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mardi, 24 octobre 2006

TOUS SAMEDI PROCHAIN A PARIS POUR SOUTENIR LE PEUPLE DE BUDAPEST !

Une fois de plus, les dirigeants de l’Union européenne viennent de nous faire la démonstration flagrante de leur hypocrisie morbide.

 

Réunie dimanche et lundi à Budapest pour commémorer le 50ème anniversaire du soulèvement de 1956, cette bande de petits messieurs sans scrupule nous joua allégrement le couplet de l’indignation différée à bon marché. Et, après s’être gavée de petits fours et de champagne, elle alla même jusqu'à pousser le cynisme au paroxysme en adoptant « une charte liberté 1956 »...

 

Vous me direz peut-être, « mieux vaut reconnaître les crimes du communisme tard que jamais… ». Certes, mais, venant de cette sinistre camarilla à la tête de laquelle plastronne l’impudent Jose Manuel Barroso qui, pour sa part, voit dans l’insurrection hongroise «un combat pour tout ceux qui en Europe et dans le monde vivaient sous une dictature », (1) cette charte nous laisse un goût amer.

 

En effet, en 1956, où étaient-ils les « grands démocrates » de l’époque dont Barroso et ses semblables se proclament les fiers héritiers? Qu’ont-ils fait les dirigeants des nations occidentales, dites libres, pour soutenir la lutte du peuple hongrois? Rien ! Rien et rien ! Ils se sont terrés comme des lamentables pleutres. Les uns préférant ne rien voir et les autres prétextant être déjà trop occupés sur les bords du Canal de Suez… Pendant ce temps là, les chars communistes pouvaient massacrer à tours de bras, ils n’en avaient rien à faire.

 

S’il n’y avait pas eu la  remarquable démonstration de force parisienne du 7 novembre (2) au cours de laquelle les militants nationalistes du Mouvement Jeune Nation sauvèrent l’honneur de la France en incendiant le siège du Parti communiste situé place Kossuth, le soulèvement patriotique et anti-communiste hongrois serait passé quasiment inaperçu aux yeux de la classe politique française et européenne de l’époque.

 

Aujourd’hui, le Peuple de Budapest se sent à nouveau humilié par les simagrées de ceux qui, 50 ans après, viennent verser des larmes de crocodiles sur son triste passé. En se pavanant aux côtés de la crapule socialiste qui sert encore de Premier ministre à la Hongrie, les dirigeants européens sombrent dans le ridicule absolu. Notre devoir est de dénoncer cette sinistre farce.

 

Voilà pourquoi nous devons nous retrouver nombreux samedi prochain 28 octobre à 15 heures, Place du Châtelet à Paris, pour manifester (3) notre dégoût face à de tels agissements et notre soutien à la nouvelle révolution hongroise.

 

Roland Hélie

 

 

 (1) N'en déplaise à M. Barroso, en novembre 1956, seule l'Espagne du Général Franco manifesta son soutien aux insurgés...

(2) Vous pourrez lire dans le premier numéro de notre revue Synthèse nationale le récit complet de cette journée épique.

(3) Manifestation organisée par divers mouvements nationaux et identitaires comme les Jeunesses identitaires, Chrétienté solidarité, Europae Gentes, le RED, le HVIM France, etc.

00:35 Publié dans Editoriaux | Tags : politique, droite nationale, france, fn, hongrie, paris, front national | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

mercredi, 20 septembre 2006

ATTENTION, UN MINISTRE MENTEUR HONGROIS PEUT EN CACHER UN AUTRE !

La crise dans laquelle se trouve plongée la Hongrie depuis quelques jours prouve à elle seule la duperie qui caractérise les gouvernements des nations (ou tout du moins ce qu’il en reste) de l’Union européenne.

 

Rappel des faits. La diffusion, d’abord sur internet puis à la télévision, des aveux du Premier ministre socialiste Ferenc Gyurcsany prouvant que celui-ci, lors de la dernière campagne électorale, avait raconté n’importe quoi à son peuple afin de s’assurer la victoire, a engendré une immense vague de révolte à travers le pays. Dimanche dernier, aux cris de « démission » et de « 1956 » (année du soulèvement national contre le communisme), des milliers de Hongrois ont déferlé dans les rues de Budapest et des principales villes de Hongrie, manifestant ainsi une saine réaction face à celui qui leur a menti. Loin d’en tirer les conclusions qui s’imposent et de démissionner, l’imposteur s’accroche au pouvoir. La détermination populaire va donc aller en s’amplifiant malgré les appels au calme hypocrites de l’ensemble de la classe politique du pays.

 

Mais ce qui est le plus surprenant dans cette affaire, c’est, une fois de plus, l’attitude scandaleuse de la presse européenne par rapport à ces événements. Celle-ci fait en effet preuve d’une grande indulgence et trouverait presque des circonstances atténuantes au Premier menteur hongrois. On s’indigne plus sur la présence (pourtant bien légitime) des militants nationalistes du HIVM (*) dans les manifs que sur la forfaiture gouvernementale qui les a suscitées. On croit rêver !

 

Si la presse de la pensée unique adopte une telle position, c’est peut-être parce qu’elle sait très bien que, finalement, la situation actuelle de la Hongrie n’est pas si singulière que cela. Il n’y a pas qu’à Budapest que les dirigeants n’hésitent pas à user de n’importe quel stratagème, à commencer par le mensonge, pour se maintenir au pouvoir. Les exemples sont nombreux ces dernières années et nous ne nous attarderons que sur un cas, celui de la France.

 

Lorsqu’un gouvernement trafique sciemment les chiffres de l’immigration, de l’insécurité, du chômage; lorsqu’un gouvernement reconnaît être incapable de tenir ses promesses, comme c’est le cas en matière fiscale ou sur les retraites; lorsqu’un ministre de l’Intérieur (d’ailleurs Hongrois d'origine) de ce gouvernement, qui de surcroît envisage devenir Président de la République, se conduit en véritable teckel du dirigeant de la super-puissance américaine, peut-on considérer que ce gouvernement est plus légitime que l’actuel gouvernement hongrois ?

 

En protégeant Gyurcsany, la presse aux ordres protège en fait l'ensemble des tenants du système. Car, en France comme en Hongrie, c’est bel et bien tout le système qui est vérolé. Les minables manœuvres du Premier ministre hongrois n’ont rien à envier à celle des Chirac, Sarkozy et autres politiciens de chez nous. Elles ne sont que la résultante d’un système intrinsèquement pervers…

 

Roland Hélie

(*) Site du HVIM France : http://hvim-france.hautetfort.com

11:00 Publié dans Editoriaux | Tags : politique, droite nationale, hongrie, budapest, sarkozy, fn, ps | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |