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jeudi, 28 août 2025

Quand Borne préfère le sexe des mots au sort de nos enfants

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

On sort de la conférence de presse d’Élisabeth Borne du 27 août avec le sentiment d’un rituel désormais bien rodé : des mesurettes gadgets, quelques postures idéologiques et surtout cette obsession maladive d’imposer aux Français une nouvelle rééducation permanente. Tout y est : les fouilles des cartables pour donner l’illusion de la fermeté, la chasse au téléphone portable qui ne sera jamais réellement appliquée, les promesses de recrutement d’enseignants alors que personne ne veut plus de ce métier tant il est méprisé, dévalorisé et devenu risqué dans les zones colonisées. Et bien sûr, l’inévitable couplet sur l’intelligence artificielle, présentée comme un démon qu’il faudrait censurer, encadrer, brider, plutôt que comme un outil de puissance et de savoir. Vieille rengaine d’une gauche soi-disant progressiste qui préfère interdire plutôt que transmettre.

Mais le cœur du discours, la véritable lubie, c’est ce programme d’« éducation à la vie affective, relationnelle et sexuelle » imposé à tous les enfants, dès le primaire. Trois séances par an, obligatoires, partout, pour « combler un retard ». Voilà donc la grande priorité de l’École de la République ! Non plus instruire, non plus transmettre la culture, l’Histoire, les savoirs, mais parler de sexe à des enfants de huit ans. Une fois de plus, on nie le rôle des parents, on remplace la famille par l’État-pédagogue et l’on poursuit cette entreprise de déconstruction qui mine la jeunesse française.

Et comme si cela ne suffisait pas, la ministre veut réécrire la devise qui orne la façade du Panthéon, « Aux grands Hommes, la Patrie reconnaissante ». Ce qui gêne Mme Borne, ce n’est pas le déclin de l’école, l’effondrement du niveau en mathématiques ou en français, c’est… un mot, « Hommes », accusé d’être sexiste. Il faudrait le « dégenrer ». Après avoir cassé la grammaire, on s’attaque désormais au Panthéon. Demain, on n’enseignera plus Racine ou Napoléon mais l’écriture inclusive et la théorie du genre.

Tout est là : le nivellement par le bas, la haine de l’héritage, le culte de l’idéologie. On ne célèbre plus les héros, on ne transmet plus l’Histoire, on prépare de jeunes consommateurs dociles, sans racines, sans mémoire, sans identité. La France d’Élisabeth Borne, c’est une France sans grandeur, une école transformée en laboratoire idéologique. Et si le gouvernement Bayrou tombe le 8 septembre, ce ne sera pas une perte pour la Nation mais peut-être une chance pour son avenir.

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mardi, 26 août 2025

Bayrou se fait hara-kiri avant la débâcle

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

François Bayrou a donc choisi d'orchestrer lui-même son départ : le 8 septembre, il engagera la responsabilité de son gouvernement sur son plan d’économies budgétaires. L’homme invoque l’urgence des finances publiques et brandit la rigueur comme remède national. Mais chacun a compris la manœuvre : confronté à l’impopularité de son projet, prisonnier d’un Parlement fragmenté, il préfère se faire hara-kiri avant de subir une défaite humiliante, à coups d’amendements et de motions de rejet. Ce geste n’est pas l’expression d’une force mais d’un aveu : Bayrou est dans une impasse.

Car le sort de ce vote est scellé d’avance. La France insoumise ne lui accordera évidemment pas la moindre confiance : son ADN est l’opposition frontale. Le Rassemblement national, qui l’avait jusqu’ici protégé dans un étrange calcul tactique, ne peut plus se permettre cette compromission : voter pour l’austérité, ce serait désorienter complètement son électorat populaire. Ils n’auront même pas l’excuse habituelle de refuser une motion issue de l’extrême gauche, puisqu’il s’agira d’un vote clair et direct contre le Premier ministre. Quant au Parti socialiste, il serait suicidaire pour lui de servir de béquille à un Bayrou impopulaire et, par ricochet, à Emmanuel Macron, totalement carbonisé dans l’opinion. Au pire, la droite molle incarnée par LR pourrait s'abstenir. Aucun de ces partis ne prendra le risque d’être entraîné dans le naufrage.

Bayrou, en réalité, cherche à soigner sa sortie. Il veut se présenter comme le dernier homme d’État responsable avant le chaos, comme celui qui aura osé dire la vérité des chiffres. Mais il n’est pas dupe : dès le 10 septembre, la chienlit est promise, le budget sera quasi-impossible à voter et l’Assemblée redeviendra l’arène des blocages et des invectives. Derrière sa posture professorale, il reste le vieux barbon imbu de lui-même qui rêve encore d’une candidature à la Présidentielle en 2027. Ce suicide politique n’est qu’un prélude à une crise plus vaste. La dissolution se profile à l’horizon. Ce qui d'ailleurs ne serait pas plus mal.

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lundi, 25 août 2025

La traite négrière : une vérité dérangeante

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Chaque année, la Journée internationale du souvenir de la traite négrière et de son abolition donne lieu au même rituel : contrition occidentale, culpabilité blanche, accusation sans nuance. Comme si l’Histoire de l’esclavage se résumait à une entreprise criminelle exclusivement européenne. Cette vision manichéenne n’est qu’un mythe politique contemporain.

Car la vérité historique est plus complexe, plus dérangeante. Les royaumes africains ont joué un rôle décisif dans la traite. Le Dahomey, sur les côtes de l’actuel Bénin, avait bâti sa puissance sur la capture et la vente d’esclaves. Les Ashanti, au Ghana, livraient régulièrement des prisonniers de guerre aux négriers. Sans ces fournisseurs locaux, pas de cargaisons humaines, pas de navires chargés vers les Amériques. C’est une réalité incontournable que l’on préfère taire pour préserver le confort idéologique du « Blanc coupable ».

De plus, contrairement à l’image d’un Occident tout entier prospérant sur la traite, les profits furent concentrés dans une minorité de ports, d’armateurs et de négociants. La masse des paysans et ouvriers européens n’en tira aucun avantage. Ce commerce fut l’affaire de quelques élites économiques, pas des nations dans leur ensemble.

Et rappelons que la traite n’a pas été l’apanage des Européens. Bien avant et bien après eux, les réseaux arabo-musulmans organisèrent une traite transsaharienne et orientale de grande ampleur, réduisant en esclavage des millions d’Africains. Étrangement, cette dimension reste dans l’angle mort des commémorations officielles.

Aujourd’hui, on veut faire croire aux Français qu’ils doivent réparation à des descendants d’esclaves qui n’ont jamais connu l’esclavage. Mais la France, elle, a fini par abolir cette pratique en 1848, et ce fut un événement majeur dans l’Histoire mondiale. C’est une réalité qu’on devrait célébrer au lieu de ressasser une culpabilité perpétuelle.

La mémoire ne doit pas être instrumentalisée comme un procès permanent contre l’Occident, mais comprise dans toute sa complexité. Si héritage il y a, c’est celui d’une Nation qui a su rompre avec une institution séculaire et proclamer la liberté comme principe universel. Les descendants d’esclaves devraient s’en souvenir : ils sont avant tout redevables d’une France qui a aboli l’esclavage.

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vendredi, 22 août 2025

Attal veut légaliser la marchandisation du ventre des femmes !

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Gabriel Attal vient d’annoncer son souhait d'autoriser la GPA (Gestation Pour Autrui). Il prétend que ce ne serait pas une marchandisation du corps puisqu’il s’oppose à la rémunération des mères porteuses ; une « GPA éthique » ose-t-il. Quelle naïveté ! Ou plutôt : quelle hypocrisie ! Croire qu’on pourra encadrer la gestation pour autrui sans tomber dans la logique marchande est une illusion. Dès qu’on transforme la maternité en prestation, on ouvre la porte à la loi du marché, à la location du ventre des femmes, à leur transformation en simples incubatrices.

Gabriel Attal incarne cette dérive. Par ses choix sexuels personnels, il se place d’emblée parmi les bénéficiaires potentiels de ce système. Voilà le cœur du problème : quand on choisit un mode de vie qui ne permet pas naturellement d’avoir des enfants, l’État n’a pas à bouleverser le droit et l’éthique pour satisfaire un désir individuel. Le désir d’enfant n’est pas un droit à l’enfant.

Tout enfant a droit à une mère et à un père. C’est une évidence anthropologique, enracinée dans l’ordre naturel. En prétendant que deux hommes, deux femmes ou n’importe quelle combinaison peuvent suffire, on nie ce que l’Humanité a toujours su : un enfant naît d’un homme et d’une femme et il a besoin des deux repères pour grandir.

Le discours de Gabriel Attal n’est qu’un pas de plus dans la destruction des fondements de la famille. Après avoir redéfini le mariage, après avoir banalisé l’adoption sans père ou mère, voici l’étape suivante : fabriquer des enfants sur commande. On ne parle plus de transmettre la vie mais de la produire. On ne parle plus d’accueillir un enfant mais d’acheter un service.

Ce serait une honte pour notre pays. Une honte pour nos institutions. Et une honte pour ceux qui, par calcul idéologique ou par intérêt personnel, osent justifier l’injustifiable.

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mercredi, 20 août 2025

Mort du streamer Jean Pormanove : la fosse à merde de la décadence moderne

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Je l’avoue d’entrée : je n’avais jamais entendu parler de ce « Jean Pormanove », de son vrai nom Raphaël Graven, avant que sa mort sordide n’enflamme réseaux sociaux et médias. J’ignorais tout de son existence et j’aurais préféré que cela demeurât ainsi. Mais voilà, impossible d’échapper à ce vacarme : on m’explique qu’un homme s’est fait littéralement détruire en direct, sous les ricanements et l’argent facile.

Lunaire, grotesque, apocalyptique. Un pauvre hère, fragile, malade de l’âme, avait transformé sa propre déchéance en spectacle marchand. Business juteux : contre quelques tips, il acceptait insultes, humiliations, coups, sévices. Son frère, ses « amis » – complices, bourreaux – s’en donnaient à cœur joie. Le public, anonyme, planqué derrière des écrans, en rajoutait, excitait la cruauté. Et lui encaissait, jusqu’à ce que le corps lâche.

Qui est coupable ? Lui, bien sûr, puisqu’il consentait. Mais consentir dans l’abîme n’est pas un vrai choix, c’est déjà une servitude. Ses tortionnaires, évidemment, qui ont pris un malin plaisir à l’avilir. Les spectateurs aussi : parmi eux, beaucoup de racailles toujours friandes de violence et de vice. Ceux qui payaient ne sont pas des spectateurs innocents : ce sont les clients de la boucherie humaine. Sans eux, pas de marché, pas de supplice.

Tout cela me donne l’impression de me tenir au bord d’une fosse à merde, énorme, débordante, pestilentielle. Et de respirer à pleins poumons l’odeur de la décadence moderne. Louis-Ferdinand Céline n’aurait pas dit mieux : les hommes sont des cloaques ambulants, des rats dans la fange, se délectant de leurs propres excréments.

Il faut tirer la chasse. Nettoyer. À la Javel, au Kärcher, au feu purificateur s’il le faut. On ne reconstruit pas une civilisation en laissant prospérer pareilles abominations. On ne sauve pas la jeunesse en lui donnant en exemple ces spectacles de dégradation et de mort.

Notre peuple doit retrouver ses repères : le vrai, le beau, le juste. L’ordre naturel. La hiérarchie des valeurs. Cela peut se faire par l’éducation, par l’exemple, par le retour au sacré. Mais si nécessaire, cela se fera aussi par la contrainte, par la force. Car aucun être humain normalement constitué ne doit jamais trouver divertissant le massacre de son semblable.

Sinon, il ne restera plus rien qu’une fosse. Dans laquelle nous finirons tous par tomber.

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lundi, 11 août 2025

Sommet prévu le 15 août prochain en Alaska entre Donald Trump et Vladimir Poutine

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Le Parti de la France se réjouit de l’annonce du sommet prévu le 15 août prochain en Alaska entre Donald Trump et Vladimir Poutine. Cette rencontre, attendue par le monde entier, pourrait enfin ouvrir une voie sérieuse vers la résolution du sanglant conflit qui ravage l’Ukraine depuis plus de trois ans.
 
Trop d’Ukrainiens et de Russes, civils comme soldats, ont perdu la vie en raison de l’aveuglement et de l’entêtement de certains. Il est temps de mettre fin à cette tragédie qui ne sert ni la paix, ni l’intérêt des peuples concernés.
 
L’Ukraine ne doit plus être instrumentalisée comme un simple terrain de jeu géopolitique pour défier la Russie au profit de l’OTAN, ni rester un État mafieux où prolifèrent toutes sortes de trafics. L’avenir de cette Nation doit se construire dans la stabilité et la souveraineté retrouvée, et non dans la dépendance ou la manipulation.
 
Zelensky, la marionnette cocaïnée, par ses déclarations tonitruantes et sa volonté manifeste de s’opposer à toute négociation indirecte, semble plus préoccupé par le maintien de son propre pouvoir que par le bien-être de son peuple.
 
Le processus de paix doit se concentrer sur les acteurs capables de dialoguer avec sincérité, sans interférences de ceux qui n’ont fait qu’attiser les tensions. Il est donc naturel que les gouvernements d’Europe de l’Ouest, qui n’ont cessé de pousser à l’escalade et de prolonger inutilement les hostilités, soient écartés de ces discussions. La paix ne se construira pas dans les salons bruxellois mais autour d’une table où les vrais protagonistes s’engagent, dans un esprit de compromis, à tourner la page de la guerre.
 
Le Parti de la France appelle de ses vœux une paix durable, juste et mutuellement acceptable, respectant la souveraineté des nations et la sécurité des populations. Il est temps que cesse le vacarme des armes et que débute l’effort de reconstruction des zones dévastées.
 
Ce 15 août, nous espérons que l’Alaska sera le théâtre d’une rencontre historique qui marquera le début d’une ère nouvelle, placée sous le signe de la paix, de la coopération et du respect entre les peuples.

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mardi, 22 juillet 2025

Émeutes ethniques : la guerre que personne n’ose nommer

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Limoges, Béziers, Nîmes : encore des flammes, encore des mortiers, encore des policiers et des pompiers pris pour cibles. Le même scénario usé jusqu’à la corde : des « jeunes » — toujours les mêmes, mais qu’on refuse de nommer — brûlent, pillent, agressent. Et l’État, tel un géant désossé, lève les bras au ciel, bredouille quelques mots creux sur « l’apaisement », envoie deux CRS et un tweet ministériel avant de retourner à son impuissance bien huilée.

La vérité est connue de tous mais dite par personne : ces violences sont le fruit pourri de l’immigration extra-européenne. Les émeutiers ne sont pas des Bretons ou des Auvergnats, ni des Belges ou des Italiens. Ce sont les enfants d’une immigration qui n’a jamais voulu s’assimiler, encouragée dans son rejet de la France par la lâcheté de nos gouvernants successifs. Le vivre-ensemble est une farce macabre qu’on répète pendant que le pays se disloque.

Nos élites n’ont ni le courage ni la volonté de rétablir l’ordre. La justice, gangrenée par l’idéologie gauchiste, relâche les délinquants plus vite que la police ne les interpelle. On tolère l’intolérable, on excuse l’inexcusable et on criminalise ceux qui osent dire la vérité.

Il n’y aura pas de retour à l'ordre sans répression féroce et remigration massive. C’est cela ou une guerre raciale lente, diffuse, mais certaine. Tout le reste — les plans banlieue, les stages de citoyenneté, les cellules de dialogue — n’est que du blabla républicain pour anesthésier un peuple qu’on trahit.

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lundi, 14 juillet 2025

Dépenses militaires : l’illusion du sursaut patriote

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

L’annonce d’un doublement du budget de la Défense aurait pu, en d’autres temps, apparaître comme une mesure salutaire. Oui, notre armée a cruellement besoin de moyens, après des décennies de coupes budgétaires dictées par l’idéologie mondialiste et pacifiste de la classe dirigeante. Mais ici, il ne s’agit pas d’un sursaut patriotique. Il s’agit d’un réflexe atlantiste, fondé sur un fantasme : la soi-disant menace russe. Une pure mise en scène pour justifier des dépenses militaires qui, en réalité, ne font que combler le gouffre abyssal de nos retards.

Et avec quel argent, Monsieur Macron ? Vous jurez ne pas vouloir creuser la dette alors qu’elle dépasse déjà les 3.500 milliards d’euros ! Pendant ce temps, vous continuez de subventionner l'invasion migratoire et de maintenir en vie un système de retraites voué à la faillite, fondé sur une solidarité forcée qui plombe le pouvoir d'achat des actifs. Le peuple français n’est pas dupe. Il sait que cet affichage martial cache mal votre impuissance à défendre la vraie France, celle qui souffre, celle qu’on oublie.

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dimanche, 13 juillet 2025

Dreyfus : la diversion mémorielle d'Emmanuel Macron

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

12 juillet 2025 : Emmanuel Macron inaugure une « journée nationale de commémoration » pour la réhabilitation d’Alfred Dreyfus. Encore une. À croire que les fantômes de la Troisième République gouvernent l’Élysée. Qui, aujourd’hui, se lève le matin en pensant à l’affaire Dreyfus ? Qui, en dehors de quelques agrégés de Sorbonne en mal de tribune, se passionne encore pour cette vieille affaire bouclée depuis plus d’un siècle ?

Mais le Président, en maître de l’enfumage symbolique, préfère s’occuper des morts d’hier que des vivants d’aujourd’hui. La France s’effondre, l’autorité se dissout, la France est submergée d'allogènes, le pays est devenu un coupe-gorge et lui fait des couronnes de laurier à un capitaine de 1894...

Et puis, entre nous, tout cela est bien commode. En martelant le récit de l’innocence immaculée de Dreyfus, on sanctifie une version officielle de l’Histoire et on verrouille tout débat. Gare à celui qui ose lever un sourcil : il sera cloué au pilori du « révisionnisme ». L’État moral veille.

Pendant ce temps, l’antisémitisme moderne, celui qui crie « mort aux Juifs » dans les cortèges, ne vient pas de vieux pamphlets jaunis mais bien d’un nouvel antisémitisme importé, islamisé, véhiculé dans les bagages d’un communautarisme devenu hégémonique. Mais là, silence radio. Pas touche. Il ne faut pas stigmatiser.

En somme, Dreyfus, c’est l’alibi chic, consensuel, éternel. Le voile pudique sur les lâchetés du présent. Pendant que la République en putréfaction honore ses héros d’hier, elle abandonne le peuple français qui doit survivre dans un pays qu'il ne reconnait plus.

Le blog de Thomas Joly cliquez ici

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vendredi, 11 juillet 2025

Votre maison est-elle trop grande ?

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

L'INSEE vient de publier une étude recensant les logements « sous-occupés » en France, c’est-à-dire trop grands pour ceux qui y vivent, selon ses propres critères.

C'est le rêve humide des technocrates de Bercy et des khmers verts de la planification écologique : fliquer chaque mètre carré, chaque chambre inoccupée, chaque espace vital un peu trop large aux yeux de leur dogme collectiviste. Voilà donc l'ogre bureaucratique qui s’invite dans nos foyers pour compter les pièces, mesurer les mètres et juger – depuis les couloirs feutrés de la technostructure – si nous vivons « trop confortablement ».

On nous dit que c’est pour « optimiser l’usage du parc immobilier ». En novlangue, cela signifie : rançonner les classes moyennes avec un nouvel impôt sur la « sous-occupation » pour mieux financer leur grande lubie : l’accueil sans fin de l’immigration. Car oui, ne soyons pas naïfs : derrière le vernis écologique et humaniste, il s’agit bien d’organiser le grand remplacement foncier.

Après la voiture, la viande, la cheminée, voilà maintenant que le salon trop vide devient suspect. Le propriétaire devient coupable. Et bientôt, pourquoi pas, contraint d’ouvrir sa porte – sous peine d’amende ou de honte médiatique – à la nouvelle France importée. Une chambre d’ami ? Quelle indécence ! Une pièce vide ? Une trahison républicaine !

Ce qu’ils veulent, c’est la fin de la propriété privée. Ce dont ils rêvent, c’est d’une société à la chinoise, où tout le monde vit dans 18 m², surveillé, taxé, culpabilisé. L’écologie punitive comme cheval de Troie d’un néo-communisme progressiste. Mais qu’on se rassure : leurs palaces, leurs résidences secondaires, leurs duplex parisiens, eux, ne seront pas concernés.

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mercredi, 09 juillet 2025

Macron à Londres : l'errance d'un président impopulaire chez ses clones mondialistes

Royaume-Uni. Emmanuel Macron accueilli en grande pompe à Londres pour une  visite d'État

Thomas Joly, président du Parti de la France

Emmanuel Macron s’est envolé, encore une fois, pour l’étranger. Cette fois, direction Londres, avec l’ambition affichée de « réchauffer les relations franco-britanniques ». Mais qui est encore dupe ? Derrière les sourires figés et les poignées de main molles, c’est un théâtre d’ombres qui se joue. Car Macron, comme à son habitude, fuit. Il fuit la colère populaire qui gronde en France. Il fuit la réalité.

Il va chercher à l’étranger un semblant de légitimité, une stature de chef d’État qu’il a perdue chez lui. Mais quel est donc ce Royaume-Uni qu’il vient courtiser ? Une Grande-Bretagne désormais entre les mains de Keir Starmer, un socialiste cosmétique, un technocrate sans vision, sans verbe, sans colonne vertébrale. Autrement dit, le double parfait de Macron. Même obsession pour l’Ukraine, même laxisme sur l’immigration, même déconnexion totale avec les peuples qu’ils prétendent représenter.

Et pour couronner ce tableau de décadence, c’est Charles III, le roi sans règne, qui reçoit notre président. Charles, incarnation parfaite de ce progressisme mou qui mine nos civilisations européennes. Un roi woke, écolo-bobo, qui fait plus de conférences sur le climat que d’efforts pour défendre l’héritage de son pays.

Alors oui, cette rencontre a un sens. Celui de la décadence européenne. Deux dirigeants impopulaires, coupés de leurs peuples, qui s’auto-congratulent dans les salons dorés pendant que leurs nations se désagrègent. L’un et l’autre s’acharnent à ouvrir toujours plus les frontières, à sacrifier la souveraineté nationale, à dilapider l’héritage des siècles.

Il est temps que Français et Britanniques se réveillent. Il est plus que temps que ces apparatchiks mondialistes, aussi lisses qu’inefficaces, soient balayés par la volonté populaire.

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mardi, 08 juillet 2025

Philippe, Buzyn, Véran : non-lieu pour les complices de la tyrannie sanitaire

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Thomas Joly – Président du Parti de la France

La commission d’instruction de la Cour de justice de la République a tranché : non-lieu pour Édouard Philippe, Agnès Buzyn et Olivier Véran. Une décision attendue, presque prévisible. Mais ce n’est pas là que réside le scandale. Le scandale, c’est qu’ils n’étaient pas poursuivis pour les bons motifs. On les accuse de ne pas en avoir fait assez, de ne pas avoir « combattu le sinistre » avec assez de vigueur. Quelle blague ! En réalité, leur crime, c’est d’en avoir fait bien trop.

Ces gens-là ont menti aux Français dès le début. Ils ont brandi des courbes, des modèles, des prédictions apocalyptiques pour instiller la peur. Ils ont fait passer un virus certes contagieux, mais bénin pour l’immense majorité de la population, pour la peste noire. Ils ont confiné un peuple tout entier, fermé les écoles, détruit des vies, interdit les visites aux mourants, séparé les familles au nom d’une science qu’ils ont instrumentalisée.

Ils ont violé nos libertés les plus fondamentales. Nous avons vécu, pendant deux ans, sous un régime de surveillance quasi totalitaire. Attestations, couvre-feux, passes sanitaires… Et comme si cela ne suffisait pas, ils ont imposé, presque sous la contrainte, un vaccin expérimental à des millions de citoyens, en dissimulant les effets secondaires, en réduisant au silence toute voix dissidente.

Et aujourd’hui, non-lieu. Circulez, il n’y a rien à voir. Si la justice fonctionnait vraiment, ces trois-là auraient à répondre non pas de leur prétendue inaction, mais de leur tyrannie sanitaire, de leurs mensonges d’État, de la destruction de l’économie nationale et surtout, de la trahison du peuple français.

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mercredi, 02 juillet 2025

Liberté d'expression : deux poids, deux mesures

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Ça s’émeut, ça s’indigne, ça geint. Boualem Sansal, écrivain courageux, serait persécuté par le régime algérien. Quelle découverte ! Voilà soixante ans que l’Algérie est une dictature militaire corrompue, un pays tenu d’une main de fer par une caste d’anciens fellaghas reconvertis en oligarques. Mais il a fallu qu’un intellectuel parle un peu trop fort pour que nos belles âmes s’éveillent enfin.

Le plus grotesque dans cette affaire, c’est l’indignation sélective de nos gouvernants. Ces mêmes dirigeants français qui rampent devant Alger, qui mendient une entrevue ou un vague geste diplomatique, osent donner des leçons de liberté. Ils acceptent sans broncher que l’Algérie insulte la France, refuse de reprendre ses ressortissants sous OQTF, finance des mosquées radicales sur notre sol. La France officielle, celle des ministres sans colonne vertébrale, se couche, encore et toujours.

Et pendant qu’on feint de défendre la liberté d’expression à Alger, on la piétine à Paris. On condamne des Français pour des tweets, des tribunes, des propos dissidents. Une batterie de lois liberticides verrouille le débat public : loi Pleven, loi Gayssot, loi Avia, etc. Le délit d’opinion est devenu un sport national.

Cette affaire Sansal est l’illustration parfaite de l’hypocrisie occidentale : compassion pour les dissidents étrangers, mépris pour les résistants français. Une liberté d’expression à géométrie variable, au service d’un régime qui déteste la France et d’élites qui la trahissent.

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jeudi, 26 juin 2025

En finir avec l'irresponsabilité pénale

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Le 26 mai 2022, Alban Gervaise, médecin militaire, a été sauvagement assassiné à coups de couteau et égorgé devant sa petite fille de 18 mois par un nord-africain nommé Mohamed L. Un crime d’une barbarie inouïe, motivé par une haine délirante, accompagné de cris fanatiques : « Laissez-moi le finir, au nom de Dieu. C’est le diable ! » Cet acte ignoble restera impuni. Pourquoi ? Parce que le meurtrier a été déclaré pénalement irresponsable au motif qu’il était drogué et dérangé mentalement.

Ce scandale insupportable illustre les dérives délirantes de notre justice contemporaine, qui préfère soigner les bourreaux plutôt que de rendre justice aux victimes. Un cinglé ou un drogué est-il moins coupable qu’un autre ? Depuis quand l’horreur est-elle excusée par le délire ? Pourquoi un automobiliste alcoolisé est-il condamné, mais un égorgeur « déséquilibré », non ? Pourquoi la justice s’incline-t-elle devant la pathologie mentale quand celle-ci aboutit au meurtre ?

Le Parti de la France exige l’abrogation immédiate de ce principe d'irresponsabilité pénale, qui nie le droit à la justice pour les victimes. Un criminel, qu’il soit fou, drogué ou mineur, doit répondre de ses actes. Point final.

Nous réclamons également le rétablissement de la peine de mort pour les crimes les plus abominables, comme celui dont a été victime Alban Gervaise. La société doit cesser de protéger les monstres et recommencer à défendre les innocents.

Assez de cette lâcheté judiciaire : il est temps de rendre à la France une justice digne de ce nom.

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mardi, 24 juin 2025

Retraites : quatre mois de théâtre pour éviter la vérité

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Encore quatre mois perdus. Quatre mois d’un simulacre de « conclave », comme ils osent l’appeler, alors que tout était joué d’avance. Ce théâtre d’ombres n’avait qu’un but : gagner du temps, temporiser, faire croire que l’on consulte, que l’on discute, que l’on « cherche une voie de passage ». François Bayrou, ce vieux routier de la politique molle, n’a trompé personne — ou plutôt si : il a trompé tout le monde, ce qui revient au même.

Ce conclave était voué à l’échec dès le premier jour. Pourquoi ? Parce que la vérité est interdite en République. La vérité, c’est que le système des retraites est mort. En faillite. Injuste. Déconnecté de la réalité démographique et économique. Mais toute la classe politique, dans un réflexe pavlovien de démagogie, préfère l’aveuglement au courage, la lâcheté au redressement.

Premier poste de dépenses publiques : les retraites, 360 milliards d’euros par an. Près de 14 % du PIB. Et pour quoi ? Pour un système où les actifs sont de moins en moins nombreux — à peine 1,7 cotisant pour 1 retraité aujourd’hui, contre plus de 4 dans les années 1960. Et que leur demande-t-on ? De se faire plumer. De cotiser toujours plus pour des pensions parfois indécentes, versées à des baby-boomers partis à 55 ans, protégés par des régimes spéciaux d’un autre âge.

Le système par répartition n’est plus soutenable. Il faut en finir avec cette fiction. Il faut avoir le courage de dire que la capitalisation - progressive - est une nécessité, que la retraite doit devenir flexible, un choix, une liberté : partir à la carte, selon ce que l’on a cotisé et capitalisé. Comme les Suédois, les Suisses ou les Néerlandais. Ce sont eux les modernes, nous sommes les archaïques.

Et pendant que le pays coule, que fait l’opposition ? Le Parti socialiste menace d’une motion de censure — grand bien leur fasse — mais le Rassemblement national, lui, recule. Il refuse de la voter, par pur calcul politicien. Pourquoi ? Parce que Marine Le Pen veut garder son siège, éviter une éventuelle dissolution de l'Assemblée qui la rendrait inéligible. Voilà ce qu’est devenu ce parti : un paillasson au service d’une ambition personnelle. Lamentable. Honteux. Quand la France a besoin d’un sursaut, ils choisissent l’abstention. Quand il faut trancher dans le vif, ils détournent les yeux.

François Bayrou veut gagner du temps. Le RN veut sauver un siège. Le peuple, lui, paiera la facture. Comme toujours.

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dimanche, 22 juin 2025

Trump, Netanyahou, mollahs : la guerre des puissants, la souffrance des peuples

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Thomas Joly – Président du Parti de la France

La nuit dernière, les États-Unis ont lancé des frappes contre des installations nucléaires iraniennes, en réponse à l’escalade militaire provoquée par l’État d’Israël. Le Parti de la France déplore cette intervention qui risque d’embraser davantage un conflit déjà inquiétant et lourd de conséquences pour la stabilité régionale comme pour la paix mondiale.

Loin d’être une action défensive, cette offensive américaine s’inscrit dans une logique d’ingérence et de domination qui ne sert ni les intérêts du peuple américain, ni ceux des peuples du Proche-Orient et encore moins ceux des Européens. Nous savons que Donald Trump est coutumier des coups de poker diplomatiques. Espérons donc qu’il ne s’agit là que d’un bras de fer tactique destiné à forcer un accord, et non d’un engagement durable et sanglant dans une nouvelle guerre sans fin.

Le Parti de la France n’a aucune sympathie pour le régime obscurantiste et théocratique des mollahs qui opprime depuis des décennies le peuple iranien. Mais on ne libère pas un peuple à coups de missiles. Les leçons de l’Irak, de la Libye et de la Syrie devraient suffire à mettre en garde contre cette folie belliciste.

Quant à Benyamin Netanyahou, il incarne à lui seul une politique irresponsable, belliciste et dangereuse, non seulement pour les Palestiniens qu’il massacre, mais aussi pour les Israéliens qu’il expose à un engrenage tragique. En attisant les tensions et en précipitant l’Amérique dans le conflit, il prend la région en otage.

Que Donald Trump ne cède pas aux sirènes des faucons néo-conservateurs et des lobbies qui n’ont de cesse de pousser le monde vers l’abîme ! Que l’Amérique retrouve la voie de la raison, du dialogue et de la paix !

Enfin, les Français paient déjà le prix de cette folie : les stations-service voient le prix du carburant s’envoler, pour le plus grand bonheur des spéculateurs du pétrole. Pendant que les élites font la guerre, c’est toujours le peuple qui trinque.

Le Parti de la France appelle à la désescalade et à la souveraineté des Nations, loin des aventures impériales et des manipulations géopolitiques qui ne profitent qu’à une infime minorité.

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samedi, 21 juin 2025

Mélenchon, le falsificateur historique au service du clientélisme communautaire

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Il faut décidément un mépris certain pour la vérité pour oser, comme le fait Jean-Luc Mélenchon, affirmer, avec le ton doctoral du prêcheur illuminé, que le monde arabo-musulman aurait été « historiquement supérieur » à la France médiévale. Dans une pirouette historique grotesque, il nous explique que pendant que Dagobert mettait sa culotte à l’envers, les savants arabes inventaient les mathématiques. Une telle caricature n’est pas seulement ridicule : elle est fausse, tendancieuse et idéologiquement orientée.

Car que veut-il dire, en creux, M. Mélenchon ? Que la civilisation française, enracinée dans l’héritage gréco-latin, le christianisme et les royaumes francs, serait née inférieure, presque honteuse, face à un Orient magnifié, idéalisé, sanctuarisé. Nous voilà en plein délire ethnomasochiste où l’auto-culpabilisation devient doctrine et l’Histoire, un instrument de propagande.

Historiquement, c’est une imposture. Oui, des savants musulmans ont transmis et commenté les savoirs grecs, perses et indiens. Oui, Al-Khwārizmī a structuré l’algèbre au IXe siècle. Mais les mathématiques n’ont nullement été « inventées » par le monde arabe : Pythagore, Euclide, Archimède et Diophante les avaient déjà formulées, des siècles auparavant. Loin d’être créatrice ex nihilo, la science islamique médiévale fut avant tout traductrice, compilatrice, parfois innovante mais toujours dans un cadre hérité voire dérobé.

Quant à l’Europe médiévale que Mélenchon méprise avec tant de facilité, elle n’était nullement en ruines. Dès le VIIIe siècle, les Carolingiens fondent les bases d’un renouveau intellectuel (la Renovatio imperii), posant les fondations de l’université, de l’architecture romane puis gothique, des grandes réformes liturgiques et d’un droit savant. Ce n’est pas Saladin, personnage glorifié à tort et à travers, qui a enseigné aux Français à bâtir des cathédrales : celles-ci, comme Chartres ou Sens, précèdent son époque.

Alors, pourquoi ce mensonge historique ? Parce que Mélenchon ne fait pas de l’Histoire : il fait de la politique, de la basse politique. Il flatte un électorat arabo-musulman qu’il croit captif, en l’alimentant d’un récit victimaire inversé où l’Occident est toujours coupable, l’Orient toujours noble. C’est un clientélisme historique, une mise au service de la mémoire à des fins électorales. Mélenchon ne s’adresse pas à l’intelligence des Français : il parle à des communautés, à des ressentiments, à des blessures instrumentalisées.

Cette stratégie est très dangereuse. Car à force de raconter l’Histoire comme une guerre de civilisations inversée, où l’on remplace la grandeur de la France par la repentance, où l’on nie Clovis, Charlemagne ou Saint Louis pour glorifier Averroès ou Ibn Battûta, on trahit la mémoire nationale. On excite les immigrés contre les Français. On sème la discorde sous prétexte d’universalité.

Mélenchon n’est pas seulement un ignorant en Histoire : il en est un falsificateur. Il n’est même pas un républicain mais un communautariste. Il ne parle pas pour la France mais pour ceux qui veulent la coloniser. Voilà pourquoi ses propos ne sont pas seulement erronés : ils sont indignes. Indignes d’un homme politique, indignes d’un tribun, indignes d’un Français.

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samedi, 14 juin 2025

Israël-Iran : la logique de l'abîme

Israel and Iran: An Early Read | Council on Foreign Relations

Thomas Joly, président du Parti de la France

L’attaque spectaculaire menée cette nuit par Israël contre l’Iran — avec la mort confirmée du chef des gardiens de la Révolution islamique et du chef d’état-major iranien, ainsi que la destruction de plusieurs sites stratégiques — marque un tournant historique d’une gravité extrême pour le Moyen-Orient. En frappant le cœur même du pouvoir iranien, Israël prétend agir de manière préventive, pour empêcher l’Iran de se doter de l’arme nucléaire. Mais une telle logique de frappe préventive, toujours discutable sur le plan du droit international, devient terriblement dangereuse lorsqu’elle est menée par un État comme Israël, dont l’arsenal nucléaire existe déjà mais n’a jamais été officiellement reconnu. Peut-on vraiment justifier l’un au nom de l’autre ?

L’Iran, certes, paie aujourd’hui le prix de son double jeu permanent : soutien armé et financier au Hamas, rhétorique belliqueuse envers l’État hébreu, rôle opaque dans les événements sanglants du 7 octobre. Mais cela ne saurait excuser un tel embrasement. Ce n’est pas seulement une escalade ; c’est une conflagration en germe. En agissant seul, sans concertation avec son principal allié, Israël prend le risque de fracturer encore davantage l’ordre international et de compromettre durablement la paix dans la région.

Donald Trump, que l’on dit prévenu à l’avance et opposé à cette opération, a vu son avertissement superbement ignoré. Il est temps qu’il rappelle à Tel-Aviv une vérité géopolitique simple : sans l’ombrelle militaire et diplomatique américaine, Israël serait aujourd’hui à la merci de ses ennemis.

Cette attaque n’annonce rien de bon. Ni pour la stabilité régionale, ni pour les relations transatlantiques, ni pour l’avenir de la dissuasion nucléaire. Le Moyen-Orient entre une fois encore dans la zone rouge.

Article publié sur le blog politique de Thomas Joly, le 13 juin. Cliquez ici.

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jeudi, 12 juin 2025

Boomers, couteaux et réseaux : la farce tragique d’une élite déconnectée

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Le drame de Nogent, où une surveillante a été poignardée à mort par un collégien, aurait pu être l’occasion d’un sursaut national. Mais non. Que nous propose l’establishment ? François Bayrou, ce vieux centriste en costume de flanelle, veut interdire la vente de couteaux aux mineurs. Pourquoi pas les fourchettes tant qu’on y est ? Des portiques de sécurité à l’entrée des collèges ? Le rêve humide des technocrates : transformer les écoles en aéroports sans jamais se demander « qui » il faut empêcher d’y entrer.

Emmanuel Macron, de son côté, nous gratifie de sa trouvaille géniale : interdire les réseaux sociaux avant 15 ans. Comme si TikTok poignardait des surveillants dans les couloirs des collèges. Comme si le problème était le contenu et non ceux qui le consomment. Et certains médias dégainent leur vieux disque rayé : les jeux vidéo. Le coupable parfait depuis des décennies. Tout cela suinte le boomerisme, l’aveuglement confortable de ceux qui refusent de voir ce que le peuple vit.

La vérité est brutale : on récolte ce que l’on a semé. L’effondrement de l’autorité, l’idéologie de l’excuse, le refus obstiné de nommer les coupables. Il ne suffit plus de pleurnicher. Il faut un retour de l’ordre réel : maisons de correction pour les mineurs délinquants et les mêmes peines que les adultes pour les mineurs criminels. Assez de cette indulgence délirante qui transforme les gamins ensauvagés en victimes du Système.

Et surtout, il est temps d’en finir avec le mensonge du « vivre-ensemble ». Une remigration massive des populations inassimilables est désormais une condition de survie pour la France. L’insécurité chronique n’est pas un phénomène naturel. Elle a des causes. Et elle a des visages.

Quant à Quentin, le meurtrier de Mélanie, ce psychopathe devrait être définitivement écarté de notre société, même s'il n'a que 14 ans. Pas question de « réinsérer » un tel monstre, ni demain ni après-demain.

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mardi, 10 juin 2025

Madleen : le radeau des illusions

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Quelle farce pathétique que cette misérable épopée du voilier Madleen, cette caravelle des temps modernes, où des bobos, des gauchistes internationalistes et des pleureuses professionnelles voguent sur les flots de la bonne conscience. À la barre de cette galère idéologique : une écologiste suédoise dont le regard halluciné fait frémir même les algorithmes de l’intelligence artificielle, et une députée européenne d’ultra-gauche qui semble avoir oublié qu'elle siège à Bruxelles, pas à Ramallah.

Le Madleen, navire à la dérive, ou plutôt opération médiatique cousue de fil blanc, affrété par les propagandistes de la Freedom Flotilla Coalition, cet aréopage victimaire qui croit encore aux luttes de libération en keffieh et aux barricades imaginaires du Quartier latin. Ils prétendaient « briser le blocus israélien »... Comme si Tsahal allait trembler devant une poignée de militants Twitter armés de smartphones et de slogans recyclés ?

Cerise sur le gâteau : voilà que, comme par miracle – deus ex machina digne d’un mauvais film de propagande soviétique – nos aventuriers croisent une embarcation de migrants en détresse. Bien sûr. Juste au bon moment. L’image est belle, trop belle. La narration parfaite, trop parfaite. Hollywood en aurait rougi. Le Madleen ne sauve pas des vies, il sauve des causes. Il nourrit la mythologie de la gauche morale, celle qui préfère pleurer sur le sort de l’Autre plutôt que défendre le destin du Même.

Et comme prévu, les autorités israéliennes, qui n’ont ni le temps ni l’humour pour ce genre de performance, ont arraisonné le navire. Fin de l’acte I. Rideau sur la mascarade. Mais en France, le cirque continue. Les fanatiques de La France Insoumise, qui ne voient plus la France que comme un obstacle à abattre, appellent à la mobilisation générale. La grande alliance intersectionnelle entre les islamistes, les indigénistes, les wokistes et les néo-trotskystes est en marche. La cause palestinienne ? Elle n’est qu’un alibi. Ce qu’ils défendent, ce n’est pas Gaza. C’est la disparition de notre civilisation.

Qu’on me comprenne bien : je ne viens pas ici défendre la politique de Netanyahu, que je considère comme moralement délétère et clairement génocidaire. Mais on ne combat pas une injustice par une farce. On ne résiste pas à la barbarie par l’idiotie. Ce voilier n’est pas une arche de paix : c’est un radeau de la Méduse, embarquant les ruines d’une gauche moribonde, prête à tout – jusqu’à pactiser avec les pires ennemis de la liberté – pour sauver ses chimères.

Pendant que ces saltimbanques voguent vers leur gloire médiatique, la France, elle, se noie. Elle se noie sous les vagues migratoires qu’ils célèbrent, sous les replis communautaires qu’ils encouragent, sous l’islamisation rampante dont ils se réjouissent. À bord du Madleen, il n’y a pas que des militants : il y a des fossoyeurs. Fossoyeurs de l’Europe, fossoyeurs des nations, fossoyeurs de notre identité.

Alors non, je n’aurai aucune solidarité avec ces pseudo-héros. Qu’ils restent en mer, avec leurs illusions, leurs slogans et leur boussole morale déréglée. Moi, je reste sur la terre ferme. Celle d’un peuple qui ne veut pas mourir.

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vendredi, 06 juin 2025

Donald et Elon : la brouille...

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
La brouille entre Donald Trump et Elon Musk est déplorable. Elle est le fruit amer d’un malentendu – ou d’une naïveté. Celle d’un entrepreneur génial, mais politiquement candide. Car Trump n’a jamais trompé personne. Depuis le premier jour, il a assumé haut et fort son programme : « America First ». Une Amérique indépendante, énergétiquement souveraine, affranchie des lubies écologistes des élites mondialistes. Le démantèlement des incitations fiscales pour les véhicules électriques et les énergies solaires, c’est exactement ce qu’il avait promis. Et ce qu’il applique. Fidèlement. Logiquement. Férocement.
 
Elon Musk, au lieu de se lamenter comme une diva froissée, aurait mieux fait de lire entre les lignes. Il aurait dû comprendre que Tesla, enfant choyé des subventions vertes, serait tôt ou tard sacrifiée sur l’autel du pragmatisme trumpien. Il aurait dû vendre (avant même son entrée en politique), se recentrer sur SpaceX, projet visionnaire et moins dépendant des humeurs fiscales de Washington. Il ne l’a pas fait. Et aujourd’hui, il pleurniche.
 
Pire : il réagit comme un adolescent vexé, par des tweets erratiques, une posture victimaire et des attaques dignes d’un militant progressiste. Cette réaction, disons-le, est hystérique et autistique – au sens premier du terme : refermée sur elle-même, coupée du réel. Or le réel, c’est Trump. C’est l’économie américaine, la vraie, celle des pipelines et des puits de pétrole. Musk, en contestant frontalement cette logique, a braqué le Président. Qu’il ne s’étonne donc pas que l’un de ses proches ait été écarté de la NASA.
 
On peut regretter que deux figures aussi puissantes – deux icônes de la liberté d’expression, deux champions de la désobéissance – en soient réduites à cette guerre d’ego. Mais il faut rappeler que l’immaturité politique de Musk est ici flagrante.
 
Espérons un sursaut de lucidité. Que Musk cesse ses enfantillages. Que Trump sache pardonner les outrances. Car leur alliance serait autrement plus redoutable que leur opposition. L’avenir de l’Amérique – et peut-être celui de la civilisation occidentale – mérite mieux que ce vaudeville entre un président visionnaire et un ingénieur égaré dans la politique.

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mardi, 03 juin 2025

Puget-sur-Argens : un drame transformé en arme idéologique

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Le meurtre d’Hichem Miraoui à Puget-sur-Argens est un drame. Un meurtre sordide, terrible, comme il en existe malheureusement dans toutes les sociétés humaines. La justice doit passer. Le coupable doit être puni. Mais ce qui est fascinant – ou plutôt consternant – c’est l’instrumentalisation frénétique, délirante, presque hystérique de ce fait divers par l’ensemble du système politico-médiatique.
 
Qu’un différend de voisinage, aussi ignoble soit-il, déclenche la saisie du parquet antiterroriste, que le ministre de l'Intérieur, Bruno Retailleau, se précipite pour rencontrer l’ambassadeur tunisien, penaud, tête basse, comme un collégien pris en faute, voilà qui dit tout de l’état de soumission mentale dans lequel se trouvent nos gouvernants.
 
Les réactions politiques sont d’une indécence rare. Toute la gauche, et même une partie de la droite – ou ce qu’il en reste – y voit un « climat raciste » instauré par « l’extrême-droite ». Même Marine Le Pen et Jordan Bardella se sentent obligés de hurler avec les loups, suppliant - en vain - la presse de gauche de leur accorder le brevet de l’antiracisme républicain.
 
Mais de qui se moque-t-on ? Ce meurtre est certes tragique mais il est isolé. Il ne traduit aucune dynamique collective, aucun « climat », aucune stratégie idéologique. En revanche, les agressions quotidiennes contre des Français de souche, dans l’indifférence politico-médiatique, traduisent bel et bien un basculement civilisationnel. Où est le parquet antiterroriste quand des jeunes femmes françaises sont violées par des migrants ? Où sont les ministres quand un Français est poignardé parce qu’il est blanc ? Où sont les caméras, les tweets, les larmes sur commande ?
 
Ce battage n’a qu’un but : culpabiliser encore un peu plus le peuple français, le convaincre que le vivre-ensemble est une obligation morale et que tout refus en est une trahison. Mais ce drame révèle au contraire l’échec absolu du multiculturalisme. Quand des voisins ne peuvent plus vivre ensemble sans que le soupçon racial vienne tout parasiter, c’est que le modèle est mort. Définitivement.
 
La France se dissout dans la repentance. Elle s’accuse, elle s’excuse, elle se renie. Mais cette mascarade ne trompe plus personne.

 

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samedi, 31 mai 2025

Les députés suppriment les ZFE !

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Enfin une éclaircie dans la brume épaisse de l’idéologie verte. Une fois n’est pas coutume, les députés — ces godillots d’ordinaire soumis aux lubies technocratiques — ont agi selon l’intérêt véritable des Français. En supprimant les ZFE, ces Zones à Faibles Émissions, ils ont redonné un souffle de liberté et de bon sens au peuple, en particulier aux plus modestes, qu’on avait désigné comme des délinquants au volant de leurs vieux diesels.

Rappelons ce que sont ces ZFE : une absurdité punitive, une persécution bureaucratique, imposant aux Français de jeter à la casse des véhicules encore parfaitement fonctionnels, sous prétexte qu’ils ne répondaient pas aux normes capricieuses de la religion écologiste. Les petits artisans, les retraités, les familles des périphéries : tous sommés de s’endetter ou de disparaître. C’est la fracture française incarnée en politique de mobilité.

Mais attention, la guerre n’est pas finie. Car rôde encore le glaive du Conseil constitutionnel, cette instance qui prétend incarner la sagesse républicaine mais qui, trop souvent, devient le dernier bastion des dogmes mondialistes et des oukases bruxellois.

Aujourd’hui, les Français respirent un peu mieux. Non pas grâce aux ZFE, mais grâce à leur suppression. Que cela serve de leçon : le réel finit toujours par triompher de l’utopie. Même - parfois - à l’Assemblée.

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mardi, 27 mai 2025

Samedi 31 mai, à Amiens : déjeuner avec Thomas Joly (PdF) et Jérôme Bourbon (Rivarol)

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lundi, 26 mai 2025

Le racisme anti-Blancs, ce secret de polichinelle

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Il paraît que Mustapha El Atrassi a choqué. Qu’il a « dérapé ». Ah bon ? Quelle surprise. Depuis quand un humoriste issu de l’immigration, bien au chaud sur les plateaux du divertissement français, crache-t-il son mépris du « Français de souche » ? Depuis... toujours. Ce n’est pas un dérapage, c’est un programme. Ce n’est pas une erreur, c’est une constante. Et il serait temps que ceux qui feignent la surprise cessent de se boucher le nez devant la puanteur du réel.

Le racisme anti-Blancs ? Il n’a pas commencé hier. Il gangrène les quartiers depuis trente ans. Il se chuchotait, puis s’est crié, aujourd’hui il se joue sur scène, en prime time, avec les rires complices d’un public acquis. Ces humoristes ne sont pas des comiques, ce sont les tribuniciens d’une revanche ethnique. Ils rient en nous haïssant.

Ce n’est pas El Atrassi le problème. Il n’est que l’arbre moqueur qui cache la forêt de l’hostilité. L’hostilité d’une jeunesse afro-musulmane élevée dans le ressentiment, dans la culpabilisation de la France, dans l’idée que tout lui est dû et que le Français autochtone est un colon à chasser. Voilà le fruit de quarante ans de lâcheté migratoire, d’antiracisme à sens unique, de repentance sans fin.

Et pourtant, des voix s’étonnent, s’offusquent, découvrent soudain le racisme anti-Blancs comme on découvre l’eau tiède. Ce ne sont pas des révélations, ce sont des réveils tardifs. Les Français qui vivent dans le monde réel – pas dans les salles de rédaction ou les amphis de Sciences Po – le savent depuis longtemps : ils vivent l’insécurité, l’humiliation, le mépris quotidien.

Le problème est clair : il est démographique. Il est identitaire. Il est migratoire. Une société ne peut survivre à l’importation massive de populations qui ne veulent ni s’assimiler, ni respecter, mais dominer. La solution ? Elle a un nom, un seul : la remigration. Tout le reste n’est que bavardage et anesthésie.

La France mérite évidemment mieux que l’autodérision honteuse de ceux qui rient en la salissant. Il est temps de redevenir fiers. Et pour cela, il faut d’abord cesser de rire avec ceux qui nous haïssent.

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vendredi, 23 mai 2025

Suppression du liquide : une fausse guerre contre la drogue

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Gérald Darmanin propose de supprimer l'argent liquide pour lutter contre le narco-trafic. Mais à qui croit-il faire peur ? Les trafiquants de drogue, ces multinationales du crime implantées jusque dans les halls d’immeuble de nos banlieues, n’ont pas attendu les cartes bancaires pour blanchir leur argent. Ils ont déjà un temps d’avance : cryptomonnaies, or, transferts anonymes. Leur ingéniosité est sans limites car leur motivation est vitale. Ils jouent leur vie, là où Darmanin joue son image.

En réalité, cette mesure ne frapperait pas les dealers. Elle frapperait les Français. Elle frapperait le retraité qui veut garder ses économies en liquide, le commerçant qui préfère les espèces, la mère de famille qui paie au marché, le bricoleur qui rend un petit service, le campagnard qui vend les œufs de son poulailler à ses voisins. Chaque transaction deviendra une donnée. Chaque dépense, une trace. Le fisc surveillera tout. Les banques deviendront des auxiliaires de police. Déjà qu'il faut justifier pourquoi vous voulez retirer 1.000 euros...

On nous vend la guerre contre la drogue mais c’est une guerre contre la liberté. Une liberté jugée suspecte. Une autonomie qu'on étouffe sous prétexte de sécurité. Or, si le gouvernement voulait vraiment éradiquer le narco-trafic, il n’aurait qu’à faire ce que tous les Français attendent : expulsion systématique des trafiquants étrangers à l'issue de leur peine, peines exemplaires jusqu’à la peine de mort pour les chefs de gangs qui empoisonnent nos enfants.

Mais cela demande du courage. Alors on préfère traquer les billets de 20 euros dans les porte-monnaie des honnêtes gens. C’est plus simple, plus lâche et tellement plus compatible avec la bonne conscience progressiste.

La République ne protège plus le peuple. Elle le surveille.

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mercredi, 21 mai 2025

Les collabos de la République découvrent leur œuvre

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Il a fallu des décennies de silence, de lâcheté, de collaboration intellectuelle pour qu’enfin, nos dirigeants découvrent — avec des trémolos dans la voix et un ton faussement grave — que l’entrisme islamique gangrène les institutions, les écoles, les hôpitaux, les associations, les partis politiques eux-mêmes. Quelle révélation ! Quelle audace ! Ils tombent des nues comme des enfants stupéfaits de trouver de l’eau… dans la mer.

Ce que certains appelaient « théorie du complot » hier devient brusquement une « urgence républicaine ». Les lanceurs d’alerte, eux, n’ont pas changé de discours : ils sont simplement passés du statut de Cassandre à celui de visionnaires. Mais à quel prix ? Méprisés, diffamés, traînés dans la boue comme des « fachos », des « identitaires », des « racistes ». Pourtant, ils disaient la vérité. Une vérité simple : sans immigration massive, il n’y a pas d’islamisation de la France. C’est une évidence que seuls les aveugles volontaires, les juges rouges et les éditorialistes subventionnés refusaient de voir.

Car oui, l’islamisme ne pousse pas dans les champs de blé. Il arrive par bateaux, par avions, par regroupement familial, par l’asile détourné. Il infiltre parce qu’on a ouvert. Il conquiert parce qu’on a capitulé. La submersion démographique précède toujours la subversion idéologique. Ce ne sont pas les mosquées qui précèdent les prières, ce sont les fidèles.

Et maintenant que les Frères musulmans ont placé leurs pions partout, nos élites se découvrent une passion soudaine pour la laïcité. Fort bien. Mais alors allons jusqu’au bout. Si l’on dénonce l’entrisme islamique, qu’on ait le courage aussi de regarder du côté des autres réseaux d’influence. Ceux qui, sous couvert de philosophie, de morale républicaine, de « valeurs humanistes » ou de victimisation éternelle, tiennent les rênes du pouvoir profond. La République est peut-être en danger, à laquelle nous préférons d'ailleurs la Nation, mais elle ne l’est pas que d’une seule manière.

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mardi, 20 mai 2025

Kassovitz ou la haine de la France éternelle

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Thomas Joly - Président du Parti de la France
 
Lors d’une interview sur le plateau de l’émission C à vous sur France 5, le 19 mai 2025, Mathieu Kassovitz a déclaré que le plus gros problème en France, c'était « le racisme » et « j’espère qu’on va continuer à se mélanger. Il n’y a plus de Français de souche, ça n’existe plus ».
 
Une fois de plus, ce sale type récidive. Ce n’est pas la première fois qu’il crache sur la France. Mais cette fois, il va encore plus loin : il nie l’existence des Français de souche. Comprenez bien ce que cela signifie. Il ne s’agit pas d’une déclaration anodine : c’est l’effacement assumé de toute continuité historique, culturelle et charnelle de notre Nation.
 
Imaginez une seconde – une seule – qu’un commentateur ose dire : « Il n’y a plus de Juifs, ça n’existe plus. Et j’espère qu’on va continuer à se mélanger. » Que dirait Mathieu Kassovitz ? Il serait évidemment hystérique. Il parlerait d’antisémitisme, de haine, d’extermination symbolique. Mais lorsque c’est la France, son peuple, sa culture millénaire qui sont visés, là, soudainement, c’est une preuve d’ouverture.
 
Kassovitz, c’est l’homme qui voit du racisme partout, sauf quand il est dirigé contre les Blancs. C’est l’homme qui dénonce sans relâche la France « coloniale », « réactionnaire », « xénophobe » – cette France qu’il insulte continuellement tout en vivant de ses succès. Il n’a de cesse de culpabiliser les Français, de leur faire porter tous les maux : racisme, antisémitisme, violence... Mais jamais, au grand jamais, il ne reconnaîtra les réalités qui dérangent : le racisme anti-blancs, le communautarisme, la haine de la France dans certains quartiers.
 
Ce qu’il prône, ce n’est pas le vivre-ensemble, c’est l’effacement de l’identité française.
 

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mercredi, 14 mai 2025

Le verbe vide d’un président déconnecté

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Plus de trois heures. Plus de trois longues heures de logorrhée présidentielle, d’auto-satisfaction creuse, de bons sentiments en boucle, de « en même temps » aussi fades qu’inefficaces. Emmanuel Macron s’est livré hier soir à un monologue indigeste, à mi-chemin entre le sermon d’un curé progressiste et le discours lénifiant d’un DRH en séminaire. Pendant trois heures, les Français ont eu droit à un étalage d’arrogance technocratique, sans une seule annonce concrète, sans la moindre décision forte – et surtout, sans le moindre courage.

Pas de référendum. Pas même sur un sujet anecdotique. Quant à l’immigration, sujet brûlant s’il en est, le Président l’a une nouvelle fois enjambé avec un mépris glacé, comme s’il s’agissait d’une lubie populiste. Pour Macron, l’immigration massive n’est pas un problème, c’est une richesse, un fantasme diversitaire qui détruit lentement mais sûrement l’unité de la Nation. Il nie l’évidence, il méprise les Français qui souffrent et il continue de vanter une société multiculturelle qui fracture, qui gangrène, qui ensauvage.

Et comme toujours, la Russie est le bouc émissaire parfait. Obsession russophobe pathologique : Macron dénonce, menace, brandit des sanctions comme un enfant gâté agite son hochet. Mais où est son indignation quand Israël, qu’il encensait encore hier, rase Gaza avec une brutalité inouïe ? Ce 13 mai, il a feint l’équilibre : un soupçon de critique, quelques mots humanitaires, mais sans jamais remettre en cause la destruction systématique d’un peuple. C’est trop tard, trop lâche, trop hypocrite.

Son seul talent est celui du verbe. Mais les mots ne réparent pas les ruines. Les Français veulent des actes, pas des pirouettes lexicales. Ce président gouverne par l’illusion, par le théâtre. Et pendant ce temps, la France décline. Économiquement asphyxiée, migratoirement submergée, sécuritairement livrée à elle-même.

Comment des Français sains d’esprit peuvent-ils encore accorder le moindre crédit à ce manipulateur cynique ? Il est le symptôme d’un pouvoir coupé du réel, d’une élite déconnectée, d’un déclin organisé. Et son interminable talk-show d’hier n’a fait que confirmer une chose : Emmanuel Macron est l’homme du verbe vide et du pays vidé.

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lundi, 12 mai 2025

Répression et remigration : les seules réponses face à la barbarie

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Thomas Joly - Président du Parti de la France

Samedi à Evian, un pompier a été grièvement blessé par un voyou de 19 ans qui l'a volontairement percuté lors d’un énième rodéo urbain.

Cette barbarie n’est pas un fait divers : c’est le symptôme d’une société gangrenée par la lâcheté politique et le laxisme judiciaire. Quand nos soldats du feu, ces héros du quotidien, deviennent des cibles pour une racaille sure d’elle-même et impunie, c’est que l’État a abdiqué.

Il ne suffit plus de « condamner fermement » ou de faire semblant d’« ouvrir une enquête ». Il faut des actes. L’insécurité ne se combat pas avec des lamentations et des indignations médiatiques mais avec une répression implacable. Assez de cette justice qui relâche ou condamne la vermine à des peines dérisoires !

Le Parti de la France exige l’expulsion systématique des criminels et délinquants étrangers à l’issue de leur peine, avec toute leur famille. La France n’est pas un centre de loisirs pour caïds enragés. Il est temps de rendre la peur aux voyous et la sécurité aux Français.

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