mercredi, 12 mars 2025
Claude Malhuret : le pseudo-coup d'éclat d’un sénateur fossile
Thomas Joly, président du Parti de la France
Claude Malhuret, ce vieux fossile centriste, connait semble-t-il son quart d'heure de gloire. Le gars a le charisme d’une huître morte et la prestance d’un Gollum sous antidépresseurs, mais parce qu’il enfile laborieusement trois métaphores éculées sur Trump et Elon Musk, les médias français s’extasient comme s’il venait de réinventer la philosophie politique.
Son grand moment de bravoure ? Comparer Trump à Néron. Wow. L’originalité à son paroxysme. À ce niveau-là, autant dire que Macron est Louis XV, Hidalgo la Pompadour et lui-même Ramsès II, vu son âge canonique. Et puis cette phrase mythique sur Musk, « bouffon sous kétamine »… De la punchline de haut vol pour un type qui doit probablement se shooter au Guronsan pour ne pas s’endormir en plein discours.
Et bien sûr, les gauchistes américains en rut se ruent sur son allocution comme des groupies sur un concert des Spice Girls en 1998. Ils pensent qu’ils ont découvert un Voltaire 2.0, alors qu’en réalité, c’est juste un vieux débris sénatorial qui récite son catéchisme progressiste avec l’énergie d’une tortue asthmatique.
Une fois de plus, la France se ridiculise en exposant sur la scène internationale un papy hors-sol, qui croit encore qu’en tapant sur Trump et Musk, il va impressionner autre chose que la rédaction de Libé et quelques boomers centristes en PLS devant le monde moderne. Pathétique.
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mardi, 11 mars 2025
Gouverner par la peur : la nouvelle arme des élites
Thomas Joly, président du Parti de la France
Il y a quelque chose de fascinant – et d’effrayant – dans l’aptitude de nos élites à se précipiter avec une ferveur quasi religieuse dans les pires mensonges d’État. Comme hier avec le Covid, aujourd’hui avec la Russie, quiconque ose émettre le moindre doute sur la réalité de la menace est immédiatement taxé de fou, de traître, voire d’agent infiltré du Kremlin. La mécanique est toujours la même : on martèle un récit simpliste, on le répète ad nauseam sur toutes les ondes et on diabolise ceux qui osent le contester.
Emmanuel Macron, grand maître de la manipulation et du double langage, s’est mué en chef de guerre, évoquant sans trembler une possible confrontation avec Moscou. De quoi faire sourire si ce n’était pas si tragique. Qui peut croire un seul instant que la Russie, qui peine déjà à stabiliser ses positions en Ukraine, ait la moindre intention de fondre sur Paris et de faire défiler ses chars sur les Champs-Élysées ? Qui peut prendre au sérieux ces clowns en costume-cravate, ces adeptes du mondialisme sans frontières, qui se découvrent soudain une fibre patriotique à géométrie variable ?
Et pourtant, ils osent. Ils osent donner des leçons de courage et de fermeté à la droite nationale, à ceux qui, depuis toujours, défendent l’identité et la souveraineté de notre Nation. Les macronistes, ces chantres de la dissolution de la France dans le grand magma européiste, se parent des atours du patriotisme et accusent ceux qui refusent de céder à l’hystérie collective d’être les ennemis de la République. Le grotesque atteint des sommets quand on voit certains jeunes cadres de Renaissance – à la virilité plus que douteuse – jouer aux stratèges militaires et exiger une fermeté inébranlable face à Moscou.
Pire encore, même le Rassemblement National, censé incarner une alternative au système, se laisse piéger par cette fable ridicule. Par crainte de heurter une opinion publique abreuvée de propagande, Jordan Bardella reprend partiellement le discours ambiant sur une Russie avide de conquête, au lieu d’appeler à la raison et au pragmatisme. L’Histoire se répète : face au rouleau compresseur médiatique, la fausse droite plie, renonce et abdique.
Et que dire du rôle des médias ? Ces prétendus contre-pouvoirs sont devenus de simples chambres d’écho des ordres du pouvoir. Pas une once de nuance, pas le moindre débat, pas une seule voix discordante autorisée à remettre en cause la doxa officielle. On nous sert des éditorialistes tremblants, des « experts » de pacotille, des généraux de plateau télé qui expliquent doctement que la France doit se préparer à l’affrontement, comme si nous avions encore une armée digne de ce nom après des décennies de désarmement méthodique. Et malheureusement, comme toujours, une partie du peuple – en particulier les plus âgés – tombe dans le panneau. Aveuglés par la peur, hypnotisés par la propagande, ils se laissent convaincre qu’une guerre avec la Russie est inévitable et qu’il faut s’aligner sans réserve sur les injonctions des pathétiques gouvernements d'Europe de l'Ouest et de la Commission européenne.
Le Parti de la France refuse de souscrire à cette folie. Non, la Russie n’a aucune intention d’envahir l’Europe et encore moins la France. Non, Donald Trump n’est ni un fou ni un ennemi, mais un partenaire potentiel à la tête de la première puissance mondiale. Il ne s’agit pas de se soumettre ni à Moscou ni à Washington, mais de toujours agir en fonction d’un seul critère : les intérêts de la France et des Français. Contre cette propagande belliciste, contre cette manipulation éhontée, nous affirmons haut et fort notre refus de céder à l’idéologie mondialiste qui veut nous entraîner dans un conflit qui n’est pas le nôtre.
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samedi, 08 mars 2025
8 mars, une journée de trop ?
Thomas Joly, président du Parti de la France
Chaque 8 mars, une étrange cérémonie se répète : la Journée internationale des droits des femmes. Une journée qui, à bien y regarder, relève d’une absurdité presque insultante. Pourquoi faudrait-il un jour spécifique pour honorer la moitié de l’Humanité, comme si être une femme était une anomalie, une catégorie à part qu’il faudrait encourager ou protéger ? C’est là une condescendance insupportable. Aimer les femmes, c’est d’abord les considérer comme une évidence, et non comme une cause politique.
Mais les féministes, ces insatiables militantes du chaos social, ne célèbrent pas cette journée pour les bonnes raisons. Leur combat n’a rien à voir avec la mise en valeur de la féminité ; il s’agit au contraire d’un rejet de tout ce qui fait l’essence même de la femme. Elles revendiquent l’avortement de masse comme une victoire, brandissent le divorce comme une libération, glorifient l’asservissement des femmes au marché du travail au détriment de leur rôle familial. Elles prônent la déconstruction des identités sexuelles, encouragent une misandrie latente et ringardisent le modèle familial traditionnel qui a pourtant bâti notre civilisation. Pire encore, elles se rendent coupables d’un silence complice face aux véritables menaces pesant sur les femmes françaises : l’explosion des violences liées à l’immigration afro-musulmane. Là où le féminisme devrait défendre celles qui sont les premières victimes de cette insécurité grandissante, il détourne le regard, préférant accuser le patriarcat occidental, coupable commode et imaginaire.
Le féminisme moderne n’aspire qu’à une chose : transformer la femme en un homme comme les autres. Il faut qu’elle travaille, qu’elle boive, qu’elle séduise et qu’elle consomme comme un homme. Mais les femmes n’ont pas vocation à singer les hommes. Elles ne seront jamais leur reflet, et c’est tant mieux. Leur grandeur ne réside pas dans une imitation servile de la virilité, mais dans ce qu’elles sont intrinsèquement : la beauté, la douceur, l’élégance, l’équilibre du foyer, la force tranquille de la transmission. Ce ne sont pas des rôles imposés mais des qualités naturelles que la société devrait exalter au lieu de les nier.
Car c’est bien là que réside la vérité : la femme est un trésor. Elle est le complément parfait de l’homme, son alliée, son inspiration. Elle accomplit l’acte le plus noble qui soit : elle donne la vie. Aucun progrès technologique, aucune idéologie ne pourra jamais remplacer l’amour d’une mère, cet amour originel qui fonde les sociétés et façonne les civilisations. Voilà ce qu’il faut célébrer. Non pas une énième revendication politique mais un hommage sincère à celles qui, par leur présence et leur rôle unique, donnent un sens au monde.
En ce 8 mars, au lieu de se perdre dans des luttes stériles et destructrices, il est temps de se souvenir que la véritable grandeur féminine ne réside pas dans l’affrontement, mais dans l’harmonie.
Pour le blog de Thomas Joly, cliquez ici
Note : Marilena Grill a 16 ans en juillet 1944 quand elle se porte volontaire pour le service auxiliaire féminin de la République sociale italienne (RSI). Elle est affectée au bureau qui s'occupe de rechercher les soldats turinois disparus sur les différents fronts. Le 28 avril 1945, elle est enlevée chez ses parents par quatre partisans et après cinq jours de détention arbitraire, elle est assassinée d'une balle dans la tête. Elle n'avait pas encore 17 ans. Un crime de plus au (lourd, très lourd) passif des rouges... Communistes, assassins !
Le gouvernement de Giorgia Meloni vient de lui rendre hommage par l'émission du timbre que nous reproduisons en tête de cet article du président du Parti de la France. Une leçon de courage, de mémoire et de fidélité de la part de nos amis et camarades italiens que nos dirigeants hors sol feraient bien de méditer !
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vendredi, 07 mars 2025
Le petit théâtre de la peur
18:00 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |
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jeudi, 06 mars 2025
Macron : l'insignifiant aux yeux de l'Histoire.
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lundi, 03 mars 2025
L’épouvantail de l’expansion russe : un fantasme occidental
Thomas Joly, président du Parti de la France
Depuis trois ans, les chancelleries occidentales et leurs médias aux ordres répètent inlassablement le même mantra : si la Russie n’est pas arrêtée en Ukraine, elle envahira l’Europe. Ce narratif, digne d’une propagande de guerre, n’a qu’un objectif : justifier la poursuite d’un conflit absurde qui ravage l’Ukraine et angoisser les peuples européens. Pourtant, un examen sérieux des faits et de l’Histoire démontre que cette thèse relève du fantasme pur et simple.
Une puissance régionale, pas un empire expansionniste
L’argument selon lequel la Russie ambitionnerait d’envahir l’Europe repose sur une ignorance crasse de la réalité stratégique. La Russie n’est pas l’Union soviétique. Son PIB est celui de l’Espagne, son armée est loin d’être la machine de guerre invincible qu’on nous décrit, et son économie repose principalement sur les exportations de matières premières. À quel moment une telle puissance aurait-elle les moyens – et l’intérêt – de partir à la conquête de l’Europe ?
Même en Ukraine, la Russie n’a pas mené une guerre d’annexion totale. Ses objectifs ont toujours été limités : sécuriser le Donbass russophone et garantir que l’Ukraine ne devienne pas un avant-poste de l’OTAN. Loin d’une marche triomphale vers l’Atlantique, la guerre a démontré que l’armée russe rencontre déjà des difficultés face à une Ukraine surarmée par l’Occident. Imaginer qu’elle puisse se lancer dans une conquête de Varsovie, Berlin ou Paris relève du délire.
Un prétexte pour prolonger la guerre
L’idée d’une Russie impérialiste avide de conquête était avant tout un outil de propagande destiné à maintenir l’Europe sous tutelle américaine. Depuis 2022, les États-Unis - sous l'administration Biden - et leurs alliés ne cessent d’alimenter l’Ukraine en armes, au prix d’une escalade permanente. Plutôt que de favoriser la paix, ils ont attisé le conflit en prétendant qu’il s’agissait d’un combat existentiel contre un nouvel Hitler.
Or, qui veut réellement la paix aujourd’hui ? Les peuples européens, qui subissent de plein fouet les conséquences économiques de cette guerre. Les Ukrainiens, sacrifiés sur l’autel d’une stratégie qui ne vise qu’à affaiblir Moscou. Donald Trump qui a fait de la paix en Ukraine l'un de ses axes de campagne. Et même les Russes, qui n’ont aucun intérêt à voir ce conflit s’enliser indéfiniment.
La peur comme instrument de domination
Le discours sur une menace russe imminente n’est qu’un énième moyen de soumettre les opinions publiques européennes. Depuis des décennies, nos dirigeants ont recours à la peur pour justifier leurs politiques de contrôle de la population : après la crise sanitaire, voici venu le spectre de l’invasion russe. L’objectif est clair : maintenir les peuples sous pression et légitimer des dépenses extravagantes au profit d'un régime ukrainien ultra-corrompu et au détriment des priorités nationales.
La vérité, c’est que la Russie ne veut pas conquérir l’Europe. Elle veut simplement que l’Occident cesse d’étendre son influence à ses portes. La solution à ce conflit ne viendra pas des va-t-en-guerre de Bruxelles ni d'ailleurs, mais d’un retour à la diplomatie et au réalisme. Plus tôt nous comprendrons cela, plus tôt nous pourrons mettre fin à cette tragédie absurde.
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dimanche, 02 mars 2025
Les César 2025 : la grande messe du wokisme
Thomas Joly, président du Parti de la France
Comme chaque année, la cérémonie des César s’est transformée en tribunal de la bien-pensance et en grand-messe du progressisme. Oubliés le talent, l’exigence, l’excellence artistique ! Place aux quotas, aux cases à cocher et aux bons sentiments dégoulinants.
Le triomphe d’Emilia Perez, un film centré sur un transsexuel, n’a rien d’un hasard : c’est un manifeste idéologique, un signal envoyé par l’industrie du cinéma qui ne jure plus que par la déconstruction de nos repères. Meilleur acteur et meilleure actrice ? Bien sûr, des représentants de la « diversité », parce que ce qui compte aujourd’hui, ce n’est plus la performance mais l’origine ethnique. Quant au prix de la révélation masculine, il ne pouvait évidemment revenir qu’à un migrant africain. Peu importe qu’il soit le meilleur ou non : il incarne le narratif que l’on veut nous imposer.
Et que dire de Catherine Deneuve, monument en ruine du cinéma français, réduite à livrer l’hommage attendu à l’Ukraine, comme pour rappeler que même dans la culture, il est interdit de dévier de la ligne atlantiste ?
Les César ne sont plus une célébration du cinéma français mais une farce militante, un concours de vertu où l’on récompense moins les films que leur conformité aux dogmes du moment. Affligeant.
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samedi, 01 mars 2025
Zelensky, la fuite en avant d’un fou inconséquent
Thomas Joly, président du Parti de la France
L’Histoire jugera. L’instant était solennel, l’heure grave. Et pourtant, ce vendredi 28 février, Volodymyr Zelensky, sous les ors de la Maison-Blanche, s’est offert le luxe inouï de cracher dans la main qui le nourrit. Il n’est plus à une outrance près, cet histrion qui joue au chef de guerre comme d’autres jouent les matamores. Devant un Donald Trump patiemment revenu aux affaires et sincèrement désireux de trouver une issue au bourbier ukrainien, le président de Kiev a fait preuve d’une arrogance aussi déplacée qu’insensée.
Au lieu de saisir cette occasion historique, Zelensky a cru bon de s’ériger en donneur de leçons, lançant des piques méprisantes à son hôte, refusant tout compromis, affectant l’attitude du chef intraitable alors même que son pays ne tient que par la perfusion américaine. On aurait cru un roitelet sous amphétamines, habité par une excitation étrange, une nervosité suspecte. Aurait-il puisé son inspiration ailleurs que dans la raison d’État ? La question mérite d’être posée.
L’Ukraine, depuis deux ans, est devenue une épave errant dans les flots tumultueux d’une guerre qu’elle n’a plus les moyens de mener. Les milliards américains, distribués à jets continus sous l’ère Biden, ont maintenu sous respiration artificielle un régime gangrené par la corruption et l’influence étrangère. Trump, fidèle à son pragmatisme, veut mettre fin à cette mascarade et trouver une sortie de crise. Mais pour cela, encore faudrait-il que son interlocuteur soit un homme d’État et non un bouffon déguisé en stratège.
Naturellement, les gouvernements d’Europe occidentale – qui ont poussé à la guerre depuis trois ans – se sont empressés de voler au secours du comédien en chef. Il faut dire qu’en matière d’inversion accusatoire, nos élites n’ont plus rien à apprendre. Zelensky l’arrogant devient une victime, Trump le pacificateur devient le coupable. L’Ukraine, elle, continue de s’enfoncer, et ses soldats meurent pendant que leur président parade sur les plateaux et insulte ses bienfaiteurs.
Il y a une vérité cruelle que les Ukrainiens devront bien finir par affronter : leur salut ne viendra ni de Washington ni de Bruxelles. Tant que leur pays restera entre les mains de ce clown en treillis, ils seront condamnés à une guerre sans fin, un enfer absurde entretenu par l’orgueil et la corruption. La Russie, elle, attend patiemment que l’épuisement fasse son œuvre.
L’Histoire jugera, oui. Et elle se souviendra que, lorsque l’heure était venue de faire la paix, Volodymyr Zelensky a préféré fanfaronner, quitte à précipiter la ruine de son propre peuple.
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mardi, 25 février 2025
La décarbonation : une lubie dogmatique qui sacrifie la France sur l'autel de l'idéologie
Thomas Joly, président du Parti de la France
La décarbonation est devenue le nouveau credo de la secte climatiste. Drapés dans leur vertueuse indignation, nos gouvernants et les technocrates de Bruxelles nous imposent un carcan réglementaire suicidaire, pendant que la Chine et l'Inde rient sous cape, brûlant chaque jour davantage de charbon et de pétrole pour alimenter leur expansion économique. Ce dogme absurde repose sur une vision partiale et biaisée du carbone, qui serait le mal absolu à combattre. Or, la science nous enseigne que le carbone est un élément fondamental à la vie sur Terre : il est le socle de la photosynthèse, le moteur de la croissance végétale et un régulateur climatique naturel depuis des millénaires.
La France, déjà l'un des pays les moins émetteurs de CO2 grâce à son parc nucléaire exemplaire, s'acharne pourtant à expier une faute imaginaire. Les fermetures de centrales à charbon, la fiscalité punitive sur l'essence et le gaz, les restrictions absurdes sur l'industrie automobile sont autant de boulets que nous nous imposons volontairement. Résultat ? Une destruction de notre industrie, une flambée des prix de l'énergie pour les ménages et une perte de compétitivité face à des nations moins scrupuleuses. Pendant ce temps, l'Allemagne, pourtant donneuse de leçons, relance son industrie charbonnière. Où est la logique ?
Mais cette folie n'est pas seulement écologique et économique : elle est aussi financière. L'arnaque du marché du carbone, avec ses « droits à polluer » achetables et revendables, est devenue une manne pour les spéculateurs. Qui profite de ce système ? Sûrement pas les citoyens français, ni les entreprises, rackettés à coups de taxes écologiques et de réglementations liberticides, mais bien les financiers et les bureaucrates européens, toujours plus gourmands en fonds publics.
Il est temps de réagir. Plutôt que de nous flageller en écoutant les prêches catastrophistes des nouveaux inquisiteurs du climat, reprenons le contrôle de notre politique énergétique. Défendons notre industrie, refusons cette hystérie collective et remettons la science et la raison au centre du débat. La France a besoin d'énergie, de croissance et de liberté, pas d'une austérité écologique mortifère.
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lundi, 17 février 2025
Savoureuse humiliation des élites européennes : le vent tourne
Thomas Joly, président du Parti de la France
On ne sait ce qui est le plus ridicule : l'humiliation ou l'aveuglement. Les dirigeants d'Europe de l'Ouest, ces fiers chevaliers du progressisme, ces croisés de la vertu démocratique, se retrouvent désormais relégués au rang de figurants sur la scène internationale. Eux qui, pendant plus de deux ans, se sont pavanés en donneurs de leçons, dictant au monde entier la conduite à tenir face à la Russie ; les voilà aujourd’hui absents des négociations de paix. Chassés des discussions sérieuses, exclus des véritables cercles d’influence, ils ne sont plus que des spectateurs amers d’un jeu dont ils ont eux-mêmes perdu les règles.
Quelle ironie que ceux qui ont passé des années à souffler sur les braises du conflit ukrainien se retrouvent aujourd’hui priés de rester dans leur coin. Ils ont tout fait pour envenimer la situation, pour se poser en rempart moral face au mal absolu, pour proclamer à grand renfort de communication que la seule solution passait par la guerre, les sanctions et la surenchère belliciste. Résultat : les États-Unis discutent, la Russie négocie, la Chine s’impose et l’Europe, elle, regarde. Macron, Scholz, Von der Leyen ? Absents. Un camouflet monumental, une humiliation d’autant plus cruelle qu’elle est logique.
Mais leur calvaire ne s’arrête pas là. Voilà que JD Vance, vice-président des États-Unis, leur administre une nouvelle leçon, et sur un terrain où ils pensaient encore dominer : la liberté d’expression. À Munich, devant un parterre de technocrates effarés, l’Américain a osé dire tout haut ce que beaucoup pensent tout bas : l’Europe est devenue un laboratoire du contrôle idéologique. Entre lois liberticides, censure des réseaux sociaux, criminalisation du débat et répression des voix dissidentes, les démocraties occidentales ressemblent de plus en plus à ce qu’elles prétendent combattre. Et c’est un Américain, issu de l’administration Trumpiste, qui vient leur rappeler les principes de la liberté d’opinion. L’ironie est cinglante.
Le vent tourne, et c’est une excellente nouvelle. L’Europe bruxelloise, celle des élites déconnectées, des bureaucrates hors sol, des moralistes arrogants, se fissure sous le poids de ses contradictions. Les mondialistes paniquent, car leur emprise s’effrite. Et c’est tant mieux. Place à ceux qui veulent reconstruire une Europe identitaire, souveraine et débarrassée de ses chimères idéologiques. Le spectacle de la chute des fausses élites ne fait que commencer.
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jeudi, 13 février 2025
Ukraine : Donald Trump, l’homme de la paix face au chaos des mondialistes
Thomas Joly, président du Parti de la France
Donald Trump tient ses promesses, et face à la crise ukrainienne, il ne déroge pas à cette règle. Alors que Joe Biden et les dirigeants européens, notamment Emmanuel Macron, ont alimenté le conflit avec leurs politiques irresponsables, Trump cherche à imposer une paix rapide.
Biden et les Européens ont joué avec le feu, attisant les tensions par leurs sanctions inefficaces et leurs discours belliqueux. Mais Trump, avec sa vision pragmatique, ramène les belligérants à la table des négociations. Il impose un dialogue, mettant fin à la danse macabre de la guerre, par la force de son leadership et son absence de naïveté diplomatique.
Sous Biden, le conflit s'est enlisé, devenant un marécage de morts et de destructions. Trump, lui, offre une issue, une solution rapide et efficace, car il sait que la grandeur d'un pays se mesure aussi par sa capacité à apporter la paix, non à entretenir le chaos. Il impose, par sa fermeté et son réalisme, une paix que les idéalistes et les politiciens de salon ont rendu jusqu'alors impossible.
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lundi, 10 février 2025
Emmanuel Macron, l’illusionniste pathétique d’une République à la dérive
Thomas Joly, Président du Parti de la France
Il ne sait plus quoi faire. Emmanuel Macron, Président sans majorité, condamné à l’impuissance par sa propre inconséquence, erre comme une ombre au sommet de l’État. La dissolution de l’Assemblée nationale en juin 2024, qui se voulait un coup de maître, s’est transformée en débâcle. Dépossédé de son pouvoir, rejeté par les Français, il se débat dans un vide institutionnel qu’il a lui-même créé. L’homme qui prétendait incarner le « nouveau monde » est devenu un simple figurant dans l’agonie de la Ve République.
Alors, pour exister, il joue la carte du spectacle. Son dernier tour de passe-passe ? Une communication grotesque, tournée vers une jeunesse qu’il méprise mais dont il espère le soutien. Tiktok, vidéos racoleuses, langage de cour d’école : le président de la République se travestit en influenceur de bas étage. En croyant séduire, il se ridiculise. Il ne comprend pas que l’autorité ne se mendie pas : elle s’impose. Il ne comprend pas que le respect ne se quémande pas sur les réseaux sociaux : il se mérite par la grandeur, la tenue, la vision. Mais de vision, il n’en a plus. Il n’est plus qu’une image, floue, tremblante, indigne de sa fonction.
Et puis, il y a le rideau de fumée. Hier soir, sur France 2, il promettait 109 milliards d’euros pour l’intelligence artificielle. Un chiffre gigantesque, une ambition affichée. Mais à y regarder de plus près, que représente ces promesses ? Rien qu’un écran de fumée destiné à masquer l’effondrement français. Car qui peut croire que la France, bridée par sa fiscalité confiscatoire, écrasée par une bureaucratie socialo-communiste digne des grandes heures soviétiques, pourrait rattraper son retard technologique ? Pendant que la Chine et les États-Unis avancent à pas de géant, nous débattons de la taxation des entreprises et des interdits bureaucratiques. Nous faisons fuir les talents, nous laminons les entrepreneurs, nous broyons toute ambition industrielle au nom d’un égalitarisme dévoyé.
Macron n’est plus qu’un illusionniste fatigué, multipliant les effets d’annonce pour masquer l’effondrement de son règne. Mais les Français ne sont pas dupes. Ils voient bien que derrière les vidéos Tiktok et les milliards virtuels, il n’y a qu’un pouvoir moribond, incapable de restaurer la grandeur de la France.
Il est déjà trop tard pour lui. Mais il est encore temps pour la France. À condition d’ouvrir les yeux.
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vendredi, 07 février 2025
La farce parlementaire autour du droit du sol
Thomas Joly, président du Parti de la France
Le spectacle affligeant qui s’est déroulé à l’Assemblée nationale autour d’une restriction minimale du droit du sol à Mayotte est à la fois ridicule et révélateur de l’impuissance politique de nos dirigeants. Alors que notre Nation est submergée par une immigration incontrôlée et que l’insécurité gangrène nos territoires, la gauche, égale à elle-même, s’abandonne à une agitation hystérique pour défendre ce qui reste l’un des principaux aimants migratoires.
Mayotte illustre de façon éclatante l’absurdité de cette politique : submersion démographique, criminalité hors de contrôle, services publics saturés… Voilà le prix du droit du sol et du laxisme migratoire. Le gouvernement, fidèle à son habitude, tente de faire passer une réformette cosmétique en espérant donner le change, alors que la seule solution viable serait d’abolir totalement le droit du sol sur l’ensemble du territoire national.
Au-delà de cette question, Mayotte demeure un fardeau pour la France. Ce département, qui ne partage ni notre culture ni nos racines historiques ni même notre langue, est une source incessante de tensions et de dépenses publiques abyssales. Plutôt que de s’accrocher à ce territoire dont l’intégration est un échec manifeste, il est temps d’avoir le courage d’en tirer les conséquences. La France n’a pas vocation à porter sur ses épaules des enclaves ingouvernables.
Face à l’inconséquence de la classe politique, le Parti de la France réaffirme son engagement pour une refonte complète de notre politique migratoire : suppression intégrale du droit du sol, remigration des clandestins et des délinquants étrangers, recentrage de la France sur son identité historique et civilisationnelle.
Il est temps de rompre avec l’illusion universaliste et de replacer la Nation française au cœur de nos choix politiques.
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jeudi, 30 janvier 2025
La gauche face à la réalité migratoire : entre déni et hystérie
Thomas Joly, président du Parti de la France
La polémique autour des propos de François Bayrou sur le « sentiment de submersion migratoire » illustre une fois de plus l'hystérie de la gauche, incapable d'admettre la réalité migratoire que vivent quotidiennement les Français. Plutôt que de considérer les faits avec lucidité, elle préfère s'indigner bruyamment et accuser toute voix discordante de dramatiser une situation pourtant flagrante. Cette posture dogmatique traduit une déconnexion totale avec le peuple qui, lui, subit de plein fouet les conséquences d’une immigration massive qu’il n’a jamais souhaitée.
François Bayrou, pourtant loin d’être un tribun radical, n'a fait qu'exprimer une évidence que nul ne peut ignorer. Il a même tenté de se justifier en limitant ses propos à la seule situation à Mayotte, comme s'il fallait à tout prix éviter d’aborder la réalité de la métropole. Cette attitude pusillanime traduit bien la chape de plomb idéologique imposée par les tenants du politiquement correct qui s'efforcent de nier l'évidence au nom d'une bien-pensance désormais en total décalage avec la souffrance des Français.
Car non, la submersion migratoire n'est pas un « sentiment », c'est une réalité tangible que des millions de Français vivent au quotidien. Quartiers envahis, insécurité qui explose, communautarisme agressif : le pays subit une mutation forcée contre laquelle les gouvernants restent passifs, quand ils ne l'encouragent pas ouvertement. Il est illusoire d'attendre une réaction du pouvoir en place ou de ses opposants factices. Seule une politique de remigration massive des populations extra-européennes, telle que prônée par le Parti de la France, permettra de rétablir la sécurité et la cohésion nationale, conditions sine qua non de la prospérité retrouvée.
Source cliquez ici
RAPPEL :
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mercredi, 22 janvier 2025
Où est notre Trump ?
Thomas Joly
Président du Parti de la France
Aux États-Unis, ils ont Donald Trump. Un chef qui a compris que la politique, c’est d’abord une question de volonté et de puissance. Trump est en train de secouer l’Amérique (et même le monde entier), il a réveillé les oubliés, les humbles, ceux qu’on appelle là-bas la « Rust Belt ». Il a dit non à la fatalité du déclin, non à la soumission aux modes du temps. Il a osé parler de frontières, d’immigration, de grandeur nationale, là où nos dirigeants balbutient des slogans creux et démissionnaires.
Et nous Français ? Nous avons des gestionnaires sans âme. Des comptables de l’effondrement, obsédés par leur image, prisonniers des logiques mondialistes, incapables de défendre ce qui fait la France. Ils détruisent notre Nation à coups de lois technocratiques et d’idées abstraites. Pendant que l’Amérique érige des murs, nous abattons les nôtres. Pendant que Trump défend son peuple, nos dirigeants encouragent la submersion migratoire, ce grand remplacement qu’ils feignent de ne pas voir.
Trump, avec ses outrances et ses provocations, m’inspire 100 fois plus de respect que nos gouvernants. Lui a compris que le rôle d’un chef d’État est de protéger son peuple, de le rassembler autour d’une fierté retrouvée. Ici, nous n’avons que des capitulards, des apprentis bureaucrates qui nous condamnent à disparaître dans un grand soupir résigné. Où est le Trump français ? Nous n’avons que des ombres.
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