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lundi, 23 février 2009

A Sarreguemines : la gauche exige, l'UMP exécute...

Une fois de plus, la répression s’abat sur les militants nationaux et identitaires ; une fois de plus, le parti de la collaboration et de l’anti-France peut triompher.

 

Les faits : la semaine dernière, les militants de Sarreguemines de la Nouvelle Droite Populaire, dirigés par Arnaud Felentzer, et ceux de l’association Solidarité des Français annoncent dans la presse locale leur intention d’organiser samedi  prochain 28 février, à 20 heures, devant la gare de cette ville de Moselle, une distribution de soupe aux légumes et aux lardons. Il n’en fallait pas plus pour réveiller la haine de notre peuple qui sommeille au fond des « bonnes consciences » locales. Les partis de gauche, la Ligue des droits de l’homme, l’ex-LCR, le groupuscule du sinistre Mélenchon… il suffit que tout ce beau monde s’indigne, s’offusque et menace d’organiser un couscous-citoyen (on a les références culinaires que l’on peut) contre la soupe identitaire pour que la municipalité sarkoziste, incarnée par un certain Céleste Lett, député-maire UMP, exécute, que la distribution de soupe que nos amis envisageaient faire soit interdite et que les forces de police soient mobilisées pour faire appliquer l’arrêté d’interdiction. Comme si elles n’avaient rien de plus sérieux à faire dans cette ville soumise à la violence quasi quotidienne des « chances pour la France »...

 

Mais, au juste, tous ces beaux esprits, tous ces larbins du Système savent-ils exactement ce qu’est la vie d’un SDF français en France ? Savent-ils que ceux-ci sont quotidiennement victimes de rackets et autres menaces de la part des bandes ethniques ? Savent-ils que ceux-ci se voient souvent refuser l’accès à certains foyers, complètement trustés par les mafias d’importation ? Savent-ils qu’il est préférable, dans la France d’aujourd’hui, d’être Malien sans-papiers que Français de souche chômeur en fin de droit ? Savent-ils que ces distributions de soupes au cochon, comme c’est le cas régulièrement à Paris, à Strasbourg ou à Nice, sont l’un des rares moments de réconfort pour tout ces laissés pour compte du libéralisme ? NON, ils ne le savent pas. Et, même s'ils le savaient, ils n’en auraient rien à faire, tant est grande leur haine de ce que nous sommes, nous Français de France et Européens d’Europe.

 

Pour l’heure, nous ne savons pas encore quelle sera la riposte des patriotes sarregueminois, mais, quoiqu’il en soit, cette lamentable affaire prouve, une fois de plus, la collusion qui existe entre les partis marxistes et la droite affairiste. Plus que jamais, le peuple de France a besoin d’une véritable force populaire, nationale et identitaire pour incarner sa volonté de rompre avec ce Système vermoulu qui conduit notre pays droit à la faillite et notre peuple à la paupérisation. La NDP, et d’autres, œuvrent actuellement dans ce sens…

 

Roland Hélie

18:16 Publié dans Editoriaux | Tags : sarreguemines, lorraine, ndp, moselle, ump, politique, solidarité | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

samedi, 07 février 2009

Ni Hamas, ni Tsahal ! Cette guerre n’est pas la nôtre…

Editorial de Roland Hélie publié dans le numéro 12 (janvier février 2009) de la revue Synthèse nationale :

 

 

Parmi les « dégâts collatéraux » provoqués par les affrontements qui se sont déroulés ces dernières semaines au Proche Orient, on pourrait presque inclure les nouvelles divisions que ceux-ci entrainent au sein de la droite nationale (1). Bien sûr, il convient de relativiser l’aspect tragique de ce constat car, fort heureusement, ces divisions n’ont pas encore entraîné mort d’homme… Néanmoins, ces événements sont survenus à point nommé, au moment où notre famille politique semble avoir beaucoup de mal à rebondir, pour creuser encore plus les fossés qui séparent les mouvements nationaux et identitaires entre eux et les éloigner de leur mission essentielle, celle de défendre notre peuple, notre nation et notre civilisation. Décidément, on peut leur faire confiance, les Juifs et les Arabes excellent dans l’art d’exporter leurs discordes partout, y compris là où on s’y attendrait le moins.

 

Ainsi, depuis le début de ce nouvel épisode de la guerre fratricide qui oppose les descendants des fils de Sem, toute la droite nationale se chamaille sur la position à adopter. Certains font une surenchère effrénée à la dialectique gauchiste, confondant au passage la légitime revendication du Peuple palestinien à disposer d’un Etat et les positions islamistes maximalistes du Hamas, alors que d’autres, au nom d’une notion totalement pervertie de l’Occident, se pâment d’admiration devant la force, réelle ou supposée, de l’armée israélienne. Une fois de plus, on nage en pleine confusion.

 

Depuis une trentaine d’années, je me suis personnellement toujours prononcé en faveur d’un Etat palestinien. A une époque où presque toute la droite nationale soutenait, probablement par nostalgie de l’Algérie française, l’Etat hébreu, nous étions alors ultra minoritaires, au sein des mouvements nationaux et nationalistes, à adopter une telle position. Nous l’expliquions tout simplement par le droit des peuples à disposer d’un Etat. Au même titre d’ailleurs que les Israéliens avaient le droit au leur. Je ne regrette en rien cet engagement, que je considère toujours comme le plus logique. Néanmoins, depuis, les choses ont nettement changé. La résistance palestinienne était alors nationaliste, laïque et révolutionnaire. Ce n’est plus le cas aujourd’hui. Le Hamas est islamiste, fondamentaliste et impérialiste (non seulement il veut détruire Israël, mais il veut aussi la fin de notre civilisation européenne). Nous sommes loin du baasisme bon teint ou du nassérisme triomphant de la seconde moitié du XXème siècle.

 

Deux peuples, un territoire : le bât blesse…

 

En fait, là où le bât blesse, c’est lorsque deux peuples ont la même prétention sur un même territoire. Comme c’est le cas dans ce sempiternel conflit israélo-palestinien. La solution la plus sage consisterait à procéder à une partition qui mettrait tout le monde d’accord. Mais peut-on encore, aujourd’hui, raisonnablement envisager une telle solution ? Toutes les tentatives de conciliation qui se sont succédées depuis la création, en 1947, de l’Etat d’Israël ont échoué. Plus encore, la situation n’a fait qu’empirer. J’en arrive donc à la conclusion qu’il est plus que temps de laisser les protagonistes se débrouiller entre eux. Tout le reste n’est que bavardages, postures esthétiques et, surtout,  perte de temps… Prendre parti dans ce conflit n’apporterait rien au mouvement national.

 

S’il est vrai que les moyens et les méthodes de Tsahal sont totalement disproportionnés par rapport à ceux des Palestiniens ; s’il est vrai que si n’importe quel autre pays du monde avait utilisé les mêmes méthodes et les mêmes moyens pour régler un quelconque conflit avec un de ses voisins, toutes les « forces du bien » se seraient mobilisées pour éliminer ce « maudit pays » (souvenez-vous du sort qui fut réservé à la malheureuse Serbie il y a une dizaine d’années ou à l’Irak il y a vingt ans…) ; il n’en est pas moins vrai que le Hamas, qui n’hésite pas à mettre des enfants en première ligne face aux chars israéliens, considère qu’Israël doit être détruit et que, pour cela, tous les moyens sont bons, y compris le terrorisme aveugle. Terrorisme aveugle auquel les sionistes n’avaient d’ailleurs pas hésité à recourir, en d’autres temps, pour lutter contre les Anglais.

 

Entre ceux qui réclament « un soutien indéfectible à l’Etat d’Israël », comme s’ils ne savaient pas que les Etats n’ont pas d’amis ni d’alliés à soutenir mais que des intérêts à défendre, et ceux qui, souvent fraichement convertis au nationalisme, invoquent de fallacieuses raisons humanitaristes pour appeler à manifester, aux côtés de l’extrême gauche et des mouvements antiracistes, contre l’agression israélienne, nous n’avons vraiment pas à choisir. Peut-être que, si nous étions Israéliens, nous serions farouchement partisans de liquider la résistance palestinienne. De la même manière que, si nous étions Palestiniens, nous nous ferions un devoir de soutenir le Hezbollah ou le Hamas. Mais il se trouve que nous ne sommes ni les uns ni les autres, nous sommes Français et Européens et que, par conséquent, nous n’avons qu’un seul choix à faire : celui de la défense de nos intérêts et de nos intérêts seulement.

 

Ni drapeaux israéliens, ni drapeaux palestiniens…

 

Robert Spieler, au nom de la Nouvelle Droite Populaire, a parfaitement résumé la position qui conviendrait d’être prise par le mouvement national et identitaire dans son ensemble : « Ni drapeaux israéliens, ni drapeaux palestiniens ». Ce à quoi Pierre Vial, Président de Terre et peuple, ajoute de manière imagée : « Ni hallal, ni cacher »… Oui, tous ces emblèmes d’entités étrangères à notre civilisation européenne qui envahissent les rues de nos villes et qui détériorent, petit à petit, notre patrimoine et notre conscience collective doivent être rejetés simultanément. On ne peut pas à la fois combattre l’immigration de peuplement qui menace les fondements de notre civilisation et la violence qui en découle et qui s’amplifie partout sur notre territoire d’un côté  et, de l’autre, glorifier les organisations terroristes, que celles-ci soient sionistes ou islamistes. On ne peut pas à la fois militer sincèrement pour une France française dans une Europe européenne et se pavaner derrière les drapeaux, quels qu’ils soient, de puissances ou d’organisations qui veulent la mort de notre identité. Il faut arrêter de dire et de faire n’importe quoi.

 

Nous ne pourrons libérer notre continent de ceux qui l’envahissent et de ceux qui le contrôlent que si nous nous appuyons sur les valeurs, les symboles et les traditions qui sont les nôtres. Pour cela, il faut d’abord redonner à notre peuple une conscience ethnique, condition sine qua non à notre redressement national et identitaire. Si nous voulons gagner, nous devons d’abord être ce que nous sommes.

 

Notes

 

(1) Lire à ce sujet l’article de Jérôme Bourbon publié dans Rivarol (n°2888 du 16 janvier 2009).

 

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12:44 Publié dans Editoriaux | Tags : proche orient, roland hélie, synthèse nationale, palestine, israël, gaza | Lien permanent | Commentaires (0) | |  Facebook | |

vendredi, 06 février 2009

Lisez le dernier numéro (n°12) de Synthèse nationale....

1-Couv_SN_12[1].JPGLa revue politique et culturelle nationale et identitaire Synthèse nationale  (n°12, janvier/février 2009, 120 pages) est en vente (12,00 €) à la Librairie Primatice, 10 rue Primatice à Paris (XIIIème - Métro Place d'Italie)

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mercredi, 04 février 2009

Koukouchner a fait son nid en Afrique…

Réaction de Robert Spieler, Délégué général de la Nouvelle Droite Populaire

Le journaliste Pierre Péan vient de révéler dans son livre " Le Monde selon K." les très lucratives activités de Koukouchner en Afrique, de 2002 à 2007. Des sommes considérables lui ont été versées au titre de "consultant" par quelques dictateurs africains. Aucun lien, évidemment, avec ses responsabilités politiques.

Ses anciens amis socialistes qu'il a trahi en allant à la soupe sarkoziste, en acceptant le ministère des Affaires étrangères, sont d'une discrétion et d'une pudeur de chaisière. Le groupe PS s'est abstenu de demander des explications au coucou lors de la séance de questions au gouvernement. "Ce n'est pas dans nos méthodes", expliquait Michel Sapin.

Ben, voyons !