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mercredi, 26 juillet 2006

PLUTOT PREVOIR QUE VOIR...

Le drame qui se déroule depuis quelques jours au Liban devrait être un avertissement aux peuples d’Occident.

 

En effet, à lui seul, il résume ce qu’il pourrait advenir demain de l’Europe en général et de la France en particulier si rien n’est fait pour changer les choses. Il est l’aboutissement logique et définitif de la société pluriethnique que veulent nous imposer les politiciens, de gauche comme de droite, qui se partagent le pouvoir depuis trop longtemps.

 

Mettre deux, ou plusieurs, peuples sur une même terre engendre forcément à un moment ou à un autre des conflits meurtriers. L’histoire de l’Humanité est parsemée d’exemples qui le prouvent. Le Proche-Orient, au même titre que l’Irlande du Nord ou le Kosovo pour ne prendre que ces exemples récents, en est la tragique illustration actuelle.

 

Si, dès maintenant, rien n’est fait pour enrayer l’immigration massive et incontrôlée qui envahit notre continent ainsi que l’islamisation progressive de notre société, il y a hélas fort à parier que, demain, notre pays ressemblera de plus en plus au Liban ou à la Palestine d’aujourd’hui. La cohabitation harmonieuse de plusieurs sociétés sur une même terre n’est qu’un fantasme de lecteurs du Nouvel’Obs ou de gentils membres du Club Méd. La réalité est tout autre…

 

Comme il est toujours préférable de prévoir que de voir, il est encore temps de refuser ce sinistre destin. Pour cela, il faut un véritable sursaut national, il faut le rassemblement des hommes et des femmes conscients du danger qui menace notre civilisation occidentale. C’est dans cet esprit de mobilisation des forces nationales, identitaires et patriotiques que nous inscrivons notre démarche.

 

Roland Hélie

12:15 Publié dans Editoriaux | Tags : droite nationale, politique, proche-orient, liban, le pen, immigration | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 17 juillet 2006

Espagne, 18 juillet 1936 - 18 juillet 2006 : LA DERNIERE CROISADE VICTORIEUSE.

medium_franco_francisco-795977.jpgEn juillet 1936, alors que l'Espagne subissait depuis quatre années les méfaits du régime le plus odieux et le plus criminel de son histoire, un groupe d'officiers patriotes décidait de mettre fin à cette sinistre comédie.

 

Très vite, toutes les forces vives du pays se rallièrent à la conjuration et, au lendemain de l'assassinat par les milices républicaines du député monarchiste José Calvo Sotello, le "soulèvement national du 18 juillet" prenait la forme d'une véritable croisade pour l'unité du pays face à l'anarchie et au danger communiste. Croisade qui culmina avec l’héroïque résistance des cadets pendant le siège de l’Alcazar de Tolède.

 

D'un côté : l'armée, l'Eglise, les corporations professionnelles, la Phalange de José Antonio Primo de Rivera, les Carlistes ainsi qu'une grande partie de la Démocratie-Chrétienne ; de l'autre : toutes les organisations marxistes et anarchistes soutenues par la bourgeoisie libérale ainsi que l'Union soviétique de Staline et leurs larbins des Brigades internationales. Un homme se distingua rapidement à la tête des nationaux : le Général Francisco Franco. Une fois la menace communiste écartée et la république définitivement reléguée aux poubelles de l'histoire, le Général Franco entreprit de faire de son pays une grande nation moderne et prospère. C'est ainsi que la transformation spectaculaire qui s'opéra au cours de ses quarante années de pouvoir fut communément appelée "le miracle espagnol". L'immense popularité dont jouissait Franco auprès des Espagnols aida à la réussite de cette véritable mutation du pays. L’Espagne est aujourd’hui un pays qui compte dans le concert des nations. Cette place, c’est à Franco qu’elle la doit et elle le sait.

 

Mais, depuis quelques jours, la bien-pensance multiplie les attaques faciles et malhonnêtes contre la période franquiste. Films et documents partiaux se bousculent sur les chaînes de télévisions. Reportages tendancieux et déformations historiques s’accumulent dans la presse aux ordres. A tous ceux qui seraient prêts à gober ces sornettes, nous poserons une seule question : imaginez un instant quel aurait été le destin de l’Europe occidentale si la république espagnole avait, par malheur, perduré au lendemain de la Seconde guerre mondiale? Coincées entre le Bloc de l’Est et une Péninsule ibérique à la botte de l’URSS, les nations libres d’Europe occidentale, à commencer par la France, n’auraient pas fait long feu dans le contexte de cette époque.

 

Critiquer le régime de Franco est une chose qui ne nécessite pas beaucoup d’audace aujourd’hui. Mais nous savons que nos adversaires n’en ont pas besoin pour apparaître comme des parangons de la vertu et du courage. Pour notre part, nous n’oublierons jamais ce que l’Occident doit éternellement à l’Espagne Une, Grande et Libre du Général Franco.

 

Roland Hélie

 

PS : Nous ne pouvons que vous conseiller la lecture de la dernière livraison de la NRH consacrée à la guerre d'Espagne.

De plus, le Cercle franco-hispanique, présidé par notre ami Olivier Grimaldi, vient de publier les actes du colloque qu'il organisa en juin 2003 à Paris sur José Antonio Primo de Rivera (Editions Déterna, 168 pages, 21 euros). Nous rappelons aussi la publication par les Editions Clovis de la bande dessinée Le Siège de l'Alcazar (48 pages, 29 euros).

23:00 Publié dans Editoriaux | Tags : Droite nationale, politique, FN, Espagne, histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 11 juillet 2006

« LORSQUE LES LEGIONS ROMAINES BATTENT LES MERCENAIRES NUBIENS… »

C’est fini. La France, ou tout du moins l’équipe qui défendait les couleurs de la France, a perdu. Ce qui ne fut malgré tout qu’un match de foot a beau se transformer en tragédie nationale, les larmes et les commentaires mesquins ne changeront rien : l’équipe italienne l’a emporté. C’est la dure loi du sport où il ne suffit pas de correspondre aux critères et aux fantasmes de la bien-pensance pour être les meilleurs.

Tout d’abord, il convient de clarifier les choses : il n’est pas question de juger les qualités sportives des joueurs de l’équipe de Raymond Domenech. Chacun d’entre eux pratique le foot avec passion et nul ne le leur reprochera ici. Néanmoins, ce qui est plus choquant, c’est l’esprit dans lequel l’équipe a été concoctée.

On ne nous fera pas croire qu’il n’existait pas en France onze joueurs de bon niveau d’origines poitevines, alsaciennes ou picardes capables de constituer notre équipe nationale. Ce qui n’exclurait d’ailleurs pas la présence parmi eux de Français natifs de nos départements et territoires ultramarins. Mais la composition de Domenech ressemblait tellement à une sorte de provocation à l’encontre de ceux qui, comme nous, pensent que le peuple français est un peuple européen, de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne (pour reprendre la définition du Général De Gaulle) que l’on peut légitimement s’interroger sur les véritables motivations du sélectionneur et de ceux qui, jusqu'à hier soir, l’encensaient encore.

Mais nous n’allons pas accabler le pauvre Raymond, car, pour une fois, en soulignant que c’était bien français de se glorifier d’une défaite, il a dit tout haut une vérité que personne, politiquement correct oblige, n’osait plus formuler depuis longtemps. Ce constat amer tombait d’ailleurs à pic pour ridiculiser la réaction, on ne peut plus niaise, de Chirac.

Car en effet, au-delà de l’anecdotique Coupe du monde, le fond du problème est bel et bien là. Depuis trop longtemps, on berce notre peuple dans le culte de la médiocrité. A force de le culpabiliser sur tout et n’importe quoi, de généraliser l’assistanat à la petite semaine tout en multipliant les taxes, les charges et les impôts qui tuent nos entreprises et de reculer lamentablement face à tous les défis internationaux, Chirac et ses semblables ont fini par abaisser la combativité de bon nombre de nos concitoyens au niveau zéro. Alors, même si Domenech est loin d'être un de nos amis, reconnaissons lui au moins cette rage de vaincre qui tranche singulièrement dans la chiraquie agonisante.

Friedrich Nietzsche disait : Deviens ce que tu es… Pour la France, c’est la même chose. Si l’on veut qu’elle gagne à nouveau, il faut avant tout qu’elle redevienne française. C’est là le véritable enjeu de la prochaine présidentielle…

Roland Hélie

23:10 Publié dans Editoriaux | Tags : politique, droite nationale, le pen, fn | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 03 juillet 2006

1976 : CHIRAC, PIEGE A REACS ; 2006 : SARKO, PIEGE A GOGOS !

Décidément, l’Histoire à tendance à nous resservir les plats. Et, à chaque fois, il y a des pigeons, y compris, hélas, chez nos amis, pour se laisser avoir. Ainsi, en 1976, lorsque Jacques Chirac lança en grandes pompes le RPR, bon nombre de militants nationalistes crurent, naïvement, que l’heure du grand parti de droite avait enfin sonné. Finie l’époque des groupuscules, certes sympathiques, mais à l’action stérile ; il était temps de faire « des coups » et de jouer enfin dans la cour des grands. En fait, on voit où tout cela a mené : une génération de cadres et de militants sacrifiée. Quant à Chirac, l’homme de « l’ouverture à droite », il s’avéra n’être qu’un piètre politicien à la petite semaine puis un président sans envergure que personne, surtout pas dans notre camp, ne regrettera une fois qu’il aura débarrassé le plancher de l’Elysée.

 

Mais, comme si cette expérience n’avait pas suffi, à nouveau certains se laissent bercer par les illusions sarkosystes. On croit rêver, et pourtant … Combien de Français pensent encore que Nicolas Sarkozy est un homme de droite capable de remettre de l’ordre chez nous ? Combien de Français s’imaginent que le même Nicolas Sarkozy est un patriote sincère qui mettrait l’intérêt de la nation au premier rang de ses préoccupations s’il venait à être élu ? Combien de Français prennent leurs désirs pour des réalités en voyant en Nicolas Sarkozy le rempart contre l’immigration sauvage ? Tous ces Français se trompent. L’exemple de Chirac devrait pourtant leur ouvrir les yeux.  L’ambitieux Sarkozy comme Chirac le repentant sont issus de la même école, celle de la compromission et de la trahison.

 

Hier, Chirac fut un formidable piège à réacs qui fonctionna parfaitement jusqu’au moment où un grand nombre de Français ouvrirent les yeux et prirent conscience de la supercherie. Ce fut la percée historique des nationaux au milieu des années 80.

 

Aujourd’hui, Sarko est un piège à gogos car l’erreur, lorsqu’elle se répète, n’est plus pardonnable. Il faut dénoncer sans cesse cette nouvelle manipulation de l’opinion qui consiste à faire passer Sarkozy pour ce qu’il n’est pas.

 

La seule réponse à cette imposture sera le dynamisme de la campagne que le camp national mènera dans les mois qui viennent. Il ne faut plus laisser les autres parler à notre place. Les nationaux, les nationalistes, les identitaires, les patriotes doivent agir dans le même sens. Tout est une question de volonté… partagée.

Roland Hélie 

14:20 Publié dans Editoriaux | Tags : droite nationale, politique | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |