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dimanche, 01 juin 2008

LA NOUVELLE DROITE POPULAIRE S'EST OFFICIELLEMENT CREEE LORS DE SA CONVENTION NATIONALE DU 1er JUIN...

Communiqué de presse : 

 

2027819741.JPGLa Nouvelle Droite Populaire organisait dimanche 1er juin à Paris, dans les salons de l’hôtel Novotel Vaugirard, sa convention nationale constitutive.

 

Au moment où le Front national est en état de dislocation et où une grande partie des électeurs de droite qui s’étaient reportés sur Nicolas Sarkozy se sentent trompés par la politique menée par celui-ci depuis son élection, la Nouvelle Droite Populaire entend redonner à la droite nationale et identitaire vitalité et combativité.

 

C’est dans cet état d’esprit que près de 200 délégués venus de 30 départements ont porté la NDP sur les fonts baptismaux.

 

1923173347.JPGUn bureau politique de 9 membres a été désigné pour conduire la NDP jusqu’à son congrès, qui se tiendra au mois de janvier prochain. Ce bureau comprend, dans l’ordre alphabétique : Philippe Chapron, responsable de la NDP en Basse Normandie, François Ferrier, conseiller régional de Lorraine, Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, Luc Pécharman, responsable de la NDP en Nord Pas de Calais, Jean-Claude Rolinat, journaliste et écrivain, Chantal Spieler, présidente de Solidarité alsacienne, Robert Spieler, ancien député et fondateur d’Alsace d’Abord,.Jean-François Touzé, conseiller régional d’Ile-de-France (porte-parole), Jean-Philippe Wagner, conseiller régional de Lorraine.

 

1002081650.JPGPlusieurs observateurs de mouvements européens ont assisté à la convention, parmi lesquels Hilde De Lobel, député du Vlaams Belang au Parlement flamand, et Alberto Torresano, du Frente español. D’autre part, la convention a reçu plusieurs messages d'amitié qui ont été lus, dont ceux de Pierre Vial, président de Terre et Peuple, d’Annick Martin, vice présidente du MNR, de Mario Borghezio, ancien ministre du deuxième gouvernement Berlusconi et député européen de la Ligue du Nord, et de Bernard Antony, président de Chrétienté Solidarité. 

 

Au cours de cette convention, les thèmes fondamentaux de la charte de la NDP (*) ont été développés par les différents responsables.

 

918384104.JPGRobert Spieler a insisté sur l’ardente nécessité de défendre nos identités régionales, nationale et européenne pour faire face à la mondialisation débridée qui conduit à l’asservissement de nos peuples. Et de citer Paul Valéry : « Rome n’est pas morte de sa belle mort mais a été assassinée ». Robert Spieler a rappelé "qu'elle a été assassinée de l’intérieur par des collabos qui ont renié les dieux, les valeurs de Rome et ont accordé la citoyenneté romaine aux barbares".

 

1987193977.JPGIl revenait à Jean-François Touzé de conclure cette convention : « La Nouvelle Droite Populaire n’est pas une association de déçus de telle ou telle formation politique, mais le rassemblement de toutes celles et tous ceux qui veulent travailler à la constitution d’une nouvelle force nettement ancrée à droite, capable d’œuvrer utilement à la conquête des électeurs  dans une perspective d’accession aux responsabilités du pouvoir ». Pour Jean-François Touzé « il n’y a pas de fatalité de la marginalisation de notre famille politique. Sur le socle qui est le nôtre, une majorité de nos compatriotes peuvent se retrouver ».

 

 

(*) Les principes fondamentaux de la Nouvelle Droite Populaire sont :

 

1 – Refus de l’immigration et de l’islamisation.

2 - Défense des identités régionales, nationale et européenne.

3 - Application de la préférence nationale et européenne.

4 - Réhabilitation des valeurs familiales et des principes fondamentaux de notre civilisation.

5 - Libération des énergies individuelles, politiques et économiques.

6 - Construction d’une Europe politique indépendante et puissante, fidèle à ses racines helléniques et chrétiennes.

 

Annexe au communiqué :

 

Message de Pierre Vial, Président de Terre et Peuple :

Les femmes et les hommes qui sont attachés viscéralement à leur identité, à leur peuple, à leur terre – terre de nos provinces et terre de notre grande patrie européenne- ces femmes et ces hommes, je les appelle « les nôtres ».

Dans l’esprit de beaucoup des nôtres, règnent aujourd’hui l’incertitude, le doute, le découragement provoqués par le triste spectacle que donne notre camp depuis que ce qui faisait le sens de notre combat – la lutte contre les envahisseurs – semble abandonné par ceux qui appellent les envahisseurs « les branches de l’arbre France ».

Face au désarroi, il faut rallumer la flamme de l’espérance. Il faut regrouper toutes les bonnes volontés, toutes les énergies pour organiser la résistance et la reconquête. Ce sera une longue marche, mais cette journée du 1er juin doit être une étape importante pour que cette longue marche se mette en mouvement.

C’est le vœu que je forme en vous adressant mon fraternel salut.

 

Message d'Annick Martin, Vice-présidente du MNR, aux participants de la convention de la NDP :

 

J'ai dû renoncer à participer à la convention de la Nouvelle Droite Populaire à laquelle j'étais invitée. En effet, comme vous le savez, des raisons conjoncturelles font que cette participation aurait pu être interprétée de façon malveillante ou intéressée.

 

Très attachée à la cohésion du MNR, j'ai donc décidé de ne participer à aucune manifestation susceptible de créer une quelconque ambiguïté avant le 22 juin, date du prochain conseil national de mon mouvement politique.

 

Je tiens toutefois à assurer les participants de ma solidarité et de mon amitié, car je reste favorable à toute entreprise de rassemblement, dans le respect des identités et des appartenances de chacun.

 

Message de Mario Borghezio, ancien ministre et député européen de la Ligue du Nord :

C’est important que les forces nationalistes, populaires et identitaires trouvent en France la possibilité de donner vie à une initiative politique unitaire pour combattre avec plus d’efficacité la mondialisation de l’Europe et le projet technocratique de Bruxelles.

J’ai le plaisir de vous l’annoncer aujourd’hui en avant première : les quatre ministres de la Ligue du Nord ont demandé l’organisation d’un référendum contre le traité de Lisbonne.

Je regrette beaucoup de ne pouvoir être des vôtres à l’occasion de la création de la Nouvelle Droite Populaire, mais nous avons cette fin de semaine notre grand rassemblement près de Bergame, où nous attendons 100 000 personnes pour commémorer une importante bataille historique, en ce lieu qui est devenu sacré de notre lutte identitaire.

Lors de mon intervention, je transmettrai à tous les participants la bonne nouvelle qu’est la création en France de la Nouvelle Droite Populaire.

 

Message de Bernard Antony, Président de Chrétienté Solidarité :

Chers amis,

Vous m'avez fait l'amitié de m'informer de vos initiatives et de vos projets et, si je l'avais pu, j'aurais volontiers accepté votre invitation à assister à votre congrès.

Je suis en effet persuadé de ce que le même désir de faire renaître un grand mouvement national nous rassemble. Celui-ci devra se construire certes sur la fidélité aux valeurs fondamentales de la patrie, de la justice sociale et de la culture de vie.

Mais il devra aussi apporter des réponses aux défis de notre temps, qu'on ne saurait élaborer à la seule lumière des débats du XIXème et du XXème siècle. Je vous souhaite donc un très bon et très imaginatif congrès. Très amicalement. Bernard Antony

mercredi, 28 mai 2008

Un nouveau chapitre de l'histoire de la droite de conviction...

1722363019.2.jpgA quelques jours de la première convention nationale de la Nouvelle Droite Populaire, qui se déroulera dimanche prochain (*), 1er juin, à Paris, la nouvelle crise qui vient d’éclater au sein du Front national, opposant l’agitateur Alain Soral au clan mariniste, semble confirmer l’état de déliquescence dans lequel se trouve le FN. Je ne m’étendrai pas là-dessus. Les faits sont là, certains peuvent les regretter mais force est de reconnaître que, de crises en scissions et d’erreurs stratégiques en exclusions massives, le FN a perdu toute crédibilité au sein de notre famille politique. Il est temps de tourner la page.

 

Parallèlement à cela, le pouvoir sarkozien, qui avait un moment su parfaitement capter une partie non négligeable de la « clientèle » traditionnelle de la Droite nationale, accentue depuis des mois son « ouverture à gauche » au nom d’une supposée stratégie d’isolement de celle-ci. Non seulement cette stratégie ne semble pas atteindre les objectifs espérés - comme on l’a vu lors des municipales, la gauche est toujours là -, mais, de surcroît, l’électorat « droitiste » de Nicolas Sarkozy se détache de plus en plus de lui pour se réfugier dans l’abstention.

 

Toutes les conditions sont donc réunies pour que puisse enfin émerger dans notre pays une véritable formation de droite, attachée à notre indépendance nationale et résolument tournée vers l’Europe, foncièrement opposée à la mondialisation débridée mais garante des libertés économiques pour nos entreprises, une formation politique totalement opposée à l’invasion qui menace notre civilisation et qui mettra au premier plan de ses préoccupations la défense de notre identité française et européenne… Cette formation, c’est la Nouvelle Droite Populaire et, dimanche prochain, elle deviendra une réalité.

 

Dimanche prochain, nous entamerons un nouveau chapitre de la grande histoire de la droite de conviction : je vous invite à venir nombreux nous rejoindre pour l’écrire ensemble…

 

Roland Hélie

 

 

(*) Novotel Vaugirard, 256 rue Vaugirard 75015 Paris de 14 h 00 à 18 h 00

samedi, 12 avril 2008

Le MNR soutient toutes les initiatives pour la refondation...

La stratégie d’union avec le FN n’a pas donné les résultats qu’on en espérait. Il nous faut donc élargir notre démarche et mettre en oeuvre une stratégie de rassemblement pour préparer la refondation et la réémergence de notre famille politique. La création du Comité d’initiative pour la Refondation va dans ce sens et, à ce titre, le MNR la soutient.

 

Comme le bureau national du MNR en a pris acte, la stratégie d’union avec le FN n’a pas répondu à nos attentes malgré les avantages que nous en avons tirés sur le plan médiatique et auprès des sympathisants de la droite nationale. À la Présidentielle, malgré le soutien désintéressé accordé à Jean-Marie Le Pen, le MNR n’a pas pu mener campagne. Aux Législatives, aucun accord n'a pu être trouvé et les Le Pen ont même placé un candidat face à Bruno Mégret. Aux Municipales et aux Cantonales, il en est allé de même. Aucune liste d’union n'a pu se constituer de façon loyale. Les seules qui ont pu l’être l’ont été avec des candidats en rupture de ban avec le FN. Quelques jours avant le scrutin, Le Pen qui passait sur France 2 au journal de 20 heures a même consacré la moitié de son temps de parole à attaquer Bruno Mégret. Quant à sa fille, elle a déclaré vouloir la mort du MNR et ne cesse de mettre en cause son président.

 

Le rassemblement, pas l’union

 

Il est donc temps de tirer les conclusions de cette situation et de préparer la relève en menant une stratégie de rassemblement avec tous ceux qui souhaitent le renouveau de notre famille politique. Le MNR va maintenant consacrer tous ses efforts à cette stratégie de refondation, qui passe par le rassemblement et la rénovation. C'est dans cet esprit qu'il soutient toutes les initiatives allant dans ce sens et notamment le Comité d'initiative pour la Refondation qui vient d’être constitué.

 

Cet organisme nouveau n'est pas un parti politique mais une structure qui a pour objet de préparer la refondation. Il s’agit de rassembler toutes les bonnes volontés qui veulent créer une force politique nouvelle capable d'imposer la réémergence de notre famille politique lorsque le sarkozysme aura définitivement échoué et que le lepénisme aura cessé de peser.

 

Le MNR entend par ailleurs multiplier à la base les contacts et les actions avec toutes les bonnes volontés d’où qu’elles viennent. Il soutiendra toutes les initiatives de rassemblement dès lors qu’elles visent à la refondation de notre courant politique et qu’elles intensifient notre combat. Dans cet esprit, le MNR va lancer une campagne de terrain contre l’islamisation du pays.

 

Florence Mazole

 

Source : Le Chêne n°57, avril 2008

vendredi, 11 avril 2008

Revue de presse : Un nouveau parti naît des divisions au sein du Front national

1887039487.gifSource :

Jean-Yves Camus Rue 89

 

La crise interne au Front national commence à avoir les conséquences prévues : les mauvais résultats électoraux de 2007, la ligne politique "modernisatrice" de Marine Le Pen et le non-règlement de la question de la succession de son chef, génèrent des départs et des scissions. Un processus qui risque de remettre en cause, à terme, une des principales réussites du FN entre le milieu des années 80 et celui des années 2000, à savoir sa capacité à maintenir réunies les différentes tendances antagonistes du "camp national", toujours prompt à se déchirer sur des questions de personnes, de stratégie ou d’idéologie.

 

Un nouveau mouvement est donc né le 29 mars à Paris, selon l’hebdomadaire "Minute". A la réunion de lancement de cette nouvelle formation, qui n’est pas un parti mais qui a vocation à le devenir, une fois la base élargie, participaient le directeur de la revue Synthèse nationale, Roland Hélie, le président du mouvement régionaliste Alsace d’abord, Robert Spieler, et Bruno Mégret, toujours à la tête d’un Mouvement National Républicain (MNR) maintenu en survie artificielle.

 

La particularité de ce regroupement est de déjà pouvoir compter sur des élus dans les conseils régionaux : deux en Lorraine (le catholique traditionaliste François Ferrier et Jean-Philippe Wagner), un en Ile-de-France (Jean-François Touzé) et un dans le Nord-Pas-de-Calais (François Dubout, qui vient d’être suspendu du FN pour avoir retiré la liste qu’il présentait aux municipales de Calais, afin de favoriser la victoire de l’UMP sur le maire sortant communiste).

 

Deux sous-familles d'extrême-droite qui s'opposent

 

La nouvelle structure devrait adopter son nom le 27 avril, se doter d’une direction en juin et tenir son premier congrès en décembre. La démarche à peine lancée suscite déjà des remous: le Bloc identitaire a en effet démenti la participation de sa représentante dans le Nord (...) à la nouvelle formation, alors que son nom figurait parmi les initiateurs de la démarche.

 

Les grands axes idéologiques du mouvement sont le "refus de l'immigration-invasion et de l'islamisation", "la défense des valeurs fondamentales de notre civilisation" et "la construction d'une Europe de la puissance". Un triptyque qui confirme que l’extrême-droite, dans toute l’Europe, se divise désormais en deux sous-familles opposées : l’une, qui reste fidèle au nationalisme de l’Etat-nation et peut évoluer vers une conception multiethnique de celui-ci (c’est l’orientation de Marine Le Pen); et l’autre, qui se réclame d’un nationalisme européen, fondé sur l’Europe des régions et des ethnies, totalement anti-intégrationniste et islamophobe.

 

mardi, 05 février 2008

INTERVENTION DE JEAN-FRANCOIS TOUZE AU COLLOQUE DE SYNTHESE NATIONALE SUR L'ISLAMISATION :

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Nous publions ici les principaux extraits du discours de Jean-François Touzé, Conseiller régional d'Ile-de-France et Président de Convergences nationales, prononcé à l'occasion du colloque de Synthèse nationale sur l'islamisation qui s'est tenu à Paris samedi 2 février dernier :

 

Mesdames, Messieurs, Chers Amis,

 

Je voudrais, avant toute chose, remercier Roland Hélie pour son invitation et saluer l’initiative qu’il a prise en organisant ce colloque.

 

Si nous sommes réunis ici ce samedi après-midi, c’est bien évidemment que nous sommes tous conscients de la menace mortelle que fait peser, non seulement sur nos villes, mais sur notre nation, notre continent, notre civilisation, la vitalité puissante, bouillonnante et offensive – même s’il s’agit encore d’une offensive contenue – d’un Islam qui, depuis quelques décennies, servi par une démographie galopante, par la lâcheté ou l’inconscience des gouvernements occidentaux, mais aussi par les erreurs d’une Amérique aveugle, a retrouvé en lui-même la force de sa marche collective et sa volonté eschatologique, tant il est vrai que demeurent chevillés au corps mystique de l’inconscient musulman, l’attente et l’espoir, pour les uns du rétablissement du califat, pour les autres du retour de l'Imam caché et du triomphe du Mahdi.

 

Cette menace, Mes Chers Amis, nous ne pouvons l’aborder de manière parcellaire. Elle est globale, tout à la fois planétaire, nationale et civilisationnelle. Lire la suite.

dimanche, 03 février 2008

Colloque contre l'islamisation de nos villes : UN NOUVEAU SUCCES POUR SYNTHESE NATIONALE !

2072dbce083c874f313693101cb09564.jpgRamener l’islamisation des villes de France au cœur de la campagne pour les élections municipales, tel était l’objectif du colloque organisé samedi 2 février à Paris par Synthèse nationale.

 

Devant 220 participants, parmi lesquels nous notions la présence de l’ancien député de l’Oise Pierre Descaves, de la députée flamande Hilde De Lobel, de Tim Rait, haut responsable du British National Party, venu spécialement de Londres pour assister à cette réunion, du Docteur Xavier Dor, de plusieurs conseillers régionaux du Front national, de nombreux élus municipaux et de candidats nationaux et identitaires aux municipales, les orateurs qui se sont succédés à la tribune ont abordé à la fois l’historique de ce phénomène, sa dimension dramatique et ethnocide et les solutions pour le combattre.

 

9701cfea94c4465d71f6c51442f3d611.jpgAinsi, Bernard Antony, Président de Chrétienté solidarité, nous a magnifiquement brossé le vrai visage de l’islam conquérant en démontant les mécanismes mensongers de ceux qui essaient de nous faire croire que l’islam serait une religion d’amour et de tolérance. Il nous rappela que l’islam est aujourd’hui plus dangereux pour notre civilisation que le fut le communisme hier.

 

Lui succéda Nicolas Tandler, écrivain et journaliste, qui écrit régulièrement dans notre revue. Celui-ci évoqua, avec la précision que nous lui connaissons, la collaboration entre certains syndicats et l’islamisation dans le monde du travail.

 

Patricia Vayssière, courageuse conseillère municipale MNR de Montreuil, fut ovationnée par l’assistance lorsqu’elle expliqua comment elle a réussi à faire annuler la subvention accordée par la municipalité communiste de sa ville pour la construction d’une grande mosquée. Elle encouragea, en leur donnant le mode d’emploi, tous ceux qui ne veulent pas voir surgir un minaret dans leur ville à en faire autant.

 

e597e97503036fc6aaf978a33f5b2089.jpgLa première partie de ce colloque se termina par l’intervention de notre amie Odile Bonnivard, porte-parole de Solidarité des Français, qui nous rappela, avec réalisme, qu’un Congolais, fût-il de nationalité française et parfaitement intégré dans la société, ne fera jamais pour autant un véritable Européen. De la même manière qu’un Européen qui vit en Afrique ne sera jamais un Africain.

 

Après une pause au cours de laquelle les participants purent visiter les stands et se fournir en livres et revues, la seconde partie du colloque débuta par l’exposé remarquable de Jean-Claude Rolinat, qui se livra à un état fort détaillé et alarmant de l’enracinement de l’islam dans le monde et de l’expansion de celui-ci en Europe.

 

3587015bdb0855d7d52bc0e96bb428af.jpgMartin Peltier, dont le talent de polémiste n’est plus à démontrer, mit une note d’humour digne de Marcel Aymé pour désigner les vrais responsables de l’islamisation de la France et de l’Europe.

 

8a341cf476821c4128ecdba0f987f09c.jpgJean-François Touzé, conseiller régional d’Ile-de-France et président du Club Convergences nationales, appela au rassemblement de toutes les énergies dans le nécessaire combat politique pour que la France redevienne la France et que l’Europe reste européenne. Il conclut en citant la fameuse réplique du Général de Castelnau, « Il faut que Verdun tienne, donc Verdun tiendra ». CQFD.

 

 

9f9a09e75bed9c31547abef7c08f905e.jpgRobert Spieler (ici en compagnie du célèbre acteur Dominique Zardi), Président d’Alsace d’abord et candidat à la mairie de Strasbourg, appela à la résistance nationale, identitaire et européenne. Il présenta au public parisien la vaste campagne européenne lancée le 17 janvier dernier à Anvers à l’initiative de Filip Dewinter, porte-parole du Vlaams belang, contre l’islamisation de nos villes. En organisant ce colloque, Synthèse nationale donne le coup d’envoi de cette campagne en France.

 

569e60f53e6f4c76473e8396ff520be6.jpgAprès avoir passé la parole à Myriam Baeckeroot, conseillère régionale d’Ile-de-France et initiatrice du Comité pour le respect du NON français, qui expliqua, deux jours avant la ratification du Traité de Lisbonne, le sens de son combat, Roland Hélie conclut cette journée en rappelant l’esprit unitaire qui anime Synthèse nationale et en insistant sur la nécessité absolue de faire de la lutte contre l’islamisation le fer de lance de la résistance identitaire.

 

Les actes de ce colloque seront publiés dans la prochaine livraison de Synthèse nationale.

 

Synthèse nationale tient à remercier Radio Courtoisie, Rivarol, Novopress, Altermedia ainsi que les nombreux bulletins, sites et blogs (qu'ils lui pardonnent de ne pas pouvoir tous les citer) qui lui ont fait l'amitié d'annoncer ce colloque.

vendredi, 01 février 2008

Face à l’islamisation de nos villes : LA REPONSE NATIONALE ET IDENTITAIRE !

Au mois de mars prochain, se dérouleront les élections municipales. A cette occasion, les partis du Système vont, une fois de plus, se plier devant les diktats des associations musulmanes et vont rivaliser d’ingéniosité pour faire élire des représentants de ces associations, souvent contrôlées par les islamistes, dans les conseils municipaux. Petit à petit, le processus d’islamisation se renforce, grâce à la lâcheté de ceux qui ont perdu les repères de leur civilisation.

 

Depuis 2001, date des précédentes élections municipales, combien de villes ont vu surgir un minaret ? Combien de cantines, gérées par les communes, se sont pliées aux règles culinaires imposées par les musulmans ? Combien de cités sont tombées sous le contrôle des groupes de hors-la-loi issus de l’immigration ?

 

La force des conquérants réside trop souvent

dans la faiblesse des conquis.

 

Pourtant, qu’on le veuille ou non, l’Europe est une terre de cathédrales et de beffrois, elle n’est pas une terre de mosquées ni de minarets… Un nombre croissant d’Européens veut que cela reste ainsi !

 

Voilà pourquoi, afin de proposer des solutions efficaces face à l’islamisation rampante de notre société, la revue Synthèse nationale vous invite à assister au colloque qu’elle organise :

 

SAMEDI 2 FEVRIER

de 14 h 00 à 17  h 30

 

Salons Athènes Services

8, rue d’Athènes Paris IXème

(métros Saint-Lazare ou Trinité)

Participation : 7,00 €

 

  Interventions de :

Bernard Antony, Président de Chrétienté solidarité

Odile Bonnivard, porte-parole de Solidarité des Français

Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale

Martin Peltier, journaliste et écrivain

Jean-Claude Rolinat, écrivain

Robert Spieler, candidat à la mairie de Strasbourg

Nicolas Tandler, journaliste et écrivain

Jean-François Touzé, conseiller régional d’Île-de-France et

Président de Convergences nationales

Patricia Vayssière, conseillère municipale MNR de Montreuil (93).

 

 

Tract 02 02 08 SN Paris.pdf

lundi, 03 décembre 2007

Le 27 octobre en clip...

27 octobre 2007 : 1er anniversaire de la revue Synthèse nationale à Paris.

 

mardi, 30 octobre 2007

Quelques témoignages sur la réunion de Synthèse nationale :

Nous publions ici quelques témoignages relevés ici et là sur les blogs et qui nous vont droit au coeur...

 

Sur le site de Luc Pécherman, Conseiller municipal FN de Lille :

 

de7232c123112466685b1d38aeeb58f0.jpgToujours curieux, votre serviteur s’est rendu le samedi 27 octobre à Paris pour le premier anniversaire de la revue dirigée par Roland Hélie.

 

Un franc succès que ce rassemblement de toutes les composantes de la droite nationale. Le thème, fédérateur, de cet après-midi était  "Comment défendre notre Identité ?". Voilà certes la question centrale que devrait se poser tout homme politique responsable, car de ces quelques mots découlent tous les choix que nous devrons faire pour assurer la prospérité et le bien-être de notre peuple.

 

Des orateurs de tous horizons se sont succédés à la tribune pour y exposer leurs points de vue, rappelant tous que ce qui nous rassemble est plus fort que ce qui nous divise. Vous pouvez trouver un compte-rendu des tables rondes sur le site de Synthèse nationale.

 

A noter la présence de Jean-François Touzé, Conseiller régional d'Ile-de-France, Membre du Bureau politique du Front national.

 

Je me réjouis, à titre personnel, de cette excellente initiative. Devant les menaces mortifères qui pèsent sur les Nations Européennes, l’union doit primer sur les luttes de chapelles. C’est dans le même esprit que je suis convaincu aussi que le sursaut de nos patries passera par une collaboration plus étroite des droites nationales européennes, avec nos camarades du Vlaams Belang, de l’UDC, du Fpö… car nous partageons tous bien plus qu’une vision politique, nous partageons une conception du monde.

 

Sur le site de Marie-Paule Darchicourt, élue FN au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais :

 

6d87d8214020f5f532243db9edaba0e0.jpgUn beau succès que le colloque organisé samedi 27 octobre à Paris par Synthèse nationale : une salle archi-bondée, des stands débordés à la limite de la rupture de stock, des rencontres et des retrouvailles inattendues, une ambiance de fraternelle camaraderie, des échanges fructueux, des prises de position amicalement exposées et finalement la définition claire, nette et précise de l'ennemi commun, somme toute le plus puissant des rassembleurs.

 

Le compte-rendu détaillé de ce premier pas vers un "grenelle de l'identité", pour utiliser un terme à la mode, pourra être consulté sur le site de la revue politique, et culturelle nationale et identitaire de Roland Hélie ; une désormais incontournable revue qui a édité à cette occasion un numéro hors-série regroupant toute une série de fort intéressants entretiens sur le thème primordial de notre identité. Rendez-vous pour "l'an deux"... n'en doutons pas dans une salle plus grande ! 

Sur le site du réseau Durandal :

Une quinzaine de jeunes identitaires d’Ile de France ont participé au premier anniversaire de la revue Synthèse nationale. L’affluence fut à la hauteur de l’évènement, puisque la salle réservée était largement pleine pour recevoir les différents orateurs. Quant à l’accueil fait par le public aux différentes composantes des Identitaires (Bloc Identitaire, Solidarité Kosovo, Jeunesses Identitaires ou le CEPE) a été plus que chaleureux.

Autre motif de satisfaction, et non des moindres, notre vision de l’engagement militant ainsi que notre vision politique sont devenues la ligne à suivre pour la majorité des intervenants. Les thèmes Identitaires comme l’enracinement local, l’action associative, le lobbying politique ainsi que le combat culturel étaient dans toutes les bouches au cours de cette journée. Le discours de Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire, un des plus applaudi, était évidemment en totale adéquation avec les aspirations des personnes présentes dans la salle.

Nous souhaitons une nouvelle fois un bon anniversaire à la revue de Roland Hélie. 

 

 

lundi, 29 octobre 2007

Revue de presse : Différents articles et dépêches sur la réunion de Synthèse nationale...

L'extrême droite radicale cherche à se fédérer contre Marine Le Pen...

Le Monde, mardi 30 octobre 2007

a2d41ab4faa39bf84e4b5f94ddba0859.gifLa revue nationaliste et identitaire, Synthèse nationale, dirigée par Roland Hélie a réuni, samedi 27 octobre, à Paris, régionalistes, catholiques traditionalistes et racialistes qui, à l'extérieur comme au sein du Front national, ne se reconnaissent pas dans la ligne de "dédiabolisation" et du "ni droite ni gauche" promue par Marine Le Pen sur le parti d'extrême droite.

Thème de la rencontre : "Face aux dangers qui menacent notre civilisation : comment défendre notre identité ?" Une question qui en cachait une autre : comment envisager l'avenir de l'extrême droite française avec ou sans le Front national ?

L'une n'allait pas sans l'autre car, avant d'envisager un rassemblement, il fallait que les différentes composantes de la nébuleuse extrémiste dessinent le contour de ce qui fait leur socle. Quoi de commun en effet entre les nationalistes du Front national et les régionalistes de Robert Spieler, président d'Alsace d'abord ? Entre ceux qui, comme Fabrice Robert, président du Bloc identitaire, prônent la grande Europe et ceux qui avec Bruno Mégret, président du Mouvement national républicain (MNR), s'arrêtent à l'Etat nation ? Entre, enfin, les catholiques traditionalistes attachés au combat pour une civilisation chrétienne, représentés par Bernard Antony, le président de Chrétienté solidarité qui, en raison de la grève d'Air France, était absent samedi, et les païens rassemblés derrière Pierre Vial le président de Terre et peuple ? Pas grand-chose si ce n'est leur volonté "d'inverser le courant migratoire" et de "mettre fin au regroupement familial" comme l'ont martelé les intervenants.

Certains, au nom de la civilisation chrétienne mise en péril selon eux "par l'islam", d'autres sur des critères raciaux.

Pierre Vial, qui parle d'"invasion des allogènes qui veulent voler la terre" des Français, soutient ainsi que "l'identité", repose sur des "composantes biologiques, génétiques et ethniques".

"La substance même de notre peuple est aujourd'hui atteinte par l'immigration non européenne" s'est plaint ainsi Robert Spieler. "Cette immigration incontrôlée risque d'engendrer un ethnocide européen" a renchéri Roland Hélie. "L'âge d'or ethnique n'existe pas. L'identité est un héritage, une construction" a défendu Bruno Larebière, rédacteur en chef du Choc du mois avant de demander toutefois que l'"on se préoccupe de la modification génétique imposée à notre peuple" par l'immigration et explique que le peuple français "de race blanche et de culture grecque, latine, européenne" est "en train de disparaître". Plus prosaïque, Fabrice Robert s'est fait applaudir à tout rompre en dénonçant sans périphrase "le métissage".

Question perspectives, l'assistance était moins unanime. Si tous les présents étaient d'accord sur l'idée d'union, les avis étaient plus partagés sur le cadre dans lequel celle-ci doit se faire. Quelques-unes comme Jean-François Touzé, membre du bureau politique du FN croient encore en l'avenir du parti. A l'opposé, Fabrice Robert pense que c'est à l'extérieur qu'il faut mener le combat. Transformé en Monsieur Loyal, Pierre Vial a proposé d'organiser des actions communes "ponctuelles" pour se donner "l'habitude d'agir ensemble". Une suggestion soutenue par Roland Hélie qui a annoncé la création d'un comité de coordination.

Christiane Chombeau

 

Le titre de cet article n'engage que la rédaction du journal Le Monde (NDLR-SN)

Selon l'AFP : Une partie de l'extrême droite cherche son avenir, avec ou sans le FN

6d1fc597a60ac2a138a37c4e6e546811.gifPar Laurent BARTHELEMY AFP

Dimanche 28 octobre, 13h14

PARIS (AFP) - Après avoir longtemps soutenu le FN ou milité en son sein, les différentes mouvances identitaires de l'extrême droite, régionalistes, catholiques, ethnicistes, se cherchent désormais de nouvelles voies d'action, avec ou sans le parti de Jean-Marie Le Pen.

Un colloque organisé samedi à Paris par la revue d'extrême droite Synthèse nationale a réuni plusieurs centaines de personnes, rassemblées par leur hantise d'une fin de la civilisation européenne par la "substitution de population" que va provoquer, selon eux, l'immigration et la "décadence" morale du vieux continent.

A la tribune, sous une grande banderole "défendre notre identité", Pierre Vial, ancien responsable FN avant la scission mégretiste, a défendu une "identité nationale" en partie "biologique, ethnique, génétique".

A ses côtés, parmi les orateurs, le régionaliste alsacien Robert Spieler - ex-député FN en 1986-88 -, le président du Bloc identitaire Fabrice Robert, Hilde de Lobel, députée du parti d'extrême droite flamand Vlaams Belang.

Le catholique traditionaliste Bernard Antony, ex-député européen FN, empêché par la grève d'Air France, a fait lire un message.

"Un Grenelle de l'identité", s'est félicité à la tribune Bruno Larébière, rédacteur en chef de l'heddomadaire d'extrême droite Minute et du mensuel Choc du mois.

Mais à ce "Grenelle" suivi dans la salle par quelques secrétaires départementaux du FN, pas d'orateurs représentant officiellement le parti de Jean-Marie Le Pen.

Car il y a des différends entre ces mouvances et le FN, évoqués par exemple par le nationaliste Thibaud de Chassey.

Celui-ci a dénoncé "l'offensive" dans les milieux nationalistes d'une "conception républicaine" de la nation, au détriment d'une conception "charnelle", "physique".

Une critique visant entre autre le discours de Jean-Marie Le Pen à Valmy en septembre 2006, ou celui-ci avait appelé "les Français d'origine étrangère" à se joindre à lui, invoquant les noms de "Platini" et de "Zidane".

La direction du FN avait demandé à ses cadres de ne pas se rendre au colloque, soupçonné d'être une étape dans la constitution d'un nouveau mouvement d'extrême droite, concurrent du parti.

Le délégué général adjoint du FN, Martial Bild, qui avait annoncé sa présence, a renoncé à venir.

Seul était présent à la tribune Jean-François Touzé, membre du bureau politique, mais en disgrâce avec son parti pour avoir demandé une clarification de la ligne politique du Front.

"Une grande partie de la famille nationale est aujourd'hui hors du Front" et "je milite pour que le Front soit à nouveau le lieu de rassemblement de cette famille", a-t-il expliqué aux journalistes pour justifier sa présence.

A la tribune, M. Touzé a mis en garde les participants contre les "tentations groupusculaires". "Les partis politiques demeurent irremplaçables", et "le FN demeure un vecteur essentiel du combat national", a-t-il déclaré.

Le secrétaire général du MNR (mégretiste) Nicolas Bay a pour sa part expliqué qu'il fallait "réinventer la droite nationale" en construisant un rassemblement "sans arrière-pensée hégémonique".

S'il a évoqué les "divergences de vue" très importantes des mégretistes avec Marine Le Pen - dont le nom a provoqué quelques huées - il a souligné aussitôt "les qualités politiques évidentes" de la fille de Jean-Marie Le Pen, qui "a toute sa place" dans le "rassemblement des patriotes sincères", a-t-il dit.

Le Salon Beige :  Le Grenelle de la Droite nationale ?

 

Le Salon Beige, 28 octobre 2007

 

5e1c78cbb0d4d01be946ffd6e0be3586.jpgDifférentes mouvances de la droite nationale se sont réunies hier à Paris, à l'initiative de la revue Synthèse nationale. Parmi les personnalités présentes, on note Robert Spieler, le président du Bloc identitaire Fabrice Robert, Odile Bonnivard, Jérôme Bourbon, Olivier Pichon, Hilde de Lobel, députée du Vlaams Belang, Nicolas Bay (MNR) et Jean-François Touzé (FN). Bernard Antony, empêché par la grève d'Air France, a fait lire un message.

 

"Un Grenelle de l'identité", s'est félicité à la tribune Bruno Larebière, rédacteur en chef de Minute et du Choc du mois.

 

La direction du FN avait demandé à ses cadres de ne pas se rendre au colloque et le délégué général adjoint du FN, Martial Bild, qui avait annoncé sa présence, a renoncé à venir. Seul était présent Jean-François Touzé, membre du bureau politique, qui a dit :

 

"Une grande partie de la famille nationale est aujourd'hui hors du Front. Je milite pour que le Front soit à nouveau le lieu de rassemblement de cette famille [...] le FN demeure un vecteur essentiel du combat national".

 

Le secrétaire général du MNR, Nicolas Bay a expliqué qu'il fallait "réinventer la droite nationale" en construisant un rassemblement "sans arrière-pensée hégémonique" :

 

Le pape Benoît XVI le soulignait récemment : « L’Occident montre disait-il une haine envers lui-même qui paraît étrange et peut être considérée uniquement comme un phénomène pathologique ; l’Occident ne s’aime plus. Dans son histoire, il voit uniquement ce qui est blâmable et destructif, et il n’est plus capable de reconnaître ce qui est grand et pur.»"

 

S'il a évoqué les "divergences de vue" avec Marine Le Pen, il a souligné "les qualités politiques évidentes" de la fille de Jean-Marie Le Pen, qui "a toute sa place" dans le "rassemblement des patriotes sincères".

 

 Michel Janva

dimanche, 28 octobre 2007

Toute la droite nationale et identitaire était au rendez-vous :

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Première table-ronde :

Alexis Arette, Jack Marchal, Odile Bonnivard, Didier Lecerf, Robert Spieler, Pierre Sidos

 

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Seconde table-ronde :

Philippe Randa, Jérôme Bourbon, Catherine Robinson, Didier Lecerf, Robert Spieler, Bruno Larebière, Olivier Pichon, Xavier Guillemot, Thibaut de Chassey

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Un public nombreux (plus de 600 entrées payantes), attentif et enthousiaste

 

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Une salle vite trop petite (500 places assises)... 

 

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 Roland Hélie conclut la réunion.

A la tribune : Chantal Spieler, Nicolas Bay, Fabrice Robert, Jean-François Touzé, Hilde De Lobel, Robert Spieler, Bruno Larebière, Pierre Vial

 

Quelques interventions :

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- 27 10 07 Intervention de Jean-François Touzé.pdf 

- 27 10 07 Intervention de Roland Hélie.pdf

- 27 10 07 Intervention de Pierre Vial.pdf

- 27 10 07 Intervention de Nicolas Bay.pdf

ENORME SUCCES DE LA REUNION POUR LA DEFENSE DE NOTRE IDENTITE DE SYNTHESE NATIONALE…

 
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PLUS DE 600 PERSONNES ONT REPONDU A NOTRE APPEL...

Toutes nos espérances, même les plus folles, ont été pulvérisées par l’immense succès de la réunion organisée samedi 27 octobre à l’occasion du premier anniversaire de la revue Synthèse nationale. Toute la droite nationale, régionaliste et identitaire était présente. Incontestablement, cette réunion a marqué un tournant décisif dans l’histoire de notre famille politique.

Ils sont tous venus, ils ont tous exprimé leur détermination à défendre notre identité, qu‘elle soit régionale, nationale ou européenne. Devant un public enthousiaste, nous avons réalisé la véritable synthèse de toutes ces sensibilités qui font la richesse de la droite de conviction.

Au cours des deux tables-rondes animées par Robert Spieler et Didier Lecerf, nous avons écouté des interventions toutes aussi passionnantes les unes que les autres. Ainsi, dans une première partie, nous avons entendu Alexis Arette, président d’honneur de la Fédération française de l’agriculture, Odile Bonnivard, porte-parole de Solidarité des Français, Frédéric Pichon, Président d’Europae gentes, Jack Marchal, que l’on ne présente plus, Pierre Sidos, Président de l’Oeuvre française, et Anne Kling, Présidente de l’association Défendons notre identité et auteur du livre La France licratisée.

 

La seconde table-ronde rassemblait les représentants de la presse nationale et identitaire. Se succédèrent les interventions de Catherine Robinson, journaliste au quotidien Présent, de Bruno Larebière, du Choc du Mois et de Minute, de Philippe Randa, écrivain et éditeur, de Jérôme Bourbon, de Rivarol, d’Olivier Pichon, de Monde et Vie, de Xavier Guillemot, de l’Idée bretonne, et de Thibaut de Chassey, directeur de l’Héritage et responsable du Renouveau français.

 

Puis vint le moment des interventions des personnalités politiques. D’abord, Hilde De Lobel, député d’Anvers, qui représentait le Vlaams belang et qui nous lut un message de soutien et d’amitié de Filip Dewinter, et Chantal Spieler qui nous lut le discours de Bernard Antony, empêché d’être parmi nous en raison de la grève des transports aériens. Ensuite, se succédèrent Fabrice Robert, Président du Bloc identitaire, Nicolas Bay, Secrétaire général du Mouvement national républicain, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Bruno Larebière, Jean-François Touzé, conseiller régional d’Île-de-France et membre du Bureau politique du Front national, Robert Spieler, Président d’Alsace d’abord. Il revenait à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de conclure cette journée qui, de l’avis de tous, est à marquer d’une pierre blanche dans la grande histoire du mouvement national et identitaire. Une constante ressort de toutes ces interventions : la volonté de chacun de voir se réaliser le rassemblement de toutes les énergies pour sauver notre civilisation.

 

Dans la prochaine livraison de la revue Synthèse nationale qui, à partir du mois de janvier, passera à une périodicité bimestrielle, vous pourrez lire un compte-rendu détaillé de cette formidable journée.

 

Plus de 600 personnes étaient présentes. Parmi elles, de nombreux élus, locaux et régionaux, de la droite nationale et identitaire ainsi que plusieurs anciens députés. Dans le grand hall de l’Asiem, plus de trente stands d’associations, de journaux, de mouvements et de maisons d’édition s’étaient installés. Ce grand succès prouve, s’il en était encore besoin, que Synthèse nationale, en quelques mois, s’est imposé comme la revue de référence incontournable de la droite nationale et identitaire…

 

A l'occasion de cette réunion, un numéro hors-série de Synthèse nationale a été édité. Il s'agit d'une grande enquête sur l'identité. Ce numéro comprend, outre les contributions des personnalités intervenantes, celles de Bruno Gollnisch, député européen et délégué général du FN, Bruno Mégret, Président du MNR, Jean-Yves Le Gallou, Président de Polémia, Christian Baeckeroot, membre du Bureau politique du FN, Jean-Claude Rolinat, écrivain et journaliste...

 

Plusieurs groupes d’extrême gauche avaient appelé à la riposte « antifasciste ». La présence d’importantes forces de l’ordre (dix cars de gendarmes mobiles avaient pris position autour de la salle) et l’efficacité de notre service de sécurité, admirablement dirigé par notre ami B.C.A., dissuadèrent les contre-manifestants de troubler notre réunion.

 

S.N.

 

 

vendredi, 26 octobre 2007

LE RENDEZ-VOUS DE LA DROITE NATIONALE ET IDENTITAIRE :

 SAMEDI 27 OCTOBRE, PARIS…

 COMMENT DEFENDRE

 NOTRE IDENTITE ?

1er anniversaire de la revue Synthèse nationale

Théâtre de l'Asiem (6, rue Albert de Lapparent 75007 )

De 13 h. 30 à 18 h. 00

 Tract 27 10 07 - liste des intervenants.pdf

 

TOUS LE SAMEDI 27 OCTOBRE A PARIS !

dimanche, 23 septembre 2007

Le 21 septembre devant l'ambassade de Belgique à Paris

Le 11 septembre dernier à Bruxelles, la police belge a brutalement réprimé la manifestation pacifique organisée par le collectif SIOE contre l'islamisation de l'Europe. Plus de 150 manifestants (parmi lesquels des députés européens français, flamands et italiens) ont été arrêtés et malmenés par la police belge aux ordres du bourgmestre socialiste de Bruxelles.

Pour défendre la liberté d'expression des Européens, les associations Europae Gentes, présidée par Frédéric Pichon, et Chrétienté Solidarité, présidée par Bernard Antony (reportage filmé à consulter sur son site), ont organisé une manifestation de riposte le vendredi 21 septembre à 19 h 30 devant l'ambassade de Belgique au nom de la liberté d'expression des Européens face à l'islamisation.

À l'issue de ce rassemblement, Frédéric Pichon, Bernard Antony, Nicolas Bay, secrétaire général du MNR, et Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France,  ont successivement pris la parole au nom de leurs organisations respectives. Ils ont ensuite déposé une motion auprès de l'ambassade de Belgique.

mercredi, 08 août 2007

Roland Gaucher a été enterré aujourd'hui

c0073ee9556173f32d77d192e4740f99.jpgRoland Gaucher, décédé à l'âge de 88 ans le 26 juillet dernier (voir note du 27 juillet sur ce blog), a été inhumé ce mercredi 8 août. Une émouvante cérémonie religieuse a été célébrée en présence de sa famille et de ses amis, à Maisons-Laffitte. Plusieurs collaborateurs de National hebdo autour de son directeur, Jean-Claude Varanne, étaient présents, ainsi que Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France.  

lundi, 11 juin 2007

Une page s'est tournée, passons à autre chose...

Les résultats sont là. Il ne faut pas se voiler la face, ils sont catastrophiques pour la droite nationale en général et pour le Front en particulier. Bien sûr, certains s’évertueront à minimiser la débâcle en cherchant de multiples explications circonstancielles et d'autres se consoleront en brandissant le résultat certes plus qu'honorable de Marine Le Pen, mais tout cela ne résiste pas sérieusement à l’épreuve des faits. Dimanche soir, une page s’est tournée dans l’histoire du mouvement national.

 

Et pourtant, souvenez-vous, il y a encore six mois, tous les espoirs étaient encore permis. Sur le perron de sa propriété clodoaldienne, Jean-Marie Le Pen appelait à l’unité de la droite nationale et recevait le soutien de Bruno Mégret. D’autres formations étaient prêtes à participer à cette vaste union patriotique autour du candidat du Front national. Les sondages ne cessaient de lui donner des résultats en hausse et partout les bonnes volontés se préparaient au combat… Mais Le Pen avait sans doute sous-estimé le pouvoir de nuisance de certains de ses lieutenants qui s’empressèrent de saboter le beau projet. Bref, trois mois plus tard, patatras ! L’unité sacrifiée et une phrase malheureuse sur les origines hongroises du candidat Sarkozy et ce fut la chute.

 

En réalité, au-delà de ces deux raisons évoquées, cette chute était prévisible depuis des mois. En effet, au moment où les événements donnaient raison aux analyses que le Front national professait depuis des décennies, qu’elle ne fut pas notre surprise de voir celui-ci rompre avec les fondamentaux qui avaient, jusqu’ici, fait sa fortune électorale.

 

Etait-il bien habile de se mettre à racoler (sans aucun succès d’ailleurs) les voix des immigrés alors qu'un nombre grandissant de Français manifestaient leur exaspération face aux effets pervers de l’immigration ? Etait-il tout aussi judicieux, au moment où la France se droitise de plus en plus, de procéder à une gauchisation du vocabulaire et du programme national ? Enfin, était-il raisonnable de manifester, quelques jours avant l’élection présidentielle, un tel mépris à l’encontre de ceux (MNR, régionalistes, identitaires…) qui avaient, sincèrement, apporté leurs soutiens (ou leurs signatures) au chef du FN ?

 

Toutes ces erreurs, certes ajoutées à l’âge du candidat et à l’arrogance déplacée d’une poignée de courtisans qui sont venus se greffer sur la bête au moment où celle-ci faisait encore peur et sans oublier les effets ravageurs de l’excellente prestation de Nicolas Sarkozy lors de la Présidentielle, le Front vient de les payer très cher à ces législatives que certains espéraient voir comme le début de la reconquête de l’électorat perdu. Depuis hier soir, malgré le dévouement exemplaire de ses militants et candidats, le Front a perdu de sa superbe. Il n’est plus vraiment en position de s‘imposer comme le parti du recours. Il retrouve ses résultats du début des années 80. S’il veut rebondir un jour, il doit à un moment où à un autre (et il vaudrait mieux pour lui que ce moment n’arrive pas trop tard…) procéder à son « examen de conscience », sans quoi il continuera à s’enfoncer dans la terrible spirale du déclin.

 

A première vue, le Front est aujourd’hui face à un cruel dilemme. Soit il choisit la voie de l’enfermement qui aboutira à la ringardisation, soit il continue sur celle de la dédiabolisation amorcée ces derniers mois et il fonce droit vers la C N I sation, c’est-à-dire à devenir un parti croupion au service de la droite libérale. Dans un cas comme dans l’autre, l’avenir n’est pas réjouissant… A moins qu’il se découvre subitement une troisième stratégie…

 

Mais, dans un premier temps, ce sont les contingences matérielles qui vont occuper les responsables du FN. Non seulement le déficit dû à la perte d’un nombre conséquent d’électeurs va amener le Front à réduire considérablement son « train de vie » (ce qui aura au moins le mérite d’écarter les profiteurs qui se sont enrichis sur son dos) ; mais il va aussi falloir payer les campagnes des centaines de candidats dont le score est inférieur à 5 %. A ce sujet, il est « plaisant », pour les partisans acharnés de l’union patriotique que nous avons été, de noter que ce nombre serait bien moindre si un accord avait été conclu avec le MNR… Bonjour la finesse politique !

 

Le MNR justement, parlons-en. En répondant positivement à l’appel à l’union patriotique de Le Pen, Bruno Mégret avait réussi, d’une certaine manière, à rebondir politiquement. Mais ce retour risque d'être de courte durée, puisque les résultats de ses candidats ne sont guère, eux non plus, encourageants. Quel sera l’avenir de cette formation ? Il est encore trop tôt pour le dire…

 

Finalement, les seuls qui peuvent être satisfaits à l’issue de ces élections, ce sont les Identitaires. Ceux-ci se présentaient pour la première fois et leurs candidats font en effet une moyenne de 2,5 % des voix dans les quelques circonscriptions où ils étaient en lice. Ce qui, croyez-moi, n'est pas rien pour une jeune formation sans moyen autre que le dynamisme de ses militants. Robert Spieler, président d’Alsace d’abord, vient d’ailleurs d’annoncer une initiative toute prochaine en vue du rassemblement du courant identitaire, avec lequel il faudra désormais compter…

 

Tous les espoirs ne sont donc pas perdus. De l’avenir de la droite nationale, patriotique ou identitaire, il en sera largement question dans la prochaine livraison de notre revue Synthèse nationale. Nous en reparlerons très bientôt…

 

Roland Hélie