Ok

En poursuivant votre navigation sur ce site, vous acceptez l'utilisation de cookies. Ces derniers assurent le bon fonctionnement de nos services. En savoir plus.

vendredi, 06 février 2009

Lisez le dernier numéro (n°12) de Synthèse nationale....

1-Couv_SN_12[1].JPGLa revue politique et culturelle nationale et identitaire Synthèse nationale  (n°12, janvier/février 2009, 120 pages) est en vente (12,00 €) à la Librairie Primatice, 10 rue Primatice à Paris (XIIIème - Métro Place d'Italie)

Vous pouvez aussi vous abonner : Bulletin d'abonnement

mardi, 30 octobre 2007

Quelques témoignages sur la réunion de Synthèse nationale :

Nous publions ici quelques témoignages relevés ici et là sur les blogs et qui nous vont droit au coeur...

 

Sur le site de Luc Pécherman, Conseiller municipal FN de Lille :

 

de7232c123112466685b1d38aeeb58f0.jpgToujours curieux, votre serviteur s’est rendu le samedi 27 octobre à Paris pour le premier anniversaire de la revue dirigée par Roland Hélie.

 

Un franc succès que ce rassemblement de toutes les composantes de la droite nationale. Le thème, fédérateur, de cet après-midi était  "Comment défendre notre Identité ?". Voilà certes la question centrale que devrait se poser tout homme politique responsable, car de ces quelques mots découlent tous les choix que nous devrons faire pour assurer la prospérité et le bien-être de notre peuple.

 

Des orateurs de tous horizons se sont succédés à la tribune pour y exposer leurs points de vue, rappelant tous que ce qui nous rassemble est plus fort que ce qui nous divise. Vous pouvez trouver un compte-rendu des tables rondes sur le site de Synthèse nationale.

 

A noter la présence de Jean-François Touzé, Conseiller régional d'Ile-de-France, Membre du Bureau politique du Front national.

 

Je me réjouis, à titre personnel, de cette excellente initiative. Devant les menaces mortifères qui pèsent sur les Nations Européennes, l’union doit primer sur les luttes de chapelles. C’est dans le même esprit que je suis convaincu aussi que le sursaut de nos patries passera par une collaboration plus étroite des droites nationales européennes, avec nos camarades du Vlaams Belang, de l’UDC, du Fpö… car nous partageons tous bien plus qu’une vision politique, nous partageons une conception du monde.

 

Sur le site de Marie-Paule Darchicourt, élue FN au Conseil régional du Nord-Pas-de-Calais :

 

6d87d8214020f5f532243db9edaba0e0.jpgUn beau succès que le colloque organisé samedi 27 octobre à Paris par Synthèse nationale : une salle archi-bondée, des stands débordés à la limite de la rupture de stock, des rencontres et des retrouvailles inattendues, une ambiance de fraternelle camaraderie, des échanges fructueux, des prises de position amicalement exposées et finalement la définition claire, nette et précise de l'ennemi commun, somme toute le plus puissant des rassembleurs.

 

Le compte-rendu détaillé de ce premier pas vers un "grenelle de l'identité", pour utiliser un terme à la mode, pourra être consulté sur le site de la revue politique, et culturelle nationale et identitaire de Roland Hélie ; une désormais incontournable revue qui a édité à cette occasion un numéro hors-série regroupant toute une série de fort intéressants entretiens sur le thème primordial de notre identité. Rendez-vous pour "l'an deux"... n'en doutons pas dans une salle plus grande ! 

Sur le site du réseau Durandal :

Une quinzaine de jeunes identitaires d’Ile de France ont participé au premier anniversaire de la revue Synthèse nationale. L’affluence fut à la hauteur de l’évènement, puisque la salle réservée était largement pleine pour recevoir les différents orateurs. Quant à l’accueil fait par le public aux différentes composantes des Identitaires (Bloc Identitaire, Solidarité Kosovo, Jeunesses Identitaires ou le CEPE) a été plus que chaleureux.

Autre motif de satisfaction, et non des moindres, notre vision de l’engagement militant ainsi que notre vision politique sont devenues la ligne à suivre pour la majorité des intervenants. Les thèmes Identitaires comme l’enracinement local, l’action associative, le lobbying politique ainsi que le combat culturel étaient dans toutes les bouches au cours de cette journée. Le discours de Fabrice Robert, président du Bloc Identitaire, un des plus applaudi, était évidemment en totale adéquation avec les aspirations des personnes présentes dans la salle.

Nous souhaitons une nouvelle fois un bon anniversaire à la revue de Roland Hélie. 

 

 

lundi, 29 octobre 2007

Revue de presse : Différents articles et dépêches sur la réunion de Synthèse nationale...

L'extrême droite radicale cherche à se fédérer contre Marine Le Pen...

Le Monde, mardi 30 octobre 2007

a2d41ab4faa39bf84e4b5f94ddba0859.gifLa revue nationaliste et identitaire, Synthèse nationale, dirigée par Roland Hélie a réuni, samedi 27 octobre, à Paris, régionalistes, catholiques traditionalistes et racialistes qui, à l'extérieur comme au sein du Front national, ne se reconnaissent pas dans la ligne de "dédiabolisation" et du "ni droite ni gauche" promue par Marine Le Pen sur le parti d'extrême droite.

Thème de la rencontre : "Face aux dangers qui menacent notre civilisation : comment défendre notre identité ?" Une question qui en cachait une autre : comment envisager l'avenir de l'extrême droite française avec ou sans le Front national ?

L'une n'allait pas sans l'autre car, avant d'envisager un rassemblement, il fallait que les différentes composantes de la nébuleuse extrémiste dessinent le contour de ce qui fait leur socle. Quoi de commun en effet entre les nationalistes du Front national et les régionalistes de Robert Spieler, président d'Alsace d'abord ? Entre ceux qui, comme Fabrice Robert, président du Bloc identitaire, prônent la grande Europe et ceux qui avec Bruno Mégret, président du Mouvement national républicain (MNR), s'arrêtent à l'Etat nation ? Entre, enfin, les catholiques traditionalistes attachés au combat pour une civilisation chrétienne, représentés par Bernard Antony, le président de Chrétienté solidarité qui, en raison de la grève d'Air France, était absent samedi, et les païens rassemblés derrière Pierre Vial le président de Terre et peuple ? Pas grand-chose si ce n'est leur volonté "d'inverser le courant migratoire" et de "mettre fin au regroupement familial" comme l'ont martelé les intervenants.

Certains, au nom de la civilisation chrétienne mise en péril selon eux "par l'islam", d'autres sur des critères raciaux.

Pierre Vial, qui parle d'"invasion des allogènes qui veulent voler la terre" des Français, soutient ainsi que "l'identité", repose sur des "composantes biologiques, génétiques et ethniques".

"La substance même de notre peuple est aujourd'hui atteinte par l'immigration non européenne" s'est plaint ainsi Robert Spieler. "Cette immigration incontrôlée risque d'engendrer un ethnocide européen" a renchéri Roland Hélie. "L'âge d'or ethnique n'existe pas. L'identité est un héritage, une construction" a défendu Bruno Larebière, rédacteur en chef du Choc du mois avant de demander toutefois que l'"on se préoccupe de la modification génétique imposée à notre peuple" par l'immigration et explique que le peuple français "de race blanche et de culture grecque, latine, européenne" est "en train de disparaître". Plus prosaïque, Fabrice Robert s'est fait applaudir à tout rompre en dénonçant sans périphrase "le métissage".

Question perspectives, l'assistance était moins unanime. Si tous les présents étaient d'accord sur l'idée d'union, les avis étaient plus partagés sur le cadre dans lequel celle-ci doit se faire. Quelques-unes comme Jean-François Touzé, membre du bureau politique du FN croient encore en l'avenir du parti. A l'opposé, Fabrice Robert pense que c'est à l'extérieur qu'il faut mener le combat. Transformé en Monsieur Loyal, Pierre Vial a proposé d'organiser des actions communes "ponctuelles" pour se donner "l'habitude d'agir ensemble". Une suggestion soutenue par Roland Hélie qui a annoncé la création d'un comité de coordination.

Christiane Chombeau

 

Le titre de cet article n'engage que la rédaction du journal Le Monde (NDLR-SN)

Selon l'AFP : Une partie de l'extrême droite cherche son avenir, avec ou sans le FN

6d1fc597a60ac2a138a37c4e6e546811.gifPar Laurent BARTHELEMY AFP

Dimanche 28 octobre, 13h14

PARIS (AFP) - Après avoir longtemps soutenu le FN ou milité en son sein, les différentes mouvances identitaires de l'extrême droite, régionalistes, catholiques, ethnicistes, se cherchent désormais de nouvelles voies d'action, avec ou sans le parti de Jean-Marie Le Pen.

Un colloque organisé samedi à Paris par la revue d'extrême droite Synthèse nationale a réuni plusieurs centaines de personnes, rassemblées par leur hantise d'une fin de la civilisation européenne par la "substitution de population" que va provoquer, selon eux, l'immigration et la "décadence" morale du vieux continent.

A la tribune, sous une grande banderole "défendre notre identité", Pierre Vial, ancien responsable FN avant la scission mégretiste, a défendu une "identité nationale" en partie "biologique, ethnique, génétique".

A ses côtés, parmi les orateurs, le régionaliste alsacien Robert Spieler - ex-député FN en 1986-88 -, le président du Bloc identitaire Fabrice Robert, Hilde de Lobel, députée du parti d'extrême droite flamand Vlaams Belang.

Le catholique traditionaliste Bernard Antony, ex-député européen FN, empêché par la grève d'Air France, a fait lire un message.

"Un Grenelle de l'identité", s'est félicité à la tribune Bruno Larébière, rédacteur en chef de l'heddomadaire d'extrême droite Minute et du mensuel Choc du mois.

Mais à ce "Grenelle" suivi dans la salle par quelques secrétaires départementaux du FN, pas d'orateurs représentant officiellement le parti de Jean-Marie Le Pen.

Car il y a des différends entre ces mouvances et le FN, évoqués par exemple par le nationaliste Thibaud de Chassey.

Celui-ci a dénoncé "l'offensive" dans les milieux nationalistes d'une "conception républicaine" de la nation, au détriment d'une conception "charnelle", "physique".

Une critique visant entre autre le discours de Jean-Marie Le Pen à Valmy en septembre 2006, ou celui-ci avait appelé "les Français d'origine étrangère" à se joindre à lui, invoquant les noms de "Platini" et de "Zidane".

La direction du FN avait demandé à ses cadres de ne pas se rendre au colloque, soupçonné d'être une étape dans la constitution d'un nouveau mouvement d'extrême droite, concurrent du parti.

Le délégué général adjoint du FN, Martial Bild, qui avait annoncé sa présence, a renoncé à venir.

Seul était présent à la tribune Jean-François Touzé, membre du bureau politique, mais en disgrâce avec son parti pour avoir demandé une clarification de la ligne politique du Front.

"Une grande partie de la famille nationale est aujourd'hui hors du Front" et "je milite pour que le Front soit à nouveau le lieu de rassemblement de cette famille", a-t-il expliqué aux journalistes pour justifier sa présence.

A la tribune, M. Touzé a mis en garde les participants contre les "tentations groupusculaires". "Les partis politiques demeurent irremplaçables", et "le FN demeure un vecteur essentiel du combat national", a-t-il déclaré.

Le secrétaire général du MNR (mégretiste) Nicolas Bay a pour sa part expliqué qu'il fallait "réinventer la droite nationale" en construisant un rassemblement "sans arrière-pensée hégémonique".

S'il a évoqué les "divergences de vue" très importantes des mégretistes avec Marine Le Pen - dont le nom a provoqué quelques huées - il a souligné aussitôt "les qualités politiques évidentes" de la fille de Jean-Marie Le Pen, qui "a toute sa place" dans le "rassemblement des patriotes sincères", a-t-il dit.

Le Salon Beige :  Le Grenelle de la Droite nationale ?

 

Le Salon Beige, 28 octobre 2007

 

5e1c78cbb0d4d01be946ffd6e0be3586.jpgDifférentes mouvances de la droite nationale se sont réunies hier à Paris, à l'initiative de la revue Synthèse nationale. Parmi les personnalités présentes, on note Robert Spieler, le président du Bloc identitaire Fabrice Robert, Odile Bonnivard, Jérôme Bourbon, Olivier Pichon, Hilde de Lobel, députée du Vlaams Belang, Nicolas Bay (MNR) et Jean-François Touzé (FN). Bernard Antony, empêché par la grève d'Air France, a fait lire un message.

 

"Un Grenelle de l'identité", s'est félicité à la tribune Bruno Larebière, rédacteur en chef de Minute et du Choc du mois.

 

La direction du FN avait demandé à ses cadres de ne pas se rendre au colloque et le délégué général adjoint du FN, Martial Bild, qui avait annoncé sa présence, a renoncé à venir. Seul était présent Jean-François Touzé, membre du bureau politique, qui a dit :

 

"Une grande partie de la famille nationale est aujourd'hui hors du Front. Je milite pour que le Front soit à nouveau le lieu de rassemblement de cette famille [...] le FN demeure un vecteur essentiel du combat national".

 

Le secrétaire général du MNR, Nicolas Bay a expliqué qu'il fallait "réinventer la droite nationale" en construisant un rassemblement "sans arrière-pensée hégémonique" :

 

Le pape Benoît XVI le soulignait récemment : « L’Occident montre disait-il une haine envers lui-même qui paraît étrange et peut être considérée uniquement comme un phénomène pathologique ; l’Occident ne s’aime plus. Dans son histoire, il voit uniquement ce qui est blâmable et destructif, et il n’est plus capable de reconnaître ce qui est grand et pur.»"

 

S'il a évoqué les "divergences de vue" avec Marine Le Pen, il a souligné "les qualités politiques évidentes" de la fille de Jean-Marie Le Pen, qui "a toute sa place" dans le "rassemblement des patriotes sincères".

 

 Michel Janva

dimanche, 28 octobre 2007

ENORME SUCCES DE LA REUNION POUR LA DEFENSE DE NOTRE IDENTITE DE SYNTHESE NATIONALE…

 
c4a089df2a9918a110a2b184dd5fae96.jpg

PLUS DE 600 PERSONNES ONT REPONDU A NOTRE APPEL...

Toutes nos espérances, même les plus folles, ont été pulvérisées par l’immense succès de la réunion organisée samedi 27 octobre à l’occasion du premier anniversaire de la revue Synthèse nationale. Toute la droite nationale, régionaliste et identitaire était présente. Incontestablement, cette réunion a marqué un tournant décisif dans l’histoire de notre famille politique.

Ils sont tous venus, ils ont tous exprimé leur détermination à défendre notre identité, qu‘elle soit régionale, nationale ou européenne. Devant un public enthousiaste, nous avons réalisé la véritable synthèse de toutes ces sensibilités qui font la richesse de la droite de conviction.

Au cours des deux tables-rondes animées par Robert Spieler et Didier Lecerf, nous avons écouté des interventions toutes aussi passionnantes les unes que les autres. Ainsi, dans une première partie, nous avons entendu Alexis Arette, président d’honneur de la Fédération française de l’agriculture, Odile Bonnivard, porte-parole de Solidarité des Français, Frédéric Pichon, Président d’Europae gentes, Jack Marchal, que l’on ne présente plus, Pierre Sidos, Président de l’Oeuvre française, et Anne Kling, Présidente de l’association Défendons notre identité et auteur du livre La France licratisée.

 

La seconde table-ronde rassemblait les représentants de la presse nationale et identitaire. Se succédèrent les interventions de Catherine Robinson, journaliste au quotidien Présent, de Bruno Larebière, du Choc du Mois et de Minute, de Philippe Randa, écrivain et éditeur, de Jérôme Bourbon, de Rivarol, d’Olivier Pichon, de Monde et Vie, de Xavier Guillemot, de l’Idée bretonne, et de Thibaut de Chassey, directeur de l’Héritage et responsable du Renouveau français.

 

Puis vint le moment des interventions des personnalités politiques. D’abord, Hilde De Lobel, député d’Anvers, qui représentait le Vlaams belang et qui nous lut un message de soutien et d’amitié de Filip Dewinter, et Chantal Spieler qui nous lut le discours de Bernard Antony, empêché d’être parmi nous en raison de la grève des transports aériens. Ensuite, se succédèrent Fabrice Robert, Président du Bloc identitaire, Nicolas Bay, Secrétaire général du Mouvement national républicain, Pierre Vial, Président de Terre et peuple, Bruno Larebière, Jean-François Touzé, conseiller régional d’Île-de-France et membre du Bureau politique du Front national, Robert Spieler, Président d’Alsace d’abord. Il revenait à Roland Hélie, directeur de Synthèse nationale, de conclure cette journée qui, de l’avis de tous, est à marquer d’une pierre blanche dans la grande histoire du mouvement national et identitaire. Une constante ressort de toutes ces interventions : la volonté de chacun de voir se réaliser le rassemblement de toutes les énergies pour sauver notre civilisation.

 

Dans la prochaine livraison de la revue Synthèse nationale qui, à partir du mois de janvier, passera à une périodicité bimestrielle, vous pourrez lire un compte-rendu détaillé de cette formidable journée.

 

Plus de 600 personnes étaient présentes. Parmi elles, de nombreux élus, locaux et régionaux, de la droite nationale et identitaire ainsi que plusieurs anciens députés. Dans le grand hall de l’Asiem, plus de trente stands d’associations, de journaux, de mouvements et de maisons d’édition s’étaient installés. Ce grand succès prouve, s’il en était encore besoin, que Synthèse nationale, en quelques mois, s’est imposé comme la revue de référence incontournable de la droite nationale et identitaire…

 

A l'occasion de cette réunion, un numéro hors-série de Synthèse nationale a été édité. Il s'agit d'une grande enquête sur l'identité. Ce numéro comprend, outre les contributions des personnalités intervenantes, celles de Bruno Gollnisch, député européen et délégué général du FN, Bruno Mégret, Président du MNR, Jean-Yves Le Gallou, Président de Polémia, Christian Baeckeroot, membre du Bureau politique du FN, Jean-Claude Rolinat, écrivain et journaliste...

 

Plusieurs groupes d’extrême gauche avaient appelé à la riposte « antifasciste ». La présence d’importantes forces de l’ordre (dix cars de gendarmes mobiles avaient pris position autour de la salle) et l’efficacité de notre service de sécurité, admirablement dirigé par notre ami B.C.A., dissuadèrent les contre-manifestants de troubler notre réunion.

 

S.N.

 

 

vendredi, 26 octobre 2007

LE RENDEZ-VOUS DE LA DROITE NATIONALE ET IDENTITAIRE :

 SAMEDI 27 OCTOBRE, PARIS…

 COMMENT DEFENDRE

 NOTRE IDENTITE ?

1er anniversaire de la revue Synthèse nationale

Théâtre de l'Asiem (6, rue Albert de Lapparent 75007 )

De 13 h. 30 à 18 h. 00

 Tract 27 10 07 - liste des intervenants.pdf

 

vendredi, 12 octobre 2007

Un entretien avec Roland Hélie publié dans Présent...

Le quotidien Présent mène actuellement, sous la conduite de Catherine Robinson, une vaste enquête au sein de la Droite nationale. Nous reproduisons ici l'entretien avec Roland Hélie publié dans la livraison du 3 octobre de Présent :

Quel est le trait dominant de la période dans laquelle nous vivons ? L’élection de Nicolas Sarkozy marque-t-elle la fin du cycle Chiraco-Mitterrandien, entrons-nous dans une nouvelle ère de la vie politique française ?

Beaucoup de gens de droite semblent avoir trouvé dans Nicolas Sarkozy le nouvel «homme providentiel» qu’ils recherchaient depuis des années. Il faut dire qu’il est probablement le seul à avoir véritablement compris la leçon du 21 avril 2002 et qu’il est un as en matière de communication.  Mais tout cela ne suffit pas, Sarkozy a été et il reste un homme du système. Il est formaté par le système et il ne fera rien pour le changer en profondeur. Ces électeurs qui ont été séduits par le langage «musclé» du candidat seront, à plus ou moins long terme, très déçus par la politique du Président. Prenez l’exemple de la composition du gouvernement, il s’est empressé de confier certains ministères, et non des moindres, à des personnalités issues de la gauche ou de l’immigration…

En réalité, la période que nous venons de vivre avec l’élection de Sarkozy à l’Elysée me rappelle étrangement une autre période. C’était en 1974 avec l’élection de Valéry Giscard d’Estaing. Là aussi, la droite de conviction pensait avoir trouvé son héraut. Toute la presse nationale et les mouvements nationalistes de l’époque (à l’exception de Le Pen) avaient appelé à voter pour Giscard dès le premier tour. Quelle ne fut pas leur déception, quelques mois plus tard, lorsque celui-ci commença, avec Chirac comme Premier ministre, à montrer son vrai visage et à appliquer sa politique. La loi Veil, le regroupement familial, pour ne citer que ces exemples, ne faisaient certainement pas partie des motivations des électeurs droitistes qui lui avaient fait confiance.

Quelles sont les menaces auxquelles est confrontée la société actuelle et les enjeux les plus importants, autant intérieurs qu’extérieurs ?

La principale menace à laquelle est confrontée notre société est, à mes yeux, la perte programmée de notre identité. Est-ce que notre civilisation existera encore dans un siècle ? C’est la seule question qui mérite d’être posée. Tout le reste en découle. Accepter le brassage généralisé des civilisations, et je dis cela sans aucun mépris pour aucune d’entre elles, est criminel. J’ai la faiblesse de penser que la civilisation européenne a encore un rôle à jouer dans l’Histoire de l’Humanité.

En tant que nationaliste français et identitaire européen, je mets la défense de nos identités, qu’elles soient régionale (la patrie charnelle), nationale (la patrie historique) ou européenne (la civilisation commune), au premier rang de mes préoccupations.

Quel avenir voyez-vous au Mouvement National ? Quelles sont les formes que le Mouvement National devrait prendre pour faire face aux dangers et aux enjeux d’aujourd’hui ?

Je ne pense pas que le mouvement national soit définitivement condamné à disparaître de l’échiquier politique, comme certains observateurs patentés de la pensée unique semblent le souhaiter. Au contraire, celui-ci peut rebondir, à condition toutefois qu’il prenne conscience qu’une page s’est tournée dans son histoire.

Après le désastre du printemps dernier (le supposé Karcher de Sarkozy ayant finalement été plus payant que l’arbre et les branches de Le Pen à Argenteuil…), il est temps que le mouvement national, dans son ensemble, fasse son aggiornamento. La mainmise du Front sur l’ensemble de la droite nationale a fait son temps. 90 % du potentiel militant et de l’encadrement du mouvement national sont aujourd’hui en dehors du FN. Cela veut dire qu’il faut faire du nouveau en terme d’organisation tout en revenant sur les fondamentaux qui ont, au nom d’une hypothétique dédiabolisation, été abandonnés lors de la dernière Présidentielle. De plus, il est temps d’en finir une fois pour toutes avec les habitudes claniques et les coteries qui caractérisaient notre famille depuis des décennies.

Il faut introduire un nouveau rapport entre les différentes composantes de la droite nationale. C’est pour cela que nous avons créé, il y a un an, la revue Synthèse nationale. C’est aussi dans cet esprit  que nous organisons, le samedi 27 octobre prochain (de 14 h. 00 à 18 h. 30), à Paris (salle de l’Asiem, 6 rue Albert de Lapparent – Métro Ségur), à l’occasion du premier anniversaire de la revue, une réunion publique à laquelle participeront une trentaine de personnalités de la droite nationale, parmi lesquelles Bernard Antony, Bruno Larebière, Martial Bild, Robert Spieler, Olivier Pichon, Jean-François Touzé, Pierre Vial, Pierre Sidos, Filip Dewinter (du Vlaams belang), Nicolas Bay et bien d’autres qui me pardonneront de ne pas tous les citer ici. Le thème de cette journée sera justement : « Défendons notre identité ! ».

Vous-même, Catherine, vous serez je crois des nôtres ce jour-là. J’invite tous les lecteurs de Présent à venir assister à cette réunion amicale.

Vous pouvez demander le programme de cette réunion à Synthèse nationale 116, rue de Charenton 75012 Paris ou sur www.synthesenationale.com

mercredi, 08 août 2007

Roland Gaucher a été enterré aujourd'hui

c0073ee9556173f32d77d192e4740f99.jpgRoland Gaucher, décédé à l'âge de 88 ans le 26 juillet dernier (voir note du 27 juillet sur ce blog), a été inhumé ce mercredi 8 août. Une émouvante cérémonie religieuse a été célébrée en présence de sa famille et de ses amis, à Maisons-Laffitte. Plusieurs collaborateurs de National hebdo autour de son directeur, Jean-Claude Varanne, étaient présents, ainsi que Jean-François Touzé, conseiller régional d'Ile-de-France.  

vendredi, 27 juillet 2007

Roland Gaucher nous a quitté...

2cfc58d695a9433a7599cb4ffba36918.jpgJe viens d'apprendre avec tristesse la disparition, hier, de Roland Gaucher.

Agé de 88 ans, il avait été, depuis la fin des années 30, de tous les combats pour la cause nationale. Ancien reporter au journal Minute, puis, directeur de National hebdo, et enfin du Crapouillot, Roland Gaucher mit toujours sa plume au service de ses idées. En 1974, il publia une remarquable Histoire secrète du Parti communiste français (chez Albin Michel) qui fit grand bruit à l'époque et contribua à la déstabilisation et à la marginalisation de ce parti alors encore tout puissant.

Combattant infatigable, Roland Gaucher n'hésitait jamais à foncer en première ligne face à nos adversaires. J'ai eu l'occasion personnellement de le constater à plusieurs reprises dans les années 70, alors que j'étais jeune militant du Parti des forces nouvelles dont il était l'un des dirigeants.

Au milieu des années 80, Roland Gaucher devint l'une des figures du Front national. Il fut élu député européen de 1986 à 1989. Il assurait en même temps, comme je l'ai indiqué, la direction de National hebdo avec Lionel Payet. A cette époque, NH avait aussi dans son équipe rédactionnelle François Brigneau, Jean Bourdier, Jean-François Touzé, Serge de Beketch, Pinatel et bien d'autres... Mais, en 1995, il s'éloigna du Front et se consacra à la rédaction de nouveaux livres, dont certains en collaboration avec Philippe Randa.

Nous nous voyions plusieurs fois par an et c'était toujours un plaisir de l'écouter raconter (parfois pour la xième fois, mais qu'importe... c'était Roland) les grandes heures de la presse et du mouvement national. En bon vieux grognard toujours un peu grincheux qu'il était, Roland Gaucher gardait toujours une vision assez réaliste des choses. Surtout, il ne perdait jamais l'espoir de voir un jour notre idéal triompher. Aujourd'hui Roland n'est plus, mais l'idéal survit.

 Roland Hélie

 

Les obsèques auront lieu à Maisons-Laffitte (Yvelines) mercredi 8 août à 11 h. 00 en l'église Notre Dame de la Croix.

 

lundi, 11 juin 2007

Une page s'est tournée, passons à autre chose...

Les résultats sont là. Il ne faut pas se voiler la face, ils sont catastrophiques pour la droite nationale en général et pour le Front en particulier. Bien sûr, certains s’évertueront à minimiser la débâcle en cherchant de multiples explications circonstancielles et d'autres se consoleront en brandissant le résultat certes plus qu'honorable de Marine Le Pen, mais tout cela ne résiste pas sérieusement à l’épreuve des faits. Dimanche soir, une page s’est tournée dans l’histoire du mouvement national.

 

Et pourtant, souvenez-vous, il y a encore six mois, tous les espoirs étaient encore permis. Sur le perron de sa propriété clodoaldienne, Jean-Marie Le Pen appelait à l’unité de la droite nationale et recevait le soutien de Bruno Mégret. D’autres formations étaient prêtes à participer à cette vaste union patriotique autour du candidat du Front national. Les sondages ne cessaient de lui donner des résultats en hausse et partout les bonnes volontés se préparaient au combat… Mais Le Pen avait sans doute sous-estimé le pouvoir de nuisance de certains de ses lieutenants qui s’empressèrent de saboter le beau projet. Bref, trois mois plus tard, patatras ! L’unité sacrifiée et une phrase malheureuse sur les origines hongroises du candidat Sarkozy et ce fut la chute.

 

En réalité, au-delà de ces deux raisons évoquées, cette chute était prévisible depuis des mois. En effet, au moment où les événements donnaient raison aux analyses que le Front national professait depuis des décennies, qu’elle ne fut pas notre surprise de voir celui-ci rompre avec les fondamentaux qui avaient, jusqu’ici, fait sa fortune électorale.

 

Etait-il bien habile de se mettre à racoler (sans aucun succès d’ailleurs) les voix des immigrés alors qu'un nombre grandissant de Français manifestaient leur exaspération face aux effets pervers de l’immigration ? Etait-il tout aussi judicieux, au moment où la France se droitise de plus en plus, de procéder à une gauchisation du vocabulaire et du programme national ? Enfin, était-il raisonnable de manifester, quelques jours avant l’élection présidentielle, un tel mépris à l’encontre de ceux (MNR, régionalistes, identitaires…) qui avaient, sincèrement, apporté leurs soutiens (ou leurs signatures) au chef du FN ?

 

Toutes ces erreurs, certes ajoutées à l’âge du candidat et à l’arrogance déplacée d’une poignée de courtisans qui sont venus se greffer sur la bête au moment où celle-ci faisait encore peur et sans oublier les effets ravageurs de l’excellente prestation de Nicolas Sarkozy lors de la Présidentielle, le Front vient de les payer très cher à ces législatives que certains espéraient voir comme le début de la reconquête de l’électorat perdu. Depuis hier soir, malgré le dévouement exemplaire de ses militants et candidats, le Front a perdu de sa superbe. Il n’est plus vraiment en position de s‘imposer comme le parti du recours. Il retrouve ses résultats du début des années 80. S’il veut rebondir un jour, il doit à un moment où à un autre (et il vaudrait mieux pour lui que ce moment n’arrive pas trop tard…) procéder à son « examen de conscience », sans quoi il continuera à s’enfoncer dans la terrible spirale du déclin.

 

A première vue, le Front est aujourd’hui face à un cruel dilemme. Soit il choisit la voie de l’enfermement qui aboutira à la ringardisation, soit il continue sur celle de la dédiabolisation amorcée ces derniers mois et il fonce droit vers la C N I sation, c’est-à-dire à devenir un parti croupion au service de la droite libérale. Dans un cas comme dans l’autre, l’avenir n’est pas réjouissant… A moins qu’il se découvre subitement une troisième stratégie…

 

Mais, dans un premier temps, ce sont les contingences matérielles qui vont occuper les responsables du FN. Non seulement le déficit dû à la perte d’un nombre conséquent d’électeurs va amener le Front à réduire considérablement son « train de vie » (ce qui aura au moins le mérite d’écarter les profiteurs qui se sont enrichis sur son dos) ; mais il va aussi falloir payer les campagnes des centaines de candidats dont le score est inférieur à 5 %. A ce sujet, il est « plaisant », pour les partisans acharnés de l’union patriotique que nous avons été, de noter que ce nombre serait bien moindre si un accord avait été conclu avec le MNR… Bonjour la finesse politique !

 

Le MNR justement, parlons-en. En répondant positivement à l’appel à l’union patriotique de Le Pen, Bruno Mégret avait réussi, d’une certaine manière, à rebondir politiquement. Mais ce retour risque d'être de courte durée, puisque les résultats de ses candidats ne sont guère, eux non plus, encourageants. Quel sera l’avenir de cette formation ? Il est encore trop tôt pour le dire…

 

Finalement, les seuls qui peuvent être satisfaits à l’issue de ces élections, ce sont les Identitaires. Ceux-ci se présentaient pour la première fois et leurs candidats font en effet une moyenne de 2,5 % des voix dans les quelques circonscriptions où ils étaient en lice. Ce qui, croyez-moi, n'est pas rien pour une jeune formation sans moyen autre que le dynamisme de ses militants. Robert Spieler, président d’Alsace d’abord, vient d’ailleurs d’annoncer une initiative toute prochaine en vue du rassemblement du courant identitaire, avec lequel il faudra désormais compter…

 

Tous les espoirs ne sont donc pas perdus. De l’avenir de la droite nationale, patriotique ou identitaire, il en sera largement question dans la prochaine livraison de notre revue Synthèse nationale. Nous en reparlerons très bientôt…

 

Roland Hélie

vendredi, 11 mai 2007

Les objectifs de Synthèse nationale…

La Droite nationale a perdu une bataille... Le paysage politique français est en pleine mutation... Pour le second tour de la Présidentielle, notre famille politique a été confrontée à des choix quasi cornéliens… Et maintenant, que va-t-il se passer ? Quelle place pour la Droite nationale et identitaire dans la France sarkozienne ? Quel avenir pour l’indépendance nationale et pour l’identité européenne ? Autant de constats que vous faites et autant de questions que vous vous posez…

 

Pourtant, deux réalités s’imposent : nos idées n’ont jamais été aussi en vogue auprès de nos concitoyens et les dangers que nous dénonçons depuis des années n’iront qu’en s’accentuant.

 

Voilà pourquoi nous ne devons pas nous laisser aller au désespoir. C’est dans ces périodes troubles que les môles sont nécessaires, d’où l’existence de Synthèse nationale. Quel que soit l’avenir de notre famille politique, notre but est de continuer à informer nos amis, tel que nous le faisons quotidiennement sur ce site, et de contribuer activement à la diffusion d’une version crédible et acceptable de nos idées grâce à notre revue politique et culturelle. Si j’en juge au nombre de connexions (500 à 600 par jour, environ 17 000 visites le mois dernier) et au nombre d’abonnements que nous avons perçus (déjà plus de 180), nos initiatives ne vous laissent pas indifférents. Notre tâche est donc utile et nous savons que la réussite est au bout du chemin.

 

Pour amplifier notre audience, nous avons besoin de vous tous. A cette fin, nous lançons une campagne d’abonnements à la revue Synthèse nationale. Grâce à une trésorerie saine et à la contribution bénévole de ses collaborateurs, Synthèse nationale a atteint, six mois après son lancement, sa vitesse de croisière (notre prochain numéro sortira le 25 juin prochain). Mais notre ambition est de passer au stade supérieur. Afin de toucher un nombre grandissant de lecteurs, il faut que nous augmentions sensiblement le nombre de nos abonnés. Chaque abonnement nouveau nous permet en effet d’envoyer gracieusement cinq exemplaires de la revue en prospection (*). D’autre part, à chaque parution de Synthèse nationale, nous adressons un nombre de plus en plus important d’exemplaires à différentes bibliothèques (municipales, universitaires ou de grandes écoles...), ce qui nous permet de nous faire connaître auprès d'un public nouveau, mais qui n’est pas sans coûter un certain prix (**).

 

Nous voulions faire de Synthèse nationale une revue de référence, cet objectif est en cours de réalisation, L’édifice se bâti pierre par pierre, aussi, nous savons pouvoir compter sur votre aide à tous.

 

Roland Hélie

Directeur de la publication

 

(*) Vous pouvez vous abonner en ligne (colonne de droite de ce site) ou en imprimant et en nous retournant le bulletin suivant Bulletin_d_abonnement_SN.pdf

(**) N’hésitez pas à nous communiquer des listes d’adresses de personnes, ou d’institutions, susceptibles d’être intéressées par Synthèse nationale.