlos Bilongo qui assure leurs cours de boxe. Raphaël Arnaud a d’ailleurs été invité à s’exprimer par LFI en commission à l’Assemblée nationale.
Outre ce soutien, la Jeune Garde bénéficie d’une mansuétude certaine de la part de la Justice… Régime de faveur qui ne cesse d’étonner si on le compare à l’acharnement que subissent les militants patriotes.
Soulignons que Raphaël Arnaud a été aperçu à plusieurs reprises à Montpellier où il s’en est personnellement pris à un sympathisant identitaire près de la Poste Rondelet. À 4 contre 1 bien évidemment…
Les menaces de « mettre une balle dans la tête » à Alice Cordier doivent signer le dernier agissement de ce sinistre individu.
C’est pourquoi nous demandons des poursuites contre Raphaël Arnaud ainsi que contre tous les autres militants de la Jeune Garde qui se sont rendus coupables de violences.
Nous exigeons également, puisque Gérald Darmanin en a pris l’habitude, la dissolution du groupe la Jeune Garde dans les plus brefs délais.
Riposte laïque cliquez ici
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lundi, 02 octobre 2023
LA STATUE DE SAINT-MICHEL RESTERA AUX SABLES D'OLONNE
La secte Libre pensée locale a tout tenté pour faire déboulonner la statue de Saint Michel qui rayonne devant l'église Saint Michel aux Sables d'Olonne. Mais la détermination de la municipalité, de la paroisse et des associations patriotiques a évité que ce sacrilège se produise. La statue restera sur la place et, samedi dernier, elle a été bénie par Mgr l'évêque de Luçon.
S N
Voici la déclaration faite à cette occasion par Yannick Moreau, maire des Sables d'Olonne :
« Aux Sables d'Olonne, on ne laisse pas déboulonner nos statues, notre culture et notre art de vivre. La Ville et la paroisse ont trouvé une solution pour que la volonté des Sablais soit respectée : la statue de Saint-Michel restera sur sa place, devant l'église, en toute légalité.
- La France de 2023 déboulonne ses statues
Une poignée de laïcistes radicaux a traîné notre Ville devant les tribunaux, et obtenu que l’on déboulonne l’emblème du quartier Saint-Michel, une modeste statue de Saint-Michel, installée devant l’église du même nom.
À l’heure où les violences et les zones de non-droit prospèrent, nos tribunaux avaient probablement mieux à faire… mais c’est ainsi : la tempête de la "cancel culture" a frappé Les Sables d’Olonne.
En tant qu’élu engagé, je reste sidéré. Cela me paraissait impossible, lointain, aberrant.
Et pourtant, cette idéologie destructrice est bel et bien en marche jusque dans nos provinces et petites patries charnelles.
- Un combat nécessaire pour défendre notre patrimoine
Jusqu’au bout, l’équipe municipale aura défendu cette œuvre si discrète, ce patrimoine historique auquel les Sablais sont attachés. Ils étaient 94% lors de la votation 2022 à vouloir que cette statue demeure devant l’église Saint Michel.
Il était nécessaire d’aller au terme de la bataille juridique, de défendre nos convictions, de ne pas céder sans avoir employé tous les recours possibles pour faire valoir nos arguments.
Je suis fier d’avoir mené ce combat, au nom des Sablais, au nom des Vendéens et au nom de la majorité silencieuse qui n’en peut plus de voir son pays se résigner ou s’auto-flageller.
En tant que maire, je me dois de respecter la décision du Conseil d’Etat, plus haute juridiction administrative française, mais la volonté et le vote des Sablais seront respectés.
Avec la paroisse nous avons trouvé une solution pour qu’elle reste en toute légalité devant l’église Saint-Michel sur cet espace désormais privé.
- Une solution « à la Sablaise » pour que Saint-Michel reste devant son église.
Il y a plusieurs mois, la Ville a vendu au diocèse de Luçon une bande de terre longeant l’église afin de permettre la mise aux normes d’une rampe d’accès pour les personnes à mobilité réduite.
Sur cet espace désormais privé, le Père Antoine Nouwavi, Curé-Doyen de la paroisse Sainte Marie des Sables d'Olonne, propose qu’un petit emplacement, non utilisé pour la construction de la rampe, puisse accueillir la statue Saint Michel. La paroisse propose également de prendre en charge l’ensemble des travaux.
Je remercie le Père Antoine et les paroissiens pour cette offre qui permet de se conformer et à l'arrêt du Conseil d'Etat, et à la volonté des Sablais.
Les travaux auront lieu dès ce mois de septembre.
- Les attaques contre le Saint-Michel sablais nous encouragent à affirmer, cultiver et transmettre nos filiations affectives
Alors, certes, les ayatollahs de la laïcité auront fait reculer notre statue de quelques mètres, mais ils auront fait avancer notre volonté de défendre notre culture et notre art de vivre.
Oui la République est laïque, mais la France, elle, est chrétienne. Notre Nation, nos villages, nos quartiers, nos prénoms sont de culture chrétienne. C'est ainsi... C'est une réalité objective que certains irréductibles laïcards aimeraient annuler, effacer. Et pourtant, depuis le baptême de Clovis il y a 1500 ans c'est une réalité qui est constitutive de ce que nous sommes nous les Sablais, Vendéens, Français.
Face à ceux qui détruisent et déboulonnent, nous continuerons à bâtir sans relâche, à maintenir vivants les liens qui nous unissent, à célébrer notre culture et notre liberté.
Nous continuerons, à danser sur Les Lacs du Connemara au bal des pompiers, à admirer le feu d’artifice du 14 juillet en famille, à décorer nos sapins à Noël, à fêter Pâques, à boire une bonne bière d’abbaye les pieds dans le sable… Oui les cloches sonneront encore demain aux Sables d’Olonne.
Ce n’est pas être rétrograde que d’aimer et cultiver nos traditions, c’est perpétuer et transmettre aux générations futures l'art de vivre à la française.
Vive Saint-Michel ! Vive les Saint-Michel de Vendée et de France ! »
Yannick Moreau,
Maire des Sables d’Olonne
Source cliquez ici
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vendredi, 01 septembre 2023
"Affaire" du film scolaire sur Marti Luther King
La réaction de Thomas Joly,
président du Parti de la France :
Derrière ce déferlement de haine contre des élèves blancs qui pensaient pourtant (ainsi que leurs profs) avoir coché toutes les cases du politiquement correct en rendant hommage à l'icône Martin Luther King, il y a quelque chose de grave. On ne se contente plus de demander des efforts aux Français de souche (tout en disant qu'ils n'en font jamais assez) : on veut qu'ils disparaissent. Tout simplement. De la diversité jusqu'à ce qu'il n'y en ait plus.
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dimanche, 06 août 2023
La fiction et la réalité...
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lundi, 03 juillet 2023
IL N'Y A PAS PIRES SOURDS QUE CEUX QUI NE VEULENT PAS ENTENDRE
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vendredi, 30 juin 2023
Une fois n'est pas coutume, paraphrasons Churchill...
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jeudi, 02 février 2023
Et, n'oubliez pas, ce soir c'est la Chandeleur...
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vendredi, 25 novembre 2022
L'avortement "constitutionnalisé" ...
L'époque où le Front national et Jean-Marie Le Pen manifestaient contre l'avortement...
Pour information, si vous désirez consulter la liste des députés RN qui ont voté "pour" et ceux qui ont voté "contre" cliquez ici
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mercredi, 19 octobre 2022
Partout en France, les rassemblements pour Lola se multiplient
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mardi, 04 octobre 2022
Revue de presse : Législative partielle dans les Yvelines : à Versailles, Reconquête monte en force
Laurence Trochu, candidate de Reconquête !
Julie Ménard Le Parisien cliquez ici
Le parti d’Éric Zemmour a gagné trois points ce dimanche par rapport au premier tour de l’élection de juin sur l’ensemble de la circonscription. Il s’est même placé en deuxième position dans la cité royale, devant la Nupes, les LR et le RN.
La tendance se vérifie. Reconquête dispose bien d’un noyau dur à Versailles. À l’issue de ce premier tour de l’élection législative partielle sur la 2e circonscription des Yvelines, le parti d’extrême droite renforce ses acquis. Avec un score global de 11,07 %, la candidate Laurence Trochu se place en quatrième position du scrutin. Mais dans la cité royale, elle obtient 737 voix et se positionne comme principale opposante du ministre député sortant, Jean-Noël Barrot (MoDem), qui enregistre 1 371 bulletins en sa faveur.
« Ça montre que Reconquête est capable de mobiliser encore, commente Laurence Trochu. C’est la droite que veulent les Versaillais, c’est très clair. » Candidate sur la 1re circonscription en juin, elle a finalement repris la... 2e à la place de son homologue Céline Jullié « qui ne pouvait pas mener cette campagne au pied levé en septembre, pour des raisons familiales ».
Et malgré un taux d’abstention qui a atteint 73,33 % ce dimanche, les soutiens de son camp étaient bien présents aux urnes. « C’est l’électorat de Reconquête qui s’est le plus mobilisé, on a une base militante très solide à Versailles », analyse Laurence Trochu.
La Présidente du mouvement conservateur Sens Commun, conseillère départementale et conseillère municipale de Guyancourt, avait reçu le soutien de Marion Maréchal et d’Éric Zemmour, qui s’est déplacé dans un café versaillais la semaine dernière.
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jeudi, 18 août 2022
LA FOLIE WOKE A ENCORE FRAPPÉ
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jeudi, 11 août 2022
Alerte INTOX !
Depuis quelques jours, vous voyez peut-être passer des gros titres dans les médias, affirmant que "les Français sont favorables à l'abaissement de la vitesse à 110 km/h sur autoroute".
Sauf qu'il s'agit d'une grossière manipulation sondagière orchestrée par un lobby écologiste…
…avec la bénédiction du gouvernement qui n'attend que ça pour dégainer son projet aberrant d'abaissement de la vitesse sur autoroute.
La manipulation, la voici :
* étape 1 : un lobby écologiste (Agir pour l'environnement) commande un sondage à l'institut Ifop sur "la réduction de la vitesse à 110 km/h sur autoroute". Cahier des charges : la réponse doit permettre d'interpréter les résultats comme un acquiescement à l'abaissement de la limitation à 110.
* étape 2 : l'institut de sondage pose une question bien travaillée pour déboucher à coup sûr sur une majorité de "oui".
Evidemment, ils se sont bien gardés de poser la vraie question : êtes-vous favorable à une baisse de la limitation de vitesse à 110 sur autoroute ?
La question, la voici dans son intégralité : "Vous personnellement, seriez-vous prêt à réduire votre vitesse sur l'autoroute à 110 km/h, spécifiquement dans le but de réaliser des économies de carburant ?"
Bien sûr que nous sommes tous prêts, ponctuellement, à baisser notre vitesse quand nous voulons "spécifiquement" faire attention au carburant. Tout comme nous baissons le chauffage ou éteignons la lumière à la maison.
29 % des participants ont répondu un oui franc : "oui, tout à fait". Et en ajoutant ceux qui sont plus indécis ("oui, plutôt"), on obtient 63 % de oui.
Cela ne veut absolument pas dire les personnes interrogées sont favorables à un abaissement obligatoire de la vitesse à 110 km/h sur autoroute !
* étape 3 : la présentation fallacieuse des résultats.
Le lobby écologiste et l'institut de sondage ont bombardé la presse de cette fausse info : "La réduction de 20 km/h sur autoroute est une des mesures qui permettrait de tendre vers cette sobriété et les Français y sont globalement favorables".
Ça y est. Le cap est franchi. Ils parlent d'une "mesure", c'est-à-dire d'une décision politique.
Et voilà comment on obtient, depuis une semaine, des journaux titrant sur "les Français majoritairement favorables à l'abaissement de la vitesse sur autoroute".
De quoi ouvrir un boulevard à nos dirigeants qui essaient de nous imposer l'abaissement de la vitesse sur autoroute depuis des années !
Aujourd'hui, la seule manière de contrer cette manipulation, c'est de la faire connaître au plus grand nombre !
SIGNEZ LA PÉTITION CLIQUEZ ICI
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vendredi, 01 juillet 2022
Le coeur et la raison...
12:18 Publié dans Informations nationales | Lien permanent | Commentaires (0) | | Facebook | |
lundi, 27 juin 2022
Suite aux insinuations douteuses émanant de Marine Le Pen dont il est la victime, Tristan Mordrelle réagit
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vendredi, 13 mai 2022
Eric Zemmour relaxé en appel après ses propos sur le maréchal Pétain
Valeurs actuelles cliquez ici
Une nouvelle fois, Eric Zemmour a remporté son procès pour « contestation de crime contre l’humanité ». En décembre dernier, le parquet de Paris avait requis une amende de 10 000 euros contre l’ancien chroniqueur qui avait soutenu, en octobre 2019 sur CNews, que le Maréchal Pétain avait « sauvé » les Juifs français. Relaxé en première instance, l’ex-candidat à la présidentielle avait vu le parquet faire appel de la décision.
Plusieurs associations face à Eric Zemmour
Les propos du candidat aux législatives dans le Var avaient été prononcés le 21 octobre 2019 lors d’un débat avec Bernard Henri-Levy. « Un jour, dans une autre émission, vous avez osé dire que Pétain avait sauvé les Juifs français. C’est une monstruosité, c’est du révisionnisme », s’était emporté le philosophe. « C’est encore une fois le réel, je suis désolé », avait répondu l’écrivain.
Faisant face à plusieurs associations (Mrap, Licra, SOS Racisme…) qui s’étaient constituées parties civiles, Eric Zemmour avait persisté dans ses propos évoquant un débat qui doit être tranché par des historiens. « Je tiens à répéter ce que j’ai dit, les chiffres parlent d’eux-mêmes : en France, 40 % des Juifs étrangers qui ont été exterminés et 90 % des Juifs français qui ont survécu », avait-il affirmé. Avant de conclure : « J’admets que l’on puisse contester ce que je dis mais je ne vois pas en quoi ce que je dis conteste que des Juifs aient été exterminés par des Allemands. »
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jeudi, 21 avril 2022
Jacques Perrin est décédé
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jeudi, 31 mars 2022
SAMEDI DERNIER À PARIS : IMPOSANT DÉFILÉ PATRIOTIQUE À L'INITIATIVE DE L'ASSOCIATION "PLACE D'ARMES"
Présidée par Jean-Pierre Fabre Bernadac, un officier de gendarmerie à l'idéal patriotique bien encré, l'association Place d'armes est constituée d’anciens militaires, de membres de leurs familles et de soutiens civils, tous bien décidés à faire vivre les valeurs de l’Institution et à les diffuser au cœur de la société en développant un lien armée-nation.
Autrement dit Place d’armes poursuit deux objectifs :
• Créer une fraternité d’arme d’entraide et de camaraderie ;
• Peser de tout son poids pour que les valeurs inculquées par l’Armée : honneur, patrie et fidélité, soient à même de nous fédérer, au-delà des clivages politiques, pour préserver notre nation.
C'est dans cet esprit que samedi dernier elle organisait à Paris sa Marche de la fierté française à laquelle participèrent plusieurs milliers de Français attachés à leur nation et à leur civilisation. Un premier succès pour Place d'armes...
Lire le site cliquez ici
Le président Fabre Bernadac interrogé par la presse qui restera cependant fort discrète par rapport à cet événement.
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