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mardi, 24 juin 2025

Retraites : quatre mois de théâtre pour éviter la vérité

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Encore quatre mois perdus. Quatre mois d’un simulacre de « conclave », comme ils osent l’appeler, alors que tout était joué d’avance. Ce théâtre d’ombres n’avait qu’un but : gagner du temps, temporiser, faire croire que l’on consulte, que l’on discute, que l’on « cherche une voie de passage ». François Bayrou, ce vieux routier de la politique molle, n’a trompé personne — ou plutôt si : il a trompé tout le monde, ce qui revient au même.

Ce conclave était voué à l’échec dès le premier jour. Pourquoi ? Parce que la vérité est interdite en République. La vérité, c’est que le système des retraites est mort. En faillite. Injuste. Déconnecté de la réalité démographique et économique. Mais toute la classe politique, dans un réflexe pavlovien de démagogie, préfère l’aveuglement au courage, la lâcheté au redressement.

Premier poste de dépenses publiques : les retraites, 360 milliards d’euros par an. Près de 14 % du PIB. Et pour quoi ? Pour un système où les actifs sont de moins en moins nombreux — à peine 1,7 cotisant pour 1 retraité aujourd’hui, contre plus de 4 dans les années 1960. Et que leur demande-t-on ? De se faire plumer. De cotiser toujours plus pour des pensions parfois indécentes, versées à des baby-boomers partis à 55 ans, protégés par des régimes spéciaux d’un autre âge.

Le système par répartition n’est plus soutenable. Il faut en finir avec cette fiction. Il faut avoir le courage de dire que la capitalisation - progressive - est une nécessité, que la retraite doit devenir flexible, un choix, une liberté : partir à la carte, selon ce que l’on a cotisé et capitalisé. Comme les Suédois, les Suisses ou les Néerlandais. Ce sont eux les modernes, nous sommes les archaïques.

Et pendant que le pays coule, que fait l’opposition ? Le Parti socialiste menace d’une motion de censure — grand bien leur fasse — mais le Rassemblement national, lui, recule. Il refuse de la voter, par pur calcul politicien. Pourquoi ? Parce que Marine Le Pen veut garder son siège, éviter une éventuelle dissolution de l'Assemblée qui la rendrait inéligible. Voilà ce qu’est devenu ce parti : un paillasson au service d’une ambition personnelle. Lamentable. Honteux. Quand la France a besoin d’un sursaut, ils choisissent l’abstention. Quand il faut trancher dans le vif, ils détournent les yeux.

François Bayrou veut gagner du temps. Le RN veut sauver un siège. Le peuple, lui, paiera la facture. Comme toujours.

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dimanche, 22 juin 2025

Trump, Netanyahou, mollahs : la guerre des puissants, la souffrance des peuples

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Thomas Joly – Président du Parti de la France

La nuit dernière, les États-Unis ont lancé des frappes contre des installations nucléaires iraniennes, en réponse à l’escalade militaire provoquée par l’État d’Israël. Le Parti de la France déplore cette intervention qui risque d’embraser davantage un conflit déjà inquiétant et lourd de conséquences pour la stabilité régionale comme pour la paix mondiale.

Loin d’être une action défensive, cette offensive américaine s’inscrit dans une logique d’ingérence et de domination qui ne sert ni les intérêts du peuple américain, ni ceux des peuples du Proche-Orient et encore moins ceux des Européens. Nous savons que Donald Trump est coutumier des coups de poker diplomatiques. Espérons donc qu’il ne s’agit là que d’un bras de fer tactique destiné à forcer un accord, et non d’un engagement durable et sanglant dans une nouvelle guerre sans fin.

Le Parti de la France n’a aucune sympathie pour le régime obscurantiste et théocratique des mollahs qui opprime depuis des décennies le peuple iranien. Mais on ne libère pas un peuple à coups de missiles. Les leçons de l’Irak, de la Libye et de la Syrie devraient suffire à mettre en garde contre cette folie belliciste.

Quant à Benyamin Netanyahou, il incarne à lui seul une politique irresponsable, belliciste et dangereuse, non seulement pour les Palestiniens qu’il massacre, mais aussi pour les Israéliens qu’il expose à un engrenage tragique. En attisant les tensions et en précipitant l’Amérique dans le conflit, il prend la région en otage.

Que Donald Trump ne cède pas aux sirènes des faucons néo-conservateurs et des lobbies qui n’ont de cesse de pousser le monde vers l’abîme ! Que l’Amérique retrouve la voie de la raison, du dialogue et de la paix !

Enfin, les Français paient déjà le prix de cette folie : les stations-service voient le prix du carburant s’envoler, pour le plus grand bonheur des spéculateurs du pétrole. Pendant que les élites font la guerre, c’est toujours le peuple qui trinque.

Le Parti de la France appelle à la désescalade et à la souveraineté des Nations, loin des aventures impériales et des manipulations géopolitiques qui ne profitent qu’à une infime minorité.

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samedi, 21 juin 2025

Mélenchon, le falsificateur historique au service du clientélisme communautaire

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Il faut décidément un mépris certain pour la vérité pour oser, comme le fait Jean-Luc Mélenchon, affirmer, avec le ton doctoral du prêcheur illuminé, que le monde arabo-musulman aurait été « historiquement supérieur » à la France médiévale. Dans une pirouette historique grotesque, il nous explique que pendant que Dagobert mettait sa culotte à l’envers, les savants arabes inventaient les mathématiques. Une telle caricature n’est pas seulement ridicule : elle est fausse, tendancieuse et idéologiquement orientée.

Car que veut-il dire, en creux, M. Mélenchon ? Que la civilisation française, enracinée dans l’héritage gréco-latin, le christianisme et les royaumes francs, serait née inférieure, presque honteuse, face à un Orient magnifié, idéalisé, sanctuarisé. Nous voilà en plein délire ethnomasochiste où l’auto-culpabilisation devient doctrine et l’Histoire, un instrument de propagande.

Historiquement, c’est une imposture. Oui, des savants musulmans ont transmis et commenté les savoirs grecs, perses et indiens. Oui, Al-Khwārizmī a structuré l’algèbre au IXe siècle. Mais les mathématiques n’ont nullement été « inventées » par le monde arabe : Pythagore, Euclide, Archimède et Diophante les avaient déjà formulées, des siècles auparavant. Loin d’être créatrice ex nihilo, la science islamique médiévale fut avant tout traductrice, compilatrice, parfois innovante mais toujours dans un cadre hérité voire dérobé.

Quant à l’Europe médiévale que Mélenchon méprise avec tant de facilité, elle n’était nullement en ruines. Dès le VIIIe siècle, les Carolingiens fondent les bases d’un renouveau intellectuel (la Renovatio imperii), posant les fondations de l’université, de l’architecture romane puis gothique, des grandes réformes liturgiques et d’un droit savant. Ce n’est pas Saladin, personnage glorifié à tort et à travers, qui a enseigné aux Français à bâtir des cathédrales : celles-ci, comme Chartres ou Sens, précèdent son époque.

Alors, pourquoi ce mensonge historique ? Parce que Mélenchon ne fait pas de l’Histoire : il fait de la politique, de la basse politique. Il flatte un électorat arabo-musulman qu’il croit captif, en l’alimentant d’un récit victimaire inversé où l’Occident est toujours coupable, l’Orient toujours noble. C’est un clientélisme historique, une mise au service de la mémoire à des fins électorales. Mélenchon ne s’adresse pas à l’intelligence des Français : il parle à des communautés, à des ressentiments, à des blessures instrumentalisées.

Cette stratégie est très dangereuse. Car à force de raconter l’Histoire comme une guerre de civilisations inversée, où l’on remplace la grandeur de la France par la repentance, où l’on nie Clovis, Charlemagne ou Saint Louis pour glorifier Averroès ou Ibn Battûta, on trahit la mémoire nationale. On excite les immigrés contre les Français. On sème la discorde sous prétexte d’universalité.

Mélenchon n’est pas seulement un ignorant en Histoire : il en est un falsificateur. Il n’est même pas un républicain mais un communautariste. Il ne parle pas pour la France mais pour ceux qui veulent la coloniser. Voilà pourquoi ses propos ne sont pas seulement erronés : ils sont indignes. Indignes d’un homme politique, indignes d’un tribun, indignes d’un Français.

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samedi, 14 juin 2025

Israël-Iran : la logique de l'abîme

Israel and Iran: An Early Read | Council on Foreign Relations

Thomas Joly, président du Parti de la France

L’attaque spectaculaire menée cette nuit par Israël contre l’Iran — avec la mort confirmée du chef des gardiens de la Révolution islamique et du chef d’état-major iranien, ainsi que la destruction de plusieurs sites stratégiques — marque un tournant historique d’une gravité extrême pour le Moyen-Orient. En frappant le cœur même du pouvoir iranien, Israël prétend agir de manière préventive, pour empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire. Mais une telle logique de frappe préventive, toujours discutable sur le plan du droit international, devient terriblement dangereuse lorsqu’elle est menée par un État comme Israël, dont l’arsenal nucléaire existe déjà mais n’a jamais été officiellement reconnu. Peut-on vraiment justifier l’un au nom de l’autre ?

L’Iran, certes, paie aujourd’hui le prix de son double jeu permanent : soutien armé et financier au Hamas, rhétorique belliqueuse envers l’État hébreu, rôle opaque dans les événements sanglants du 7 octobre. Mais cela ne saurait excuser un tel embrasement. Ce n’est pas seulement une escalade ; c’est une conflagration en germe. En agissant seul, sans concertation avec son principal allié, Israël prend le risque de fracturer encore davantage l’ordre international et de compromettre durablement la paix dans la région.

Donald Trump, que l’on dit prévenu à l’avance et opposé à cette opération, a vu son avertissement superbement ignoré. Il est temps qu’il rappelle à Tel-Aviv une vérité géopolitique simple : sans l’ombrelle militaire et diplomatique américaine, Israël serait aujourd’hui à la merci de ses ennemis.

Cette attaque n’annonce rien de bon. Ni pour la stabilité régionale, ni pour les relations transatlantiques, ni pour l’avenir de la dissuasion nucléaire. Le Moyen-Orient entre une fois encore dans la zone rouge.

Article publié sur le blog politique de Thomas Joly, le 13 juin. Cliquez ici.

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jeudi, 12 juin 2025

Boomers, couteaux et réseaux : la farce tragique d’une élite déconnectée

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Le drame de Nogent, où une surveillante a été poignardée à mort par un collégien, aurait pu être l’occasion d’un sursaut national. Mais non. Que nous propose l’establishment ? François Bayrou, ce vieux centriste en costume de flanelle, veut interdire la vente de couteaux aux mineurs. Pourquoi pas les fourchettes tant qu’on y est ? Des portiques de sécurité à l’entrée des collèges ? Le rêve humide des technocrates : transformer les écoles en aéroports sans jamais se demander « qui » il faut empêcher d’y entrer.

Emmanuel Macron, de son côté, nous gratifie de sa trouvaille géniale : interdire les réseaux sociaux avant 15 ans. Comme si TikTok poignardait des surveillants dans les couloirs des collèges. Comme si le problème était le contenu et non ceux qui le consomment. Et certains médias dégainent leur vieux disque rayé : les jeux vidéo. Le coupable parfait depuis des décennies. Tout cela suinte le boomerisme, l’aveuglement confortable de ceux qui refusent de voir ce que le peuple vit.

La vérité est brutale : on récolte ce que l’on a semé. L’effondrement de l’autorité, l’idéologie de l’excuse, le refus obstiné de nommer les coupables. Il ne suffit plus de pleurnicher. Il faut un retour de l’ordre réel : maisons de correction pour les mineurs délinquants et les mêmes peines que les adultes pour les mineurs criminels. Assez de cette indulgence délirante qui transforme les gamins ensauvagés en victimes du Système.

Et surtout, il est temps d’en finir avec le mensonge du « vivre-ensemble ». Une remigration massive des populations inassimilables est désormais une condition de survie pour la France. L’insécurité chronique n’est pas un phénomène naturel. Elle a des causes. Et elle a des visages.

Quant à Quentin, le meurtrier de Mélanie, ce psychopathe devrait être définitivement écarté de notre société, même s'il n'a que 14 ans. Pas question de « réinsérer » un tel monstre, ni demain ni après-demain.

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mardi, 10 juin 2025

Madleen : le radeau des illusions

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Quelle farce pathétique que cette misérable épopée du voilier Madleen, cette caravelle des temps modernes, où des bobos, des gauchistes internationalistes et des pleureuses professionnelles voguent sur les flots de la bonne conscience. À la barre de cette galère idéologique : une écologiste suédoise dont le regard halluciné fait frémir même les algorithmes de l’intelligence artificielle, et une députée européenne d’ultra-gauche qui semble avoir oublié qu'elle siège à Bruxelles, pas à Ramallah.

Le Madleen, navire à la dérive, ou plutôt opération médiatique cousue de fil blanc, affrété par les propagandistes de la Freedom Flotilla Coalition, cet aréopage victimaire qui croit encore aux luttes de libération en keffieh et aux barricades imaginaires du Quartier latin. Ils prétendaient « briser le blocus israélien »... Comme si Tsahal allait trembler devant une poignée de militants Twitter armés de smartphones et de slogans recyclés ?

Cerise sur le gâteau : voilà que, comme par miracle – deus ex machina digne d’un mauvais film de propagande soviétique – nos aventuriers croisent une embarcation de migrants en détresse. Bien sûr. Juste au bon moment. L’image est belle, trop belle. La narration parfaite, trop parfaite. Hollywood en aurait rougi. Le Madleen ne sauve pas des vies, il sauve des causes. Il nourrit la mythologie de la gauche morale, celle qui préfère pleurer sur le sort de l’Autre plutôt que défendre le destin du Même.

Et comme prévu, les autorités israéliennes, qui n’ont ni le temps ni l’humour pour ce genre de performance, ont arraisonné le navire. Fin de l’acte I. Rideau sur la mascarade. Mais en France, le cirque continue. Les fanatiques de La France Insoumise, qui ne voient plus la France que comme un obstacle à abattre, appellent à la mobilisation générale. La grande alliance intersectionnelle entre les islamistes, les indigénistes, les wokistes et les néo-trotskystes est en marche. La cause palestinienne ? Elle n’est qu’un alibi. Ce qu’ils défendent, ce n’est pas Gaza. C’est la disparition de notre civilisation.

Qu’on me comprenne bien : je ne viens pas ici défendre la politique de Netanyahu, que je considère comme moralement délétère et clairement génocidaire. Mais on ne combat pas une injustice par une farce. On ne résiste pas à la barbarie par l’idiotie. Ce voilier n’est pas une arche de paix : c’est un radeau de la Méduse, embarquant les ruines d’une gauche moribonde, prête à tout – jusqu’à pactiser avec les pires ennemis de la liberté – pour sauver ses chimères.

Pendant que ces saltimbanques voguent vers leur gloire médiatique, la France, elle, se noie. Elle se noie sous les vagues migratoires qu’ils célèbrent, sous les replis communautaires qu’ils encouragent, sous l’islamisation rampante dont ils se réjouissent. À bord du Madleen, il n’y a pas que des militants : il y a des fossoyeurs. Fossoyeurs de l’Europe, fossoyeurs des nations, fossoyeurs de notre identité.

Alors non, je n’aurai aucune solidarité avec ces pseudo-héros. Qu’ils restent en mer, avec leurs illusions, leurs slogans et leur boussole morale déréglée. Moi, je reste sur la terre ferme. Celle d’un peuple qui ne veut pas mourir.

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vendredi, 06 juin 2025

Donald et Elon : la brouille...

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
La brouille entre Donald Trump et Elon Musk est déplorable. Elle est le fruit amer d’un malentendu – ou d’une naïveté. Celle d’un entrepreneur génial, mais politiquement candide. Car Trump n’a jamais trompé personne. Depuis le premier jour, il a assumé haut et fort son programme : « America First ». Une Amérique indépendante, énergétiquement souveraine, affranchie des lubies écologistes des élites mondialistes. Le démantèlement des incitations fiscales pour les véhicules électriques et les énergies solaires, c’est exactement ce qu’il avait promis. Et ce qu’il applique. Fidèlement. Logiquement. Férocement.
 
Elon Musk, au lieu de se lamenter comme une diva froissée, aurait mieux fait de lire entre les lignes. Il aurait dû comprendre que Tesla, enfant choyé des subventions vertes, serait tôt ou tard sacrifiée sur l’autel du pragmatisme trumpien. Il aurait dû vendre (avant même son entrée en politique), se recentrer sur SpaceX, projet visionnaire et moins dépendant des humeurs fiscales de Washington. Il ne l’a pas fait. Et aujourd’hui, il pleurniche.
 
Pire : il réagit comme un adolescent vexé, par des tweets erratiques, une posture victimaire et des attaques dignes d’un militant progressiste. Cette réaction, disons-le, est hystérique et autistique – au sens premier du terme : refermée sur elle-même, coupée du réel. Or le réel, c’est Trump. C’est l’économie américaine, la vraie, celle des pipelines et des puits de pétrole. Musk, en contestant frontalement cette logique, a braqué le Président. Qu’il ne s’étonne donc pas que l’un de ses proches ait été écarté de la NASA.
 
On peut regretter que deux figures aussi puissantes – deux icônes de la liberté d’expression, deux champions de la désobéissance – en soient réduites à cette guerre d’ego. Mais il faut rappeler que l’immaturité politique de Musk est ici flagrante.
 
Espérons un sursaut de lucidité. Que Musk cesse ses enfantillages. Que Trump sache pardonner les outrances. Car leur alliance serait autrement plus redoutable que leur opposition. L’avenir de l’Amérique – et peut-être celui de la civilisation occidentale – mérite mieux que ce vaudeville entre un président visionnaire et un ingénieur égaré dans la politique.

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mardi, 03 juin 2025

Puget-sur-Argens : un drame transformé en arme idéologique

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Le meurtre d’Hichem Miraoui à Puget-sur-Argens est un drame. Un meurtre sordide, terrible, comme il en existe malheureusement dans toutes les sociétés humaines. La justice doit passer. Le coupable doit être puni. Mais ce qui est fascinant – ou plutôt consternant – c’est l’instrumentalisation frénétique, délirante, presque hystérique de ce fait divers par l’ensemble du système politico-médiatique.
 
Qu’un différend de voisinage, aussi ignoble soit-il, déclenche la saisie du parquet antiterroriste, que le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, se précipite pour rencontrer l’ambassadeur tunisien, penaud, tête basse, comme un collégien pris en faute, voilà qui dit tout de l’état de soumission mentale dans lequel se trouvent nos gouvernants.
 
Les réactions politiques sont d’une indécence rare. Toute la gauche, et même une partie de la droite – ou ce qu’il en reste – y voit un « climat raciste » instauré par « l’extrême-droite ». Même Marine Le Pen et Jordan Bardella se sentent obligés de hurler avec les loups, suppliant - en vain - la presse de gauche de leur accorder le brevet de l’antiracisme républicain.
 
Mais de qui se moque-t-on ? Ce meurtre est certes tragique mais il est isolé. Il ne traduit aucune dynamique collective, aucun « climat », aucune stratégie idéologique. En revanche, les agressions quotidiennes contre des Français de souche, dans l’indifférence politico-médiatique, traduisent bel et bien un basculement civilisationnel. Où est le parquet antiterroriste quand des jeunes femmes françaises sont violées par des migrants ? Où sont les ministres quand un Français est poignardé parce qu’il est blanc ? Où sont les caméras, les tweets, les larmes sur commande ?
 
Ce battage n’a qu’un but : culpabiliser encore un peu plus le peuple français, le convaincre que le vivre-ensemble est une obligation morale et que tout refus en est une trahison. Mais ce drame révèle au contraire l’échec absolu du multiculturalisme. Quand des voisins ne peuvent plus vivre ensemble sans que le soupçon racial vienne tout parasiter, c’est que le modèle est mort. Définitivement.
 
La France se dissout dans la repentance. Elle s’accuse, elle s’excuse, elle se renie. Mais cette mascarade ne trompe plus personne.

 

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samedi, 31 mai 2025

Les députés suppriment les ZFE !

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Enfin une éclaircie dans la brume épaisse de l’idéologie verte. Une fois n’est pas coutume, les députés — ces godillots d’ordinaire soumis aux lubies technocratiques — ont agi selon l’intérêt véritable des Français. En supprimant les ZFE, ces Zones à Faibles Émissions, ils ont redonné un souffle de liberté et de bon sens au peuple, en particulier aux plus modestes, qu’on avait désigné comme des délinquants au volant de leurs vieux diesels.

Rappelons ce que sont ces ZFE : une absurdité punitive, une persécution bureaucratique, imposant aux Français de jeter à la casse des véhicules encore parfaitement fonctionnels, sous prétexte qu’ils ne répondaient pas aux normes capricieuses de la religion écologiste. Les petits artisans, les retraités, les familles des périphéries : tous sommés de s’endetter ou de disparaître. C’est la fracture française incarnée en politique de mobilité.

Mais attention, la guerre n’est pas finie. Car rôde encore le glaive du Conseil constitutionnel, cette instance qui prétend incarner la sagesse républicaine mais qui, trop souvent, devient le dernier bastion des dogmes mondialistes et des oukases bruxellois.

Aujourd’hui, les Français respirent un peu mieux. Non pas grâce aux ZFE, mais grâce à leur suppression. Que cela serve de leçon : le réel finit toujours par triompher de l’utopie. Même - parfois - à l’Assemblée.

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mardi, 27 mai 2025

Samedi 31 mai, à Amiens : déjeuner avec Thomas Joly (PdF) et Jérôme Bourbon (Rivarol)

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lundi, 26 mai 2025

Le racisme anti-Blancs, ce secret de polichinelle

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Il paraît que Mustapha El Atrassi a choqué. Qu’il a « dérapé ». Ah bon ? Quelle surprise. Depuis quand un humoriste issu de l’immigration, bien au chaud sur les plateaux du divertissement français, crache-t-il son mépris du « Français de souche » ? Depuis... toujours. Ce n’est pas un dérapage, c’est un programme. Ce n’est pas une erreur, c’est une constante. Et il serait temps que ceux qui feignent la surprise cessent de se boucher le nez devant la puanteur du réel.

Le racisme anti-Blancs ? Il n’a pas commencé hier. Il gangrène les quartiers depuis trente ans. Il se chuchotait, puis s’est crié, aujourd’hui il se joue sur scène, en prime time, avec les rires complices d’un public acquis. Ces humoristes ne sont pas des comiques, ce sont les tribuniciens d’une revanche ethnique. Ils rient en nous haïssant.

Ce n’est pas El Atrassi le problème. Il n’est que l’arbre moqueur qui cache la forêt de l’hostilité. L’hostilité d’une jeunesse afro-musulmane élevée dans le ressentiment, dans la culpabilisation de la France, dans l’idée que tout lui est dû et que le Français autochtone est un colon à chasser. Voilà le fruit de quarante ans de lâcheté migratoire, d’antiracisme à sens unique, de repentance sans fin.

Et pourtant, des voix s’étonnent, s’offusquent, découvrent soudain le racisme anti-Blancs comme on découvre l’eau tiède. Ce ne sont pas des révélations, ce sont des réveils tardifs. Les Français qui vivent dans le monde réel – pas dans les salles de rédaction ou les amphis de Sciences Po – le savent depuis longtemps : ils vivent l’insécurité, l’humiliation, le mépris quotidien.

Le problème est clair : il est démographique. Il est identitaire. Il est migratoire. Une société ne peut survivre à l’importation massive de populations qui ne veulent ni s’assimiler, ni respecter, mais dominer. La solution ? Elle a un nom, un seul : la remigration. Tout le reste n’est que bavardage et anesthésie.

La France mérite évidemment mieux que l’autodérision honteuse de ceux qui rient en la salissant. Il est temps de redevenir fiers. Et pour cela, il faut d’abord cesser de rire avec ceux qui nous haïssent.

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vendredi, 23 mai 2025

Suppression du liquide : une fausse guerre contre la drogue

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Gérald Darmanin propose de supprimer l'argent liquide pour lutter contre le narco-trafic. Mais à qui croit-il faire peur ? Les trafiquants de drogue, ces multinationales du crime implantées jusque dans les halls d’immeuble de nos banlieues, n’ont pas attendu les cartes bancaires pour blanchir leur argent. Ils ont déjà un temps d’avance : cryptomonnaies, or, transferts anonymes. Leur ingéniosité est sans limites car leur motivation est vitale. Ils jouent leur vie, là où Darmanin joue son image.

En réalité, cette mesure ne frapperait pas les dealers. Elle frapperait les Français. Elle frapperait le retraité qui veut garder ses économies en liquide, le commerçant qui préfère les espèces, la mère de famille qui paie au marché, le bricoleur qui rend un petit service, le campagnard qui vend les œufs de son poulailler à ses voisins. Chaque transaction deviendra une donnée. Chaque dépense, une trace. Le fisc surveillera tout. Les banques deviendront des auxiliaires de police. Déjà qu'il faut justifier pourquoi vous voulez retirer 1.000 euros...

On nous vend la guerre contre la drogue mais c’est une guerre contre la liberté. Une liberté jugée suspecte. Une autonomie qu'on étouffe sous prétexte de sécurité. Or, si le gouvernement voulait vraiment éradiquer le narco-trafic, il n’aurait qu’à faire ce que tous les Français attendent : expulsion systématique des trafiquants étrangers à l'issue de leur peine, peines exemplaires jusqu’à la peine de mort pour les chefs de gangs qui empoisonnent nos enfants.

Mais cela demande du courage. Alors on préfère traquer les billets de 20 euros dans les porte-monnaie des honnêtes gens. C’est plus simple, plus lâche et tellement plus compatible avec la bonne conscience progressiste.

La République ne protège plus le peuple. Elle le surveille.

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mercredi, 21 mai 2025

Les collabos de la République découvrent leur œuvre

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Il a fallu des décennies de silence, de lâcheté, de collaboration intellectuelle pour qu’enfin, nos dirigeants découvrent — avec des trémolos dans la voix et un ton faussement grave — que l’entrisme islamique gangrène les institutions, les écoles, les hôpitaux, les associations, les partis politiques eux-mêmes. Quelle révélation ! Quelle audace ! Ils tombent des nues comme des enfants stupéfaits de trouver de l’eau… dans la mer.

Ce que certains appelaient « théorie du complot » hier devient brusquement une « urgence républicaine ». Les lanceurs d’alerte, eux, n’ont pas changé de discours : ils sont simplement passés du statut de Cassandre à celui de visionnaires. Mais à quel prix ? Méprisés, diffamés, traînés dans la boue comme des « fachos », des « identitaires », des « racistes ». Pourtant, ils disaient la vérité. Une vérité simple : sans immigration massive, il n’y a pas d’islamisation de la France. C’est une évidence que seuls les aveugles volontaires, les juges rouges et les éditorialistes subventionnés refusaient de voir.

Car oui, l’islamisme ne pousse pas dans les champs de blé. Il arrive par bateaux, par avions, par regroupement familial, par l’asile détourné. Il infiltre parce qu’on a ouvert. Il conquiert parce qu’on a capitulé. La submersion démographique précède toujours la subversion idéologique. Ce ne sont pas les mosquées qui précèdent les prières, ce sont les fidèles.

Et maintenant que les Frères musulmans ont placé leurs pions partout, nos élites se découvrent une passion soudaine pour la laïcité. Fort bien. Mais alors allons jusqu’au bout. Si l’on dénonce l’entrisme islamique, qu’on ait le courage aussi de regarder du côté des autres réseaux d’influence. Ceux qui, sous couvert de philosophie, de morale républicaine, de « valeurs humanistes » ou de victimisation éternelle, tiennent les rênes du pouvoir profond. La République est peut-être en danger, à laquelle nous préférons d'ailleurs la Nation, mais elle ne l’est pas que d’une seule manière.

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mardi, 20 mai 2025

Kassovitz ou la haine de la France éternelle

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Lors d’une interview sur le plateau de l’émission C à vous sur France 5, le 19 mai 2025, Mathieu Kassovitz a déclaré que le plus gros problème en France, c'était « le racisme » et « j’espère qu’on va continuer à se mélanger. Il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus ».
 
Une fois de plus, ce sale type récidive. Ce n’est pas la première fois qu’il crache sur la France. Mais cette fois, il va encore plus loin : il nie l’existence des Français de souche. Comprenez bien ce que cela signifie. Il ne s’agit pas d’une déclaration anodine : c’est l’effacement assumé de toute continuité historique, culturelle et charnelle de notre Nation.
 
Imaginez une seconde – une seule – qu’un commentateur ose dire : « Il n’y a plus de Juifs, ça n’existe plus. Et j’espère qu’on va continuer à se mélanger. » Que dirait Mathieu Kassovitz ? Il serait évidemment hystérique. Il parlerait d’antisémitisme, de haine, d’extermination symbolique. Mais lorsque c’est la France, son peuple, sa culture millénaire qui sont visés, là, soudainement, c’est une preuve d’ouverture.
 
Kassovitz, c’est l’homme qui voit du racisme partout, sauf quand il est dirigé contre les Blancs. C’est l’homme qui dénonce sans relâche la France « coloniale », « réactionnaire », « xénophobe » – cette France qu’il insulte continuellement tout en vivant de ses succès. Il n’a de cesse de culpabiliser les Français, de leur faire porter tous les maux : racisme, antisémitisme, violence... Mais jamais, au grand jamais, il ne reconnaîtra les réalités qui dérangent : le racisme anti-blancs, le communautarisme, la haine de la France dans certains quartiers.
 
Ce qu’il prône, ce n’est pas le vivre-ensemble, c’est l’effacement de l’identité française.
 

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mercredi, 14 mai 2025

Le verbe vide d’un président déconnecté

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Plus de trois heures. Plus de trois longues heures de logorrhée présidentielle, d’auto-satisfaction creuse, de bons sentiments en boucle, de « en même temps » aussi fades qu’inefficaces. Emmanuel Macron s’est livré hier soir à un monologue indigeste, à mi-chemin entre le sermon d’un curé progressiste et le discours lénifiant d’un DRH en séminaire. Pendant trois heures, les Français ont eu droit à un étalage d’arrogance technocratique, sans une seule annonce concrète, sans la moindre décision forte – et surtout, sans le moindre courage.

Pas de référendum. Pas même sur un sujet anecdotique. Quant à l’immigration, sujet brûlant s’il en est, le Président l’a une nouvelle fois enjambé avec un mépris glacé, comme s’il s’agissait d’une lubie populiste. Pour Macron, l’immigration massive n’est pas un problème, c’est une richesse, un fantasme diversitaire qui détruit lentement mais sûrement l’unité de la Nation. Il nie l’évidence, il méprise les Français qui souffrent et il continue de vanter une société multiculturelle qui fracture, qui gangrène, qui ensauvage.

Et comme toujours, la Russie est le bouc émissaire parfait. Obsession russophobe pathologique : Macron dénonce, menace, brandit des sanctions comme un enfant gâté agite son hochet. Mais où est son indignation quand Israël, qu’il encensait encore hier, rase Gaza avec une brutalité inouïe ? Ce 13 mai, il a feint l’équilibre : un soupçon de critique, quelques mots humanitaires, mais sans jamais remettre en cause la destruction systématique d’un peuple. C’est trop tard, trop lâche, trop hypocrite.

Son seul talent est celui du verbe. Mais les mots ne réparent pas les ruines. Les Français veulent des actes, pas des pirouettes lexicales. Ce président gouverne par l’illusion, par le théâtre. Et pendant ce temps, la France décline. Économiquement asphyxiée, migratoirement submergée, sécuritairement livrée à elle-même.

Comment des Français sains d’esprit peuvent-ils encore accorder le moindre crédit à ce manipulateur cynique ? Il est le symptôme d’un pouvoir coupé du réel, d’une élite déconnectée, d’un déclin organisé. Et son interminable talk-show d’hier n’a fait que confirmer une chose : Emmanuel Macron est l’homme du verbe vide et du pays vidé.

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lundi, 12 mai 2025

Répression et remigration : les seules réponses face à la barbarie

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Samedi à Evian, un pompier a été grièvement blessé par un voyou de 19 ans qui l'a volontairement percuté lors d’un énième rodéo urbain.

Cette barbarie n’est pas un fait divers : c’est le symptôme d’une société gangrenée par la lâcheté politique et le laxisme judiciaire. Quand nos soldats du feu, ces héros du quotidien, deviennent des cibles pour une racaille sure d’elle-même et impunie, c’est que l’État a abdiqué.

Il ne suffit plus de « condamner fermement » ou de faire semblant d’« ouvrir une enquête ». Il faut des actes. L’insécurité ne se combat pas avec des lamentations et des indignations médiatiques mais avec une répression implacable. Assez de cette justice qui relâche ou condamne la vermine à des peines dérisoires !

Le Parti de la France exige l’expulsion systématique des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine, avec toute leur famille. La France n’est pas un centre de loisirs pour caïds enragés. Il est temps de rendre la peur aux voyous et la sécurité aux Français.

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mardi, 06 mai 2025

Darmanin avoue avoir préféré salir les Anglais plutôt que nommer l’ennemi intérieur

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Enfin ! Gérald Darmanin, ce petit préfet de la Macronie, a fini par lâcher le morceau. Après deux ans de mensonges, de dérobades, d’accusations mensongères contre les supporters anglais — qui n’étaient que des boucs émissaires commodes — il admet ce que tout le monde savait dès le lendemain de la finale de la ligue des champions : les véritables responsables des violences du 28 mai 2022 aux abords du Stade de France, ce n’étaient pas des hooligans de Liverpool, mais bien cette racaille locale, ce lumpenprolétariat du 93, ultra-violent, vomissant la France mais protégé par la religion d’État qu’est devenu l’antiracisme.

Darmanin n’a pas « commis une erreur ». Il a menti sciemment, pour ne pas nommer l’ennemi intérieur. Par lâcheté, par soumission idéologique, et par peur de stigmatiser ces « territoires perdus de la République » que plus personne n’ose appeler par leur nom. Le Stade de France, en mai 2022, c’était une démonstration éclatante de l’effondrement de l’autorité, de l’impuissance de l’État et du remplacement progressif d’un ordre républicain par la loi du plus fort — en l’occurrence, celle des bandes.

Le dispositif policier était non seulement insuffisant, mais volontairement mal orienté : on préférait contrôler des pères de famille anglais plutôt que de risquer l’émeute dans les cités voisines. Toute cette affaire est le symptôme d’un pays qui abdique, d’une classe dirigeante qui préfère calomnier les Anglais plutôt que d’assumer l’évidence : il y a une fracture raciale majeure dans notre société et elle explose au grand jour à chaque événement d’ampleur.

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mardi, 29 avril 2025

C’est l’immigration qui tue, pas la France éternelle

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Thomas Joly – Président du Parti de la France
 
Qui aurait cru qu’un jour La GrandCombe, ce petit bourg du Gard, aurait sa propre mosquée ? Ce simple fait est déjà un signe de l’islamisation dramatique de nos campagnes, autrefois bastions de la France rurale et chrétienne.
 
Voilà que même dans ces replis de notre identité, l’immigration de masse a imposé ses marqueurs. Vendredi, un drame s’y est noué : un Malien, Aboubakar, a été tué par un Bosniaque de 20 ans, Olivier H., dans l’enceinte même de ce lieu de culte.
 
Depuis, toute la gauche morale s’est levée, LFI en tête, hurlant à l’islamophobie, brandissant l’affaire comme un étendard. Pourtant, où sont leurs indignations quand un Français de souche est assassiné par un immigré ? Où étaient les larmes médiatiques pour Lola, pour Thomas, pour toutes ces victimes blanches de la violence importée ? Silence complice, indignation sélective : voilà le vrai visage de ceux qui prétendent nous donner des leçons.
 
Cet acte tragique n’est pas le fruit d’une soi-disant islamophobie rampante, mais d’un chaos migratoire que nos élites ont organisé. Aboubakar et Olivier ne se seraient jamais croisés si chacun était resté dans son pays d’origine. C’est l’immigration qui tue, pas la France éternelle.
 

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vendredi, 25 avril 2025

Tragédie à Nantes : le sang des innocents et l’aveuglement des responsables

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Hier, la France a une nouvelle fois été frappée par l’horreur. À Nantes, dans ce qui devrait être un sanctuaire pour nos enfants, une lycéenne a été sauvagement assassinée à coups de couteau, et trois autres jeunes ont été grièvement blessés. Nos pensées émues vont aux familles plongées dans le deuil et la douleur, ainsi qu’à toute la communauté scolaire bouleversée par cette barbarie.

Le tueur, Justin Adar Polat, âgé de 15 ans, un individu d’origine turque, n’est ni un « militant d’extrême droite » comme certains voudraient le faire croire à coups de titres racoleurs, ni un croisé de la haine raciale. Il semble, à ce stade, que nous ayons affaire à un esprit instable, ravagé par une forme de paranoïa née de l’éco-anxiété — ce mal moderne distillé par les gourous pseudo-écolos et leurs discours apocalyptiques, qui instillent la peur et la culpabilité dans l’esprit des jeunes au nom du climat.

Mais une question s’impose : où sont les responsables ? Comme toujours, nos gouvernants regardent ailleurs, récitant mécaniquement les mêmes litanies sur la « résilience » et la « solidarité ». Pas un mot sur l’échec criant de la prévention, pas un mot sur la démission de l’État face à la montée de la violence dans nos établissements scolaires.

Le Parti de la France appelle à des mesures de bon sens. Nous réclamons que chaque établissement scolaire puisse désigner un référent armé, dûment formé et habilité, membre de la communauté éducative, prêt à intervenir immédiatement pour neutraliser toute menace, qu’il s’agisse d’un agresseur isolé, d’un déséquilibré ou d’un terroriste.

L’heure n’est plus aux bougies et aux marches blanches : l’heure est à l’action.

Source cliquez ici

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mardi, 15 avril 2025

François Bayrou : le crépuscule d’un pantin d’État

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Il y a quelque chose de pathétique, presque crépusculaire, dans la conférence de presse de ce 15 avril du Premier ministre François Bayrou. Un spectacle d'impuissance tranquille, de résignation molle, de fatalisme brumeux. Une sorte de grand-père grognon qui, face à l’incendie qui ravage la maison, se contente de marmonner qu’il fait chaud et que c’est sans doute la faute du voisin.
 
La France vit une crise budgétaire majeure, une hémorragie financière, une dette abyssale qui menace jusqu’à la souveraineté nationale. Et que fait François Bayrou ? Il découvre. Il réalise, presque avec candeur, que les dépenses publiques pèsent. Il nous apprend, entre deux soupirs et trois truismes, que l’argent magique n’existe pas. On aurait dit un étudiant découvrant les bases de l’économie publique à la veille de son partiel. Ce n’est plus un Premier ministre, c’est un promeneur du dimanche perdu sur un champ de bataille.
 
Il annonce 40 milliards d’économies. Très bien. Où ? Comment ? Sur quoi ? Silence. Le brouillard. Pas un chiffre. Pas une piste. Pas une stratégie. C’est de la prestidigitation comptable, un tour de passe-passe verbal, sans le moindre contenu. De l’économie incantatoire. Le mot « économies » a été prononcé, c’est tout ce qui compte. La réalité, elle, attendra. Ou l’élection suivante.
 
Et comme tous les incapables, il trouve des excuses. La guerre en Ukraine. Donald Trump et ses droits de douane. La météo bientôt ? L’alignement des planètes ? Le Premier ministre de la cinquième puissance mondiale se lamente comme un élève pris en défaut. Il se cherche des boucs émissaires, externalise la responsabilité, fuit la vérité.
 
Il promet des « orientations » pour le budget 2026… d’ici le 14 juillet. Autrement dit : plus tard. Demain. Après-demain. Le jour où il fera beau. C’est-à-dire jamais. Car ce gouvernement n’a ni boussole, ni énergie, ni courage. Il est paralysé par sa propre médiocrité.
 
François Bayrou est dépassé. Éreinté. Usé. Trop vieux pour l’époque, trop lent pour l’urgence, trop tiède pour le défi. Ce n’est plus un chef de gouvernement, c’est un retraité de la politique à qui l’on a redonné les clés par nostalgie mal placée. Il n’a plus la flamme, plus la force, plus l’intelligence stratégique que requiert la situation dramatique du pays.
 
Il faut le dire clairement : la France ne peut plus se permettre ce genre de simulacre au sommet de l’État. Ce n’est pas seulement une erreur politique, c’est une faute grave. Il en va de notre avenir, de notre indépendance, de notre survie.
 
Il faut censurer ce gouvernement. Il faut renvoyer François Bayrou. Et vite. Avant que le naufrage ne devienne irréversible. La France mérite mieux que cette procession de technocrates à bout de souffle.

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lundi, 14 avril 2025

La France en ruine...

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Dimanche 13 avril, Éric Lombard, ministre de l’Économie issu des rangs de la haute fonction publique socialiste, a une fois de plus dévoilé le vrai visage de ce gouvernement : celui d’un gestionnaire comptable d’un pays en ruine, incapable de remettre en question les causes profondes de la faillite française. Le budget 2026, déjà annoncé comme un plan d’austérité, ne sera qu’un cautère sur une jambe de bois.
 
Car les vrais postes de dépense — l’immigration massive, la bureaucratie tentaculaire, les milliards engloutis dans des politiques d’assistanat inefficaces — ne seront, comme toujours, pas touchés. Ce ne sont pas les fraudeurs au RSA qui trembleront. Ce ne sont pas les clandestins logés, soignés et entretenus aux frais du contribuable qui verront leur train de vie diminuer. Non, ce sont encore les classes moyennes, les familles françaises, les retraités modestes et les artisans étranglés par les charges qui paieront la facture.
 
Lombard annonce des coupes mais refuse de nommer les vrais parasites du système. Il protège un modèle néo-soviétique où l’État continue d’acheter la paix sociale à crédit, pendant que la France laborieuse est pressée jusqu’à l’os. Tout cela pour prolonger artificiellement un régime à bout de souffle, dont l’unique ambition est de survivre jusqu’à la prochaine échéance électorale.
 
Le Parti de la France dénonce avec force cette mascarade. Il est grand temps de remettre la France sur ses pieds : stopper net l’immigration, démanteler l’administration paralysante et redonner à ceux qui travaillent la juste récompense de leurs efforts. Nous refusons que les Français soient les vaches à lait d’un État-providence devenu État-pompier, éteignant ses propres incendies à coups de milliards.
 
Il faut censurer ce gouvernement, et vite. Car derrière l’austérité, c’est la soumission qui se profile : soumission à Bruxelles, à l’idéologie mondialiste, au multiculturalisme forcené, à l’effondrement de notre modèle civilisationnel.

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mercredi, 09 avril 2025

Saint-Pierre-et-Miquelon : nouvelle décharge à absurdités pour Les Républicains 9

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Thomas Joly, président du Parti de la France

La dernière trouvaille de Laurent Wauquiez : envoyer les personnes sous Obligation de Quitter le Territoire Français (OQTF) à… Saint-Pierre-et-Miquelon. Voilà donc le nouveau coup d’éclat d’un homme politique qui confond virilité républicaine et géographie élémentaire. Une idée grotesque, dispendieuse, juridiquement absurde, logistiquement kafkaïenne, et surtout… parfaitement inapplicable avant, disons, le prochain passage de la comète de Halley.

Envoyer les OQTF à Saint-Pierre-et-Miquelon ? Et pourquoi pas sur la Lune, tant qu’on y est ? On imagine déjà les convois militaires traversant l’Atlantique, les dizaines de millions d’euros pour construire des centres de rétention sur un confetti français battu par les vents, à 25 km des côtes canadiennes mais à 5.000 km de Paris. Et pour quoi faire ? Pour éloigner les clandestins… de leurs pays d’origine ! Un génie logistique, Wauquiez : plus on est loin, moins on rentre. Bel esprit.

Car enfin, de quoi parle-t-on ? Le but d’une OQTF est de permettre un retour rapide, efficace, vers le pays d’origine. Et voilà qu’au lieu de faire pression diplomatique, de couper les aides aux pays qui refusent les laissez-passer consulaires, de suspendre le droit au séjour aux fraudeurs, M. Wauquiez nous sort une fantaisie tropicale (ou plutôt subarctique). Ce n’est pas une politique, c’est une carte postale.

Mais faut-il vraiment s’étonner ? Laurent Wauquiez, c’est l’archétype du politicien LR : grande gueule en campagne, petit bras au pouvoir. L’homme qui cite Bainville pour séduire les électeurs de droite et qui applique les préceptes de Terra Nova une fois élu. Une baudruche gonflée à l’hélium de la communication, qui plane au-dessus du réel avec des idées clinquantes mais creuses. Comme tout bon héritier de la ligne molle de la droite, il s’agite, parle d'autorité, mais finit toujours par faire allégeance aux dogmes européistes, aux diktats juridiques, à la bien-pensance médiatique.

Ce n’est pas pour rien que Les Républicains sont aujourd’hui la béquille du macronisme à l’Assemblée nationale : incapables d’incarner une alternative, trop contents d’exister encore par procuration. Une droite qui ne propose rien, ou pire, qui propose l’absurde. Saint-Pierre-et-Miquelon pour les OQTF ? Non. Saint-Pierre-et-Miquelon pour les idées débiles de Wauquiez, peut-être. Et en aller simple.

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dimanche, 06 avril 2025

Toulouse, samedi 10 mai : banquet militant avec Thomas JOLY, président du Parti de la France

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jeudi, 03 avril 2025

Une justice aux ordres : l’idéologie plutôt que le droit

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Emmanuel Macron vient nous rappeler aujourd'hui, la main sur le cœur, que « l'autorité judiciaire est indépendante » et que « les magistrats doivent être protégés ». Mais de qui se moque-t-on ? Derrière ces grands principes, la réalité est tout autre.
 
Les preuves étaient tellement accablantes contre Marine Le Pen, qu’elle a été jugée et condamnée selon la loi en vigueur. Mais que l’on ne se voile pas la face : cette législation est hautement discutable, et surtout, la justice française est gangrenée par une idéologie.
 
Quand 33 % des magistrats soutiennent le Syndicat de la Magistrature, officine militante d’extrême-gauche, peut-on encore parler d’impartialité ? La réalité, c’est que la gauche idéologique règne dans les palais de justice, traquant systématiquement les opposants politiques. Il ne s’agit plus de droit mais de règlements de comptes. Une réforme profonde de la justice est aujourd’hui indispensable, si nous voulons qu’elle redevienne ce qu’elle aurait toujours dû être : indépendante, impartiale et au service du peuple français.
 
Le blog de Thomas Joly cliquez ici

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mercredi, 02 avril 2025

Amitié ou allégeance ? La capitulation française en marche

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Ce 31 mars, dans un pathétique communiqué commun, Emmanuel Macron et Abdelmadjid Tebboune célèbrent, main dans la main, une prétendue amitié retrouvée entre la France et l’Algérie. Une déclaration mièvre, dégoulinante de bons sentiments, qui masque très mal une vérité implacable : cette séquence n’est rien d’autre qu’une nouvelle capitulation française.

Après une crise diplomatique grotesque, où le gouvernement s’est ridiculisé en multipliant les volte-face et les excuses creuses, que reste-t-il ? Rien. Absolument rien. Le Président algérien n’a consenti à aucun geste : ni le rapatriement du moindre clandestin sous OQTF, ni la libération de l’écrivain Boualem Sansal.

Et pourtant, Macron continue de s’incliner. Il parle d’« amitié » mais c’est d’allégeance qu’il s’agit. De cette diplomatie de la repentance et de l'effacement, il ne reste qu’un goût amer : celui d’une France qui baisse les yeux, qui s’excuse d’exister et qui accepte d’être constamment humiliée.

Sous la présidence d’Emmanuel Macron, la France n’aura eu de cesse de se faire piétiner sur la scène internationale. Notre pays, jadis puissance respectée, est devenu une marionnette sans influence, sans crédibilité, sans fierté. Ce n’est plus la voix de la France que l’on entend mais celle d’un Président en quête de câlins diplomatiques, fût-ce au prix de notre honneur.

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lundi, 31 mars 2025

Condamnation de Marine Le Pen : la réaction de Thomas Joly

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Réaction de Thomas Joly, président du Parti de la France :

Ainsi donc, Marine Le Pen est condamnée à l'inéligibilité avec exécution provisoire dans l’affaire des assistants parlementaires au Parlement européen. Une décision éminemment politique, bien sûr, car dans cette Europe technocratique, même le choix de son stylo devient suspect dès lors qu'on ne sert pas le dogme bruxellois. Mais ne nous y trompons pas : si le coup vient du Système, la cible a tendu la joue.

Cette affaire, grotesque dans sa forme, était prévisible dans le fond. Le Front National, devenu RN, a géré cette question avec un amateurisme consternant, indigne d’un parti prétendant gouverner. C’était gros comme une maison, et ils y sont allés la fleur au fusil, comme s’ils vivaient encore à l’époque des repas de famille à Montretout. Quel mépris des règles du jeu, mais surtout quelle naïveté politique.

Marine Le Pen a cru qu’en reniant son père, en purgeant les esprits libres de son parti, en se vautrant dans la dédiabolisation obsessionnelle, elle obtiendrait le sauf-conduit du Système. Elle a cru qu’en faisant des courbettes devant les médias, en abandonnant toute radicalité, en sacrifiant sur l'autel de la respectabilité les principes fondateurs du combat national, en excluant son propre père, elle serait acceptée dans le club fermé de la bien-pensance. Quelle erreur tragique ! Le Système ne pardonne jamais l’origine. Il ne tolère qu’un opposant soumis ou un traître utile. Marine Le Pen aura été les deux, successivement.

Oui, cette condamnation est scandaleuse. Oui, on devrait être libre d’employer ses assistants parlementaires comme bon nous semble. Ce flicage inquisitorial est une atteinte de plus à la souveraineté des élus. Mais le fond du problème est ailleurs : Marine Le Pen paie aujourd’hui le prix politique et moral de sa trahison. Elle a renié l’œuvre de son père, piétiné des décennies de lutte, pour finir chassée du terrain de jeu auquel elle rêvait d'appartenir.

Le peuple français mérite mieux que cette fausse rebelle devenue domestiquée. Le masque tombe, la farce s’achève. Bon débarras.

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jeudi, 27 mars 2025

Islamisation : quand les pyromanes crient au feu

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Thomas Joly, président du Parti de la France

À chaque soubresaut médiatique, nos gouvernants s’agrippent au chiffon rouge du voile islamique, comme des naufragés à une bouée crevée. Ils s’agitent, s’indignent, débattent à sur les plateaux télé comme au café du commerce, feignant la stupeur, jouant la comédie de la découverte. Mais de qui se moque-t-on ? Cela fait quarante ans qu’ils organisent, méthodiquement, l’installation de millions d’afro-musulmans sur notre sol. Ils ont méticuleusement importé l’islamisation qu’ils prétendent aujourd’hui combattre. Ils ont creusé eux-mêmes la tombe de la France et voilà qu’ils s’étonnent du trou.

Quant aux Frères musulmans, ces stratèges patients de la conquête, nos élites les ont laissés proliférer dans nos associations, nos universités, nos syndicats, nos conseils municipaux. Pendant que le peuple français s’inquiétait, eux souriaient, complices. Aujourd’hui, ils crient au loup, mais le loup est déjà dans la bergerie, et il y a bien longtemps qu’il a mangé le berger.

Les demi-mesures, les lois inutiles, les discours creux : tout cela ne suffira pas. Il ne s’agit plus de « réguler » l’immigration, de « contrôler » l’islam politique ou de « rappeler » les valeurs de la République. Il est trop tard pour les incantations. Il faut agir. Et agir avec une clarté brutale : seule une remigration massive des populations étrangères inassimilables pourra mettre fin à ce projet cosmopolite visant à dissoudre le peuple français dans le grand bain tiède du multiculturalisme.

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dimanche, 23 mars 2025

La marche des traîtres

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Thomas Joly,  président du Parti de la France

Aujourd’hui, samedi 22 mars, la chienlit d’extrême-gauche, les éternels professionnels de la subversion et du désordre, battent le pavé dans toute la France sous prétexte de « lutter contre l’extrême-droite ». En réalité, c’est la mobilisation des traîtres à la patrie, des fossoyeurs de notre civilisation millénaire.

Ces individus, véritables ethno-masochistes, se complaisent dans la haine de soi et n’ont qu’un objectif : accélérer le Grand Remplacement, c’est-à-dire remplacer le peuple français par une population venue d’ailleurs, étrangère à nos mœurs, à nos lois, à notre Histoire. Leur projet est limpide : détruire la France française, au nom d’un universalisme absurde et suicidaire.

Et que dire de leur définition de l’extrême-droite ? Pour ces enragés, elle va de Zemmour à Macron ! Tout ce qui n’est pas leur délire gauchiste est, pour eux, fasciste. Il faut croire que la raison a définitivement déserté leur camp.

Mais qu’ils ne s’y trompent pas : cette mobilisation de l’anti-France est marginale. Ce n’est pas le peuple, mais une caste minoritaire, bruyante, hystérique et soutenue par les médias du Système. Le vrai peuple, lui, regarde ces cortèges avec dégoût. Car il sait ce qu’ils incarnent : le mépris de l’identité française, le crachat au visage de ceux qui ne veulent être ni remplacés ni métissés.

La France éternelle, elle, ne descendra pas dans la rue aujourd’hui. Elle observe. Et elle se souviendra.

Source cliquez ici

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mardi, 18 mars 2025

La France macronienne humiliée par l'Algérie

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Une fois de plus, nous assistons au spectacle pathétique d’un gouvernement français humilié par l’arrogance d'un pays sous-développé du Tiers-Monde. L’Algérie, ce « partenaire » fantasmé de nos élites bien-pensantes, refuse ouvertement de reprendre une soixantaine de ses ressortissants, pourtant visés par des Obligations de Quitter le Territoire Français (OQTF). Ces individus ne sont pas de simples clandestins perdus dans les dédales administratifs, mais bel et bien des individus dangereux qui mettent en péril l’ordre public et la sécurité des Français. Et que fait le gouvernement face à ce camouflet magistral ? Il agite timidement l'idée d'une « riposte graduée » que personne n'arrive même à définir.

Monsieur Retailleau, ce spécialiste de l’indignation feutrée et de la fermeté en mousse, nous promet une fois de plus des mesures rigoureuses qui se transformeront rapidement en discours creux et en formules aseptisées. Cette énième humiliation témoigne de la faiblesse abyssale de nos dirigeants face à l’oligarchie algérienne, cette caste incapable qui ne survit que grâce aux généreuses perfusions financières de la France et à la complaisance coupable de nos dirigeants pusillanimes.

Pourtant, les leviers de pression contre l’Algérie sont nombreux et évidents : réduction drastique voire suspension totale des visas, coupure nette des aides au développement, gel des transferts financiers et durcissement des contrôles sur les envois de fonds, révision immédiate des accords commerciaux, économiques et diplomatiques dont ce pays est tributaire. L’arrêt de l’envoi annuel de milliards d’euros serait déjà un début salutaire. Enfin, conditionner clairement toute négociation ou coopération à la reprise immédiate et sans conditions des ressortissants algériens indésirables sur notre sol.

L’immigration algérienne, il faut oser le dire clairement, est devenue un fléau national. Le communautarisme exacerbé, la délinquance massive, les tensions sociales explosives ne laissent aucun doute : la grande remigration, loin d’être une simple hypothèse, devient une impérieuse nécessité. Et c’est précisément par l’Algérie que doit commencer ce mouvement vital pour l’avenir de la France. Cessons de tendre l’autre joue à ceux qui nous méprisent. Il est temps d’agir avec force, détermination et, pour une fois, avec dignité.

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mercredi, 12 mars 2025

Claude Malhuret : le pseudo-coup d'éclat d’un sénateur fossile

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Thomas Joly, président du Parti de la France

Claude Malhuret, ce vieux fossile centriste, connait semble-t-il son quart d'heure de gloire. Le gars a le charisme d’une huître morte et la prestance d’un Gollum sous antidépresseurs, mais parce qu’il enfile laborieusement trois métaphores éculées sur Trump et Elon Musk, les médias français s’extasient comme s’il venait de réinventer la philosophie politique.

Son grand moment de bravoure ? Comparer Trump à Néron. Wow. L’originalité à son paroxysme. À ce niveau-là, autant dire que Macron est Louis XV, Hidalgo la Pompadour et lui-même Ramsès II, vu son âge canonique. Et puis cette phrase mythique sur Musk, « bouffon sous kétamine »… De la punchline de haut vol pour un type qui doit probablement se shooter au Guronsan pour ne pas s’endormir en plein discours.

Et bien sûr, les gauchistes américains en rut se ruent sur son allocution comme des groupies sur un concert des Spice Girls en 1998. Ils pensent qu’ils ont découvert un Voltaire 2.0, alors qu’en réalité, c’est juste un vieux débris sénatorial qui récite son catéchisme progressiste avec l’énergie d’une tortue asthmatique.

Une fois de plus, la France se ridiculise en exposant sur la scène internationale un papy hors-sol, qui croit encore qu’en tapant sur Trump et Musk, il va impressionner autre chose que la rédaction de Libé et quelques boomers centristes en PLS devant le monde moderne. Pathétique.

11:46 Publié dans Thomas Joly | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |