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vendredi, 25 septembre 2009

Ordre nouveau est de retour... dans un livre présenté par Alain Renault...

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Ordre Nouveau (Juin 1972 & 3ème congrès 1973) : Un « livre événement » présenté par Alain Renault aux éditions Déterna (Collection « Politiquement incorrect », dirigée par Philippe Randa) : les deux livres cultes du Mouvement Ordre Nouveau enfin réédités !

Beaucoup l’ont oublié, mais à l’origine du Front national, il y eut le mouvement Ordre Nouveau dont les militants, sous l’emblème de la croix celtique, firent front courageusement aux meutes gauchistes alors toutes puissantes de l’après-Mai 68… Alain Renault en a été un des responsables et a bien voulu présenter aux lecteurs les deux ouvrages publiés successivement par le Mou­vement en 1972 et 1973… La ligne politique est encore parfaitement d’actualité en ce début de XXIème siècle ; cette réédition tant at­tendue per­mettra aux « anciens » de l’époque comme aux nouveaux lecteurs de retrouver l’ambian­ce survoltée de cette période, grâce aux photos des diverses actions d’un mouvement qui reste encore aujourd’hui le cauchemar des gauchis­tes.

Le livre : Fondé en novembre 1969, Ordre Nouveau constitue pendant son existence la principale formation nationaliste de la période. Lors de son 2ème congrès des 10 & 11 juin 1972 et dans la perspective des élections législatives, il adopte une stratégie qui donne naissance au Front national dont Jean-Marie Le Pen deviendra le président. Son histoire revêt donc une importance plus grande que les affrontements avec les gauchistes qui ont assuré sa renommée médiatique. Le Mouvement Ordre Nouveau est dissous, en même temps que la Ligue Communiste, par décret du Conseil des ministres du 28 juin 1973.

 

Son histoire, ses idées, son programme ont fait l’objet des deux ouvrages publiés successivement par le Mouvement, en juin 1972 et en juin 1973, dont l’intérêt suscite cette réédition.

L’auteur : Alain Renault, adhérent d’Ordre Nouveau de janvier 1970 à la dissolution. Secrétaire de section, puis membre du Comité exécutif « délégué à la Province » à partir de juin 1971, membre du Conseil national, puis du Secrétariat permanent. Rejoint le Front national en 1974, membre du Comité central, puis du Bureau politique, Secrétaire général adjoint, puis Secrétaire général jusqu’en 1980. Adjoint de François Duprat aux Cahiers Européens de 1974 à 1978. Rédacteur à Militant et à Défense de l’Occident de 1978 à 1982. A collaboré au National, Item, Écrits de Paris, Rivarol, Minute, Le Crapouillot, Le Guide de l’Opposition… Il est aussi co-auteur des Fascismes Américains et de l’Album Le Pen.

460 pages – 35,00 €

Éditions Déterna - BP 58 - 77522 Coulommiers cedex
(par correspondance + 5,00 € de port)

 

Le livre Ordre nouveau est en vente à la librairie Primatice (10, rue Primatice Paris XIIIème - métro Place d'Italie).

 

Il sera ausi en vente à la 3ème journée nationale et identitaire de Synthèse nationale, mercredi 11 novembre à Paris.

10:39 Publié dans Livres | Tags : ordre nouveau, pfn, alain renault, politique, gud, fn, histoire | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 22 novembre 2008

Dimanche 23 novembre : TOUS A LA 2ème JOURNEE DE SYNTHESE NATIONALE !

 

2ème journée de la revue nationale et identitaire

 

Synthèse logo.JPG

 

Fin du Nouvel ordre mondial :

 

 RENAISSANCE EUROPEENNE ! 

 

 

Dimanche 23 novembre 2008 

 

(de 11 h 00 à 18 h 00)

 

Forum de Grenelle

5, rue de la Croix-Nivert 75015 Paris

Métro Cambronne

 

Avec (liste actualisée d’intervenants) par ordre alphabétique :

 

Pierre Descaves, ancien député, conseiller régional de Picardie, Président de France Résistance

André Gandillon, rédacteur en chef de Militant

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Pieter Kerstens, chef d'entreprise

Anne Kling, écrivain

Henry Nitzche, député au Bundestag (ex CDU – Pro Deutschland)

Frédéric Pichon, président de Europae Gentes

Arnaud Raffard de Brienne, écrivain

Philippe Randa, éditeur et écrivain

Jean-Claude Rolinat, écrivain, élu local en Ile-de-France

Rüdiger Schrembs, président de Pro Munich

Robert Spieler, ancien député, délégué général de la Nouvelle Droite Populaire

Nicolas Tandler, écrivain et journaliste

 

Invité d'honneur :

Filip DEWINTER,

député d'Anvers,

porte-parole du Vlaams belang

 

De nombreuses associations et organisations politiques seront présentes. La librairie Primatice aura un stand. Restauration rapide sur place...

 

Participation : 7,00 €

 

 

Programme de la journée : CLIQUEZ ICI 

23 11 08 2ème Journée de SN.pdf

mercredi, 28 mai 2008

Un nouveau chapitre de l'histoire de la droite de conviction...

1722363019.2.jpgA quelques jours de la première convention nationale de la Nouvelle Droite Populaire, qui se déroulera dimanche prochain (*), 1er juin, à Paris, la nouvelle crise qui vient d’éclater au sein du Front national, opposant l’agitateur Alain Soral au clan mariniste, semble confirmer l’état de déliquescence dans lequel se trouve le FN. Je ne m’étendrai pas là-dessus. Les faits sont là, certains peuvent les regretter mais force est de reconnaître que, de crises en scissions et d’erreurs stratégiques en exclusions massives, le FN a perdu toute crédibilité au sein de notre famille politique. Il est temps de tourner la page.

 

Parallèlement à cela, le pouvoir sarkozien, qui avait un moment su parfaitement capter une partie non négligeable de la « clientèle » traditionnelle de la Droite nationale, accentue depuis des mois son « ouverture à gauche » au nom d’une supposée stratégie d’isolement de celle-ci. Non seulement cette stratégie ne semble pas atteindre les objectifs espérés - comme on l’a vu lors des municipales, la gauche est toujours là -, mais, de surcroît, l’électorat « droitiste » de Nicolas Sarkozy se détache de plus en plus de lui pour se réfugier dans l’abstention.

 

Toutes les conditions sont donc réunies pour que puisse enfin émerger dans notre pays une véritable formation de droite, attachée à notre indépendance nationale et résolument tournée vers l’Europe, foncièrement opposée à la mondialisation débridée mais garante des libertés économiques pour nos entreprises, une formation politique totalement opposée à l’invasion qui menace notre civilisation et qui mettra au premier plan de ses préoccupations la défense de notre identité française et européenne… Cette formation, c’est la Nouvelle Droite Populaire et, dimanche prochain, elle deviendra une réalité.

 

Dimanche prochain, nous entamerons un nouveau chapitre de la grande histoire de la droite de conviction : je vous invite à venir nombreux nous rejoindre pour l’écrire ensemble…

 

Roland Hélie

 

 

(*) Novotel Vaugirard, 256 rue Vaugirard 75015 Paris de 14 h 00 à 18 h 00

dimanche, 25 mai 2008

Nouvelle Droite Populaire ! Mobilisation des énergies ! Rassemblement ! Unité !

La Nouvelle Droite Populaire, qui sera portée sur les fonts baptismaux, dimanche 1er  juin, est issue d’un constat : l’échec programmé du Mouvement National, qui s’est transformé en petite boutique familiale, a entraîné une sorte de « nervous breakdown », pour reprendre le titre d’une chanson des Rolling Stones des années 70. Un effondrement nerveux de l’électorat, où l’habileté du bonimenteur Sarkozy n’a fait que surfer sur une triste réalité : un corpus idéologique vidé de ses fondamentaux, des comportements médiocres et arrogants, des provocations (que je ne condamne pas, car la liberté de parole doit être totale), qui vont de pair avec des appels aux « branches de l’arbre France ». Comprenne qui pourra…

 

Ceux qui, comme moi, côtoient de près le Vlaams Belang sont stupéfaits par les différences comportementales. Au Vlaams Belang, il existe une chaleur, une sincérité, un vrai respect des militants. Les dirigeants, qui sont « Primum inter Pares » (les premiers au sein d’égaux), sont comme des poissons dans l’eau parmi leurs militants. Pas de garde du corps, pas de culte du chef, une modestie comportementale, un esprit d’amitié et une chaleur combattante…

 

Nous devons nous en inspirer et jeter à la poubelle de l’histoire les modes de fonctionnement périmés.

 

Ce qui signifie : respect absolu des différentes sensibilités, nationalistes, identitaires, régionalistes, catholiques, ou non, autour d’un tronc commun qui a pour nom la défense intransigeante ne nos identités régionales, nationale et européenne.

 

Et une règle intangible : le respect des militants et des électeurs. Les cadres et dirigeants sont à leur service, et non l’inverse.

 

Le retrait de la vie politique de Bruno Mégret confirme la nécessité de constituer ce grand rassemblement des énergies. Je l’ai bien connu et apprécié. Il fut, en même temps que moi, député à l’Assemblée nationale, et le directeur de la campagne présidentielle de Jean-Marie Le Pen en 1988. Je faisais alors partie de l’équipe d’organisation : c’était un remarquable organisateur, doté d’une capacité conceptuelle exceptionnelle et d’une vive intelligence.

 

Je sais que beaucoup l’ont critiqué, lui reprochant de les avoir mené dans une aventure sans issue. Mais avait-il le choix ? Je crois que non. Et, après tout, personne n’était obligé de le suivre… J’espère qu’il reviendra de son exil, il a sa place parmi nous.

 

J’appelle les militants, les cadres, les intellectuels de la mouvance nationale, régionaliste et identitaire, à se rassembler autour de la Nouvelle Droite Populaire.

 

Constituons ensemble le mouvement de résistance et d’espérance, ancré dans la tradition et projeté dans la modernité.

 

    Robert Spieler

 

dimanche, 27 avril 2008

Création du Comité d’initiatives pour une NOUVELLE DROITE POPULAIRE...

Communiqué de presse :

 

Dimanche 27 avril, s’est réuni à Paris le bureau national du Comité d’initiative pour la refondation créé le 29 mars dernier par une quarantaine de responsables et d’élus nationaux, identitaires et régionalistes.

 

A l’issue de cette réunion, il a été décidé la transformation de ce comité en Comité d’initiatives pour une Nouvelle Droite Populaire.

 

Cette structure n’est pas un parti politique et n’a pas vocation à accroître les divisions existantes. Elle est au contraire une instance de rassemblement et de mobilisation des énergies pour oeuvrer à la refondation de la droite nationale, régionaliste et identitaire. On pourra la rejoindre sans cesser d’adhérer à un parti ou à une organisation existante.

 

Les principes fondamentaux du Comité d’initiatives pour une Nouvelle Droite Populaire sont les suivants :

 

1 – Refus de l’immigration et de l’islamisation.

2 - Défense des identités régionale, nationale et européenne.

3 - Application de la préférence nationale et européenne.

4 - Réhabilitation des valeurs familiales et des principes fondamentaux de notre civilisation.

5 - Libération des énergies individuelles, politiques et économiques.

6 - Construction d’une Europe politique indépendante et puissante, fidèle à ses racines helléniques et chrétiennes.

 

Le Comité d’initiatives pour une Nouvelle Droite Populaire organisera le dimanche 1er  juin prochain à Paris une Convention nationale constitutive destinée à définir ses premiers axes de campagne et à mettre en place les structures de cette force de rassemblement.

 

Le Bureau provisoire du Comité d’initiatives pour une Nouvelle Droite Populaire comprend, dans l’ordre alphabétique, François Ferrier (Conseiller régional de Lorraine, Président du groupe Identité et Tradition), Roland Hélie (Directeur de la revue Synthèse nationale), Annick Martin (Vice-présidente du MNR), Yann Phélipeau (membre du Bureau national du MNR), Robert Spieler (Fondateur d’Alsace d’Abord, ancien député), Jean-François Touzé (Conseiller régional d’Ile-de-France, Président de Convergences nationales), qui en est le coordinateur, et Jean-Philippe Wagner (Conseiller régional de Lorraine).

 

Renseignements : initiative.refondation@club-internet.fr

 

21:18 Publié dans Nouvelle Droite Populaire | Tags : politique, droite, mnr, mpf, fn, le pen, synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 18 mars 2008

NOUVELLE DONNE, OFFRE NOUVELLE...

Pour être par tradition carthaginoise, la mauvaise foi n’en aura pas moins été, à l’occasion de ce second tour des élections municipales, la chose du monde la mieux partagée, et ce sur l’ensemble des rives du monde politique.

 

Mauvaise foi de l’UMP, de ses ministres et de ses petits marquis, refusant dans une unanimité orchestrée depuis l’Elysée de reconnaître l’ampleur d’une défaite à peine masquée par les demi-victoires de Marseille et du cinquième arrondissement de Paris.

 

Mauvaise foi du PS qui, enrobé des étoffes trompeuses de son succès, se croit autorisé à voir dans le raz de marée rose la marque d’un rejet par le corps électoral de ce qu’il avait adoré en avril et juin derniers, alors que ce sont, à l’évidence, outre les héliogabaleries sarkoziennes - et bien au contraire d’on ne sait quel refus d’une politique droitiste et volontaire -, la timidité de la rupture, la tiédeur des réformes, les reculs par rapport aux promesses faites – et en particulier faites au nom de valeurs et principes qui sont ceux de la droite nationale - qui ont conduit nos compatriotes, déçus et inquiets, à sanctionner le pouvoir en place.

 

Mauvaise foi des amis de Bayrou, tentant de faire oublier leur opportunisme congénital en le dissimulant sous de grandes considérations philosophico-politiques dignes des heures les plus glorieuses du MRP.

 

Mauvaise foi, enfin, d’une direction lepéniste qui, depuis huit jours, ne cesse de claironner « un rétablissement spectaculaire » du FN, là où, malheureusement, il n’y a qu’effondrement et chaos.

 

Il nous faut maintenant tirer les conséquences de ces élections. La première est que la gauche et l’extrême gauche, l’une faisant à l’autre la courte échelle et réciproquement, constituent une menace que nous ne devons pas négliger. Je suis de ceux qui pensent que la France et l’Europe ne se relèveraient pas d’une nouvelle expérience socialiste, surtout si elle devait être menée sous le regard vigilant de la LCR.

 

La deuxième est que l’UMP, comme jadis le RPR, continue de se voiler la face pour ne pas voir que seule la reconnaissance de la droite nationale, de ses propositions, de ses principes et de ses valeurs, est de nature à rendre confiance à son électorat, un électorat si proche du nôtre qu’il lui arrive de se confondre, comme on a pu le voir au printemps dernier.

 

La troisième conséquence est que les succès de demain, succès auxquels je crois de toute mon âme et de tout mon esprit, dépendent justement de notre capacité à nous organiser et à proposer aux Français une offre nouvelle, dans la fidélité à ce que nous sommes et à ce que nous croyons, dans la continuité des combats que nous menons depuis si longtemps, mais aussi dans la nécessaire évolution et la recherche politique des voies qui mènent aux responsabilités du pouvoir, qu’il soit local ou national. Une offre nouvelle qui corresponde à l’attente des cette masse de Français qui ont voté pour Nicolas Sarkozy en avril dans l’espoir qu’enfin s’opère une vraie rupture. Une offre nouvelle affirmant la nécessité de  l’autorité de l’Etat, de l’organisation des libertés individuelles, collectives et économiques, de l’équité sociale et de la construction d’une Europe de la puissance au sein de laquelle la France aurait un rôle moteur.

 

Pour la droite nationale, une page est tournée. Et rien de ce qui était dans cette page ne se rouvrira.  Ceux qui croient à je ne sais quel rafistolage, à je ne sais quel effet cathartique provoqué par l’arrivée de je ne sais qui, je ne sais comment et je ne sais pourquoi y faire, à la tête du Front, en seront pour leurs frais.

 

L’heure n’est même plus à l’union. Elle est au rassemblement.

 

C’est cette nouvelle offre politique que nous devons organiser avec tous ceux qui, au sein de la droite nationale et de la droite identitaire, veulent aller de l’avant sans vaine nostalgie, avec espoir et enthousiasme, dans le respect de chacune des sensibilités et des appartenances, dans la collégialité et, si possible, la fraternité militante.

 

Cela, nous devons le faire vite, avec prudence et raison, mais aussi volonté et imagination, et… sans nous retourner.

 

Jean-François Touzé

17/03/08 

14:07 | Tags : politique, municipales 2008, synthèse nationale, fn, ump, modem | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

lundi, 10 mars 2008

NE PAS CEDER AU RENONCEMENT !

Les résultats sont là. De la pseudo droite à la vraie gauche, personne ne peut vraiment crier victoire, personne ne peut non plus pleurer sa défaite. On parle de "rééquilibrage" et chacun trouve de bonnes raisons d’être, en apparence du moins,  plus ou moins satisfait.  On entend tout et le contraire de tout pour justifier tel ou tel recul ou telle ou telle avancée et, finalement, tout le monde s’en remet aux résultats de dimanche prochain qui, probablement, seront le remake de ceux du premier tour. 

 

Curieusement, les Français semblent être satisfaits de la situation dans laquelle ils sont, puisqu’ils ont cautionné par leurs votes les partis du Système en place. L’insécurité est en voie de banalisation, l’immigration-invasion ruine notre pays, l’islamisation de nos villes progresse de jour en jour, la pression fiscale est de plus en plus forte et la classe politique totalement corrompue mais, qu’importe, nos compatriotes qui prennent encore le temps d’aller voter encouragent joyeusement les partis responsables de cet état de faits.

 

Pourtant, il y avait bien, dans une centaine de villes, une alternative à cette situation infernale. Cette alternative, c’était la droite nationale. Or, partout, celle-ci est laminée. Malgré le courage exemplaire et la détermination de ses candidats et de ses militants, les résultats du Front national se liquéfient et l’ensemble du mouvement nationaliste et identitaire en subit les conséquences.

 

Le FN, qui apparaissait encore, il n’y a pas si longtemps que cela, comme le recours salutaire pour notre pays, a quasiment disparu de la scène politique nationale et locale. Voilà le résultat de la politique menée depuis quelques années par sa direction. Le Pen et ses acolytes avaient un boulevard devant eux, ils n’ont pas su l’emprunter, pire encore, ils se sont engouffrés tête baissée dans une impasse sur sa gauche où personne ne les attendait. Voilà où les bêtises accumulées de l’un (la dernière en date étant ses élucubrations –que nous préférons mettre sur le compte de la sénilité- à propos de rapports fantasmés entre certains mouvements nationaux et l’UIMM...) et le fanatisme imbécile des autres auront mené le FN, que tout destinait à un avenir radieux. Tant pis pour lui, tant pis pour nous et, hélas, tant pis pour la France...

 

Car la France, je persiste à le croire, a besoin d’un vrai mouvement national et identitaire digne de ce nom pour la remettre dans le droit chemin. Notre famille politique ne doit pas céder au renoncement. Ce ne sont pas quelques versatilités électorales qui vont entamer notre détermination.

 

Depuis des semaines, certains parmi nous imaginent déjà les bases du renouveau, car renouveau il y aura. Finalement, cette hécatombe du lepénisme moribond aura le mérite d’éclaircir le paysage et de permettre à l’ensemble de notre famille politique d’envisager différemment l’avenir. Fidèle à sa vocation d’être un outil au service du redressement national, la revue Synthèse nationale, avec les réseaux qui se sont formés autour d’elle, entend participer à cette nouvelle croisade. Mais, de tout cela, nous reparlerons très bientôt...

 

Roland Hélie

 

10:53 Publié dans Editoriaux | Tags : politique, fn, front national, mnr, identitaires, municipales, synthèse nationale | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 11 mai 2007

Les objectifs de Synthèse nationale…

La Droite nationale a perdu une bataille... Le paysage politique français est en pleine mutation... Pour le second tour de la Présidentielle, notre famille politique a été confrontée à des choix quasi cornéliens… Et maintenant, que va-t-il se passer ? Quelle place pour la Droite nationale et identitaire dans la France sarkozienne ? Quel avenir pour l’indépendance nationale et pour l’identité européenne ? Autant de constats que vous faites et autant de questions que vous vous posez…

 

Pourtant, deux réalités s’imposent : nos idées n’ont jamais été aussi en vogue auprès de nos concitoyens et les dangers que nous dénonçons depuis des années n’iront qu’en s’accentuant.

 

Voilà pourquoi nous ne devons pas nous laisser aller au désespoir. C’est dans ces périodes troubles que les môles sont nécessaires, d’où l’existence de Synthèse nationale. Quel que soit l’avenir de notre famille politique, notre but est de continuer à informer nos amis, tel que nous le faisons quotidiennement sur ce site, et de contribuer activement à la diffusion d’une version crédible et acceptable de nos idées grâce à notre revue politique et culturelle. Si j’en juge au nombre de connexions (500 à 600 par jour, environ 17 000 visites le mois dernier) et au nombre d’abonnements que nous avons perçus (déjà plus de 180), nos initiatives ne vous laissent pas indifférents. Notre tâche est donc utile et nous savons que la réussite est au bout du chemin.

 

Pour amplifier notre audience, nous avons besoin de vous tous. A cette fin, nous lançons une campagne d’abonnements à la revue Synthèse nationale. Grâce à une trésorerie saine et à la contribution bénévole de ses collaborateurs, Synthèse nationale a atteint, six mois après son lancement, sa vitesse de croisière (notre prochain numéro sortira le 25 juin prochain). Mais notre ambition est de passer au stade supérieur. Afin de toucher un nombre grandissant de lecteurs, il faut que nous augmentions sensiblement le nombre de nos abonnés. Chaque abonnement nouveau nous permet en effet d’envoyer gracieusement cinq exemplaires de la revue en prospection (*). D’autre part, à chaque parution de Synthèse nationale, nous adressons un nombre de plus en plus important d’exemplaires à différentes bibliothèques (municipales, universitaires ou de grandes écoles...), ce qui nous permet de nous faire connaître auprès d'un public nouveau, mais qui n’est pas sans coûter un certain prix (**).

 

Nous voulions faire de Synthèse nationale une revue de référence, cet objectif est en cours de réalisation, L’édifice se bâti pierre par pierre, aussi, nous savons pouvoir compter sur votre aide à tous.

 

Roland Hélie

Directeur de la publication

 

(*) Vous pouvez vous abonner en ligne (colonne de droite de ce site) ou en imprimant et en nous retournant le bulletin suivant Bulletin_d_abonnement_SN.pdf

(**) N’hésitez pas à nous communiquer des listes d’adresses de personnes, ou d’institutions, susceptibles d’être intéressées par Synthèse nationale.

mardi, 09 janvier 2007

ILS N’ONT PLUS LE MONOPOLE DU CŒUR…

L’affaire pouvait sembler dans un premier temps anodine. Tout a commencé il y a trois ans. Quelques militants nationaux et identitaires parisiens, excédés par l’hypocrisie qui régnait - et qui règne toujours - dans le domaine humanitaire (hypocrisie qui consiste, là aussi, à faire passer les étrangers fraîchement débarqués avant les Français d’origine dans le besoin), décidèrent de prendre les choses en main et d’organiser des distributions de soupe au lard à proximité de la gare Montparnasse. Jusque là, rien de bien subversif…

 

Très vite pourtant, cette initiative fit tâche d’huile et d’autres distributions de soupe au lard se développèrent à Nice, à Nantes et à Strasbourg… Là, c’en était trop pour la bien-pensance institutionnalisée qui s’empressa, de ses appartements douillets des beaux quartiers, de crier au scandale et d’en appeler aux pouvoirs publics pour faire cesser, argumentant une pseudo discrimination, l’action des associations caritatives nationalistes et identitaires.

 

On alla même, à  Strasbourg, jusqu'à saisir la Halde (entendez la police de la pensée unique), voyant que les onze interpellations en trois mois qu’avait subies Chantal Spieler, Présidente de Solidarité alsacienne, n’avaient pas suffi pour entamer la détermination de ses militants. Bien au contraire…

 

Ce qui est insupportable aux yeux des tenants du système, ce n’est pas que la soupe que distribuent ici et là nos amis soit une soupe au lard. Ils savent très bien que les juifs et les arabes ont leurs propres réseaux similaires réservés, eux, aux juifs et aux arabes et que cela n’entraîne, à ma connaissance, aucune répression particulière. Ce qu’ils ne supportent pas, c’est que, grâce à ces quelques initiatives quasi spontanées, la France entière apprenne, à quelques mois des élections, que la bien-pensance institutionnalisée n’a pas le monopole du cœur…

 

Avec les distributions de soupe au cochon, le cliché des militants nationaux égoïstes et violents véhiculé par les menteurs patentés du système ne tient plus. D’où leur acharnement obsessionnel  pour faire cesser ce qu’ils appellent des « provocations discriminatoires ». Le tapage médiatique fait ces derniers jours autour des Robin des bois (dont il ne nous viendrait pas à l’idée de douter de leur sincérité) tombe d’ailleurs à pic pour noyer le poisson,

 

Que le système le veuille ou non, l’action caritative nationale et identitaire ira en s’amplifiant. Dans de nombreuses villes de France, des distributions de soupe de cochon vont avoir lieu au cours de l’hiver. La répression et les calomnies ne feront pas baisser les bras aux associations. Seule la détresse grandissante qu’engendre la politique désastreuse menée depuis des décennies par l’UMPS est insupportable.

 

Roland Hélie 

 

 

 

11:55 Publié dans Editoriaux | Tags : politique, droite nationale, droite, fn, ump, alsace, nice | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 22 décembre 2006

L’ESPOIR SE REALISE…

La rencontre « historique » entre Jean-Marie Le Pen et Bruno Mégret aura été, certainement, l’événement le plus important pour notre famille d’idées en ce début de campagne pour l’élection présidentielle.

 

En effet, au moment où notre nation sombre dans une logique suicidaire, puisque tout ce qui  était sensé symboliser son indépendance est bradé par ceux qui la dirigent ; au moment où notre civilisation est menacée dans son homogénéité par l’arrivée massive sur notre sol de populations, tout aussi respectables soient-elles, venues d’ailleurs et qui veulent imposer leurs mœurs et leurs coutumes chez nous ; au moment où notre économie est, au nom d’un libéralisme débridé, sacrifiée à la concurrence déloyale de pays émergents qui méprisent nos règles sociales ; au moment où l’insécurité règne partout sur l’ensemble du territoire ; au moment où notre histoire et nos traditions sont considérées par l’intelligentsia bien-pensante comme devant être gommées de notre conscience collective ; au moment où le débat officiel se résume à un pathétique ségolo-sarko au cirque donnesmoitavoix ; à ce moment-là, l’espoir caressé depuis des années par l‘ensemble des militants, des cadres, des élus et des électeurs de la droite nationale se réalise enfin. L’Union patriotique annoncée il y a quelques mois par Jean-Marie Le Pen  est en train de prendre forme.

 

Au-delà de cette entente entre les deux présidents du FN et du MNR, l’Union patriotique doit maintenant se matérialiser. Elle se concrétisera à la fin du mois de février à Lille, lors d’une grande convention populaire. D’ici là, comme l’a indiqué le candidat national, elle doit rassembler l’ensemble des associations, des mouvements, des syndicats, etc. qui luttent pour la défense de notre nation et de notre identité. Ce vœu, c’est aussi celui de Synthèse nationale depuis sa création en mars dernier.

 

« Rassembler ce qui est épars, consolider, unir… », écrivait dans son éditorial d’hier (*) Jean-François Touzé qui n’a pas ménagé ses efforts pour que cette entente se réalise. Telle est la mission que doit se fixer la droite de conviction, qu’elle soit nationale, sociale, populiste ou identitaire, dans les semaines qui viennent. La présence et le succès de Jean-Marie Le Pen à l’élection présidentielle est la condition sine qua non pour entamer le vaste mouvement de redressement national qui balaiera toutes les ruines fumantes de cette Vème République moribonde. Il en va de l’avenir de la France, de l’Europe et, surtout, de notre civilisation.

 

Pour notre part, à Synthèse nationale, nous continuerons à travailler activement dans ce sens.

 

Roland Hélie

 

(*) Sur Ligne Droite, le 20 décembre.

07:00 Publié dans Editoriaux | Tags : politique, droite nationale, droite, fn, ump, sarkozy, mpf | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mardi, 19 décembre 2006

INVRAISEMBLABLE...

Si vous consultez le site du quotidien pseudo droitier et réellement gauchisant intitulé Le Figaro, vous risquez de tomber à la renverse...

 

En effet, sous la rubrique « Elysée 2007 », située dans la colonne de droite de ce site, vous trouverez (*) la liste des 39 candidatures annoncées à la prochaine élection présidentielle. Outre les deux coqueluches des médias, vous pourrez ainsi lire, probablement pour la première, et sans doute la dernière fois, les patronymes d’une vingtaine de farfelus en mal de publicité. Vous retrouverez aussi les noms de quelques insignifiants, éternels candidats à la candidature, dont la charité fait que, par respect pour leurs proches, je me garde de citer les noms. Enfin, on n’oublie évidemment pas de donner de l'importance aux éternels ringards, comme Bayrou, Voynet, Buffet, Arlette et quelques autres… Ainsi que de mentionner quelques candidatures hypothétiques de dernière minute, type Villepin, MAM ou encore... Jacques Chirac. Jusque là, rien de bien extraordinaire.

 

Mais ce qui est le plus surprenant, c’est que sur cette liste, pourtant minutieusement préparée, un seul nom manque. Et, tenez-vous bien, pas n'importe lequel, puisqu'il s'agit ni plus ni moins de celui de Jean-Marie Le Pen, qui fut pourtant, vous vous en souvenez peut-être (car les journalistes du Figaro, eux, semblent l'avoir oublié...), qualifié pour le second tour de la dernière Présidentielle. Face à un tel monceau d’amateurisme et d’incompétence, à moins qu’il s’agisse là d’une omission volontaire, de la part des plumitifs qui composent la majorité de la rédaction de ce piège à gogos qu’est Le Figaro, on comprend mieux la chute des ventes de ce malheureux journal sans intérêt.

 

Amis de la cause patriotique, depuis trop longtemps, cette presse aux ordres nous ment... il est donc temps de la boycotter. Parallèlement, dans notre mouvance, il existe une presse de haute tenue qui ne demande qu'a se développer. Je ne vais pas citer ici tous les titres, car vous les connaissez et je risquerais d'en oublier tant ils sont divers et nombreux. De plus, ils sont d'une grande qualité rédactionnelle, ce qui mérite d'être souligné. Prenez-donc l'habitude de dépenser votre argent en achetant notre presse qui, elle au moins, ne cache pas la vérité.

 

A ce sujet, nous avons le plaisir de vous informer que le prochain numéro de notre revue Synthèse nationale sera, justement, en partie, consacré à ces éternels menteurs que sont les médias à la solde du système et de la pensée unique… Parution prévue pour le 15 janvier prochain !

 

Roland Hélie

(*) à l'heure où j'écris ces lignes.

01:10 Publié dans Editoriaux | Tags : politique, presse, france, fn, droite, droite nationale, médias | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 08 décembre 2006

UN ENTRETIEN AVEC ROLAND HELIE, DIRECTEUR DE "SYNTHESE NATIONALE", DANS "ALSACE-UNION"...

medium_Photo_001.jpgLe site de l'Union des Patriotes en Alsace, qui milite comme son nom l'indique pour l'entente entre les nationaux et les identitaires en Alsace, vient de publier ce jour un entretien avec Roland Hélie, directeur de notre revue Synthèse nationale.

Texte de cet entretien : Roland_Helie_entretien_05_12_06.pdf

Vous pouvez le consulter dans son intégralité en cliquant sur : www.alsace-union.com  

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vendredi, 24 novembre 2006

L'ASSASSINAT DE PIERRE GEMAYEL...

Pierre Gémayel, jeune ministre de l’Industrie du Liban, neveu de Béchir Gémayel, chef des Phalanges chrétiennes pendant la guerre civile qui déchira le Pays du Cèdre dans les années 70 et 80, puis Président de la République libanaise, assassiné en 1982, et petit-fils de Pierre Gémayel, fondateur du Parti kataeb (Phalangiste) dans les années 30, a été lui-même assassiné à Beyrouth mardi dernier.

 

Lorsque la communauté chrétienne libanaise est touchée dans ce qu’elle a de plus cher, nous ne pouvons nous sentir, en tant que Français, que solidaires. Dans le cœur des patriotes que nous sommes, le Liban chrétien, de par son histoire et sa culture, c’est un peu comme un petit bout de France aux portes de l’Orient. Lorsque débuta, en 1975, la guerre civile, les nationalistes furent d'ailleurs, rappelons-le, presque les seuls à manifester leur soutien militant à la cause des chrétiens libanais. Certains politiciens qui, aujourd’hui, se pressent à Beyrouth pour être vus à l’enterrement de Pierre Gémayel mettaient-ils autant d’ardeur à soutenir les combattants phalangistes lors du conflit sanguinaire qui ravagea le Liban il y a une trentaine d'années ? Poser la question, c’est déjà y répondre.

 

Au-delà de l’aspect émotionnel de ce crime, dont on peut d’ailleurs se demander à qui il profite réellement, la situation actuelle du Liban démontre à elle seule les limites de la société pluri-ethnique que le système voudrait nous imposer…

 

Roland Hélie

 

On nous prie d'annoncer : Dimanche 26 novembre à 11 h. une messe pour le repos de l'âme de Pierre Gémayel sera dite en l'Eglise Notre-Dame du Liban, 15-17, rue d'Ulm à Paris (Vème).

 

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lundi, 20 novembre 2006

ESPAGNE, UNE COMMEMORATION NECESSAIRE...

Cette année 2006 se voulait, aux yeux de la bien-pensance universelle, celle du procès de l'Espagne franquiste. Là aussi, force est de le constater, on a assisté à un flop monumental. Certes, au mois de juillet, on essaya de nous abreuver sur toutes les chaînes de télévision de films et de documentaires, généralement sans intérêt et réalisés par des cinéastes marxistes sans talent, mais à cette époque-là de l'année la France était beaucoup plus préoccupée par les prouesses de son équipe à la Coupe du monde de foot que par les malheurs des républicains espagnols des années 30.

 

Cette année commémorative, que certains auraient donc voulue voir comme une année expiatoire, aura en fait été l'occasion, en Espagne comme ailleurs, de remettre les pendules à l'heure. Je ne citerai comme exemples que la polémique née autour de la publication du texte de l'historien Pio Moa sur la guerre d'Espagne à l'attention du Parlement européen ainsi que les nombreux ouvrages "politiquement incorects" édités sur la période franquiste et qui se sont très bien vendus outre-Pyrénées.

 

D'ailleurs, lorsque l'on voit ce qu'est devenue l'Espagne au cours des quarante années qui ont suivi la victoire des forces nationales, on ne peut que se féliciter que ce pays ait su se débarrasser en son temps de l'un des régimes les plus sanguinaires du XXème siècle, à savoir la République espagnole.

 

Une fois de plus, je profiterai de ce 20 novembre, jour anniversaire de la disparition en 1936 de Jose Antonio Primo de Rivera, fondateur de la Phalange, et, en 1975, du Général Franco (*), pour interroger nos compatriotes. Imaginez ce que serait devenue l'Europe occidentale au lendemain de la Seconde guerre mondiale si l'Espagne étaient restée dans le giron de l'Union soviétique ? Poser la question, c'est déjà y répondre.

 

L'Europe ne remerciera jamais assez le Général Franco et tout ceux qui se sont soulevés en masses en juillet 1936, qu'ils soient phalangistes, carlistes ou tout simplement patriotes ou catholiques, pour anéantir ce régime criminel qui avait conduit l'Espagne au désastre et qui aurait pu changer complètement le destin de notre continent s'il avait persisté.

 

Roland Hélie

 

(*) Comme chaque année, à la demande du Cercle Franco-Hispanique, une messe en mémoire du Général Franco et de Jose Antonio Primo de Rivera sera célébrée vendredi 24 novembre à 19 h. 15 en l'église St Nicolas du Chardonnet, à Paris.

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vendredi, 10 novembre 2006

DE LA DEFAITE DE BUSH A LA VICTOIRE DE L'EUROPE !

La défaite des Républicains américains, ou plutôt la défaite de la politique imbécile de Bush, aura-t-elle des conséquences sur la politique internationale, en particulier au Moyen-Orient et aussi en Europe ? Nous ne pourrions que le souhaiter. Il est plus que temps, en effet, d’en finir avec cette paranoïa dominatrice et mal placée qui guide depuis des années la politique américaine dans le monde.

 

Au  Moyen-Orient, l’échec, pourtant annoncé, de l’agression contre l’Irak pourrait à lui seul suffire pour illustrer la bêtise exaltée du locataire de la Maison Blanche. Mais, derrière une obsession sécuritaire et un fanatisme religieux, n’oublions pas que se cachent les intérêts et la volonté hégémonique des compagnies pétrolières texanes dont Bush n’est que le pantin servile.

 

Cependant, ne nous faisons pas d’illusions. Il y a fort à parier que celui, ou celle, qui succédera à Bush mènera exactement la même politique impérialiste, car celle-ci est inscrite dans l’essence même de ce que sont les Etats-Unis d’Amérique. Les Américains ont un besoin vital de dominer le monde. Voilà pourquoi, lorsqu’ils interviennent quelque part, c’est toujours la même rengaine en trois actes :

 

Dans un premier temps, leurs guerres se veulent « morales ». Il y a toujours une bonne raison, certes plus ou moins fallacieuse, qu’on se charge de faire avaler à grand renfort de complicités médiatiques à l’ensemble des gogos de la Communauté internationale. De la Guerre de sécession (où le Nord protestant prétexta la lutte contre l’esclavagisme pour s’emparer des richesses du Sud catholique) à la dernière guerre du Golfe (où il fallait soi disant en finir avec un « tyran sanguinaire » et qui se termine par un bain de sang quotidien à côté duquel les frasques kurdophobes de Saddam ressembleraient presque à de la blédine pour enfants gâtés…), en terme de manipulation de l'information, les Américains sont passés orfèvres en la matière.

 

Ensuite, on continue par une guerre « totale » (destructions massives et injustifiées, massacres de populations civiles, asphyxie des économies locales…), avec tout ce que cela peut représenter de bénéfique pour le lobby militaro-industriel yankee. Mais, puisque c'est au nom des "droits de l'homme", on préfère ne rien dire et fermer les yeux...

 

Et le tout doit se terminer par une victoire « vénale », car celle-ci ne peut qu’engendrer de juteux marchés liés à la reconstruction des pays que ces guerres auront ravagés. Sans oublier la vassalisation de ceux-ci à la super puissance « libératrice »…

 

Le seul « hic », c’est que, depuis l’échec en Indochine dans les années 70 (où pour une fois ils avaient pourtant une bonne raison de s’engager...), les choses ne sont plus ce qu’elles étaient. La déculottée quotidienne que les Américains et leurs larbins subissent en Irak depuis 2002 ne fait que nous renforcer dans notre espérance de voir un jour prochain l’hégémonie malsaine de cet empire de pacotille s’effondrer.

 

Mais, pour cela, il faut aussi que l’Europe y mette un peu du sien. Nous savons que nous n’avons rien à attendre des technocrates bruxellois qui la dirigent actuellement. Notre espoir se place dans le réveil de nos Peuples. Seule la volonté de ceux-ci permettra à l’Europe de retrouver sa place légitime de première puissance mondiale.

 

Roland Hélie

 

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mardi, 24 octobre 2006

TOUS SAMEDI PROCHAIN A PARIS POUR SOUTENIR LE PEUPLE DE BUDAPEST !

Une fois de plus, les dirigeants de l’Union européenne viennent de nous faire la démonstration flagrante de leur hypocrisie morbide.

 

Réunie dimanche et lundi à Budapest pour commémorer le 50ème anniversaire du soulèvement de 1956, cette bande de petits messieurs sans scrupule nous joua allégrement le couplet de l’indignation différée à bon marché. Et, après s’être gavée de petits fours et de champagne, elle alla même jusqu'à pousser le cynisme au paroxysme en adoptant « une charte liberté 1956 »...

 

Vous me direz peut-être, « mieux vaut reconnaître les crimes du communisme tard que jamais… ». Certes, mais, venant de cette sinistre camarilla à la tête de laquelle plastronne l’impudent Jose Manuel Barroso qui, pour sa part, voit dans l’insurrection hongroise «un combat pour tout ceux qui en Europe et dans le monde vivaient sous une dictature », (1) cette charte nous laisse un goût amer.

 

En effet, en 1956, où étaient-ils les « grands démocrates » de l’époque dont Barroso et ses semblables se proclament les fiers héritiers? Qu’ont-ils fait les dirigeants des nations occidentales, dites libres, pour soutenir la lutte du peuple hongrois? Rien ! Rien et rien ! Ils se sont terrés comme des lamentables pleutres. Les uns préférant ne rien voir et les autres prétextant être déjà trop occupés sur les bords du Canal de Suez… Pendant ce temps là, les chars communistes pouvaient massacrer à tours de bras, ils n’en avaient rien à faire.

 

S’il n’y avait pas eu la  remarquable démonstration de force parisienne du 7 novembre (2) au cours de laquelle les militants nationalistes du Mouvement Jeune Nation sauvèrent l’honneur de la France en incendiant le siège du Parti communiste situé place Kossuth, le soulèvement patriotique et anti-communiste hongrois serait passé quasiment inaperçu aux yeux de la classe politique française et européenne de l’époque.

 

Aujourd’hui, le Peuple de Budapest se sent à nouveau humilié par les simagrées de ceux qui, 50 ans après, viennent verser des larmes de crocodiles sur son triste passé. En se pavanant aux côtés de la crapule socialiste qui sert encore de Premier ministre à la Hongrie, les dirigeants européens sombrent dans le ridicule absolu. Notre devoir est de dénoncer cette sinistre farce.

 

Voilà pourquoi nous devons nous retrouver nombreux samedi prochain 28 octobre à 15 heures, Place du Châtelet à Paris, pour manifester (3) notre dégoût face à de tels agissements et notre soutien à la nouvelle révolution hongroise.

 

Roland Hélie

 

 

 (1) N'en déplaise à M. Barroso, en novembre 1956, seule l'Espagne du Général Franco manifesta son soutien aux insurgés...

(2) Vous pourrez lire dans le premier numéro de notre revue Synthèse nationale le récit complet de cette journée épique.

(3) Manifestation organisée par divers mouvements nationaux et identitaires comme les Jeunesses identitaires, Chrétienté solidarité, Europae Gentes, le RED, le HVIM France, etc.

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samedi, 21 octobre 2006

UNE BONNE NOUVELLE...

medium_images.2.jpgIl y a quelques semaines, je vous entretenais sur ce blog de nos multiples projets pour développer Synthèse Nationale.

 

Aujourd’hui, nous sommes en mesure de vous annoncer une bonne nouvelle. Dans dix jours, sortira le premier numéro de la revue Synthèse Nationale. Depuis plusieurs mois, nous travaillions sur ce projet ; celui-ci voit enfin le jour. Cette revue entend renouer avec la tradition des publications de référence qui firent la richesse de la Droite de conviction dans le passé. Qu’il s’agisse de Défense de l’Occident, de La Pensée Nationale, d’Item ou, plus récemment, de Dualpha, elles ont toutes contribué au développement de nos idées.

 

Synthèse nationale sera, dans un premier temps, trimestrielle. Elle comprendra 120 pages ; elle sera ouverte à toutes celles et tous ceux qui, dans notre famille politique, ont une approche originale des choses à proposer. Ainsi, dans la première livraison, vous pourrez lire des articles ou des interviews de Maurice Bernard, de Filip Dewinter, d'Anne Kling, de Chantal et Robert Spieler, de Karl Hoffen, d’Eric Miné ou encore de Laurent Latruwe ou de Philippe Randa. Le thème de ce premier numéro : les nouveaux collabos… Il s’agit là de dénoncer les rouages politiques, médiatiques ou associatifs qui soutiennent et qui collaborent à la politique d’immigration qui plombe notre pays et notre continent depuis trop longtemps.

 

Le lancement de cette revue d’idées est le premier de nos nombreux projets. Nos ambitions sont immenses et notre volonté est inébranlable. Il n’y a que nos moyens qui sont modestes. Voilà pourquoi nous comptons sur votre abonnement (*) pour les mettre au niveau de nos prétentions… Merci d'avance.

 

Roland Hélie

 

(*) Prix unitaire : 12 euros. Abonnement (4 numéros) : 40 euros, soutien : 100 euros.

Chèque à l’ordre de NAC à retourner à NAC BP 90066 75561 Paris cedex 12

13:25 Publié dans Editoriaux | Tags : droite nationale, politique, Le Pen, France, FN, front national, presse | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 29 septembre 2006

L'HYPOCRISIE DE M. DE ROBIEN...

L'affaire mérite que l'on s'y intéresse. Il y a quelques semaines, un professeur de philosophie de la région toulousaine, Robert Redeker, publiait une tribune (en PJ) dans Le Figaro dans laquelle il analysait le Coran à la lumière des déclarations de Benoît XVI et en particulier les moyens bien peu pacifiques avec lesquels l'Islam s'est répandu dans le monde. Depuis, le courageux professeur, qui est par ailleurs loin d'être l'un de nos amis, est constamment menacé de mort et il vit dans la clandestinité sous la protection de la police.

 

Hier, son ministre, Gilles de Robien, lui a apporté "son soutien" (ce qui est la moindre des choses) tout en regrettant que celui-ci ait signé sa tribune en tant que "professeur". Comme s'il devait se cacher de cette qualité. Celle-ci risquant sans doute, aux yeux du ministre, d'impliquer l'Education dite nationale en faveur des récentes déclarations de Sa Sainteté. En terme clair : "Tu as raison, mais tu aurais dû être plus discret... mieux encore, tu aurais dû te taire". Voilà qui démontre, une fois de plus, le courage de la classe politique face à la montée de l'Islam chez nous. C'est bien connu, l'Education nationale doit rester "neutre". On croit rêver...

 

Car, lorsque pléthore d'enseignants de gauche se prononcent sur tel ou tel sujet dans les colonnes des journaux ou à la télévision, comme la consommation du cannabis, le soutien aux sans-papiers, ou la défense de la pédophilie, Monsieur de Robien est curieusement bien muet... Lorsque les enseignants poussent des milliers d'élèves à manifester entre les deux tours d'une élection présidentielle contre le candidat national, il n'y a aucune sanction contre eux... Et quand certains profs se permettent ouvertement de faire de la politique en plein cours, on préfère fermer les yeux... Il est vraiment plus que temps de remettre de l'ordre dans les entrailles du "mammouth".

 

Cette affaire Redeker nous donne l'impression qu'il y a deux poids et deux mesures. Ce n'est pas toujours facile d'être politiquement incorrect...

 

Roland Hélie

 

PJ : L'article par lequel le scandale est arrivé :

http://www.gees.org/documentos/Documen-01427.pdf

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lundi, 25 septembre 2006

L'EXEMPLE SUISSE...

Les électeurs helvètes étaient appelés dimanche à se prononcer sur deux textes de lois proposés par le ministre de l'Intérieur, Christoph Blocher (ancien Président de l'UDC). Ces lois envisagent le durcissement de la réglementation en matières d'immigration et de droit d'asile.

 

Il n'en fallait pas plus pour que l'ensemble des chiens de garde de la pensée unique locale se mobilise pour dénoncer ces textes et appelle à voter NON. Les partis de gauche et de la fausse droite, les multiples églises réformées, les "associations" subventionnées, la presse aux ordres et les bonnes consciences patentées ne suffirent pas pour endormir le peuple suisse et l'amener à se prononcer selon leurs désidératas.

 

En répondant à près de 70% favorablement aux propositions de lois proposées par Christoph Blocher lors de ce référendum, les Suisses ont démontré qu'ils en avaient assez de voir leur pays soumis aux diktats du "politiquement correct". Ils ont prouvé qu'un peuple souverain peut, à lui seul, bouger les montagnes...  

 

Que la France médite sur l'exemple suisse.

 

Roland Hélie

 

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mercredi, 20 septembre 2006

ATTENTION, UN MINISTRE MENTEUR HONGROIS PEUT EN CACHER UN AUTRE !

La crise dans laquelle se trouve plongée la Hongrie depuis quelques jours prouve à elle seule la duperie qui caractérise les gouvernements des nations (ou tout du moins ce qu’il en reste) de l’Union européenne.

 

Rappel des faits. La diffusion, d’abord sur internet puis à la télévision, des aveux du Premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsany prouvant que celui-ci, lors de la dernière campagne électorale, avait raconté n’importe quoi à son peuple afin de s’assurer la victoire, a engendré une immense vague de révolte à travers le pays. Dimanche dernier, aux cris de « démission » et de « 1956 » (année du soulèvement national contre le communisme), des milliers de Hongrois ont déferlé dans les rues de Budapest et des principales villes de Hongrie, manifestant ainsi une saine réaction face à celui qui leur a menti. Loin d’en tirer les conclusions qui s’imposent et de démissionner, l’imposteur s’accroche au pouvoir. La détermination populaire va donc aller en s’amplifiant malgré les appels au calme hypocrites de l’ensemble de la classe politique du pays.

 

Mais ce qui est le plus surprenant dans cette affaire, c’est, une fois de plus, l’attitude scandaleuse de la presse européenne par rapport à ces événements. Celle-ci fait en effet preuve d’une grande indulgence et trouverait presque des circonstances atténuantes au Premier menteur hongrois. On s’indigne plus sur la présence (pourtant bien légitime) des militants nationalistes du HIVM (*) dans les manifs que sur la forfaiture gouvernementale qui les a suscitées. On croit rêver !

 

Si la presse de la pensée unique adopte une telle position, c’est peut-être parce qu’elle sait très bien que, finalement, la situation actuelle de la Hongrie n’est pas si singulière que cela. Il n’y a pas qu’à Budapest que les dirigeants n’hésitent pas à user de n’importe quel stratagème, à commencer par le mensonge, pour se maintenir au pouvoir. Les exemples sont nombreux ces dernières années et nous ne nous attarderons que sur un cas, celui de la France.

 

Lorsqu’un gouvernement trafique sciemment les chiffres de l’immigration, de l’insécurité, du chômage; lorsqu’un gouvernement reconnaît être incapable de tenir ses promesses, comme c’est le cas en matière fiscale ou sur les retraites; lorsqu’un ministre de l’Intérieur (d’ailleurs Hongrois d'origine) de ce gouvernement, qui de surcroît envisage devenir Président de la République, se conduit en véritable teckel du dirigeant de la super-puissance américaine, peut-on considérer que ce gouvernement est plus légitime que l’actuel gouvernement hongrois ?

 

En protégeant Gyurcsany, la presse aux ordres protège en fait l'ensemble des tenants du système. Car, en France comme en Hongrie, c’est bel et bien tout le système qui est vérolé. Les minables manœuvres du Premier ministre hongrois n’ont rien à envier à celle des Chirac, Sarkozy et autres politiciens de chez nous. Elles ne sont que la résultante d’un système intrinsèquement pervers…

 

Roland Hélie

(*) Site du HVIM France : http://hvim-france.hautetfort.com

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lundi, 17 juillet 2006

Espagne, 18 juillet 1936 - 18 juillet 2006 : LA DERNIERE CROISADE VICTORIEUSE.

medium_franco_francisco-795977.jpgEn juillet 1936, alors que l'Espagne subissait depuis quatre années les méfaits du régime le plus odieux et le plus criminel de son histoire, un groupe d'officiers patriotes décidait de mettre fin à cette sinistre comédie.

 

Très vite, toutes les forces vives du pays se rallièrent à la conjuration et, au lendemain de l'assassinat par les milices républicaines du député monarchiste José Calvo Sotello, le "soulèvement national du 18 juillet" prenait la forme d'une véritable croisade pour l'unité du pays face à l'anarchie et au danger communiste. Croisade qui culmina avec l’héroïque résistance des cadets pendant le siège de l’Alcazar de Tolède.

 

D'un côté : l'armée, l'Eglise, les corporations professionnelles, la Phalange de José Antonio Primo de Rivera, les Carlistes ainsi qu'une grande partie de la Démocratie-Chrétienne ; de l'autre : toutes les organisations marxistes et anarchistes soutenues par la bourgeoisie libérale ainsi que l'Union soviétique de Staline et leurs larbins des Brigades internationales. Un homme se distingua rapidement à la tête des nationaux : le Général Francisco Franco. Une fois la menace communiste écartée et la république définitivement reléguée aux poubelles de l'histoire, le Général Franco entreprit de faire de son pays une grande nation moderne et prospère. C'est ainsi que la transformation spectaculaire qui s'opéra au cours de ses quarante années de pouvoir fut communément appelée "le miracle espagnol". L'immense popularité dont jouissait Franco auprès des Espagnols aida à la réussite de cette véritable mutation du pays. L’Espagne est aujourd’hui un pays qui compte dans le concert des nations. Cette place, c’est à Franco qu’elle la doit et elle le sait.

 

Mais, depuis quelques jours, la bien-pensance multiplie les attaques faciles et malhonnêtes contre la période franquiste. Films et documents partiaux se bousculent sur les chaînes de télévisions. Reportages tendancieux et déformations historiques s’accumulent dans la presse aux ordres. A tous ceux qui seraient prêts à gober ces sornettes, nous poserons une seule question : imaginez un instant quel aurait été le destin de l’Europe occidentale si la république espagnole avait, par malheur, perduré au lendemain de la Seconde guerre mondiale? Coincées entre le Bloc de l’Est et une Péninsule ibérique à la botte de l’URSS, les nations libres d’Europe occidentale, à commencer par la France, n’auraient pas fait long feu dans le contexte de cette époque.

 

Critiquer le régime de Franco est une chose qui ne nécessite pas beaucoup d’audace aujourd’hui. Mais nous savons que nos adversaires n’en ont pas besoin pour apparaître comme des parangons de la vertu et du courage. Pour notre part, nous n’oublierons jamais ce que l’Occident doit éternellement à l’Espagne Une, Grande et Libre du Général Franco.

 

Roland Hélie

 

PS : Nous ne pouvons que vous conseiller la lecture de la dernière livraison de la NRH consacrée à la guerre d'Espagne.

De plus, le Cercle franco-hispanique, présidé par notre ami Olivier Grimaldi, vient de publier les actes du colloque qu'il organisa en juin 2003 à Paris sur José Antonio Primo de Rivera (Editions Déterna, 168 pages, 21 euros). Nous rappelons aussi la publication par les Editions Clovis de la bande dessinée Le Siège de l'Alcazar (48 pages, 29 euros).

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mardi, 11 juillet 2006

« LORSQUE LES LEGIONS ROMAINES BATTENT LES MERCENAIRES NUBIENS… »

C’est fini. La France, ou tout du moins l’équipe qui défendait les couleurs de la France, a perdu. Ce qui ne fut malgré tout qu’un match de foot a beau se transformer en tragédie nationale, les larmes et les commentaires mesquins ne changeront rien : l’équipe italienne l’a emporté. C’est la dure loi du sport où il ne suffit pas de correspondre aux critères et aux fantasmes de la bien-pensance pour être les meilleurs.

Tout d’abord, il convient de clarifier les choses : il n’est pas question de juger les qualités sportives des joueurs de l’équipe de Raymond Domenech. Chacun d’entre eux pratique le foot avec passion et nul ne le leur reprochera ici. Néanmoins, ce qui est plus choquant, c’est l’esprit dans lequel l’équipe a été concoctée.

On ne nous fera pas croire qu’il n’existait pas en France onze joueurs de bon niveau d’origines poitevines, alsaciennes ou picardes capables de constituer notre équipe nationale. Ce qui n’exclurait d’ailleurs pas la présence parmi eux de Français natifs de nos départements et territoires ultramarins. Mais la composition de Domenech ressemblait tellement à une sorte de provocation à l’encontre de ceux qui, comme nous, pensent que le peuple français est un peuple européen, de race blanche, de culture grecque et latine et de religion chrétienne (pour reprendre la définition du Général De Gaulle) que l’on peut légitimement s’interroger sur les véritables motivations du sélectionneur et de ceux qui, jusqu'à hier soir, l’encensaient encore.

Mais nous n’allons pas accabler le pauvre Raymond, car, pour une fois, en soulignant que c’était bien français de se glorifier d’une défaite, il a dit tout haut une vérité que personne, politiquement correct oblige, n’osait plus formuler depuis longtemps. Ce constat amer tombait d’ailleurs à pic pour ridiculiser la réaction, on ne peut plus niaise, de Chirac.

Car en effet, au-delà de l’anecdotique Coupe du monde, le fond du problème est bel et bien là. Depuis trop longtemps, on berce notre peuple dans le culte de la médiocrité. A force de le culpabiliser sur tout et n’importe quoi, de généraliser l’assistanat à la petite semaine tout en multipliant les taxes, les charges et les impôts qui tuent nos entreprises et de reculer lamentablement face à tous les défis internationaux, Chirac et ses semblables ont fini par abaisser la combativité de bon nombre de nos concitoyens au niveau zéro. Alors, même si Domenech est loin d'être un de nos amis, reconnaissons lui au moins cette rage de vaincre qui tranche singulièrement dans la chiraquie agonisante.

Friedrich Nietzsche disait : Deviens ce que tu es… Pour la France, c’est la même chose. Si l’on veut qu’elle gagne à nouveau, il faut avant tout qu’elle redevienne française. C’est là le véritable enjeu de la prochaine présidentielle…

Roland Hélie

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